[Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
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Gungauss
Alaminsk
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[Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Grand Empire d'Autriche-Hongrie
Contexte
Radetzky-Plan
Contexte
- Spoiler:
- Casus belli
Objectif de guerreCela fait depuis plusieurs décennies que l'Empire d'Autriche-Hongrie et l'Empire Ottoman possèdent des relations plus que tendues. Sur le plan diplomatique, notre nation se sent menacée par les mouvements des troupes de notre voisin en Europe et en Égypte. Sur le plan social, les peuples orthodoxes du Voïvodat des Balkans exècrent les façons par lesquelles leurs compatriotes sont traités de l'autre côté de la frontière. C'est pourquoi l'Empereur François-Joseph Ier, avec le soutient de son Gouvernement et de la population, déclare officiellement la guerre à l'Empire Ottoman pour libérer les Balkans du joug de la Grande Porte. Vienne réclame la fin de la domination ottomane au sud-est de l'Europe, la sécession de certaines provinces au Royaume de Grèce, la sortie de la sphère d'influence du Royaume de Roumanie et la création du Royaume de Serbie et du Royaume de Bulgarie qui seront protégés, au même titre que la Roumanie et la Grèce, par notre nation et notre allié, l'Empire de Russie. Le Royaume d'Albanie sera fondé et fera office de nation autonome.L'Empire d'Autriche-Hongrie veut voir la fin du joug ottoman dans les Balkans, la création du Royaume de Bulgarie et du Royaume de Serbie, la fin de la mise sous protectorat du Royaume de Roumanie et la sécession de certaines provinces au Royaume de Grèce. Les nouvelles entités créées par la victoire austro-hongroise seront mises sous la protection de notre pays (pour la Bulgarie et la Roumanie) et de la Russie (pour la Serbie et la Grèce). Quant au Royaume d'Albanie, il fera office de pays "tampon" entre les différentes nations des Balkans et sera totalement neutre et autonome.
- Spoiler:
- Armée et Marine impériales et royales du Grand Empire d'Autriche-Hongrie
Armée et Marine de l'Empire OttomanNombre de soldats : 504 000 soldats [188 bataillons]
420 000 fantassins [140 bataillons]
120 000 Fußjäger [40 bataillons]
24 000 soldats de la Gardekorps [8 bataillons]
Nombre de soldats à cheval : 180 000 soldats à cheval [60 bataillons]
45 000 cavaliers [15 bataillons]
45 000 dragons [15 bataillons]
45 000 hussards [15 bataillons]
45 000 cuirassiers [15 bataillons]
Nombre de canons : 1 200 canons [40 bataillons]
1 200 canons de campagne [40 bataillons]
Nombre de frégates : 10 frégates
Nombre de cuirassés légers : 20 cuirassés légers
Nombre de cuirassés lourds : 15 cuirassés lourds
Nombre de navires de transport : 5 navires de transport
5 navires de transport à vapeur- 30 000 Janissaires
- 150 560 Fantassins
- 36 000 Cavaliers
- 690 pièces d'artillerie
- 17 navires lourds
- 8 navires légers
- 5 navires transporteur de troupes
Radetzky-Plan
5 février 1868, Vienne, Autriche-Hongrie
L'Empereur François-Joseph Ier, le Gouvernement, un corps de diplomates et la totalité de l’État-major s'étaient réunis dans l'un des nombreux salons cachés du Palais Impérial de la capitale. Cela faisait maintenant bien trop longtemps que la présence de l'Empire Ottoman en Europe était à remettre en question, et c'était tout naturellement à son plus vieil ennemi de le déloger des Balkans une bonne fois pour toute. C'est ainsi que l'appareil militaire avait entrepris la dernière réunion avant la mise en place du plan Radetzky, en hommage du grand général Joseph Radetzky von Radetz, vainqueur des armées italiennes quelques années plus tôt. Mais cette fois-ci, ce sera contre la Grande Porte que l'Empire se battra et les paramètres semblent optimaux pour déclencher l'opération cette année. C'est ainsi que l'expérimenté et compétant Heinrich von Heß, commandant-en-chef des armées et Feldmarschall, reçu l'autorisation de l'Empereur de lancer les premiers mouvements de troupes. Le lendemain, à 9h du matin, l'ambassadeur ottoman à Vienne recevait la déclaration de guerre austro-hongroise et les revendications qui l'accompagnaient. A 10h, le service de communication militaire d'urgence était saisi : une série de télégrammes étaient à envoyer en direction de Podgorica, Belgrade, Cluj-Napoca et Lora.
- Spoiler:
L'état-Major austro-hongrois
6 février 1868, Cluj-Napoca, Royaume de Transylvanie, Autriche-Hongrie
A 10h, le quartier général militaire du Royaume de Transylvanie bouillonnait : un télégramme provenant de Vienne donnait les différents ordres au Colonel-Général responsable du secteur, Friedrich von Beck-Rzikowsky. Une demie-heure plus tard, il traversait les frontières séparant l'Autriche-Hongrie et la Roumanie avec 25 bataillons d'infanterie, 7 bataillons de Fußjäger, 15 bataillons de dragons et 10 bataillons de canons de campagne. Les soldats, de nationalité roumaine, sympathisaient facilement avec les paysans à la traversé des villages, alors qu'aucune résistance n'était à déplorer : en effet, l'Empire Ottoman, ayant apparemment totalement oublié que la Roumanie était son protectorat, n'envoya pas de forces armées régulières sur le territoire. C'est ainsi que la première opposition à l'avancée des troupes austro-hongroises fut une grande partie de l'armée roumaine basée à Ploiesti, ville faisant office de nœud routier central essentiel à la progression de troupes nationales.
- Spoiler:
Les troupes en marche
5 bataillons roumains et une trentaine de canons faisaient face à 9 bataillons de fantassins, un bataillons de Fußjäger, 3 bataillons de dragons et 2 bataillons de canons. Le Général Eduard von Böhm-Ermolli, en charge du détachement, appliquait les doctrines militaires typiques du style germanique : façonnés par une discipline de fer, les soldats prenaient position pour tendre une embuscade au contingent ennemi qui avait reçu l'ordre d'intercepter les troupes nationales. Tout d'abord, ce sont les Fußjäger qui harcelèrent les régiments roumains : pris par surprise et alors que de nombreux officiers (les premières cibles des tireurs) tombaient sous les balles, l'artillerie austro-hongroise opéra à un intensif pilonnage sur les vieux canons du convois.
- Spoiler:
Explosion d'un obus sur une position roumaine
L'infanterie roumaine tentait en vain de se réorganiser quand l'infanterie de ligne austro-hongroise commença à ouvrir le feu. Les tuniques grises, étant sûres de leur victoire, durent faire face à un héroïsme presque surhumain venant des fantassins ennemis. Un long échange de tir s'installa, ce qui obligea le Général von Böhm-Ermolli à faire intervenir les dragons hongrois : les puissants cavaliers fendirent les lignes roumaines, provoquant leur retraite. Le gradé donna l'ordre de poursuivre les fuillards sur plusieurs kilomètres jusqu'à prendre le contrôle de Ploiesti, ce qui fut fait en fin de journée.
Globalement, la Ière Armée avait rempli ses principaux objectifs : contrôler le nœud routier de la Roumanie et séparer le protectorat en trois parties. L'invasion de ce pays serait une partie de plaisir pour les soldats austro-hongrois en comparaison des territoires sous protection directe de l'Empire Ottoman.
Pertes globales roumaines : 3 200 tués, 1 550 blessés, 12 000 prisonniers (fantassins et conscrits), déstabilisation complète de l'appareil militaire (due à l'effet de surprise)
Pertes globales austro-hongroise pour la Ière Armée : 5 700 tués, 7 200 blessés
6 février 1868, Belgrade, Voïvodat des Balkans, Autriche-Hongrie
La IInde Armée, dirigée par le Colonel-Général et Archiduc Leopold Salvator, allait avoir la plus lourde tâche : celle de fondre le plus vite possible à l'intérieur des terres ottomanes. Pour s'assurer du bon fonctionnement des opérations, le Haut-Commandement plaça sous les ordres du gradé spécialiste en artillerie une force composée de 60 bataillons de fantassins, 15 bataillons de Fußjäger, 15 bataillons de hussards, 15 bataillons de cuirassiers et 20 bataillons de canons de campagne. Après avoir reçu les ordres de Vienne par télégramme, les gradés lancèrent les divisions austro-hongroises à travers les Carpates serbes. Couplé à l'assaut de la Ière Armée, le Colonel-Général bénéficiait d'un atout principal en Roumanie : la grande partie des fantassins roumains étaient massés vers Bucarest et donc à la merci des forces armées du nord. L'avancée des troupes se faisait donc sur un bon rythme.
Cependant, plus au sud, à peine après quelques kilomètres passés sur le territoire ottoman, les premiers bataillons ennemis allaient à l'encontre des soldats austro-hongrois. La principale bataille eu lieu à Montana, en Bulgarie. Une imposante garnison se situait à une centaine de mètres de la ville, mettant en danger la vie des citadins bulgares. Voulant limiter le plus possible les pertes civiles, le détachement du Général Hermann von Ostrava ordonna la formation d'une bataille rangée, que les soldats utilisaient déjà durant la guerre de Crimée. Le Général était aux commandes d'un détachement composé de 12 bataillons de fantassins, 6 bataillons de hussards, 2 bataillons de cuirassiers et 5 bataillons de canons de campagnes. En face, 17 bataillons de fantassins, 2 bataillons de cavaliers et 5 bataillons de campagne ottomans devaient tenir la position défensive.
Sur la vaste plaine qui englobait la ville, les fantassins austro-hongrois avaient formé une grande ligne d'attaque pour percer en un seul assaut les défenses ottomanes. Mal équipés, désemparés face au nombre de troupes adverses, les ottomans comptaient avant tout sur la puissance de leur artillerie pour repousser les charges d'infanterie. Le Général Hermann von Ostrava ne l'entendait pas de cette oreille et ordonna, quelques minutes avant l'assaut, de pilonner les positions de la Grande Porte pour déstabiliser les positions fortifiées ennemies. C'est ainsi qu'après la destruction des barricades et de la plupart des canons que l'infanterie lança l'offensive, accompagnée sur les côtés de la cavalerie. Les boulets ennemis pleuvaient sur l'infanterie austro-hongroise, mais forte d'une ferveur inégalable, elle continuait à avancer jusqu'aux derniers 100 mètres où l'ordre fut donner de courir.
- Spoiler:
Artilleurs austro-hongrois
L'infanterie ottomane répliqua par une salve de tirs, même si la précision et la puissance de ces derniers étaient sérieusement pitoyables comparés aux performants fusils Werndl-Holub austro-hongrois. Voyant que 36 000 tuniques grises fondaient sur Montana, les généraux ottomans n'eurent d'autres choix que d'annoncer le replis des troupes. Le Général Hermann von Ostrava ordonna, comme à l'habitude des officiers de l'Empire, de poursuivre les fuillards avec la cavalerie pour éviter toute contre-attaque.
- Spoiler:
Passage en revue du XVII bataillon des fantassins hongrois avant l'assaut
Suite à cette éclatante victoire, quoique extrêmement couteuse en hommes, le front ennemi était sérieusement repoussé : la IInde Armée avait accompli ses objectifs pour les premiers jours de combat.
Pertes globales ottomanes : 2 500 tués, 8 600 blessés
Pertes globales austro-hongroise pour la IInde Armée : 9 330 tués, 11 210 blessés
6 février 1868, Podgorica, Voïvodat des Balkans, Autriche-Hongrie
Une fois le télégramme de Vienne reçu, le Colonel-Général Eduard Graf Paar, en charge de la IIIéme Armée, devait isoler les ports militaires ottomans donnant sur l'Adriatique et former un corridor jusqu'au Royaume de Grèce pour y déployer, au cas où il serait menacé, des troupes plus facilement. Il avait à sa disposition un contingent de 45 bataillons de fantassins, 18 bataillons de Fußjäger, 15 bataillons de cavaliers et 10 bataillons de canons de campagne. Même si l'isolement des bases navales était un objectif plus qu'important, la protection de la Grèce en cas d'attaque ottomane devait être assurée.
C'est ainsi que la IIIéme Armée se mettait en route pour Kumanodo, capitale du territoire macédonien sous domination de la Grande Porte. Après une série d'escarmouches sans importance avec les gardes frontières, la véritable bataille eut lieu à Pristina. Petite ville encastrée dans les montagnes des Balkans, c'était là où les généraux ottomans avaient décidé de retrancher une défense convenable. Avant l'affrontement, le Général de cavalerie von Kövess et ses conseillers savaient très bien qu'ici une bataille rangée n'était pas possible : les ottomans allaient jouer la carte de la guérilla, ce qui limitera grandement l'avancée des troupes jusqu'à la capitale macédonienne. C'est ainsi que 6 bataillons de Fußjäger furent mobilisés pour combattre les multiples résistants dans les montagnes, avant que les fantassins et l'artillerie commencent la bataille de Kumanodo. Après plusieurs heures de combats dans les rochers coupants, l'élite des troupes légères austro-hongroises réussit à percer une faille pour atteindre la ville.
- Spoiler:
Le groupe de commandement du contingent von Kövess
Le Général donna alors l'ordre de pilonner les principales positions ottomanes dans la ville et de faire charger les fantassins pour une longue et sanglante bataille de rues. Dans la ferveur des combats, les soldats austro-hongrois réussirent encore une fois à prouver leur puissance : les sections étaient mieux commandées et les fusils modernes à culasse rechargeaient beaucoup plus vite que les mousquets ennemis. Toutefois, n'ayant pas reçu de formation à la charge d'infanterie de masse à la baïonnette, les tuniques grises perdaient souvent au corps à corps contre les bandits de la Grande Porte. Mais après un âpre combat, le contrôle de la ville était total.
- Spoiler:
Fantassins de les rues de Kumanodo
La IIIéme Armée avait remporté, comme ses comparses, une grande victoire face aux ottomans. Le Royaume de Grèce n'était plus qu'à une centaine de kilomètres et les troupes ottomanes étaient dispersées.
Pertes globales ottomanes : 8 800 tués, 5 730 blessés
Pertes globales austro-hongroise pour la IIIéme Armée : 3 130 tués, 2 110 blessés
6 février 1868, Lora, Royaume de Croatie, Autriche-Hongrie
Enfin ! Enfin l'Empereur avait donné les ordres d'attaque contre l'Empire Ottoman, perfide nation qui opprimait les peuples des Balkans. C'est du moins ce que pensait l'Amiral-en-chef de la flotte, Maximilian von Sterneck, grand navigateur et important conseiller de François-Joseph Ier. Dans la demie-heure qui suivait l'arrivée du télégramme, les navires étaient déjà sur mer pour aller à l'encontre de la flotte ottomane. Après plusieurs heures de navigation, les vaisseaux austro-hongrois rencontrèrent un détachement des bateaux de la Grande Porte au large de la Crète grecque.
- Spoiler:
Le SMS Laudon à la base navale de Lora, en Croatie
La flotte ennemie était vieillissante de plusieurs dizaines d'années : la plupart des navires étaient à voile, alors que la flotte austro-hongroise se déplaçait dorénavant exclusivement à la vapeur. C'est ainsi qu'après avoir hissé le pavillon de l'Empire, l'amiral von Sterneck donna l'ordre de s'avancer contre le groupe de vaisseaux ennemis, en position de combat. La formation d'une longue file de navires se fit en quelques minutes, donnant à la flotte impériale un sérieux avantage. Après l'envoi d'un message en morse à tous les navires, les commandants donnèrent l'ordre de faire feu sur les vieux "rafiots" d'Istanbul jusqu'à qu'aucun ne survive. Après un rude échange de tirs entre les navires austro-hongrois et ceux de la Grande Porte, c'était une victoire inconditionnelle de l'Autriche-Hongrie, prouvant une nouvelle fois que la technologie pouvait changer le cours d'un combat.
- Spoiler:
Le SMS Venetor, fleuron de la Marine, au large de la Crète
Le premier combat de la nouvelle flotte austro-hongroise se soldait par une victoire et l'amiral Maximilian von Sterneck se tournait maintenant vers le détroit du Bosphore et la capitale ottomane, Istanbul.
Pertes globales ottomanes : 3 navires légers, 5 navires lourds
Pertes globales austro-hongroise pour la flotte : 2 cuirassés légers [les SMS Minerva et Vesta]
Résumé de la situation et ultimatum
- Spoiler:
Régions grises pleines : territoires sous l'emprise des troupes austro-hongroises | Régions grises hachurées : territoires où les troupes austro-hongroises sont majoritairesNous lançons un ultimatum à l'Empire Ottoman, via ce traité. S'il est signé par Istanbul, la guerre sera stoppée et les clauses décrites respectées.
Traité de Budapest- l'Empire Ottoman et le Grand Empire d'Autriche-Hongrie arrêtent les combats
- les troupes du Grand Empire d'Autriche-Hongrie se retirent du territoire de l'Empire Ottoman
- l'Empire Ottoman s'engage à ne plus revendiquer un quelconque territoire présent sur les Balkans
- l'Empire Ottoman versera une rente de 25 000 £ pendant 5 ans au Grand Empire d'Autriche-Hongrie
- l'Empire Ottoman s'engagera à faire une réduction de - 25% sur les navires austro-hongrois (et ceux de ses protectorats) qui passent par le Canal de Suez
- l'Empire Ottoman cesse son protectorat sur le Royaume de Roumanie
- l'Empire Ottoman divise les Balkans selon la carte ci-dessous
- le Royaume de Serbie [rouge] et le Royaume de Grèce [bleu] seront placés sous la protection de l'Empire de Russie
- le Royaume de Roumanie [jaune] et le Royaume de Bulgarie [vert foncé] seront placés sous la protection du Grand Empire d'Autriche-Hongrie
- le Royaume d'Albanie deviendra une province totalement autonome
PS : Quand je dis "sous la protection", c'est que le pays sera autonome mais que s'il se fait attaquer, son protecteur devra s'occuper du problème. Cela n'a rien à voir avec un protectorat, même si les liens qui unissent protégé et protecteur sont très forts.
- Spoiler:
Dernière édition par Alaminsk le Ven 10 Aoû 2012 - 19:43, édité 4 fois
Alaminsk- Grand Consul
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Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Royaume de Grèce
A la suite de l'annonce d'une vaste offensive de la part de l'Empire d'Autriche-Hongrie sur l'Empire Ottoman, le Roi Georges Ier a réuni ses ministres et ses officiers afin de décider de la réaction du Royaume. Lors de cette réunion, les officiers ont affirmés que les fantassins grecs étaient prêts, face à la frontière, et serait capable d'aider rapidement les troupes austro-hongroises.
Une fois la réunion finie, le Roi s'est empressé de faire parvenir à Vienne la lettre suivante :
Cher Empereur,
J'ai l'honneur de vous annoncer que le Royaume de Grèce entre en guerre à vos côtés face à l'Empire Ottoman afin de défendre les intérêts des peuples européens, opprimés par les Turcs Ottomans. Les troupes grecques sont sur la frontière et attendent le bon moment pour attaquer.
Cordialement,
Georges Ier de Grèce, Roi des Hellènes
A la suite de l'annonce d'une vaste offensive de la part de l'Empire d'Autriche-Hongrie sur l'Empire Ottoman, le Roi Georges Ier a réuni ses ministres et ses officiers afin de décider de la réaction du Royaume. Lors de cette réunion, les officiers ont affirmés que les fantassins grecs étaient prêts, face à la frontière, et serait capable d'aider rapidement les troupes austro-hongroises.
Une fois la réunion finie, le Roi s'est empressé de faire parvenir à Vienne la lettre suivante :
Cher Empereur,
J'ai l'honneur de vous annoncer que le Royaume de Grèce entre en guerre à vos côtés face à l'Empire Ottoman afin de défendre les intérêts des peuples européens, opprimés par les Turcs Ottomans. Les troupes grecques sont sur la frontière et attendent le bon moment pour attaquer.
Cordialement,
Georges Ier de Grèce, Roi des Hellènes
Dernière édition par Gungauss le Ven 3 Aoû 2012 - 13:46, édité 1 fois
Gungauss- Chef de Département des Nations Unies
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Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Royaume d'Iran via Autriche Hongrie et Grèce
Chers amis,
Nous sommes prêts à nous engager avec vous dans ce conflit, pour libérer les populations Shiites de la Porte.
Nous avons néanmoins besoin d'un soutient militaire pour transporter nos volontaires vers le Font.
Chers amis,
Nous sommes prêts à nous engager avec vous dans ce conflit, pour libérer les populations Shiites de la Porte.
Nous avons néanmoins besoin d'un soutient militaire pour transporter nos volontaires vers le Font.
Dernière édition par le_litchi le Ven 3 Aoû 2012 - 13:10, édité 1 fois
CamaradeLitchi- Président
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Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Empire de Russie
Lettre à Vienne:
Déclaration du Tsar Alexandre II de Russie durant son voyage en Asie centrale:
L'Empire de Russie ainsi que moi-même soutenons clairement la libération des peuples slaves et orthodoxes de l'Europe du Sud-Est, de l'Europe Balkanique. Si le traité de paix est signé par l'Empire Ottoman, alors il est clair que le visage de l'Europe changera pour toujours car les peuples slaves seront enfin libérés du joug ottoman, même si ces derniers n'étaient pas mal traités.
L'Empire de Russie déclare également que des sanctions seront prises à tout autre pays, en dehors de l'Empire d'Autriche-Hongrie et du Royaume de Grèce, entrant en guerre contre l'Empire Ottoman et voulant profiter de cette guerre pour acquérir plus de territoires. Cette guerre de libération des Balkans ne concerne que l'Empire d'Autriche-Hongrie et le Royaume de Grèce ainsi que l'Empire de Russie, et en aucun cas d'autres nations.
Néanmoins, l'Empire de Russie respectera son traité de non-agression avec l'Empire Ottoman et ne souhaite pas plus entacher ses relations diplomatiques avec ce dernier, donc l'Empire de Russie ne rentrera pas en guerre contre l'Empire Ottoman, mais soutient clairement l'Empire d'Autriche-Hongrie.
Lettre à Vienne:
Nous vous soutenons autant que le jour où vous nous avez évoqué votre plan, mais nous ne rentrerons pas en guerre contre l'Empire Ottoman à cause de problèmes internes. Néanmoins, si l'Empire Ottoman contre-attaque violemment et vous met en danger, mais nous savons tous les deux que celà n'est pas possible, l'Empire de Russie vous viendra en aide.
Bonne chance mon ami et que Dieu soit avec vous !
Caoki- Chef de Département des Nations Unies
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Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Royaume de Grèce
Déclaration du Roi Georges Ier :
Le projet qu'a l'Empire d'Autriche-Hongrie est un projet noble, qui permettra à de nombreux peuples de se libérer enfin du joug ottoman. En cela, nous soutenons l'intervention de l'Autriche-Hongrie, et confirmons la mise à disposition de bases sur notre sol pour les forces armées de la puissante armée austro-hongroise. Néanmoins, nous avons un traité de non-agression avec l'Empire Ottoman, et nous nous efforcerons de le respecter, sauf si les Janissaires ottomans nous forcent à nous immiscer dans ce conflit.
Le Royaume de Grèce se déclare donc pour le moment neutre dans ce conflit, mais nous remercions l'Empire d'Autriche-Hongrie de prendre en compte la volonté des populations de Macédoine.
Lettre confidentielle à Vienne :
Conformément à mes dires précédents, l'armée grecque se tient prête à intervenir, mais nous nous devons d'être prudent à l'égard de l'Empire Ottoman, avec qui nous avons un traité de non-agression depuis le Traité signé avec les Russes et les Ottomans. J'espère que vous comprenez la situation dans laquelle je me trouve actuellement, et j'espère que vous comprendrez que je ne peux me permettre, pour le moment, de me mettre à dos les grandes puissances d'Europe à cause d'une rupture de traité.
Avec toutes mes amitiés,
Georges Ier de Grèce, Roi des Hellènes
Déclaration du Roi Georges Ier :
Le projet qu'a l'Empire d'Autriche-Hongrie est un projet noble, qui permettra à de nombreux peuples de se libérer enfin du joug ottoman. En cela, nous soutenons l'intervention de l'Autriche-Hongrie, et confirmons la mise à disposition de bases sur notre sol pour les forces armées de la puissante armée austro-hongroise. Néanmoins, nous avons un traité de non-agression avec l'Empire Ottoman, et nous nous efforcerons de le respecter, sauf si les Janissaires ottomans nous forcent à nous immiscer dans ce conflit.
Le Royaume de Grèce se déclare donc pour le moment neutre dans ce conflit, mais nous remercions l'Empire d'Autriche-Hongrie de prendre en compte la volonté des populations de Macédoine.
Lettre confidentielle à Vienne :
Conformément à mes dires précédents, l'armée grecque se tient prête à intervenir, mais nous nous devons d'être prudent à l'égard de l'Empire Ottoman, avec qui nous avons un traité de non-agression depuis le Traité signé avec les Russes et les Ottomans. J'espère que vous comprenez la situation dans laquelle je me trouve actuellement, et j'espère que vous comprendrez que je ne peux me permettre, pour le moment, de me mettre à dos les grandes puissances d'Europe à cause d'une rupture de traité.
Avec toutes mes amitiés,
Georges Ier de Grèce, Roi des Hellènes
Gungauss- Chef de Département des Nations Unies
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Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Grand Empire d'Autriche-Hongrie
Nous soutenons grandement les propos de notre allié l'Empire de Russie : si une quelconque nation décide de déclarer la guerre à l'Empire Ottoman pour y gagner de nouveaux territoires, cette nation recevra les foudre de Saint-Pétersbourg et de Vienne. Cette guerre concerne uniquement les Balkans et les peuples slaves les habitant.
Nous refusons aussi l'aide proposée par la République d'Iran (mais qui ne sera pas oubliée).
Top Secret
Nous comprenons tout à fait le Roi Georges Ier. Nous allons déplacer des troupes à vos frontières mais si vous vous faites attaquer par l'Empire Ottoman, sachez qu'un important contingent austro-hongrois est prêt à entrer sur votre territoire pour vous aider. En attendant, nous ne demandons aucune déclaration de guerre de votre part contre la Grande Porte.
Nous sommes aussi d'accords avec les propos de l'Empire de Russie. Tout comme la Grèce, nous ne demandons aucune déclaration de guerre de votre part contre l'Empire Ottoman. Néanmoins, si la situation empirait, nous réclamerons peut-être un soutient plus que diplomatique.
Nous soutenons grandement les propos de notre allié l'Empire de Russie : si une quelconque nation décide de déclarer la guerre à l'Empire Ottoman pour y gagner de nouveaux territoires, cette nation recevra les foudre de Saint-Pétersbourg et de Vienne. Cette guerre concerne uniquement les Balkans et les peuples slaves les habitant.
Nous refusons aussi l'aide proposée par la République d'Iran (mais qui ne sera pas oubliée).
Top Secret
Nous comprenons tout à fait le Roi Georges Ier. Nous allons déplacer des troupes à vos frontières mais si vous vous faites attaquer par l'Empire Ottoman, sachez qu'un important contingent austro-hongrois est prêt à entrer sur votre territoire pour vous aider. En attendant, nous ne demandons aucune déclaration de guerre de votre part contre la Grande Porte.
Nous sommes aussi d'accords avec les propos de l'Empire de Russie. Tout comme la Grèce, nous ne demandons aucune déclaration de guerre de votre part contre l'Empire Ottoman. Néanmoins, si la situation empirait, nous réclamerons peut-être un soutient plus que diplomatique.
Dernière édition par Alaminsk le Ven 10 Aoû 2012 - 19:43, édité 1 fois
Alaminsk- Grand Consul
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Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Empire Allemand via Monde
L'Empire Allemand se range bien évidemment derrière ses alliés austro-hongrois et russes. Si une quelconque nation décidait d'en venir aux armes avec nos alliés, l'étendard impérial rejoindra les forces de la Confédération Centrale.
L'Empire Allemand se range bien évidemment derrière ses alliés austro-hongrois et russes. Si une quelconque nation décidait d'en venir aux armes avec nos alliés, l'étendard impérial rejoindra les forces de la Confédération Centrale.
Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Empire Ottoman
Communiqué d'Istanbul :
Nous acceptons les termes du traité de paix.
Communiqué d'Istanbul :
Nous acceptons les termes du traité de paix.
Twinkless- Secrétaire général des Nations Unies
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Re: [Guerre] Première guerre des Balkans [VICTOIRE AUSTRO-HONGROISE]
Grand Empire d'Autriche-Hongrie
L'Empire Ottoman a fait le bon choix en prenant cette décision.
L'Empire Ottoman a fait le bon choix en prenant cette décision.
Bilan des pertes ottomanes : 11 300 tués, 14 330 blessés, 3 navires légers, 5 navires lourds
Bilan des pertes roumaines : 3 200 tués, 1 550 blessés
Bilan des pertes austro-hongroises : 18 160 tués, 20 520 blessés, 2 cuirassés légers [les SMS Minerva et Vesta]
Alaminsk- Grand Consul
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