La Grande Guerre de l'Est

Empire Ottoman



Ambiance :

Spoiler:

Constantinople, dans la Sublime Porte..02 mai 1706..

Sultan Mustafa II : Nos troupes progresses vers le nord et doivent être en train en ce moment de franchirs la frontière Polonaise...Quant est-il des russes ?

Stratège Selim Assouf : Une partie de l'armée Russe s'est révolte, et les polonais viennent de remporter une victoire à Smolensk, les russes devront user de tout leurs moyens pour défendre Moscou.

Sultan Mustafa II  : Hum...J'ai confiance en leurs...capacités. Et le front Suédois ?


Stratège Selim Assouf  : Il semblerait qu'un grand rassemblement de troupes est lieux dans la Baltique, cependant nous ne savons pas pour le moment ce que nos alliés prévoient de faire.

Sultan Mustafa II  : Penssez vous que je dois envoyer des renfort à Hassan Ben Sahid qui couvre les arrières de mon frère ?

Stratège Selim Assouf  : Sans doutes, cependant par terre les renfort seront trop long à arriver...


Sultan Mustafa II  : Les garnisons du nord de la Turquie ce rassemblement près de Trabzon et elles embarquerons, par la mer elles seront beaucoup plus rapide.



Sur la route pour Przemysl..

Grand Vizir Köprülü Hüseyin : Il faut que je vous informe, que nos troupes commences à fatiguer, une fois la ville prise, et Inch'Allah elle le sera, nous devrons stopper l'avancée en Pologne un temps afin de laisser à nos hommes le temps de se reposer.

Ahmet III : Je le sais, je le sais...Mais si la ville est prise, ils mériteront ce repos ! Sommes nous sûr des positions Polonaise ?

Grand Vizir Köprülü Hüseyin  : Oui, ils ont prit garnison dans la ville de Przemysl vers la quelle nous nous dirigeons, par chance les hautes montagnes de la regions sont à plusieurs kilomètres à l'est de la ville, comme vous le voyez, la region entourant la ville est relativement plate par rapport aux chaines de montagnes séparant la Pologne de l'Autriche.

Ahmet III  : Bien, c'est donc un signe d'Allah que les polonais ce soient retranchés dans cette ville..


Bataille de Przemysl :

La ville de Przemysl était une ville qui bien défendu pouvait être imprenable, mais qui à la moindre faille exploité pouvait devenir tout son contraire, l'absence de canons polonais était l'une de ses failles..et le fleuve qui traversais la ville allait être utilisé par le Grand Vizir et Ahmet d'une façon presque sournoise.

Forces en présences :

Armée Ottomane : 34.500 fantassins d'infanterie de ligne, 6600 tirailleurs, 2000 Hallebardiers, 3300 épéistes bashibazouk, 50.000 conscrits bashibazouks, 3600 archers, 10.500 archers conscrit Azab, 33.400 conscrits avec fusil, 1200 carabiniers, 20.000 timariots, 22.000 janissaires, 30.000 auxiliaires timariots à pieds et 200 canons soit 216.100. hommes.
Armée Polonaise : 32.500 fantassins de ligne, 31.000 conscrits, 6.000 cosaques, 120 cavaliers soit 69.620 hommes.

L'Armée polonaise se positionnait en garnison dans la ville, mais concentrait ses efforts sur le mur qui faisait face aux ottomans, aussi-tôt l'armée ottomane se divisa en trois partie, 8000 conscrits bashibazouk ainsi que 6000 conscrits avec fusils à l'ouest et le même effectif à l'est, le reste de l'armée avançait face à la ville.
Les timariots, majorité de la cavalerie ottomane était à l'arrière de l'armée principale et une manœuvre de celle-ci aurait été lente, ce que les polonais avaient remarqués, c'était l’occasion parfaite pour les cosaques de charger, ils se séparèrent en deux groupes de 3000 et se lancèrent au galop contre les conscrits ottomans, cependant dans l'armée principale les archers reçussent immédiatement l'ordre de tirer une salve et les carabiniers ottomans qui étaient dans les premières ligne se mirent en position de charge, mais ne chargèrent pas, la salve d'archer fit quelques centaines de mort dans les rangs cosaques, en effet beaucoup de flèche ne touchèrent point leurs cibles, mais la charge des cosaques était toujours puissante et aussi-tôt les timariots avaient ordre de manœuvrer pour aller en premières ligne, les conscrits ottomans se mirent en position défensive, quelques centaines de conscrits bashibazouk plus fou que courageux contre-chargeait les cosaques, tandis que les conscrits avec fusils se mirent en position de tirs, cependant les bashibazouks ayant chargés se firent balayer par la charge des cosaque et même si les tirs de conscrits firent de nombreuses pertes dans les rangs cosaques, la charge fut dévastatrice dans les rangs ottomans, archers tirèrent une nouvelle salve, qui fit des pertes beaucoup plus importante dans les rangs cosaques, même si des pertes ottomanes dû à ces tirs étaient effectives, les dragons reçurent quant à eux l'ordre de ce séparer en deux groupe pour charger dans le dos les cosaques, la salve des carabiniers tua des centaines de cosaque et leurs charge les coupa dans leurs élan, et les timariots quant à eux progressait et étaient bientôt prêt à charger les cosaques encore en vie, cependant le commandement polonais donna l'ordre aux cosaques de se replier dans la ville.

Le Grand Vizir ordonna à 2000 conscrits bashibazouk et à 1000 conscrits avec fusil de rejoindre les rangs ouest, et à un groupe identique de rejoindre les rangs est, les pertes provoqués par les cosaques étaient donc balayés d'un revers de manche par le Grand Vizir qui venait d'envoyer au tant si ce n'est plus d'homme que la charge des cosaques n'en avaient tués.


La principale armée ottomane commença à pilonner le mur leurs faisant face, les 200 canons ottomans faisaient des ravages sur les rempart tandis que les polonais subissaient le feu, n'ayant pas de canons, pendant ce temps le groupes de conscrits contournaient se mirent en position.

Les murs, bien que loin d'être fragile n'étaient pas non plus des plus résistant et le feu nourris des canons ottomans eu bientôt raison d'eux, les archers aussi tirèrent de nombreuses salves qui bien que peu précise, participaient de par leurs nombre à un harcèlement de la garnison polonaise, efficace.

Les murs étaient détruits et les premières lignes de l'armée ottomane, constitués d'infanterie de ligne, de tirailleurs, de conscrits avec fusil et d'auxiliaires timariots à pieds, avançaient pour faire face à l'armée polonaise, tandis que sur les cotés est et ouest, les bashibazouk avec échelle couraient aux murs polonais pendant que les conscrits avec fusils échangeaient des salves avec les soldats polonais sur les murs de la ville, au centre les polonais et les ottoman échangeaient de nombreuses salves, mais la supériorité numérique ottomane était visible sur le nombre de morts polonais que provoquaient les salves.
Un corps composé de plusieurs milliers de timariots se plaça derrière le centre des premières lignes ottomanes et semblait attendre un signal..
Sur les cotés est et ouest, les bashibazouk commençaient à pénétrer sur les rempart et les tirs des conscrits n'ont pas été vains étant donné que les murs étaient dégarnis d'une partie de l'armée polonaise..

Au centre, les soldats polonais vacillaient, c'est ce moment que le Grand Vizir choisis, le centre des premières ligne se retirait pour ce placer dèrrière les flancs, tandis que le corps de timariots chargeait les troupes polonaises alors qu'au même moment les polonais se retiraient des murs ouest et est, la charge fut brutale et les polonais ne parvenaient pas à contenir les timariots, les cosaques toujours dans les murs chargèrent les timariots en net supériorité numérique pour laisser les soldats polonais se replier.

Le général polonais avait deux option, tenir les ponts coupant la ville en deux mais prendre le risque que les milliers de timariots rester à l'arrière ne contourne le fleuve pour les encercler, ou battre en retraite et permettre de minimiser les pertes ?

Le reste de perdre toute l'armée et ainsi d'ouvrir la voie sur Varsovie était trop grand, et le général polonais ne pouvait pas risquer cette option, il décida donc profiter de la charge cosaque pour faire replier les restes de l'armée.

En ce qui concerne le Ottomans, poursuivre les polonais et ordonner une marche forcée n'était pas envisageable, les hommes avaient besoin de repos.

Des tamariots sont envoyés en patrouille tout le long du fleuve, la moindre armée polonaise en approche sera repéré par nos cavaliers.


Pertes :

Armée Ottomane : 5500 fantassins d'infanterie de ligne, 600 tirailleurs, 8000 conscrits bashibazouks, 6400 conscrits avec fusil, 200 carabiniers, 3000 timariots, 6000 auxiliaires timariots à pieds soit 29.700. hommes.
Armée Polonaise : 12.500 fantassins de ligne, 11.000 conscrits, 5500 cosaques,  29.000 hommes.

Dans la ville de Kiev en Ukraine.

l'Armée du Khan Sélim Ier Giray, venait d'investir Kiev presque sans aucunes violences, hormis des polonais qui refusaient de reconaître l'autorité du khan, mais aucune escarmouche significative n’eut lieux.

Khan Sélim Ier Giray : Aujourd'hui, hommes et femmes de Kiev, vous tatars mes frères, vous êtes libérés de l'oppression Polonaise, le Khanat de Crimée est désormais votre patrie, aucuns religions ne sera bafoués, et aucune culture ne sera mis à mal car vous êtes tous les enfants de votre Khan et de votre Sultan !


Massacre de la noblesse Moldave :

Dans la ville d'Izmaïl.

Haut Janissaire Recep Séleucos : ô grand Général, le Grand Vizir a laissé une missive pour vous, que personne n'eut le droit d'ouvrir.

Hassan Ben Sahid Attrape la missive puis pose ses yeux sur celle-ci.

Général Hassan ben Sahid : Mon ami dis moi, vous janissaire, que penssez vous de la noblesse Moldave ?

Haut Janissaire Recep Séleucos : Tout janissaire s'accorde à dire que ces chiens ne mérites que la mort pour avoir trahis notre bien aimé Sultan.

Général Hassan ben Sahid : Je t'annonce que le Sultan encore une fois, est du même avis que les janissaires. Tous, seront empalés vivant devant Izmaïl, et comme sa tous seront que le Sultan est le plus bon avec ceux qui le servent avec fidélité, et impitoyable avec ceux qui le trahisses.

Haut Janissaire Recep Séleucos : Je n'est qu'une question, qu'attendons nous ?

Général Hassan ben Sahid : Ha ha ha, le Sultan avait bien raison de promettre des terres à des courageux hommes tel que vous, aussi brave que fidèle.


Des dizaines de nobles moldaves furent rassemblés devant la forêt la plus proche d'izmaïl, tous y furent empalés vivants, seuls les enfants y ont échappés, ceux-ci sont envoyés en Turquie comme esclaves.

Spoiler:

Suite à cette acte, une missive fut envoyé aux serbes ayant fuit dans les montagnes du Monténégro :

Mes respects,
Comme vous en avez entendu parler, les traîtres moldaves viennent de payer de leur traitrise.
Mais, je suis miséricordieux et je sais pardonner à ceux qui valent ce pardon, et vous, vous valez ce pardon.
Les Autrichiens ne vous soutiennent plus, les hommes et de femmes et Balkans sont tous dèrrière ma personne, déposez les armes, et aucuns mal ne vous sera fait, à vous et à votre famille, la seule issus à cette lutte inutile, est la mort et vous le savez.
Que la paix soit avec vous,

Sultan Mustapha II.

A la lecture de cette lettre, un officier déclara cette phrase qui allait être connus de tous en Serbie "Mieux vaux être conduit par l'épée du Turc que par la plume d'un allemand"



Sur la route de la Courlande.

Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld : Mon Roi, il semblerait que la flotte battant pavillon française que vous aviez décidé de laisser passer, pénètres en ce moment même dans la Baltique et se dirige vers la Courlande sur la quelle nous marchons...

Charles XII de Suède: Quoi ? Les Français nous prennent pour des imbéciles ?

Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld : De plus, ils nous ont fait savoir que toutes tentatives d'interceptions serait..Une déclaration de guerre et ils disent ne pas vouloir briser l'Alliance entre nos deux pays..

Charles XII de Suède: Des alliés ? Ils osent se prétendre nos alliés, alors qu'ils bafouent nos blocus et s'engage au cotés des ennemis du Royaume de Suède ?! Non, ce ne sont pas nos alliés, ils viennent de nous trahir...

Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld : J'ai les mêmes sentiments que vous mon roi, mais, quelle mesure devons nous prendre ?

Charles XII de Suède: Rassemblez la flotte, si la France tente de percer le blocus, nous coulerons leurs flotte ! Et nous annoncerons au pays et au monde que le Royaume de France viens de déclarer la guerre au Royaume de Suède...Nous sommes loyaux, mais nous ne sommes pas des imbéciles. Même les ottomans ne nous auraient jamais fait tel affront..

Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld : Il faut bien dire, que bien qu'étant mahométans, les ottomans ce trouvent être plus fiables que ces français catholiques...Les ordres seront transmis à la flotte sire !

Bataille Navale de la Baltique :

Les Amiraux, chef de cette marine battant pavillon français étaient sûr que les Suédois n'attaqueront pas, et ne s'attendaient pas vraiment à une attaque..erreur.

Forces en présences :

Flotte Suédoise : 2 navires de quatrième rangs, 5 navires de cinquième rang, 8 navires de sixièmes rang, 10 bricks et 10 Avisos.
Flotte Polonaise : 1 navire de quatrième rangs, 3 navires de sixièmes rangs, 10 bricks, 7 aviso et 4 Indiaman.
Flotte Danoise : 1 navire de quatrième rang, 3 navires de Sixième rangs, 2 bricks, 3 aviso, 5 slopps et 3 Indiamans

La flotte Suédoise approchait de la Marine "Française", la position des navires suédoise était parlante, il ne fallait laisser passer aucuns navires, en effet les navires léger était positionnés sur les flancs tandis sur les frégates étaient au centre.

Les navires légers, contournèrent la Marine Polonaise et les frégates chargeaient leurs canons et se mettaient en positions, rapidement les frégates suédoises ouvrirent le feu, les premiers tirs de canons étaient au tant concentré sur les frégates que sur les navires légers, en effet ceux-ci ne devaient pas empêcher la manœuvre des navires légers suédois...

Les tirs de canons continuaient et les navires ennemis qui venaient de se ressaisir répliquaient avec puissance contre les navires suédois, tandis que les navires légers suédois coulaient les indiamens ennemis, certains navires légers ce dégagèrent du feu des frégates suédoise et allèrent au combat face aux navires légers suédois.

Au centre les premières frégates polonaises et danois coulaient, mais certaines frégates suédoise était endommagés et ne tarderaient elles non plus pas à couler mais le nombre des frégates suédoise étaient supérieur, et certaines furent envoyés exclusivement contre les navires légers polonais qui tentaient d'aller à la rencontre des navires légers polonais.

Cependant plusieurs navires légers suédois étaient coulés, ce qui fit une brèche pour que certaines navires légers polonais fuient, cependant les quelques indiamens pas encore coulés ce trouvaient du coté où les navires légers suédois étaient encore majoritaires, de ce fait ceux-ci continuaient de leurs tirer dessus alors que les frégates suédoise faisaient feu sur les navires légers, tandis qu'au centre les dernières frégates ennemis coulaient et en même temps plusieurs frégates suédoise coulaient en suite...Cependant la flotte Polonaise était décimé et seul quelques navires légers prirent la fuite.

Pertes :

Flotte Suédoise : 1 navires de quatrième rangs, 2 navires de cinquième rang, 3 navires de sixièmes rang, 4 bricks et 7 Avisos.
Flotte Polonaise : 1 navire de quatrième rangs, 3 navires de sixièmes rangs, 6 bricks, 5 aviso et 4 Indiaman.
Flotte Danoise : 1 navire de quatrième rang, 3 navires de Sixième rangs, 1 bricks, 1 aviso, 3 slopps et 3 Indiamans

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A quelques kilomètres de l'armée Prusso-Polono-Lituanienne :

Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld : Mon Roi, nos éclaireurs nous ont fait savoir qu'environ 30.000 Prussiens auraient joins l'armée Polonaise..

Charles XII de Suède: Les prussiens ?! Alors comme ça, ceux qui nous menaces depuis des mois nous barres la route..

Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld : Les déclarations belliqueuses suédoises leurs ont attirés la haine de notre peuple, certains même critiques le fait que nous n'entrions pas en guerre contre eux...

Charles XII de Suède: Dans ce cas ils seront très heureux, je n'est pas l'intention de laisser ces perfides prussiens nous barrer la route. Avez vous pu lever des conscrits ?

Feld-maréchal Carl Gustav Rehnskiöld : Oui mon roi, un bataillons de conscrits a rejoint nos rangs.

Charles XII de Suède: C'est suffisant...Allons, menons nos hommes à la victoire !

Bataille de Courlande :

Les français repoussés, l'armée Suédoise pouvait alors s'occuper de l'armée Polonaise et de l'Armée Prussienne qui protégeaient la Courlande. Le Roi Suédois allait tirer avantage de plusieurs failles dans les armées ennemis, elles ne possédaient pas de canons et pas de cavalerie.

Forces en présences :

Armée Suédoise : 46.000 d'Infanterie de ligne, 9100 tirailleurs, 8000 Hallebardiers, 2600 cosaques, 800 cavaliers, 1800 dragons, 2400 carabiniers, 6000 conscrits et 180 canons, soit 75.600 hommes.
Armée Polonaise : 10.000 Hallebardiers, 10.000 conscrits, 8.000 tirailleurs et 4.000 grenadiers danois, soit 32.000 hommes.
Armée Prussienne : 30.000 fantassins d'infanterie de ligne soit 30.000 hommes.

Les armées Prussienne et Polonaise étaient en formations défensive et attendaient l'armée Suédoise, cependant l'armée suédoise n'était pas décidé à attaquer. Les canons mis en positions ne risquaient aucunes charge de cavalerie et commencèrent donc à pilonner les armées Polonaises et Prussiennes qui n'eurent d'autres choix que de ce lancer à l'attaquer si elles ne voulaient pas être lentement décimés.

Les hallebardiers étaient positionnés principalement derrière les soldats polonais et protégeaient ceux de toutes charge de cavalerie suédoise, les troupes des camps se mirent en positions de tirs et tiraient plusieurs salves, et de cette façon le nombre suédois l'aurais remporté assurément, cependant peut-être était-ce l'objectif des Polonais ? Affaiblir l'armée Suédoise ? En tout cas, c'est ce que pensaient les commandent Suédois, ils décidèrent d'utiliser la cavalerie, les cosaques étaient envoyés pour ce placer en position de charge contre les soldats prussiens tandis que tout le reste de la cavalerie était envoyés contourner l'armée polonaise, ce qui força les polonais à envoyer 2000 Hallebardiers pour couvrir les soldats prussiens, cependant les carabiniers ce détachèrent des cavaliers et des dragons pour poursuivre les 2000 hallebardiers, la première salve fut tirer et décima presque de moitié leurs rangs, les carabiniers continuaient de les harceler.

Les dragons et les cavaliers suédois faisaient pressions sur le reste des hallebardiers, tandis que sur les cotés les cosaques n'hésitèrent pas à charger le flanc droit prussien tandis que les carabiniers qui avaient tués presque la totalité des hallebardiers polonais chargea par dèrrière le centre prussien, ce qui combiné à la charge cosaque, fit des milliers de mort dans les rangs prussiens et il n'y avait que le patriotisme allemand qui empêchant les prussiens de céder. Cependant les cosaques et les carabiniers ce retirèrent en effet l'effet de puissance de la charge venait de s’estomper pendant qu'au même moment les tirailleurs du flanc gauche suédois se mit en position diagonale et avait doublé la grandeur de sa fenêtre de tir sur le centre prussien, pendant que sur le flancs gauche le nombre et la qualité suédoise faisait rempart aux redoutés grenadiers danois.

Cependant ont ne pouvait pas en dire au tant des tirailleurs et des conscrits polonais qui tombaient par milliers et continuer les combats aurait amené à la destruction de l'armée polonaise, de ce fait l'armée polonaise battit en retraite et couverte par les hallebardiers, cependant les prussiens n'avaient pas cette chances, ils étaient obligés de couvrir leurs retraite avec leurs baïonnette, et celle-ci peu répandu n'était pas détenu par tous les soldats prussiens, de ce fait l'harcèlement de la cavalerie suédoise sur les soldats prussiens fit de nombreuses pertes.

Pertes :

Armée Suédoise : 8000 d'Infanterie de ligne, 3100 tirailleurs, 400 cosaques, 300 cavaliers, 200 carabiniers, 4000 conscrits soit 16.000 hommes.
Armée Polonaise : 2000 Hallebardiers, 4000 conscrits, 4000 tirailleurs et 1000 grenadiers danois, soit 13.000 hommes.
Armée Prussienne : 21.000 fantassins d'infanterie de ligne ( dont 3000 prisonniers ) soit 21.000 hommes.

CARTE :

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République des Deux-Nations

Proposition de paix à l'axe Suède-Russie-Empire Ottoman

Son Altesse Royale, Prince Jacques Louis Henri Sobieski, Fils de Feu Sa Majesté Jean III Sobieski, Régent de Christian Ier, Roi de Pologne, Roi du Danemark, Roi de Norvège et Grand-Duc de Lituanie, propose à Sa Majesté le Tsar de Russie, à Sa Majesté le Roi de Suède et à sa Majesté le Sultan de l'Empire Ottoman, les conditions de paix suivantes :

République des Deux-Nations / Union des Couronnes Polonaises et Danoises

Empire Ottoman



Proposition du Traité de Paix Finale :

Tout les pays signataires s'engage à ce que dès la signature de ce traité, la paix soit de mise entre tout les pays.

Situation Danoise :

-Le Royaume du Danemark passe sous protectorat Suédois, la Norvège, les îles féroés et l'Islande sont cédés au Royaume de Suède.
-Le Royaume du Danemark cède toutes ses colonies et comptoir d'Afrique et d'Asie à l'Empire Ottoman.
-Le Royaume du Danemark conserve le Danemark, le Groenland ainsi que ses colonies américaines.
-Le Royaume du Danemark cède à Hanovre le Holstein.

Situation Autrichienne :

-L'Archiduché d'Autriche paye dès la signature de ce traité, la sommes de 600.000 livres à l'Empire Ottoman.

Situation Russe :

-Le Tsarat de Russie s'engage à signer un traité de non agression avec l'Empire Ottoman et le Royaume de Suède.

Situation Polonaise :

-La République des Deux-Nations deviens la République de Pologne et garde sont indépendance.
-Les territoires figurants en blanc sur la carte sont cédés à l'Archiduché d'Autriche, les territoires figurants en vert sur la carte sont cédés au Tsarat de Russie, les territoires figurants en bleu sur la carte sont cédés au Royaume de Suède et les territoire figurants en vert clair sur la carte sont cédés à l'Empire Ottoman.
-La République de Pologne payera un tribut à l'Empire Ottoman d'un montant égal à 500.000 Aspre, à raison de 100.000 Aspre par ans pendant 5 années.

Carte :

Spoiler:

Heiliges Römisches Reich
Diplomatie:

Le Kaiser Joseph Ier du Saint-Empire,Roi de Hongrie,Roi de Bohême,Roi de Croatie, Archiduc d'Autriche,Electeur de Saxe, archi-maréchal de l'Empire, Empereur du Saint Empire, Roi des Romains appose son  Impériale Signature de son Impériale Plume tenu par son Impériale Main, de son Impérial Personne  sur le document et invite le Sultan a récupérer en même temps de sa visite officielle a Vienne les 600 000 Livre, il rappelle aussi a Pierre Le Grand qu'il est invité a Vienne.

Un Officier Autrichien dira pour cet évènement, 'La Scheisse de l'Est est fini!'