Commission des Réparations du traité de Versailles

France a écrit:Concernant la Rhénanie même, le gouvernement français, fait comme un rat (comme Goebbels en somme), cherche une solution pour tenter de sortir la tête haute : est proposé à la Commission interalliée du Rhin de s'accorder ensemble sur des demandes d'indemnités exemplaires pour l'Allemagne (celles déjà proposées par la France), en échange de l'acceptation par Paris de l'abrogation du plan Millerand.

Royaume-Uni
PNJ
Réponse

Inquiet de l'évolution de la situation, Londres est prête à accepter la proposition française mais n'est pas rassuré quand aux capacités de l'Allemagne à payer une telle somme. Elle s'inquiète aussi de la montée du nationalisme allemand qui se nourrirait selon les conseillers du gouvernement britannique de la crise économique. Est proposé la division de cette somme en deux grands catégories, 50 milliards (mois les 20 déjà payés) à rembourser par des sommes fixes annuelles. Les 176 milliards restant devant être payés par des versements établis sur décision de la Commission interalliés chaque année en fonction de l'état de l'économie allemande et de sa capacité de remboursement.

Royaume-Uni
PNJ
Réponse

Face à l'intransigeance française et pour enfin sortir de ce bourbier, Londres est prêt à accepter l'idée de monter à 90 milliards, sans y croire, monter plus haut paraîtrait une folie. Dans tous les cas l'inquiétude monte quand à la future situation économique allemande dans le monde anglo-saxon et l'on espère une accalmie au plus vite dans la politique de dureté mise en place par Paris.

La diplomatie britannique lâche encore une fois face à l'intransigeance française. Elle tiendra cependant pour responsable la France les éventuels dérapages et krach boursiers qu'elle croit inévitable face à temps d’entêtement
De ce fait, le plan Millerand est abrogé, et l’Allemagne doit payer 226 milliards de Reichmark or, dont 20 sont déjà payés, 90 sont en bonds A et B, c'est à dire à annuité fixes, et 116 en bonds C, c'est à dire déterminés ultérieurement par cette commission.