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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
US Air Force
Acceptation de nouveau matériel :
-60 T-50 Golden Eagle
-107 F-35A
-50 F-35B
-30 F-35C
-14 MQ-4C Triton
-16 Sikorsky MH-9 (S-97)
-21 Sikorsky VH-92
-12 Boeing KC-46
Un prototype du A-50 Golden Eagle, avion d’attaque léger développé sur la base du T-50 Golden Eagle effectuera une série de tests avec l’US Air Force. L’État major espère son entrée en service d’ici le printemps 2024.
L’année 2022 marque aussi une grande avancée pour les F-16 de l’US Air Force, en effet, le F-16E/F
Block 72 entre enfin en service, ce sont donc les 400 des 700 F-16 encore en service avec l’US Air Force (hors réserve et garde nationale) qui seront convertis à se nouveau standard, dans l’usine Lockheed Martin de Greenville en Caroline du Sud, permettant même d’agrandir les lignes et de recruter de nouveau personnels dans la région.
Le F-15C Eagle va être progressivement retiré du service, remplacé pour l’instant par des F-35A, le Pentagone étudie cependant la remise en route des lignes de production de F-22 afin de les remplacer.
Les 220 F-15E Strike Eagle seront eux convertis au standard F-15SE Silent Eagle d’ici 2028, afin de rester en service au moins jusqu’en 2035.
Le F-22A va subir lui aussi des modifications afin de le moderniser, et de possiblement relancer la production. Le développement d’une version biplace, bien qu’abandonnée il y a quelques années, va être lui repris.
Affaires Étrangères :
Réponse aux appels d’offres de nos alliés Moyen Orientaux concernant le matériel aérien:Au Koweit :
Le F-35A est proposé en remplacement des 28 F/A-18C, le UH-60M Black Hawk en remplacement des Puma, et le MH-6M Little Bird pour remplacer les Gazelle devenant dangereuses pour le vol du fait de leur age très avancé.Au Qatar :
14 MH-6M sont proposés pour remplacer la aussi les vieilles Gazelle encore en service et 12 MH-60R
Seahawk pour remplacer les Sea King.Au Bahrein :
Modernisation des F-16C au standard Block 52+, remplacement des Bell 212 par des UH-60M Black Hawk (l’armée de l’air du Bahrein en possède déjà un certain nombre, ce qui facilitera la logisitique).Arabie Saoudite :
L’Arabie Saoudite étant intéressée depuis quelques années au programme F-35, c’est donc logiquement que cet appareil sera présenté face a leur délégation sur la King Abdul Aziz Air Base à Dhahran, afin de proposer un remplacement aux F-15C et aux Tornado.Emirats Arabes Unis :
Le F-35A est la aussi proposé, ainsi qu’une modernisation des F-16E émiratis au standard Block 61. Le MH-60R Seahawk est aussi proposé pour les missions de sauvetage en mer afin de remplacer les Bel 412.Oman :
Une modernisation des F-16C est proposée.
Baptiste- Secrétaire d'État
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Etat du Japon - Nippon-Koku
Affaires intérieures
Affaires intérieures
L’armée japonaise avait connu, en ce mois de juillet 2021, son premier engagement depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Le JS Inazuma de classe Murasame avait en effet assisté la marine américaine dans ses opérations visant à débloquer le détroit d’Ormuz du blocus imposé par la marine iranienne. Ce blocus menaçait directement le Japon et ses intérêts les plus basiques, la majorité de ses hydrocarbures venant en effet des pays de la péninsule arabique, en particulier l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis. C’est en tout cas de cette manière que Shinzo Abe justifia la participation de la marine japonaise à cette bataille. L’héroïsme reconnu des marins de l’Inazuma participa d’ailleurs à populariser la décision du premier ministre d’engager l’armée japonaise dans le Golfe persique, par ailleurs les hommages émis par les américains et en particulier par leur président furent particulièrement remarqués et appréciés par des japonais qui voient désormais les Etats-Unis comme « un pays ami » pour plus de 70 % d’entre eux, contre seulement 57 % en 2017. Le président Trump lui aussi, très peu apprécié dans une grande partie du monde, en Allemagne, en France ou en Turquie par exemple, connaît des records de popularité au Japon, passant de 24 % en 2017 à 52 % aujourd’hui, la visite du président américain suite à l’ouragan Nina a aussi beaucoup joué dans cette évolution. Ce changement dans l’opinion publique a des conséquences sur la vie politique japonaise. Le parti démocrate constitutionnel a en effet définitivement choisi de retirer de son programme la fin des bases américaines au Japon suite à un congrès tenu annuellement par le parti.
Le parti communiste a connu d’importants changements au cours de ces derniers mois avec la chute du leader historique Kazuo Shii et la prise du pouvoir par Itashi Kaza, un jeune de la nouvelle garde issue des petits syndicats indépendants de freeters ( sous-salariés de 18 à 35 ans ultra précaires ) qui ont massivement adhéré au PCJ au cours de ces dernières années. Celui-ci a marqué une rupture avec son prédécesseur en annonçant la fin de la « stratégie de la défaite » de l’union des gauches japonaises. Il a par ailleurs marqué le retour de la lutte des classes au coeur du discours du parti communiste en affirmant que le coeur du programme serait construit afin de permettre aux ouvriers et aux précaires japonais de pouvoir relever la tête une fois le PCJ au pouvoir. Peu de temps après, une importante réorganisation s’est joué au sein des syndicats japonais avec la fusion de nombreux syndicats indépendants au sein de la grande confédération proche du PCJ, le Zenroren, celle-ci passant d’1,6 millions d’adhérents à 3 millions en quelques mois, rivalisant désormais avec le toujours dominant Rengo et ses 6 millions d’adhérents lié au parti démocrate constitutionnel mais très faible dans les milieux précaires et plutôt considéré comme un syndicat de cadres. Le Zenroren a rapidement annoncé que ses grandes transformations internes aboutirait à une nouvelle phase dans l’auto-organisation des travailleurs, sans pour autant pour le moment remettre en cause le modèle de dialogue social très apaisé historiquement un place au Japon entre syndicats de travailleurs et de patrons.
Le gouvernement, en accord avec la compromis trouvé entre le PLD et le PDC lors de la formation de la coalition actuellement au pouvoir, a décidé d’investir un total de 7 milliards de dollars supplémentaire dédiés aux régions par an afin d’appuyer le financement de nouveaux projets d’infrastructures. L’entrée en service commerciale du SCMaglev, le train le plus rapide du monde, enregistré en 2015 à 603 km/h est prévu en 2027 avec la finalisation des travaux en cours sur la ligne Tokyo-Nagoya afin de rendre celle-ci compatible avec la technologie de ces trains, l’objectif étant de finaliser pour 2037 la mise à jour de la ligne Tokyo-Osaka et de pouvoir voyager entre les deux villes en moins d’une heure. Parallèlement à ça, ces nouveaux financements devraient permettre d’entamer les travaux sur la ligne Osaka-Hiroshima afin de la rendre elle aussi apte à accueillir ces nouveaux trains d’ici 2031 avec dans un premier temps la mise aux normes du tronçon Osaka-Okayama qui devrait s’achever en 2027. Les trains ne sont pas les seuls concernés et ces fonds devraient aussi permettre de financer l’agrandissement de certains tronçons d’autoroutes, en particulier ceux proches des grandes villes qui saturent régulièrement à cause de l’augmentation de leur fréquentation. Le budget lié à l’éducation pourra lui profiter d’une hausse bienvenue de 5 milliards de dollars afin de financer la rénovation de nombreux établissements étant dans des états indignes de la troisième puissance économique mondiale.
Le parti communiste a connu d’importants changements au cours de ces derniers mois avec la chute du leader historique Kazuo Shii et la prise du pouvoir par Itashi Kaza, un jeune de la nouvelle garde issue des petits syndicats indépendants de freeters ( sous-salariés de 18 à 35 ans ultra précaires ) qui ont massivement adhéré au PCJ au cours de ces dernières années. Celui-ci a marqué une rupture avec son prédécesseur en annonçant la fin de la « stratégie de la défaite » de l’union des gauches japonaises. Il a par ailleurs marqué le retour de la lutte des classes au coeur du discours du parti communiste en affirmant que le coeur du programme serait construit afin de permettre aux ouvriers et aux précaires japonais de pouvoir relever la tête une fois le PCJ au pouvoir. Peu de temps après, une importante réorganisation s’est joué au sein des syndicats japonais avec la fusion de nombreux syndicats indépendants au sein de la grande confédération proche du PCJ, le Zenroren, celle-ci passant d’1,6 millions d’adhérents à 3 millions en quelques mois, rivalisant désormais avec le toujours dominant Rengo et ses 6 millions d’adhérents lié au parti démocrate constitutionnel mais très faible dans les milieux précaires et plutôt considéré comme un syndicat de cadres. Le Zenroren a rapidement annoncé que ses grandes transformations internes aboutirait à une nouvelle phase dans l’auto-organisation des travailleurs, sans pour autant pour le moment remettre en cause le modèle de dialogue social très apaisé historiquement un place au Japon entre syndicats de travailleurs et de patrons.
Le gouvernement, en accord avec la compromis trouvé entre le PLD et le PDC lors de la formation de la coalition actuellement au pouvoir, a décidé d’investir un total de 7 milliards de dollars supplémentaire dédiés aux régions par an afin d’appuyer le financement de nouveaux projets d’infrastructures. L’entrée en service commerciale du SCMaglev, le train le plus rapide du monde, enregistré en 2015 à 603 km/h est prévu en 2027 avec la finalisation des travaux en cours sur la ligne Tokyo-Nagoya afin de rendre celle-ci compatible avec la technologie de ces trains, l’objectif étant de finaliser pour 2037 la mise à jour de la ligne Tokyo-Osaka et de pouvoir voyager entre les deux villes en moins d’une heure. Parallèlement à ça, ces nouveaux financements devraient permettre d’entamer les travaux sur la ligne Osaka-Hiroshima afin de la rendre elle aussi apte à accueillir ces nouveaux trains d’ici 2031 avec dans un premier temps la mise aux normes du tronçon Osaka-Okayama qui devrait s’achever en 2027. Les trains ne sont pas les seuls concernés et ces fonds devraient aussi permettre de financer l’agrandissement de certains tronçons d’autoroutes, en particulier ceux proches des grandes villes qui saturent régulièrement à cause de l’augmentation de leur fréquentation. Le budget lié à l’éducation pourra lui profiter d’une hausse bienvenue de 5 milliards de dollars afin de financer la rénovation de nombreux établissements étant dans des états indignes de la troisième puissance économique mondiale.
15 milliards annuels supplémentaires, soit plus de 100 % du budget précédent, seront par ailleurs investis dans le budget dédié à l’écologie afin de financer un plan de transition énergétique demandé expressément par le PDC. Ce plan, piloté par Hiroshige Seko, ministre de l’écologie du cabinet Abe, est ambitieux et vise à faire passer d’ici 2050 la part du pétrole dans la production d’énergie à 30 %, la part du gaz naturel à 20 %, les parts du nucléaire et du charbon à 0 % et la part des énergies renouvelables à 50 % d’ici 2052. En plus d’être important pour la planète, ce plan vise à renforcer l’indépendance énergétique japonaise dont la nécessité a par exemple été prouvé avec la récente crise d’Ormuz et la panique qu’elle a provoqué à Tokyo. Le Japon possède de puissants atouts liés aux énergies renouvelables. L’activité géothermique en dessous de l’archipel permet d’anticiper un fort potentiel de production d’électricité géothermique. Le ministère de l’environnement a émis une liste d’une cinquantaines de nouvelles locations afin d’y installer des centrales en plus des dix huit déjà actives dans le pays, le Japon étant en avance dans ce secteur. Avec plus de cents volcans actifs, le Japon possède en effet les troisièmes plus importantes réserves d’énergie géothermique au monde. Le développement des parcs d’éoliennes offshores est une autre des priorités du ministère de l’écologie, avec 608 gigawatts de production d’électricité potentielle par ce moyen, de lourds investissements se feront afin d’atteindre cet objectif. De l’autre côté, une partie importante de ce budget, environ un milliard, ira financer la recherche et développement dans le secteur des énergies renouvelables.
Le budget de la défense passe quand à lui à 50 milliards de dollars, une augmentation d’un milliards qui se justifie en particulier par le développement souhaité par le ministère de la défense de la Brigade amphibie de déploiement rapide mise en place en avril 2018 afin de faire face à la menace chinoise pesant en particulier sur les îles Senkaku. Cette unité d’élite ayant l’habitude de travailler avec les meilleurs brigades de Marines américains va passer de 2100 soldats à 5500. Cela sera accompagné par des augmentations équivalentes en terme d’équipements. C’est la seule unité de l’armée japonaise à être directement prête à mener des actions offensives et c’est pour cela qu’elle est importante. Le ministère de la défense à dévoilé divers papiers démontrant sa volonté de voir cette unité connaître un fort développement dans les prochaines années. Par ailleurs, la marine japonaise souhaiterait commander aux Etats-Unis un navire d’assaut de classe America pour 3 milliards de dollars, mais aussi sonder Washington concernant l’achat d’un porte avion nucléaire d’occasion. Par ailleurs, le Japon qui possède déjà 17 V-22 Ospreys souhaiterait un acquérir 9 supplémentaires ainsi que 12 UH-1Y Venom, tout cela pour équiper le navire de classe America.
Le budget de la défense passe quand à lui à 50 milliards de dollars, une augmentation d’un milliards qui se justifie en particulier par le développement souhaité par le ministère de la défense de la Brigade amphibie de déploiement rapide mise en place en avril 2018 afin de faire face à la menace chinoise pesant en particulier sur les îles Senkaku. Cette unité d’élite ayant l’habitude de travailler avec les meilleurs brigades de Marines américains va passer de 2100 soldats à 5500. Cela sera accompagné par des augmentations équivalentes en terme d’équipements. C’est la seule unité de l’armée japonaise à être directement prête à mener des actions offensives et c’est pour cela qu’elle est importante. Le ministère de la défense à dévoilé divers papiers démontrant sa volonté de voir cette unité connaître un fort développement dans les prochaines années. Par ailleurs, la marine japonaise souhaiterait commander aux Etats-Unis un navire d’assaut de classe America pour 3 milliards de dollars, mais aussi sonder Washington concernant l’achat d’un porte avion nucléaire d’occasion. Par ailleurs, le Japon qui possède déjà 17 V-22 Ospreys souhaiterait un acquérir 9 supplémentaires ainsi que 12 UH-1Y Venom, tout cela pour équiper le navire de classe America.
Mirage- Grand Consul
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Région Spéciale d'El-Bab, Syrie :
Sur demande de Oldarick
La RS d'El-Bab, faisant partie de la Syrie, ne peut que très difficilement accepter officiellement les armes lourdes proposées par la Turquie d'Erdogan. La création d'un corps de volontaires, une milice officieuse qui ne rentrerait pas réellement dans le cadre du Pacte de Damas limitant le nombre de troupes à la disposition du gouvernement d'El-Bab, est vu comme une nécessité pour protéger l'autonomie d'El-Bab. Face à Damas mais aussi à la Région Spéciale du Rojava, qui dispose de bien plus grands moyens, El-Bab accepte cette milice. 2 700 volontaires, pour la majorité des vétérans de la guerre civile, ont déjà rejoint ses rangs. En revanche, comme dit plus haut, le matériel lourd ne pourra pas être traverser la frontière sans provoquer gravement le Président Assad.
Secrètement, El-Bab demande à la Turquie de tenir le matériel prêt parmi les garnisons frontalières turques, et compte sur Ankara en cas de conflit militaire ou diplomatique pour défendre El-Bab contre le régime.
Syrie
Sur demande de Thalassin, Gungauss
Damas accepte la proposition de médiation russe, et appuie la proposition russe d'inclure les Etats-Unis.
Bureau- Vox Bureauli
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Affaires Intérieures :Chang'E 6 : nouvelle mission d’échantillonnage lunaire :
Le soleil brillait déjà fort en cette fin de printemps sur l'île de Hainan, et la température au petit matin montait déjà à 28 degrés. La mission Chang'E 6, qui a pour but de poser un module sur la Lune, effectuer un relevé d'échantillon de sol lunaire, puis de ramener cet échantillon d'environ 700 grammes sur Terre, verra bel et bien son lancement. Les conditions sont optimales.
Après un lancement sans heurts majeurs, le module voyagea jusqu'à la Lune en environ 65 heures, puis se posa sans encombre. Deux jours plus tard, il prit le chemin du retour, et amerrit dans le Pacifique avant d'être récupéré par la marine chinoise.
Malheureusement, il avait été question de réfrigérer l'échantillon afin de le maintenir à une température similaire à celle de la Lune au moment du relevé. Le système de maintien de température, s'il affichait tous les voyants verts au centre de commandement, n'a visiblement pas fonctionné car les échantillons ont subi des changements de température importants. Quoi qu'il en soit, ceux-ci n'ont pas cependant perdu leur valeur scientifique.Affaires Etrangères :Communiqué au Pakistan :
La Chine propose au Pakistan l'envoi d'un citoyen pakistanais de l'armée de l'air pakistanaise en entraînement dans le centre d'entraînement spatial chinois pour le former à devenir un taïkonaute, et intégrer le Pakistan petit à petit dans le programme spatial chinois à travers un partenariat technologique et humain.
Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Phillipines
Suffrage : Élections générales
Régime : Présidentiel
Type de scrutin : Scrutin uninominal majoritaire à un tour (président et vice président) , Scrutin plurinominal majoritaire (sénat) , Scrutin uninominal (congrès)
Date des élections : 09/05/2022
Président élu : Grace Poe (Indépendant)
Autres candidats : Leni Robredo(Libéral); Manny Pacquiao (PDP-Laban); Bongbong Marcos (nationaliste)
Vice Président élu: Ronald dela Rosa(PDP-Laban)
Composition de la Chambre Haute:
Liberaux-PDP-Laban 8 ; NPC/NUP/UNA/Nationalistas 6 ; Autres 10
Composition de la Chambre Basse :
Liberaux 25% ; PDP-Laban 30%; NPC/NUP/UNA/Nationalistas (conservateurs) 40% ; Autres: 15%
-Rodrigo Duterte ne peux pas se représenter légalement .
-Le climat tendu avec la chine a au moins uni la majorité des partis sous l'égide du président .
Utyi- Grand Consul
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Localisation : entre 180 O et 180 E , 90 S , 90 N
Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Affaires Intérieures :[TOP SECRET] Affaires militaires [TOP SECRET] :
Le développement du sous-marin nucléaire lanceur d'engin Type 096 et des nouveaux missiles balistiques nucléaires lancés depuis les sous-marins est officiellement terminé, et la construction peut commencer. Six sous-marins Type 096, au coût de 900 millions de dollars chacun ont officiellement entamé leur construction dans les chantiers navals de Shanghaï, et devraient entrer en service actif d'ici 2024 au plus tard pour les deux premiers, et 2026 pour les quatre derniers.
- Chantier naval:
Encore plus révolutionnaire, la Chine poursuit ses recherches entamées dès 2015 sur les armes de type "railgun".
Les recherches sur des railguns basés à terre sont concluantes, et la construction a déjà commencé, notamment dans le sensible Détroit Taïwanais.
- Emplacement des trois batteries de railguns:
Trois batteries comprenant chacune deux canons seront construites dans le Détroit Taïwanais. Chaque canon coûte 225 millions de dollars, incluant l'alimentation électrique et le dispositif de commandement, qui sera placé sous contrôle de la Division des Forces Balistiques de l'Armée Populaire de Libération. Le dispositif, coûteux, devrait permettre d'accroître la puissance de feu chinoise en cas de besoin dans cette zone vitale pour la République Populaire.
RL-1
Type : canon Railgun
Coût : 200-250 millions pièce
Projectile : Obus solide unique ou obus à plusieurs têtes (qui s'ouvre et mitraille une large zone)
Puissance kinétique : 32MJ (tir à Mach 7)
Portée : 270km pour l'obus unique, 120km pour la mitraille
Rapidité de feu : 6 tirs par min, soit un tir toutes les 10 secondes
Energie nécessaire : 30MW par minute
Plateformes développées :
- [TOP SECRET]
- [TOP SECRET]
- Module terrestre et fixe
L'Armée Populaire de Libération se réservera le droit, en cas de détection d'une menace imminente envers la province chinoise du Fujian de la part de l'île taïwanaise ou de son allié américain, de détourner le courant à l'usage civil pour alimenter en urgence les batteries défensives, comme l'autorise un passage en CRS de niveau 4.
Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Affaires étrangères :
Afghanistan :
Les nouvelles du « massacre d’Herat » se sont vite répandues aux Etats Unis où elles soulèvent l’indignation d’une partie de l’opinion. La mort, entre autres, de 12 enfants dans un hôpital a beaucoup choquée tandis qu’une polémique naît autour de ces frappes menées à la fin du mois d’avril. En plus de la bavure commise, il s’avère en effet que c’est une autre puissance qui a frappé la batterie S-400 détenue par les Talibans (dont l’information avait fait grand bruit aux Etats Unis).
Suite à ces évènements, le secrétaire à la Défense Jim Mattis a pris la parole pour clarifier la position américaine.
Tout d’abord, celui ci a confirmé que ces tirs de missiles Tomahawk avait été ordonnée suite aux informations faisant état de la possession par les Talibans dans la région d’Herat d’armement lourd (S-400, BTR). En plus de la destruction des matériels susmentionnés, ces frappes avaient pour but de préparer l’offensive pakistanaise sur la ville et sa région. Le recours aux missiles a été ordonné afin de ne pas risquer la vie de pilotes.
Le chef du Pentagone a ensuite affirmé que très peu de temps avant l’opération américaine, la batterie S400 des Talibans a été détruite par une frappe d’origine inconnue. Quand les Tomahawk ont atteints la cible le système anti aérien avait donc déjà été détruits. Pour le reste la frappe américaine était malgré tout parfaitement ciblée et les autres objectifs ont été atteints, causant la mort de nombreux combattants ennemis et affaiblissant sensiblement le dispositif taliban dans la ville et sa proche périphérie. Jim Mattis rejette donc formellement la responsabilité américaine dans la destruction de l’hôpital (à proximité de la batterie S-400) et les pertes civiles. « Cette bavure résulte de la première frappe d’origine inconnue, les tirs américains étaient parfaitement calibrés et avaient localisé cette cible civile proche, toutes les précautions ont été prises. Une enquête est malgré tout ouverte au sein de mes services. Je compte de plus sur le Pakistan pour tirer au clair cette affaire sitôt la ville reprise par ses forces, avec le soutien des forces américaines ».
Concernant ce mystérieux tirs, le Pentagone indique qu’il s’agit d’une frappe missilière puissante opérée depuis le nord (probablement depuis l’Ouzbékistan). Pour le ministère de la Défense américain seul la Chine et la Russie ont pu mener une telle opération (doublée du tir de deux missiles similaires vers une zone tenue par l’EI). Cette action unilatérale, bien que poursuivant un objectif juste, est dénoncée par les Etats Unis qui accusent l’auteur de la frappe de n’avoir pas informé les nombreuses puissances présentes sur place d’une telle action. A l’heure où le dialogue avec la RPC et la Russie a nettement repris les Etats Unis sont très déçus d’un tel agissement qui a totalement ignoré les canaux habituels de discussion, causant une situation dangereuse (alors même que suite à la rencontre Pompeo-Lavrov des discussions constructives sont en cours à Helsinki). Le Pentagone intime donc à l’auteur de la frappe de se dévoiler et demande un renforcement de la coopération sur place pour qu’une telle situation ne se reproduise pas. La Russie est principalement visée malgré ses dénégations à l’ONU.Le scepticisme de Jim Mattis face aux dénégations russes et aux accusations contre l'armée américaine
Aux Etats Unis nombre de moqueries se répandent sur les réseaux sociaux au sujet des « missiles fantômes » de Mattis considéré par certains comme une mascarade destinée à dédouaner les Etats Unis de la bavure d’Herat.
L’Iran est d’ailleurs accusée nommément d’avoir fourni ces armement sophistiqués aux Talibans tandis que « l’irresponsabilité » russe d’avoir armée un état voyou de cette façon est également dénoncée.
France :
Le président Trump s’est, chose assez rare, plus ou moins ingéré dans la course à la présidentielle française. Dans un tweet celui ci a en effet assuré que « Emmanuel Macron et Marion Maréchal feraient tous deux d’excellents dirigeants pour la France » ajoutant toutefois qu’il trouvait « très pertinente la vision nationale de Mme Maréchal ! ». Steve Bannon a également apporté son soutien à Marion Maréchal.
Japon :
L’Administration américaine ne voit pas d’objection à lancer un processus visant à équiper le Japon d’un navire de classe America (3 milliards de dollars). Cette vente serait doublée de celle de 9 V-22 Osprey ainsi que de 12 UH-1Y Venom. Le Japon pourra toujours compter sur l’assistance américaine pour renforcer son outil de défense en ces temps troublés.
En revanche, c’est de manière tout à fait confidentielle que le Japon et les Etats Unis ont dialogué du sujet d’un éventuel porte avion nucléaire japonais. Le sujet est hautement sensible puisque ce serait la première exportation d’un tel matériel. Sur le papier un tel processus, qui verrait le Japon acquérir un Nimitz d’occasion, est de l’ordre du possible mais Washington met en garde Tokyo sur le coût d’un tel matériel, qui ferait changer la flotte japonaise de dimension et nécessiterait d’importants investissements (aéronaval, entretien, recrutements de marins …). Les réactions régionale, qui seront sans doute importantes rien que pour l’achat d’un navire d’assaut de classe America seront également à prendre en compte (notamment venant de la RPC bien sûr). Washington exprime donc ses réserves pour l’instant sans toutefois ferme la porte totalement, le Pentagone va étudier discrètement la chose.
Jhe- Administrateur
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
République française
● Affaires intérieures ●
● Affaires intérieures ●
................Les deux semaines séparant le premier tour du 23 avril du second tour le 1er mai ont semblé interminables pour les deux camps. D’une part, le président-candidat Emmanuel Macron a traîné comme un boulet l’affaire Alexandre Benalla & consorts, le Rassemblement National n’hésitant pas à quotidiennement revenir dessus, et notamment lors du débat de l’entre-deux tours, avec le soutien indirect du Canard Enchaîné, qui alimenta ce véritable feuilleton tragique de cette milice constituée autour du chef de l’Etat. D’autre part, un véritable tir de barrage médiatique fut effectué à l’encontre de Marion Maréchal Le Pen et de sa famille, au sens stricte comme politique, différentes chaînes de télévision n’hésitant pas à repasser en boucle les documentaires sur la défaite de Marine Le Pen, le best-off de Jean-Marie Le Pen, ou des reportages plus courts sur différents militants plus ou moins médiatiques et plus ou moins polémiques, tout en rappelant les récentes condamnations de nombreux cadres du parti dans l’affaire des assistants parlementaires européens. Les Libération, Marianne et autres journaux traditionnellement classés à gauche, voire l’extrême-gauche, ont eux aussi fait campagne contre l’ancienne benjamine de l’Assemblée nationale, ressortant pour l’occasion leurs unes d’il y a vingt ans, lorsque son grand-père affrontait Jacques Chirac au second tour des présidentielles. Le Système affronta de toutes ses forces la nouvelle Jeanne.
................Le débat de l’entre-deux tours fut particulièrement éprouvant pour les deux candidats au poste suprême de la République, assez riche en injective – et proportionnellement très pauvre en propositions d’avenir pour la Nation. D’un côté, Emmanuel Macron tacla la candidate du Rassemblement national sur les casseroles judiciaires de son parti et de ses soutiens, « représentants des idéaux macabres du siècle passé », ce à quoi l’intéressé rétorqua que « le président de la République n’est point en reste quant à l’inspiration totalitaire dont il m’accuse, reprenant d’une part le slogan nazi Arbeit macht frei lorsqu’il fait du travail le moyen d’émancipation de l’individu, et d’autre part les pratiques vichystes avec sa milice de barbouzes à sa solde. » Après ce nouveau débat raté, rappelant celui de 2017, les français durent choisir entre les deux prétendants, toujours au coude à coude dans les sondages à cause d’une forte hésitation d’une partie de l’électorat dont le choix fut crucial en ce second tour. Au soir du 1er mai, après les traditionnelles manifestations pour célébrer le travail – tiens donc –, à 20h, le visage d’Emmanuel Macron réapparut sur les écrans de millions de français, avec un chiffre : 58,3%. Le loup du CAC 40 était ainsi réélu pour un second quinquennat face à une Marion Maréchal Le Pen qui reconnut immédiatement sa défaite tout en se félicitant de son « score historique pour les défenseurs de la France. »
................La victoire du président réélu était bien moins forte qu’en 2017, et malgré une large avance sur sa rivale, Emmanuel Macron entame inexorablement son crépuscule politique, d’une part parce qu’il ne pourra se représenter dans cinq ans – sauf réforme constitutionnelle – et d’autre part du fait de l’affaire Benalla, qui a totalement ruiné son image d’homme politique exemplaire. A peine reconduit dans ses fonctions pour les cinq prochaines années, le président de la République a annoncé la nomination assez inattendue de François Baroin, ancien sénateur-maire de Troyes et figure de la Chiraquie, à la tête de son nouveau gouvernement de combat, un signal fort à destination à la fois du centre-droit mais également des maires, lui qui avait assez loué la politique de l’exécutif le mandat passé malgré son retrait de la vie politique nationale. Edouard Philippe fut quant à lui remercié en étant nommé à la tête d’Areva. Immédiatement, le nouveau premier-ministre proposa une liste de noms au chef de l’Etat pour former le gouvernement Baroin I, qui exclut globalement les technocrates du précédent exécutif, au profit de la jeune garde macroniste, qui déjà s’apprête à enterrer leur idole pour lui trouver un successeur dans cinq ans, mais également au profit du nouvel allié de poids du mouvement centriste, dont la fidélité est largement récompensée, sans oublier quelques gestes en direction des « frondeurs » de LREM.
- Gouvernement Baroin I:
- Premier-ministre : François Baroin (MCR)
Porte-parole du gouvernement : Bruno Roger Petit (SE)
Ministre de l’Intérieur : Fabien Matras (LREM)
Garde des sceaux, ministre de la Justice : Yaël Braun-Pivet (LREM)
Ministre de l’Europe et des Affaires Etrangères : Sonia Krimi (LREM)
Ministre des Armées : Jean-Michel Jacques (LREM)
Ministre de la Transition écologique et solidaire : Barbara Pompili (LREM)
Ministre de la Cohésion des territoires : Julien Denormandie (LREM)
Ministre des Solidarités et de la Santé : Agnès Buzyn (SE)
Ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Travail : Henri de La Croix de Castries (SE)
Ministre des Comptes, des Finances et de la Fonction publics : Stanislas Guerini (LREM)
Ministre de la Culture et de la communication : Marlène Schiappa (LREM)
Ministre de l’Education nationale : Jean-Michel Blanquer (MCR)
Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation : Yves Jégo (MCR)
Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation : Cédric Villani (LREM)
Ministre des Outre-mer : Hugues Renson (LREM)
Ministre des Sports : Zinedine Zidane (SE)
Ministre chargé des affaires européennes : Jean-Christophe Lagarde (MCR)
Ministre auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères : Delphine O (LREM)
Ministre auprès du ministre de la Cohésion des territoires : Franck Riester (MCR)
Secrétaire d’Etat aux affaires spatiales : Thomas Pesquet (SE)
Secrétaire d’Etat rattaché au Premier-ministre chargé des Relations avec le Parlement : Pierre Person (LREM)
Secrétaire d’Etat à l’égalité hommes-femmes : Aurore Bergé (LREM)
Sirda- Modérateur
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
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République Islamique du Pakistan
Coup d’éclat politique au Pakistan
Chose dite, le 23 Mai, une motion de censure fut déposée après l’affirmation du 1er ministre de ne pas vouloir se retirer d’Afghanistan, et le vote ne fut sans surprise, le PML-N vota contre, ainsi qu’une partie des indépendants rester fidèles à la coalition, soit 134 députés, contre le reste du parlement, soit 210 pour la motion de censure. En fessant cela, le Pakistan devient ingouvernable pendant plusieurs mois, tandis que le président Mamnoon Hussain est enfin utile après presque 10 ans au pouvoir. Celui-ci dirige l’armée et peut décider de dissoudre le parlement, mais les élections qui viendraient serait très au désavantage de son parti le PML-N. Il a beaucoup rencontré Shehbaz Sharif dans le mois, pour décider ce que l’exécutif pourrait faire pour passer cette crise majeur. Shehbaz Sharif a proposé un candidat visant à le remplacer au pouvoir et pouvant plaire aux militaires, puisqu’étant militaire lui-même, il s’agit de Raheel Sharif. Ancien chef de l’Etat-major il soutenait le gouvernement élu par le peuple durant son service, de même qu’il est le plus populaire des militaire parmi les citoyens ainsi qu’un incorruptible et se dit prêt à servir le Pakistan après sa retraite, il fut d’ailleurs à cet égard le premier général pakistanais à quitter dans les temps sa fonction de chef d’état-major, et ceci semble étonnant mais c’est une première au Pakistan en 30 ans.
Il n’a pas fallu longtemps pour décider que ce sera lui le premier ministre temporaire pour au moins un an, jusqu’aux prochaines élections. Il est indépendant et plaira à tous. Il sera chargé de faire un ménage en Afghanistan avec sa longue expérience militaire. Questionnée par l’ancien premier ministre et surtout le président, il doutait notamment sur les questions politiques auquel il n’était pas un expert. Le président lui affirma qu’il aurait son aide ainsi que celui d’un gouvernement de coalition, et que ses problématiques étaient plutôt militaires, l’Afghanistan et le nord-ouest du Pakistan, encore, serait ses principales problématiques. Le problème justement de ces deux théâtres étant qu’il a un temps limite, un an, pour réduire au mieux la menace terroriste. Mais durant son mandat, cette menace a diminué jusqu’à atteindre les taux les plus bas. Suite à cette discussion, il annonça sa candidature et proposa son gouvernement, indépendants et quelques cadres des partis politiques rapidement, en tant que gouvernement de transition. Populaire envers le peuple, mais également les politiques et les militaire, il a fait l’unanimité et son gouvernement jugé crédible pour répondre aux problématiques Pakistanaises et non clivé politiquement a été voté majoritairement pour par le parlement. C’est donc, à nouveau, un militaire qui a pris le pouvoir au Pakistan mais pas un militaire comme les autres.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Affaires intérieures :
Au pays, les coupes budgétaires décidées dans les programmes sociaux risquent de coûter à l’Administration Trump. Celle ci touchent en effet en partie l’électorat blanc modeste du président américain, et par extension du parti républicain puisque les vues trumpistes ont véritablement phagocytées le Great Old Party.
En 2022 le programme Medicaid perd ainsi 75 milliards de dollars et l’objectif de l’Administration est de pérenniser ces coupes (qui, sur dix ans, représenteraient la somme énorme de 750 milliards de dollars). La baisse des dotations de ce programme (qui a pour but de fournir une assurance maladie aux personnes et aux familles à faibles revenus/ressources) frappe de plein fouet les Américains modestes.
Un certain cynisme électoral guide toutefois les décisions de l’Administration Trump : aucune coupe n’est ainsi faite dans le programme Medicare assistant les personnes âgées (surtout en terme de couverture maladie) de plus de 65 ans ayant suffisamment cotisées. Les personnes âgées constituant une base de l’électorat républicain celles ci ne sont donc pas impactées par les coupes budgétaires dans le domaine social (tandis que les minorités bénéficient beaucoup du programme Medicaid).
Dans les faits, cette coupe budgétaire de 75 milliards de dollars en 2022 (qui sera sans doute prolongée en 2023) va surtout prendre la forme d’une baisse du nombre de personnes aidées. Le programme Medicaid est largement géré par les Etats (qui le cofinance) pour ses modalités concrètes (critères d’admissibilité pour toucher les aides etc). Ces derniers vont recevoir plus de flexibilité afin de cibler les aides sur les personnes en ayant le plus besoin (le principe d’un filet de sécurité minimal n’est pas remis en cause). Les personnes touchant ces aides mais pouvant être remise dans le chemin du travail sont particulièrement ciblées par ces coupes tandis que d’un autre côté les Etats pourront également davantage conditionner les aides au fait de travailler (afin de rendre cela incitatif). C’est donc en jouant sur les critères d’accès et les modalités concrètes revues à la baisse que les économies prendront forme (les Etats devront bien s’y résoudre puisque la dotation fédérale baissera).
L’objectif de l’Administration est clairement de faire baisser de plus de 5 millions au moins le nombre de bénéficiaires des aides du Medicaid d’ici la fin de l’année fiscale 2023.
Une coupe de 15 milliards est également effectuée en 2022 dans le programme Food Stamps (géré par le département de l’Agriculture qui fournit des bons alimentaires aux familles les plus modestes pour les aider à payer leurs dépenses alimentaires). La coupe est ici purement comptable et prendra la forme d’une baisse des sommes allouées au financement du programme (qui aidera donc un peu moins les familles).
Le président Trump met en avant que ces coupes sociales sont parfaitement justifiées d’une part par la bonne santé économique du pays (2,6 % de croissance en 2021, à peine 4 % de chômage). Le travail étant abondant il est normal de couper dans les budgets sociaux puisqu’il est plus facile à un grand nombre d’Américains de subvenir sans aide à leurs besoins. Ces mesures permettent de plus une économie substantielle dans le budget américain largement déficitaire (et c’est là la principale motivation).
L’Administration Trump met de plus en avant à nouveau toutes ses mesures de dérégulation qui ont permis de créer de nombreux secteurs industriels et d’en sauver de nombreux autres menacés (soutien massif au secteur charbonnier par la suppression des normes antipollution d’Obama, soutien massif au développement du secteur pétrolier américain rencontrant beaucoup moins d’entraves etc). Le plan d’investissement dans les infrastructures qui permet la création d’emplois est également mis en avant.
L’opposition démocrate n’en dénonce pas moins une politique folle, destructrice pour l’environnement et prenant maintenant la forme d’une chasse aux pauvres (visant à nouveau principalement des minorités dont les membres sont souvent plus modestes) tandis qu’à côté des projets fous sont financés massivement (Mur frontalier) et que la Défense se gave littéralement. Malgré une base électorale qui reste solide, la popularité de l’Administration en prend toutefois un coup et descend dans certains sondages sous les 40 % d’approbation (même si la politique économique reste plébiscitée ainsi que le renforcement des forces armées). L’opposition démocrate reprend ainsi quelques couleurs, en se positionnant nettement sur ces enjeux sociaux, en vue des élections de mi mandat qui se dérouleront à la fin de l’année. Cette baisse de popularité est également alimentée par certains éléments comme l’interventionnisme de plus en plus marqué du gouvernement dans le monde suite à la crise iranienne et à certains imbroglio comme les « avions fantômes » de Mattis largement moqués ou encore certaines failles mises en avant par la commission d’enquête du Congrès sur la crise du Golfe (qui a vu la mort de 280 marins américains).
De son côté le président Trump et son secrétaire à la Défense mettent davantage en avant l’investissement record dans les forces armées (812 milliards de dollars en tout, comprenant les anciens combattants). Cet investissement fera des forces armées américaines « le plus puissant outil militaire de l’histoire de l’humanité » a promis le chef de l’État dans un grand discours aux troupes.
Ce budget comprend l’achat des nouveaux matériels (terrestres, aériens, notamment avec la poursuite de l’entrée en service du F35, maritimes avec la construction des nouveaux navires de guerre prévus auxquels s’ajoutent un nouveau destroyer Ticonderoga pour environ un milliard de dollars). Les financement permettent de plus le financement de la mise en place de la Space Force (environ 10 milliards de dollars sur 5 ans d’investissement supplémentaire dans le spatial qui reçoit déjà environ 20 milliards par an), le recrutement de 16,000 soldats supplémentaires en service actif ainsi qu’une augmentation de toutes les soldes de 2,5 %.
Affaires extérieures :
France :
Le président Trump a félicité la réélection d’Emmanuel Macron « ha^te de reprendre le travail avec vous Mr Macron et bonne chance pour ces cinq prochaines années ! » a t il tweeté.
Pakistan :
Le président Trump a également félicité le nouveau Premier ministre pakistanais Raheel Sharif « un grand militaire, le Pakistan peut être fier de l’avoir comme Premier Ministre ! ». Ce retour d’un militaire au pouvoir ne rencontre aucune opposition à Washington, celui ci prend en effet le pouvoir dans le respect de la démocratie. Sous son autorité le gouvernement pakistanais pourra toujours compter sur l’aide américaine financière et militaire dans son action en Afghanistan.
Jhe- Administrateur
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
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République Islamique du Pakistan
Première action du nouveau premier ministre
Concernant l’Afghanistan, Raheel va changer radicalement de stratégie, mettre en place un Etat-major compétant, composé de vétéran de la Guerre du nord-ouest Pakistan. Le général Javed Iqbal Ramday commandant le XXXIème Corps et vétéran des batailles de Swat prendra le commandement de l’armée de terre. Il aura plusieurs missions à court et long terme. A court terme, il essaiera de reprendre le territoire pakistanais capturé par les groupes terroristes depuis le début de la guerre en Afghanistan. Par court terme, le premier ministre parle bien d’arriver à repousser les ennemis d’ici les prochaines élections. De même, la situation à Hérat inquiète particulièrement Raheel Sharif, et le général Ramday devra impérativement stabiliser ce front en évitant l’encerclement. A plus long terme, les objectifs n’ont pas changés, et visent l’instauration d’une zone d’intervention pakistanaise afin de calmer les tensions dans le sud du pays.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
République française
● Affaires intérieures ●
● Affaires intérieures ●
................Les français, à peine remis des désastreuses élections présidentielles de mai qui virent Emmanuel Macron l’emporter face à Marion Maréchal Le Pen, furent à nouveau appelés aux urnes dans le cadre des élections législatives subséquentes, Vème République oblige, aux premières, cette fois pour élire leurs représentants nationaux – généralement une simple formalité puisque le Parlement suit le Président. Ainsi, prolongeant le déplaisir politique pendant un mois et demi encore, ils durent plus ou moins s’intéresser aux différents programmes présentés par les partis qui, comme en 2017, rêvent d’imposer au chef de l’Etat une cohabitation, sans trop y croire vraiment vu la torpeur générale des formations politiques depuis cinq ans, et le certain dégoût de la plèbe pour la chose publique. Le seul intérêt pour ces élections parlementaires fut le scrutin mixte adopté en septembre 2018 par référendum, mêlant désormais scrutin uninominal majoritaire à deux tours et scrutin proportionnel de liste, promettant ainsi aux partis traditionnellement mal représentés au Palais Bourbon d’acquérir davantage d’élus, au détriment cette fois du Parti Socialiste et des Républicains qui, en dépit de scores médiocres, parvenaient quand même à faire élire nombre de députés, comme ce fut notamment le cas en 2017 avec un groupe socialiste plus important que celui du Front National ou de la France Insoumise, qui avaient pourtant reçu davantage de votes.
................Sans surprise, le parti présidentiel LREM fut largement en tête au premier tour, récoltant près de 30% des suffrages aux deux scrutins, suivis de très près par un Rassemblement National décidemment en forme qui parvint à maintenir la mobilisation de son électorat, et progressa même en rognant sur celui de Debout la France, avec 26% des voix. S’ensuit, plus morne, la France Insoumise, qui échoua à conserver l’enthousiasme de ses bobos-gauchistes éthérés mangeurs de quinoa et non-binaires, avec 13% des suffrages, score identique à celui du Parti Socialiste. Les Républicains, péniblement conduits par Pierre-Henri Dumont, par ailleurs réélu, arrachent un maigre 10% des voix. Le Mouvement centriste pour la République se contente pour sa part d’un pauvre 5% des voix – à créditer en faveur de LREM, alliance oblige –, tandis que Debout la France peine à dépasser les 2% - un naufrage de plus pour un Nicolas Dupont-Aignan habitué aux défaites électorales. Après un second tour largement favorable à Macron, son parti obtient 209 sièges – sont 16 à la proportionnelle –, soutenu par les 26 élus centristes. Le RN perce pour sa part avec près de 51 élus envoyés à l’Assemblée, tandis que FI peine à y dépêcher 40 élus, le Parti Socialiste et les écologistes maintiennent 30 parlementaires – un nombre similaire à 2017 –, les Républicains ne conservant que 43 députés, et Debout La France y envoyant 2 représentants.
................Bien que victorieuse, La République En Marche, dans sa globalité politique, est touchée par l’affaire Benalla, comme en attestent ces résultats largement en-deçà de ceux de 2017, où le parti avait obtenu une très franche majorité au sein du Palais Bourbon. En face, elle trouvera désormais le Rassemblement national, premier parti d’opposition au pouvoir macronien, avec notamment sa malheureuse candidate qui a retrouvé les bancs de l’Assemblée pour y pourfendre la politique du gouvernement, certainement soutenue en cela par d’une part Debout la France, malgré un poids politique plus que minable, et d’autre part les lambeaux des Républicains, désormais dirigés au Palais Bourbon par le jeune et dynamique Charles-Alexandre du Plessis-Montmorency, fraîchement élu député à la proportionnelle, et militant pour l’union des droites. La gauche n’est évidemment pas en reste, même s’il est fort peu probable que la France Insoumise désormais officiellement conduite par Eric Coquerel ne s’allie à terme avec les socialistes d’Olivier Faure, reconduit dans ses fonctions de premier secrétaire de ce parti désormais exclusivement dirigé par des proches de Martine Aubry et dont l’un des lieutenants, Jean-Marc Germain, préside le groupe à l’Assemblée. Quelques coups d’éclats sont également attendus de Jean Lassalle, réélu, ainsi que de deux députés corses indépendants, qui ne représentent qu’eux-mêmes au Palais Bourbon.
Sirda- Modérateur
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
République algérienne démocratique et populaire
Brève
EvénementLa situation générale de l’Algérie s’est nettement dégradée en l’espace d’un an et demi. La mort d’Abdelaziz Bouteflika, suivie par l’élection de son frère Saïd à la présidence de la République, puis aux tensions politiques entre le nouveau chef d’Etat et ses rivaux politiques Ahmed Ouyahia et Abderrazak Makri, le tout ajouté à des manifestations conséquentes dans les principales villes du pays depuis plusieurs mois, ainsi qu’à plusieurs vagues d’attentats au départ localisées dans le sud du pays avant de progressivement remonter pour toucher les villes côtières, ont plongé le pays dans un climat qui n’est point sans rappeler celui de guerre civile des années 1990.
Pendant l’été 2021, les actions d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique se sont intensifiées, au point de devenir quasiment quotidiennes, dans les principales villes du sud du pays. En provenance des Adrar des Ifoghas maliens, où ils sont toujours traqués par une coalition internationale, mais aussi désormais établis dans les monts Hoggar, les combattants islamiques ont conduit près de 300 attaques en un an et demi dans différentes villes, notamment à Bordj Mokhtar, In Guezzam, Tamanrasset, ou encore Timeiaouine, faisant plusieurs centaines de morts et autant de blessés, et plongeant le sud dans un certain chaos que l’armée, malgré sa toute-puissance, ne parvient pas à endiguer.
Vers l’autonome 2021, c’est au sud-est que la situation commença à évoluer. Profitant des attentats réguliers menés par Al-Qaïda et depuis peu l’Etat Islamique au Maghreb, les Touaregs, très présents dans la région, ont commencé à se rebeller contre l’autorité d’Alger, comme ils l’avaient fait contre Bamako au Mali, rapidement soutenus par leurs frères libyens qui contrôlent un vaste territoire et ont acquis une certaine expérience militaire. Des affrontements assez violents ont rapidement eu lieu avec l’armée algérienne tentant de conserver son intégrité territoriale, aisément remportés par cette dernière, mais qui dût néanmoins rapidement reculer face à quelques échecs militaires dans les Hoggar ainsi qu’avec l’évolution de la situation dans le nord du pays.
Au début 2022, une nouvelle manifestation conduite par Abderrazak Makri, secrétaire général du Mouvement de la société pour la paix et proche des Frères musulmans, a tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre républicaine, causant 34 morts et 67 blessés. Le président Saïd Bouteflika dénonça immédiatement ces « troubles fomentés par M. Makri, faisant là acte de sédition à l’encontre de l’autorité de l’Etat », et lança une première vague d’arrestations, à commencer par l’intéressé, proclamant par ailleurs l’état d’urgence et la loi martiale sur l’intégralité lui territoire, lui permettant de s’arroger tous les pouvoirs de l’Etat, ce qui lui faisait jusqu’alors défaut, faute de majorité parlementaire depuis son élection en début 2021.
Toutefois, en dépit de ces pleins pouvoirs, le président et l’armée furent incapables d’endiguer la progression de la violence en Algérie. Des manifestations plus pacifiques, menées par Ahmed Ouyahia, furent ciblées par des attaques islamistes, causant à chaque fois de très nombreuses victimes, et entraînant une restriction des libertés publiques au nom de la sûreté de l’Etat. A Alger, Constantine ou encore Oran, les attentats revendiqués tour à tour par Al-Qaïda et par Daesh se multiplient dans le nord, tandis que dans le sud du pays, les deux organisations se sont emparées de quelques territoires, ajoutant ainsi un élément supplémentaire au chaos qui règne dans la partie la plus méridionale de l’Algérie, et qui tend de plus en plus à échapper au contrôle d’Alger.
En juin 2022, un évènement dramatique s’est produit dans la Raffinerie d'Adrar, détenue conjointement par la China National Petroleum Corporation et par la Sonatrach. En effet, un commando dirigé par Daesh s’est emparé du complexe pétro-gazier situé dans le champ d’Ahnet, au sud du pays, et a pris en otage le millier d’employés s’y trouvant. Après plusieurs jours de séquestration et de face à face avec l’armée algérienne, de violents affrontements eurent lieu, et malgré la victoire algérienne, l’installation a gravement été endommagée et près de 100 victimes sont à dénombrer, parmi lesquelles notamment 4 américains, 12 chinois, 1 français, 1 japonais, et 5 russes. 42 islamistes ont été tués lors de l’affrontement, contre 8 soldats des forces spéciales algériennes, qui, comme en 2013 à In Amenas, ne firent guère dans la dentelle pour récupérer le site.
Les temps à venir s’annoncent donc assez sombres pour la République algérienne, qui s’enfonce inexorablement dans une dictature de plus en plus répressive, principalement soutenue par l’armée, alors que la population, elle, subit une grave crise économique depuis plusieurs années désormais, et semble de moins en moins favorable à l’exécutif, aspirant uniquement à davantage de paix et de prospérité. En attendant que ce vœu pieu soit atteint, Bouteflika consolide tant bien que mal le pouvoir de l’Etat sur la partie nord de la région, mais assure également la protection des principaux sites pétro-gaziers du pays, principale source de revenus de l’Algérie ; au détriment, parfois, de la sécurité dans le nord, mais surtout de la reprise du territoire au sud du pays.
Asie & Pacifique
Brève
EvénementLa saison des typhons a repris avec une violence particulière cette année. En effet, fin juin, l’archipel d’Hawaï a été frappé par un typhon de catégorie 4 nommé Lane, avec des vents à plus de 250 km/h, près de 50 centimètres de pluie tombés en quelques instants, et surtout une montée des eaux temporaires de près de deux mètres. Si les autorités locales ont fait évacuer une très grande partie de la population, quelques téméraires ont été emportés par les eaux, tandis que sur près de 400 mètres vers les terres, les habitations et autres installations ont été au mieux inondées au pire détruites par l’ouragan, qui aura fait au total 8 morts, 29 blessés, et provoqua des dégâts matériels assez conséquents, à commencer par des coupures d’électricité. La flotte américaine de Pearl Harbor n’a pas été endommagée, l’US Navy l’ayant faite déplacer à temps.
L’Asie du sud-est fut également violemment touchée par des typhons. Ainsi, le sud des Philippines a été frappé par un typhon de catégorie 5, qui a dévasté une partie des îles les plus méridionales de l’archipel, faisant près de 130 victimes et 300 blessés, notamment dans la région de Mindanao, en proie à une guerre civile depuis plusieurs décennies. L’ouragan, bien qu’ayant perdu en intensité au point d’être rétrogradé au niveau 4, s’est ensuite dirigé par l’île de Bornéo, qu’il frappa assez durement tout de même, causant là aussi plusieurs dizaines de morts et centaines de victimes, ainsi que plusieurs dizaines de millions de dollars de dégâts matériels, et ralentissant considérablement l’activité économique sur une partie de l’île, réputée pour être le lieu de production de l’huile de palme par la Malaisie et l’Indonésie, toutes deux touchées par l’ouragan.
En Inde et en Asie du sud-est, c’est la mousson qui cause cette fois des dégâts aux grandes agglomérations ainsi que dans les campagnes. Ce phénomène naturel, très utile pour l’agriculture, a en effet tendance à de plus en plus s’aggraver et à devenir de plus en plus violent, inondant parfois pendant plusieurs semaines des territoires entiers et causant des dégâts lourds. Ce fut notamment le cas en Inde, dans l’Etat du Kerala, littéralement noyé, mais aussi en Birmanie, en Thaïlande et au Viet Nam. Le sud de la Chine, notamment l’île de Hainan, est également touché par ce phénomène dont les dégâts sont estimés à plusieurs dizaines de millions de dollars concernant ce dernier pays, et à plusieurs centaines de millions dans les autres Etats susmentionnés. Des experts du monde entier affirment que l’intensification ces typhons et de la mousson est directement liée au réchauffement climatique, et que sans intervention mondiale, cela risque de s’empirer d’année en année.
Sous-continent indien
Brève
EvénementA New Delhi, le « coup d’éclat politique » qui s’est déroulé à Islamabad ne passe pas du tout auprès du gouvernement nationaliste de Narendra Modi, lequel dénonce « l’attitude irresponsable des politiques pakistanais alors que leur pays est engagé dans un conflit direct avec les organisations terroristes afghanes. » L’Inde n’a clairement aucune confiance en ce militaire qui vient de prendre le pouvoir à la suite d’un imbroglio politique et craint l’apparition d’un régime militaire au Pakistan, crainte notamment due à l’excessif interventionnisme militaire pakistanais dans les affaires afghanes, en dépit des nombreux revers essuyés par les armées du voisin. Par prudence, l’Inde a secrètement augmenté le niveau d’alerte de ses bases dans les Etats frontaliers au Pakistan, tandis que plusieurs exercices aéronavals sont organisés dans l’océan Indien, manière aussi de démontrer la puissance indienne face à une Chine de plus en plus présente dans la région.
Au Pakistan cette fois, la prise de pouvoir par le désormais premier-ministre Raheel Sharif ne semble pas avoir ému plus que cela la population. Celle-ci semble davantage s’intéresser à sa condition économique et à sa sécurité plutôt que de savoir qui va le lui offrir. En effet, l’intervention en Afghanistan, outre être très coûteuse en vies humaines et dangereuse en ce que le nombre d’attentats perpétrés sur le sol pakistanais n’a jamais été aussi élevé que depuis le début des opérations militaires – près d’un millier de morts au total en quelques années –, a aussi un coût financier très élevé. Ces dépenses militaires ont nécessairement un impact sur les autres dépenses de l’Etat, et la population réclame, dans des manifestations, la fin de l’intervention au profit de réinvestissements dans l’économie et dans l’amélioration de la condition de vie dans le pays, certains partis de gauche se faisant porte-voix de ce mécontentement populaire grandissant.
Bureau- Vox Bureauli
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
République française
● Affaires militaires ●
● Affaires militaires ●
................Le manque cruel de popularité du président de la République auprès des forces armées, qui gardent en mémoire l’éviction du général Pierre de Villiers dès juillet 2017 ainsi que du sermon prononcé par le chef de l’Etat devant les corps le 13 juillet de la même année, à l’Hôtel de Brienne, est un fait avéré. Ainsi, selon l’institut de sondage Ifop – dans lequel travaille un certain Damien Philippot, frère du fraîchement élu député Patriotes – RN Florian Philippot –, près de 80% des militaires ont soit voté Laurent Wauquiez, soit Nicolas Dupont-Aignan, soit – et ce pour la majorité d’entre eux – Marion Maréchal Le Pen lors des dernières élections présidentielles, un déficit de popularité pour le président qui bénéficie directement à sa principale opposante dont il espère bien briser un à un tous les bastions électoraux, à commencer donc par l’armée, vers laquelle il a pourtant déjà fait plusieurs gestes conséquents, notamment une hausse spectaculaire de son budget, passé de 34,2 à 41 milliards d’euros – 46,5 milliards en incluant les pensions –, et devrait continuer d’augmenter pour atteindre 44 milliards d’euros en 2023 puis 48,5 milliards d’euros en 2024 et 2025 – toujours hors pensions. Cela n’a vraisemblablement pas suffit à séduire l’institution militaire, et le président de la République a, lors des arbitrages budgétaires de l’été, décidé d’accélérer le pas concernant la réforme des différentes branches militaires françaises.
................Dans ses habituels discours fleuves, le chef de l’Etat a, le 13 juillet 2022, déclaré devant les principaux représentants des différents corps des Forces Armées françaises que « L’Etat doit donner à ceux qui risquent leur vie pour défendre celle de leurs compatriotes tous les moyens financiers, humains et matériels, pour mener à bien leur mission. La loi de programmation militaire 2019 – 2025 allait déjà dans ce sens, mais, hélas, pas suffisamment. Les récents évènements mondiaux, fussent-ils au Maghreb, au Moyen-Orient ou en Europe orientale, ont montré la multiplicité des menaces auxquelles est confronté notre pays : guerre asymétrique, retour des Etats-puissances, etc. Nous devons les prendre une par une pour pouvoir faire face à chacune d’entre elles. » Et le président de la République de poursuivre, devant l’Hôtel de Brienne « Depuis deux décennies, les gouvernements de droite et de gauche se sont efforcés de diminuer l’appareil militaire français, au motif que notre monde était sain, et parce que vous apparaissiez comme une source docile d’économies. Outre le mépris dont vous ont fait part ces gouvernants, ils ont grandement affaibli la France. C’est intolérable. » Pendant plus d’une heure, Emmanuel Macron multiplia les déclarations démagogues de ce genre, provoquant plusieurs vagues d’applaudissements de l’auditoire, qui, reste néanmoins dubitatif malgré tout ce qui a déjà été fait par l’exécutif depuis cinq ans.
................A peine le discours eût-il été achevé que déjà le gouvernement déposa un projet de loi devant l’Assemblée nationale fraîchement renouvelée portant abrogation de la loi de programmation militaire 2019-2025 du 14 juillet 2018 et portant adoption d’une nouvelle programmation allant de 2022 à 2027. Le premier chapitre de cette nouvelle loi traite exclusivement de la question budgétaire en prévoyant une hausse du budget militaire en 2023 de 4 milliards d’euros, pour atteindre 45 milliards hors pensions, puis en 2024 de 5 milliards d’euros pour atteindre 50 milliards d’euros, en 2025 de 2 milliards d’euros ainsi qu’en 2026, puis d’un milliard d’euros en 2027, pour atteindre un total de 55 milliards d’euros – soit près de vingt milliards d’augmentation en l’espace de dix ans. Cette hausse, le nouveau ministre des Armées la défend en affirmant que « Le remplacement de l’équipement vieillissant de notre armée de terre ainsi que le développement et l’acquisition de nouvelles armes doivent être accélérés, et nos effectifs matériels être accrus par rapport à ce qui a été originellement prévu, pour faire face aux différentes menaces. » Face aux plus libéraux qui craignent un dérapage budgétaire, alors que la France tend à parvenir à l’équilibre budgétaire, Jean-Michel Jacques assure que chaque euro investit en plus dans l’armée aura été pris dans un autre poste de dépense pour ne pas creuser le déficit budgétaire encore assez haut.
................Cette hausse assez conséquente du budget militaire va avoir plusieurs effets. D’abord, les effectifs militaires vont eux aussi être augmentés. Si la loi de programmation 2019-2025 prévoyait une hausse de 6'000 soldats, la nouvelle prévoit désormais d’atteindre d’ici 2027 le nombre de 240'000 militaires actifs et 60'000 civils travaillant pour le ministère des Armées, soit au total 300'000 fonctionnaires. Cette hausse de militaires bénéficiera majoritairement à l’armée de Terre, dont les effectifs vont passer de 112'000 à 135'000, mais aussi à la Marine nationale, qui passera ainsi de 36'500 marins à 44'000, à l’Armée de l’Air qui gagnera 5'000 soldats, et enfin à la nouvelle branche de cyberdéfense. Un tel nombre de nouveaux arrivants nécessite évidemment de la place, et le ministère des Armées va ainsi pouvoir poursuivre son œuvre de rachat de certaines des casernes laissées à l’abandon avec la fin du service militaire et la baisse des effectifs des armées, déjà relancée avec le rétablissement dudit service qui devrait d’ailleurs reprendre à partir du 1er janvier 2023. Politique de développement local oblige, ce sont des endroits défavorisés qui seront choisis pour le rachat des casernes, icelles apportant souvent un souffle de vie avec l’installation des familles. Pareillement, plusieurs bases aériennes récemment fermées vont être réouvertes par le Ministère, et, comme les casernes, vont être rénovées et modernisées.
................Ensuite, le remplacement et l’acquisition de nouveaux équipements pour les différentes branches. En effet, l’armée de l’air devrait être dotée de davantage d’avions de combat que prévu. Au total, elle devra aligner d’ici 2030 près de 280 avions de combats Rafales F4 B ou C, sans compter les M, comptabilisés dans les effectifs navals. Le nombre d’avions de transport militaires va quant à lui passer aux alentours de 60 avions, dont 30 A400M. Quant au parc d’hélicoptères, il doit passer à 100 Tigre, 100 hélicoptère interarmées léger, 80 NH90, 20 Airbus Helicopters H225M Caracal et 100 Aérospatiale AS532 Cougar, les autres hélicoptères de transport ou de combat étant progressivement remplacés jusqu’en 2027. L’armée de terre voit la baisse du nombre de Leclerc être stoppée à 250 chars, rénovés et modernisés en Leclerc XLR, tandis que 400 EBRC Jaguar remplaceront les AMX-10RC et les ERC-90 Sagaie, et que 2’000 VBMR Griffon lourds et 1'000 VBMR légers prendront la place des VAB. Le nombre de camions, de pièces d’artillerie & co sera également revu à la hausse. La Marine n’est pas en reste : le nombre de frégates Horizon va finalement passer à 4, tout comme celui de BPC, et celui de FREMM à 17 – comme initialement prévu –, avec 6 FREMM DA et 11 FREMM ASM. Le nombre de FTI va être quant à lui porté à 7, soit 28 frégates en tout. Deux porte-avions obligent, la marine possédera 120 Rafales M au total.
................Enfin, cette hausse du budget va permettre de financer de nouveaux programmes et projets militaires. Ainsi, le remplaçant du Leclerc doit désormais être pensé et conçu, et devrait pouvoir être mis en production à partir de 2030 pour commencer le remplacement de ce char qui, malgré une amélioration lui permettant de rester performant jusqu’en 2040 face aux autres blindés, perd inexorablement de sa superbe de jour en jour face aux nouveaux engins rivaux. De même, le projet de missile de croisière CVS401 Perseus, que la France développe désormais seule dans son coin en abandonnant la perfide Albion, va être accéléré pour une éventuelle mise en service à l’horizon 2024. D’autres projets, comme l’Aster 45, vont également pouvoir être financés. Le spatial n’est pas oublié. En effet, d’ici 2023, ce sont 2 autres satellites CERES et 7 autres satellites Composante spatiale optique, inclus dans le programme MUSIS, qui vont être mis en orbite, pour accroître les capacités de surveillance, d’écoute, d’observation et de renseignement militaire français. Quant aux télécommunications militaires, elles seront assurées par 5 satellites Syracuse 4. Une ambitieuse loi de programmation militaire, donc, qui reprend pour l’essentiel les chiffres initiaux de certains projets – notamment dans le domaine naval –, et qui devrait permettre de restaurer en grande partie la capacité d’intervention militaire française à travers le monde.
Sirda- Modérateur
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Etat du Japon - Nippon-Koku
Affaires intérieures
Affaires intérieures
L’armée japonaise poursuit sa transformation et sa montée en puissance, en particulier depuis la réforme constitutionnelle de 2020. Le ministère de la défense a présenté un ambitieux livre blanc dévoilant les évolutions souhaitées par le ministère durant les cinq prochaines années pour l’armée japonaise. Outre l’entrée en service de nombreux équipements depuis 2018 avec, par exemple et pour ne citer qu’eux, la fin de la production du Type 16, la poursuite de la production du Type 10, 210 d’entre eux étant désormais en service au sein de la force terrestre d’auto-défense, ou encore l’entrée en service de l’ensemble des 42 F-35A japonais, 38 d’entre eux ayant été produits au Japon par Mitsubishi, l’armée japonaise continue de préparer une avenir incertain marqué par la montée périodique des tensions dans la zone Asie-Pacifique sur fond de tensions historique et de conflit énergétique. Ainsi le livre blanc prévoit une augmentation importante du tonnage de la marine japonaise dans les prochaines années, un travail déjà commencé avec l’acquisition d’un navire de classe America commandé aux États-Unis. La flotte de destroyers, épine dorsale de la marine japonaise sera augmentée de 40 bâtiments à 50 d’ici la fin de la décennie avec la commande de deux nouveaux navires équipés du système Aegis de classe Maya pour des entrées en service prévues en 2024 et 2025. Le projet Destroyer Revolution ( DDR ) en cours depuis un douzaine d’année va être accéléré afin d’aboutir à l’entrée en service de 5 destroyers légers de 5200 tonnes de déplacement entre 2025 et 2030 au rythme d’un par an, ceux-ci tiendront principalement un rôle d’escorte mais aussi de surveillance des frontières maritimes du Japon. Deux navires de classe Asahi, des navires d’avantage polyvalents et axés autour du combat en mer seront aussi commandés en plus des deux déjà en service au sein de la marine japonaise. Le remplacement de la classe Abukuma de 2500 tonnes par des frégates de 3900 tonnes développées dans le cadre du projet 30 DX par MHI et Mitsui va débuter dès cette année avec l’entrée en service de la première paire de ces navires de classe Senkaku, cette entrée en service par paire devrait se poursuivre jusqu’en 2026 et la fin de la construction des 8 navires commandés. Le livre blanc prévoit par ailleurs des augmentations d’effectifs humains ainsi que la commande de plusieurs batiments au rôle logistique, LCU et pétroliers en particulier. En insistant sur la place stratégique des communications maritimes et en particulier d’hydrocarbures desquels le Japon est dépendant et en prenant pour exemple le blocus d’Ormuz qui mit l’ensemble de l’économie mondiale à risque au bon vouloir du régime voyou iranien, le ministère insiste fortement sur la volonté du Japon de négocier avec ses partenaires présents dans certaines zones considérés comme stratégiques l’installation de bases pour la marine japonaise afin d’assurer la protection des communications maritimes.
L’aviation n’est pas en reste, le renouvellement de celle-ci durant la prochaine décennie étant là encore un enjeu de taille. Afin de répondre au projet de remplacement des F-4 encore en service dans l’aviation japonaise mais aussi des F-2 par un avion de 5ème génération. Fort de l’expérience acquise lors du développement du démonstrateur technologique X-2, Mitsubishi a proposé à Lockeed Martin et aux Etats-Unis de s’associer dans le cadre de la modernisation du F-22. Si cela était accepté, le Japon pourrait commander une centaine de ces avions. Boeing est par ailleurs sollicité afin de procéder à la modernisation de la flotte de F-15J japonais vers le standard Silent Eagle, en faisant ainsi des F-15SEJ. Un achat de 21 F-35B par la marine japonaise devrait venir clôturer cet important paquet de commandes fait par le Japon à Washington.
Tout cela aura évidemment un coup, c’est pour cette raison que le ministère de la défense prévoit une augmentation progressive du budget de la défense à hauteur de 5 milliards par an afin d’atteindre les 100 milliards de dollars de budget de la défense d’ici 2032.
Dans une réforme portée par la ministre de l’intérieur, Renho Mirata, en finalement ratifié par le parlement et le cabinet, le droit de vote à l’ensemble des élections locales, élections générales exclues donc, a enfin été accordé aux étrangers titulaire du statut de résident permanent spécial. Ce statut, concernant environ 600 000 personnes vivant au Japon, a été accordé suite au traité de 1965 entre la Corée du Sud et le Japon aux coréens vivant au Japon depuis plusieurs générations, souvent bien avant la décolonisation de la Corée ayant eu lieu après la seconde guerre mondiale. Cette réforme n’a évidemment pas été du goût de beaucoup de militants de la droite japonaise, le parti Force & Honneur en particulier s’est illustré en organisant plusieurs manifestations en opposition à ce projet de loi et en portant ce débat sur le devant de la scène. Pas impressionnés, les ministres liés au parti démocrate constitutionnel n’ont pas hésité à faire valoir leur intention d’aller plus loin dans ces mesures, en particulier en élargissant ce statut au taïwanais vivant sur le sol japonais ou souhaitant venir au Japon et pouvant démontrer qu’un ou plusieurs de leurs ancêtres avaient vécu au Japon durant l’époque coloniale.
L’aviation n’est pas en reste, le renouvellement de celle-ci durant la prochaine décennie étant là encore un enjeu de taille. Afin de répondre au projet de remplacement des F-4 encore en service dans l’aviation japonaise mais aussi des F-2 par un avion de 5ème génération. Fort de l’expérience acquise lors du développement du démonstrateur technologique X-2, Mitsubishi a proposé à Lockeed Martin et aux Etats-Unis de s’associer dans le cadre de la modernisation du F-22. Si cela était accepté, le Japon pourrait commander une centaine de ces avions. Boeing est par ailleurs sollicité afin de procéder à la modernisation de la flotte de F-15J japonais vers le standard Silent Eagle, en faisant ainsi des F-15SEJ. Un achat de 21 F-35B par la marine japonaise devrait venir clôturer cet important paquet de commandes fait par le Japon à Washington.
Tout cela aura évidemment un coup, c’est pour cette raison que le ministère de la défense prévoit une augmentation progressive du budget de la défense à hauteur de 5 milliards par an afin d’atteindre les 100 milliards de dollars de budget de la défense d’ici 2032.
Dans une réforme portée par la ministre de l’intérieur, Renho Mirata, en finalement ratifié par le parlement et le cabinet, le droit de vote à l’ensemble des élections locales, élections générales exclues donc, a enfin été accordé aux étrangers titulaire du statut de résident permanent spécial. Ce statut, concernant environ 600 000 personnes vivant au Japon, a été accordé suite au traité de 1965 entre la Corée du Sud et le Japon aux coréens vivant au Japon depuis plusieurs générations, souvent bien avant la décolonisation de la Corée ayant eu lieu après la seconde guerre mondiale. Cette réforme n’a évidemment pas été du goût de beaucoup de militants de la droite japonaise, le parti Force & Honneur en particulier s’est illustré en organisant plusieurs manifestations en opposition à ce projet de loi et en portant ce débat sur le devant de la scène. Pas impressionnés, les ministres liés au parti démocrate constitutionnel n’ont pas hésité à faire valoir leur intention d’aller plus loin dans ces mesures, en particulier en élargissant ce statut au taïwanais vivant sur le sol japonais ou souhaitant venir au Japon et pouvant démontrer qu’un ou plusieurs de leurs ancêtres avaient vécu au Japon durant l’époque coloniale.
Affaires extérieures
Alors que divers typhons ont frappé le Pacifique ces derniers mois, le Japon, habitué à ce type de catastrophes climatiques et témoin de la solidarité américaine en particulier lorsque Nina avait frappé l’archipel d’Okinawa il y a peu, a débloqué un fond de 40 millions de dollars de matériel de sauvetage et de ravitaillement de tous types qui seront alloués à la Chine, au Vietnam, aux Philippines ainsi qu’à l’État d’Hawaii. Il est important que l’ensemble des nations de la région coopèrent face à ce genre d’événements dévastateurs qui ne risquent que de s’aggraver dans les prochaines années selon toute vraisemblance.
Par ailleurs, le premier ministre Shinzo Abe a annoncé deux déplacements diplomatiques, le premier en Amérique du nord avec une tournée de quatre jours. Le premier sera passé à San Francisco où le premier ministre a prévu une visite dans l’un des quartiers japonais de la ville sur la baie avant de tenir une conférence sur la diaspora japonaise dans cette même ville. Il visitera par la suite l’usine Toyota de Princeton, dans l’Indiana. L’objectif de cette visite étant de mettre en avant la coopération économique américano-nippone et de l’importance pour les entreprises japonaises d’investir aux Etats-Unis pour se développer. Shinzo Abe passera finalement le 4 juillet, jour de fête nationale, en compagnie de son ami Donald Trump, le président américain. L’objectif étant bien sur le renforcement des liens unissant le Japon et les Etats-Unis, au menu des discussions, le SCMaglev, le dernier bijoux technologique commercialisé par l’industrie du rail japonaise, l’objectif étant de proposer au président Trump la technologie SCMaglev dans le cadre de la modernisation du Northeast Corridor liant Washington à Boston et participant donc activement à la production de richesses américaines. La dernière journée de cette tournée se déroulera au Canada, à Ottawa, où le premier ministre rencontrera son homologue canadien afin de renforcer les liens économiques mais aussi de proposer là encore SCMaglev aux autorités canadiennes qui font face à un pays immense nécessitant des infrastructures d’une grande qualité. Le SCMaglev rivalisant avec l’avion en terme de vitesse et l’écrasant en terme de confort et d’empreinte écologique, le Canada pourrait être intéressé par un tel train. Le premier ministre en profitera par ailleurs en faveur des commandes faites par le ministère de la défense. En particulier concernant l’introduction du Japon dans le projet F-22. Le dossier du potentiel porte-avion nucléaire japonais, déjà évoqué, devrait aussi être à l’agenda
Par ailleurs, le premier ministre Shinzo Abe a annoncé deux déplacements diplomatiques, le premier en Amérique du nord avec une tournée de quatre jours. Le premier sera passé à San Francisco où le premier ministre a prévu une visite dans l’un des quartiers japonais de la ville sur la baie avant de tenir une conférence sur la diaspora japonaise dans cette même ville. Il visitera par la suite l’usine Toyota de Princeton, dans l’Indiana. L’objectif de cette visite étant de mettre en avant la coopération économique américano-nippone et de l’importance pour les entreprises japonaises d’investir aux Etats-Unis pour se développer. Shinzo Abe passera finalement le 4 juillet, jour de fête nationale, en compagnie de son ami Donald Trump, le président américain. L’objectif étant bien sur le renforcement des liens unissant le Japon et les Etats-Unis, au menu des discussions, le SCMaglev, le dernier bijoux technologique commercialisé par l’industrie du rail japonaise, l’objectif étant de proposer au président Trump la technologie SCMaglev dans le cadre de la modernisation du Northeast Corridor liant Washington à Boston et participant donc activement à la production de richesses américaines. La dernière journée de cette tournée se déroulera au Canada, à Ottawa, où le premier ministre rencontrera son homologue canadien afin de renforcer les liens économiques mais aussi de proposer là encore SCMaglev aux autorités canadiennes qui font face à un pays immense nécessitant des infrastructures d’une grande qualité. Le SCMaglev rivalisant avec l’avion en terme de vitesse et l’écrasant en terme de confort et d’empreinte écologique, le Canada pourrait être intéressé par un tel train. Le premier ministre en profitera par ailleurs en faveur des commandes faites par le ministère de la défense. En particulier concernant l’introduction du Japon dans le projet F-22. Le dossier du potentiel porte-avion nucléaire japonais, déjà évoqué, devrait aussi être à l’agenda
La deuxième tournée sera européenne, Shinzo Abe passera le 14 juillet en France, en compagnie du fraîchement élu président Macron et se délectera du défilé parisien auquel participera une brigade des forces d’autodéfense japonaise. Des discussions se tiendront afin de renforcer les liens entre le Japon et la France le soir à l’Elysée autour d’un dîner officiel. Le premier ministre décollera ensuite en direction de Bruxelles afin de rencontrer les autorités de l’Union Européennes. Il finira ensuite sa tournée à Berlin où il rencontrera le gouvernement allemand. L’Allemagne étant un partenaire commerciale privilégié du Japon, en particulier depuis la ratification du traité de libre échange Japob-Union Européenne, l’objectif de cette journée sera le renforcement des liens économiques entre le Japon et l’Allemagne.
A la fin du mois, Shinzo Abe se rendra à New Dehli afin de rencontrer le premier ministre indien Modi et de discuter des relations entre le Japon et l’Inde. Les flux d’IDEs japonais vers l’Inde restant très importants, 4.7 milliards de dollars en 2016-17, les relations économiques entre les deux pays sont fortes mais pas encore assez fortes pour le premier ministre japonais qui souhaite en effet pousser vers une relation privilégié win-win entre les deux nations, l’économie exportatrice japonaise pouvant être tirée par les importations grandissantes de l’Inde en matière de produits manufacturés et l’Inde pouvant profiter des IDEs japonais en constante augmentation eux aussi pour assurer son développement industriel. La relation stratégique entre l’Inde et le Japon est elle aussi importante pour Tokyo qui souhaiterait en effet organiser des exercices militaires bisannuels entre les marines japonaises et indiennes dans l’océan pacifique.
A la fin du mois, Shinzo Abe se rendra à New Dehli afin de rencontrer le premier ministre indien Modi et de discuter des relations entre le Japon et l’Inde. Les flux d’IDEs japonais vers l’Inde restant très importants, 4.7 milliards de dollars en 2016-17, les relations économiques entre les deux pays sont fortes mais pas encore assez fortes pour le premier ministre japonais qui souhaite en effet pousser vers une relation privilégié win-win entre les deux nations, l’économie exportatrice japonaise pouvant être tirée par les importations grandissantes de l’Inde en matière de produits manufacturés et l’Inde pouvant profiter des IDEs japonais en constante augmentation eux aussi pour assurer son développement industriel. La relation stratégique entre l’Inde et le Japon est elle aussi importante pour Tokyo qui souhaiterait en effet organiser des exercices militaires bisannuels entre les marines japonaises et indiennes dans l’océan pacifique.
Mirage- Grand Consul
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
Etat d'Israël / מְדִינַת יִשְׂרָאֵל
Affaires Extérieures
[TOP SECRET] Réponse Israélienne à la demande Chinoise[TOP SECRET]
Israël accepte d'envoyer Benny Gantz à Pékin afin de discuter avec son homologue chinois des propositions qui seront mises sur la table
Rêveur_Lucide- Ministre
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Re: ¤ V2018 ¤ Topic officiel
اسلامی جمہوریۂ پاکستان
République Islamique du Pakistan
Affaires extérieures du Pakistan
Concernant l’Afghanistan, le premier ministre s’est là aussi exprimé : « Une enquête en Afghanistan a était mis en place afin de connaitre si oui ou non de l’équipement moderne de type S-400 était présent en Afghanistan, et surtout qui est le responsable de cela. Enfin cette enquête avait pour but de connaitre qui était responsable de l’attaque sur l’hôpital. Il y avait effectivement du matériel type S-400 en Afghanistan, ces batteries anti-aériennes ultra-modernes que même le Pakistan n’a pas en équivalence, pouvait rendre l’opération en Afghanistan compliqué avec la fin de la domination aérienne de la coalition. La batterie fut éliminé par un bombardement de missiles de croisière américaine ou inconnu, on ne sait en effet pas qui est responsable du bombardement sur Hérat en premier lieu. L’enquête, qui sera transparente et toutes les preuves seront rendus publiques, a prouvé que l’Iran avait fourni aux talibans ce type de matériel ainsi que nombre de blindés type BTR datant de la guerre froide. On estime que les récentes tensions avec les Etats-Unis ont causés une contre-attaque envers les Etats-Unis et ses alliés, dont le Pakistan l’est, du moins en Afghanistan. Concernant l’hôpital, l’enquête sur le terrain n’a pas pu prouver le coupable, et le Pakistan ne peut accuser qui que ce soit. » Suite à cela le premier ministre aurait estimé que des sanctions exemplaires envers l’Iran devraient être mis en place au niveau international.
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