[V1919] Topic Officiel
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Chacun son Pays - le forum :: Archives du jeu :: Accéder aux archives :: Année 2018 :: V1919 (14 avril - 16 mai 2018)
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Re: [V1919] Topic Officiel
Deutsches Reich
Reichstagswahl
........Du fait que l’Assemblée nationale de Weimar s’est dissoute d’elle-même au mois de mai, de nouvelles élections fédérales étaient nécessaires et seraient les premières à se tenir après l’adoption de la constitution dite de Weimar. En ressort donc la création du premier Reichstag de la démocratie weimarienne. Sans surprise, cette élection illustre les difficultés et les mécomptes des partis fondateurs de la République. En effet, la « coalition de Weimar » qui regroupe le Sozialdemokratische Partei Deutschlands (SPD), le Deutsche Zentrumspartei (Zemtrum) et enfin le Deutsche Demokratische Partei (DDP) voit ses positions s’effriter et subit un important revers électoral au point d’en perdre sa majorité parlementaire acquise en 1919 lors de la première consultation libre et démocratique depuis la chute de la monarchie. Il semblerait que la principale cause de cette désolidarisation soit imputable aux ouvriers déçus de la politique gouvernementale du SPD qui, les quelques fois où elle a satisfait ses revendications, ne l’a fait qu’à contrecœur et/ou partiellement. D’où l’observation de l’essor impressionnant de son principal opposant de gauche, le Unabhängige Sozialdemokratische Partei Deutschlands (USPD) qui devient la deuxième force politique du Reichstag, bénéficiant d’un important report des voix des anciens électeurs du SPD. C’est incontestablement le grand vainqueur de ces élections avec ses désormais, 84 députés. Le Kommunistische Partei Deutschlands (KPD) monte aussi, mais dans une bien moindre mesure étant pénalisé par sa rhétorique d’antiparlementarisme et une implication assez faible dans sa campagne électorale qui s’explique là encore par le projet qu’elle porte, qui conteste radicalement le régime. Cette poussée ne concerne aussi pas que la gauche puisque le parti de droite, le Deutschnationale Volkspartei (DNVP) progresse lui aussi au point de devenir la troisième force du Reichstag avec maintenant 71 députés. En tout cas, ces résultats compliquent les choses puisque la « coalition de Weimar » ne peut être reconduite, car comme dit précédemment, elle n’a plus la majorité absolue, mais surtout le SPD a décidé de tirer les conséquences des résultats et a par la voix de son président Otto Wels via le journal officiel du parti, le Vorwärts, a écarté immédiatement toute participation de son parti à une majorité gouvernementale sauf si le USPD était prêt à écarter ses éléments les plus radicaux pour étendre la coalition, mais ces derniers refusèrent catégoriquement. Si les inquiétudes furent générales parmi la population, une option s’ouvra finalement rapidement qui en réalité se trouvait être la seule. Celle-ci consistait à faire une nouvelle coalition, mais qui déborderait vers la droite. Elle prendrait la forme d’un cabinet minoritaire (faute de participation du SPD) réunissant les deux autres partis de la « coalition de Weimar », le Zemtrum ainsi que le DDP avec le Deutsche Volkspartei (DVP). Le parti populiste est le parti des grands milieux d’affaires, il regroupe l’aile droite des Nationaux-Libéraux qui a refusé de se joindre au DDP, sous la direction de Gustav Stresemann et Ugo Stinnes. Resté monarchiste de cœur, hostile à la nouvelle République, dont il redoute les velléités sociales et dirigistes, le DDP ne pouvait cependant rester totalement en marge du régime sans léser les intérêts des groupes qu’il représente, c’est pourquoi il accepta d’intégrer une coalition gouvernementale. Le principal point de blocage, résidait sur la personnalité choisie pour devenir le nouveau Reichskanzler. Face à l’étirement inédit de la coalition, il fallait trouver quelqu’un capable de concilier les quelques divergences existantes, le seul homme convenant à la situation était Konstantin Fehrenbach. Avocat de formation, c’est un vieux roublard de la politique qui se distingue par ses talents oratoires et qui a acquis un prestige certain en étant le dernier président du Reichstag impérial et le président de l’Assemblée nationale de Weimar qui suivit la chute de la monarchie. Malgré les réticences du vieil homme qui voyait la fonction comme un fardeau, il accepta finalement la nomination que lui offrait le Reichspräsident et constitua son cabinet après une semaine des négociations assez houleuses entre les différents partis. Ces derniers ont convenu d’une plateforme idéologique pour la coalition assez simple, il s’agit de « promouvoir la reconstruction de l’Allemagne sur la base d’un régime républicain, et de lutter contre toutes les formes de bouleversements violents ». Il rencontra aussi personnellement Otto Wels afin de négocier le vote de confiance parti et le soutien du SPD à la minorité gouvernementale, ce qui fut accepté contre la promesse d’avancées sociales.
- Résultats des élections fédérales de 1920:
Cabinet Fehrenbach
Reichskanzler (chancelier) : Konstantin Fehrenbach (Zemtrum)
Reichsministerium der Justiz (justice) : Rudolf Heinze (DVP)
Reichsministerium der Finanzen (finances) : Joseph Wirth (Zemtrum)
Auswärtiges Amt (affaires étrangères) : Walter Simons (Indépendant)
Reichsministerium des Innern (intérieur) : Erich Koch-Weser (DDP)
Reichsministerium für Wirtschaft (affaires économiques) : Ernst Scholz (DVP)
Reichsministerium für Ernährung (agriculture) : Andreas Hermes (Zemtrum)
Reichsministerium für Arbeit (travail) : Heinrich Brauns (Zemtrum)
Reichswehrministerium (défense) : Otto Gessler (DDP)
Reichsministerium für Verkehr (transport) : Wilhelm Groener (Indépendant)
Reichsministerium für das Postwesen (poste) : Johannes Giesberts (Zemtrum)
Reichsschatzministerium (trésor) : Hans von Raumer (DVP)
........Joseph Wirth (Finances), Giesberts (Poste) et Hermes (Agriculture) conservent tous les trois, leurs portefeuilles issus du cabinet Müller. Autrement, le DVP obtient trois portefeuilles ce qui donne à ce parti, une résonance importante au sein du gouvernement. Le cabinet préserve un certain équilibre en somme, grâce à la présence de deux ministres indépendants. La première tâche du nouveau Reichskanzler fut de réagir aux propos de son homologue français, qui a tenu un discours remarquable devant sa Chambre des députés. Si la nomination de Philippe Berthelot au Quai d’Orsay est appréciée aussi bien au sein du gouvernement que dans les couloirs du Reichstag, le ton quelque peu « paternaliste » est nettement moins bien reçu, tout comme les propos insistants sur la somme des réparations que doit l’Allemagne, alors qu’ils seront difficilement voire impossibles à tenir en l’état (et donc nécessitent une révision). Malgré ces déconvenues, le Reichskanzler tient à « applaudir » la décision de son homologue français, espérant que cela « se traduit rapidement en des faits » comme le début d’une politique étrangère effectivement plus conciliante à l’égard de l’Allemagne. Dans un autre registre, le président de l’USPD, Arthur Crispien a confirmé la participation d’une délégation de son parti à la conférence de Vienne visant à la création d’une nouvelle Internationale. Il en profitera même pour accompagner en personne la délégation allemande, saluant au passage l’initiative de son homologue autrichien.
Gosseau- Secrétaire général des Nations Unies
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Re: [V1919] Topic Officiel
Vereinigtes baltisches Herzogtum
● Affaires intérieures ●
● Affaires intérieures ●
................Le mois de septembre était désormais bien entamé, à tel point que, déjà, les feuilles caduques orangeâtes accomplissaient leur rituel annuel pour venir se poser sur les trottoirs et les routes de la capitale du Duché. Riga, en ces temps de plus en plus frisquets, connaissait une agitation qui, si elle n’était pas aussi violente que ces troubles qui avaient régulièrement lieu dans la Heimatland – tant les tentatives bolchéviques de prise de pouvoir que des inlassables et successifs coups d’Etat, plus ou moins avortés, qui ponctuent la vie politique allemande –, n’était toutefois point sans inquiéter le gouvernement de cet Etat quelque peu original qui s’était reconstitué, après un premier flagrant échec en novembre 1918, et qui était parvenu à s’emparer en outre de la Lituanie, ce qui n’avait point été le cas la première fois, s’offrant le luxe d’une frontière avec la Pologne – chose somme toute assez rare puisque ce pays avait plus souvent revendiqué que possédé des frontières. Ce véritable retour en force du Duché, qui était parvenu à rallier autour de lui – et par extension des cent milles membres des Freikorps et des Juncker qui en constituaient l’élite économique, militaire et politique –, n’était néanmoins pas sans attiser quelques tensions au sein même du territoire contrôlé, comme les troubles nés en juillet le prouvaient. En effet, au milieu de l’été 1920, le gouvernement d’Alfred Fletcher s’était rendu compte de son immense impopularité, et du manque flagrant de soutien des populations civiles estoniennes, lettones et lituaniennes, lorsque plusieurs groupuscules de soldats vétérans des révolutions baltes de 1917 – 1919, rejoints par des civils, s’étaient constitués et avaient commencé à défier l’autorité des allemands dans le pays, alors encore sous le joug de la loi martiale et dans lequel les Freikorps ont, outre la charge de défendre les frontières – aidés en cela par les différents corps armés locaux –, le rôle de faire régner l’ordre, quitte à employer assez excessivement – voire trop – la violence. A ce strict régime militaire s’ajoutaient deux autres facteurs de discorde au sein de la population. D’une part, les germano-baltes continuaient, comme en 1918, d’occuper une majeure partie des places importantes de la fonction d’Etat, constituaient la majorité des députés – pour à peine 5% de la population –, bref, contrôlaient effectivement la gestion du Duché. D’autre part, malgré leur nombre assez faible, ils étaient parmi les plus riches des Etats, possédant près de la moitié des terres agricoles, propriétaires d’une majorité des commerces et industries dans les grandes villes – dont certaines étaient d’ailleurs elles aussi majoritairement peuplées par des germains, notamment au bord de la mer Baltique ; cela au détriment des autochtones.
................La situation n’avait dès lors fondamentalement pas changé depuis le précédent échec de 1918. Il était même assez incroyable, et heureux, de voir que les baltes n’avaient pas immédiatement ravivé le souvenir de la première tentative d’un Duché balte uni pour massivement rejeter le déploiement, tout aussi massif, de Freikorps allemands sur leur territoire, et in fine, la conquête d’icelui par ces premiers. Peut-être fallait-il y voir là un signe de la Providence, comme l’espéraient bon nombre de familles germaines implantées ici depuis plusieurs des temps immémoriaux où l’Ordre des Chevaliers Porte-Glaives christianisait ces régions païennes, ou bien n’était-ce, plus rationnellement, que l’heureux concours de plusieurs facteurs indépendants mais majeurs qui avaient conduit les baltes à une telle docilité, à commencer par la guerre civile russe – défunt empire auquel ils appartenaient –, la menace bolchévique qui pesait sur eux, et la débâcle des blancs à l’ouest qu’ils soutenaient. Alfred Fletcher, chancelier de cet ensemble hétérogène à bien des égards, avait pleinement conscience de cela, à l’instar de Gustav Adolf Joachim Rüdiger, Graf von der Goltz et chef d’état-major de la Baltische Landeswehr, laquelle regroupe les Freikorps allemands ainsi que les différentes troupes baltes. Les deux compagnons d’armes, qui assuraient dans les faits le plein et entier contrôle de l’Etat balte, avaient été contraints – non pas que ce fut à regret pour eux – de se rencontrer, de manière assez imprévue, à la suite d’affrontements dans les rues de Riga entre d’une part les groupuscules rebelles et d’autre part l’armée régulière, lors desquels 3 militaires avaient été tués contre 5 insurgés. Dans l’urgence, les deux hommes s’étaient alors réunis au Château de Riga, siège du pouvoir ducal, pour s’entretenir des mesures à prendre. « Wir können dieses Herzogtum nicht halten, ohne es tiefgreifend zu reformieren », commença Fletcher, l’air grave, mais confortablement assis dans un fauteuil style Frédéric II – de Prusse, natürlich. Son homologue, s’il acquiesça, nuança tout de même en précisant que « Ohne die direkte Zustimmung der deutschbaltischen Staaten könnte keine tiefgreif Reform durchgeführt werden », le général craignant pour sa part que lesdits germano-baltes cessent de soutenir le pouvoir tandis que les baltes, quant à eux, ne se rallient pas pour autant pleinement à ce Duché, ce qui était évidemment un risque à prendre pour permettre la survie de l’Etat, dont l’existence, déjà, ne tenait théoriquement qu’à la lutte commune contre le bolchévisme, mais qui devait être dépassée pour permettre au Duché de continuer à exister une fois la victoire remportée – si elle l’est, ce qui est évidemment moins sûr.
................Le chancelier détailla alors longuement son projet intégral de réformes du Duché, lequel était destiné, selon Fletcher, à assurer la fidélité des baltes en leur offrant bien plus qu’ils n’avaient sous les russes, tout en conservant une certaine influence allemande dans la gestion des affaires économiques, militaires et politiques de l’Etat, afin d’éviter leur éviction à terme, sans grand enthousiasme, certes, puisqu’il était conscient de toutes les concessions que cela impliquait, mais néanmoins confiant dans sa réussite, ce qui tranchait légèrement plus avec le Graf von der Goltz, qui, dubitatif, répondit très brièvement que « Der Vereinigter Landesrat wird dieses Projekt wahrscheinlich nicht akzeptieren. » Le chef du gouvernement hocha horizontalement de la tête, affirmant que les parts réservées aux germano-baltes seraient amplement suffisantes pour permettre leur prospérité – bien qu’icelle sera réduite par rapport à celle d’antan, mais toujours largement supérieure à celle qui pourrait être en cas de renversement du régime, tant par les bolchéviques que par les baltes – ; tout comme ils conserveraient encore une certaine puissance politique, du moins suffisante pour défendre leurs intérêts et continuer à contrôler le pays. Aussi, le chef d’état-major fut contraint d’accepter le Agrarreformakt, premier volet de cette réforme en profondeur du Vereinigtes baltisches Herzogtum, lequel fut promulgué dans la journée du 25 septembre après avoir été unanimement adopté par les députés estoniens, lettons et lituaniens, et par une poignée d’allemands – suffisante pour faire passer la réforme. Jusqu’alors, les germano-baltes détenaient 58% des terres estoniennes et 48% des terres lettones. Cet Agrarreformakt prévoit désormais la vente forcée, au prix des deux tiers de la valeur actuelle, d’une majeure partie de ces terres détenues par les germano-baltes aux estoniens et aux lettons – la Lituanie n’étant pas concernée par cette situation, du fait de la quasi-absence de cette forte communauté germaine et surtout de cette domination des barons baltes. Dorénavant, et aux termes de la loi, les germano-baltes devront vendre toutes leurs terres agricoles jusqu’à ce qu’il ne leur reste que cent hectares – les propriétaires pouvant vendre davantage. Il ne s’agit évidemment pas d’une expropriation ni d’une nationalisation mais bien d’une obligation de vendre dès lors que de potentiels acquéreurs se font connaître, lesquels bénéficieront de prêts avantageux garantis par les différents établissements bancaires baltes – pour la plupart détenus par des juifs ou des germano-baltes. Fletcher estime que cette réforme devrait permettre l’émergence d'une couche de petits et moyens propriétaires assurant la stabilité et la prospérité du pays.
● Affaires étrangères ●
................La situation en Pologne inquiète vivement le Duché, qui, s’il entretient guère de bonnes relations avec Varsovie, ce qui peut se comprendre d’un côté, est tout autant méfiant de la Russie bolchévique. Ainsi, le chancelier Fletcher a proposé l’envoi d’un émissaire à Paris ainsi qu’à Varsovie afin de s’entretenir sur l’évolution de la situation en Europe de l’est, laquelle est directement influencée par les actions tant françaises que polonaises, et qui aura nécessairement une incidence sur le Duché balte uni.
Sirda- Modérateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
Republik Österreich
République d’Autriche
Elections en Autriche
Karl Seitz, actuel président du SDAPÖ, et futur Chancelier
C’est l’effervescence dans la capitale autrichienne. Les élections viennent tout juste de passer, et les résultats viennent de tomber. Ces élections visent à élire pendant 5 ans les députés du Conseil National, chambre la plus importante du parlement autrichien. Les résultats maintiennent le SDAPÖ, représenté par Karl Seitz, au pouvoir, avec 48%, soit 88 sièges, à quelques sièges de la majorité absolue, des résultats tandis que le principal parti, le CS recueille 38% des sièges soit 71 sièges. Celui-ci est représenté par Micheal Mayr. Enfin, les deux partis, le DN et le Landbund recueillent chacun respectivement 16 et 7 sièges. Le dernier siège est le CWP, qui est un nouveau parti dans la sphère politique autrichienne.
Conseil National Autrichien
A la suite de ces élections, une coalition est obligatoire, étant donné que le SDAPÖ ne recueille pas la majorité. Micheal Mayr qui a remarqué les efforts du SDAPÖ des précédents mois pour rétablir un Etat fort et stable sans idéologie, a tendu la main à celui qui devrait devenir le prochain Chancelier, Karl Seitz. : « Le parti chrétien-social veut œuvrer à l’évolution de l’Autriche pour l’avenir. » Cependant, l’aile droite de son parti est loin d’être d’accord, à peine les élections sont passés que déjà des dissensions apparaissent dans ce parti qui doit désormais choisir entre être dans une coalition au pouvoir, ou rester dans l’opposition. Karl Seitz a d’ores et déjà proposé à Micheal Mayr une place dans son gouvernement afin d’avoir les quelques sièges qui manquent pour avoir la majorité.
Conseil National Autrichien
A la suite de ces élections, une coalition est obligatoire, étant donné que le SDAPÖ ne recueille pas la majorité. Micheal Mayr qui a remarqué les efforts du SDAPÖ des précédents mois pour rétablir un Etat fort et stable sans idéologie, a tendu la main à celui qui devrait devenir le prochain Chancelier, Karl Seitz. : « Le parti chrétien-social veut œuvrer à l’évolution de l’Autriche pour l’avenir. » Cependant, l’aile droite de son parti est loin d’être d’accord, à peine les élections sont passés que déjà des dissensions apparaissent dans ce parti qui doit désormais choisir entre être dans une coalition au pouvoir, ou rester dans l’opposition. Karl Seitz a d’ores et déjà proposé à Micheal Mayr une place dans son gouvernement afin d’avoir les quelques sièges qui manquent pour avoir la majorité.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [V1919] Topic Officiel
[Royaume de Hongrie]
Réduite et humiliée, la Hongrie sort d'une période difficile. Sortant de quatre ans de guerre, prolongée par quelques mois de gouvernement communiste et de guerre civile, le pays est désormais fermement occupé par une force internationale de la SDN sous commandement français. De nombreux pays de l'Entente (surtout la France et les pays frontaliers) participent à cette occupation, y compris un contingent américain. Le pays est mis en coupe réglé et va devoir régler d'énormes indemnités financières. Un afflux de réfugiés hongrois devrait de plus se produire (Vas Sopron ...). Une grande traque des communistes hongrois encore dans le pays est en œuvre tandis que les bases du futur régime se posent peu à peu (en attendant les élections générales de décembre 1920) sous l'égide de la force internationale qui administre le pays (en collaboration avec de nombreux hongrois dont le chef de l'Armée, l'Amiral Horthy). Libéré à la chute du régime bolchevique, le prince Joseph Auguste de Habsbourg s'est symboliquement auto-proclamé régent et s'attache à rassembler autour de lui un courant monarchiste en vue des élections. Celui ci est puissant et rassemble d'ores et déjà de nombreux hommes politiques comme Istvan Friedrich ou encore l'Amiral Horthy qui lui est favorable. Le "régent" donne des gages aux alliés, les rassurant sur le fait qu'il n'a aucune nostalgie de l'Empire mais que la Hongrie étant un royaume Habsbourg celle ci doit avoir un roi. Joseph Auguste espère bien que les élections à venir lui seront favorables et lui permettront de monter sur le trône magyare.L'archiduc Joseph Auguste de Habsbourg
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
[Internationale deux et demie]
Partis acceptant de rejoindre la Conférence du 27 octobre :
-USPD allemand
-Parti Travailliste Indépendant britannique
-SPS suisse
-FPSR roumain
Partis s'enfonçant dans des débats internes et ne donnant pas encore de positions définitives :
-SFIO française
-PSOE espagnol
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
République française
● Affaires coloniales ●
● Affaires coloniales ●
« Je répète qu'il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures… », ainsi Jules Ferry, un des grands hommes que la Troisième République a porté, justifiait la colonisation française. En 1920 comme auparavant, la France est résolue à porter dans son Empire cette civilisation qui faisait défaut aux peuplades barbares qui y régnaient auparavant. C’est du moins la politique choisie par le président du conseil, qui, non sans influence des radicaux-socialistes et républicains-socialistes – renforcés par le choix de la SFIO de s’allier à Moscou – et principalement du député noir Blaise Diagne, déjà instigateur en 1916 d’une loi donnant la nationalité aux habitants des quatre communes (Dakar, Rufisque, Saint-Louis et Gorée) en échange de leur conscription.
Paul Deschanel, fervent croyant dans l’idée que la science et l’éducation élèveront les hommes, est lui aussi partisan de cet effort d’assimilation des colonisés, et a appuyé au Parlement la loi Diagne II, qui donne la citoyenneté pleine et entière aux habitants des communes de plein exercice et en crée de nouvelles, que le président du conseil a détaillé « Autour du fleuve Sénégal, dans l’arrière-pays des Quatre communes qui furent les premières à disposer de ce statut, Thiès, Kaolack, Ziguinchor, Diourbel et Louga deviendront des communes de plein exercice. Dans l’Algérie, la plus proche de la France de nos colonies africaines, Oran, Alger et Constantine disposeront de ce statut. Enfin, les trois villes les plus civilisées du golfe de Guinée de part l’ancienneté de leurs rapports avec la France, à savoir Conakry, Grand-Bassam et Libreville, en bénéficieront également. Ces villes n’ont pas été choisies par hasard : elles sont celles qui ont donné le plus de leurs fils à la France lors du conflit sanglant qui ébranla l’Europe, et celles où depuis le plus longtemps les indigènes sont en contact avec la civilisation que nous leur avons apporté. Le drapeau que nous avons planté et sous lequel nous les avons élevé vers la lumière, aujourd’hui ils sont capables de se lever et de proclamer "C’est mon drapeau, la France est ma nation" »
● Affaires étrangères ●
La République française est totalement opposée au retour sur le trône d’un Habsbourg en Hongrie. Le président de la république Clemenceau, à l’annonce de la volonté d’un prétendant de cette famille à s’asseoir sur le trône, aurait ainsi déclaré « Les Habsbourgs sont des criminels, leur place est donc partout meilleure qu’à la tête d’un État ». Monsieur Berthelot, le ministre des affaires étrangères, a ainsi signifié à Horthy qu’il devrait trouver un autre candidat à la monarchie qui ne soit pas issu des rangs des Habsbourgs
Prenant acte de l’enthousiasme allemand face à la nouvelle ligne diplomatique française, le président du conseil a proposé à son homologue allemand une visite de monsieur Berthelot à Weimar afin de bâtir les fondations nouvelles sur lesquelles seront construites les futures relations franco-allemandes
Concernant la proposition germano-balte, Paris refuse la proposition de Riga : il est hors de question que la France traite avec un prétendu état qui n’est que l’usurpation de l’autorité des nations lituanienne, lettone et estonienne
Thalassin- Modérateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
♚ Reino de España - Royaume d'Espagne ♚
♚ Diplomatie ♚
Le gouvernement de Sa Majesté ainsi que la Maison royale d'Espagne, légitime descendants de la grandeur de Louis XIV, annonce son soutiens plein et entier à un retour de la noble dynastie Habsbourgeoise sur le trône de Hongrie. L'Espagne est près des Habsbourg depuis la longue régence de la reine-mère, très appréciée de notre peuple. Il s'agit là d'un soutiens international important pour la famille jusqu'à là exilée dans les Alpes Suisse. Si tel est le souhait du brave peuple hongrois, l'Espagne soutiendra pleinement Son Altesse le Prince Joseph Auguste sur la scène internationale, plaidera pour les Habsbourg-Lorraine et réfutera toutes sanctions internationales contre la monarchie hongroise. Que Dieu bénisse la Hongrie et l'Espagne.
En ce qui concerne le Duché Balte Uni, le gouvernement Espagnol reste prudent, même si il reconnait l'importance des germano-baltes dans le frein au bolchevisme et à la sauvegarde des traditions. Bien que Madrid ne reconnait pas encore cet État, nous n'allons pas non plus le dénoncer sur la scène internationale, non plus que nous allons arrêter le commerce entre nos deux nations et nous attentons avec impatience les prochains événements en Europe de l'Est afin de se faire une opinion clair sur le sujet.
Plus UltraEn ce qui concerne le Duché Balte Uni, le gouvernement Espagnol reste prudent, même si il reconnait l'importance des germano-baltes dans le frein au bolchevisme et à la sauvegarde des traditions. Bien que Madrid ne reconnait pas encore cet État, nous n'allons pas non plus le dénoncer sur la scène internationale, non plus que nous allons arrêter le commerce entre nos deux nations et nous attentons avec impatience les prochains événements en Europe de l'Est afin de se faire une opinion clair sur le sujet.
GeorgeV- Grand Consul
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Re: [V1919] Topic Officiel
République Socialiste Fédérative Soviétique de RussieGuerre contre la Pologne
A l’ouest les choses se déroulent mal pour les Bolcheviques. Bien que supérieure numériquement et ayant obtenu des succès initiaux, il apparaît clairement que l’Armée Rouge ne pourra plus lancer d’offensive pouvant être décisive vers l’ouest. La Pologne bénéficie en effet d’un soutien français massif (notamment aérien), le peuple s’est tout entier levé contre les Russes et fait preuve d’une forte détermination tandis que sur le terrain l’espoir bolchevique de prendre au piège des dizaines de milliers de soldats polonais (ce qui aurait pu contraindre l’ennemi à des concessions plus ou moins importantes) a tourné courte devant le succès de la contre offensive. Fort heureusement Kiev n’est pas tombé mais toujours est il que si la guerre devait se poursuivre son court deviendrait sans doute défavorable à une armée bolchevique qui a connu de sérieuses pertes (en hommes et en matériel, notamment aérien) et ne peut compter que sur un noyau assez restreint de troupes réellement efficaces.
Pour Lénine, la situation est donc grave. L’effondrement polonais sur lequel avait tablé la direction bolchevique au moment de choisir la voie de l’affrontement inévitable n’a pas eu lieu et avec lui c’est l’espoir d’une rapide diffusion par les armes de la Révolution en Europe de l’est qui disparaît dans l’immédiat. A ce tableau s’ajoute la menace toujours présente des forces blanches de l’Amiral Koltchak et un pays qui net tardera pas à être à bout de souffle si le communisme de guerre devait encore se poursuivre longtemps sous une forme aussi rude. Au sein même de la direction bolchevique les choses sont complexes. Le camarade Staline, proche collaborateur de Lénine et élément important du Politburo est en effet décédé dans la défense de Tsaritsyn contre les Blancs et la popularité et l’influence de Trotski, chef de l’Armée Rouge, se fait de jour en jour plus importante.
Devant la situation Lénine se rend compte à contre cœur qu’il va devoir revoir pour l’instant ses ambitions à la baisse (d’autant plus que la vague révolutionnaire ne se produit pas et que le prolétariat polonais est resté passif et a préféré se rallier au sentiment national) . Devant la permanence du péril intérieur, le président du Conseil des Commissaires du Peuple a en effet, avec le soutien d’un certain nombre de membres du Politburo et des hautes sphères mis sur la table l’idée d’une cessation des combats avec la Pologne, quitte à sacrifier des territoires, afin de pouvoir recentrer totalement la lutte contre Koltchak qui constitue la dernière opposition sérieuse au régime bolchevique (l’Ukraine est en effet quasiment conquise et Dénikine et ses troupes ne sont plus qu’un lointain souvenir, tout comme les troupes de Makhno). Il s’agirait donc de reproduire à une échelle moindre la paix de Brest Litovsk qu’avait imposé Lénine pour sauver la Révolution. La proposition est donc sur la table du Polibturo même si Trotski fait pour l’instant de la résistance. Lénine met bien en avant qu’il s’agit d’une retraite tactique pour sauver le pouvoir rouge (qui permettrait de réduire l’effort de guerre de plus en plus lourd), d’autant plus que des rapports alarmants proviennent des campagnes où la production chute devant les réquisitions massives opérées par des bolcheviks assez méprisants envers la paysannerie. La moindre étincelle pourrait en effet produire une catastrophe alimentaire, et par là de nouvelles révoltes vertes.Proclamation de la République Socialiste d’UkraineLe drapeau de la RSSU
A Kharkov, désormais sous contrôle de l’Armée Rouge après les récentes offensives, un congrès des soviets d’Ukraine a été réuni. Celle ci a proclamé la fondation de la République Socialiste Soviétique d’Ukraine, sur le modèle de la RSFSR. Le pouvoir local y sera détenu par le parti communiste (bolchevique) d’Ukraine. La direction de ce parti est constituée de nombreux Russes et est placée sous un contrôle étroit de Moscou qui a imposé la signature d’un traité d’alliance et d’assistance entre la RSFSR et le RSSU. Cette dernière n’est donc pas intégrée à la Russie bolchevique nominalement mais est fermement intégrée à l’espace bolchevique (une politique identique à celle pratiquée en Russie y sera appliquée) en attendant une prochaine clarification.
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
République Tchécoslovaque
Les événements internationaux sont très inquiétants: d'un part la formation de la 3eme Internationale, appelant a la lutte armée, a créé une scission dans les partis de gauche tchécoslovaques. Si une révolution n'est pas a l'ordre du jour, avec l'instabilité d’après guerre et les volontaires dans la guerre Polono-Soviétiques, il est nécessaire de faire une série de lois soutenues à la fois par les agrariens et les socialistes réformistes. En premier lieux , il s'agit de confirmer les droits égaux de toutes les minorités dans notre pays, et la garantie de libertés et de droits divers. Plus radicales, des lois sociales, comme le temps de travail maximum , le salaire minimum ou l'éducation sont aussi a l'ordre du jour. Si un haut niveau de vie et une république démocratique devrait stabiliser le pays et éviter des épisodes révolutionnaire, du coté de la droite on a une volonté de restauration Habsbourgeoises en Hongrie. Il est évident que la Tchécoslovaquie s'oppose a toute restauration de cette monarchie. Mais en respect de cette nation et aussi par le fait que les forces d'occupations en Hongrie sont peux nombreuses, la Tchécoslovaquie n’empêchera pas la monarchie si tel est le souhait de des Hongrois ...
Utyi- Grand Consul
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Re: [V1919] Topic Officiel
Magyar Királyság
En ce mois d'octobre, les élections s'approchent à grand pas. Jusque là l'occupation du territoire national sera effectif et restera dans la continuité de l'humiliation que la grande Hongrie subit par des lâches peu honorable. Joseph August von Österreich prit la parole à Budapest devant une foule de hongrois dont l'âme eut été souillé par les récents traités, des traités qui ne sont pas juste punitif mais bien par haine du peuple magyar par ses liens par le sang et de fraternité avec les allemands, Joseph était accompagné de Miklos, d'officiers et membres conservateurs et tout cela se déroula Place des Héros pour plus de répercussion après plusieurs jours d'annonce.
« Mes chères compatriotes, voyez vous aujourd'hui la Hongrie a plus que tout besoin de retrouver foi en notre peuple peu importe nos origines nous sommes des hongrois, des guerriers, des intellectuels et des hommes chevaleresques. Comme vous le savez j'ai essayé de toutes mes forces d'établir une Hongrie stable bien que la guerre ait anéantis notre économie et notre société plus globalement. Bien sur notre travail a été balayé par la vermine rouge et tout ce que nous avions pu construire a disparu, le juif Bela Kun est le responsable mais pas que. Aujourd'hui nos cœurs sont remplis de colère et de désir de crier notre indignation face à notre morcellement forcé cependant nous devons nous tourner en premier vers les réels responsables qui ont permis aux adversaires de la Hongrie de réussir à nous détruire. Nos premiers ennemis sont en nos murs et nous devons les désigner, les responsables doivent payer pour cela. Et c'est à vous de décider si vous voulez d'un gouvernement fort, respectable et qui veut aller de l'avant ou d'un gouvernement de traitre et de pions. Et au nom de notre empire déchu et de notre beau royaume j'adresse mes excuses au peuple tchécoslovaque qui a longtemps été de fidèles sujets et plus intimement des frères. Croyez vous réellement que nous, hongrois, sommes dupe ? Non, nous ne le sommes pas. Et les tentatives des puissances extérieurs à fracturer l'unité de la hongrie a fonctionné avec deux facteurs qui sont les traitres de la nation. Les rouges et les juifs. Mon cœur est avec vous mes frères et ensemble nous reviendrons et nous lèveront la tête avec fierté et honneur. Même dans les temps sombres notre lumière rayonnera. Que Dieu bénisse le peuple de Hongrie. »
Après son discours plusieurs personnalité annoncèrent leur soutien mais également la véracité des propos tenu par le prétendant au trône.
Notamment à fin d'avancer dans la direction d'un rétablissement légitime du pouvoir et de relancer l'économie hongroise, des groupes conservateur chrétien placarderont des affiches dans les rues avec des slogans faisant la promotion de la bravoure hongroise et d'aller vers l'avant mais également des slogans pouvant toucher la sensibilité des plus nationalistes et patriotes. Plusieurs petites milices non armée furent établie pour relayer les informations, faire du bouche à oreille, de la propagande à grande échelle dans tout le pays. Bien que la tension était palpable au fur et à mesure que les jours passaient, le peuple est appelé à répondre non pas avec colère par les actes physique mais d'exprimer cette dernière en allant voter pour le bon camps.
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En ce mois d'octobre, les élections s'approchent à grand pas. Jusque là l'occupation du territoire national sera effectif et restera dans la continuité de l'humiliation que la grande Hongrie subit par des lâches peu honorable. Joseph August von Österreich prit la parole à Budapest devant une foule de hongrois dont l'âme eut été souillé par les récents traités, des traités qui ne sont pas juste punitif mais bien par haine du peuple magyar par ses liens par le sang et de fraternité avec les allemands, Joseph était accompagné de Miklos, d'officiers et membres conservateurs et tout cela se déroula Place des Héros pour plus de répercussion après plusieurs jours d'annonce.
« Mes chères compatriotes, voyez vous aujourd'hui la Hongrie a plus que tout besoin de retrouver foi en notre peuple peu importe nos origines nous sommes des hongrois, des guerriers, des intellectuels et des hommes chevaleresques. Comme vous le savez j'ai essayé de toutes mes forces d'établir une Hongrie stable bien que la guerre ait anéantis notre économie et notre société plus globalement. Bien sur notre travail a été balayé par la vermine rouge et tout ce que nous avions pu construire a disparu, le juif Bela Kun est le responsable mais pas que. Aujourd'hui nos cœurs sont remplis de colère et de désir de crier notre indignation face à notre morcellement forcé cependant nous devons nous tourner en premier vers les réels responsables qui ont permis aux adversaires de la Hongrie de réussir à nous détruire. Nos premiers ennemis sont en nos murs et nous devons les désigner, les responsables doivent payer pour cela. Et c'est à vous de décider si vous voulez d'un gouvernement fort, respectable et qui veut aller de l'avant ou d'un gouvernement de traitre et de pions. Et au nom de notre empire déchu et de notre beau royaume j'adresse mes excuses au peuple tchécoslovaque qui a longtemps été de fidèles sujets et plus intimement des frères. Croyez vous réellement que nous, hongrois, sommes dupe ? Non, nous ne le sommes pas. Et les tentatives des puissances extérieurs à fracturer l'unité de la hongrie a fonctionné avec deux facteurs qui sont les traitres de la nation. Les rouges et les juifs. Mon cœur est avec vous mes frères et ensemble nous reviendrons et nous lèveront la tête avec fierté et honneur. Même dans les temps sombres notre lumière rayonnera. Que Dieu bénisse le peuple de Hongrie. »
Après son discours plusieurs personnalité annoncèrent leur soutien mais également la véracité des propos tenu par le prétendant au trône.
Notamment à fin d'avancer dans la direction d'un rétablissement légitime du pouvoir et de relancer l'économie hongroise, des groupes conservateur chrétien placarderont des affiches dans les rues avec des slogans faisant la promotion de la bravoure hongroise et d'aller vers l'avant mais également des slogans pouvant toucher la sensibilité des plus nationalistes et patriotes. Plusieurs petites milices non armée furent établie pour relayer les informations, faire du bouche à oreille, de la propagande à grande échelle dans tout le pays. Bien que la tension était palpable au fur et à mesure que les jours passaient, le peuple est appelé à répondre non pas avec colère par les actes physique mais d'exprimer cette dernière en allant voter pour le bon camps.
Invité- Invité
Re: [V1919] Topic Officiel
EMPIRE D’ÉTHIOPIE
ኢትዮጵያ ታበፅዕ እደዊሃ ሃበ አግዚአብሐር
L’Éthiopie tend ses mains vers le Seigneur.
L’Éthiopie tend ses mains vers le Seigneur.
Déclaration de son Altesse impériale d’Éthiopie le Prince-Régent, Ras et Héritier du trône impérial Tafari Makonnen Woldemikae :
Au cours de l’histoire éthiopienne, une scission s’est creusée entre un nord prêt à accueillir la modernisation, proche des réseaux de transport et des cités influentes ; et un sud éloigné, à l’environnement ardu, conquis il y a peu d’années — à l’échelle de l’histoire ancestrale de l’Éthiopie —. Cette dichotomie se ressent essentiellement dans l’agriculture, principal moteur économique du pays, domaine dans lequel le droit de propriété est indissociable de la vision traditionnelle du rapport à la terre, aux seigneurs, à l’Empereur : le nord fonctionne ainsi selon le droit supérieur de la descendance (le rist et ses variantes), donnant un nombre accru de petits propriétaires et de réseaux familiaux modestes mais solides, créant entraide et limitant le rôle de l’administration à la perception d’un impôt léger (la terre étant toujours considérée comme domaine de l’Empereur). Le droit à la terre a été ou est le plus souvent déterminé par délibération collective au sein des communautés de villages, dont résulte une répartition la plus équitable possible. Le sud quant à lui est divisé entre les terres de l’État, de l’Église et des populations locales, tripartition fruit des conquêtes, les dernières dépendant du gult et étant ainsi la plupart du temps, des locataires d’une terre qu’ils traitent contre un impôt pouvant prendre diverses formes. De là, la majorité des abus de l’aristocratie montante nous vient du sud, inspiré du féodalisme, quand le nord se compose finalement de sortes de corporations familiales. C’est parallèlement dans ce type d’exploitation oppressive que les esclaves sont nombreux, notamment parmi les peuples Oromo et Sidama.
Dans le sud, les seigneurs cherchent en grande partie à grossir leurs impôts locaux sans le moindre intérêt pour le mode de vie des paysans, totalement paralysés par une vision clanique ; quand ils n’emploient pas directement des esclaves, n’ayant plus à se préoccuper de la location de leurs terres. Il ne peut ressortir qu’une extrême fragilité d’un tel système ainsi qu’une continuelle rancoeur de la part de la population rurale. Que cette aristocratie arrogante ne se fasse pas d’illusions, nous ne comptons continuer sur cette voie. Nous ne souhaitons pas faire de l’État le père de tous les paysans, ni fonder d’immenses coopératives, mais impulser par le haut les fondations dans les contrées sudistes d’un autre système évidemment sans esclaves et fondé d’abord sur le rist. Estimant ce modèle plus pérenne et profitable, il nous faut l’étendre dans ce sud si difficile, marginal, qui quoique moins dense et aux ethnies multiples est une part non négligeable du pays.
Or pour ce faire il existe peu de moyens à notre disposition : la force n’étant pas une option, nous déconstruirons la chose petit à petit, en commençant par la baisse et à terme la suppression (sur 3 ans) des gabbars, impôt levé par les chefs de clan sur leurs terres exploitées par d’autres (donc, de notre point de vue, toutes les terres sur lesquelles ils n’ont plus de droit) et en concédant plusieurs terres de l’État sous forme de rist gult, un rist familial protégé tant que la famille exploite correctement la terre, sinon quoi l’État pourra la reprendre ; une forme déjà connue que nous souhaitons populariser. Les gult par ailleurs délaissés seront repris par l’État et concédés de cette même façon, un habile intermédiaire entre la structure agricole passée et celui le plus prometteur, passant par la supervision juste et impartiale de l’État.
Uriel- Gratte-papier
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Re: [V1919] Topic Officiel
[Événements]
Somaliland : en cette fin d’année 1920, les Britanniques mettent fin au conflit qui les oppose à l’État derviche au Somaliland (royaume islamique fondé en 1899 s’opposant aux puissances coloniales). Depuis 1900 les Britanniques mènent des expéditions militaires (avec le soutien italien et parfois éthiopien), jusque là sans succès. La Grande Guerre terminée le Royaume Uni a toutefois décidé de prendre le taureau par les cornes et l’année 1920 a vu le déclenchement d’une grande et puissante offensive britannique, aérienne et terrestre, contre l’État derviche. Cette expédition se conclut par un succès puisqu’en cette fin d’année les derviches sont globalement définitivement vaincus suite à la prise de leur capitale, Taleh, par l’ennemi ce qui marque de fait la fin de l’État derviche.
Arrivée de Juifs en Éthiopie : alors que les communautés juives dans le monde connaissent souvent une situation des plus difficiles (notamment en Europe orientale et en Russie) les mesures éthiopiennes visant à favoriser l’arrivé de Juifs dans le pays et l’appel lancé à destination des Israélites associé rencontre un certain écho. Environ un millier de Juifs (principalement d’Europe Orientale) ont ainsi gagné l’Ethiopie depuis le début de l’année 1919. Compte tenu de l’isolement du pays et de son éloignement ce chiffre est assez important (l’Empire africain se plaçant ainsi derrière les pays d’Europe Occidentale, les Etats Unis et la Palestine). Pour les nouveaux venus ce pays africain à l’histoire millénaire offre en effet un possible havre de paix ou la communauté pourra vivre en paix. Si cette implantation se déroule bien et s’avère concluante de nouveaux émigrants juifs pourraient prendre les routes d’Addis Abeda.
Formation d’un gouvernement estonien en exil : l’ancien Premier Ministre estonien Jaan Tonisson a quitté le Duché Balte Uni (avec la complicité des services français). Celui ci a rapidement pris le chemin de Paris ou il a proclamé la formation d’un gouvernement estonien en exil. Jaan Tonisson a dénoncé la mise en place d’un régime illégitime dominé par les Allemands (les Estoniens sont en effet le peuple balte le plus dominé par les Junkers). « La minorité allemande ne nous achètera pas avec de vagues promesses de réforme agraire, l’Estonie doit être gouvernée par les Estoniens dans le cadre d’un Etat souverain » a clamé le chef du gouvernement qui appelle la communauté internationale a reconnaître son autorité gouvernementale en exil.
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
Republik Österreich
République d’Autriche
Nouveau gouvernement
Le SDAPÖ annonce son nouveau gouvernement. Le parti souhaite diriger le pays et relever l’Autriche de son marasme et pour cela son gouvernement devra être un gouvernement de combat, tout comme le précédent qui a plutôt bien fonctionné sans grande difficultés malgré quelques tensions entre plusieurs ministres (Schumpeter étant en Italie depuis plus de 6 mois, il y a plus de problèmes). C’est pourquoi il y a quelques changement, sans être déterminant auront lieu. Bien sûr, Karl Seitz passe au rôle de chancelier tandis que Hanusch reprend son rôle de ministre des affaires sociales. De plus, personne ne représente d’éventuelles autre partis, il y a donc pas de coalition, cependant Micheal Mayr, principal député de l’opposition annonce : « Notre parti fait partie de l’opposition mais de l’opposition utile, celle qui votera non pas par conscience idéologique mais par pragmatisme. En effet, si nous sommes convaincu qu’une loi sera bonne pour notre pays, alors nous voteront pour. Ainsi, nous voteront, pour la plupart, pour le gouvernement. Et nous demanderont son départ si le gouvernement semble être en désaccord avec les problèmes de notre pays. » Cette phrase peut sembler logique mais le monde de la politique est telle que ce genre de considération est souvent oublié. Mais cette déclaration peut paraitre politique, de mettre le SDAPÖ devant ses responsabilités et de l’accuser indirectement de ne pas faire d’efforts pour une alliance alors que le CS fait tout pour le bien du pays. Qu’importe, le gouvernement a de grands projets pour l’Autriche et c’est en partie en désaccord avec la Droite autrichienne. L’Austro-marxisme n’est pas mort, et le SDAPÖ avec son chancelier Seitz compte le prouver.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [V1919] Topic Officiel
Royaume des Serbes, Croates et Slovènes
l'Annonce du pacte Italo-Yougoslave
L'annonce de l'accord Italo-Yougoslave a beaucoup affecté la vie politique du Pays.
Alors que le Parti des Serbes et le Parti de Domination serbe y voient là une bonne chose, permettant aux serbes d'asseoir leur domination sur le royaume en affaiblissant les croates et slovènes, les dents grincent chez ces derniers.
Ainsi l'UCSA a quitté le gouvernement alors que le roi a convoqué de nouvelles élections.
L'UCSA s'est scindée en deux mouvements distincts:
L'Union des Loyalistes Croates et Slovènes: ULCS, ils soutiennent le régime en place et voient en l'accord trouvé le meilleur moyen de régler le problème des slaves des terres irredentes pacifiquement. Ils pensent que le compromis trouvé permet d'accéder aux besoins des croates piégés en dalmatie, qui pourront rentrer au pays.
Le Parti National Slovène et Croate: PNSC, déçus du gouvernement, ils estiment que la guerre est l'unique solution.
Ainsi voici le résultat des nouvelles élections:
Parti des serbe: 26%
Parti de Domination Serbe: 6%
ULCS: 20%
PNSC : 13%
ICS: 9%
IB: 11%
PDY: 11%
IM: 3
Une coalition du PS, PDS et ULCS permet au roi d'atteindre 52% des voix du parlement et de fonder un gouvernement solide. Le PDY s'est dit ouvert à coopérer avec le gouvernement, ces derniers aimant beaucoup Pierre 1er qui est souvent considéré comme un grand Démocrate pour sa constitution.
D'après des enquêtes, le PS et ULCS seraient les partis majoritaires dans l'armée ( près de 63% des voix réunis, suivis par le PDY avec 23%).
Les partis belliqueux n'ont que peu de succès auprès des vétérans et soldats dont la pensée évolue vers une armée forte pour protéger le pays des agressions, mais n'ayant pas un objectif expansionniste et belliqueux.
Retour de l'expédition
Le corps expéditionnaires Yougoslave est de retour au pays.
Les soldats ayant vaillamment lutés contre la menace rouge servent la propagande du roi et du régent.
Le retour des Habsbourg ?
Boris Nikolic, le nouveau premier ministre du Royaume de Yougoslavie et membre du Parti des Serbes a tenu des propos forts dans son discours d'investiture à l'encontre de la Hongrie, propos auxquels s'est tout de suite enjoint le régent Alexandre au nom du roi Pierre 1er.
"[...] Car les Habsbourg sont des criminels, de sanglants maîtres qui nous ont réduit en esclavage des années !
Mais soyez assurés mes chers frères et soeurs, qu'avec notre bon roi Pierre 1er et le régent Alexandre, JAMAIS nous ne laisserons les Habsbourg menacer à nouveau la paix dans les Balkans! Ces criminels paieront pour leurs crimes odieux."
Ainsi Belgrade exprime publiquement qu'une restauration Habsbourg ne saurait être sans conséquences.
Traque des terroristes croates et slovènes
Six terroristes croates et quatre slovènes, ayant commis des attentats en Dalmatie contre des Italiens et avaient passés la frontière pour se réfugier en Yougoslavie on été arrêtés et livrés aux autorités Italiennes.
D'après une enquête, l'ancienne UCSA les aurait financés, mais impossible de dire si le PNSC continue. En tout cas l'ULCS lui a fait patte blanche de ces actions qui ne représentent que les volontés d'une minorité.
Sancho- Haut Commissaire
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Re: [V1919] Topic Officiel
Nous sommes actuellement en jour de pause. Aucun jeu n'est autorisé, sauf les mises à jour des fiches-nations qui sont obligatoires, ainsi que de poster le doublon de tous vos posts sur le TO. Profitez-en pour le faire car c'est capital pour la modération ! En cas d'oubli de la part des joueurs, des sanctions seront prises.
Gosseau- Secrétaire général des Nations Unies
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Re: [V1919] Topic Officiel
[États Unis]
Aux Etats Unis l’année 1920 s’achève sur l’échec du président Marshall et de son Administration qui a eu du mal à s’imposer, notamment dans la négociation du Traité de Versailles (même si les Etats Unis ont ensuite redressé la barre, notamment du fait de leur poids économique et des créances qu’ils détiennent vis à vis des Européens). Quoi qu’il en soit, la volonté du président de marcher dans les pas de Wilson (création de la SDN, défense du droit des peuples à disposer d’eux même etc) n’impacte pas vraiment l’opinion, n’est pas Wilson qui veut. Le Sénat, dominé par les Républicains, a quand à lui posé ses conditions pour ratifier le traité négocié à Versailles (notamment au niveau des contraintes associées à la SDN). Suite aux échecs diplomatique de 1919, le président a refusé cette solution qui aurait conduit à une ratification d’un traité amoindri. Aucun accord n’ayant pu être trouvé le Sénat a donc rejeté la ratification, l’espoir du président étant de réussir toute de même à se faire réélire et de faire ratifier tout le traité avec le soutien de l’opinion publique.
Les plans du président ne se sont toutefois pas déroulé comme prévu. Le pays est en effet en crise (forte inflation, agitation ouvrière, peur des « rouges » avec la création de deux partis communistes, racisme, 2 millions de chômeurs etc). Dans ce climat, le peuple américain reste relativement hostile à l’interventionnisme prôné par les Démocrates et aspire avant tout à un retour à la normale. Dans ce cadre le discours républicain rencontre un important écho puisque celui ci prône justement le « retour à la normale » et « l’Amérique d’abord ». Les déboires du président sortant dans les négociations de paix font que celui ci doit de plus faire face à l’hostilité de certains interventionnistes. Les élections de novembre 1920 sont donc assez logiquement un échec pour le président Marshall (qui a même eu de la peine à imposer sa candidature). En mars 1921 c’est un républicain (Warren Harding, élu avec 60 % des voix environ et une forte majorité au collège électoral) qui s’installer à la Maison Blanche avec la ferme intention de rouvrir une ère d’isolationnisme politique.
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
Beaucoup de guerres ayant été réglées, le Politburo a décrété le passage à des années d’une durée d’une semaine IRL jusqu’à nouvel ordre, ce qui nous donne le calendrier suivant :
Jour de pause de fin d’année 1920 : 12 mai
Janvier/février 1921 : 13 mai
Mars/avril 1921 : 14 mai
Mai/juin 1921 : 15 mai
Juillet/août 1921 : 16 mai
Septembre/octobre 1921 : 17 mai
Novembre/décembre 1921 : 18 mai
Jour de pause de fin d’année 1921 : 19 mai
Début de l’année 1922 : 20 mai
Jour de pause de fin de l’année 1922 : 26 mai
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
[Royaume-Uni]
Au Royaume-Uni, le gouvernement Churchill tient bon malgré des difficultés. Le Premier Ministre remet en effet plus ou moins de l’ordre dans la politique étrangère britannique qui s’était dispersée dans un interventionnisme à tout va lors des dernières années du Cabinet de Lloyd Georges. Le Royaume-Uni est donc désormais désengagé des théâtres anatoliens, russes (suite à la signature d’accords secrets avec les Bolcheviques, associés assez cyniquement à des ventes d’armes aux Blancs) et baltes (même si le gouvernement de Sa Majesté soutient encore diplomatiquement le Duché). Hors des déploiements extérieurs normaux, l’Angleterre entretient encore des troupes en Arménie, en Azerbaïdjan et en Géorgie. L’armée britannique soutient notamment les forces arméniennes dans le conflit qui les oppose aux azeris.
Au niveau intérieur, la situation britannique reste fragile. Un certain malaise social (agitation ouvrière) touche en effet le pays qui est également frappé par la crise de l’après guerre. L’inflation est élevée et les industries traditionnelles britanniques vieillissantes ne sont plus des plus compétitives. La livre sterling perd ainsi de plus en plus de sa valeur face au dollar et seule une politique budgétaire et monétaire très rigoureuse permettra un rétablissement de la monnaie britannique et le rétablissement de sa convertibilité en or.
L’Empire a également du faire des concessions dans certaines régions. L’Egypte a ainsi accédée à une bien plus grande autonomie, dans un régime proche de celui des dominions (même si le protectorat britannique reste ferme et la grogne anti anglaise très présente). En Irlande, le gouvernement a procédé à une partition de l’île avec la création de l’Eire (Irlande du Sud, le Nord majoritairement protestant étant rattaché à l’Angleterre), largement autonome dans le cadre de l’Empire. Cette solution a été approuvée par la plupart des chefs du Sinn Fein et de l’IRA mais reste contesté par certains nationaliste irlandais (De Valera) qui restent attachés à l’indépendance totale mais et n’ont pas renoncés à leur objectif…
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
Magyar Királyság
Après avoir reçu les résultats des élections, une coalition d'union nationale entre le PPPP et PUCN le régent Horthy a choisit d'émettre un compromis avec les deux partis.
En effet l'un aimait horthy et voulait un autre roi que le prétendant Habsbourgeois, l'autre ne l'appréciait guère et voulait également un roi notamment issus de la noblesse locale. A fin de faire plaisir à tout le monde, étant globalement dans la même optique le prince Paul V Esterházy chef de la grande famille noble Esterházy depuis peu et âgé de dix-neuf ans, possédant l'une des plus grande fortune de Hongrie ainsi que vaste domaine et de châteaux à travers l’Europe a été choisit comme Roi, de ce fait les deux partis sont finalement plus enclin à collaborer et la vision du PUCN est désormais favorable à Horthy qui perd désormais son pouvoir politique. Le nouveau roi très jeune mais vif d'esprit avait adhéré au discours du grand Joseph Auguste, de ce fait ce dernier a été fait Maréchal, bénéficiant d'un savoir militaire à ne pas négliger ainsi que pour son service pour la Hongrie. Le Roi a des compétences relativement intéressant en effet, son enseignement lui a permis d'être capable de parler six langue à savoir l'allemand, l'anglais, le français, l'italien, le finnois et le russe. Intelligent et lucide ce dernier adhère parfaitement aux idées du PUCN, le domaine familiale ayant été complètement réduit suite à la perte des territoires de la Grande Hongrie, il a choisit de mener une politique punitive à l'encontre des instigateurs ayant opéré pour le morcellement de la Hongrie et de son humiliation. Suite à cela la coalition est dissoute et les deux partis à savoir le PPPP et le PUCN ne formeront plus qu'un qui se nommera Parti Chrétien de la Résurrection Hongroise (PCRH). De ce fait et rapidement les premiers actes de l'exécutif se mirent en marche, les députés juifs seront remplacé et expulsé. Les richesses des grandes familles juives seront immédiatement saisies et les entreprises nationalisées. Le problème agraire doit cependant être consacré à un questionnement relativement bien établis, de ce fait pour le bien de la Hongrie et de son peuple a été voté par la loi XXXVI l'expropriation 2,844 millions d'hectares sur les 16,6 millions existants et seront redistribué aux loyaux citoyens bien évidemment ils seront sollicité et sélectionné en fonction de leurs opinions et seront au nombre de 1,233 million de bénéficiaires. La chasse aux bolchéviques est également lancée et une milice populaire appelée Milices de Saint Georges a vu le jour peu de temps après les dernières actions gouvernementales. Le premier ministre sera remplacé par Pál Teleki qui aura été nommé par le Roi lui même après une lettre de démissionforcée de l’incompétent qui était là avant lui. Le gouvernement lancera un appel aux hongrois vivant dans les autres pays et notamment ceux qui ont utilisé le prétexte bolchévique pour massacrer et voler les terres magyaro-germaniques de Hongrie à savoir la roumanie, le royaume de serbie et ceux qui ont été victime de la perfide idée judéobolchévique à savoir la tchécoslovaquie. Les langues officielles de la nation seront l'allemand et le hongrois, la religion officielle sera le christianisme ( à fin de ne pas différencier catholiques et protestants ).
L'armée, cette dernière étant réduite le gouvernement pense qu'il faut alors se tourner vers son équipement bien qu'également restreint à de meilleurs fusil, la production de fusils Mannlicher M1895 qui seront modifié à fin d'être amélioré, notamment en apportant une refonte de la munition qui passera en 7.92×57mm.
Message pour Berlin
La Hongrie salut son amie allemande,
Budapest souhaite entretenir une relation plus prononcée et souhaiterait que l'Allemagne accompagne la Hongrie avec une aide pour les questions agraires qui touchent actuellement le pays, à fin d'industrialiser et d'obtenir une rentabilité au minimum du convenable.
Message pour Rome et Madrid
Le Roi envoi ses salutations,
La Hongrie souhaiterait établir des relations durables et sur le long terme, une entrevue à Budapest pourrait être organisé.
Après avoir reçu les résultats des élections, une coalition d'union nationale entre le PPPP et PUCN le régent Horthy a choisit d'émettre un compromis avec les deux partis.
En effet l'un aimait horthy et voulait un autre roi que le prétendant Habsbourgeois, l'autre ne l'appréciait guère et voulait également un roi notamment issus de la noblesse locale. A fin de faire plaisir à tout le monde, étant globalement dans la même optique le prince Paul V Esterházy chef de la grande famille noble Esterházy depuis peu et âgé de dix-neuf ans, possédant l'une des plus grande fortune de Hongrie ainsi que vaste domaine et de châteaux à travers l’Europe a été choisit comme Roi, de ce fait les deux partis sont finalement plus enclin à collaborer et la vision du PUCN est désormais favorable à Horthy qui perd désormais son pouvoir politique. Le nouveau roi très jeune mais vif d'esprit avait adhéré au discours du grand Joseph Auguste, de ce fait ce dernier a été fait Maréchal, bénéficiant d'un savoir militaire à ne pas négliger ainsi que pour son service pour la Hongrie. Le Roi a des compétences relativement intéressant en effet, son enseignement lui a permis d'être capable de parler six langue à savoir l'allemand, l'anglais, le français, l'italien, le finnois et le russe. Intelligent et lucide ce dernier adhère parfaitement aux idées du PUCN, le domaine familiale ayant été complètement réduit suite à la perte des territoires de la Grande Hongrie, il a choisit de mener une politique punitive à l'encontre des instigateurs ayant opéré pour le morcellement de la Hongrie et de son humiliation. Suite à cela la coalition est dissoute et les deux partis à savoir le PPPP et le PUCN ne formeront plus qu'un qui se nommera Parti Chrétien de la Résurrection Hongroise (PCRH). De ce fait et rapidement les premiers actes de l'exécutif se mirent en marche, les députés juifs seront remplacé et expulsé. Les richesses des grandes familles juives seront immédiatement saisies et les entreprises nationalisées. Le problème agraire doit cependant être consacré à un questionnement relativement bien établis, de ce fait pour le bien de la Hongrie et de son peuple a été voté par la loi XXXVI l'expropriation 2,844 millions d'hectares sur les 16,6 millions existants et seront redistribué aux loyaux citoyens bien évidemment ils seront sollicité et sélectionné en fonction de leurs opinions et seront au nombre de 1,233 million de bénéficiaires. La chasse aux bolchéviques est également lancée et une milice populaire appelée Milices de Saint Georges a vu le jour peu de temps après les dernières actions gouvernementales. Le premier ministre sera remplacé par Pál Teleki qui aura été nommé par le Roi lui même après une lettre de démission
L'armée, cette dernière étant réduite le gouvernement pense qu'il faut alors se tourner vers son équipement bien qu'également restreint à de meilleurs fusil, la production de fusils Mannlicher M1895 qui seront modifié à fin d'être amélioré, notamment en apportant une refonte de la munition qui passera en 7.92×57mm.
Message pour Berlin
La Hongrie salut son amie allemande,
Budapest souhaite entretenir une relation plus prononcée et souhaiterait que l'Allemagne accompagne la Hongrie avec une aide pour les questions agraires qui touchent actuellement le pays, à fin d'industrialiser et d'obtenir une rentabilité au minimum du convenable.
Message pour Rome et Madrid
Le Roi envoi ses salutations,
La Hongrie souhaiterait établir des relations durables et sur le long terme, une entrevue à Budapest pourrait être organisé.
Invité- Invité
Re: [V1919] Topic Officiel
République Socialiste Fédérative Soviétique de RussieArmée Rouge :
Alors que l’année 1921 s’ouvre, l’entretien de l’Armée Rouge des Ouvriers et Paysans devient un fardeau énorme. Forte d’environ 2 millions d’hommes, celle ci a connu de lourdes pertes et la valeur des conscrits reste encore très discutable. En ce début d’année, le noyau combattant qui va réellement pouvoir mener efficacement les combats de l’an à venir ne s’élève qu’à environ 600,000 hommes. Maintenant que la guerre contre la Pologne est terminée, la majeure partie des forces de conscrits vont être envoyées dans les zones tenues par les bolcheviques afin d’y servir de troupes de réserves (formation, opérations de police…) avant la démobilisation que l’on commence à envisager.
A cette fin, les meilleures forces des différentes armées (bénéficiant du matériel etc) vont être rassemblées afin de former des divisions plus légères qui seront envoyées sur le front contre les Blancs et contre les possible grandes insurrections paysannes. Cette réduction du nombre d’hommes déployées sur les lignes de front devrait permettre d’alléger un peu le coût de l’Armée alors que la situation économique, dans les campagnes notamment, et de plus en plus tendu. Au sommet du pouvoir, à mot couvert, l’on évoque un risque de famine. Le moindre problème pourrait en effet tourner à la catastrophe alimentaire (de nombreux paysans ayant réduit leur production du fait des réquisitions ou afin d’y échapper).
Les forces de l’Armée Rouge en réserve pourront être assigné au travail pour soutenir la production, beaucoup seront envoyés dans les champs au cours de l’année à venir si la situation le permet afin de pallier au manque de main d’œuvre qui se fait par endroit sentir du fait des enrôlements. Malgré tout l'année 1921 sera sans doute très dur pour la Russie...
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
[Empire Ottoman]
L'année 1920 a marquée un tournant pour l'Empire Ottoman. Un traité de Sèvres très dur a en effet été imposé à la Porte qui se trouve désormais en voie de quasi colonisation. L'ouest est en phase de tomber sous le joug des Grecs tandis que Constantinople est sous le contrôle des Britanniques. La résistance turque. L'avis de l'Empire n'a pas été sollicité dans les négociations de Sèvres et celui ci a même proclamé la destitution du sultan (qui a pourtant collaboré avec les occupants). Normalement un plébiscite devra être organisé pour réorganiser l'Empire Ottoman dont le trône est pour l'instant vacant.
Pourtant, la majeure partie du centre de l'Anatolie est sous contrôle de miliciens turcs (pour la plupart issus des armées califales de la Grande Guerre et dont le dernier fait d'arme est la prise de Bursa ainsi que la résistance contre les forces grecques). A leur tête un homme s'impose : Mustafa Kemal. Au cours de l'année 1920 celui ci s'est en effet imposé à la tête du mouvement de résistance qui souhaite libérer l'Anatolie des forces étrangères. Ce mouvement est basé à Ankara ou une Grande Assemblée Nationale de Turquie (présidée par le général Kemal) s'est déclarée parlement légal de l'Empire Ottoman. Les clauses du traité de Sèvres ont été rejetées par ce dernier.
Cette résistance d'Ankara, très républicaine, rallie dorénavant la quasi totalité de la résistance turque puisque le gouvernement du Sultan a été dissous par les occupants et que le pays rejette très massivement le traité de Sèvres. De toute l'Anatolie des Turcs convergent vers les régions tenues par la résistance ou le gouvernement de salut public formé par Kemal entend bien préparer la contre offensive lors de l'année qui débute...
Rappel des clauses du traité de Sèvres : http://www.chacunsonpays.com/t8091-compte-rendu-de-grande-conference-les-traites-de-neuilly-et-sevres
Jhe- Administrateur
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Re: [V1919] Topic Officiel
Affaires Intérieures :Retour à la paix et fin des pleins pouvoirs donnés au Président de la République par l'Assemblée Nationale :
La guerre contre la Russie bolchévique s'est soldée par la victoire des armées polonaises et la signature d'un accord de paix.
Des drapeaux de divisions bolchéviques capturés par les troupes polonaises.
Le Président Piłsudski s'est présenté comme prévu devant l'Assemblée du Sejm et a solennellement remercié celui-ci de sa confiance. En décembre 1920, la période de plein-pouvoirs s'est arrêtée et le pays retourne à la normale. Les réfugiés venus de Pologne orientale via voie ferroviaire à travers le plan d'action du gouvernement sont actuellement encouragés à retourner vers leurs foyers, et des mesures seront prises pour la reconstruction des zones touchées par les combats.Occupation militaire des territoires conquis :
Les territoires obtenus par le traité de paix de la part de la Russie verront la présence de la VIème Armée particulièrement tenace. Il est en effet d'enjeu national de pacifier la zone de toute présence pro-russe ou bolchévique afin de permettre la sécurisation de ces nouvelles terres polonaises.
La VIème Armée, appuyée par la Ière Armée, maintiendront une présence martiale dans les zones frontalières jusqu'à nouvel ordre.
Affaires Etrangères :Communiqué à l'AVB :
La Pologne refuse la présence de diplomates de votre organisation paramilitaire sur le sol de la République. Nous n'engagerons aucune négociation avec une nation que nous jugeons illégitime, illégale et honteuse.
Re: [V1919] Topic Officiel
EMPIRE D’ÉTHIOPIE
ኢትዮጵያ ታበፅዕ እደዊሃ ሃበ አግዚአብሐር
L’Éthiopie tend ses mains vers le Seigneur.
L’Éthiopie tend ses mains vers le Seigneur.
Déclaration de sa Majesté impériale d’Éthiopie et élue de Dieu Zewditou I, Reine des Rois d'Abyssinie, rapportée par la bouche de l’Impératrice :
La fin d’année a apporté son traineau d’événements fortuits dont la tournure, à qui sait voir mieux que piailler, est on ne peut plus profitable à l’Empire : les Derviches, que nous avons aidés à pourchasser, ne sont définitivement plus une menace ; les Juifs quant à eux ouvrent leur coeur à l’Éthiopie qui s’avère une mère bienveillante, loin des tumultes levantins. De ces deux nouvelles je me réjouis personnellement quand certains, d’un côté, craignent pour leurs intérêts dans l’Afar ; de l’autre clament que l’identité éthiopienne est souillée un peu plus. Je suis Impératrice, Seigneur, et je ne pleurs pas, car ainsi plus que jamais l’Éthiopie contemple une paix méritée à ses frontières et fait avec une minorité qu’elle ne peut ignorer et constitue indubitablement sa richesse. Pour autant il ne sera pas passé inaperçu que le nord musulman du pays, vassal contrôlé par le vil Data Yayyo, est en proie à quelques velléités autonomistes.
Le Régent et le Ministre de la Défense ont établi, suivant un décret impérial, un « état de garde » donnant le droit en cas de menace jugée sévère par le gouvernement de retirer leurs droits aux États vassaux et d’y intervenir militairement. Un ultimatum a été envoyé au sultan Yayyo Mohamed Hanfaré, en vue de percevoir d’une part les sommes dues au trésor éthiopien et, d’autre part, que soit rendu aux autorités impériales le déposé Lidj Iyasu, autrefois Iyasu V, qui sera jugé et recevra les traitements coutumiers dus à son rang, malgré ses péchés nombreux et ses crimes. Nous demandons aussi que les Chrétiens y soient traités correctement, des rumeurs courant de conversions forcées rappelant les anciens temps — donnant envie parfois de répondre avec la même impudence médiévale. L’Armée du Nord a été mobilisée ; nous précisons cependant, l’affirmons publiquement et incessamment, que nous ne souhaitons pas annexer unilatéralement l’Aussa, seulement que le royaume obéisse aux devoirs qui sont les siens envers Addis Abeba, et sommes prêts pour y veiller à nous doter des moyens nécessaires.
[Secrètement, plusieurs membres de la famille Aydahisso, lesquels tombent comme des mouches depuis l’arrivée au pouvoir de Yayyo, ont été contactés qui pourraient devenir en cas d’intervention et de collaboration, ou seulement de coup d’État interne, les futurs chefs de l’entité, notamment Hanfare Aydahis.]
Uriel- Gratte-papier
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Re: [V1919] Topic Officiel
♚ Reino de España - Royaume d'Espagne ♚
♚ Le gouvernement à genou ♚
Manuel García-Prieto, Président du conseil des ministres de Sa Majesté
Alors que le royaume semblait avoir de nouveau une stabilité politique en la personne de Eduardo Dato qui a fait des réformes importantes au niveau électorale, le gouvernement est, comme les gouvernements précédents, en fort danger alors que le Président du conseil pers sa majorité aux Cortes. En effet, les nouvelles dispositions prises par Madrid afin de combattre la corruption endémique au pays et la perte de l’immunité parlementaire pour les crimes de corruption à emporter 5 députés conservateurs dans les dernières semaines. De plus, la commission royale d’enquête sur le financement illégal au sein de la force public et des armées à mis à genou près de 16 députés, tous les partis confondus. Il s’agit là d’une vrai saigner dans l’establishment politique espagnol laissant un pays politiquement dilapider et une Espagne sans établissement législatif.
La totalité des partis sont en tort, la corruption frôlant même parfois les plus haute instance du pays : la famille royale qui est officiellement blâmer par les commissaires, bien que le roi et la reine ne soit pas directement cité. Ce sont les cousins Bourbons du roi sont pour la plupart blâmer, alors que le palais à déjà annoncer une disgrâce de tous leurs droits et titres de noblesses s’il advenait à être coupable d’un crime.
Finalement, le roi n’a eu d’autre choix que de dissoudre les deux chambres des Cortes Generales et d’appeler de nouveau les espagnols aux urnes. Toutefois, les nouvelles prérogatives électorales auront lieu, et le vote des femmes devrai faire la différence face aux élections générales de 1919. Les résultats sont sortis plutôt dans la journée :
La totalité des partis sont en tort, la corruption frôlant même parfois les plus haute instance du pays : la famille royale qui est officiellement blâmer par les commissaires, bien que le roi et la reine ne soit pas directement cité. Ce sont les cousins Bourbons du roi sont pour la plupart blâmer, alors que le palais à déjà annoncer une disgrâce de tous leurs droits et titres de noblesses s’il advenait à être coupable d’un crime.
Finalement, le roi n’a eu d’autre choix que de dissoudre les deux chambres des Cortes Generales et d’appeler de nouveau les espagnols aux urnes. Toutefois, les nouvelles prérogatives électorales auront lieu, et le vote des femmes devrai faire la différence face aux élections générales de 1919. Les résultats sont sortis plutôt dans la journée :
Manuel García-Prieto (Parti Libéral – Démocrates – Centre-gauche) : 180 sièges
Eduardo Dato (Parti Conservateur – Droite) : 134 sièges
Antonio Maura (Parti Mauricien – Droite militariste) : 36 sièges
Si l’on analyse ces résultats, les conservateurs perdent le pouvoir au profit des libéraux. Les partis socialistes et communistes étant illégales en Espagne à l’époque, les nouvelles règles électorales au Frist past the post créa une véritable course entre les trois partis principaux et met hors-jeu les plus petits partis qui avait alors droit à quelques sièges et le financement public qui venait avec ces quelques sièges. Le roi invite donc Prieto à former un nouveau gouvernement. Celui-ci s’est démarqué par rapport à ses compères puisqu’il suggère de mettre un terme à l’orthodoxie budgétaire et de commencer à fortement investir dans l’économie du pays afin de lutter contre le chômage.
♚ Diplomatie ♚
L’administration Prieto est bien entendu ouverte à une plus grande coopération entre le Royaume de Hongrie et l’Espagne. Nous tenons aussi à affirmer notre soutien le plus entier au gouvernement démocratiquement élu de Hongrie et tenons à participer au bon rétablissement de votre jais grand et glorieux royaume, défenseur de la chrétienté contre les hordes turco-ottoman.
L'Espagne fait appel au gouvernement allemand afin de rétablir des liens diplomatique normalisé, ainsi que de rétablir les liens commerciaux importants entre nos deux pays.
L'Espagne fait appel au gouvernement allemand afin de rétablir des liens diplomatique normalisé, ainsi que de rétablir les liens commerciaux importants entre nos deux pays.
Plus Ultra
GeorgeV- Grand Consul
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