[Guerre] Guerre de succession d'Espagne [Victoire franco-espagnole]

-Bataille de Teruel-

Forces espagnoles:

- 700 Dragons
- 2.000 soldats d'infanterie basique
- 1.000 soldats d'infanterie d'élite
- 500 Tiercos
- 100 canons

Le soleil du sud brillait joyeusement sur la petite et paisible ville de Teruel, postée sur une colline dépassant les 900m d'altitude, l'arrivée des 5.000 hommes avait immédiatement alerté les turolense qui était déjà paniqué, les habitants s'était tous bariccadés dans leurs maisons craignant l'arrivée de l'armée du Roi Philippe V. Dans la ville, la population restait en majorité à soutenir le Seigneur d'Aragon, mais tous redoutait la vengeance du Roi Philippe V, ses paroles jurant de ravager les villes d'Aragon avait fait le tour de l'Espagne.

La cloche de la Cathedrale Santa María de Teruel avait alerté la faible garnison postée dans la ville composée d'environ 700 hommes et de 50 cavaliers, aucun canons. Protégée par le Mur d'Albarracin, les soldats attendent aux de la ville, les soldats du Roi avec une certaine crainte.
Pour les soldats du Roi, l'armure est lourde et le soleil vient faire bouillir leur peau dorée, la marche de l'armée secoue la plaine et fait trembler le sol. Les champs étaient vides, les outils posés au sol faisait comprendre aux soldats que les paysans avaient fuit leur arrivée. Avant d'arriver aux portes de la ville, les champs à l'ouest d'où venait les soldats furent incendiés. C'est avec des yeux remplit d'effroie que les turolense regardait leurs champs et leur récolte partir en fumée.

A moins de 200m, les canons espagnols comme un coup de tonnerre tirèrent les premiers coup de feu. C'est sur le Mur d'enceinte que les premiers boulets retentis après que de nombreuses répliques apparaissent, comme un orchestre, les boulets s'abattaient les uns après les autres sur le Mur, résonant avec violence dans la région.

Les cavaliers ainsi que l'infanterie, sans aucune stratégie fonça droit sur les quelques hommes qui défendaient avec bravoure leur petite ville. Alors que leurs hommes tombaient les uns après les autres, les soldats parvinrent à entrer dans la ville, qu'ils prirent d'assaut d'une violence sans pareil, ravageant tout sur leur passage, pillant, violant, massacrant la population qui refusait de se rendre. C'était un terrible spectacle, les cadavres jonchaient les rues meurtris de Teruel, mais postée sur une colline, la ville se trouvait être un point stratégique à défendre à tout prix. Au bout de la journée, la ville tomba aux mains des espagnols, qui avaient tout de même, après enterrés leurs morts, enterré les cadavres des habitants. Alors que la moitié des hommes restèrent dans la ville, le reste parti en direction de Valence.

Pertes espagnoles: 30 dragons, 150 soldats.
Pertes aragonaises: 40 cavaliers, 400 hommes, 600 civils.

Victoire espagnole, prise de Teruel, progression vers Valence !

-Bataille et siège d'Alicante-

Forces espagnoles:

- 3.000 dragons
- 3 bataillons de canons
- 1.000 epeistes
- 1.000 halbardiers
- 3.000 soldats d'élite
- 2.000 soldats de base

Armadà Espagnole:

-5 Galions
-2 Frégates
-3 navires de transport (3.000 marins)


C'est une terrible guerre, José Patiño Rosales, chef de la Grande Armada Espagnole l'avait comprit, fidèle à son souverain, il dirigeait ces opérations. Pour la partie de l'attaque maritime, il avait choisi une dizaine de navires qu'il considérait largement capable de mener une attaque d'envergure sur le port et sur les quelques navires d'Alicante. Les 5 Galions (Santa Sofia, Santa Silvia, Santa Cruz, Santa Isabella et Santa Diana) ainsi que les deux frégates (Santa Maria et Santa Luisa) devait tout d'abord dégager le port et le neutraliser avant que les 3.000 hommes débarquent à terre. De l'autre côte le Général Don Diego de la Vega contrôlait ses 10.000 hommes. Il devait attaqué en pleine nuit, au moment où les premiers coups de canons des Galions viendrait bouleverser le calme la nuit, et celui-ci devait répondre par des coups de canons sur l'ouest de la ville. La garnison de la ville était estimé à plus de 5.000 hommes et quelques navires.

Alors que le douzième coup de minuit venait de retentir, une treizième coup fût donné simultanément par un Galion, suivît par des dizaines et des dizaines d'autres coups de canons, par l'ouest et par l'est les coups de canons venait réveiller les habitants malgré cette attaque surprise, les soldats de la ville avait pour le moment sût contenir l'attaque. Du côté du port, les quelques navires furent coulés avant qu'ils eurent quittés le port. Et les coups de canons continuaient à faire trembler divinement la ville.

"Alors l'Éternel fit tomber sur Alicante une pluie de soufre et de feu ; ce fut l'Éternel lui-même qui envoya du ciel ce fléau. Il détruisit ces villes et toute la plaine, et tous les habitants de ces villes. Abraham se leva de bon matin et se rendit à l'endroit où il s'était tenu en présence de l'Éternel. De là, il tourna ses regards du côté d'Alicante et vers toute l'étendue de la plaine ; et il vit monter de la terre une fumée, semblable à la fumée d'une fournaise."

Au matin, la ville n'était toujours pas tombée, les alicantinos parvenaient à contenir l'attaque, avant que les hommes de l'Armada débarquent sur le port. Prit au piège par les deux armées, l'armée d'Alicante fût désemparée et le haut commandement était incapable de donner des ordres, paniqués par le débarquement de l'infanterie. Après quelques jours de combats, la ville finit par tomber, des milliers de morts furent dénombrés. Et la plupart des prisonniers alicantinos furent fusillés. Les armes et les canons furent confisqués et servirent dans l'armée royale.

Seuls 1.500 espagnoles restèrent dans la ville afin de la garder, les navires repartirent vers le Port de Malaga, la moitié de l'armée continue leur route vers le nord en direction de Valence alors que l'autre moitié revenait vers Madrid.

Pertes espagnoles: 1.400 hommes, 700 dragons, 20 canons, 1 Galion endomagé.
Pertes aragonaises: 2.900 hommes, le Port, les navires, 1.000 civils.

Victoire Espagnole, Prise d'Alicante, Progression vers Valence !

-Reconquête des Baléares-

Forces Espagnoles:

-5 Galions
-2 Frégates
-3 navires de transport (3.000 hommes)

L'attaque fût très brève, les Baléares qui n'était que très peu gardées, fûrent une proie facile pour l'Armada Espagnole. Après avoir atteint Ibiza qui tomba dans leurs mains après une journée de combat. Les navires foncèrent droit sur Majorque. Les soldats s'emparèrent de la ville de Palma de Majorque très rapidement car seulement quelques soldats aragonais la défendait. Le seul point stratégique qui subsistait était le Chateau de Bellver. Le Palais Royal de Majorque construit par les arabes fut détruit par le feu.

L'intégralité des soldats et des navires restèrent sur les îles afin de la garder, attendant du renfort, voulant faire de Majorque un point stratégique pour la Reconquista.

-Bataille Navale de Sardaigne-

Forces Bourbons:

- 10 Frégates de Cinquième Rang
- 10 Vaisseau de Quatrième Rang

Forces Hasbourgs:

- 5 Frégates de Sixième Rang
- 3 Frégates de Cinquième Rang
- 1 Vaisseau de Quatrième Rang
- 1 Vaisseau de Troisième Rang
- 1 Vaisseau de Second Rang

La flotte française avait au début de la guerre mouillait à Toulon, lors de l'avancée française la flotte française ordonna le blocus de la Sardaigne afin d'en couper tout ravitaillement, néanmoins, après le repli Aragonais, l'amiral français en la personne de Anne Hilarion de Costentin de Tourville, Comte de Tourvile reçut un courrier direct du Roi lui ordonnant d'intercepter la flotte Aragonaise et de la capturer ou dans le pire des cas de la couler, ce fut une matinée que la flotte française parvint à entrevoir la flotte aragonaise.

Cette dernière se scinda en deux groupes afin de semer les français qui les immitèrent, le vent était favorable aux français et la poursuite s'engagea, le premier groupe fut attaqué par les frégates de sixième rang français, soit les plus rapides navires qui s'attaquèrent à la flotte ennemi à l'aide de boulet chainé le temps que les seconds et troisièmes rangs français purent rejoindre la ligne de bataille, la bataille dura plusieurs heures et les combats furent terribles, finalement, un vaisseau aragonais hissa le pavillon blanc et fut aborder par les français suivi de deux autres navires... Le reste du groupe lui fut détruit ou pour un navire, pris la fuite.

Le second groupe lui eut bien plus de chance que le premier, en effet, les transports de troupes furent couvert par le reste de la flotte qui s'attaqua aux français, pris par surprise, une frégate de sixième rang fut coulée et la bataille s'engagea, ici aussi, les navires de lignes français arrivèrent, plus tard mais ils arrivèrent et une fois encore, renversèrent le cours de la bataille, l'amiral de ce groupe, le Comte de Macon privilégia la tactique de l'abordage et les pauvres navires aragonais voyaient les immenses navires lourds français les abordaient et leurs équipages déferlaient sur les traîtres et rapidement, la flotte fut capturé ou coulé.

Tout les navires capturés furent fouillés de fond en comble afin de découvrir le prétendant Hasbourg, peut être s'y trouvait t-il après tout ?

Pertes Hasbourgs: 2 Frégates de Sixième Rang (1 capturés), 1 Frégates de Cinquième Rang, 1 Vaisseau de Quatrième Rang (capturé), 1 Vaisseau de Troisième Rang (capturé), 1 Vaisseau de Second Rang (capturé)
Pertes Bourbons: 4 Frégates de Cinquième Rang

Victoire Française !

-Bataille de Bruxelles-

Forces Belges:

-4.000 soldats
-300 cavaliers
-10 canons

Forces Bourbons:

-500 dragons
-500 cavaliers
-6.000 soldats d'infanterie d'élite
-60 canons

Les français ont répondu présent à l'appel espagnole en écrasant la flotte aragonaise en Sardaigne, désormais par accord avec Philippe d'Orléans, Roi d'Espagne, la France peut mettre la main sur la Belgique et récupérer les Flandres qui faisaient autrefois parti du plus puissant royaume d'Europe, les Flandres apporteront avec elle richesses et prospérité.

L'armée française commandée par Louis-François de Boufflers, Duc de Boufflers et vétéran de la guerre de la Ligue d'Ausbourg commandé une armée de 6.000 hommes vétérans, 1.000 cavaliers  et 60 canons, face à lui se tenait 4.000 belges, 300 cavaliers et 10 canons. Les pronostics étaient clairement en faveur du Royaume de France.

La bataille commença par une cannonade entre les deux armées, les coups de canons furèrent deux heures au bout desquelles les belges se décidèrent à lancer l'offensive, la première salve fut française et fut dévastatrice suivi d'une riposte belge, la bataille fit rage. Sur le côté, la cavalerie belge harcela les positions française avant de devoir se replier par l'arrivée de cinq cents cavaliers français, eux même mis en déroute par un soutien d'artillerie belge, seul l'arrivée du régiment de dragon permis d'empêcher à la cavalerie d'être décimer. Les dragons combattirent avec courage et posant pied à terre écrasèrent les forces belges avant de prendre leurs canons et d'attaquer l'arrière des lignes belges. Finalement leur dispositif s'écroula et les belges évacuèrent la plaine dans le désordre tandis que l'ouest tombait, pour passer de l'autre côté des flandres, ils devraient traverser par un état indépendant, mais cet état se risquerait t-il à provoquer la France ?

Pertes Belges: 1.900 soldats, 10 canons (capturés), 100 Cavaliers.
Pertes Bourbons: 1.000 soldats d'élites, 200 Cavaliers, 70 Dragons.

Victoire Française, Prise de Bruxelles (Capitale des Flandres)

Royaume d'Angleterre

Sa majesté le roi se dit rassuré du retour à la raison du peuple d'Aragon et de Belgique.