[WWI] Front de l'Est

Offensive de septembre

Troupes en présence :
Russie : 1 000 000 soldat.e.s

Action 1 :

Doukhonine finit les derniers préparatifs. Le commandant en chef de la Stavka, rejoint dans la gloire par le génial Sakhalinski, a personnellement dirigé les préparatifs de l'offensive de septembre. Pensée pour profiter de l'offensive massive en cours à l'ouest, et du chaos centre-européen, le but est de libérer les pays baltes de l'emprise des Allemands et de leur infâme marionnette polonaise. Au coeur du dispositif, les troupes lettonnes et lituaniennes se préparent à libérer - une seconde fois - leur patrie de l'occupation et des affres de l'opération Déméter. Une fois le front percé, les techniques d'exploitation à base de trains blindés et de cavalerie, si efficaces contre les Autrichiens, seront mises à l'épreuve des Boches. La Stavka espère, en cas de succès particulièrement probant, atteindre même Koenigsberg.

Spoiler:

Offensive de septembre

Modération

Action (57/65;25) :

Le rouleau compresseur russe a encore mis un coup de boutoir formidable dans l'armée allemande. Les forces lettones, et surtout lituaniennes, ont pris l'avantage sur les troupes allemandes, ouvrant l'arrière-pays à l'armée de la République. Dans les territoires libérés, nombre de troupes indigènes retrouvent leurs familles terrorisées et malmenées - voire mortes - par l'horreur de l'opération Déméter. Les prévisions les plus optimistes en cas de victoire ne sont cependant pas atteintes. Si l'armée russe a posé pied sur le sol d'Allemagne, Koenigsberg tient toujours. Et elle risque de tenir longtemps, car les yeux de l'état-major sont tournés vers la Biélorussie.

Pertes :
Russie : 155 000 hommes
Allemagne : 110 000 hommes, 70 000 prisonniers

Spoiler:

Offensive de Bialystok

Troupes en présence :
Russie : 800 000 soldat.e.s

Action 1 :

À quoi bon prendre Konigsberg, quand on peut disloquer pour de bon l'armée allemande à l'est ? C'est en tout cas ce que pense Doukhonine, qui compte bien effectuer un coup aussi efficace que lors de l'offensive de septembre. Cette fois-ci, dans le chaos de la révolution allemande, l'objectif est d'attaquer à la fois depuis le nord et depuis le sud pour couper la Biélorussie du reste de l'armée allemande, et prendre au piège l'entièreté des soldats allemands dans la région. Bialystok est la ville la plus importante que vise l'armée russe, qui ambitionne d'y entrer après avoir fait tomber Grodno au nord, et Brest-Litovsk au sud. Un succès de cette opération mettrait également Varsovie à portée d'une prochaine offensive russe, et, on l'espère à Petrograd, pourrait pousser la régence polonaise à la reddition.

Spoiler:

Offensive de Bialystok

Modération

Action (13/90;100) :

Ce qui reste de l'armée allemande est particulièrement désorganisé et démotivé, et l'offensive russe a totalement pris au dépourvu les maigres défenses des Dioscures. Brest et Grodno sont tombées particulièrement rapidement, et Bialystok a suivi avec une vitesse qui a étonné même la Stavka. Désormais, une partie particulièrement notable de ce qui reste de l'armée impériale-militaire se retrouve enfermée en Biélorussie, et les yeux de l'armée russe se tournent vers Varsovie, Konigsberg, et Lvov.

Pertes :
Russie : 25 000 hommes
Allemagne : 30 000 hommes, 50 000 prisonniers

Spoiler:

Grandes offensives de février

Troupes en présence :
Russie : 1.800.000 soldat.e.s
Royaume-Uni : 325.000 soldats

Action 1 : Est

Les troupes de Biélorussie rendues, Doukhonine peut se tourner entièrement vers l'ouest, face à une armée allemande amputée d'une grande partie de ses effectifs et plus désorganisée que jamais. On avance encore et toujours, voilà le but. Koenigsberg, Danzig, Varsovie, Lodz, Cracovie, Lvov. Autant de villes cibles du rouleau compresseur russe.

Action 2 : Sud

La légion tchécoslovaque libère sa maison. Presbourg/Bratislava ayant été évacuée par les Allemands, le gouvernement slovaque a pu s'y établir et les troupes ayant combattu aux côtés de la Russie révolutionnaire y retrouvent des politiciens libéraux proches de l'occident. Reste à libérer le reste de la Tchéquie et de la Slovaquie. C'est tout le but de l'offensive concoctée par Sakhalinski. Celui-ci vise la fin de la conquête de la Saxe au nord, ainsi que la libération totale de la Tchéquie et de la Slovaquie. L'avancée finale des troupes russes devra les mener jusqu'en Silésie, et faire jonction avec les troupes de l'est au niveau de Cracovie.

Spoiler:

Grandes offensives de février - MODERATION

Troupes en présence :
Russie : 1.800.000 soldat.e.s
Royaume-Uni : 325.000 soldats

Action 1 : 20/100

La victoire est totale pour les forces russes. L'armée réactionnaire allemande, totalement déstabilisée, se retrouve vaincue sans aucune difficulté par le gros de l'armée russe, qui s'empare symboliquement de la Prusse orientale, et repose le pied dans la Pologne royale.

Action 2 : 2/100

À Cracovie, les troupes de l'est retrouvent celles du sud. Ces dernières, menées par le brillant général Sakhalinski et avec l'appui des Britanniques, ont mis dans une déroute magistrale ce qui restait des armées allemandes au sud, et ont entièrement libéré non seulement la Tchéquie et la Slovaquie, mais aussi la Silésie et l'est de la Saxe.

Pertes :
Russie : 70 000 hommes
Royaume-Uni : 10 000 hommes
Allemagne : 100 000 hommes, 200 000 prisonniers

Spoiler: