[Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
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[Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
République des Deux-Nations / Électorat princier de Saxe
Les troupes polonaises entrèrent donc en territoire ottoman, éliminant les petites garnisons frontalières grâce à leur supériorité numérique.
L'armée polonaise avançait donc de village en village, éliminant les milices se dressant sur sa route. Alors l'armée arriva devant les murs de Balti, ville moldave.
Refusant la demande de reddition, la garnison entama des préparatifs. Le général polonais se refusait à assiéger la ville, ne voulant pas perdre de temps.
Il décida d'envoyer la cavalerie en avant, contournant la ville, pour s'emparer des villages voisins. Puis il fit donner l'artillerie. Les remparts de la ville étaient ridicule, cette dernière ne s'étant toujours pas totalement relevé des raids Tatars des siècles précédents.
L'armée avait reçu l'ordre d'attendre en position défensive, les hallebardiers protégeant les flancs de l'infanterie de ligne. L'artillerie abattit les remparts nord de la ville après de longues heures de pilonnage.
Une fois les murs tombés, la bataille fut engagée entre l'armée polonaise et la garnison moldave de Balti. La supériorité numérique écrasante, couplée à l'effet dévastateur de l'artillerie sur le moral, provoqua la déroute de la garnison, malgré quelques unités qui maintinrent leurs positions. Ces dernières furent décimées par les salves destructrice de l'infanterie saxonne, nom donné aux unités polonaises depuis la réforme militaire d'Auguste II.
Pays concernés : République des Deux-Nations / Empire Ottoman
Casus Belli : Pas de réponse à l'ultimatum / Guerre de reconquête de la Moldavie et des côtes ouest de l'Ukraine, appartenant au Grand-Duché de Lituanie au XVème siècle
Le Général Jozef Kakrini reçut l'ordre, après l'absence de réponse de la part des Ottomans, de pénétrer en territoire ottoman dans la région moldave.Effectifs polono-lituaniens :
-15 Régiments d'Infanterie de Ligne (30.000 hommes)
-5 Régiments de Hallebardiers (10.000 hommes)
-2 Bataillons d'artillerie (60 canons)
-3 Régiments de Uhlans (1.500 cavaliers)
Effectifs ottomans :
Armée du Sultan
-50 000 cavaliers
-12 000 fantassins
Les troupes polonaises entrèrent donc en territoire ottoman, éliminant les petites garnisons frontalières grâce à leur supériorité numérique.
L'armée polonaise avançait donc de village en village, éliminant les milices se dressant sur sa route. Alors l'armée arriva devant les murs de Balti, ville moldave.
Refusant la demande de reddition, la garnison entama des préparatifs. Le général polonais se refusait à assiéger la ville, ne voulant pas perdre de temps.
Il décida d'envoyer la cavalerie en avant, contournant la ville, pour s'emparer des villages voisins. Puis il fit donner l'artillerie. Les remparts de la ville étaient ridicule, cette dernière ne s'étant toujours pas totalement relevé des raids Tatars des siècles précédents.
L'armée avait reçu l'ordre d'attendre en position défensive, les hallebardiers protégeant les flancs de l'infanterie de ligne. L'artillerie abattit les remparts nord de la ville après de longues heures de pilonnage.
Une fois les murs tombés, la bataille fut engagée entre l'armée polonaise et la garnison moldave de Balti. La supériorité numérique écrasante, couplée à l'effet dévastateur de l'artillerie sur le moral, provoqua la déroute de la garnison, malgré quelques unités qui maintinrent leurs positions. Ces dernières furent décimées par les salves destructrice de l'infanterie saxonne, nom donné aux unités polonaises depuis la réforme militaire d'Auguste II.
Carte de l'avancée polonaisePertes polonaises :
-2.900 soldats d'infanterie (hallebardiers + infanterie de ligne)
Pertes moldaves et ottomanes :
-6.200 soldats, miliciens et gardes frontières
Communiqué au Saint Empire, à la Russie et à l'Europe
La Pologne aura besoin de toute l'aide possible dans cette lutte contre les infidèles musulmans de l'Empire Ottoman. Nous appelons toutes les nations européennes chrétiennes à nous rejoindre dans cette lutte divine.
Gungauss- Chef de Département des Nations Unies
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Localisation : A bord du R95
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Царство Русское
Tsarat de Russie
Affaires extérieures.
Tsarat de Russie
Affaires extérieures.
Moscou se dit aussi courroucée que Varsovie pour le manque de considération apporté par les Ottomans dans les procédures diplomatiques à l'issue de la précédente guerre. Une non-reddition ou l'absence d'une dernière réponse de la part des Païens entraînera une seconde entrée en guerre de la Russie aux côtés de la République des Deux-Nations.
Eindes- Premier Ministre
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Date d'inscription : 15/04/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Empire Ottoman
Ambiance :
Constantinople, dans la Sublime Porte..12 septembre 1702.
Sultan Mustapha II : Les polonais ont pénétrés en Moldavie, nous allons les faire payer ! Le Grand Vizir est déjà sur place et fait marche sur l'armée polonaise avec son armée..Mais les Russes viennent de nous menacer, j'éspère que le très respecté Charles XII acceptera mon offre d'alliance défensive.
Général Hassan Ben Sahid : N'avez vous pas pris d'autres mesures dans le cas d'une éventuelle intervention de la Russie ô grand Sultan ?
Sultan Mustapha II : Bien sûr que si, mon frère Ahmet III a rassemblé une armée à l'est de la Turquie et la flotte de la mer noire ayant fait le plein de vivre va se diriger au nord de la mer noire, les troupes sur place en Crimée se rassembles avec les conscrits pour former une unique armée.
Général Hassan Ben Sahid : Bien Sultan, mais je pense que nous avons un autre problème, mes espions ont repérés des mouvements de troupes sur la frontière Autrichienne, ils semblaient important mais je n'est pas d'autres informations, peut-être devrions nous agir pour être prêt à toute éventualités ?
Sultan Mustapha II : Mmmhh..je ne serais pas étonné que cette triple alliance naisse à nouveau en effet, je vais donner l'ordre à toutes les troupes sur la frontières avec l’Autriche de ce replier sur les puissants murs de Belgrade et de Sarajevo, de même pour les troupes dans la région les entourant. Quant à toi ô vaillant Hassan Ben Sahid, tu vas prendre la tête d'une puissante armée venant de toute la Thrace et de Grèce que tu mèneras à Sofia, n'hésite surtout pas à recruter les volontaires turcs , grecs ou bulgares que tu croiseras dans les villes sur ton chemins.
Général Hassan Ben Sahid : A vos ordres ô grand Sultan, puisse Allah nous donner la victoire.
Bataille de Balti :
Forces en présences :
L’armée principale menée par le grand vizir était composé de 22.000 fantassins d'infanterie de ligne, 2000 épéiste Bashibazouk, 4000 Archers, 4000 Hallebardier, 60 canons de campagne, les épéistes Bashibazouk étaient en première ligne, pendant l'avancée de la grande armée Ottomane sur la ville, la cavalerie Uhlans pensait faire face à une armée composé majoritairement de Bashibazouk, une charge sur eux aurait été dévastatrice, c'est pour cela que la cavalerie Uhlans chargea, les Bashibazouk reçurent l'ordre de charger en courant eux aussi contre la cavalerie, peu discipliné quelques centaines d'entre eux refusèrent d'obéir et restèrent en première ligne sans bouger, pendant que les Uhlans et les Bashibazouk couraient au combat, cependant en troisième ligne les Archers ottomans reçurent l'ordre de tirer une première salve, qui fit mouche et tua plusieurs centaines de Ulhans, à l'approche des Bashibazouk saisissant leurs carabines une salve fut tirée et tua près de trois quart des Bashibazouk qui chargeaient sur eux, les archers eurent l'ordre de tirer une seconde salve en dépit du faite que les flèches tueraient aussi des épéistes Bashibazouk, la salve fut des centaines de mort des deux cotés, les Bashibazouk envoyés à la charge étaient mort et les Uhlans continuèrent leur charge dans le but de terrasser les premières lignes et les archers ottomans, cependant les Hallebardier qui étaient en deuxième ligne ce saisirent de leurs Hallebardes et ce placèrent en première ligne juste avant la charge des Uhlans qui fut dévastatrice pour ceux-ci, les rares Uhlans passant les lignes des Hallebardiers firent face aux Bashibazouk qui avaient refusés de charger et ils n'atteignirent donc pas les archer ottoman.
L'escarmouche remporté par l'armée Ottomane au prix de la perte de plus de 1500 bashibazouk et de plusieurs centaines d'hallebardiers, l'Armée Ottomane devait maintenant faire le plus dure...prendre la ville.
Les remparts de la ville étaient très faible et briser les rempart Sud ne sera pas un problème avec l'artillerie, toute la cavalerie Ottomane fut envoyé contourner la ville pour ce mettre en position de charge près du rempart Nord, à l'est les troupes régionales étaient arrivées munis d’échelles et attendaient le signal pour se mettre à l'attaque. Au Sud les rempart étaient en train de céder sous les tirs de l'artillerie Ottomane, afin de démoraliser les troupes polonaises, les archers tiraient quelques salves de flèches enflammées puis de flèches nues afin de diminuer les rangs polonais, mais surtout de répondre d'une manière brutale aux tirs d'artillerie polonais.
Le Mur sud étaient détruits que les manœuvres militaires importantes commençaient au sud, l'infanterie de ligne couverte par les Hallebardiers sur les flancs avançaient en direction de la ville, pendant qu'à l'est les troupes ottomanes chargeaient, les 6000 bashibazouks essuyant des tirs et des boulets des canons plaçaient courageusement leurs échelles sur les remparts, pendant que les tirailleurs tiraient sur les soldats dans les rempart, les troupes polonaises était face à un dilemme tirer sur les bashibazouks qui une fois sur les murs auraient fait un carnage ou tirer sur les tirailleurs qui provoquaient de grandes pertes sur la garnison polonaise ? Les polonais faisaient feu à volonté.
Au Nord les carabiniers chargeaient en direction de la partie droite des murs suivit à un intervalle d’une trentaines de secondes par le reste de la cavalerie, les carabiniers tirèrent une salve sur les troupes polonaises composés de fantassins et d'hallebardiers, qui répliquèrent eux aussi et firent une centaine de mort chez les carabiniers, les carabiniers changèrent de direction pour aller harceler les troupes coté gauche, pendant que les 2000 cavaliers ottomans chargeaient sur le coté droit qui venait d'essuyer une salve et les hallebardiers présent eurent à peine le temps de se replacer, la charge bien qu'en partie arrêté fut très douloureuse pour les troupes nord.
Au sud les infanteries de ligne ottomanes et polonaises faisaient face, les archers ottomans n'avaient quant à eux plus de flèches dans leurs carquois, mais les pertes qu'ils ont fait subir aux polonais étaient loin d'être négligeables.
A l'est, les bashibazouk étaient désormais sur les rempart qui étaient presque vide de polonais qui avaient été éliminés pour beaucoup par les tirailleurs ottomans, les bashibazouk commençaient à pénétrer dans la ville et à piller les habitations.
Au nord le flanc ouest des troupes protégeant le nord de la ville étaient décimé par la cavalerie, le flanc gauche était harcelé par les carabiniers qui subirent tout de même eux aussi de lourdes pertes, la cavalerie battit en retraite et le reste des troupes polonaises battirent eux aussi en retraite, mais vers le centre de la ville pour que celle-ci ne soit pas prise par les ottomans.
Au Sud, les salves étaient dévastatrice mais le nombre ottomans serait gagnant au long terme, pour cette raison les polonais décidèrent de rejoindre le reste de leurs armée au centre de la ville afin de tenir celui-ci et de repousser les ottomans qui dans les ruelles de la ville seraient moins efficace.
Le Grand Vizir était face à un dilemme, envoyer toute ces troupes prendre le centre de la ville au risque de très lourde de perte et qu'une autre armée polonaise arrive pour reprendre la ville ou battre en retraite ? Suite aux pertes que l'armée du grand vizir venait de faire subir aux polonais, le Grand Vizir décida de faire battre en retraite l'armée pour ce diriger dans le sud de la région de Dobroga de façon à ce qu'une éventuelle armée polonaise arrivé en renfort ne puisse pas l'affronter.
Cependant environ 2000 Bashibazouk n'écoutèrent encore une fois pas les ordre et restèrent dans l'est de la ville pour piller celui-ci et bruler les bâtiments de la ville mais une fois que les polonais eu été informé du retrait de l'armée ottomane, ces bashibazouk furent massacrés.
Pertes :
Mouvement de troupes Ottomans :
Environ 60.000 conscrit sont levés dans les Balkans, en Turquie et en Crimée surtout parmi ceux ayant déjà l'expérience des anciennes guerres ottomanes.
Carte :
Ambiance :
- Spoiler:
- https://www.youtube.com/watch?v=PSaa2A7csxM
Constantinople, dans la Sublime Porte..12 septembre 1702.
- Spoiler:
Sultan Mustapha II : Les polonais ont pénétrés en Moldavie, nous allons les faire payer ! Le Grand Vizir est déjà sur place et fait marche sur l'armée polonaise avec son armée..Mais les Russes viennent de nous menacer, j'éspère que le très respecté Charles XII acceptera mon offre d'alliance défensive.
Général Hassan Ben Sahid : N'avez vous pas pris d'autres mesures dans le cas d'une éventuelle intervention de la Russie ô grand Sultan ?
Sultan Mustapha II : Bien sûr que si, mon frère Ahmet III a rassemblé une armée à l'est de la Turquie et la flotte de la mer noire ayant fait le plein de vivre va se diriger au nord de la mer noire, les troupes sur place en Crimée se rassembles avec les conscrits pour former une unique armée.
Général Hassan Ben Sahid : Bien Sultan, mais je pense que nous avons un autre problème, mes espions ont repérés des mouvements de troupes sur la frontière Autrichienne, ils semblaient important mais je n'est pas d'autres informations, peut-être devrions nous agir pour être prêt à toute éventualités ?
Sultan Mustapha II : Mmmhh..je ne serais pas étonné que cette triple alliance naisse à nouveau en effet, je vais donner l'ordre à toutes les troupes sur la frontières avec l’Autriche de ce replier sur les puissants murs de Belgrade et de Sarajevo, de même pour les troupes dans la région les entourant. Quant à toi ô vaillant Hassan Ben Sahid, tu vas prendre la tête d'une puissante armée venant de toute la Thrace et de Grèce que tu mèneras à Sofia, n'hésite surtout pas à recruter les volontaires turcs , grecs ou bulgares que tu croiseras dans les villes sur ton chemins.
Général Hassan Ben Sahid : A vos ordres ô grand Sultan, puisse Allah nous donner la victoire.
Bataille de Balti :
Forces en présences :
Les éclaireurs avaient fait savoir au Grand Vizir Köprülü Hüseyin que les villages entourant la ville étaient tenus par les Uhlans, le grand vizir pensait qu'à l'approche de l'armée, les Uhlans tenterons une charge pour désorganiser l'armée ottomans comme l'avaient fait les autrichiens à la bataille de Zenta où son prédécesseur fut tué. Mais le Grand Vizir avait un plan pour contrer cette charge...Avec les autres officiers le Grand Vizir cherchait un moyen pour prendre la ville, les officier voulaient effectuer un long siège où une attaque en masse sur la ville, ce que désapprouva le grand Vizir, des troupes régionales composés en grande partie d’épéistes Bashibazouk et de tirailleurs avançaient par l'est en direction de la ville, il fallait donc attaquer à différents endroits au même moment et cela en force afin de désorganiser temporairement l'armée polonaise, organisation qui a été la cause de nombreuses défaites ottomanes.Armée Polonaise : 28.500 fantassin d'infanterie de ligne, 8600 Hallebardiers, 60 canons de campagne, 1500 cavaliers Uhlans soit 38.600 hommes.
Armée Ottomane : 24.000 fantassins d'infanterie de ligne, 8000 épéiste Bashibazouk, 6000 Tirailleurs, 4000 Archers, 4000 Hallebardier, 1500 cavaliers bashibazouks, 500 cavaliers janissaires, 500 carabiniers et 60 canons de campagne, soit 48.500 hommes.
L’armée principale menée par le grand vizir était composé de 22.000 fantassins d'infanterie de ligne, 2000 épéiste Bashibazouk, 4000 Archers, 4000 Hallebardier, 60 canons de campagne, les épéistes Bashibazouk étaient en première ligne, pendant l'avancée de la grande armée Ottomane sur la ville, la cavalerie Uhlans pensait faire face à une armée composé majoritairement de Bashibazouk, une charge sur eux aurait été dévastatrice, c'est pour cela que la cavalerie Uhlans chargea, les Bashibazouk reçurent l'ordre de charger en courant eux aussi contre la cavalerie, peu discipliné quelques centaines d'entre eux refusèrent d'obéir et restèrent en première ligne sans bouger, pendant que les Uhlans et les Bashibazouk couraient au combat, cependant en troisième ligne les Archers ottomans reçurent l'ordre de tirer une première salve, qui fit mouche et tua plusieurs centaines de Ulhans, à l'approche des Bashibazouk saisissant leurs carabines une salve fut tirée et tua près de trois quart des Bashibazouk qui chargeaient sur eux, les archers eurent l'ordre de tirer une seconde salve en dépit du faite que les flèches tueraient aussi des épéistes Bashibazouk, la salve fut des centaines de mort des deux cotés, les Bashibazouk envoyés à la charge étaient mort et les Uhlans continuèrent leur charge dans le but de terrasser les premières lignes et les archers ottomans, cependant les Hallebardier qui étaient en deuxième ligne ce saisirent de leurs Hallebardes et ce placèrent en première ligne juste avant la charge des Uhlans qui fut dévastatrice pour ceux-ci, les rares Uhlans passant les lignes des Hallebardiers firent face aux Bashibazouk qui avaient refusés de charger et ils n'atteignirent donc pas les archer ottoman.
L'escarmouche remporté par l'armée Ottomane au prix de la perte de plus de 1500 bashibazouk et de plusieurs centaines d'hallebardiers, l'Armée Ottomane devait maintenant faire le plus dure...prendre la ville.
Les remparts de la ville étaient très faible et briser les rempart Sud ne sera pas un problème avec l'artillerie, toute la cavalerie Ottomane fut envoyé contourner la ville pour ce mettre en position de charge près du rempart Nord, à l'est les troupes régionales étaient arrivées munis d’échelles et attendaient le signal pour se mettre à l'attaque. Au Sud les rempart étaient en train de céder sous les tirs de l'artillerie Ottomane, afin de démoraliser les troupes polonaises, les archers tiraient quelques salves de flèches enflammées puis de flèches nues afin de diminuer les rangs polonais, mais surtout de répondre d'une manière brutale aux tirs d'artillerie polonais.
- Spoiler:
Le Mur sud étaient détruits que les manœuvres militaires importantes commençaient au sud, l'infanterie de ligne couverte par les Hallebardiers sur les flancs avançaient en direction de la ville, pendant qu'à l'est les troupes ottomanes chargeaient, les 6000 bashibazouks essuyant des tirs et des boulets des canons plaçaient courageusement leurs échelles sur les remparts, pendant que les tirailleurs tiraient sur les soldats dans les rempart, les troupes polonaises était face à un dilemme tirer sur les bashibazouks qui une fois sur les murs auraient fait un carnage ou tirer sur les tirailleurs qui provoquaient de grandes pertes sur la garnison polonaise ? Les polonais faisaient feu à volonté.
Au Nord les carabiniers chargeaient en direction de la partie droite des murs suivit à un intervalle d’une trentaines de secondes par le reste de la cavalerie, les carabiniers tirèrent une salve sur les troupes polonaises composés de fantassins et d'hallebardiers, qui répliquèrent eux aussi et firent une centaine de mort chez les carabiniers, les carabiniers changèrent de direction pour aller harceler les troupes coté gauche, pendant que les 2000 cavaliers ottomans chargeaient sur le coté droit qui venait d'essuyer une salve et les hallebardiers présent eurent à peine le temps de se replacer, la charge bien qu'en partie arrêté fut très douloureuse pour les troupes nord.
Au sud les infanteries de ligne ottomanes et polonaises faisaient face, les archers ottomans n'avaient quant à eux plus de flèches dans leurs carquois, mais les pertes qu'ils ont fait subir aux polonais étaient loin d'être négligeables.
A l'est, les bashibazouk étaient désormais sur les rempart qui étaient presque vide de polonais qui avaient été éliminés pour beaucoup par les tirailleurs ottomans, les bashibazouk commençaient à pénétrer dans la ville et à piller les habitations.
Au nord le flanc ouest des troupes protégeant le nord de la ville étaient décimé par la cavalerie, le flanc gauche était harcelé par les carabiniers qui subirent tout de même eux aussi de lourdes pertes, la cavalerie battit en retraite et le reste des troupes polonaises battirent eux aussi en retraite, mais vers le centre de la ville pour que celle-ci ne soit pas prise par les ottomans.
Au Sud, les salves étaient dévastatrice mais le nombre ottomans serait gagnant au long terme, pour cette raison les polonais décidèrent de rejoindre le reste de leurs armée au centre de la ville afin de tenir celui-ci et de repousser les ottomans qui dans les ruelles de la ville seraient moins efficace.
Le Grand Vizir était face à un dilemme, envoyer toute ces troupes prendre le centre de la ville au risque de très lourde de perte et qu'une autre armée polonaise arrive pour reprendre la ville ou battre en retraite ? Suite aux pertes que l'armée du grand vizir venait de faire subir aux polonais, le Grand Vizir décida de faire battre en retraite l'armée pour ce diriger dans le sud de la région de Dobroga de façon à ce qu'une éventuelle armée polonaise arrivé en renfort ne puisse pas l'affronter.
Cependant environ 2000 Bashibazouk n'écoutèrent encore une fois pas les ordre et restèrent dans l'est de la ville pour piller celui-ci et bruler les bâtiments de la ville mais une fois que les polonais eu été informé du retrait de l'armée ottomane, ces bashibazouk furent massacrés.
Pertes :
Pertes Polonaise : 18.100 fantassin d'infanterie de ligne, 5200 Hallebardiers, 1400 cavaliers Uhlans soit 24.700 hommes.
Pertes Ottomane : 12.500 fantassins d'infanterie de ligne, 5800 épéiste Bashibazouk, 1500 Tirailleurs, 1500 Hallebardier, 1100 cavaliers bashibazouks, 250 cavaliers janissaires, 300 carabiniers soit 21.950 hommes.
Mouvement de troupes Ottomans :
Environ 60.000 conscrit sont levés dans les Balkans, en Turquie et en Crimée surtout parmi ceux ayant déjà l'expérience des anciennes guerres ottomanes.
- Spoiler:
Carte :
- Spoiler:
- Spoiler:
- Rond Violet ; Positionnement de l'Armée du Grand Vizir comportant : 11.500 fantassins d'infanterie de ligne, 2200 épéistes Bashibazouk, 4500 Tirailleurs, 4000 Archers, 2500 Hallebardier, 400 cavaliers bashibazouks, 250 cavaliers janissaires, 200 carabiniers, 3000 conscrit Bashibazouk, 2000 conscrits avec fusils et 60 canons de campagne, soit 31.550 hommes.
Rond Noir ; Positionnement de la Garnison de Belgrade : 8000 fantassins d'infanterie de ligne, 2000 tirailleurs, 2000 Miliciens, 2000 Hallebardiers, 1000 Archer, 2000 Janissaires, 8000 conscrits bachibazouk, 2000 archers conscrit Azap, 2000 conscrits avec fusils et 30 canons. soit 29.000 hommes.
Rond Rose ; Positionnement de la Garnison de Sarajevo : 6000 fantassins d'infanterie de ligne, 2000 tirailleurs, 2000 Miliciens, 2000 Hallebardiers, 2000 épéistes bachibazouk, 2000 Archer, 9000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 4000 conscrits avec fusils et 30 canons soit 30.000 hommes.
Rond Orange ; Positionnement de l'Armée d'Hassan ben Saïd : 21.000 fantassins d'infanterie de ligne, 6000 tirailleurs, 3000 Hallebardiers, 1000 Archer, 6000 épéistes bashibazouk, 4000 conscrits bachibazouk, 2000 archers conscrit Azab, 8000 conscrits avec fusil, 6000 Janissaires, 1000 dragons, 1000 carabiniers, 1000 cavaliers bashibazouk et 90 canons soit 60.000 hommes.
Rond Vert ; Positionnement du Khanat de Crimée : 11.000 fantassins d'infanterie de ligne, 6000 tirailleurs, 1000 Hallebardiers, 6000 épéistes bashibazouk, 2000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 4000 conscrits avec fusil, 1000 carabiniers, 2000 cavaliers Bashibazouk et 60 canons soit 32.000 hommes.
Rond Brun ; Positionnement de l'armée de Ahmet III : 15.000 fantassins d'infanterie de ligne, 5000 tirailleurs, 2000 Hallebardiers, 8000 épéistes bashibazouk, 1000 archers, 1500 archers conscrit Azab, 6000 conscrits avec fusil, 500 carabiniers, 500 dragons, 6000 janissaires et 60 canons soit 44.500 hommes. Navires : 45 Indiaman, 5 navire de ligne de troisième rang, 15 navires de de cinquième rang, 5 navire de quatrième rang et 10 Chebec.
Rond Jaune ; Positionnement de la flotte au large de l'Albanie : 5 navires de troisième rang, 5 navires de quatrième rang, 10 navires de sixième rang.
Hesdine- Premier Ministre
- Messages : 1483
Date d'inscription : 07/04/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Hesdine, faudrait faire baisser le chiffre de pertes là
Twinkless- Secrétaire général des Nations Unies
- Messages : 4235
Date d'inscription : 22/08/2011
Age : 26
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Borat m'a dit ok.
( Pour une bataille comme ça à cette époque, ce nombre de pertes c'est dans la norme, surtout chez les ottomans où les guerres étaient plus meurtrières car y'avais quasiment jamais de prisonniers contrairement aux batailles "européennes". )
( Pour une bataille comme ça à cette époque, ce nombre de pertes c'est dans la norme, surtout chez les ottomans où les guerres étaient plus meurtrières car y'avais quasiment jamais de prisonniers contrairement aux batailles "européennes". )
Hesdine- Premier Ministre
- Messages : 1483
Date d'inscription : 07/04/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
République des Deux-Nations / Électorat Princier de Saxe
Le Roi Auguste II reçut un rapport de la bataille de Balti et de la contre offensive ottomane. Il a été choqué par les pertes monstrueuses subies par les deux camps. Il a immédiatement ordonné l'envoie de l'intégralité de l'armée polonaise vers la Moldavie. Seule les unités de Hallebardiers resteront stationnées dans la région de Courlande, pendant que la flotte effectuera des patrouilles le long de la côte. La Pologne n'a toujours pas oublié son vieil ennemi suédois, et ses velléités impérialistes dans la Baltique.
Le général Jozef Kakrini prit l'initiative de rassembler ses effectifs et de les retirer sur les positions défensives construites en Pologne, avant de bifurquer vers l'est. L'armée de renfort prit ainsi la place de la Ière Armée polonaise.
La IIème Armée a pour objectif de s'emparer des côtes moldaves en attendant les renforts des alliés et de nouvelles recrues. Cette avance se fait rapidement, étant donné que les armées ottomanes ont évacuées la région. Les seules poches de résistance sont des milices locales ou des Bachibouzouks indisciplinés, rapidement éliminés par l'armée professionnelle polonaise.
La Pologne évoque déjà la création d'un État Slave, qui s'étendrait sur les possessions ottomanes en Europe. Cet État Slave indépendant répondrait enfin aux volontés d'indépendance des Slaves des Balkans. Auguste II espère, avec cette promesse d'indépendance, que les peuples slaves se soulèveront et prendront les armes contre les infidèles qui occupent et souillent l'Europe.
La prise de la place forte d'Izmaïl, au sud, s'est faite rapidement. L'artillerie avait reçu l'ordre de ne tirer que sur les unités hors du fort, devant laisser intact les remparts. La petite garnison, abandonnée par l'armée ottomane, n'a opposée qu'une résistance symbolique.
Pertes : insignifiantes, peu de résistance ottomane dans la région (vu avec Hesdine)
Recrutement en Pologne de : 10 régiments d'Infanterie de Ligne [50.000]
Recrutement en Lituanie de : 5 régiments de Hallebardiers [30.000]
Levée dans la région de Kiev de : 10 régiments de Conscrits [-]
Le Roi Auguste II reçut un rapport de la bataille de Balti et de la contre offensive ottomane. Il a été choqué par les pertes monstrueuses subies par les deux camps. Il a immédiatement ordonné l'envoie de l'intégralité de l'armée polonaise vers la Moldavie. Seule les unités de Hallebardiers resteront stationnées dans la région de Courlande, pendant que la flotte effectuera des patrouilles le long de la côte. La Pologne n'a toujours pas oublié son vieil ennemi suédois, et ses velléités impérialistes dans la Baltique.
Le général Jozef Kakrini prit l'initiative de rassembler ses effectifs et de les retirer sur les positions défensives construites en Pologne, avant de bifurquer vers l'est. L'armée de renfort prit ainsi la place de la Ière Armée polonaise.
Effectifs de la IIème Armée en Moldavie :
Infanterie de Ligne : 27 (44.000 hommes)
Artillerie: 4 (120 canons)
Cavalerie: 5 (2.500 cavaliers)
Effectifs de la Ière Armée:
10.400 fantassin d'infanterie de ligne, 2400 Hallebardiers, 30 canons de campagne, 100 cavaliers Uhlans
La IIème Armée a pour objectif de s'emparer des côtes moldaves en attendant les renforts des alliés et de nouvelles recrues. Cette avance se fait rapidement, étant donné que les armées ottomanes ont évacuées la région. Les seules poches de résistance sont des milices locales ou des Bachibouzouks indisciplinés, rapidement éliminés par l'armée professionnelle polonaise.
La Pologne évoque déjà la création d'un État Slave, qui s'étendrait sur les possessions ottomanes en Europe. Cet État Slave indépendant répondrait enfin aux volontés d'indépendance des Slaves des Balkans. Auguste II espère, avec cette promesse d'indépendance, que les peuples slaves se soulèveront et prendront les armes contre les infidèles qui occupent et souillent l'Europe.
La prise de la place forte d'Izmaïl, au sud, s'est faite rapidement. L'artillerie avait reçu l'ordre de ne tirer que sur les unités hors du fort, devant laisser intact les remparts. La petite garnison, abandonnée par l'armée ottomane, n'a opposée qu'une résistance symbolique.
Pertes : insignifiantes, peu de résistance ottomane dans la région (vu avec Hesdine)
Carte des opérations
Positionnement :
Ière Armée à l'est, se dirigeant vers Kherson
IIème Armée au sud, à Izmaïl
Recrutement en Pologne de : 10 régiments d'Infanterie de Ligne [50.000]
Recrutement en Lituanie de : 5 régiments de Hallebardiers [30.000]
Levée dans la région de Kiev de : 10 régiments de Conscrits [-]
- Spoiler:
- Les posts de mes alliés seront bientot prêt, notre tour n'est pas fini
Gungauss- Chef de Département des Nations Unies
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Date d'inscription : 16/10/2011
Localisation : A bord du R95
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Heiliges Römisches Reich
L’Empereur du Saint Empire Romain Germanique honore son alliance envers en déclarant la guerre a l'Empire Ottoman. L'Empereur réquisitionnera des troupes de la Prusse pour mettre a épreuve leur fidélité pour cette guerre , mais les autre Électorat et État du Saint Empire Romain Germanique sont simplement invité à aider leur Empereur de la manière dont ils le souhaitent.
Effectif de l'Autriche engagé en Territoire Ennemi:
Le Conseil de guerre se réunit rapidement:
Mesures Impériales
Des Cavaliers(comprendre Cavalerie+Uhlan+Dragon) sont envoyé en territoire ennemi afin d'effectuer des reconnaissances et de surveiller les mouvement de troupe ennemi. Pour l'instant commence les travaux de refortification de Belgrade pour 50 000 Florin Autrichien. Pour l'instant la Majeur partie des troupes et Statique seul 1500 Fantassin et 3000 Tirailleur de Sarajevo se dirige vers Belgrade.Le Mouvement ou non dépendra de celui des troupes Ottomanes.
Carte:
(A la Modération: Si le pertes Ottomanes semble abuse comparé aux miennes, il ne faut pas oublier qu'elle est a moitié conscripte dans ces cas et que les gros chiffre sont surtout ceux issue de la conscription qui sont pour la plupart plus disperser que mort.)
L’Empereur du Saint Empire Romain Germanique honore son alliance envers en déclarant la guerre a l'Empire Ottoman. L'Empereur réquisitionnera des troupes de la Prusse pour mettre a épreuve leur fidélité pour cette guerre , mais les autre Électorat et État du Saint Empire Romain Germanique sont simplement invité à aider leur Empereur de la manière dont ils le souhaitent.
Effectif de l'Autriche engagé en Territoire Ennemi:
40 000 Conscrit dans les régions ayant été opprimé par les Ottoman levé pour l'occasion, 68 000 d'infanterie de Ligne,21 000 Tirailleurs ,8000 Uhlans,380 Canon,2000 Cavalier,5000 Dragon.Soit 144 000 Hommes qui veulent aller faire un tour au Harem du Sultan.
Le Conseil de guerre se réunit rapidement:
Bataille de Sarajevo:
Leopold Ier: Ainsi les Polonais ont vraiment attaqué, l'Empire Ottoman... J'ai entendu dire que leur situation est assez mauvaise? Qui peut clairement m’explique la situation?
Oberst Friedrich Heinrich von Seckendorff: Mein Kaiser, les Polonais ont vaillamment combattu contre les Ottomans lors de la bataille de Balti qui ont reussi a tenir la Ville. Les Ottomans ont revanche reçu une victoire tactique en ayant moins de perte que les Polonais. Actuellement , il se sont replié vers l'interieur des terres et les Polonais se sont rendu jusqua la Mer Noir
Leopold Ier: Soite et du coté des Mouvements de troupe Ottoman?
Oberst Friedrich Heinrich von Seckendorff: Les Ottomans ont mobilisé une grande partie de leur armée, même si je ne puis vous dire exactement ce qu'il se passe du coté de l'Est. Je peux vous assurer que nous vons pu apercevoir de grand mouvement de troupe du coté de nos frontières qui se repliait et se rassemblait versles villes de Sarajevo et de Belgrade. Aussi, la nouvelle d'une mobilisation dans les Troupes Ottomanes est parvenu jusqua nous.
Leopold Ier: Eugène , vous serez Oberbefehlshaber de l'Armée Autrichienne j'enverrai une lettre au Roi Auguste II pour que vous soyez l'Oberkommandierender de l'armée Allié.
Oberbefehlshaber Eugen von Savoyen:Ja,mein Kaiser. J'ai déjà une idée de ce que nous allons tenter. Les Ottomans aurait choisi de fortifier deux ville. Il serait trop dangeureux de tenter un siège pour ces Villes car je crains que les Ottoman n'attende que cela , aussi si nous faisons un assault contre les mur de ces Villes , nous risquons de perdre beaucoup d'homme. C'est pourquoi je vise essentiellement la garnison de ces deux villes qui seront les cibles de nos attaque. Je pense sincèrement que si nous arrivons a cela l'Empire Ottoman devra dépêcher une puissante armée soulageant quelque peu l'Allié Polonais, dans les cas constraire nous pourrions effectuer une jonction avec ce dernier, afin de rassembler nos forces. La suite des opérations dépendra de la réaction Ottomane
Les Troupes Prussiennes seront rapidement affecté a une de nos armée selon le besoin .
J'espère aussi que la Russie mettra peu de temps avant de se mettre en Marche comme sa promesse l'indique ou j'enverrais des instructions a leur officier.
Leopold Ier: La Prise de Belgrade et de Sarajevo ne devrait pas considérablement affaiblir nos effectifs? Si nous la prenions par assaut?
Oberbefehlshaber Eugen von Savoyen: Je considère que la ville de Sarajevo n'est que un point de rassemblement et non pas des points de défense avantageux pour l'Empire. Je demanderai a notre Général d'effectuer un Assaut qu'après une Longue Canonnade , car je compte bien utiliser la plupart de nos Canons. Par contre pour Belgrade , une flotte aurait été la Bienvenue, mais nous devrons faire sans , Belgrade est le point d'entrée des Balkans sa capture nous offrira un avantage sans pareil.Pour la Suite des opération, en revanche , je doute que je puisse éviter les pertes en laissant le fort intacte et il faudra donc le réparer le plus rapidement possible
Leopold Ier: Soites,vous aurez tout le soutien financier nécessaire, j'espère que Dieu sera avec nous Eugen. Le regard Impérial est posé sur vous.
- Spoiler:
Autriche: 15 000 Conscrit,21 000 fantassin de Ligne,9000 Tirailleur,500Cavaliers , 1000 Uhlan,2000 Dragon,150 Canon, soit 48 500 Homme commandé par l'Oberst Friedrich Heinrich von SeckendorffOttomans: 6000 fantassins d'infanterie de ligne, 2000 tirailleurs, 2000 Miliciens, 2000 Hallebardiers, 2000 épéistes bachibazouk, 2000 Archer, 9000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 4000 conscrits avec fusils et 30 canons soit 30.000 hommes.
Bataille de Belgrade:
Au fur et a mesure que les Troupes Autrichiennes , avançait on pouvait ressentir un mélange de peur et de soulagement dans la population est ce que les Autrichien serait aussi dur que les Ottomans? Ordre fut donner de bien traité les Population. Quelque escarmouche avec des BachiBazouk avait eu lieu , signifiant quelque perte négligeable pour les Ottomans, dont une particulière ou des Paysannes tuèrent un Bachibazouk devant les yeux d'éclaireur Autrichien qui allait intervenir.
Les troupes arrivèrent , devant Sarajevo par le Nord, et ordre fut donné de faire des préparatifs de Siège. L'Oberst savait que il devait prendre la Ville asse rapidement , mais il ne voulait surtout pas risqué d'attaqué avec des troupes fatigué.Il laissa deux jours aux troupes pour se reposer,ainsi que d'encercler la Ville et de poser des ponts.
Commence ainsi , une Longue Cannonade de tout coté,afin de démoraliser les défenseurs et d'affaiser les murs, dans le même temps les unité a l'Ouest commencé a installé de pièges et a se replier peu a peu vers le Nord et le Sud. Au bout de quelque Heures certains pan de mur s'était affaisé tuant plusieurs défenseurs et mettant hors de service certain Canon. L'Artillerie Ottomane n'avait pas chômé elle non plus , et des pertes chez les assiégeant s'était fait sentir.Fut décider d'envoyer les Tirailleurs , afin d'éclaircir les rang des Ottomans, les Tirailleurs Autrichien était les Meilleur de leur temps et cela se voyait au nombre de soldat tombant en face sous le coup de feu de ces dernier et ceux des Canons.
Ordre fut donné de prendre d'Assaut la Ville ,les Fantassin de Ligne était accompagné par les Conscrits , couverts par les Tirailleurs , la Cavalerie était en mouvement constant , afin de pouvoir connaitre si les défenseur tenterait une percée.Pendant que les Conscrit posé leurs Échelles , les Tirailleurs faisait de leur mieux pour atteindre les Troupes Ottomanes posté sur les Mur, et l'infanterie de Ligne marchait sous le feu des Ottomans, on pouvait remarquer que le tir était peu dévastateur au nord et a l'Est ou été posté les meilleures troupes , mais le feu des conscrit était peu dévastateur car imprécis.Les Archers et les Tirailleurs Ottoman en revanche tenait a faire des ravage dans l'infanterie de Ligne et les conscrits qui chargé de toute part en posant leur échelle, mais se prenait rapidement le feu des Tirailleurs Autrichien en Riposte
Arrivé a une vingtaine de mètre , alors que les Conscrit fessait face aux Bachibazouk adverse sur les Murs ou ils étaient a leur désavantage , plusieurs Salve de l'infanterie de Ligne eurent lieu , et commencèrent des charge synchronise par la Musique eurent lieu par l'infanterie de Ligne a la Baïonnette bousculant les Rang Ottoman afin de créer des brèche dans les pans de mur détruit et commença a instaurer la Panique, même si l'infanterie non levé tenez ses ligne malgré ses pertes admirablement ce n'était pas le cas des Bachibazouk qui commençait a fuir en masse, ,après des pertes assez conséquente n'ayant pas la discipline des Soldat formé comme les Hallebardier obligé de tenir tant bien que mal sur les murs ou au corps a corps.Le Sud commença se vider rapidement se repliant par l'Ouest L'Est se voyant se faire attaquer par les Soldat Impériaux commença rapidement a suivre le Mouvement vers l'Ouest tombant dans les Piège laissé par les Soldats Autrichien et commençant a subir le Feu des Dragon qui s'était déplacé pour infliger un maximum de perte aux fuyards.
Les Ottomans avait choisi de se replier vers le centre de la Ville. Il fut rapidement décide de tourner les Canons encore intacte des Muraille abandonné par les Indisciplinés BachiBazouk et Conscrit . Vers le centre , l'Ouest avait été délibérément oublier afin de laisser une possibilité de fuite.Malgré tout , le rassemblement de Troupes.Voyant que cela avait éclairci les rang mais pas la volonté de combattre , ordre fut donné de tirailler ces troupes, un maximum.Au final , voyant que les Rangs était plus assez fort pour résister a une charge ordre fut donné de Charger vers ces Derniers survivants , la Charge fit rapidement rompre les troupes s'enfuyant vers l'Ouest sous le feu des Dragon et des Canons.
La Cavalerie a poursuivi les fuyard en évitant soigneusement les pièges posé dans une partie de l'Ouest.Et ravageant des rangs dispersé de ces unité qui ne pensait que a fuir
Pertes:Autriche: 10 000 Conscrit,5 000 fantassin de Ligne,3 900 Tirailleur,700 Dragon,250Uhlan26Canon, soit 19 850 HommeOttomans: 5450 fantassins d'infanterie de ligne, 1650 tirailleurs, 1900 Miliciens, 1700Hallebardiers, 1900 épéistes bachibazouk, 1300 Archer, 9000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 4000 conscrits avec fusils et 30 canons(dont 12 pris) soit 27.900 Hommes hors de Combat , le reste réussi a se replier vers l’intérieur des terres..
- Spoiler:
NB: Les Conscrits sont sois mort sois dispersé , donc de plus aucune utilité. Par soucis pratique je les ai mis en perte. aussi je pense qu'il faudrait que l'on parle sérieusement de la conscription a t'elle vraiment sa place dans cette époque?
- Spoiler:
Les Autrichiens avance sur le Danube sans trop de perte et sans en infliger trop a l'Empire Ottoman étant donné que celui ci s'est replié. L’Empereur a annoncé publiquement qu'il souhaiterait connaitre l'avis du Roi de Pologne pour la création d'un État Slave et que pour l'instant il n'y serait peu opposé. Même si il a bien fait comprendre que si les Peuple soumis par l'Empire Ottoman, n'aidait pas l'Autriche et ses allié cette création pourrait être plus difficile a mettre en œuvre. Aussi , mis a part les fidèles a l'Empire Ottoman , la liberté de culte est confirmé dans les territoire conquis.Aussi , les Villes ayant reçu des bombardement impériaux sont invité a présenter les dommages aux Inspecteur impériaux pour un possible remboursement.
Forces en Présence:La Prise de Belgrade devait être difficile , car la ville étant divisé par une rivière et sans bateau , l'armée devait se séparer en deux pour pouvoir la prendre.Et prendrait du temps De plus a cause des Patrouilles des Jannissaires , l'Empire ne pouvait compter prendre la ville par effet de surprise. Le Prince décida de concentrer de faire passez son Europe sur la Rive Sud du Danube a une cinquantaine de kilomètre de la Villeafin de l'attaquer par le Sud et non pas par le chemin le plus direct, ou il mettra rapidement hors de nuire des Patrouilles de BachiBazouk.Ottoman: 8000 fantassins d'infanterie de ligne, 2000 tirailleurs, 2000 Miliciens, 2000 Hallebardiers, 1000 Archer, 2000 Janissaires, 8000 conscrits bachibazouk, 2000 archers conscrit Azap, 2000 conscrits avec fusils et 30 canons. soit 29.000 hommes.Autrichiens:20 000 Conscrit, 45 000 d'infanterie de Ligne,10 500 Tirailleurs ,4000 Uhlans,230 Canons,1000 Cavalier,2000 Dragon soit 82 500 Hommes.Commandé par le Prince Eugène.
Ici , il fut attaquer par des troupes de Janissaire ayant décider de compliquer le passage des troupes. Occasionnant quelque perte par une embuscade, rapidement les Tirailleurs dispersèrent les Janisairres de tir précis.Mais maintenant Eugène savait que sa venu était attendu.Et les troupes avait souffert de cette escarmouche. Considérant cela Eugène décida de lancer 3000 Uhlan, ratisser la région de troupe Ennemi et en reconnaissance ,du fait de cette décision plusieurs escarmouche avec les Janissaire eurent lieu. Mais aucune embuscade devait être crainte pour les troupes de Eugène.
Arrivé a Belgrade Eugène commença les préparatif de Siège, les tranché furent faite les Soldats porteur de Maladie était mis en Quarantaine, les Campement installé au bout de 5 Jour , des pont. Eugène savait qu'il ne devait pas attendre longtemps. Et ordre fut donné de cannoner en priorité les pans de Mur ou se trouvait les canons. Qui s'amusait a pilloner les préparatifs Impérial.Quand les Ottomans comprirent que les Feu se concentrer ou se trouvait les canons , il cessèrent le feu. Malgré tout , le mur avait été fortement affaibli, une Dizaine de canon perdu et la ville pu trouvé des centaines de boulet lui tombant dessus ou dans le Danube, créant parfois même des début de Feu rapidement maitrisé.
Rapidement Eugène sue que si il prenait pas la ville , il pourrait se retrouver assiéger par une armée Ottomane venue en renfort et fut décider de Pilonner avec la totalité du parc d'Artillerie les Murs alors que l'Armée attaquerait. Plusieurs Conscrit Milliers de Conscrit s’élancèrent donc vers les Murs sous les Tirs des Archers plus ou moins précis , certain tir n'arrivant même pas jusqu'aux troupes.En revanche l'infanterie de Ligne qui était resté sur les Mur fessait des ravage Les Canons avait reçu ordre de tirer dans les brèches ou les troupes Ottomanes se rassemblait , afin de créer des percer pour une Charge.L'infanterie de Ligne suivait de près les Conscrit et les Tirailleurs commençait leur travail de nettoyage.
Les Conscrit malgré le soutient cuisant avait fort a faire une fois dans les hauteurs d'une part , il fallait monter et après être monté ils se retrouvaient nez a nez avec des Hallebardiers impressionnant qui leur faisait face ou découpant des tête avec une facilité déconcertante ou enfaite comme la plupart du temps des soldats peu entrainé comme eux avec des épées. Les Archers Ottoman lancez des flèche au Hasard par dessus la Muraille espérant toucher un Impérial. Tandis que l'infanterie de Ligne Ottoman e faisait feua Volonté. Mais après quelque Minute quand les Soldats de Ligne eurent le temps de se positionner et commença a tirer sur les Soldats par Salve , rang par rang défini.Après 5 Salve ordonné de ce type, fut décidé de lancer ces Soldat a la Charge, ces dernier avait été choisi particulièrement par Eugène , car ils étaient Hongrois et avait bien plus de raison de mettre de l'Energie dans cette attaque. Ce choix fut judicieux car aussi bien sur les Hauteurs que sur Terre la Charge bouscula les Conscrit Bachibazouk a plusieurs endroit. Mais furent arrêté par une charge des Janissaires bien décidé a défendre l'endroit jusqu'au bout.
La Mêlée faisait rage de toute part , mais l'avantage numérique des Autrichiens commençait enfin a peser et des débuts de fuite commençait a se faire, une percée fut réalisé a l'endroit le plus au Sud et les Troupes Ottomanes se replièrent vers l’intérieur de la ville , la ou la percée fut effectuée , Eugène envoya des Uhlan traqué les Soldat tentant de se replier , les forçant a aller dans des Maisons pour les malheureux qui défois tomber sur des Serbes les tuant des quil entraient.
Une fois que les rempart avait été pris Eugène savourait sa victoire , Belgrade avait été prise, maintenant , il fallait perdre le moins de troupe possible.Les Ottomans se repliait vers les Autres rives de la Ville et risquait de faire exploser les ponts a tout moment Eugène décida d'envoyer un messager aux Uhlans , ainsi que des renforts de Dragon, le message était clair. Les ponts devait être tenu a n'importe quel prix.
Heureusement pour ce dernier, l'infanterie Autrichienne avançait avec de Furieux corps a corps dans la Ville et la plupart des conscrits s’enfuyaient par l'Ouest où Eugène irait les cueillir plus tard.Le Principal problème venait de l'Infanterie de Ligne et les Janissaire qui avait réussi a prendre quelque Canon avec elle et tentait de tenir tête aux Uhlan sur la Rive Nord-Est.
On fit venir plusieurs Canons et les Tirailleurs , mais tenta aucune percé qui aurait été bien trop couteuse . Avant que ces dernier purent arrivé. Les Ottomans avait fait réussi a détruire le pont leur offrant une retraite relativement sécurisé de ce coté.Du coté de l'ouest , se fut bien plus malheureux pour les Troupes Ottomanes , car Eugène avait décider de lancer toute sa cavalerie massacrant ceux tentant de se replier.Ottoman: 5300 fantassins d'infanterie de ligne, 1800 tirailleurs, 2000 Miliciens, 1900 Hallebardiers, 1000 Archer, 1700 Janissaires, 8000 conscrits bachibazouk, 2000 archers conscrit Azap, 2000 conscrits avec fusils et 26(dont 6pris) canons. soit 25.700 hommes.Le reste réussi a se replier vers l'intérieur des terres
- Spoiler:
NB: Les Conscrits sont sois mort sois dispersé , donc de plus aucune utilité. Par soucis pratique je les ai mis en perte. aussi je pense qu'il faudrait que l'on parle sérieusement de la conscription a t'elle vraiment sa place dans cette époque?Autrichiens:9000 Conscrit, 6500 d'infanterie de Ligne,3000 Tirailleurs ,800 Uhlans,13 Canons,200 Cavalier,120 Dragon soit 19 620 Hommes.
Mesures Impériales
Des Cavaliers(comprendre Cavalerie+Uhlan+Dragon) sont envoyé en territoire ennemi afin d'effectuer des reconnaissances et de surveiller les mouvement de troupe ennemi. Pour l'instant commence les travaux de refortification de Belgrade pour 50 000 Florin Autrichien. Pour l'instant la Majeur partie des troupes et Statique seul 1500 Fantassin et 3000 Tirailleur de Sarajevo se dirige vers Belgrade.Le Mouvement ou non dépendra de celui des troupes Ottomanes.
Carte:
- Spoiler:
- Spoiler:
- Bleu territoire conquis par l'Autriche, garnison négligeable c'est simplement de la Surveillance.
Garnison de Sarajevo: Survivant de Sarajevo (- renfort envoyé a Belgrade)
Garnison de Belgrade:Survivant de Belgrade (+ Renfort envoyé a Belgrade)
Ligne noir/rose champ où la Cavalerie effectue sa reconnaissance
(A la Modération: Si le pertes Ottomanes semble abuse comparé aux miennes, il ne faut pas oublier qu'elle est a moitié conscripte dans ces cas et que les gros chiffre sont surtout ceux issue de la conscription qui sont pour la plupart plus disperser que mort.)
- Spoiler:
- Je ne suis pas le dernier a poster, il en manque encore un.
Dernière édition par Vailleuh le Jeu 15 Aoû 2013 - 21:02, édité 1 fois
Vailleuh- Maître ronronneur
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Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Царство Русское
Tsarat de Russie
La Russie honore son alliance et déclare la guerre à l'Empire Ottoman.
Déplacements et gardes frontières :
Tsarat de Russie
La Russie honore son alliance et déclare la guerre à l'Empire Ottoman.
- Spoiler:
Au Kremlin, Pierre Le Grand avait tenu à réunir son propre conseil de guerre, tout comme le faisaient ses alliés. Parmi les personnes conviés, le prestigieux chef militaire Alexandre Danilovitch Menchikov, le Feldmarschall Boris Cheremetiev et enfin le général Jacob Bruce qui est un des plus proches amis du Tsar. L'Empire Ottoman n'avait pas répondu aux revendications de la Pologne-Lituanie, faisant partie de la Grande Alliance auparavant victorieuse.
Pierre Le Grand : Messieurs, vous savez pourquoi je vous ai réuni. Nous avons besoin d'un plan d'action et vite. A l'heure qu'il est, les Polonais et les Autrichiens sont déjà enlisés contre les Ottomans. Avez-vous reçu les rapports des forces alliées ?
Alexandre Danilovitch Menchikov : Il semblerait que les Autrichiens ont réussi à prendre Sarajevo et Belgrade tandis que les Polonais sont en Moldavie. Les pertes sont néamoins très conséquentes pour les deux camps. Assurément bien plus de 100 000 morts en tout.
Jacob Bruce : Je préconise de couper par l'Est et de faire longer le Caucase par une armée de Cosaques.
Boris Petrovitch Cheremetiev : Pour ma part, je proposerai de lancer une puissante frappe offensive sur la Crimée. La zone est difficilement défendable pour les Ottomans si l'on envoie une grande partie de l'armée. On pourrait ensuite concentrer nos forces dans les Balkans, aux côtés des alliés.
Alexandre Danilovitch Menchikov : Je ne suis pas d'accord. L'Empire Ottoman a une marine extrêmement puissante. Il faut s'engager avec une extrême prudence, surveiller les côtes en permanence. Imaginez que les Ottomans réalisent un immense débarquement sur nos arrières : nous serions matés en très peu de temps.
Jacob Bruce : Je ne suis pas certain que les Ottomans soient réellement en mesure de défendre leur territoire contre l'Autriche et la Pologne tout en lançant une offensive sur le territoire national. C'est incensé.
Boris Petrovitch Cheremetiev : Je suis d'accord avec le Commandant Menchikov pour ma part. Les Ottomans le peuvent, dans la mesure où la Suède nous menace, au Nord.
Jacob Bruce : D'après vous, la Russie aurait donc la position militaire la moins enviable pour attaquer l'Empire Ottoman ?
Alexandre Danilovitch Menchikov : Oui, sans doute. Quoi que la Pologne a aussi des raisons de s'en faire.
Jacob Bruce : Nous devons établir une ligne de défense pour prévenir une éventuelle attaque de la Suède.
Pierre Le grand : Faites ce qu'il en est Messieurs. Mais n'oubliez pas. La Russie prime sur tout le reste. Cette guerre sera effectuée au nom de l'Alliance, alors que nous aurions surtout intérêt à nous concentrer sur notre puissance et sur la Suède principalement. La Russie doit économiser ses forces pour assurer ses frontières en dehors de l'Empire Ottoman. Si le Kremlin déclare la guerre en dernier, c'est pour que l'Autriche et la Pologne puissent déjà entamer sérieusement le potentiel militaire Ottoman. Cela dit, ces voyous ne se rendront pas aussi facilement. Je sais que l'Alliance est importante mais je suis très inquiet concernant la Suède. Même si l'Autriche nous apporterait un grand soutien, un assaut massif Suédois pourrait déborder très rapidement sur notre territoire, menaçant directement Moscou.
Boris Petrovitch Cheremetiev : Messire, N'oubliez cependant pas que, pour l'Autriche et la Pologne, c'est une guerre importante. L'Autriche participe à la professionnalisation de notre armée et dans ce cas précis, ces revendications territoriales sont nombreuses. Il nous a même été rapporté que le haut-commandement autrichien tenait à rassurer les populations. Il faut apporter un soutien massif à tout prix.
Pierre Le Grand : Dès que vous passez la Crimée, ne perdez pas votre temps. Les Ottomans sont des rustres, la population est probablement fanatisée. Capturez en certains, ils iront travailler pour le projet de Saint-Pétersbourg. Sinon tuez-les. Nous devons nous montrer fermes avec notre voisin du Sud qui est juste une énorme et lourde vase à traîner dans nos conflictualités. Notre pays a rarement épuisé autant de forces pour un seul ennemi. Cette fois-ci ce sera la dernière.
Alexandre Danilovitch Menchikov : Bien Messire. Dans ce cas, je suggère de rejoindre les forces alliées en Moldavie, tout en surveillant la Crimée, le Caucase et la Suède. C'est probablement l'option la plus prudente pour notre armée.
Pierre Le Grand : En effet. Prenez également soin de lancer une vaste campagne de recrutement. La Russie est menacée.
Avec l'accord du Conseil Militaire, Alexandre Danilovitch Menchikov allait pouvoir, avec l'appui de Bruce et de Cheremetiev et bien d'autres généraux, mettre la machine de guerre russe en marche...
Déplacements et gardes frontières :
- Défense de la frontière Russo-suédoise -
IIème armée sous le commandement du Feldmarschall Boris Petrovitch Cheremetiev:
- Spoiler:
- 20 régiments de Cosaques (10 000 hommes).
- 4 bataillons de miliciens (8 000 hommes).
- 3 régiments de Conscrits recrutés pour l'occasion (6 000 hommes).
- 2 régiment de dragons (1 000 hommes).
- 4 bataillons d'artillerie (80 pièces).
- 25 bataillons d'infanterie basique (50 000 hommes).
- 3 bataillon d'infanterie d'élite (6 000 hommes)
Soit un total de 85 000 hommes.
Carte :
1 carré cyan = 1 régiment de Cosaques.
Ligne noire : 4 000 soldats d'infanterie.
Ligne bleue : 3 000 conscrits, 20 000 soldats d'infanterie, 500 dragons, 2 000 soldats d'infanterie d'élite, 40 pièces d'artilleries.
Ligne rouge : 6 000 conscrits, 26 000 soldats d'infanterie, 500 dragons, 4 000 soldats d'infanterie d'élite, 40 pièces d'artillerie.
La première opération, en adéquation avec les ordres du Tsar, c'est de sécuriser le Nord et tout particulièrement la frontière avec la Suède. Pour ce faire, de très nombreux cosaques ont été déployés en tant que garde frontière. La population habitant au Nord est conviée à se déplacer (elle est cela dit en très large minorité numérique). Les Cosaques sont notamment appuyés par une très forte présence d'infanterie mais aussi d'artillerie embusquée. La Russie compte aussi sur les marécages pour se défendre : la traversée d'une telle région est relativement ardue et les Cosaques sont des unités parfaites pour alerter à la fois les lignes d'infanterie et Moscou ou déborder les flancs. L'infanterie devra également, depuis leur position défensive, tout faire pour retenir une éventuelle offensive ennemie. Une grande force numérique est instaurée pour pouvoir tenir le front, même en parallèle à la guerre ottomane.
- Jonction avec les Forces Polonaises -
Ière Armée sous le haut-commandement du chef militaire Alexandre Danilovitch Menchikov :Engagées aux côtés de l'armée Polonaise, les forces russes se sont lancées dans une vaste offensive par le Sud, rejoignant ainsi la IIème armée Polonaise à Izmaïl. Les Cosaques, faisant partie des cavaliers les plus habiles et les plus rapides assurent les premières lignes et la reconnaissance pour l'infanterie. L'assaut est à sa genèse et n'a pour l'instant causé que de pertes négligeables pour les deux camps car la résistance ottomane est repliée plus au Sud. Le Feldmarschall attend des alliés polonais une coordination parfaite pour la poursuite des opérations, mais également pour se préparer à une éventuelle contre-attaque ottomane.
- Spoiler:
- 25 bataillons d'infanterie basique (50 000 hommes).
- 4 régiments de dragons (2 000 hommes).
- 1 bataillon d'infanterie d'élite (2 000 hommes).
- 15 régiments de Cosaques (7 500 hommes).
- 4 bataillons d'artillerie (80 pièces).
Soit un total de 61 500 hommes.
Carte :
Flèches vertes : avancée de la Ière Armée russe.
- Défense de la Crimée et du Caucase -
IIIème armée sous le commandement du général Jacob Bruce :
- Spoiler:
- 10 bataillons d'infanterie basique (20 000 hommes).
- 4 régiments de dragons (2 000 hommes).
- 30 régiments de Cosaques (15 000 hommes).
- 2 bataillons d'artillerie (40 pièces).
- 2 régiments de conscrits levés pour l'occasion (4 000 hommes).
Soit un total de 41 000 hommes.
Carte :
Carré cyan = 1 régiment de Cosaques
Carré rose = 2 régiments de Cosaques.
Ligne noire : 4 000 soldats d'infanterie.
Ligne rouge : 8 000 soldats d'infanterie, 20 pièces d'artilleries, 500 dragons.
Ligne bleue : 8 000 soldats d'infanterie, 4 000 conscrits, 20 pièces d'artillerie, 1 500 dragons.
Divisée en 3 détachements comme au Nord mais restant embusquée, la IIIème armée compte surtout sur les nombreux Cosaques pour prévenir toute attaque par la zone. Les canons de l'artillerie sont cachés dans les buissons. La même stratégie défensive est appliquée qu'en Suède : les troupes restent en ligne défensive dans le territoire national, avec les Cosaques en reconnaissance pour alerter une offensive ennemie potentielle. De même dans la région, la population civile est invitée à se déplacer.
Eindes- Premier Ministre
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Date d'inscription : 15/04/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Empire Ottoman
Ambiance :
Constantinople, dans la Sublime Porte..19 mai 1702..
Sultan Mustafa II : Il semblerait qu'une grande armée russe est passé le nord et fasse marche sur le Grand Vizir..l'inquiétude gagne mon cœur.
Stratège Selim Assouf : N'ayez crainte le Grand Vizir est très..imaginatif..mais peut-être devrions nous lui envoyer des renforts ?
Sultan Mustafa II : Oui..mais quels renforts ? Je ne peux pas me permettre d'envoyer la garnison de Constantinople l'aider, cependant mon frère Ahmet III avait ordre de venir prêter assistance au grand Vizir si la situation en Crimée était calme, d'après les informations que je tiens les russes n'ont pas attaqués la Crimée, de ce fait avec un peu de chance Ahmet III débarquera en Roumanie...Mais dans le doute, préparez les hommes de Constantinople à marcher sur le nord, de nouveau régiments de janissaires auront sous peu terminer leurs formation, j'enverrais donc des Janissaires de Constantinople en renfort, et peu être plus encore..Nous verrons. De plus je fais distribuer des terres en Valachie pour pouvoir lever environ 3000 tamariot que j'enverrais en renfort au grand Vizir.
Stratège Selim Assouf : Bien, et quant au général Hassan Ben Sahid ?
Sultan Mustafa II : A l'heure qu'il est, il doit faire marche sur Belgrade, mais n'ayez crainte pour lui j'ai fais lever 5000 tamariots en distribuant des terres en Albanie, et les Janissaires de Macédoine s'occupent de lever une armée qui viendra renforcer celle d'Hassan Ben Sahid.
Stratège Selim Assouf : Revenons peut-être sur la situation avec la Russie..
Sultan Mustafa II : Nos alliés suédois s'apprêtent à lancer sous peu une offensive, j'ai confiance en leurs...capacités. La vrai question est la suivante, Allah le plus grand a t-il lui confiance en nous ?
Au Nord de Sofia, sur la route pour Belgrade.
L’armée du Général Hassan Ben Sahid rencontre des renforts menés par le Haut Janissaire Recep Séleucos.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Salam Halicoum, mes respects ô Grand Général Hassan Ben Sahid, je vous fais savoir que le commandement de mes hommes vous est désormais attribué, pour ma part je commanderais les Janissaires.
Général Hassan Ben Sahid : Alicoum Salam mon frère, ne perdons pas notre temps j'ai besoin de savoir, de quoi est constitué les troupes que tu viens de ramener ?
Haut Janissaire Recep Séleucos : Je vous est amené la fine fleure des soldats de Grèce du nord, d'Albanie et de Macédoine, les 8000 Janissaires de Skopje et de Bitola, de plus une grande cargaison d'armes à été livrée en Albanie par la Compagnie de la Méditerranée française, les janissaires en ont été équipés, avec les anciens fusils des janissaires nous avons équipés 4000 conscrits, de plus 12.000 soldat d'infanterie de ligne, 10.000 tirailleurs, 500 dragons, 500 carabiniers et 60 canons ont rejoins votre armée. Ce qui porte l'armée à 85.000 hommes.
Général Hassan Ben Sahid : Pas exactement, nous avons croisés sur la route des soldats ayant combattu aux Batailles de Belgrade et de Sarajevo, 3000 fantassins de lignes ont rejoint l'armée, ce qui porte notre armée à 88.000 hommes.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Les rumeurs ne sont pas fausse alors...
Général Hassan Ben Sahid : De quelles rumeurs me parles tu ?
Haut Janissaire Recep Séleucos : L'ont raconte qu'il n'y a pas un soldat ottoman dans l'ouest des Balkans qui ne soit dans l'armée d'Hassan Ben Sahid !
Général Hassan Ben Sahid : Ha Ha Ha, bien, maintenant avançons nous avons des frères, des sœurs, des parents et des enfants à libérer du joug allemand.
Chef de corps des Tamariot : Salim Halicoum ô Général, je suis venu le plus rapidement possible, le Sultan viens d'offrir des terres en Albanie à 5000 tamariot, nous rejoignons votre armée.
Général Hassan Ben Sahid : Je te félicite tu es arrivé au bon moment...et bien ont dirait qu'Allah est avec nous.
Bataille de Belgrade :
A l'approche de l'Armée Ottomane, l'Armée Autrichienne se retira de Belgrade jugée indéfendable afin d'affronter dans une bataille rangée l'Armée Ottomane, cependant n'ayant pas d'éclaireurs dans la zone où des renforts sont arrivés à Hassan Ben Sahid, les autrichiens s'attendaient à faire face à une armée de nombre égale à la leurs et avait préparer leur plan de bataille en fonction de ce paramètre. De ce fait la région de Belgrade est une région relativement plate et les terrains sont adaptés à de grandes armées.
Forces en présences :
Cependant dans l'état-major autrichiens, ont se rendit vite compte que l'armée ottomane dépassait les 60.000 hommes et un nouveau plan de combat était en préparation, mais l'ingénieux Hassan ben Sahid avait anticipé cela et la disposition de l'armée ottomane était audacieuse, Hassan Ben Sahid allait réutiliser les vieilles tactiques de combat ottomanes et y ajouter quelques améliorations, les premières lignes étaient constitués de conscrits, de bashibazouk, et de quelques brigades de tirailleurs alors que les dernières lignes étaient composés d'Infanterie de ligne et de Janissaires, l'état-major autrichien sûr de lui croyait donc faire face à la tactique ottomane habituelle qui se soldais généralement par de grandes victoires européennes.
L'artillerie continuait de pilonner et les premières salves de fusils et les tirs de flèches étaient échangés, les conscrits et les bashibazouk ottomans subissaient de lourdes pertes alors que les pertes autrichiennes étaient acceptable, même si les importantes volées de flèches aux quelles les autrichiens n'étaient pas habitués étaient meurtrière, quand celles-ci arrivaient à destination.
Les premières lignes bashibazouk commençaient à céder, c'était le moment qu'attendait le commandement autrichien pour se servir de sa cavalerie afin d'empêcher le cœur de l'armée ottomane de frapper.
Mais au même moment, les cavaliers tamariot étaient au galot et ils se dirigeaient sur les canons autrichiens qui donnaient un avantage à l'armée autrichienne qu'il n'était pas acceptable de perdre pour l'état-major autrichien, de ce fait la cavalerie autrichienne était dépêchée afin de protéger les canons, mais sur le flanc droit les dragons et les cavaliers bashibazoukls ottomans étaient eux aussi au galop et était sur le point de se placer en position de charge au niveau des flancs autrichiens, les autrichiens n'eurent d'autre choix si ils ne voulaient pas être débordés d'envoyer les dragons et la cavalerie autrichienne sur les flancs tout en dépêchant les Uhlans sur les tamariots ottomans chargeant les canons.
Dans le centre, des milliers et des milliers de conscrits et de tirailleurs ottomans avaient perdues la vie cependant il fut donner l'ordre aux premières lignes d'abandonner leurs positions et au même moment l'infanterie de ligne les remplaçaient en première ligne tandis que sur le coté gauche se plaçait la majorité des tirailleurs ottoman, les bachibouzouk ainsi que les hallebardiers étaient envoyés sur le coté droit soutenir les dragons et les cavaliers ottoman, cependant la plus part des bashibazouk n'en firent qu'à leurs tête et prirent vraiment la fuite..
Sur le coté gauche le nombre de Tamariot ne semblait pas faire la différence avec les Uhlans tandis qu'au centre les tirs étaient maintenant aussi meurtrier du coté autrichiens que du coté ottoman, et sur le coté gauche les tirailleurs ottomans en surnombre par rapport aux tirailleurs autrichiens faisaient un carnage dans leurs rang. Les autrichiens étaient obligés de dégarnir leur flanc droit afin d'envoyer des tirailleurs soutenir la cavalerie et combattre au corps à corps.
Profitant de cette brèche, les carabiniers reçurent l'ordre de se mettre au galop afin de profiter de cette brèche, une salve fut tiré sur les tirailleurs s'en suivie une violente charge qui agrandit encore la brèche, mais les autrichiens avaient de l'expérience et du courage à revendre, le centre autrichien tenait toujours face aux tirs ottomans et sur le coté droit malgré la supériorité numérique des tirailleurs, les autrichiens tenaient bon.
Cependant pour Hassan ben Sahid, il était temps pour lui d'en finir avec cette bataille, les quelques milliers de tirailleurs encore sur le coté droit se replièrent, laissant place aux janissaires, élite de l'armée ottomane. Les janissaire se mirent en position et tirèrent à volonté ce qui agrandit encore plus la brèche et avant que le commandant autrichien ne puisse donner de nouveau ordres les janissaires dégainèrent leurs sabres se chargèrent dans la brèche sur le coté droit pendant qu'au centre et sur le coté droit les tirs entre les infanteries de ligne et les tirailleurs des deux nations faisaient encore rage.
Après quelques minutes de combat la cavalerie et les tirailleurs du coté droit étaient mis en pièce et les janissaires ottomans ainsi que le reste des hallebardier et des bashibazouks chargèrent sur le flanc l'armée Autriche pendant que la cavalerie ottomane contournait l'armée autrichienne et se plaçait à l'arrière, tandis que sur le coté gauche les soldats autrichiens tombaient de plus en plus rapidement au champ d'honneur.
Le centre autrichien était encerclé entre les janissaires, la cavalerie et l'infanterie de ligne ottomane, ce qui mis en déroute l'armée autrichienne, mais les héroïque Uhlans contenaient quant à eux toujours les Tamariots ce qui permis au coté gauche autrichiens de fuir sans être poursuivis par les soldats ottoman, cependant le centre autrichien n’eus pas au tant de chance et même si une partie de celui-ci réussis à fuir, quelques milliers de soldats se sont retrouvés encerclés et n'ont eu d'autre choix que de se rendre, le commandant autrichien Eugen von Savoyenétait était parmi eux.
Pertes :
Au même moment pendant le retrait de l'armée autrichienne, Hassan Ben Sahid entouré de sa garde janissaire faisait face à deux prisonniers autrichiens, ne parlant pas le Hongrois c'est son second qui s’exprima en son nom.
Haut Janissaire Recep Séleucos : : Je parle mal ta langue, mais je suis capable de te dire ceci, fais passer cette missive à t'es généraux, et fait leurs comprendre que si ils ne se retirent pas du territoire ottoman, ils subirons le même sort que l'armée que nous venons de vaincre.
Les deux soldats autrichiens : Nous..nous le ferons !
Alors que les deux hommes couraient en direction de Sarajevo...
Général Hassan Ben Sahid : Il n'y pas besoin d'être deux pour envoyer un message, voyons voir la qualité des fusils français.
Hassan Ben Sahid attrapa le fusil d'un de ses janissaires et mit en joue l'un des deux soldats puis tira, la balle atteignit les lombaires du malchanceux ce qui fit s'écrouler celui-ci, Hassan Ben Sahid marchait vers lui...
Général Hassan Ben Sahid : Il est certain qu'ils ne valent pas les sabres ottomans.
Hassan Ben Sahid dégaina son sabre, se mit en position et trancha la tête du soldat autrichien..
L'armée se replie aux alentours de Niš, de plus 4000 conscrit dont 2000 avec fusil et 2000 bashibazouk sont levés.
Les prisonniers sont envoyés en Anatolie et en Thrace travailler dans les champs, quant à Eugen von Savoyenétait il visiteras les geôles de Constantinople.
Dans la ville fortifié de Constanta, en Valachie.
Janissaire Mehmed Karagounis : ô Grand Vizir une grande armée Russe faisant deux fois la notre viens de franchir la Moldavie et se dirige sur nous !
Grand Vizir Köprülü Hüseyin: Quoi ?! Sait-tu de quoi est-elle composé ?!
Janissaire Mehmed Karagounis : D'après nos éclaireurs, elle contiendrait seulement de l'infanterie et de la cavalerie.
Grand Vizir Köprülü Hüseyin : Mmmhh..Dans ce cas je sais quoi faire, une partie de l'armée va tendre une embuscade, nous allons frapper vite tuer le plus d'ennemis que possible puis repartir à Constanta. D'ici là, les renforts seront arrivés.
Janissaire Mehmed Karagounis : Mais, ô grand Visir, nous n'attendons aucuns renforts...
Grand Vizir Köprülü Hüseyin: Une grande armée russe fais marche sur moi, et je suis le Grand Vizir Köprülü Hüseyi ! Le Sultan est obligé de me faire parvenir des renforts, mais je dois agir je ne peux rester ici et attendre...
Embuscade de Tulcea :
Les troupes russes pénétraient en Roumanie, l'objectif était de frapper vite et fort en subissant le moins de pertes. Au nord de Constanta, la région était pleine de plateaux et de petites forêts où les chemins se trouvaient être étroits, et l'armée russe pour arriver plus rapidement près de Constanta passait par ses chemins, les ottomans allaient en profiter...
Forces en présences :
Les tirailleurs ottomans tirèrent une première salve sur les soldats russes qui ne s'y attendaient pas, un peu plus loin les archers ottomans tirèrent une salve qui fut meurtrière dans les rangs russes s'en suivie une charge de bashibazouk sur les survivants et sur l'infanterie un peu plus à l'est, les hallebardiers quant à eux protégeaient les flancs et l'arrière des tirailleurs et des archers de la cavalerie russe qui se mettaient au galop, cependant le flanc droit de certains tirailleurs était peu garnis d'hallebardiers une partie de la cavalerie russe se mit à charger, cependant dans la forêt la cavalerie ottomane chargea le flanc de la cavalerie russe, une salve de carabiniers fit plusieurs mort et la charge russe fut arrêter par la cavalerie et les hallebardiers ottoman, d'autres hallebardiers arrivèrent en renfort pour empêcher que la cavalerie russe ne brise la formation des tirailleurs ottomans.
L'infanterie russe était mal au poing car les tirs des tirailleurs et des archers continuaient de pleuvoir sur eux toujours et les bashibazouk retenaient le reste de l'infanterie, cependant les russes commençaient à se mettre en position de combat même si il était difficile de le faire sur cet étroit passage...
Plusieurs centaines d'Hallebardiers ottomans se mit entre les troupes russes et les tirailleurs et archers ottomans afin que ceux-ci puisse sonner le replie, une partie des bashibazouks se replia, mais une autre continua de lutter à mort dans l'infanterie russe, et les hallebardier continuaient de tenir en respect la cavalerie russe, les ottomans se repliaient.
Pertes :
L’Armée menée par le Khan Sélim Ier Giray devait intercepter l'armée Polonaise nettement inférieur en nombre avant qu'elle ne prenne la ville de Kherson. Le Khan Sélim Ier Giray redoutait un piège, cependant informé par ses espions que les russes étaient en position défensive il ne voyait pas qui pourrait le piéger, de ce fait il décida de prendre le risque de défaire cette armée polonaise et les tatars ont encore moins tendance que les turcs à faire de prisonniers...
Forces en présences :
Quelques minutes plus tard les carabiniers ottomans reçus l'ordre de simuler une charge contre les hallebardiers, mais en réalité ils tirèrent une salve sur eux qui fit des centaines de mort avant de faire demi-tour en direction de la cavalerie bashibazouk.
Les troupes polonaises continuaient d'être harcelés de toute part pendant plusieurs minutes qui devenaient de plus en plus longue et se voyait dans l'impossibilité de battre en retraite à cause de la cavalerie ottomane. Les tirailleurs ottoman reçurent l'ordre de se placer de façon à avoir une plus grande fenêtre de tirs sur les hallebardiers et à faire feu sur eux, leur salve fit plusieurs centaines de mort dans l'autre rang et les archers ottomans eu l'ordre quant à eu de tirer des salves de façon à toucher les hallebardiers à l'arrière de l'armée autrichienne bien que les archers tiraient de manière imprécise chaque salves faisait plus d'une centaine de mort ou de blessés , mais les polonais savaient que c'était les hallebardiers qui empêchait l'anéantissement de leurs armée et donna l'ordre à l'infanterie de ligne de se concentrer sur les tirailleurs, mais c'était trop tard...Les bashibazouk ottomans chargeait contre l'infanterie de ligne pendant que derrière toute la cavalerie ottomane chargeait l'arrière de l'armée polonaise, les carabiniers qui avait rechargés tirèrent une nouvelle salve sur les hallebardiers avant de charger sur eux, il n'en restait plus beaucoup en vie.
Cependant les Uhlans courageux qui était sur le flanc gauche polonais, décidèrent de charger les troupes ottomanes qui massacraient le reste de l'armée polonaise, les Uhlans fit des centaines de mort dans les rangs de la cavalerie bashibazouk Ottomanes ce qui permis à quelques centaines de polonais de fuir le champ de bataille.
Les consignes du Khan Tatar Selim 1er Giray étaient clair...pas de prisonniers.
L'Armée prit en suite position dans la ville fortifié de Kherson et 2000 conscrits avec fusils étaient levés ainsi que 1000 Tamariots qui se voyaient offert quelques terres de Crimée.
Pertes :
Dans la Mer Noire :
Amiral Tariq Korotak : Votre excellence, pourquoi avez vous ordonnez à la flotte de faire route sur la Roumanie ?
Ahmet III : Le Khan de Crimée m'a fait savoir qu'il pouvait protéger seul la Crimée, nous allons donc débarquer en Roumanie pour porter soutiens au Grand Vizir.
Blocus contre l'Autriche :
La Flotte Ottomane de l'Adriatique composé de 5 navires de troisième rang, 5 navires de quatrième rang et 10 navires de sixième rang, se place en position de blocus contre l'Autriche.
Près de la frontière Russo-Suédoise.
Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld: Mon Roi, nous avons reçu des nouvelles du Front de nos alliés Ottomans. Il semblerait que les ottomans est lancés plusieurs offensives, les Polonais sont mis en déroute en Crimée, l'Autriche est sous blocus et il semblerait qu'ils est remporté une grande victoire contre les autrichiens près de Belgrade, cependant les Russes ont semble-il fait pénétrer une grande armée dans les Balkans. Les Ottomans nous demandes d'entrer en guerre à leurs coté.
Charles XII de Suède : Mmmhh..bien, qu'est ce que nos espions à la frontière vous ont rapportés ?
Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld: Les russes auraient plusieurs armées en positions défensive, et les Cosaques par milliers surveilles la frontière Russe et..
Un Cosaque, visiblement un chef arriva au galop...
Ivan Mazepa: Salutations, ô puissant Roi de Suède, je vous informe que l'amitié entre le Royaume de Suède et l'Hermanate Cosaque n'a pas été oubliée, moi ainsi que les Cosaques qui me sont loyaux avons déserter les ligne Russes et nous sommes prêt à nous battre à vos cotés si vous décidez d'envahir la Russie, je suis accompagné de 4000 Cosaques, la plus part des autres Cosaques obéisses à Vassili Leontievitch Kotchoubeï qui reste quant à lui loyal au Tsar.
Charles XII de Suède : Je vous présentes mes respects, et je vous assure que cette acte courageux ne sera pas oublié, si la Russie est défaite je vous assure que les Cosaques pourrons continuer à vivre selon leurs traditions. Monsieur le Feld-Maréchal, il est temps de faire avancer notre formidable armée.
Bataille de Ladoga :
L'armée Suédoise entrait donc en territoire russe, 1000 cosaques passèrent cependant à la gauche du Lac Ladoga pendant que le reste de l'armée passait à droite.
Forces en présences :
L'armée suédoise était en approche des positions russes et commençait à essuyer des tirs d'artillerie embusquer, l'armée russe se mettait en position de combat.
L'Armée suédoise installât ses batteries de canons et en possédant trois fois plus que les russes, les dégâts provoqués par l'artillerie penchait en faveur des suédois. L’infanterie et les conscrits russes était en premières ligne tandis que l'infanterie d'élite et les dragons protégeaient les canons majoritairement sur le flanc gauche, l'armée suédoise alignant plus d'infanterie de ligne que les russes, les tirailleurs se positionnement sur les flancs suédois, de façon à accentuer la supériorité numérique des russes sur les suédois, les hallebardiers étaient quant à eux gardés en réserve à proximités des canons suédois alors que les cosaques suédois faisaient mouvement sur le flanc droit, le reste de la cavalerie fit de même sur le flanc gauche...
Cela faisait plusieurs minutes que les premières salves retentissaient dans le ciel, et même si les positions des russes étaient plus favorables à celles des suédois, la supériorité numérique suédoise et surtout leurs tirailleurs donnaient déjà des signes encourageants pour les forces suédoises, de plus que l'artillerie suédoise pilonnait toujours les positions russes.
Tout à coup les 1000 cosaques russes qui contournaient le lac par la gauche arrivèrent à proximité du champ de bataille et chargeaient immédiatement sur le coté gauche russe, la cavalerie suédoise sur le flanc gauche se mettait elle aussi en position de charge tandis que le flanc droit les cosaques russes faisaient de même. Dans le centre les tirs continuaient à faire des mort par milliers et les positions russes subissaient de lourdes avaries..
Sur le coté gauche, les 2000 carabiniers chargeaient l'infanterie d'élite ainsi que les 1000 cosaques suédois venu en renfort, une salve dévastatrice des carabiniers qui étaient répartis en plusieurs colonnes fit des centaines de mort et encore des centaines de blessés dans les rangs de l'infanterie d'élite russe, et quelques secondes à peine après cela les carabiniers et les cosaques chargeaient les positions de l'infanterie d'élite Russie, tandis que les cavaliers et les dragons suédois chargeaient par le flanc gauche l'infanterie de ligne russe.
Sur le flanc droit les milliers de cosaques commandés par Ivan Mazepa en personne chargeaient le flancs droit russe pendant que l'infanterie de ligne et les tirailleurs avaient ordre de se concentrer sur le centre de l'armée russe.
Bien vite, les russes prient de toute part n'avaient d'autre choix que de prendre la fuite ou que d'être massacrés, la cavalerie prit en fuite les soldats russes mais pas très longtemps car certains russes courageux gardaient toujours leurs positions et la cavalerie devaient les tuer en priorité..Les russes se replient en direction de Moscou.
Pertes :
Une armée de conscrits est levé en Anatolie.
CARTE :
Ambiance :
- Spoiler:
- https://www.youtube.com/watch?v=slOTKPvQCls
Constantinople, dans la Sublime Porte..19 mai 1702..
Sultan Mustafa II : Il semblerait qu'une grande armée russe est passé le nord et fasse marche sur le Grand Vizir..l'inquiétude gagne mon cœur.
Stratège Selim Assouf : N'ayez crainte le Grand Vizir est très..imaginatif..mais peut-être devrions nous lui envoyer des renforts ?
Sultan Mustafa II : Oui..mais quels renforts ? Je ne peux pas me permettre d'envoyer la garnison de Constantinople l'aider, cependant mon frère Ahmet III avait ordre de venir prêter assistance au grand Vizir si la situation en Crimée était calme, d'après les informations que je tiens les russes n'ont pas attaqués la Crimée, de ce fait avec un peu de chance Ahmet III débarquera en Roumanie...Mais dans le doute, préparez les hommes de Constantinople à marcher sur le nord, de nouveau régiments de janissaires auront sous peu terminer leurs formation, j'enverrais donc des Janissaires de Constantinople en renfort, et peu être plus encore..Nous verrons. De plus je fais distribuer des terres en Valachie pour pouvoir lever environ 3000 tamariot que j'enverrais en renfort au grand Vizir.
Stratège Selim Assouf : Bien, et quant au général Hassan Ben Sahid ?
Sultan Mustafa II : A l'heure qu'il est, il doit faire marche sur Belgrade, mais n'ayez crainte pour lui j'ai fais lever 5000 tamariots en distribuant des terres en Albanie, et les Janissaires de Macédoine s'occupent de lever une armée qui viendra renforcer celle d'Hassan Ben Sahid.
Stratège Selim Assouf : Revenons peut-être sur la situation avec la Russie..
Sultan Mustafa II : Nos alliés suédois s'apprêtent à lancer sous peu une offensive, j'ai confiance en leurs...capacités. La vrai question est la suivante, Allah le plus grand a t-il lui confiance en nous ?
Au Nord de Sofia, sur la route pour Belgrade.
L’armée du Général Hassan Ben Sahid rencontre des renforts menés par le Haut Janissaire Recep Séleucos.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Salam Halicoum, mes respects ô Grand Général Hassan Ben Sahid, je vous fais savoir que le commandement de mes hommes vous est désormais attribué, pour ma part je commanderais les Janissaires.
Général Hassan Ben Sahid : Alicoum Salam mon frère, ne perdons pas notre temps j'ai besoin de savoir, de quoi est constitué les troupes que tu viens de ramener ?
Haut Janissaire Recep Séleucos : Je vous est amené la fine fleure des soldats de Grèce du nord, d'Albanie et de Macédoine, les 8000 Janissaires de Skopje et de Bitola, de plus une grande cargaison d'armes à été livrée en Albanie par la Compagnie de la Méditerranée française, les janissaires en ont été équipés, avec les anciens fusils des janissaires nous avons équipés 4000 conscrits, de plus 12.000 soldat d'infanterie de ligne, 10.000 tirailleurs, 500 dragons, 500 carabiniers et 60 canons ont rejoins votre armée. Ce qui porte l'armée à 85.000 hommes.
Général Hassan Ben Sahid : Pas exactement, nous avons croisés sur la route des soldats ayant combattu aux Batailles de Belgrade et de Sarajevo, 3000 fantassins de lignes ont rejoint l'armée, ce qui porte notre armée à 88.000 hommes.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Les rumeurs ne sont pas fausse alors...
Général Hassan Ben Sahid : De quelles rumeurs me parles tu ?
Haut Janissaire Recep Séleucos : L'ont raconte qu'il n'y a pas un soldat ottoman dans l'ouest des Balkans qui ne soit dans l'armée d'Hassan Ben Sahid !
Général Hassan Ben Sahid : Ha Ha Ha, bien, maintenant avançons nous avons des frères, des sœurs, des parents et des enfants à libérer du joug allemand.
Chef de corps des Tamariot : Salim Halicoum ô Général, je suis venu le plus rapidement possible, le Sultan viens d'offrir des terres en Albanie à 5000 tamariot, nous rejoignons votre armée.
Général Hassan Ben Sahid : Je te félicite tu es arrivé au bon moment...et bien ont dirait qu'Allah est avec nous.
Bataille de Belgrade :
A l'approche de l'Armée Ottomane, l'Armée Autrichienne se retira de Belgrade jugée indéfendable afin d'affronter dans une bataille rangée l'Armée Ottomane, cependant n'ayant pas d'éclaireurs dans la zone où des renforts sont arrivés à Hassan Ben Sahid, les autrichiens s'attendaient à faire face à une armée de nombre égale à la leurs et avait préparer leur plan de bataille en fonction de ce paramètre. De ce fait la région de Belgrade est une région relativement plate et les terrains sont adaptés à de grandes armées.
Forces en présences :
L'armée autrichienne était en position d'attente, en effet celle-ci comportait un nombre très important de canons, de ce fait il était dans son intérêt de pilonner le plus possible les forces ottomanes. Quant aux 160 canons ottomans, ils étaient en positions sur une petite Coline sur le flanc gauche, 2000 tirailleurs et 1000 Hallebardier les protégeaient de la cavalerie. Quant aux Tamariots ils étaient eux aussi sur ce flanc et semblait attendre le début des combats...
Armée Ottomane : 33.000 fantassins d'infanterie de ligne, 16.000 tirailleurs, 3000 Hallebardiers, 1000 Archer, 6000 épéistes bashibazouk, 4000 conscrits bachibazouk, 2000 archers conscrit Azab, 12.000 conscrits avec fusil, 14.000 Janissaires, 1500 dragons, 1500 carabiniers, 1000 cavaliers bashibazouk , 5000 tamariots et 150 canons soit 93.000 hommes.
Armée Autrichienne: 11.000 Conscrit, 40.000 d'infanterie de Ligne,10.500 Tirailleurs ,3200 Uhlans,245 Canons,800 Cavalier,1880 Dragon soit 62.880 Hommes.
Cependant dans l'état-major autrichiens, ont se rendit vite compte que l'armée ottomane dépassait les 60.000 hommes et un nouveau plan de combat était en préparation, mais l'ingénieux Hassan ben Sahid avait anticipé cela et la disposition de l'armée ottomane était audacieuse, Hassan Ben Sahid allait réutiliser les vieilles tactiques de combat ottomanes et y ajouter quelques améliorations, les premières lignes étaient constitués de conscrits, de bashibazouk, et de quelques brigades de tirailleurs alors que les dernières lignes étaient composés d'Infanterie de ligne et de Janissaires, l'état-major autrichien sûr de lui croyait donc faire face à la tactique ottomane habituelle qui se soldais généralement par de grandes victoires européennes.
L'artillerie continuait de pilonner et les premières salves de fusils et les tirs de flèches étaient échangés, les conscrits et les bashibazouk ottomans subissaient de lourdes pertes alors que les pertes autrichiennes étaient acceptable, même si les importantes volées de flèches aux quelles les autrichiens n'étaient pas habitués étaient meurtrière, quand celles-ci arrivaient à destination.
Les premières lignes bashibazouk commençaient à céder, c'était le moment qu'attendait le commandement autrichien pour se servir de sa cavalerie afin d'empêcher le cœur de l'armée ottomane de frapper.
Mais au même moment, les cavaliers tamariot étaient au galot et ils se dirigeaient sur les canons autrichiens qui donnaient un avantage à l'armée autrichienne qu'il n'était pas acceptable de perdre pour l'état-major autrichien, de ce fait la cavalerie autrichienne était dépêchée afin de protéger les canons, mais sur le flanc droit les dragons et les cavaliers bashibazoukls ottomans étaient eux aussi au galop et était sur le point de se placer en position de charge au niveau des flancs autrichiens, les autrichiens n'eurent d'autre choix si ils ne voulaient pas être débordés d'envoyer les dragons et la cavalerie autrichienne sur les flancs tout en dépêchant les Uhlans sur les tamariots ottomans chargeant les canons.
Dans le centre, des milliers et des milliers de conscrits et de tirailleurs ottomans avaient perdues la vie cependant il fut donner l'ordre aux premières lignes d'abandonner leurs positions et au même moment l'infanterie de ligne les remplaçaient en première ligne tandis que sur le coté gauche se plaçait la majorité des tirailleurs ottoman, les bachibouzouk ainsi que les hallebardiers étaient envoyés sur le coté droit soutenir les dragons et les cavaliers ottoman, cependant la plus part des bashibazouk n'en firent qu'à leurs tête et prirent vraiment la fuite..
Sur le coté gauche le nombre de Tamariot ne semblait pas faire la différence avec les Uhlans tandis qu'au centre les tirs étaient maintenant aussi meurtrier du coté autrichiens que du coté ottoman, et sur le coté gauche les tirailleurs ottomans en surnombre par rapport aux tirailleurs autrichiens faisaient un carnage dans leurs rang. Les autrichiens étaient obligés de dégarnir leur flanc droit afin d'envoyer des tirailleurs soutenir la cavalerie et combattre au corps à corps.
Profitant de cette brèche, les carabiniers reçurent l'ordre de se mettre au galop afin de profiter de cette brèche, une salve fut tiré sur les tirailleurs s'en suivie une violente charge qui agrandit encore la brèche, mais les autrichiens avaient de l'expérience et du courage à revendre, le centre autrichien tenait toujours face aux tirs ottomans et sur le coté droit malgré la supériorité numérique des tirailleurs, les autrichiens tenaient bon.
Cependant pour Hassan ben Sahid, il était temps pour lui d'en finir avec cette bataille, les quelques milliers de tirailleurs encore sur le coté droit se replièrent, laissant place aux janissaires, élite de l'armée ottomane. Les janissaire se mirent en position et tirèrent à volonté ce qui agrandit encore plus la brèche et avant que le commandant autrichien ne puisse donner de nouveau ordres les janissaires dégainèrent leurs sabres se chargèrent dans la brèche sur le coté droit pendant qu'au centre et sur le coté droit les tirs entre les infanteries de ligne et les tirailleurs des deux nations faisaient encore rage.
Après quelques minutes de combat la cavalerie et les tirailleurs du coté droit étaient mis en pièce et les janissaires ottomans ainsi que le reste des hallebardier et des bashibazouks chargèrent sur le flanc l'armée Autriche pendant que la cavalerie ottomane contournait l'armée autrichienne et se plaçait à l'arrière, tandis que sur le coté gauche les soldats autrichiens tombaient de plus en plus rapidement au champ d'honneur.
Le centre autrichien était encerclé entre les janissaires, la cavalerie et l'infanterie de ligne ottomane, ce qui mis en déroute l'armée autrichienne, mais les héroïque Uhlans contenaient quant à eux toujours les Tamariots ce qui permis au coté gauche autrichiens de fuir sans être poursuivis par les soldats ottoman, cependant le centre autrichien n’eus pas au tant de chance et même si une partie de celui-ci réussis à fuir, quelques milliers de soldats se sont retrouvés encerclés et n'ont eu d'autre choix que de se rendre, le commandant autrichien Eugen von Savoyenétait était parmi eux.
Pertes :
Pertes Ottomane : 8000 fantassins d'infanterie de ligne, 4000 tirailleurs, 1000 Hallebardiers, 3000 épéistes bashibazouk, 4000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 10.000 conscrits avec fusil, 1000 Janissaires, 900 dragons, 600 carabiniers, 600 cavaliers bashibazouk et 2400 tamariots soit 36.500 hommes.
Pertes Autrichienne: 8000 Conscrit ( dont 400 prisonniers ), 22.000 d'infanterie de Ligne( dont 2900 prisonniers ),6500 Tirailleurs ( dont 800 prisonniers) ,2600 Uhlans,215 canons( dont 58 prit ),780 Cavalier,1770 Dragon soit 41.650 Hommes.
Au même moment pendant le retrait de l'armée autrichienne, Hassan Ben Sahid entouré de sa garde janissaire faisait face à deux prisonniers autrichiens, ne parlant pas le Hongrois c'est son second qui s’exprima en son nom.
Haut Janissaire Recep Séleucos : : Je parle mal ta langue, mais je suis capable de te dire ceci, fais passer cette missive à t'es généraux, et fait leurs comprendre que si ils ne se retirent pas du territoire ottoman, ils subirons le même sort que l'armée que nous venons de vaincre.
Les deux soldats autrichiens : Nous..nous le ferons !
Alors que les deux hommes couraient en direction de Sarajevo...
Général Hassan Ben Sahid : Il n'y pas besoin d'être deux pour envoyer un message, voyons voir la qualité des fusils français.
Hassan Ben Sahid attrapa le fusil d'un de ses janissaires et mit en joue l'un des deux soldats puis tira, la balle atteignit les lombaires du malchanceux ce qui fit s'écrouler celui-ci, Hassan Ben Sahid marchait vers lui...
Général Hassan Ben Sahid : Il est certain qu'ils ne valent pas les sabres ottomans.
Hassan Ben Sahid dégaina son sabre, se mit en position et trancha la tête du soldat autrichien..
L'armée se replie aux alentours de Niš, de plus 4000 conscrit dont 2000 avec fusil et 2000 bashibazouk sont levés.
Les prisonniers sont envoyés en Anatolie et en Thrace travailler dans les champs, quant à Eugen von Savoyenétait il visiteras les geôles de Constantinople.
Dans la ville fortifié de Constanta, en Valachie.
Janissaire Mehmed Karagounis : ô Grand Vizir une grande armée Russe faisant deux fois la notre viens de franchir la Moldavie et se dirige sur nous !
Grand Vizir Köprülü Hüseyin: Quoi ?! Sait-tu de quoi est-elle composé ?!
Janissaire Mehmed Karagounis : D'après nos éclaireurs, elle contiendrait seulement de l'infanterie et de la cavalerie.
Grand Vizir Köprülü Hüseyin : Mmmhh..Dans ce cas je sais quoi faire, une partie de l'armée va tendre une embuscade, nous allons frapper vite tuer le plus d'ennemis que possible puis repartir à Constanta. D'ici là, les renforts seront arrivés.
Janissaire Mehmed Karagounis : Mais, ô grand Visir, nous n'attendons aucuns renforts...
Grand Vizir Köprülü Hüseyin: Une grande armée russe fais marche sur moi, et je suis le Grand Vizir Köprülü Hüseyi ! Le Sultan est obligé de me faire parvenir des renforts, mais je dois agir je ne peux rester ici et attendre...
Embuscade de Tulcea :
Les troupes russes pénétraient en Roumanie, l'objectif était de frapper vite et fort en subissant le moins de pertes. Au nord de Constanta, la région était pleine de plateaux et de petites forêts où les chemins se trouvaient être étroits, et l'armée russe pour arriver plus rapidement près de Constanta passait par ses chemins, les ottomans allaient en profiter...
Forces en présences :
Les forces ottomanes étaient en position et l'armée russe passait devant eux, les ottomans attendaient avant de frapper, mais certains cosaques étaient envoyés en éclaireurs et risquaient de repérer la cavalerie ottomanes dans la forêt, c'était le moment de frapper.
Armée Ottomane : 2200 épéistes Bashibazouk, 4500 Tirailleurs, 3000 Archers, 2500 Hallebardier, 400 cavaliers bashibazouks, 250 cavaliers janissaires, 200 carabiniers, 3000 conscrit Bashibazouk, soit 15.850 hommes.
Armée Russe : 50.000 Infanterie de ligne, 2000 dragons, 2000 infanterie d'élite, 7500 cosaques et 120 canons, soit 61.500 hommes.
Les tirailleurs ottomans tirèrent une première salve sur les soldats russes qui ne s'y attendaient pas, un peu plus loin les archers ottomans tirèrent une salve qui fut meurtrière dans les rangs russes s'en suivie une charge de bashibazouk sur les survivants et sur l'infanterie un peu plus à l'est, les hallebardiers quant à eux protégeaient les flancs et l'arrière des tirailleurs et des archers de la cavalerie russe qui se mettaient au galop, cependant le flanc droit de certains tirailleurs était peu garnis d'hallebardiers une partie de la cavalerie russe se mit à charger, cependant dans la forêt la cavalerie ottomane chargea le flanc de la cavalerie russe, une salve de carabiniers fit plusieurs mort et la charge russe fut arrêter par la cavalerie et les hallebardiers ottoman, d'autres hallebardiers arrivèrent en renfort pour empêcher que la cavalerie russe ne brise la formation des tirailleurs ottomans.
L'infanterie russe était mal au poing car les tirs des tirailleurs et des archers continuaient de pleuvoir sur eux toujours et les bashibazouk retenaient le reste de l'infanterie, cependant les russes commençaient à se mettre en position de combat même si il était difficile de le faire sur cet étroit passage...
Plusieurs centaines d'Hallebardiers ottomans se mit entre les troupes russes et les tirailleurs et archers ottomans afin que ceux-ci puisse sonner le replie, une partie des bashibazouks se replia, mais une autre continua de lutter à mort dans l'infanterie russe, et les hallebardier continuaient de tenir en respect la cavalerie russe, les ottomans se repliaient.
Pertes :
Bataille de Kherzon :
Pertes Ottomanes : 600 épéistes Bashibazouk, 100 Tirailleurs, 200 Archers, 500 Hallebardier, 400 cavaliers bashibazouks, 100 cavaliers janissaires, 100 carabiniers, 2800 conscrit Bashibazouk, soit 4600 hommes.
Pertes Russes: 5500 Infanterie de ligne, 100 infanterie d'élite, 1400 cosaques et 6 canons, soit 7000 hommes.
L’Armée menée par le Khan Sélim Ier Giray devait intercepter l'armée Polonaise nettement inférieur en nombre avant qu'elle ne prenne la ville de Kherson. Le Khan Sélim Ier Giray redoutait un piège, cependant informé par ses espions que les russes étaient en position défensive il ne voyait pas qui pourrait le piéger, de ce fait il décida de prendre le risque de défaire cette armée polonaise et les tatars ont encore moins tendance que les turcs à faire de prisonniers...
Forces en présences :
Les tirailleurs ottomans étaient cachés dans la forêt entourant ce qui allait constituer le champ de bataille, l'infanterie de ligne ottomane était en première ligne ainsi que les conscrits avec fusils, quant aux bachibouzouk ils étaient positionnés sur les flancs. Quand l'armée polonaise vit le surnombre ottoman, les polonais hésitaient à s'engager où non sur le champ de bataille, mais la cavalerie ottomane était à ce moment-là en train de contourner l'armée polonaise, les empêchant de faire retraite, de ce fait l'armée polonaise allait donc à la rencontre de l'armée ottomane, les hallebardiers cependant tenait en respect la cavalerie ottomane qui ne chargeait pas, mais les canons ottomans faisaient feu, de même que les canon polonais...Les salves entre l'infanterie ottomane et polonaise débutaient à peine que les tirailleurs se mirent eux aussi à tirer sur les flancs de l'armée polonaise qui subissait des tirs de face et des flancs...
Armée Ottomane : 11.000 fantassins d'infanterie de ligne, 6000 tirailleurs, 1000 Hallebardiers, 6000 épéistes bashibazouk, 2000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 4000 conscrits avec fusil, 1000 carabiniers, 2000 cavaliers Bashibazouk et 60 canons soit 32.000 hommes.
Armée Polonaise : 10.400 fantassin d'infanterie de ligne, 2400 Hallebardiers, 30 canons de campagne et 100 cavaliers Uhlans soit 12.900 hommes.
Quelques minutes plus tard les carabiniers ottomans reçus l'ordre de simuler une charge contre les hallebardiers, mais en réalité ils tirèrent une salve sur eux qui fit des centaines de mort avant de faire demi-tour en direction de la cavalerie bashibazouk.
Les troupes polonaises continuaient d'être harcelés de toute part pendant plusieurs minutes qui devenaient de plus en plus longue et se voyait dans l'impossibilité de battre en retraite à cause de la cavalerie ottomane. Les tirailleurs ottoman reçurent l'ordre de se placer de façon à avoir une plus grande fenêtre de tirs sur les hallebardiers et à faire feu sur eux, leur salve fit plusieurs centaines de mort dans l'autre rang et les archers ottomans eu l'ordre quant à eu de tirer des salves de façon à toucher les hallebardiers à l'arrière de l'armée autrichienne bien que les archers tiraient de manière imprécise chaque salves faisait plus d'une centaine de mort ou de blessés , mais les polonais savaient que c'était les hallebardiers qui empêchait l'anéantissement de leurs armée et donna l'ordre à l'infanterie de ligne de se concentrer sur les tirailleurs, mais c'était trop tard...Les bashibazouk ottomans chargeait contre l'infanterie de ligne pendant que derrière toute la cavalerie ottomane chargeait l'arrière de l'armée polonaise, les carabiniers qui avait rechargés tirèrent une nouvelle salve sur les hallebardiers avant de charger sur eux, il n'en restait plus beaucoup en vie.
Cependant les Uhlans courageux qui était sur le flanc gauche polonais, décidèrent de charger les troupes ottomanes qui massacraient le reste de l'armée polonaise, les Uhlans fit des centaines de mort dans les rangs de la cavalerie bashibazouk Ottomanes ce qui permis à quelques centaines de polonais de fuir le champ de bataille.
Les consignes du Khan Tatar Selim 1er Giray étaient clair...pas de prisonniers.
L'Armée prit en suite position dans la ville fortifié de Kherson et 2000 conscrits avec fusils étaient levés ainsi que 1000 Tamariots qui se voyaient offert quelques terres de Crimée.
Pertes :
Pertes Ottomane : 1500 fantassins d'infanterie de ligne, 800 tirailleurs, 700 épéistes bashibazouk, 1500 conscrits bachibazouk, 800 conscrits avec fusil, 150 carabiniers, 500 cavaliers Bashibazouk, soit 5950 hommes.
Pertes Polonaise : 9600 fantassin d'infanterie de ligne, 2100 Hallebardiers, 30 canons de campagne ( dont 8 prit ) et 100 cavaliers Uhlans soit 11.800 hommes
Dans la Mer Noire :
Amiral Tariq Korotak : Votre excellence, pourquoi avez vous ordonnez à la flotte de faire route sur la Roumanie ?
Ahmet III : Le Khan de Crimée m'a fait savoir qu'il pouvait protéger seul la Crimée, nous allons donc débarquer en Roumanie pour porter soutiens au Grand Vizir.
Blocus contre l'Autriche :
La Flotte Ottomane de l'Adriatique composé de 5 navires de troisième rang, 5 navires de quatrième rang et 10 navires de sixième rang, se place en position de blocus contre l'Autriche.
Près de la frontière Russo-Suédoise.
Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld: Mon Roi, nous avons reçu des nouvelles du Front de nos alliés Ottomans. Il semblerait que les ottomans est lancés plusieurs offensives, les Polonais sont mis en déroute en Crimée, l'Autriche est sous blocus et il semblerait qu'ils est remporté une grande victoire contre les autrichiens près de Belgrade, cependant les Russes ont semble-il fait pénétrer une grande armée dans les Balkans. Les Ottomans nous demandes d'entrer en guerre à leurs coté.
Charles XII de Suède : Mmmhh..bien, qu'est ce que nos espions à la frontière vous ont rapportés ?
Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld: Les russes auraient plusieurs armées en positions défensive, et les Cosaques par milliers surveilles la frontière Russe et..
Un Cosaque, visiblement un chef arriva au galop...
Ivan Mazepa: Salutations, ô puissant Roi de Suède, je vous informe que l'amitié entre le Royaume de Suède et l'Hermanate Cosaque n'a pas été oubliée, moi ainsi que les Cosaques qui me sont loyaux avons déserter les ligne Russes et nous sommes prêt à nous battre à vos cotés si vous décidez d'envahir la Russie, je suis accompagné de 4000 Cosaques, la plus part des autres Cosaques obéisses à Vassili Leontievitch Kotchoubeï qui reste quant à lui loyal au Tsar.
Charles XII de Suède : Je vous présentes mes respects, et je vous assure que cette acte courageux ne sera pas oublié, si la Russie est défaite je vous assure que les Cosaques pourrons continuer à vivre selon leurs traditions. Monsieur le Feld-Maréchal, il est temps de faire avancer notre formidable armée.
Bataille de Ladoga :
L'armée Suédoise entrait donc en territoire russe, 1000 cosaques passèrent cependant à la gauche du Lac Ladoga pendant que le reste de l'armée passait à droite.
- Spoiler:
Forces en présences :
1000 Cosaques toujours fidèle au tsar venaient de voir l'armée Russe et s'apprêtaient à se diriger sur la ligne d'infanterie de la "ligne rouge" russe afin de les prévenir de l'arrivée de l'armée Suédoise, cependant les cosaques suédois se mirent immédiatement à la poursuite des cosaques russes qui devaient passer les cosaques suédois pour aller avertir l'armée russe, cependant le sous-nombre des cosaques ne leurs permis pas de passer et ils furent mis en déroute par les cosaques suédois, cependant les cosaques russes toujours en vie galopent en direction de la "ligne bleu" russe afin de les prévenir de ce qu'il risquait de se passer plus au nord...
Armée Suédoise : 40.000 d'Infanterie de ligne, 8000 tirailleurs, 8000 Hallebardiers, 4000 cosaques, 1000 cavaliers, 1000 dragons, 2000 carabiniers et 180 canons, soit 64.000 hommes.
Armée Russe : 6 000 conscrits, 26 000 soldats d'infanterie, 500 dragons, 4 000 soldats d'infanterie d'élite, 1000 cosaques et 60 canons, soit 37.500 hommes.
L'armée suédoise était en approche des positions russes et commençait à essuyer des tirs d'artillerie embusquer, l'armée russe se mettait en position de combat.
L'Armée suédoise installât ses batteries de canons et en possédant trois fois plus que les russes, les dégâts provoqués par l'artillerie penchait en faveur des suédois. L’infanterie et les conscrits russes était en premières ligne tandis que l'infanterie d'élite et les dragons protégeaient les canons majoritairement sur le flanc gauche, l'armée suédoise alignant plus d'infanterie de ligne que les russes, les tirailleurs se positionnement sur les flancs suédois, de façon à accentuer la supériorité numérique des russes sur les suédois, les hallebardiers étaient quant à eux gardés en réserve à proximités des canons suédois alors que les cosaques suédois faisaient mouvement sur le flanc droit, le reste de la cavalerie fit de même sur le flanc gauche...
Cela faisait plusieurs minutes que les premières salves retentissaient dans le ciel, et même si les positions des russes étaient plus favorables à celles des suédois, la supériorité numérique suédoise et surtout leurs tirailleurs donnaient déjà des signes encourageants pour les forces suédoises, de plus que l'artillerie suédoise pilonnait toujours les positions russes.
Tout à coup les 1000 cosaques russes qui contournaient le lac par la gauche arrivèrent à proximité du champ de bataille et chargeaient immédiatement sur le coté gauche russe, la cavalerie suédoise sur le flanc gauche se mettait elle aussi en position de charge tandis que le flanc droit les cosaques russes faisaient de même. Dans le centre les tirs continuaient à faire des mort par milliers et les positions russes subissaient de lourdes avaries..
Sur le coté gauche, les 2000 carabiniers chargeaient l'infanterie d'élite ainsi que les 1000 cosaques suédois venu en renfort, une salve dévastatrice des carabiniers qui étaient répartis en plusieurs colonnes fit des centaines de mort et encore des centaines de blessés dans les rangs de l'infanterie d'élite russe, et quelques secondes à peine après cela les carabiniers et les cosaques chargeaient les positions de l'infanterie d'élite Russie, tandis que les cavaliers et les dragons suédois chargeaient par le flanc gauche l'infanterie de ligne russe.
Sur le flanc droit les milliers de cosaques commandés par Ivan Mazepa en personne chargeaient le flancs droit russe pendant que l'infanterie de ligne et les tirailleurs avaient ordre de se concentrer sur le centre de l'armée russe.
Bien vite, les russes prient de toute part n'avaient d'autre choix que de prendre la fuite ou que d'être massacrés, la cavalerie prit en fuite les soldats russes mais pas très longtemps car certains russes courageux gardaient toujours leurs positions et la cavalerie devaient les tuer en priorité..Les russes se replient en direction de Moscou.
Pertes :
Une armée suédoise se constitue près de Malmö, et 4000 conscrits joignent en renfort l'armée suédoise ayant pénétré en Russie.
Pertes Suédoises : 6000 d'Infanterie de ligne, 900 tirailleurs, 1400 cosaques, 200 cavaliers, 200 dragons et 600 carabiniers, soit 9400 hommes.
Pertes Russes : 2000 conscrits, 19.000 soldats d'infanterie, 400 dragons, 3200 soldats d'infanterie d'élite, 800 cosaques et 60 ( dont 20 prit ) canons, soit 25.400 hommes.
Une armée de conscrits est levé en Anatolie.
CARTE :
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- Spoiler:
Rond Orange ; Armée d'Hassan Ben Sahid à Nis :Armée Ottomane : 25.000 fantassins d'infanterie de ligne, 12.000 tirailleurs, 2000 Hallebardiers, 1000 Archer, 3000 épéistes bashibazouk, 2000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 4.000 conscrits avec fusil, 13.000 Janissaires, 600 dragons, 900 carabiniers, 400 cavaliers bashibazouk , 2600 tamariots et 208 canons soit 67.500 hommes.
Rond Violet : Armée d'Ahmet III ( protège Constanta en position défensive ) et du Grand Vizir ( dans Constanta ) + renfort de Constantinople : 20.000 fantassins d'infanterie de ligne, 7000 tirailleurs, 3000 Hallebardiers, 7000 épéistes bashibazouk, 2800 archers, 1500 archers conscrit Azab, 6000 conscrits avec fusil, 600 carabiniers, 150 cavaliers janissaires, 3000 tamariots, 500 dragons, 12.000 janissaires et 90 canons soit 44.500 hommes, soit 64.150 ET 6500 fantassins d'infanterie de ligne, 2600 épéistes Bashibazouk, 2400 Tirailleurs, 2000 Archers, 1000 Hallebardier, 200 conscrit Bashibazouk, 2000 conscrits avec fusils et 30 canons de campagne, soit 16.200 hommes.
Rond bleu : Lieux de l'Embuscade.
Rond Vert ; Armée du Khan de Crimée à Kherson: Armée Ottomane : 9500 fantassins d'infanterie de ligne, 5200 tirailleurs, 1000 Hallebardiers, 5300 épéistes bashibazouk, 500 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 5200 conscrits avec fusil, 850 carabiniers, 1500 cavaliers Bashibazouk, 1000 tamariots et 68 canons soit 31.050 hommes.
Rond Noir ; Armée de Charles XII de Suède : Armée Suédoise : 34.000 d'Infanterie de ligne, 7100 tirailleurs, 8000 Hallebardiers, 2600 cosaques, 800 cavaliers, 800 dragons, 1400 carabiniers, 4000 conscrits et 180 canons, soit 58.600 hommes.
Carré Jaune ; Flotte faisant blocus sur l'Autriche : 5 navires de troisième rang, 5 navires de quatrième rang, 10 navires de sixième rang.
Hesdine- Premier Ministre
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Date d'inscription : 07/04/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Sérénissime République de Venise
Nous faisons remarquer à l'Empire Ottoman que son blocus s'effectue près des côtes vénitiennes.
Nous lui serions gréé de ne pas gêner ls navirs vénitiens ni d'interrompre les communications entre la Vénétie et la côte Dalmate Vénitienne.
La flotte vénitienne est mise en alerte.
Confidentiel:
En réalité, elle est prête à intervenir pour prêter main forte aux turcs si les autrichiens cherchent à forcer le blocus et mettent la flotte turque en difficulté.
CamaradeLitchi- Président
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Date d'inscription : 22/08/2011
Age : 28
Localisation : Haute Lotharingie
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
République des Deux-Nations / Électorat Princier de Saxe
- Spoiler:
Si vous avez un 5.1, montez les basses !
A la suite de l'embuscade dont ont été victime les troupes russes, la Pologne prend le commandement de l'armée russe dans le secteur. De plus, des unités polonaises sont envoyés en renfort. Les troupes russes ont reçu l'ordre de se regrouper autour d'Izmaïl avec l'armée polonaise et ses renforts.
Pour combler les pertes des effectifs russes, quelques Cosaques restés dans l'Ukraine polonaise sont levés et envoyés dans les unités.
Armée unifiée de Moldavie :
Effectifs polonais :
Effectifs de la IIème Armée en Moldavie :
Infanterie de Ligne : 37 (64.000 hommes)
Artillerie: 4 (120 canons)
Cavalerie: 5 (2.500 cavaliers)
Conscrits : 10 (20.000 hommes)
Effectifs russes :
Infanterie de Ligne : 25 (50 000 hommes)
Dragons : 4 (2 000 hommes)
Infanterie d'élite : 1 (2 000 hommes)
Cosaques : 15 (7 500 hommes)
Artillerie : 4 (120 pièces)
Total : 114.000 fantassins de ligne, 12.000 cavaliers, 2.000 fantassins d'élite, 20.000 conscrits, 240 canons.
Cette armée, déjà surnommé la Grande Chrétienne, unissant les forces des Chrétiens d'Orient et des Chrétiens d'Occident face aux infidèles, fit mouvement vers le sud. Sa cible : Constanta. Aux dernières nouvelles, une armée de plus de 70.000 Ottomans y était retranchée. Grâce à l'artillerie russe et aux canons polonais, cette ville minuscule ne tiendra pas longtemps.
Afin d'éviter toute embuscade, la cavalerie polonaise avançait bien en avant, avec l'ordre de reculer en cas de rencontre ennemie, afin de faire prendre une autre route à la Grande Chrétienne.
Bataille de Constanta
- Spoiler:
Effectifs ottomans :
Rond Violet : Armée d'Ahmet III ( protège Constanta en position défensive ) et du Grand Vizir ( dans Constanta ) + renfort de Constantinople : 20.000 fantassins d'infanterie de ligne, 7000 tirailleurs, 3000 Hallebardiers, 7000 épéistes bashibazouk, 2800 archers, 1500 archers conscrit Azab, 6000 conscrits avec fusil, 600 carabiniers, 150 cavaliers janissaires, 3000 tamariots, 500 dragons, 12.000 janissaires et 90 canons soit 64.150
6500 fantassins d'infanterie de ligne, 2600 épéistes Bashibazouk, 2400 Tirailleurs, 2000 Archers, 1000 Hallebardier, 200 conscrit Bashibazouk, 2000 conscrits avec fusils et 30 canons de campagne, soit 16.200 hommes.
- Spoiler:
Armée unifiée de Moldavie :
Effectifs polonais :
Effectifs de la IIème Armée en Moldavie :
Infanterie de Ligne : 37 (64.000 hommes)
Artillerie: 4 (120 canons)
Cavalerie: 5 (2.500 cavaliers)
Conscrits : 10 (20.000 hommes)
Effectifs russes :
Infanterie de Ligne : 25 (50 000 hommes)
Dragons : 4 (2 000 hommes)
Infanterie d'élite : 1 (2 000 hommes)
Cosaques : 15 (7 500 hommes)
Artillerie : 4 (120 pièces)
Total : 114.000 fantassins de ligne, 12.000 cavaliers, 2.000 fantassins d'élite, 20.000 conscrits, 240 canons.
Arrivant près de la ville, la Grande Chrétienne s'arrêta et se mit en position. Toutes les pièces d'artillerie se mirent sur une hauteur, protégées par la cavalerie polonaise.
Autour de ce village de pêcheurs composé de 250 malheureuses maisons, le déploiement était le suivant :
-à l'ouest, les unités de conscrits polonais ainsi que l'infanterie russe faisaient mouvement entre Pestera et Murfatlar
-au nord, l'infanterie polonaise avançait avec le soutien de l'artillerie près de Lumina
-au sud, la cavalerie russe de Cosaques et de Dragons, qui avait été envoyé en avant en contournant Constanta, devait empêcher tout repli ottoman.
Vu le nombre d'hommes dans les deux camps et la petite taille de la ville de Constanta, j'en ai parlé avec les modos et j'ai donc étendu les zones de combat et de déploiements.
Cette bataille doit être la dernière avant Constantinople. Les Russes sont plus combatifs que jamais à l'idée de reprendre la capitale de la chrétienté d'Orient, Constantinople. Les Polonais veulent venger la barbarie des Ottomans à l'égard de leurs compatriotes qui ont eu le malheur de tomber entre les mains des barbares infidèles.
Cette bataille est emplie de propagande religieuse, et l'atmosphère ressemble vaguement aux prestigieuses Croisades menées pendant le Moyen-Âge.
Alors que les Ottomans menaient leurs préparatifs, l'artillerie croisé lança un pilonnage des infidèles. L'artillerie ottomane est visée la première, afin d'empêcher l'ennemi de bombarder les troupes polonaises.
A l'ouest, les troupes russes avancent. En première ligne, les conscrits polonais doivent tenir la ligne, avec le soutien de l'infanterie d'élite russe.
Les Ottomans commencèrent par leur arme "fétiche" : la charge de barbares épéistes avec l'appui des archers. Le général polonais avait compris cette tactique et avait fait savoir aux officiers de l'infanterie d'élite russe qu'il fallait à tout prix éliminer les archers.
Les conscrits avaient reçu un ordre particulier. En effet, les archers tiraient souvent avant l'arrivée au corps à corps des épéistes. Ils reçurent l'ordre, avant la bataille, de remplir leur sac avec de la terre. Alors que les épéistes avançaient, les archers lancèrent la salve. Les conscrits polonais prirent immédiatement leur sac pour le mettre au-dessus de leur tête, comme s'il pleuvait. Cette action limita grandement les pertes. Immédiatement après, ils jetèrent leurs sacs et ouvrirent le feu sur les épéistes. L'immense salve des conscrits balaya les épéistes bachibouzouks, qui se replièrent en masse. Les quelques hommes arrivés au corps à corps furent écrasé par la supériorité numérique des Polonais.
Après cette charge, l'infanterie d'élite russe avança vers les archers et ouvrit le feu sans interruption, pendant que les conscrits polonais repoussaient les conscrits avec fusils.
Derrière, le gros de l'armée russe avait fait mouvement en contournant les combats et se dirigeait vers une partie de l'infanterie de ligne ottomane. La supériorité numérique russe provoqua la rupture du front après plus de vingt minutes d'échanges de tirs.
Dans le même temps, au nord, la bataille faisait rage. L'infanterie polonaise avançait avec l'aide de l'artillerie.
Pour ses unités, le général polonais avait développé une nouvelle tactique : le feu roulant. La première ligne des fantassins ouvraient le feu, puis la deuxième ligne avançait devant la première qui rechargeait pour ouvrir le feu à son tour. Les unités ottomanes, qui ne s'attendaient pas à une telle tactique, furent surprise, mais tinrent bon. Le gros de l'armée ottomane se trouvait face aux Polonais, et les pertes furent énorme dans les deux camps. Quelques unités polonaises commençaient à tenir la position au lieu d'avancer, et pour maintenir le moral, le général polonais enfourcha son cheval et rejoignit les lignes polonaises déstabilisées.
En face, les Ottomans résistaient farouchement. Ils savaient que Constantinople était derrière eux, et que le Grand Vizir était présent pour maintenir la ligne. Néanmoins, la supériorité numérique polonaise se voyait de plus en plus avec les pertes énormes et les troupes ottomanes reculèrent jusqu'aux abords de Constanta.
A l'ouest, les troupes russes continuaient la lutte. Les conscrits polonais avaient subis de lourdes pertes, et une partie d'entre eux s'étaient repliés. Les Cosaques à pied, qui avaient remplacés les pertes russes, se montraient extrêmement violent contre les Ottomans, et leurs cris de guerre remontaient le moral des soldats russes.
L'étau se resserrait autour de Constanta et de l'armée du Grand Vizir. Alors que les troupes russo-polonaises faisaient mouvement, le général envoya une missive au Grand Vizir, lui demandant de jeter les armes et de se faire prisonnier de la République. Il refusa et fit exécuter les missionnaires envoyé par les Polonais.
Alors l'ultime affrontement s'engagea. Toutes les unités de la Grande Chrétienne eurent l'ordre d'avancer en masse. La cavalerie russe au sud reçut le même ordre.
C'est toute l'armée russo-polonaise qui déferlait sans interruption sur les positions ottomanes. L'affrontement, qui s'étendait de Mamaia à Eforie, était d'une rare intensité. On entendait les cris des soldats des deux camps au-dessus des coups de feu et des lames qui s'entrechoquaient.
Au sud, la cavalerie fut décimé. Les Cosaques se retirèrent vers l'ouest pour se réfugier derrière l'armée russe, tandis que les Dragons étaient presque tous morts au combat.
Au nord, l'artillerie russo-polonaise détruisait le moral ottoman, tandis que les troupes polonaises continuaient le "feu roulant".
A l'ouest, les troupes russes avaient le plus gros de l'armée du Vizir à combattre. Les pertes russes s'envolaient, alors que les Ottomans commençaient à se retirer par la brèche faite au sud contre la cavalerie.
Alors que la victoire était acquise, la cavalerie polonaise lança une charge à travers les unités ottomanes les plus faibles pour se frayer un chemin vers le Grand Vizir. Ce dernier, voyant que l'ennemi perçait les lignes partout, décida de se retirer par le sud avec sa garde personnelle.
Conséquences : Constanta est tombé, les Ottomans reculent au sud. Les armées russo-polonaises restent dans la région.Pertes ottomanes :
14.000 fantassins de ligne
2.800 tiralleurs
1.950 hallebardiers
6.600 épéistes bachibouzouks
1.200 archers
1.000 archers Azabs
4.600 conscrits avec fusils
23 canons de campagne
Pertes polonaises :
7.500 fantassins de ligne
780 cavaliers
9.500 conscrits
Pertes russes :
11.200 fantassins de ligne
1.900 dragons
600 fantassins d'élite
3.000 Cosaques
Gungauss- Chef de Département des Nations Unies
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Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Paix Signé pour l'Autriche , retrait des troupes Autrichienne de la guerre.
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Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Empire Ottoman
Ambiance :
Sur la Route de Constanta..13 septembre 1704..
Stratège Selim Assouf : Grand Sultan, être vous sûr de vouloir mener l'armée ?
Sultan Mustafa II : Je la mènerais à Constanta, je verrais puis je vaincrais et en suite, je retournerais à Constantinople pendant qu'Ahmet III ainsi que le Grand Vizir qui suivent à l'arrière de l'armée, reprendrons la direction de l'armée. D'ailleurs, as tu fais le point sur notre vaste armée ?
Stratège Selim Assouf : Oui Sultan, l'armée compte plus de 200.000 hommes, plus de 10.000 conscrit on dû être refoulés à Constantinople car nous n'avions pas de quoi les armer, cependant nos timariots ont ramenés avec eux des auxiliaires au nombre de 30.000 tous équipés de fusil, alors que la majorité de nos conscrits sont armés de sabres.
Sultan Mustafa II : Bien..Et quant aux russes ?
Stratège Selim Assouf : Les Russes demandes un cessez le feu, un message viens de nous parvenir nous disant que pour preuve de leur bonne foi ils sont prêt à nous épauler contre l'armée polonaise.
Sultan Mustafa II : Mmmhh..Préparons nous tout de même à devoir affronter les deux armées, la fiabilité des Russes n'est pas très clair, du moins pour le moment.
Seconde Bataille de Constanta :
Les éclaireurs polonais avaient repérés l'armée ottomane qui faisait marche sur Constanta, et les ordres de Varsovie étaient de se replier au sud de la Pologne, ordre que le Général Polonais choisit donc d’exécuter au plus vite. Cependant l'armée Russe positionné à quelques kilomètres au nord de l'armée polonaise, n'avait pas l'intention de laisser passer l'armée polonaise ainsi..
Forces en présences :
Les infanteries se mirent en face à face mais les russes se mirent à tirer les premiers, les russes comptaient sur l'armée ottomane qui devait bientôt arriver, il fallait donc conserver l'avantage qu'avait la Russie, les canons.
C'est pourquoi, toute la cavalerie russe se mit dès les premières salves à charger contre les canons polonais qui venaient d'être mis en position, la cavalerie polonaise fut envoyé contre la cavalerie russe, mais celle-ci plus nombreuse et de meilleur qualité réussis à atteindre les canons polonais, empêchant à la plus part de faire feu.
Les premiers éclaireurs ottomans étaient arrivés sur le champ de bataille...et ils se dépêchaient de retourner informer le Sultan que la bataille était engagé...Pendant ce temps les premières lignes polonaises et russes échangeaient de nombreuses salves pendant plusieurs minutes, les cosaques qui avaient taillés en pièces les artilleurs ainsi que la cavalerie polonaise se retirèrent de la mêlée pour se placer en position de charge près du flanc gauche polonais.
Les combat continuaient pendant plusieurs minutes lorsque que...Le Sultan Mustapha II et toute la cavalerie ottomane soit environ 25.000 hommes et chevaux se positionna dèrrière l'armée polonaise ! Le reste de l'armée ottomane faisait encore marche à l'arrière.
La Cavalerie Ottomane s’apprêtait à charger, dans les rangs polonais la panique commençait à se faire sentir et le général polonais ne savait pas quel ordre donner...
Sultan Mustafa II : Aujourd'hui, nous chassons les chiens de polonais de nos terres !
Aussitôt, la cavalerie ottomane se mit au galop en abordant une fureur fanatique et le général polonais distribuait des ordres désespérés.
Jozef Kakrini : Qu'une ligne de tireurs se place accroupi, les autres, placez vos baïonnettes sur vos fusils si vous en avez une et allez en position de défense dèrrière les tireurs à accroupis !
Les soldat exécutèrent les ordres mais la peur se voyait sur leurs visages, mais pour enfoncer le clou les cosaques russes positionnés sur le flanc gauche se mirent eux aussi à charger ! La Horde de Moudjahidines faisait trembler la terre et quelques carabiniers tirèrent une salve qui fit plusieurs centaines de mort dans les rangs polonais, qui eux aussi répliquèrent et même si leurs tirs tuaient des centaines d'ottomans, la nuée noire de cavalier semblait au contraire s’agrandir...Jusqu'à l'impact !
La charge fut terrible et tailla en pièce les lignes polonaise, de même que les cosaques sur le flanc achevaient tout polonais tentant de fuir..C'était la débâcle total dans les rangs polonais.
Cependant il est noter que le flanc droit polonais s'est mis à fuir à la vu de la cavalerie ottomane malgré les ordres du Général Polonais, de ce plus de 10.000 polonais sont parvenus à fuir.
Pertes :
Ahmet III : Bien ô Sultan, nous jurons par Allah que nous reviendrons à Constantinople victorieux !
Sultan Mustafa II : Au fait mon frère...Je te charge de faire appliquer la punition.."particulière" que j'ai décidé de réserver à la noblesse Moldave.
Ahmet III : Et que faisons nous des prisonniers ? La large majorité des prisonniers ont été capturés par nos troupes.
Sultan Mustafa II : Ils seront envoyés dans les champs soutenir nos paysans dans le ravitaillement de notre armée...Cependant les prisonniers musulmans seront envoyés comme cadeau aux russes.
Ahmet III : Mais, pourquoi ô Sultan ?
Sultan Mustafa II : Je te rappel que la loi nous interdit de réduire à l'esclavage les musulman...Ha ha ha !
Au même moment, près de la frontière suédoise, sur le chemin de l'Estonie.
Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld Mon Roi, un messager nous apporte des nouvelles du Front Ottoman, l'armée Polonaise basé à Constanta aurait été défaite par nos alliés et à notre grande surprise, les russes ont aidés l'armée ottomane.
De plus les troupes russes se rassembleraient près des frontières polonaises, et l’Autriche viens de retirerses hommes des Balkans ottomanes.
Charles XII de Suède : Bien, quant à nous, nous allons faire jonction avec des renforts venu fraichement de Suède pendant que les russes rassembles eux aussi leurs forces. Quant à une attaque sur la Pologne..Elle aura lieux...plus tard ! Je ne veux pas imposer de marche forcée à mes valeureux soldats. En tout cas, ces renfort venant par la mer devraient être nombreux.
Peu de temps après, quelques part entre la Serbie et le Monténégro.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Salam Halicoum, mes respects ô Grand Général Hassan Ben Sahid, je vous fais savoir que les autrichiens se sont retirés de nos terres, et que l'armée du Sultan doit sûrement à l'heure où nous parlons remporter une grande victoire.
Général Hassan Ben Sahid : Alicoum Salam mon frère, bien ! Nous allons donc pouvoir partir sur le front polonais.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Et bien à vrai dire...Le Sultan bien que vous félicitant de vos succès, vous a confié une tout autre tâche...Nous devons mater la révolte Serbe.
Général Hassan Ben Sahid : Quoi ? Nous sommes cantonner à mater une révolte ?! Et bien...nous allons faire vite pour pouvoir retourner sur le vrai front ! Nous allons faire marche à l'ouest de la Serbie et tuer le plus de rebelles que possible, puis nous rejoindrons le front polonais !
Haut Janissaire Recep Séleucos : Mais général...
Général Hassan Ben Sahid : Ne t'en fait pas, je ferais lever des milices albanaises et bulgares et loyaliste serbe pour terminer ce que nous allons commencer..
Bataille de Novi Pazar :
Forces en présences :
Les conscrits et l'infanterie de ligne ottomane se mirent en position face aux conscrits serbes pendant que les tirailleurs ottomans étaient en position diagonale sur les flancs ottomans afin d'avoir une fenêtre de tir beaucoup plus grande sur les troupes serbes.
Les premiers tirs étaient dévastateurs dans les rangs serbes, de plus ils étaient toujours pilonnés par les plus de deux-cents canons ottomans. L’Ensemble de la cavalerie ottomane contourna l'armée et se mit en position sur le flancs droit alors que les canons continuaient de pilonner massivement les serbes qui eux se retrouvaient à 1 contre 3 face aux soldats ottomans, mais rapidement la cavalerie ottomane chargea le flanc droit des serbes et mis en déroute une partie de l'armée, mais les serbes du flanc gauche tenaient héroïquement et refusaient de fuir en risquant de ce faire décimer par une charge de cavalerie, mais celle-ci était trop occupé à poursuivre les fuyards..
C'est alors qu'une partie de l'infanterie se retira pour laisser place aux janissaires ottomans et aux bashibazouks...Les janissaires tirèrent une énorme salve dans les rangs serbes qui décima ce qu'il restais de l'armée puis aussi-tôt les bashibazouk chargèrent dans ce qui restait des rangs serbes, même si ils lutèrent avec courage contre les bashibazouk, il ne résistèrent pas bien longtemps.
L'Armée d'Hassan Ben Sahid pouvait se retourner vers l'Est.
Pertes :
La Flotte Ottomane de l'Adriatique se retire des côtes Autrichiennes.
Mouvements de troupes russe :
l'Armée russe en position de défense à la frontière avec la Crimée se rassemble et se dirige près de la frontière polonaise.
Une nouvelle Armée russe se forme près du territoire "Biélorusse", composé de 44.000 fantassins, 6000 fantassins d'élites, 3000 Cosaques et 210 canons soit 53.000 hommes.
l'Armée russe du nord elle aussi se rassemble pour ne former qu'une, cependant les troupes au nord de la russie ( 4 000 soldats d'infanterie et 3000 cosaques ) prendrons du temps à arriver.
CARTE :
Ambiance :
- Spoiler:
- https://www.youtube.com/watch?v=laos6Gt_l4Q
Sur la Route de Constanta..13 septembre 1704..
Stratège Selim Assouf : Grand Sultan, être vous sûr de vouloir mener l'armée ?
Sultan Mustafa II : Je la mènerais à Constanta, je verrais puis je vaincrais et en suite, je retournerais à Constantinople pendant qu'Ahmet III ainsi que le Grand Vizir qui suivent à l'arrière de l'armée, reprendrons la direction de l'armée. D'ailleurs, as tu fais le point sur notre vaste armée ?
Stratège Selim Assouf : Oui Sultan, l'armée compte plus de 200.000 hommes, plus de 10.000 conscrit on dû être refoulés à Constantinople car nous n'avions pas de quoi les armer, cependant nos timariots ont ramenés avec eux des auxiliaires au nombre de 30.000 tous équipés de fusil, alors que la majorité de nos conscrits sont armés de sabres.
Sultan Mustafa II : Bien..Et quant aux russes ?
Stratège Selim Assouf : Les Russes demandes un cessez le feu, un message viens de nous parvenir nous disant que pour preuve de leur bonne foi ils sont prêt à nous épauler contre l'armée polonaise.
Sultan Mustafa II : Mmmhh..Préparons nous tout de même à devoir affronter les deux armées, la fiabilité des Russes n'est pas très clair, du moins pour le moment.
Seconde Bataille de Constanta :
Les éclaireurs polonais avaient repérés l'armée ottomane qui faisait marche sur Constanta, et les ordres de Varsovie étaient de se replier au sud de la Pologne, ordre que le Général Polonais choisit donc d’exécuter au plus vite. Cependant l'armée Russe positionné à quelques kilomètres au nord de l'armée polonaise, n'avait pas l'intention de laisser passer l'armée polonaise ainsi..
Forces en présences :
L'Armée Polonaise faisait retraite et commençait la marche, mais au bout de plusieurs minutes de marche..les canons russes se mirent à faire feu sur l'armée polonaise ! Aussi-tôt les troupes polonaises se mirent en position de combat, mais difficilement étant donné que l'attaque avait surprise l'armée polonaise, les soldats russes quant à eux se mirent plus rapidement en position de combat..
Armée Ottomane : 34.500 fantassins d'infanterie de ligne, 6600 tirailleurs, 2000 Hallebardiers, 3300 épéistes bashibazouk, 50.000 conscrits bashibazouks, 3600 archers, 10.500 archers conscrit Azab, 33.400 conscrits avec fusil, 1600 carabiniers, 150 cavaliers janissaires, 23.000 tamariots, 500 dragons, 22.000 janissaires, 30.000 auxiliaires timariots à pieds et 187 canons soit
220.150. hommes.
Armée Russe : 38.000 fantassins d'infanterie de Ligne, 4500 Cosaques, 100 Dragons, 1400 fantassin d'infanterie d'élite, 120 canons, soit 44.000 hommes.
Armée Polonaise : 56.500 fantassins d'infanterie de ligne, 1620 cavaliers, 10.500 conscrits et 120 canons, soit 68.620 hommes.
Les infanteries se mirent en face à face mais les russes se mirent à tirer les premiers, les russes comptaient sur l'armée ottomane qui devait bientôt arriver, il fallait donc conserver l'avantage qu'avait la Russie, les canons.
C'est pourquoi, toute la cavalerie russe se mit dès les premières salves à charger contre les canons polonais qui venaient d'être mis en position, la cavalerie polonaise fut envoyé contre la cavalerie russe, mais celle-ci plus nombreuse et de meilleur qualité réussis à atteindre les canons polonais, empêchant à la plus part de faire feu.
Les premiers éclaireurs ottomans étaient arrivés sur le champ de bataille...et ils se dépêchaient de retourner informer le Sultan que la bataille était engagé...Pendant ce temps les premières lignes polonaises et russes échangeaient de nombreuses salves pendant plusieurs minutes, les cosaques qui avaient taillés en pièces les artilleurs ainsi que la cavalerie polonaise se retirèrent de la mêlée pour se placer en position de charge près du flanc gauche polonais.
Les combat continuaient pendant plusieurs minutes lorsque que...Le Sultan Mustapha II et toute la cavalerie ottomane soit environ 25.000 hommes et chevaux se positionna dèrrière l'armée polonaise ! Le reste de l'armée ottomane faisait encore marche à l'arrière.
La Cavalerie Ottomane s’apprêtait à charger, dans les rangs polonais la panique commençait à se faire sentir et le général polonais ne savait pas quel ordre donner...
Sultan Mustafa II : Aujourd'hui, nous chassons les chiens de polonais de nos terres !
Aussitôt, la cavalerie ottomane se mit au galop en abordant une fureur fanatique et le général polonais distribuait des ordres désespérés.
Jozef Kakrini : Qu'une ligne de tireurs se place accroupi, les autres, placez vos baïonnettes sur vos fusils si vous en avez une et allez en position de défense dèrrière les tireurs à accroupis !
Les soldat exécutèrent les ordres mais la peur se voyait sur leurs visages, mais pour enfoncer le clou les cosaques russes positionnés sur le flanc gauche se mirent eux aussi à charger ! La Horde de Moudjahidines faisait trembler la terre et quelques carabiniers tirèrent une salve qui fit plusieurs centaines de mort dans les rangs polonais, qui eux aussi répliquèrent et même si leurs tirs tuaient des centaines d'ottomans, la nuée noire de cavalier semblait au contraire s’agrandir...Jusqu'à l'impact !
La charge fut terrible et tailla en pièce les lignes polonaise, de même que les cosaques sur le flanc achevaient tout polonais tentant de fuir..C'était la débâcle total dans les rangs polonais.
Cependant il est noter que le flanc droit polonais s'est mis à fuir à la vu de la cavalerie ottomane malgré les ordres du Général Polonais, de ce plus de 10.000 polonais sont parvenus à fuir.
Pertes :
Sultan Mustafa II : Nous sommes aujourd'hui victorieux, mon frère je t'annonce que je rentre à Constantinople, toi et le grand vizir allez prendre la tête de l'armée.
Armée Ottomane : 400 carabiniers, 150 cavaliers janissaires, 3000 tamariots, 500 dragons 4050. hommes.
Armée Russe : 9000 fantassins d'infanterie de Ligne, 1600 Cosaques, 400 fantassin d'infanterie d'élite, soit 11.000 hommes.
Armée Polonaise : 46.000 fantassins d'infanterie de ligne ( dont 23.000 prisonniers ) , 1500 cavaliers, 4500 conscrits ( dont 3500 prisonniers ) et 120 canons ( dont 32 prient ), soit 52.000 hommes.
Ahmet III : Bien ô Sultan, nous jurons par Allah que nous reviendrons à Constantinople victorieux !
Sultan Mustafa II : Au fait mon frère...Je te charge de faire appliquer la punition.."particulière" que j'ai décidé de réserver à la noblesse Moldave.
Ahmet III : Et que faisons nous des prisonniers ? La large majorité des prisonniers ont été capturés par nos troupes.
Sultan Mustafa II : Ils seront envoyés dans les champs soutenir nos paysans dans le ravitaillement de notre armée...Cependant les prisonniers musulmans seront envoyés comme cadeau aux russes.
Ahmet III : Mais, pourquoi ô Sultan ?
Sultan Mustafa II : Je te rappel que la loi nous interdit de réduire à l'esclavage les musulman...Ha ha ha !
Au même moment, près de la frontière suédoise, sur le chemin de l'Estonie.
Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld Mon Roi, un messager nous apporte des nouvelles du Front Ottoman, l'armée Polonaise basé à Constanta aurait été défaite par nos alliés et à notre grande surprise, les russes ont aidés l'armée ottomane.
De plus les troupes russes se rassembleraient près des frontières polonaises, et l’Autriche viens de retirerses hommes des Balkans ottomanes.
Charles XII de Suède : Bien, quant à nous, nous allons faire jonction avec des renforts venu fraichement de Suède pendant que les russes rassembles eux aussi leurs forces. Quant à une attaque sur la Pologne..Elle aura lieux...plus tard ! Je ne veux pas imposer de marche forcée à mes valeureux soldats. En tout cas, ces renfort venant par la mer devraient être nombreux.
Peu de temps après, quelques part entre la Serbie et le Monténégro.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Salam Halicoum, mes respects ô Grand Général Hassan Ben Sahid, je vous fais savoir que les autrichiens se sont retirés de nos terres, et que l'armée du Sultan doit sûrement à l'heure où nous parlons remporter une grande victoire.
Général Hassan Ben Sahid : Alicoum Salam mon frère, bien ! Nous allons donc pouvoir partir sur le front polonais.
Haut Janissaire Recep Séleucos : Et bien à vrai dire...Le Sultan bien que vous félicitant de vos succès, vous a confié une tout autre tâche...Nous devons mater la révolte Serbe.
Général Hassan Ben Sahid : Quoi ? Nous sommes cantonner à mater une révolte ?! Et bien...nous allons faire vite pour pouvoir retourner sur le vrai front ! Nous allons faire marche à l'ouest de la Serbie et tuer le plus de rebelles que possible, puis nous rejoindrons le front polonais !
Haut Janissaire Recep Séleucos : Mais général...
Général Hassan Ben Sahid : Ne t'en fait pas, je ferais lever des milices albanaises et bulgares et loyaliste serbe pour terminer ce que nous allons commencer..
Bataille de Novi Pazar :
Forces en présences :
Derrière les serbes se trouvaient les montagnes du Monténégro, qu'ils souhaitaient sûrement protéger des soldats ottomans..Mais, les premiers tirs des nombreux canons ottomans s'entendaient déjà, leurs bruits étaient tel que l'ont pouvait penser qu'ils suffiraient à faire s’effondrer les montagnes sur elles même.
Armée Ottomane : 25.000 fantassins d'infanterie de ligne, 12.000 tirailleurs, 2000 Hallebardiers, 1000 Archer, 3000 épéistes bashibazouk, 2000 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 4.000 conscrits avec fusil, 13.000 Janissaires, 600 dragons, 900 carabiniers, 400 cavaliers bashibazouk , 2600 timariots et 208 canons soit 67.500 hommes.
Armée Serbe : 19.000 conscrits.
Les conscrits et l'infanterie de ligne ottomane se mirent en position face aux conscrits serbes pendant que les tirailleurs ottomans étaient en position diagonale sur les flancs ottomans afin d'avoir une fenêtre de tir beaucoup plus grande sur les troupes serbes.
Les premiers tirs étaient dévastateurs dans les rangs serbes, de plus ils étaient toujours pilonnés par les plus de deux-cents canons ottomans. L’Ensemble de la cavalerie ottomane contourna l'armée et se mit en position sur le flancs droit alors que les canons continuaient de pilonner massivement les serbes qui eux se retrouvaient à 1 contre 3 face aux soldats ottomans, mais rapidement la cavalerie ottomane chargea le flanc droit des serbes et mis en déroute une partie de l'armée, mais les serbes du flanc gauche tenaient héroïquement et refusaient de fuir en risquant de ce faire décimer par une charge de cavalerie, mais celle-ci était trop occupé à poursuivre les fuyards..
C'est alors qu'une partie de l'infanterie se retira pour laisser place aux janissaires ottomans et aux bashibazouks...Les janissaires tirèrent une énorme salve dans les rangs serbes qui décima ce qu'il restais de l'armée puis aussi-tôt les bashibazouk chargèrent dans ce qui restait des rangs serbes, même si ils lutèrent avec courage contre les bashibazouk, il ne résistèrent pas bien longtemps.
L'Armée d'Hassan Ben Sahid pouvait se retourner vers l'Est.
Pertes :
Fin du Blocus contre l'Autriche :
Armée Ottomane : 1000 fantassins d'infanterie de ligne, 1000 tirailleurs, 500 conscrits bachibazouk, 1000 conscrits avec fusil et 400 cavaliers bashibazouk soit 3900 hommes.
Armée Serbe : Plus de 18.000 conscrits.
La Flotte Ottomane de l'Adriatique se retire des côtes Autrichiennes.
Mouvements de troupes russe :
l'Armée russe en position de défense à la frontière avec la Crimée se rassemble et se dirige près de la frontière polonaise.
Une nouvelle Armée russe se forme près du territoire "Biélorusse", composé de 44.000 fantassins, 6000 fantassins d'élites, 3000 Cosaques et 210 canons soit 53.000 hommes.
l'Armée russe du nord elle aussi se rassemble pour ne former qu'une, cependant les troupes au nord de la russie ( 4 000 soldats d'infanterie et 3000 cosaques ) prendrons du temps à arriver.
CARTE :
- Spoiler:
- Spoiler:
Rond Orange ; Armée d'Hassan Ben Sahid à Nis :Armée Ottomane : 24.000 fantassins d'infanterie de ligne, 12.000 tirailleurs, 2000 Hallebardiers, 1000 Archer, 3000 épéistes bashibazouk, 1500 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 3000 conscrits avec fusil, 13.000 Janissaires, 600 dragons, 900 carabiniers, 2600 timariots et 208 canons soit 64.600 hommes.
Rond Violet : Armée d'Ahmet III et du Grand Vizir : 34.500 fantassins d'infanterie de ligne, 6600 tirailleurs, 2000 Hallebardiers, 3300 épéistes bashibazouk, 50.000 conscrits bashibazouks, 3600 archers, 10.500 archers conscrit Azab, 33.400 conscrits avec fusil, 1200 carabiniers, 20.000 timariots, 22.000 janissaires, 30.000 auxiliaires timariots à pieds et 187 canons soit 216.100. hommes.
Rond Vert ; Armée du Khan de Crimée à Kherson: Armée Ottomane : 9500 fantassins d'infanterie de ligne, 5200 tirailleurs, 1000 Hallebardiers, 5300 épéistes bashibazouk, 500 conscrits bachibazouk, 1000 archers conscrit Azab, 5200 conscrits avec fusil, 850 carabiniers, 1500 cavaliers Bashibazouk, 1000 tamariots et 68 canons soit 31.050 hommes.
Rond Rouge ; Armée Russe : 20.000 fantassins d'infanterie de ligne, 4000 conscrits, 15.000 Cosaques, 2000 dragons et 60 canons, soit 41.000 hommes.
Rond Blanc ; Armée de Charles XII de Suède : 46.000 d'Infanterie de ligne, 9100 tirailleurs, 8000 Hallebardiers, 2600 cosaques, 800 cavaliers, 1800 dragons, 2400 carabiniers, 6000 conscrits et 180 canons, soit 75.600 hommes.
Rond Bleu : 44.000 fantassins d'infanterie de ligne, 6000 fantassins d'élites, 3000 Cosaques et 210 canons soit 53.000 hommes
Rond Jaune : Ligne bleue : 20 000 soldats d'infanterie, 500 dragons, 2 000 soldats d'infanterie d'élite, 3000 conscrits, 2500 cosaques et 60 pièces d'artilleries soit 28.000 hommes.
( Flèche noire = avancée pendant ce tour. Flèche grise = avancée en train d'être effectué. )
Dernière édition par Hesdine le Sam 24 Aoû 2013 - 16:34, édité 1 fois
Hesdine- Premier Ministre
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Date d'inscription : 07/04/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Affaires extérieures
Communiqué Officiel
Le Royaume de France est littéralement outré par les actes du Tsar Russe. Si c'est ainsi qu'il souhaite prouver sa valeur au combat, en trahissant un de ses alliés. Vous attendions mieux de la part de Pierre "le Grand". Certains à la cour de France vous renomme déjà "Le Traître". Mais sa majesté Louis XIV vous respectera pour ce que vous avez accompli dans le passé. Mais sachez que nous sommes extrêmement surpris par votre trahison, vous qui vous êtes battu pendant vingt ans aux côtés des polonais et que vous vous retournez contre votre plus proche allié pour vous allier avec votre pire ennemi.
Nous encourageons vivement le tout nouvel empereur à prendre des mesures afin de protéger un membre du Saint Empire.
Nous encourageons également le Roi de Pologne a faire la paix avec le Sultan Ottoman qui c'est battu en homme honorable et qui mérite du repos, de l'or et peut être des terres après s'être battu vaillamment.
Byzance- Secrétaire d'État
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Date d'inscription : 23/08/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Heiliges Römisches Reich
Diplomatie:
Communiqué Officiel:
Diplomatie:
Communiqué Officiel:
Le Kaiser tient a informer la France qu'il ne lèvera pas le petit doigt pour aider la Pologne de Auguste II.Cette dernière ne faisant pas partie du Saint-Empire et ayant fait preuve de sa perfidie.Quand a la Saxe ,il rassure qu'il ne laissera pas entrer un Ottoman,Suédois ou Russe avec des idée Belliciste contre un membre du Saint Empire , mais prendra les mesures nécessaire si le besoin s'en fait sentir.
Cordialement Joseph Ier du Saint-Empire,Roi de Hongrie,Roi de Bohême,Roi de Croatie, Archiduc d'Autriche,Roi des Romains, Empereur du Saint-Empire.
Vailleuh- Maître ronronneur
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Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Царство Русское
Tsarat de Russie
Tsarat de Russie
La Russie est restée dévouée pour l'Alliance et l'a prouvé en menant une nouvelle guerre sans intérêt pour elle. Auguste II s'est profondément moqué de Moscou dans sa quête de souveraineté sur le Saint Empire.
Eindes- Premier Ministre
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Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
République des Deux-Nations
- Spoiler:
Le Tsarat de Russie a trahi. Il doit payer pour sa perfidie qui est en train de ruiner la République. La Pologne ne tombera pas sans faire tomber les traitres. Si la Pologne doit périr aujourd'hui, la Russie périra avec elle, qu'elle qu'en soit le prix. La haine que ressent la Pologne et la noblesse de la République pour Pierre Le Traître n'a pas de commune mesure. Moscou sera rasé.
L'armée russe révolutionnaire de Kursk reçut l'ordre immédiat de se positionner à Przemysl, en territoire polonais, où les restes de l'armée polonaise les rejoignent et où 6.000 conscrits supplémentaires sont levés.Bataille de Smolensk
- Spoiler:
Armée russe :
32.000 fantassins, 6000 fantassins d'élites, 3000 Cosaques et 210 canons soit 53.000 hommes
Armée polonaise :
40.000 fantassins de ligne, 8.000 voltigeurs, 16.000 miliciens, 2.500 Uhlans, 16.000 conscrits soit 82.500 hommes
L'armée de Minsk ( 40.000 fantassins de ligne, 8.000 voltigeurs, 16.000 miliciens, 2.500 Uhlans, 16.000 conscrits soit 82.500 hommes) avait reçu l'ordre d'avancer vers Smolensk, seul barrière coupant la route de Moscou, puisqu'une armée russe s'y tenait prête à combattre.
Le Prince Jacques Louis Henri Sobieski prit lui-même le commandement de cette armée, ce qui enivra les soldats d'un patriotisme inébranlable.
Smolensk était une petite bourgade russe, près de la frontière lituanienne, et sur la route menant directement à Moscou. Ce village était connu parmi les officiers russes comme étant la "dernière ligne de défense devant Moscou". Elle était réputé pour ouvrir la route de Moscou à quiconque la contrôlait.
La bataille allait s'avérer donc décisive. Jacques Sobieski avait dans l'idée de faire tomber la Russie d'un seul coup, en plein coeur. Il espérait également le soutien d'une part importante de la noblesse russe, outrée par cette trahison.
L'armée polonaise avança donc en territoire russe, en toute impunité. Dès qu'un villageois était pris en train de résister, ses terres étaient pillées, ses enfants enlevés et envoyés en Pologne et sa femme servait de bonne compagnie pour les hommes de troupes. Sobieski n'avait plus aucune pitié pour les Russes, et ses hommes le sentait.
Arrivant aux abords de Smolensk, l'armée polonaise fut accueilli par l'artillerie russe. Le Prince ordonna aux Uhlans de charger en direction des canons russes, situés en surplomb sur une colline. Afin de les protéger contre la cavalerie cosaque, il plaça très en avant ses voltigeurs. Ces hommes, spécialistes du harcèlement et tireurs d'élite, tirèrent sur tout cavalier russe à portée de tir.
Pendant que l'artillerie était victime de la cavalerie polonaise dans une âpre escarmouche, les conscrits avançaient les premiers vers les lignes russes. Le Prince se tenait derrière eux, et il appliqua la tactique du Feu Roulant développée contre les Ottomans. Une fois que tous les rangs des conscrits avaient tiré, l'Infanterie de Ligne prit la place de ces braves mobilisés. Ainsi, les rangs russes étaient déjà bien entamés lorsque l'infanterie de métier polonaise entra en action.
Néanmoins, les Russes refusaient de reculer. Ils savaient que Moscou était derrière eux. La cavalerie polonaise quant à elle dût se replier après une charge de Cosaques. Néanmoins, les voltigeurs bloquèrent les Cosaques dans leur poursuite. L'artillerie russe avait souffert, mais elle donnait toujours. Heureusement, de nombreuses pièces étaient hors service ou sans servants.
Alors que la bataille faisait toujours rage, le Prince ordonna aux Conscrits de lancer une charge de corps à corps contre l'infanterie russe, alors que l'infanterie polonaise devait se placer très proche derrière le corps à corps. Ainsi, l'artillerie russe serait dans l'incapacité de tirer sans toucher des régiments russes. Pendant ce temps, les voltigeurs et les Uhlans menaient toujours une lutte effrénée contre les Cosaques.
Lorsque la fin de la bataille approcha, les Cosaques commencèrent par se replier les premiers. En effet, les 8.000 voltigeurs et les 2.500 Uhlans avaient eu raison des 3.000 Cosaques russes. L'infanterie russe, voyant les Cosaques débander, et donc les Uhlans les contourner, prit peur et fut déstabilisée. L'armée polonaise acheva l'armée russe, malgré de lourdes pertes.
Smolensk tomba donc entre les mains des Polonais. La route de Moscou est désormais ouverte.Pertes :
Polonaises : 8.000 fantassins de ligne, 10.000 conscrits, 2.300 voltigeurs, 1.600 Uhlans, 3.000 miliciens soit 24.900 hommes
Russes : 16.200 fantassins, 2.300 fantassins d'élite, 1.650 Cosaques, 100 canons (dont 21 capturés) soit 20.150 hommes
Déploiement
Smolensk :
32.000 fantassins de ligne, 5.700 voltigeurs, 13.000 miliciens, 900 Uhlans, 6.000 conscrits soit 57.600 hommes + 21 cannons russes capturés
Przemysl :
22.000 fantassins de ligne russes révolutionnaire, 25.000 conscrits russes révolutionnaires, 6.000 Cosaques
10.500 fantassins de ligne, 120 cavaliers, 6.000 conscrits
Soit : 32.500 fantassins de ligne, 31.000 conscrits, 6.000 cosaques, 120 cavaliers
Courlande :
8.000 tirailleurs et 4.000 grenadiers danois
10.000 hallebardiers polonais et 10.000 conscrits lituaniens
Soit 32.000 hommes
Gungauss- Chef de Département des Nations Unies
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Localisation : A bord du R95
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Affaires extérieures
Communiqué Officiel
La totalité des flottes Danoises et Polonaise se réfugie à Calais où leurs indiamens embarquent 16.000 soldats. "Toute attaque contre cette flotte sera perçue comme une déclaration de guerre" sera la déclaration envoyé à la flotte suèdoise en cas de tentative d'interception. Les troupes sont envoyés en Courlande et ont des étendards français.
Byzance- Secrétaire d'État
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Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Comment elles font les flottes danoises/polonaises pour aller à Calais alors qu'ils sont sous blocus ?
Gosseau- Secrétaire général des Nations Unies
- Messages : 4375
Date d'inscription : 22/08/2011
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Front déplacé: https://chacunsonpays.forumgratuit.org/t2472-la-grande-guerre-de-l-est#58300
Échec de la coalition ottomane.
Paix blanche entre l'Autriche, la Russie et l'Empire Ottoman.
La guerre continue entre le Commonwealth Polonais et l'Empire Ottoman.
Échec de la coalition ottomane.
Paix blanche entre l'Autriche, la Russie et l'Empire Ottoman.
La guerre continue entre le Commonwealth Polonais et l'Empire Ottoman.
Aetius- L'Alexandre du Nord
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Age : 83
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Molodaves: 1550Milciens+1550Soldat
Ottoman(J'ai pleuré en voyant les 13 unités différentes)
Maj:Augmentation des pertes polonaises, russe et ajout de quelques pertes-effectis aux tucrsOttoman(J'ai pleuré en voyant les 13 unités différentes)
Autriche:
Perte Finale:
Fantassin: 55 250
Tirailleurs: 13 200
Conscrit: 28 350
Milicien: 1550
Epeiste Bachibazouk: 19 200
Hallebardiers: 7750
Janissaire: 1700
Archer: 3700
Archer Conscrit: 2000
Archer Azab: 1000
Epeiste BachiBazouk: 18 200
Epeiste: 5800
Tamariot: 5400
Carabinier:950
Total:163850
Cavaliers Janissaire:500
Cavaliers Bachibazouks:3400
Dragon:1400
Total:4300
Canon:69
Totale Ultime: 166 200
- Spoiler:
1550Milice+1500Soldat+12500Fantassin+5800Epeiste+1500Tirailleurs+1500Hallebardier+1100Cavalier bashibazouk+250CavalierJannisaire+300Carabinies
Ottoman: 5450 Fantassins, 1650 tiraileurs, 1900 milciens, 1700 hallebardiers, 1900 epeistes bachibazouk, 1300 archer, 9000 conscrit, 1000 archier conscrit, 30 canon
Ottoman: 5300 fantasins, 1800 tirailleurs, 2000 Miliciens, 1900 Hallebardier, 1000 archer, 1700 Janissaire, 8000 conscrits, 2000 archer conscrit, 2000 conscrit, 26 canons
Ottomane: 8000 fantassin 4000 tirailleurs 1000 hallebardier, 3000 epeistes bashibazouk, 15 000 conscrit 900 dragons 600 cavaliers bazshizakou et 2400 tamariots
Ottomane: 6000 epeistes bashibazouk, 100 tirailleurs, 200 archers, 500 hallebardiers, 400 cavaliers bashibazouk, 100 cavaliers janissaire, 100 carabiners 2800 conscrit
Ottomane: 1500 fantassin,2 800 tirailleus, 1950 Hallebardiers 700 epeistes bashibazouk, 2300 conscrits, 150 carabineirs, 500 cavaliersbashibazouk
Ottoman: 14000 fantassin 2800 tirailleurs 6600 epeistes bachibouzouks 1200 archers 1000 archers azabes 4600 conscrits 23 canons
Ottoman: 400 carabiniers 150 cavaliers jannisaires 3000 tamariots 500 dragons
Ottmane: 1000 fantassin, 1000 tirailleurs, 500 conscrits bachibazouks, 1000 conscrtis, 400 cavaliers bashibazouk
Autriche Perte Totale:
Fantassins:30 600
Conscrits: 26 000
Tirailleurs: 12 600
Total: 69 300
Cavalier780
Dragons:700
Uhlan:3650
Total: 5 130
Canon: 196 Canons
Total final: 74 430.
- Spoiler:
Autriche: 10000 conscrit, 5000 fantasins, 3900 tiraileurs, 700 dragons, 250 UHLAN 26 Canon
Autriche: 9000 conscrit, 6500 fantassin, 3000 tirailleurs, 800 uhlans, 13 canon, 200 cavaliers, 120 dragons
Autriche: 7600 conscrits 19100 fantassin 5700 Tirailleurs,2600 uhlans, 157 canon, 780 cavalier, 1700 dragons
RussePologne:
Russe:
Fantassin: 55 950
Fantassin D'élite: 6 600
Conscrits:5 000
Total :64 550[
Cosaque: 5 450
Dragon: 3 300
Total: 8750
Canon:125 Canon
Total Ultime: 73 330
- Spoiler:
Russe: 550 fantasin, 100 élite 1400 cosaques, 6 canon
Russe: 9000 fantassin, 400 fantassin d'élite 1600 cosaques,
Russe 9000 fantassin , 3200 soldat d'élite 2000 conscrit 800 cosaques 1 400 dragon, 40 canons
Russe: 16200 fantassin, 2300 fantassin d'élite, 1650 cosaques, 79 canon
Russe:11.200 fantassins de ligne 1.900 dragons 600 fantassins d'élite 3.000 CosaquesSerbesPologne Perte:
Fantassin: 69 100
Hallebardier: 7 300
Milicien: 3 000
Conscrits: 11 500
Voltigeurs: 2 300
Total: 90 200
Cavalier: 2180
Cavalier uhlans: 1700
Total: 97080
Perte Totale: 97080
Canon: 142
- Spoiler:
Pologne: 2900Fantassin+18100 fantassins,5200Hallebardiers,1400 Cavaliers
Pologne: 9600 fantassin, 2100 hallebardier, 22 canon, 100 cavalies uhlans
Pologne: 23 000 fantassin, 1500 cavaliers, 1000 conscrits, 120 canons dont 32 pris
Pologne: 8000 fantassin, 1000 conscrits 2300 voltigeurs 1600 uhlans 3000 miliciens
Pologne: 7.500 fantassins de ligne 780 cavaliers 9.500 conscritsSuède
Rebelle Serbe: 18 000 Morts345 230 morts dont 47,56% sont ottomanes, pertes civiles non incluse
Perte Suèdoise:
Fantassin: 6000
Tirailleurs: 900
Carabiniers: 600
Total:7500
Cosaque:1400
Cavalier:200
Dragon:200
Total:1800
Perte Finale: 9300[/spoiler]
- Spoiler:
Suede: 6000 fantassin 900 tirailleurs 1400 cosaques 200 cavaliers, 200 dragon 600 carabiniers
Au début, victoire tactile de la coalition qui va jouer en leur défaveur, fessant éclater l'alliance et donnant une victoire stratégique et tactile aux turcs ottomans
Je rajouterai des déco plus tard, j'ai tardé car j'ai confondu quelle jour on était hors j'avais des engagements aujourd'hui mais je suis heureusement libre ce soir
J'ai pas compté la guerre de l'est+ ya eu des new pertes dont hesdine a du perdre sa part
Dernière édition par StalineBHL le Sam 31 Aoû 2013 - 12:05, édité 2 fois
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
On dit tactique
Parce que tactile, c'est pour les tels ou les tablettes
Parce que tactile, c'est pour les tels ou les tablettes
Byzance- Secrétaire d'État
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Date d'inscription : 23/08/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Sa sort d'où ton 47,56% et t'es 345.200 morts ? Car à vu de nez y'a plus de 410.000 morts et les pertes ottomanes c'est plutôt 35% du total.
Hesdine- Premier Ministre
- Messages : 1483
Date d'inscription : 07/04/2012
Re: [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
J'approuve Hesdine, les coalisés sont plus que majoritaire niveau pertes. Et rien qu'en comptant les dizaines de milliers on dépasse les 400.000...
Byzance- Secrétaire d'État
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Date d'inscription : 23/08/2012
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