Guerre Germano-Polonaise

TOUR 1

Nature de l'action : La marche vers la guerre ne s'est pas passé comme Göring l'a voulu. Tempi, il devra se fighter avec toute l'entente et pas grignoter morceaux par morceaux l'Europe centrale. En utilisant un prétexte d'une attaque polonaise à Dantzig, (c'est un false flag), Goebbels joue là carte de l'Allemagne agressé et encerclé par l'entente. Allemagne qui soit disant est là pour protéger les minorités allemandes en Pologne et pas plus. Le traité de Versailles est répudié, et l'Allemagne se lance dans une guerre dans une situation qu'elle ne contrôle pas. Le false flag aura lieu dans la soirée du 30 Avril.


Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
1.200.000 soldats d’infanterie (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie)
60.000 soldats de la force motorisé (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, camions)
20.000 soldats de la force blindé (480 PZ-17, mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, automitrailleuse, camions)

Forces maritimes :
8 BB, 6C, 12 DD , 12 MTB

Forces aériennes :
260 Arado Ar 64
300 Heinkel HD 37

Détails de l'action :
Action 1

L'action 1 consiste a prendre par surprise les troupes françaises occupant la Rhénanie. En effet, par le départ échelonné, ils n'occupent que le sud de cette région (bleu). Le reste est cependant démilitarisé (rayure verts). Le font de l'ouest est donc une course, pour pouvoir rejoindre le front sans que les français ne puissent eux bouger, via des opérations de sabotage de chemin de fer orchestrés depuis Berlin, et l'effet de surprise- vu que l'Allemagne n'a même pas déclaré la guerre. Tandis que les divisions d’infanterie allemandes ont la priorité sur le trafic ferroviaire, avec des trains tous simplement réquisitionnés. Le déplacement se fera de nuit, entre le 30 Avril et le 1er Mai et continuera tout le long de la 1ere semaine de mai. 600.000 soldats doivent être déplacé dans ce laps de temps record (flèches oranges) .300 Heinkel HD 37  sont assignés à ce front, pour maintenir la maitrise des airs et strafer les aérodromes présent en Rhénanie- de moins la première journée, avant que la France mobilise.

Plus c'est bas mieux c'est. jet de dés :37
Résultat de l’action: Réussite conséquente.

Le déplacement, alors que les français étaient tranquilles à s’échanger des muguets en France, et en train de paniquer suite a des explosions surprises en Rhénanie, s'est globalement bien passé. Par contre, choux blanc pour les attaques opportunistes sur les aérodromes français. Aucune perte.

Pertes de l’attaquant: /
Pertes du défenseur: Réseaux ferroviaire détruit (en Allemagne occupé)

Action 2

La Tchécoslovaquie allonge la ligne de front, mais pour l'instant les forteresses sudètes sont contrôlés, bon gré malgré, par les tchécoslovaques. Les 200.000 soldats doivent donc attendre et garder la ligne de front (violet).

Action défensive, pas de jet.

Les troupes s'installent et gardent la ligne de front.

Action 3

L'offensive en Pologne, sous prétexte du false flag d'une attaque sur Dantzig, se fait sans décaler la guerre- vu que dans le récit fantasmagorique de l'Allemagne, c'est la Pologne qui a déclaré la guerre. L'objectif est simple, prendre par surprise les 300.000 soldats polonais en train de fêter leur victoire écrasante sur les volkedeutschers, et les repousser jusqu’aux frontières de 1914, peu ou prou ou se trouvent tous les germanophones de Pologne.
400.000 soldats d’infanterie, 60.000 soldats motorisés, 20.000 soldats blindés sont affecté pour cette offensive, et 260 Arado Ar 64 sont utilisé pour maitriser les airs, et strafer les aérodromes. Les blindés seront utilisé dans pour percer la ligne de front si besoin- l'OKW espère que la perfidie suffira. L’offensive aura lieu a 6h00, le 1er mai.

Chance de succès : 65% ; jet de dés :9
Résultat de l’action: Victoire écrasante

Réveil amer pour l'armée polonaise ivre de sa victoire. L'attaque surprise de l'Allemagne est une réussite écrasante. Les 300.00 soldats polonais ont été violemment repoussés, ceux de Silésie (100.000) ont eux étés encerclés dans la ville de Breslau/Wroclaw, et après une trahison de la population locale, accueillant l'armée allemande en libérateur, une majeur partie d'entre eux finissent dans un train direction un camps de prisonnier en Allemagne. En Prusse, comme à Posen/Poznan et dans le corridor, ça a été la débandade et le turbo repli vers Varsovie et Cracovie. Pas sur que les généraux et officiers, hier auréolés, survireront à la commission disciplinaire...
En tout cas, les frontières de 1914 sont restaurés pour l'Allemagne, et en plus il y a pas trop de dommages collatéraux à rapporter. La Tchécoslovaquie a sournoisement saisi dans la débandade des territoires contestés entre elle et la Pologne

Pertes de l’attaquant: 10.000 morts, 30.000 blessés
Pertes du défenseur: 80.000 prisonniers, 30.000 morts, 60.000 blessés. 130.000 soldats aptes en retraite. Officiers en sursis.
Pertes civiles: 25.000 morts

Coalition de l'Entente - TOUR 1

TOUR 1 - Contre-offensive en Rhénanie

Nature de l'action : Réoccupation de la Ruhr par l’Armée française, avancée jusqu’à Duisbourg avec le concours de l’armée belge. Préparation des défenses du Rhin alsacien.


Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
- 24 divisions soit environ 600 000 hommes pour l’offensive de la Ruhr. Soutien de l'armée belge (40 000 hommes)
- 18 divisions pour la différence du secteur Saint-Louis - Mayence le long du Rhin, soit 450 000 hommes

Forces maritimes :
- /

Forces aériennes :
- Escadrilles de reconnaissance mobilisées tout le long du front
- Escadrilles de chasseurs basés en Alsace et dans la Sarre pour protéger la reconnaissance aérienne française

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :
Action 1 :

En bleu le plus clair sur la carte : les objectifs de guerre

L'armée française devra avancer rapidement sur la rive occidentale du Rhin jusqu'au centre industriel de Duisbourg, et détruire tous les ponts enjambant le Rhin sur sa route. Les villes allemandes saisies doivent être occupées par l'armée française qui y fera régner l'ordre. Plusieurs divisions belges, regroupant au total 40 000 soldats, assisteront l'armée française dans cette contre-offensive. La réoccupation de la Ruhr risque fort d'être très impopulaire chez le peuple allemand, et une forte résistance est potentiellement attendue. L'armée française a toute largesse pour y répondre par la force.


Action 2 :

Mise en place d'une défense le long du Rhin (ligne rouge) entre Mayence et Saint-Louis.

Le long du Rhin dans la Ruhr actuellement occupée par la France et l'Alsace, l'armée allemande ne doit pas pouvoir traverser, et ce sous aucun prétexte. Les ponts ne doivent être détruits que dans l'absolue nécessité, et sont pour l'instant conservés. Après l'évacuation de la population civile ordonnée par le gouvernement de Castelnau, les troupes françaises doivent s'assurer de la sécurisation de la frontière, mais également de la préparation d'une base d'appui logistique pour l'offensive vers le Sud de l'Allemagne.

Les villes (du Nord au Sud) de Mayence, Mannheim, Spire, Lauterbourg, Strasbourg, Colmar, Mulhouse et Saint-Louis doivent former des bases d'appui logistiques majeurs notamment en matière ferroviaire. Leur défense est particulièrement renforcée.

TOUR 1 - Blocus naval

Nature de l'action : L'Atlantic Fleet se déploie pour imposer un blocus naval à l'Allemagne.


Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
- /

Forces maritimes :
- Atlantic Fleet (10 battleships, 2 battlecruisers, 3 porte-avions, 6 croiseurs lourds, 12 croiseurs légers, 46 destroyers, 25 sous-marins, navires auxiliaires, etc).

Forces aériennes :
- Escadrilles de l'Atlantic Fleet (126 avions de chasse / bombardiers)

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :
Action 1 :

Les traits rouges dégueulasses : placement de la Royal Navy

La Royal Navy a reçu pour ordre de se déployer au large des côtes allemande (hors de portée des batteries côtières), notamment aux alentours de Kiel et de Wilhelmshaven, les deux seules bases maritimes militaires allemandes. L'objectif est d'imposer un blocus naval total à l'Allemagne, en interdisant à tout navire civil ou militaire d'en rentrer ou d'en sortir.

Les escadrilles aéronavales ont pour ordre de mener régulièrement des patrouilles pour prévenir et intercepter toute intrusion aérienne allemande.

Action 2 :

Un détachement de 300 Royal Marines doit débarquer et s'emparer de l'archipel d'Heligoland, peu/pas défendu. En cas de succès, un aérodrome de fortune sera construit sur l'île de Düne, inhabitée.

Modération de guerre
Tour 1

Contre-offensive française en Rhénanie

Action n°1 :

Probabilités de succès : 65% : jet de dés : 76 [DEFAITE LEGERE]

La contre-offensive française, malgré la préparation des troupes, a été un échec. Après une première percée, les soldats allemands sont en effet parvenus à repousser l'armée française, déjouant ses tentatives d'encerclements et la renvoyant au niveau de la Rhénanie encore occupée. Les troupes belges, quant à elles, n'ont pas vraiment eu le temps de participer aux combats, et restent à la frontière.

Pertes françaises : 5'000 soldats
Pertes allemandes : 3'000 soldats

Action n°2 :

Pas de jet nécessaire.

Les défenses sont renforcées, les populations évacuées.

Blocus naval

Action n°1 :

Pas de jet nécessaire.

Le blocus naval britannique est imposé avec succès le long des côtes allemandes et toute sortie navale allemande devra se faire par un affrontement direct avec la Royal Navy.

Action n°2 :

Pas de jet nécessaire.

L'archipel de Heligoland est pris par les Royal Marines, qui en assurent désormais le contrôle.

Jet de dés spécial sur l'autorisation du Danemark à traverser ses eaux pour le blocus autour de Kiel

Probabilités de succès : 40 ; jet de dés : 9 [SUCCES TOTAL]

Le Danemark a autorisé le Royaume-Uni à traverser ses eaux pour permettre à la Royal Navy de bloquer la flotte allemande en mer Baltique et d'y imposer son blocus.

TOUR 2 -Allemagne

Nature de l'action :3ème mois de guerre. L'Allemagne est encerclée, avec des déclarations de guerre de la Belgique et la Tchécoslovaquie. Plus encore, le Danemark a cédé aux demandes britanniques et une flotte de la royal navy est stationnée dans la baie de Kiel et bloque la marine allemande, et surtout le commerce de la Baltique- en tous cas sur sa partie ouest, Stettin et surtout Dantzig (fraîchement capturée) pouvant servir de substitut pour le commerce avec l'URSS et les scandinaves. Mais l’Allemagne gagne sur tous les fronts- en Rhénanie la France a été repoussé, en Pologne il n'y a pas eu d’offensives. Il va falloir contre attaquer - le Danemark, la Pologne, et la France.

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
1.800.000 soldats d’infanterie (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie) (+700.000 mobilisés, -100.000 morts, blessé, remplacés)
60.000 soldats de la force motorisé (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, camions)
20.000 soldats de la force blindé (480 PZ-17, mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, automitrailleuse, camions)
Forces maritimes :
8 BB, 6C, 12 DD , 12 MTB (blocus, mange leur colle)

Forces aériennes :
320 Arado Ar 64
460 Heinkel HD 37

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :

Front français

L'Allemagne est en sous nombre, comparé au million de soldats français. Il faut donc ruser, et commettre un crime de guerre.

Action 1

Ce crime de guerre, c'est la vandalisation de Strasbourg. L'évacuation de la population, suspecté par le Reich, fait que cette ville est vide, donc sans pompiers, ni réparateurs. Certes il y a les QG et les soldats pour ce rôle, mais est ce que ça suffira, on sais pas.
Il s'agit donc de pilonner gratuitement la ville de Strasbourg (la seul ville à portée, fallait pas coller le Rhin déso pas déso), à l’explosif mais aussi à l'incendiaire, thermite ou phosphore blanc, car les maisons à colombage ça brule bien, les français ils auront qu'a bétonner tout ça si il veulent se protéger. Un autre avantage escompté c'est que un certain hub logistique risque quand même d’être disrupté a grand coup de cratère, et surtout, ce pilonnage doit faire croire que l'offensive allemande se fera en Alsace, à travers des ponts mystérieusement biens conservés. Sur ce secteur, 300.000 soldats sont bunkerisés dans les montagnes du bade, et comptent bien profiter de la hauteur pour pilonner le fossé rhénan qui risque de s’enfoncer de quelques mètres encore. 450.000 soldats français sont de l'autre coté du Rhin, sans doute a revivre des PTSD de Verdun.
460 Heinkel HD 37 seront utilisé pour la reconnaissance et pour protéger les airs

Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Action 2

Le vrai intérêt sera, une fois la France bait dans la défense de sa si chère Alsace-Moselle, d'attaquer en Rhénanie pour recouvrir la totalité de cette région - et Eupen/Malmedy au passage. Si le piège fonctionne bien, une grosse partie de l'armée française sera coincé dans les ruines de Strasbourg (donc sans chemin de fer ni de transport rapides) pendant que l'armée allemande, alors localement en surnombre, roulera sur le font nord dégarni. 750.000 soldats sont affecté à cette offensive, contre théoriquement 1.100.000 hommes, dont 450.000 sont face déjà au Rhin à observer Strasbourg cramer.
Les 460 Heinkel HD 37 devront aussi couvrir cette région.


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Front polonais

Action 3

L'armée Polonaise s'est tout juste remise sur pied après la raclé infligé par l'Allemagne. Ils sont 400.000 au front de l'ouest polonais, composé de 200.000 des 300.000 affecté à ce front, (le reste étant POW), 100.000 mobilisés en urgence, et 100.000 provenant du front de l'est face à l'URSS (ils sont donc 600.000 là bas). L'objectif allemand, avec ses 500.000 soldats d’infanterie, 60.000 soldats motorisés, 20.000 soldats blindés, est d'avancer jusqu'au portes de Varsovie et Cracovie.
320 Arado Ar 64 seront utilisé pour la supériorité aérienne.


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Front danois

Action 4

Le Danemark a accepter de laisser passer la Royal Navy. C'est comme une déclaration de guerre à l'Allemagne, et de ce fait, l’Allemagne envahit le Danemark. On s'assoit sur la souveraineté danoise ici. La péninsule du Jylland devra être envahie en 6h par 50.000 soldats allemands contre 7.000 réservistes danois (en train de pioncer ça se trouve vu qu'on attaque de nuit comme d'hab), dont on est pas sur qu'ils soient tout à fait organisés et loyaux entre le scandale de la RN qui fait fulminer les volkistes danois, et les germanophones du Selsvig qui n'espèrent que les bottes allemandes....
Au niveaux de la Fionie, 20.000 soldats continueront l’attaque vers le nord.
Après cette offensive que l'Allemagne s'attend être un promenade de santé, il faudra installer des batteries côtières et des lances torpilles le long du nord du Danemark: Les navires de ravitaillement feront bien les malins à essayer de ravitailler les navires anglais de la baie de Kiel. Un obus et toute la cale remplie à ras bord de munition explose vite fait.



Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Action 5

En parallèle à l'offensive au Jutland, l'Ile de Fionie doit aussi être prise. Le petit Baelt fait 500m entre cette ile et la péninsule: des barques, des ferrys et bateaux de pêche réquisitionnés sur le tas au danois devrait suffire pour traverser, au nez et à la barbe de la RN, qui pourra pas fourrer ses navires dedans. Ce sont 30.000 soldats allemands qui doivent traverser le détroit et occuper l'ile, contre 3.000 soldats danois. A vu de la taille du détroit, les tactiques d'une offensive terrestre son possible: Enfumage, support au mortier, barques avec une MG 15/21 installé vite fait qui fait du tir de suppression, mais ça devrait être plus difficile que de réveiller les garnison de jyllandaises


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Action 6

Les 200.000 soldats du front tchécoslovaque creusent toujours des tranchés.

Résultats a écrit:

TOUR 2 -Allemagne

Nature de l'action :3ème mois de guerre. L'Allemagne est encerclée, avec des déclarations de guerre de la Belgique et la Tchécoslovaquie. Plus encore, le Danemark a cédé aux demandes britanniques et une flotte de la royal navy est stationnée dans la baie de Kiel et bloque la marine allemande, et surtout le commerce de la Baltique- en tous cas sur sa partie ouest, Stettin et surtout Dantzig (fraîchement capturée) pouvant servir de substitut pour le commerce avec l'URSS et les scandinaves. Mais l’Allemagne gagne sur tous les fronts- en Rhénanie la France a été repoussé, en Pologne il n'y a pas eu d’offensives. Il va falloir contre attaquer - le Danemark, la Pologne, et la France.

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
1.800.000 soldats d’infanterie (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie) (+700.000 mobilisés, -100.000 morts, blessé, remplacés)
60.000 soldats de la force motorisé (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, camions)
20.000 soldats de la force blindé (480 PZ-17, mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, automitrailleuse, camions)
Forces maritimes :
8 BB, 6C, 12 DD , 12 MTB (blocus, mange leur colle)

Forces aériennes :
320 Arado Ar 64
460 Heinkel HD 37

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :

Front français

L'Allemagne est en sous nombre, comparé au million de soldats français. Il faut donc ruser, et commettre un crime de guerre.

Action 1

Ce crime de guerre, c'est la vandalisation de Strasbourg. L'évacuation de la population, suspecté par le Reich, fait que cette ville est vide, donc sans pompiers, ni réparateurs. Certes il y a les QG et les soldats pour ce rôle, mais est ce que ça suffira, on sais pas.
Il s'agit donc de pilonner gratuitement la ville de Strasbourg (la seul ville à portée, fallait pas coller le Rhin déso pas déso), à l’explosif mais aussi à l'incendiaire, thermite ou phosphore blanc, car les maisons à colombage ça brule bien, les français ils auront qu'a bétonner tout ça si il veulent se protéger. Un autre avantage escompté c'est que un certain hub logistique risque quand même d’être disrupté a grand coup de cratère, et surtout, ce pilonnage doit faire croire que l'offensive allemande se fera en Alsace, à travers des ponts mystérieusement biens conservés. Sur ce secteur, 300.000 soldats sont bunkerisés dans les montagnes du bade, et comptent bien profiter de la hauteur pour pilonner le fossé rhénan qui risque de s’enfoncer de quelques mètres encore. 450.000 soldats français sont de l'autre coté du Rhin, sans doute a revivre des PTSD de Verdun.
460 Heinkel HD 37 seront utilisé pour la reconnaissance et pour protéger les airs

Plus c'est bas mieux c'est; jet de dés : 11
Résultat de l’action: En effet, le fait que il n'y pas de pompiers a Strasbourg a été néfaste pour cette ville. Mais bon, la population a été évacué donc ils sont pas carbonisés. Le torchage a été particulièrement efficace, en effet les maisons à colombage c'est du petit bois qui a permit aux incendies déclarés à coup de phosphore blanc et de thermite, d'évoluer en tempête de feu, c'est à dire que l’incendie a réussi à modifier la circulation locale de l'air pour l'auto-alimenter en oxygène. De ce fait, des temperatures de 2.500°C on été mesurés. Face à cette force de la nature déchainée par les vandales d'outre Rhin, les soldats français ont décider de se barrer. Tfaçon y a personne qui oserait attaquer dans ces conditions. Bref, plus de chemin de fer, les lignes ont fondu. Plus de cathédrale, plus d' habitations, plus de parcs. Askip même l'Ill a été asséché.

Pertes de l’attaquant:Des obus incendiaires
Pertes du défenseur: La ville de Strasbourg dans sa totalité

Action 2

Le vrai intérêt sera, une fois la France bait dans la défense de sa si chère Alsace-Moselle, d'attaquer en Rhénanie pour recouvrir la totalité de cette région - et Eupen/Malmedy au passage. Si le piège fonctionne bien, une grosse partie de l'armée française sera coincé dans les ruines de Strasbourg (donc sans chemin de fer ni de transport rapides) pendant que l'armée allemande, alors localement en surnombre, roulera sur le font nord dégarni. 750.000 soldats sont affecté à cette offensive, contre théoriquement 1.100.000 hommes, dont 450.000 sont face déjà au Rhin à observer Strasbourg cramer.
Les 460 Heinkel HD 37 devront aussi couvrir cette région.


Chance de succès : 50% ; jet de dés : 90
Résultat de l’action: Défaite Très majeure

Pertes de l’attaquant: 75.000 morts 110.000 blessés
Pertes du défenseur: 25.000 morts 35.000 blessés
Morts civils: 300.000 morts, 400.000 déplacés (sur un total de 3.000.000 de la population locale).

Malgré que les français ont été distraits par le feu de joie strasbourgeois, l'assaut sur le sud de la Rhénanie a juste été un remake de la bataille des frontières de 1914, sauf que cette fois ci c'est les allemands qui se sont ramasser salement la face. En effet, il manquait d'équipement lourds et de chars, donc on a eu des sales assaut d’infanterie à la baïonnette. Avec des résultats prévisibles face au mitrailleuse et au feu roulant français. Une avancé a quand même été faite via le nombre, face à des français occupés à Strasbourg, mais une contre-offensive particulièrement violente à coup d'artillerie a repoussé les allemands- les soldats comme la population- au front de départ.

Front polonais

Action 3

L'armée Polonaise s'est tout juste remise sur pied après la raclé infligé par l'Allemagne. Ils sont 400.000 au front de l'ouest polonais, composé de 200.000 des 300.000 affecté à ce front, (le reste étant POW), 100.000 mobilisés en urgence, et 100.000 provenant du front de l'est face à l'URSS (ils sont donc 600.000 là bas). L'objectif allemand, avec ses 500.000 soldats d’infanterie, 60.000 soldats motorisés, 20.000 soldats blindés, est d'avancer jusqu'au portes de Varsovie et Cracovie.
320 Arado Ar 64 seront utilisé pour la supériorité aérienne.


Chance de succès : 65% ; jet de dés :94
Résultat de l’action: Défaite Très majeure

Les Polonais se sont bien remis. Surtout la logistique allemande étant comme IRL nul à chié et basé sur les chevaux, la famosa Blitzkreig n'a plus le vent en poupe. La défense polonaise encaissé les deux division blindé avec aise, et leur matériel est inopérable. En effet, ils ont appris le concepts de la défense en profondeur, après en avoir fait les frais face au gros Toukhatchevski. Une contre attaque polonaise à forcé au départ en toute hâte en abandonnant matériel et munitions les soldats des divisons blindés qui se sont overexend.

Pertes de l’attaquant: 70.000 morts , 140.000 blessés. Les deux divisions blindés détruites.
Pertes du défenseur: 25.000 morts , 50.000 blessés

Front danois

Action 4

Le Danemark a accepter de laisser passer la Royal Navy. C'est comme une déclaration de guerre à l'Allemagne, et de ce fait, l’Allemagne envahit le Danemark. On s'assoit sur la souveraineté danoise ici. La péninsule du Jylland devra être envahie en 6h par 50.000 soldats allemands contre 7.000 réservistes danois (en train de pioncer ça se trouve vu qu'on attaque de nuit comme d'hab), dont on est pas sur qu'ils soient tout à fait organisés et loyaux entre le scandale de la RN qui fait fulminer les volkistes danois, et les germanophones du Selsvig qui n'espèrent que les bottes allemandes....
Au niveaux de la Fionie, 20.000 soldats continueront l’attaque vers le nord.
Après cette offensive que l'Allemagne s'attend être un promenade de santé, il faudra installer des batteries côtières et des lances torpilles le long du nord du Danemark: Les navires de ravitaillement feront bien les malins à essayer de ravitailler les navires anglais de la baie de Kiel. Un obus et toute la cale remplie à ras bord de munition explose vite fait.



Chance de succès : 60% ; jet de dés : 47
Résultat de l’action: Victoire

Les garnisons danois ont en effet été prise de surprise de pleine nuit, et l’invasion du Jutland s'est passé comme prévu. Quelques batteries ont été installé au nord de cette péninsules.

Pertes de l’attaquant: 0
Pertes du défenseur: 0

Action 5

En parallèle à l'offensive au Jutland, l'Ile de Fionie doit aussi être prise. Le petit Baelt fait 500m entre cette ile et la péninsule: des barques, des ferrys et bateaux de pêche réquisitionnés sur le tas au danois devrait suffire pour traverser, au nez et à la barbe de la RN, qui pourra pas fourrer ses navires dedans. Ce sont 30.000 soldats allemands qui doivent traverser le détroit et occuper l'ile, contre 3.000 soldats danois. A vu de la taille du détroit, les tactiques d'une offensive terrestre son possible: Enfumage, support au mortier, barques avec une MG 15/21 installé vite fait qui fait du tir de suppression, mais ça devrait être plus difficile que de réveiller les garnison de jyllandaises


Chance de succès : 75% ; jet de dés : 16
Résultat de l’action: Victoire majeure

Le débarquement dans la Fionie s'est très bien passé aussi. Même pas besoin de tirer, les danois ont aussi été pris au dépourvu en train de pioncer. La marine britannique qui a eu les balls de se mettre à Kiel ont l'air biens idiots maintenant .

Pertes de l’attaquant: 0
Pertes du défenseur: 0

Action 6

Les 200.000 soldats du front tchécoslovaque creusent toujours des tranchés.

TOUR 2 - Alliés

Nature de l'action : Offensive inter-alliée sur la Ruhr, offensive polonaise, offensive tchécopolonaise et actions de défense

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
- 2 200 000 soldats français
- 400 000 soldats britanniques
- 65 000 soldats belges
- 400 000 soldats polonais
- 85 000 soldats tchèques (participant à l'offensive polono-tchèque)
Forces maritimes :
- blocus naval britannique
Forces aériennes :
- forces aériennes françaises, britanniques, belges, polonaises et tchèques

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :
Action 1

Offensive interalliée dans la Ruhr (rouge sang sur la carte)


1 500 000 soldats français, 300 000 britanniques basés en Belgique et 65 000 soldats belges participent à l'offensive vers le nord de la Ruhr encore une fois, dans la Seconde Bataille de la Rhénanie. Les troupes interalliées devront faire usage du territoire belge pour contourner efficacement les troupes allemandes lorsque c'est possible, et à nouveau tenter de refluer l'armée allemande jusqu'à la ville de Duisbourg/Cologne.

Au vu des très très lourdes pertes civiles subies par le peuple rhénan, l'armée française a pour mission de consacrer un effort considérable mais qui ne devra pas impacter la logistique de guerre à l'encadrement de la fuite vers l'arrière du front des civils non-combattants et permettre d'éviter à nouveau un massacre de près de 300 000 personnes. L'armée française reçoit l'ordre de se présenter peut-être pas comme une alliée des civils, mais tout au moins comme une porte de sortie qui leur permettrait de quitter le front et de trouver la sécurité.

Action 2

Défense de l'Alsace et du Rhin(ligne rouge sur la carte)

Le reste des forces françaises, 700 000 hommes, est affectée à la défense des rives du Rhin. Les derniers civils ayant refusé de quitter la zone sont évacués de force par l'armée française. 100 000 soldats britanniques les soutiennent. Il est inacceptable qu'un nouvel Enfer de Strasbourg se reproduise.

La défense française se retranche pour empêcher toute tentative allemande de passer le Rhin. Un réseau de tranchées est mis en place, sur une profondeur de plusieurs dizaines de kilomètres par endroit. C'est également dans cette zone que la reconnaissance aérienne française doit permettre de neutraliser l'effet de surprise allemand.

S'il n'est pas question pour le moment de franchir le Rhin, car les pertes risqueraient d'être trop lourdes, la France ne laissera pas un seul centimètre de terrain de l'Alsace aux troupes allemandes sans qu'elles payent un lourd tribut en sang.


Action 3

Offensive polonaise (en vert sur la carte)

300 000 polonais doivent fournir une contre-attaque pour sécuriser l'axe Bydgoszcz-Suwałki et libérer une partie du territoire polonais.

Soldats polonais avant l'offensive

La mobilisation de l'Etat polonais est totale. En effet, Varsovie met à sa disposition toutes les ressources nationales pour éviter la disparition de la Pologne. Le jeune état, indépendant depuis dix ans, ne peut se permettre de finir à nouveau rayé de la carte de l'Europe.

Action 4

Offensive polono-tchèque (en rose sur la carte)

100 000 soldats polonais et 85 000 tchèques doivent travailler conjointement à une offensive vers la Silésie polonaise occupée par l'Allemagne. Ceux-ci comptent également sur un soulèvement armée populaire de la part des polonais, qui permettrait de briser les lignes logistiques allemandes.

Action 5

La Tchécoslovaquie continue de fortifier ses frontières et de mobiliser le plus d'hommes possibles. La zone des Sudètes continue d'être sous gouvernement militaire direct, et les arrestations et parfois exécutions se poursuivent.

Le drame de Strasbourg effraye au plus haut point la Tchécoslovaquie qui est terrifiée à l'idée que le bombardement puisse se reproduire sur une ville du pays, voir Prague elle même. "La barbarie allemande n'ayant aucune limite, il est également nécessaire que la mobilisation nationale tchécoslovaque n'ait aucune limite", aurait déclaré le président Masaryk à l'Etat-major de son gouvernement.

Action 6

Evacuation de la Royal Navy de la mer Baltique

La flotte britannique déployée en mer Baltique, face à l’invasion allemande du Jutland, reçoit l’ordre de se replier en mer du Nord pour y poursuivre le blocus naval. Les routes les moins exposées à l’artillerie côtière allemande sont privilégiées afin d’éviter de subir la moindre perte, notamment celle longeant le Sjælland et la Suède.

En passant devant Copenhague, il est proposé à la famille royale et au gouvernement danois de monter sur les navires de la Royal Navy afin d’être mis à l’abri dans des territoires danois moins exposés à la menace allemande, par exemple les îles Féroé ou l’Islande, ainsi que de mettre en sécurité les rares troupes danoises subsistantes au besoin.

Action 7

Bombardements navals britanniques sur les côtes allemandes

Profitant de la faiblesse des défenses côtières allemandes en mer du Nord, la Royal Navy procède à des bombardements navals sur des sites stratégiques ennemis le long des côtes, notamment à l’aide des bâtiments équipés de BL 15-inch Mk I naval gun permettant de tirer à 30 voire 34 kilomètres de distance, soit largement plus que l’essentiel des batteries côtières allemandes.

L’île de Wangerooge, principal dispositif de défense côtière disposant de six canons 30.5 cm SK L/50 gun, sera particulièrement ciblée par la Royal Navy ainsi que les bombardiers de l’aéronavale britannique afin de détruire les positions militaires sur l’île.

Le long des côtes danoises, de tels bombardements navals seront également procédés sur les sites que les allemands fortifient afin de les neutraliser et de permettre à la Royal Navy de mener ultérieurement des frappes plus en profondeur au besoin.

Modération de guerre
Tour 2 - Alliés

Action n°1 :

Offensive interalliée dans la Ruhr (rouge sang sur la carte)

Probabilités de succès : 70% : jet de dés : 77 [DEFAITE LEGERE]

En dépit de leur supériorité numérique et de la désorganisation initiale des troupes allemandes, les soldats alliés ne sont pas parvenus à briser durablement les lignes ennemies. Après une offensive ayant permis de percer sur différents points et d'avancer de plusieurs kilomètres en territoire rhénan, les Alliés ont été contraints de battre en retraite et de reprendre leurs positions initiales, mises en difficulté par un climat assez peu propice aux combats avec la pluie et de premières neiges, ainsi qu'une contre-offensive allemande plus robuste que prévue.

Pertes alliées: 12'000 soldats
Pertes allemandes : 8'000 soldats

Action n°2 :

Défense de l'Alsace et du Rhin(ligne rouge sur la carte)

Pas de jet nécessaire.

Action n°3 :

Offensive polonaise (en vert sur la carte)

Probabilités de succès : 50% ; jet de dés : 71 [DEFAITE IMPORTANTE]

Revigorés par leurs récents succès face à l'armée allemande, les Polonais pensaient pouvoir sécuriser l'axe Bydgoszcz-Suwałki. La combativité des troupes allemandes a eu raison des espoirs de Varsovie, contrainte de faire replier ses troupes non sans essuyer de lourdes pertes.

Pertes polonaises : 10'000 soldats
Pertes allemandes : 4'500 soldats

Action n°4 :

Offensive polono-tchèque (en rose sur la carte)

Probabilités de succès : 50% ; jet de dés : 22 [VICTOIRE IMPORTANTE]

L'offensive conjointe polono-tchèque rencontre quant à elle un succès. Concentré plus au nord à repousser l'offensive polonaise, l'état-major allemand a négligé ce front, permettant aux troupes coalisées de les repousser et de récupérer la Silésie polonaise.

Pertes alliées : 5'000 soldats
Pertes allemandes : 10'000 soldats

Action n°5 :

Pas de jet nécessaire.

Action n°6 :

Evacuation de la Royal Navy de la mer Baltique

Pas de jet nécessaire.

La Royal Navy déployée dans la mer Baltique a rejoint la mer du Nord pour y poursuivre le blocus, sans rencontrer de grands encombres au passage grâce aux lignes maritimes empruntées. Pendant leur retraite, les navires britanniques ont récupéré à Copenhague la famille royale, le gouvernement et quelques troupes danoises afin de les expédier en Islande le temps que le Danemark soit libéré.

Action n°7 :

Bombardements navals britanniques sur les côtes allemandes

Probabilités de succès : plus c'est bas, plus c'est réussi ; jet de dés : 84 [DEFAITE MAJEURE]

Malgré sa puissance de feu largement supérieure, la Royal Navy n'est pas parvenu à détruire les batteries côtières de Wangerooge, pas plus que de neutraliser d'autres défenses côtières allemandes. Pour cause, des bombardements navals sur des zones aussi réduites sont souvent difficiles à mener, et l'imprécision des canons anglais, tout comme des bombardiers dont les bombes touchèrent plus souvent l'eau que les batteries, ont conduit à l'échec de cette opération. Pis encore, un croiseur a été touché par un tir de riposte allemand, et a sombré faute de pouvoir être remorqué.

Pertes anglaises : un croiseur
Pertes allemandes : quelques civils tués par erreur lors des frappes

TOUR 3 - Allemagne

Nature de l'action :
L’hiver s'installe. Pas d'opération militaire de grande envergure donc, mais il y en a quand même, pour consolider le front ou pour nier un atout stratégique de cette saison. Sinon, c'est le réarmement, la réparation et la fortification pour le front polonais, tchécoslovaque et rhénan.


Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
3.500.000 soldats d’infanterie (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie) (+2.000.000 mobilisés, -300.000 morts, blessé, remplacés)
40.000 soldats de la force motorisé (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, camions)
10.000 soldats de la force blindé (240 PZ-17, mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, automitrailleuse, camions) (1 reconstitué)
Forces maritimes :
8 BB, 6C, 12 DD , 32 MTB (+20 S-boot) (le LS-3 de WT)
Forces aériennes :
460 Arado Ar 64
600 Heinkel HD 37
2 Ju-52

Détails de l'action :
Action 1

Défenses:
Front Rhénan (vert): 1.750.000 soldats et 600 Heinkel HD 37 (contre 3.000.000 de Franco-Anglo-Belges)
Front Polonais (bleu): 600.000 soldats (contre 500.000 Polonais)
Front Tchécoslovaque (rose): 300.000 soldats ( 200.000 Tchécoslovaques)
Réserves : 150.000 soldats
Sur ces fronts, on creuse des tranchés.


Action 2- Lolland

50.000 soldats (infanterie) allemands, 1 Croiseur, 4 DD, 20 MTB contre 5.000 soldats danois et 25 Navires côtiers
Le front danois doit être conclus le plus rapidement possible, et c'est pour cela qu'une offensive en plein hiver à lieu. L'offensive se fera vers le Lolland, via l'Ile de Fehrman et le Langeland. La distance à franchir n'est que de 10 à 15 km, ce qui permet un support proche de la marine Allemande maintenant libre coté Baltique. Celle ci devra s'assurer du bon passage des troupes, toujours en ferry réquisitionnés, en empêchant la marine côtière danoise de s'approcher (il n'y pas d'ile dans ces détroit, ça devrait aider), et en pilonnant les cotes du Lolland.
Les deux Ju-52 seront testé ici, alors que 260 Arado Ar 64 s'assurent de la supériorité aérienne.

Chance de succès : 80% ; jet de dés : 36
Résultat de l’action: Victoire écrasante

Étrangement, il n'a eu aucune résistance au débarquement. Les Allemands gonflés d'arrogance ont donc avancé insouciant vers Copenhague.

Pertes de l’attaquant: 0
Pertes du défenseur: 0

Action 3 - Sjaeland

Du Lolland, les 50.000 soldats débarqués devront affronter 10.000 soldats danois pour occuper le Sjaeland. Le support de la marine Allemand est toujours escompté, mais la faible largeur des détroits séparant le Lolland du Sjaeland (500 m à 1km), devrait autoriser un support terrestre (mortier, mitrailleuse, artillerie) une fois ceux ci débarqués dans le Lolland.
Une fois la totalité du Danemark occupé (à l'exception du Bornholm) le Reichskommissariat Dänemark sera établi, avec des garnisons et des défenses côtières. L'ile de Bornholm sera occupé par une force de police ultérieurement (un fois le gouvernement civil brisé).
Les 260 Arado Ar 64 continuent leur mission de supériorité aérienne


Chance de succès : 90% ; jet de dés :100
Résultat de l’action: Défaite

Alors que les soldats allemands pépères se sont attendus à une promenade de santé, le piège danois s'est renfermé sur eux. Embourbé dans une guerre urbaine dans la capitale danoise, ils ont cru pouvoir s'assurer une victoire quand même avec le support de la marine allemande. Mais celle ci s'est aussi fait prendre en embuscade, par les navires côtiers du Danemark, qui ont fait exploser à coup de torpille le croiseur-amiral de la flotte. L'explosion s'est vu a des dizaines de km à la ronde, ce qui a poussé à la débandade les 5 divisons allemands, ayant pris peur d’être encerclé dans l'ile du Sjaeland. Ce repli vers le Lolland n'a pas été de tout repos vu que s’extirper du traquenard de Copenhague a été mission impossible pour 4.000 allemands, morts ou prisonniers. Quelle humiliation. Le temps des tempêtes.

Pertes de l’attaquant: 2.000 morts , 4.000 blessés , 2.000 Prisonniers . 1 Croiseur. L'égo Allemand
Pertes du défenseur: 500 morts, 1.000 blessés

Action 4 - Silésie

250.000 allemands (infanterie) + 40.000 (motorisé) +10.000 (blindé) contre 100.000 Polonais et 100.000 Tchécoslovaques
L'Allemagne doit reconquérir la Silésie, simplement pour empêcher au polonais d'avoir accès au charbon de cette région. Ils passeront un hivers IN-FER-NAL sans cette source de chaleur et d’électricité, alors qu'ils sont aux abois et pressés par les soviétiques en plus.
100 Arado Ar 64 feront de la supériorité aérienne.

Chance de succès : 75% ; jet de dés : 63
Résultat de l’action: Victoire
La contre offensive est réussite. Les Polonais n'auront pas de charbon cet hiver.

Pertes de l’attaquant: 7.000 Allemands morts, 14.000 blessés
Pertes du défenseur: 5.000 Polonais , 5.000 Tchécoslovaques morts ; 10.000 Polonais , 10.000 Tchécoslovaques morts blessés

TOUR 3 - Alliés

Nature de l'action : Bombardement du Bade, offensives interalliée sur Francfort et la Ruhr, actions de défenses.

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
- 2 200 000 soldats français
- 400 000 soldats britanniques
- 65 000 soldats belges
- 400 000 soldats polonais
- 85 000 soldats tchèques (participant à l'offensive polono-tchèque)
Forces maritimes :
- blocus naval britannique
Forces aériennes :
- forces aériennes françaises, britanniques, belges, polonaises et tchèques

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :
Action 1

Bombardement du Bade

En réponse à la destruction de Strasbourg par l’artillerie allemande, les troupes anglo-françaises déployées en Alsace lancent une riposte sur les positions ennemies frontalières. L’artillerie et l’aviation alliées reçoivent ainsi l’ordre de mener des frappes sur les fortifications allemandes ainsi que sur les troupes, après de brèves reconnaissances aériennes, afin de réduire la puissance ennemie dans la région et feindre une offensive anglo-française sur le Bade. Naturellement, les Alliés n’étant pas des barbares, les positions civiles doivent éviter d’être touchées, même si des morts civils seront fatalement à déplorer.

Action 2

Offensive sur Francfort

Comptant sur la distraction dans le Bade, les divisions déployées dans la région de Mayence, avec le soutien de l’artillerie et de l’aviation, reçoivent l’ordre de franchir le Rhin et de lancer une offensive sur la ville de Francfort, notamment grâce à la conservation des ponts dans la région qui permettent un franchissement du fleuve. La ville de Francfort sera préalablement encerclée par le sud-ouest et le nord-ouest avec la prise des villes de Darmstadt et de Wiesbaden, desquelles les quelques 300'000 soldats français mobilisés pour l’occasion devront s’élancer en partie pour capturer Francfort, l’autre partie étant dédiée à la sécurisation des lieux.

Action 3

Nouvelle offensive vers la Ruhr

Malgré l’échec des précédentes tentatives, 1 500 000 soldats français, 300 000 britanniques basés en Belgique et 65 000 soldats belges s’élanceront à nouveau vers la Ruhr, en bombardant préalablement avec l’artillerie et l’aviation les positions défensives allemandes. L’arrivée massive de chars, produits dans les usines anglaises et françaises, sera utilisée pour tenter de percer plus efficacement les lignes allemandes. L’offensive sera lancée depuis la Belgique et depuis la Rhénanie occupée.

Action 4

Défense

Les unités non-mobilisées pour les combats tiennent leurs positions et continuent la fortification de leurs positions.

Modération de guerre
Tour 3 - Alliés

Action 1

Bombardement du Bade

Probabilités de succès : plus c'est bas, mieux c'est ; jet de dés : 91 [DEFAITE TOTALE]

Gênées par un climat des plus défavorables, avec du brouillard et de la neige, les troupes alliées ne sont pas parvenues à remplir leurs objectifs lors du bombardement des positions allemandes. Les frappes d'artillerie ont plus souvent fini dans les champs ou la forêt noire, tandis que l'aviation a été rapidement mise en difficulté par les aviateurs allemands. Bref, c'est une débâcle totale.

Pertes alliées : 10 avions
Pertes allemandes : 2 avions

Action 2

Offensive sur Francfort

Probabilités de succès : 40% ; jet de dés : 95 [DEFAITE TOTALE]

Peu distraites par les bombardements sur leurs positions dans le Bade, les troupes allemandes ont accueilli comme il se doit l'offensive française vers Francfort. Retranchées derrière d'importantes fortifications, les volkistes ont allègrement arrosé les troupes françaises tentant de franchir le Rhin. Si plusieurs percées ont pu être réalisées, l'avantage du terrain était clairement pour l'Allemagne, qui a ainsi pu massacrer les assaillants.

Pertes françaises : 15'000 morts et blessés
Pertes allemandes : 1'200 morts et blessés

Action 3

Nouvelle offensive vers la Ruhr

Probabilités de succès : 70% ; jet de dés : 25 [VICTOIRE MAJEURE]

"A force de lancer des attaques, on finit par réussir", selon de Castelnau. Jouant de leur supériorité numérique, mais aussi de l'avantage des chars, les Alliés sont finalement parvenus à percer les lignes allemandes dans le Rhin après quasiment un an de guerre de position et d'offensives ratées des deux côtés. La précédente offensive alliée dans la région avait échoué de peu, et cette fois, la détermination des troupes anglo-belgo-françaises a eu raison de leurs ennemis volkistes, plus fatigués que leurs adversaires. La partie ouest Rhin est désormais totalement sous contrôle allié.

Pertes alliées : 90'000 morts et blessés
Pertes allemandes : 130'000 morts et blessés, 55'000 prisonniers de guerre
Pertes civiles : 30'000 morts

Action 4

Défense

Pas de jet nécessaire.

TOUR 4 - Allemagne

Nature de l'action : La perte de l'ouest du Rhin a causé un rant au Führerbunker avec "DER ANGRIFF STENERS WAR NICHT ERFLOGT". L'Allemagne est défaite à l'ouest, mais il existe encore une espoir à l'est et au nord, car les polonais comme danois sont à genoux. Peux être que comme en 1917 ramener de l'est une fois la victoire acquise là bas, un million soldat vers l'ouest sera une surprise pour les anglo-belgo-français.


Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
4.000.000 soldats d’infanterie (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie) (+700.000 mobilisés, -200.000 morts, blessé, remplacés)
50.000 soldats de la force motorisé (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, camions) (+10.000)
20.000 soldats de la force blindé (480 PZ-17, mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, automitrailleuse, camions) (1 reconstitué)
Forces maritimes :
8 BB, 5C (1 détruit), 12 DD , 327 MTB (+5 S-boot)
Forces aériennes :
500 Arado Ar 64
680 Heinkel HD 37
6 Ju-52


Détails de l'action :

Front Danois 75.000 soldats + 4 DD, 25 MTB + 300 Arado Ar 64, 6 Ju-52 contre 20.000 Danois + 20 Navires cotiers

Action 1 -Sjaelland

Il s'agit d'avancer et d’encercler Copenhague, avec la couverture de la marine, et de l’aviation. Les Ju-52 seront testés de nouveau vu que la dernière fois il ont pas eu l’occasion. Au niveau de la marine, sans doute que les destroyers plus maniables éviteront mieux les torpilles, surtout avec le soutient de bateaux divers.


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Action 2 - Copenhague

"Il faut racheter l'honneur allemand" d’après Goebbels qui est toujours salé par la résistance danoise. Le concept de guerre d'annihilation (Vernichtungskrieg, concept IRL), si il était sous entendu en Pologne, est là explicité. Une fois Copenhague assiégé, la menace de strassbourguer (comprendre pilonner aux obus incendiaires jusqu’à que tout crame) sera envoyé au gouvernement danois, avec comme choix la capitulation ou la destruction totale. Si ils capitulent tant mieux. Sinon, c'est l'annihilation et en plus le pillage massif, au profit des les soldats comme l’État, de la future ville-ruine Copenhague. Les réserves d'or sont en effet particulièrement attrayantes pour le Reich toujours avare et dont la balance commerciale est abyssale envers l'URSS.
Dans les deux cas, le Reichkomissariat Dänemark (amputé du Scheswig bien sur) sera fondé avec comme capitale Randers. Une bourgade paumée au Jutland, avec comme objectif explicite de rameuter des volksites danois localistes (et opportuniste), qui ont la haine de l'industrie, de l'urbanisation, et de la capitale et qui sont prêt à vendre leur pays pour leur idéologie. (toute ressemblance avec vichy est faite exprès)


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Front Polonais 800.000 soldats d’infanterie, 50.000 soldats motorisé, 20.000 soldats blindés (contre 400.000 Polonais +90.000 Tchécoslovaques)

Action 3

La première action est de nouveau ré avancer vers Varsovie et Cracovie comme à l'automne précédent. Le Reich s'attend à un dernier coup de massue contre des polonais suffise (la porte pourrie toussa), pas capable d'attaquer l'hiver dernier, et qui sont en plus privé de charbon depuis trois mois. Tout de même, on a vu les conséquence d'un égo d'allemand gonflé au Danemark, et donc l'offensive se fera bien sur avec une écrasante supériorité numérique et en puissance de feu, sous forme de blindés, d’artillerie, de supériorité aérienne (200 Arado Ar 64), de mitraillettes et de mitrailleuses.


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Action 4

Pour Varsovie et Cracovie, pas de négociation. Le strabourgage de ces villes est la méthode choisie pour faire imploser le gouvernement polonais qui prend cher depuis maintenant presque un an (manque de charbon, enclavement total depuis la prise de Dantzig, passive-agressvité de l'URSS...). Artillerie à la thermite, au phosphore blanc, si il le faut même un travail de sapeurs (à pied) avec leur lances flammes, tout doit être fait pour raser ces deux villes. Si le gouvernement tient, la guerre continue. Sinon ça sera opération de pillage systématique jusqu'à une ligne correspondant grosso modo au Vistule et au Narew. Cette limite est là officiellement pour des raisons logistiques. Les plus perspicaces verront une partition comme au 18e avec le voisin de l'est...
L'absence de négociation est cohérente avec le projet de l'Allemagne de rendre les polonais apatrides. Détruire l’État polonais dans sa totalité, pour ne former qu'un "Gouvernement général" destiné a être un camps de travail géant préparant la germanisation de la Pologne.


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Autres fronts

Action 5 : Défense et attrition. Les soldats creusent des tranché de nouveau. Des opérations d’attrition offensive (c'est à dire des raids à 10-15 personnes comme les Stoßtruppen 1918 ) sont menés pour garder la pression sur l'Entente à l'ouest et aux Tchécoslovaques.

Front Rhénan : 2.600.000 soldats et 680 Heinkel HD 37 (contre 2.800.000 de Franco-Anglo-Belges)
Front Tchécoslovaque : 300.000 soldats (contre 200.000 Tchécoslovaques)
Réserves : 225.000 soldats

Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action

Pertes de l’attaquant
Pertes du défenseur

Modération de guerre
Tour 4 - Allemagne

Action 1 -Sjaelland

Chance de succès : 90% ; jet de dés : 16
Résultat de l’action : La résistance danoise a produit un miracle, mais pas deux. Sous la pression intense des armes combinées allemandes, les lignes de défense craquent une à une. Copenhague est encerclée par l'armée allemande.

Pertes de l’attaquant
600 pertes
Pertes du défenseur
1600 pertes ; fin effective des capacités militaires danoises

Action 2 - Copenhague

Pas de jet de dé nécessaire
Résultat de l’action : Face à l'effondrement des dernières forces armées défendant la capitale danoise, les autorités locales cèdent à l'ultimatum allemand et ouvrent la ville afin d'éviter l’annihilation promise.

Pertes de l’attaquant
Néant
Pertes du défenseur
Capitulation

Action 3 - Front Polonais


Chance de succès : 80% ; jet de dés : 95
Résultat de l’action : Se battant pour leur survie en tant que peuple, les polonais opposent une résistance exemplaire à la Wehrmacht, malgré le froid, malgré la résurgence des maladies, malgré l'isolement et les pénuries d'armement. C'est un véritable exploit. La poussée printanière allemande est stoppée et s'enlise.

Pertes de l’attaquant
25 000 pertes
Pertes du défenseur
20 000 pertes

Action 4 - Varsovie et Cracovie


Plus c'est bas mieux c'est : 64
Résultat de l’action : Les allemands se vengent de leurs échecs stratégiques en écrasant Cracovie et Varsovie sous les bombes. Les deux villes sont à portée de l'artillerie lourde allemande et de la Luftwaffe dont la supériorité aérienne est absolue. Malgré tout, l'éloignement du front et les conditions météos (pluie) empêchent une efficacité strasbourgeoise. Les deux grandes cités polonaises sont tout de même fortement amochées, rajoutant à l'épuisement général qui règne.


Action 5 - Défense et attrition


Plus c'est bas mieux c'est : 4
Résultat de l’action : Les infiltrations allemandes dans les dispositifs de l'Entente et de l'armée tchécoslovaque sont étonnement une grande réussite. L’État-major panique, les troupes de choc du Reich obtiennent une réputation terrifiante et largement fantasmée dans les tranchées de leurs adversaires. Il n'est désormais pas rare de voir une position défensive entière se dérouter avant même qu'un coup de feu n'ait été tiré lors de l'assaut des Stoßtruppen.

Pertes de l’attaquant
120 pertes
Pertes du défenseur
200 pertes, impact moral et psychologique important

TOUR 4 - Alliés

Nature de l'action :

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
- 2'600'000 soldats français (dont 300'000 dans les Alpes), ~ 1'000 chars
- 1'600'000 soldats britanniques (dont 800'000 sur le continent), ~ 800 chars
- 65'000 soldats belges
- 900'000 soldats polonais (dont 600'000 sur le front allemand et 300'000 sur le front soviétique)
- 250'000 soldats tchèques
Forces maritimes :
- blocus naval britannique
Forces aériennes :
- forces aériennes françaises (~ 3'000), britanniques (~ 3'000), belges, polonaises et tchèques

Carte :
C.f plus bas dans les spoilers.

Détails du tour :

Front occidental

Bombardements frontaliers


En représailles des escarmouches menées par les Stoßtruppen allemands et afin de maintenir la pression sur l’ennemi, l’artillerie et l’aviation alliées mènent des bombardements massifs sur les positions défensives allemandes.

Action 1 – Bombardement du Bade

Depuis l’Alsace, l’artillerie et l’aviation franco-anglaise mènent des frappes sur les positions militaires allemandes dans le Bade.

Action 2 – Bombardement de l’outre-Rhin

Tout le long du Rhin, l’artillerie alliée mène des tirs massifs sur les positions ennemies, dans les villes ou dans les campagnes, afin d’affaiblir au maximum les défenses. L’aviation est, là aussi, en renfort, profitant de l’écrasante supériorité numérique aérienne.


Offensive sur la Ruhr


Afin de percer les lignes défensives allemandes, plusieurs offensives sur des sites stratégiques le long du Rhin vont être menées. Les tirs d’artilleries et bombardements aériens seront particulièrement importants sur les points ciblés et dans les alentours afin d’affaiblir au maximum les allemands avant de mener l’assaut, notamment grâce aux ponts encore largement intacts sur le Rhin et grâce aux ponts Martel et Ingils, conçus il y a quelques années en Angleterre.

Action 3 – Offensive sur Duisbourg

Depuis Krefeld et Moers, 100'000 soldats français et 50'000 soldats britanniques doivent s’élancer, à partir des ponts intacts et après bombardement, sur la ville de Duisbourg. Ils doivent être soutenus par une autre armée, composée de 50'000 soldats français et 25'000 soldats britanniques, chargés quant à eux de prendre le pont de Wesel plus au nord avant de déferler vers Duisbourg, au sud.

Spoiler:

Action 4 – Offensive sur Düsseldorf

Partant de Meerbusch et de Neuss, 120'000 soldats français et 60'000 soldats britanniques ont pour ordre de partir à la conquête de Düsseldorf grâce aux cinq ponts qui permettent de franchir le Rhin, et là aussi grâce éventuellement aux ponts de conception anglaise, si la bataille le permet.

Spoiler:

Action 5 – Offensive sur Neuwied

Depuis les villes proches de Neuwied, 70'000 soldats français et 30'000 soldats britanniques devront prendre les ponts avant de s’emparer de la ville pour y établir une tête de pont.

Spoiler:

Action 6 – Offensive sur Mannheim

Idem que le reste, mais avec 80'000 soldats français et 20'000 soldats britanniques.

Spoiler:

Mer du Nord

Action 7 – Blocus naval

Prenant acte de la chute du Danemark, la Royal Navy maintient son blocus naval total le long des côtes allemandes ainsi qu’au large du Danemark pour bloquer toute sortie militaire allemande (et naturellement à tout navire de commerce de venir ravitailler le pays). Tout en restant, évidemment, hors de portée des canons côtiers volkistes.

Spoiler:

Front oriental

Contre-offensives tchéco-polonaises

Après une nouvelle victoire inespérée des troupes polonaises face aux allemands lors du printemps, l’état-major polonais décide de prélever 200'000 soldats déployés à la frontière soviétique pour renforcer les positions à l’ouest, afin de mener de nouvelles contre-offensives avec du sang frais et dispo. La Pologne joue ici le tout pour le tout : en cas de victoire, elle peut espérer briser les lignes allemandes, en cas de défaite, elle sera bonne à attendre quelques décennies pour retrouver son indépendance.

Spoiler:

Action 8 – Bataille de Prusse orientale

Voulant briser l’encerclement de Varsovie et de sa région par les troupes allemandes, 200'000 soldats polonais partent à l’assaut de la Prusse orientale, depuis la frontière avec l’Union soviétique et depuis les positions au nord de Varsovie, avec l’espoir que frapper un territoire allemand provoque un mouvement de troupes allemand vers la Prusse orientale pour protéger l’intégrité territoriale du Reich.

Action 9 – Contre-offensive de Grande Pologne

Cherchant là aussi à briser l’encerclement de la Grande Pologne, et comptant sur la distraction allemande en Prusse orientale, ce sont 300'000 soldats qui chargent sur la Grande Pologne et la Cujavie-Poméranie, actuellement occupées, pour repousser le plus loin possible les Allemands de la capitale, Varsovie.

Action 10 – Reconquête de la Silésie

Espérant réitérer la précédente contre-offensive conjointe en Silésie, 150'000 soldats polonais et 80'000 soldats tchèques partent à la reconquête de la région, depuis les territoires polonais et tchèques afin de prendre en tenaille les troupes allemandes et les contraindre à la retraite.

Nombre de mort à ce jour:

Modération de guerre
Tour 4 - Alliés

Front occidental

Bombardements frontaliers


Action 1 – Bombardement du Bade

Probabilités de succès : plus c’est bas, mieux c’est ; jet de dés : 42 [VICTOIRE]

Les frappes d’artillerie et les bombardements aériens menés depuis l’Alsace ont rencontré un certain succès. Bien mieux organisés que les précédentes fois, les avions et canons alliés sont parvenus à toucher plus précisément les positions ennemies, n’évitant toutefois pas certaines bavures. Plusieurs affrontements aériens ont eu lieu, à l’avantage des alliés. Toutefois, les alliés comptent aussi des pertes du fait de la riposte allemande, qui a toutefois causé bien moins de dégâts que ceux subis par l’Allemagne.

Pertes alliées : 300 morts, 30 avions
Pertes allemandes : 2'000 morts, 50 avions, 300 civils tués, désorganisation moyenne

Action 2 – Bombardement de l’outre-Rhin

Probabilités de succès : plus c’est bas, mieux c’est ; jet de dés : 39 [VICTOIRE]

Tout le long du Rhin, l’artillerie alliée a fait feu, et a fait mouche. C’est un déluge d’obus qui s’abat sur les positions allemandes, parfois couplé à des bombes larguées depuis l’aviation. Comme en Alsace, la victoire est à la clef, et les ennemis sont durement frappés. Pareillement, les combats aériens furent à l’avantage des alliés, tandis que les allemands peinèrent à riposter efficacement contre les bombardements.

Pertes alliées : 500 morts, 40 avions
Pertes allemandes : 3'000 morts, 80 avions, 1000 civils tués, désorganisation moyenne


Offensive sur la Ruhr


Action 3 – Offensive sur Duisbourg

Probabilités de succès : 45% ; jet de dés : 4 [VICTOIRE MAJEURE]

La stratégie anglo-française a porté ses fruits avec succès. Jouant sur la déstabilisation des lignes ennemies par les bombardements massifs, les troupes alliées sont parvenus à prendre les ponts et à traverser le Rhin, les divisions s’élançant depuis Wesel permettant de semer le chaos dans les lignes ennemies. Après plusieurs jours de violents combats, Duisbourg tombe aux mains alliées, et ouvre ainsi la porte de la Ruhr.

Pertes alliées : 1'500 morts
Pertes allemandes : 7'500 morts

Action 4 – Offensive sur Düsseldorf

Probabilités de succès : 45% ; jet de dés : 59 [DEFAITE]

Moins chanceuses qu’à Duisbourg, les troupes alliées ne parviennent pas à prendre Düsseldorf. Mieux protégée, ne pouvant compter sur la diversion de Wesel, la ville a tenu bon, trois des cinq ponts ayant été détruits par les allemands lors du début des combats. Les ponts anglais n’ont pas été très utiles, la situation ne permettant pas de les installer. Malgré quelques percées, les allemands sont parvenus à reprendre leurs positions, soutenus par des troupes basées plus au sud, et ont repoussé à l’ouest du Rhin les assaillants.

Pertes alliées : 9'000 morts
Pertes allemandes : 7'000 morts

Action 5 – Offensive sur Neuwied

Probabilités de succès : 40% ; jet de dés : 39 [VICTOIRE TRES MINEURE]


Peu propice à de tels affrontements, notamment à cause du faible nombre d’accès, Neuwied a vu les troupes alliées l’emporter à la Pyrrhus après de longues semaines d’affrontements indécis, jusqu’à ce que le flanc sud allemand finisse par céder, permettant aux soldats de l’Entente de forcer le passage et établir une tête de pont qui ressemble plus à une tête d’épingle de pont.

Pertes alliées : 5'000 morts
Pertes allemandes : 7'000 morts

Action 6 – Offensive sur Mannheim

Probabilités de succès : 40% ; jet de dés : 16 [VICTOIRE MAJEURE]

A Mannheim, l’homme du domicile (c’est un jeu de mot pourri avec la signification du nom de la ville) n’est plus allemand mais anglo-français. En reprenant la stratégie employée à Duisbourg, les armées alliées ont également repris le même succès insolent, l’attaque de la ville sur trois fronts ayant permis de percer les lignes ennemies après les avoir débordées.

Pertes alliées : 1'200 morts
Pertes allemandes : 5'000 morts


Mer du Nord

Action 7 – Blocus naval

Pas de jet nécessaire, pris en compte.

Front oriental

Contre-offensives tchéco-polonaises

Action 8 – Bataille de Prusse orientale

Probabilités de succès : 40% ; jet de dés : 42 [DEFAITE TRES MINEURE]

Les hussards y auront cru jusqu’au bout : après être parvenus à enfoncer les lignes allemandes en Prusse orientale, frôlant la frontière avec le territoire allemand et reprenant leur propre territoire, les soldats polonais ont subi une violente contre-attaque ennemie, les contraignant à rebrousser chemin et reprendre leurs positions initiales, les deux armées sortant assez affaiblies de ces affrontements alors que le front s’enlise de plus en plus.

Pertes polonaises : 13'000 morts
Pertes allemandes : 10'000 morts

Action 9 – Contre-offensive de Grande Pologne

Probabilités de succès : 45% ; jet de dés : 49 [DEFAITE TRES MINEURE]

Comme en Prusse orientale, les troupes polonaises ont connu un début de contre-offensive assez glorieux, gagnant du terrain et du moral au fur et à mesure que les victoires défilaient. Hélas, faute de ravitaillement suffisant, et épuisés, elles ne parvinrent pas à contre-carrer la riposte allemande survenue une fois les lignes réorganisées, et les Polonais sont là aussi contraints de retourner derrière leurs lignes, épuisés.

Pertes polonaises : 18'000 morts
Pertes allemandes : 14'000 morts

Action 10 – Reconquête de la Silésie

Probabilités de succès : 45% ; jet de dés : 40 [VICTOIRE ASSEZ MINEURE]

L’exploit a été réitéré pour les troupes polono-tchécoslovaques. Affaiblies sur les autres fronts, les troupes allemandes ne sont pas parvenus à défendre la Silésie et ont été contraintes de battre en retraite pour regagner le territoire du Reich, permettant ainsi aux soldats de la Petite Entente de récupérer ce morceau stratégique pour la Pologne, qui peut espérer se réapprovisionner un peu en charbon, du moins s’il reste des mines et usines encore exploitables.

Pertes polono-tchécoslovaques : 10'000 morts
Pertes allemandes : 14'000 morts

TOUR N -

Nature de l'action : Après 6 mois de défense, où la ligne du Rhin a été percé et la Silésie perdue pour la 4eme fois, l'Allemagne a mobilisé 2 millions d'hommes de plus. Elle part à l'offensive dans toutes les directions.


Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
5.900.000 soldats d’infanterie (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie) (+2.000.000 mobilisés, -100.000 morts, blessé, remplacés)
70.000 soldats de la force motorisé (avec mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, camions) (+20.000)
30.000 soldats de la force blindé (720 PZ-17, mitrailleuses, mitraillettes, mortiers, artillerie, automitrailleuse, camions) (+10.000)
Forces maritimes :
8 BB, 5C , 12 DD , 40 MTB (+3 S-boot)
Forces aériennes :
700 Arado Ar 64 (+200)
830 Heinkel HD 37 (+180-30)
12 Ju-52 (+6)

Répartition :
Réserves et Front Nord (Danemark):250.000 soldats
Front Est (Pologne): 1.500.000 soldats(inf) + 70.000 (mot) + 30.000 (tank) + 12 Ju-52 et 400 Arado Ar 64
Front Sud (Austro-tchécoslovaque) :750.000 soldats  + 30 Arado Ar 64
Font Ouest (Rhin): 3.400.000 soldats + 830 Heinkel HD 37


Détails de l'action :

Front Est:

Front Sud:

Front Ouest:

Front Nord:

TOUR 5 - Union soviétique

Nature de l'action : Suite aux rejet de l'ultimatum soviétique par la Pologne, l'Armée rouge a reçu l'ordre de passer à la vitesse supérieure pour assurer les intérêts soviétiques dans la région. Pour rétablir le contexte, cela fait plusieurs mois que des accrochages réguliers sont organisés par les soviétiques à la frontière pour tester les défenses polonaises mais aussi pour maintenir Varsovie sous forte pression. L'effondrement observé par toute la planète des capacités offensives de l'armée polonaise face à une armée allemande aux reins plus solide qui devrait être capable de finir le travail avant l'automne sert de justification officielle quand à l'intervention en Pologne. Faisant fi des vieilles rancunes et de l'abyme politique qui sépare l'Union du gouvernement polonais, l'URSS a proposé à la Pologne d'intervenir à son profit pour mettre un terme aux exactions de l'armée allemande et donc d'entrer en guerre aux côtés de la coalition européenne. Aveuglé par sa folie, Varsovie à rejeté l'offre soviétique, pour cette raison la diplomatie soviétique insiste sur deux raisons qui forcent l'action de l'Armée rouge : la protection des minorités ethniques que l'Union considère comme étant sous sa protection : biélorusses, ukrainiens, ashkénazes ; la constitution d'une zone tampon avec l'armée allemande en progression pour éviter l'extension du conflit sur le territoire soviétique. Une guerre "défensive" en somme.
Dans les faits bien sur l'objectif est différent. Il s'agit principalement d'escalader le conflit larvée qui couve afin de forcer la Pologne à déplacer du matériel lourd à l'est et donc d'accélérer le travail de l'armée allemande.


Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
500 00 soldats ; ~100 blindés legers ; nombreuses tankettes ; cavalerie

Forces aériennes :
~500 chasseurs I-1/I-3/I-4
~300 bombardiers/attaque au sol R-5/TB-1/Po-2

Détails de l'action :
Action 1 - Offensive sur Byaltosk

La conduite des opérations sur le front nord est confiée à Vassili Blucher qui rentre d'un poste de conseiller militaire en Chine. L'objectif est l'application des doctrines de guerre soviétique et le test des équipements neufs indigènes entrés en service ces dernières années. L'application est simple, un déluge de feu sur plusieurs points identifiés du front par l'artillerie et l'aviation puis l'utilisation des chars et de la cavalerie pour effectuer des percées visant à atteindre et détruire la deuxième ligne ennemie. Enfin, un assaut d'infanterie afin d'enlever la première ligne désormais désorganisé. Ici, l'objectif final est Byaltosk.

Chances de succès : % jet de dés :
Résultat de l'action :

Action 2 - offensive sur Lwow

Semion Timochenko assurera lui la conduite des opérations au sud. C'est un quasi-copier-coller de la conduite des opérations autour de Byaltosk appliquant les mêmes principes de concentration de feu visant à percer le front puis d'utilisation de la mobilité supérieure de l'Armée rouge et de sa supériorité aérienne pour désorganiser le dispositif stratégique ennemi. L'objectif est cette fois la prise de Lwow.

Chances de succès : % jet de dés :
Résultat de l'action :

Front Est:

Front Sud:

Front Ouest:

Front Nord:

Spoiler: