¤ Topic Officiel ¤

Confidentiel


Clandestinement, plusieurs centaines - milliers - de fusils sont livrés à l'Empire Ottoman par le biais de la Compagnie des Indes Orientales, rares sont ceux de fabrication anglaises pour éviter tout soupçons d'aide anglaise.

Posté hier, vers 15H30

La Compagnie de la Méditerranée accepte bien entendu. Nous sommes heureux d'avoir pu trouver un accord avec l'Empire Ottoman. Nous espérons voir une baisse importante de l'activité pirate contre notre convoi, un premier pack de 8.000 fusils vous sont envoyés.

Votre chantage ne fera pas changer d'avis la compagnie, elle n'a que faire d'un comptoir à des lieux et des lieux de la Baltique. Après tout, si vous voulez vous priver des marchandises de la compagnie c'est votre choix.

Avez vous réfléchi à notre proposition quand à l'obtention de concession dans la ville de Stetin ? Et à la primauté commerciale française dans les ports prussiens de Baltique ?

O puissant prince de Ratzebourg, je vous salut,

Je suis Damien Taupin, Directeur de la Compagnie de la Baltique et serviteur de la couronne de France. Nous serions intéressé par l'obtention d'une concession française dans la ville de Ratzebourg composée d'un quai de marchandise/navire ainsi que d'un ou deux quartiers français. La présence de quartiers français est une marque de prestige, le français est une langue prestigieuse et les princes les plus distingués le parle, la présence d'une école française où vos nobles peuvent prendre des cours permettra à votre noblesse de se cultiver via la culture française mais également d'apprendre le français, parler le français étant une marque de prestige. Des marchandises venu d'Inde, d'Amérique, d'Asie Orientale ou des nègres d'Afrique transiteront dans ce quartier et assureront richesse et prospérité à vos nobles mais également à vous car un puissant seigneur doit contenter sa noblesse.

Il serait également question d'une primauté commerciale pour une durée indéterminée. Acceptez vous ?

O puissant seigneur d'Inde du Sud, je te salut,

Je suis Louis Colbert, Directeur de la Compagnie Française des Indes Orientales. Nous avons entendu parler de l'invasion anglaise du Mysore et donc d'une menace contre votre intégrité. La compagnie peut vous offrir 6.000 fusils afin d'équiper vos unités de poings à l'aide de ces armes. En échange, à partir de ma personne et pour tout les directeurs de la compagnie à venir, le titre de pacha leur sera accordé, ce titre concernant votre province nordiste, l'immunisant face à toute offensive anglaise. La compagnie sera heureuse de signer une alliance défensive avec vous sur le reste de ses possessions et de respecter ses devoirs de "vassaux" sur ces territoires. Vous avez tout à gagner à accepter notre proposition.

O puissant seigneur d'Inde du Sud, je te salut,

Je suis Louis Colbert, Directeur de la Compagnie Française des Indes Orientales. La Compagnie entretient de très bonnes relations avec votre suzerain, le Grand Moghol, ce dernier nous a céder une concession à l'ouest de l'Inde et aujourd'hui nous venons vous voir, non pas pour obtenir une concession mais pour l'autorisation d'installer deux comptoirs français sur votre territoire au cours des années à venir. Nous aimerions également obtenir une primauté commerciale sur les autres nations européennes !

♛ Diplomatie officielle ♛

................Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach, prince-électeur de Bavière, prince de Pologne, vicaire impérial et chevalier de la Toison d'or a délivré un message à l'Archiduché d'Autriche dans le cadre de la guerre opposant les nations chrétiennes d'Europe de l'Est et l'Empire Ottoman. Le corps de diplomates, arrivant dans la ville de Vienne, annonça que la nation bavaroise soutenait l'empereur du Saint-Empire et lui transmettait la somme de 750 000 kreuzer pour l'aider à vaincre les infidèles dans les Balkans. Nous espérons, de votre part et en échange, la transformation de notre électorat en royaume et un appui concernant le rattachement de nos voisins sud-allemands. Concernant ce dernier point, d'autres diplomates prirent en effet la direction du comté du Württemberg, du margrave du Baden, du comté du Palatinat du Rhin et du duché de Saxe-Coburg-Saalfeld pour leur proposer une union de nos territoires : potentiellement soutenue par l'empereur, une telle entité permettrait de nous octroyer plus de pouvoirs aussi bien au sein du Saint-Empire qu'en Europe. Concernant la question de l'indépendance, vous, dirigeants actuels, obtiendriez le titre de gouverneur de votre intendance et vous le garderiez de père en fils.

Spoiler:

♛ Finances ♛

................A la différence des grands rois et empereurs qui, du fait de la taille de leurs nations, ne connaissent pas la vie quotidienne de leurs habitants, le dirigeant bavarois, Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach, prince-électeur de Bavière, prince de Pologne, vicaire impérial et chevalier de la Toison d'or, est confronté lors de ses sorties à la vie de son peuple à cause du petit territoire qu'est la Bavière. Lors d'une réunion qui regroupait les conseillers de la cour au château Nymphenburg, la situation économique, sociale et financière du pays était établie : ne bénéficiant d'aucun accès à la mer, la création de nouvelles richesses ne peut donc se faire par la colonisation de nouvelles terres, tandis que la main-d’œuvre est constituée d'agriculteurs, de petits marchands et de grands commerçants; la couronne décide donc de miser sur le commerce frontalier et les manufactures d'état pour s'assurer une avenir économique certain. Ainsi, dix fabriques de tissus (prix de construction de 77 000 kreuzer durant un an, futurs bénéfices de 7 700 kreuzer), dix teintureries (prix de construction de 90 000 kreuzer durant un an, futurs bénéfices de 9 000 kreuzer), cinq ateliers de vêtements (prix de construction de 77 500 kreuzer durant deux ans, futurs bénéfices de 7 750 kreuzer), cinq ateliers de vêtements de luxe (prix de construction de 72 500 kreuzer durant deux ans, futurs bénéfices de 7 250 kreuzer), toutes à Ingolstadt; dix manufactures d'armes légères (prix de construction de 135 000 kreuzer durant deux ans, futurs bénéfices de 13 500 kreuzer), dix manufactures de munitions (prix de construction de 110 000 kreuzer durant un an, futurs bénéfices de 11 000 kreuzer), dix manufactures de canons (prix de construction de 160 000 kreuzer durant deux ans, futurs bénéfices de 16 000 kreuzer), dix manufactures d'explosifs (prix de construction de 130 000 kreuzer durant deux ans, futurs bénéfices de 13 000 kreuzer), toutes à Munich et à Augsburg; enfin, les derniers complexes sont à Passau et sont dix scieries (prix de construction de 85 000 kreuzer durant un an, futurs bénéfices de 8 500 kreuzer). Il reste ainsi 620 000 kreuzer dans les caisses de l'électorat princier, alors que dans deux ans, la Bavière sera un centre de production important, diversifié, dynamique (chaque grande région étant porteuse d'un secteur particulier) et bénéficiera de 93 700 kreuzer annuels supplémentaires.

Spoiler:

♛ Armée princière ♛

................Pour renforcer l'influence bavaroise au sein du Saint-Empire Romain Germanique et en Europe et assurer une défense convenable à l'électorat princier, Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach, prince-électeur de Bavière, prince de Pologne, vicaire impérial et chevalier de la Toison d'or décida de lancer une série de recrutements et de projets à travers tout le territoire. Tout d'abord, dix-huit bataillons de fantassins de l'infanterie de ligne (pour 90 000 kreuzer), dix bataillons de voltigeurs (pour 50 000 kreuzer), dix bataillons de cavaliers (pour 55 000 kreuzer) et dix-sept batteries de canons de campagne (pour 102 000 kreuzer). L'entretien s'élèvera donc, après six mois d'entraînement, à 70 900 kreuzer. Concernant les aménagements, plusieurs forts en pierre de type Vauban sont construits vers les plus grandes villes bavaroises (à Munich, Augsburg, Regensburg, Ingolstadt, Landshut, Kempten, Rosenheim, Neu-Ulm, Passau et Freising, soit dix places) pour la somme de 180 000 kreuzer. Enfin, dix-mille kilomètres de routes pavées sont en train d'être formés pour la somme de 40 000 kreuzer. Il reste pour l'année 1704 à l'électorat 253 000 kreuzer.

Spoiler:

Le Royaume de France prévient sa majesté Leopold Ier qu'il ne tolérera pas que la langue française soit maltraité. Aix la Chapelle, Nimègue, Westminster, Ryswick, tous ont été signé et rédigé en FRANCAIS. Un grand nombre de princes allemands parlent français, la population de Lorraine parlent français, la population de Liège parle français, les populations frontalières parlent française. La plupart de vos officiers connaissent le français.

Il y a une multitude de langues au sein du Saint Empire et vous voulez les maltraiter ? De puissants royaumes seront blamer, nous pensons au Royaume du Danemark, la République des Deux Nations, les Provinces Unies, les Italiens encore membre du SERG (Modène ect...) ou encore le Royaume d'Angleterre. Le Royaume de France exige la fin de cette réforme, Louis XIV défendra le français et le Royaume de France contre toute tentative d'atteindre leur grandeur.

Le Royaume de France est une seule et même entité et non une multitude de petits états qui ne parlent pas forcément tous la même langue. Vous empêchez un lorrain d’administrer son territoire en français, un orangeois en hollandais, un saxon en saxon/polonais, un Danois en Danois. Vous forcez des officiers l'allemand alors que le français est bien plus utilisé. Ce que nous voyons c'est une tentative de restreindre le français et nous ne le tolérerons pas.

Nous n'exprimions pas une demande Empereur mais un ultimatum.

Vous ne parlez que de la langue allemande mais plus de la moitié de votre Archiduché parle hongrois, sans compter l'italien, le croate ect... Des multitudes de langues que vous cherchez à détruire, le Royaume de France veut protéger sa culture et nous invitons tout les états du Saint Empire et ceux possédant des territoires en son sein (Danemark, Pologne, Provinces Unies) à se rallier derrière la France pour faire céder le Saint Empereur.

Communiqué officiel à l'Empire d'Autriche:

Votre gracieuse majesté,

Nous comprenons les raisons de votre guerre contre le dangereux empire Ottoman, mais nous nous voyons dans l'obligation de ne pas accepter votre offre.
Nous sommes en effet de reconnaissants alliés du royaume de France, et ce royaume est il me semble qu'il est en bons termes avec l'Empire Ottoman.
De plus, la République se relève d'une guerre qui lui a couté la vie de nombreux fils, ainsi que de grosses ressources financières. Nous laissons donc nos marchands libres de commercer avec qui ils veulent, tant que ce commerce est bénéfique à la République.

Vous avez tout notre soutiens moral, mais nous ne sommes pas en mesure de vous apporter un soutien autre que symbolique. Nous vous envoyons donc une modeste contribution à la cause de la chrétienté d'une centaine de florins.

Que Dieu vous garde, vous et vos sujets.

  Votre très cher et très dévoué ami, le doge Alvise Giovanni Mocenigo

♛ Diplomatie officielle ♛

................Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach, prince-électeur de Bavière, duc de Saxe-Coburg-Saalfeld, comte du Baden-Württemberg et du Palatinat du Rhin, prince de Pologne, vicaire impérial et chevalier de la Toison d'or souhaiterait remercier sa majesté Léopold Ier, Empereur du Saint-Empire Romain Germanique, Archiduc d'Autriche, Roi de Hongrie, de Bohême et de Croatie concernant son aide diplomatique accordée lors des négociations d'union entre la Bavière et les petites nations germaniques du centre du Saint-Empire. Cependant, suite à l'annonce de Vienne qui publiait les futures réformes impériales, le prince-électeur bavarois aurait aimé obtenir quelques informations et conditions : tout d'abord, en cas de coup dur, jusqu'à combien voudrait l'Empereur en aide financière ? Ensuite, dans quelle zone militaire se situe la Bavière ? Enfin, pour continuer à entretenir de bonnes relations entre Maximilien-Emmanuel et Léopold Ier, la Bavière désirerait une réévaluation de son influence au sein du Saint-Empire Romain Germanique : nous voudrions que l'Empereur crée un nouveau titre, celui du royaume de Bavière et de Saxe-Meiningen, et qu'il remanie les petites provinces actuellement sous autorité bavaroise. Ainsi, si Vienne accorde son autorisation, le dirigeant bavarois se nommerait dorénavant Sa Majesté Royale Maximilian Ier de Wittelsbach, Roi de Bavière et de Saxe-Meiningen, Duc de Bade et de Wurtemberg, Comte d'Ansbach, de Bayreuth et du Palatinat du Rhin, Seigneur de Munich et de Nuremberg, Prince-Électeur impérial, Vicaire impérial, Prince de Pologne et chevalier de la Toison d'or.

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♛ Armée princière ♛

................Suite au rattachement des petits états allemands du Nord, Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach, prince-électeur de Bavière, duc de Saxe-Coburg-Saalfeld, comte du Baden-Württemberg et du Palatinat du Rhin, prince de Pologne, vicaire impérial et chevalier de la Toison d'or décida de lancer la construction d'une vingtaine de nouveau forts en ce mois de juillet 1703 pour la somme de 360 000 kreuzer et qui se termineront en 1705. Concernant le maillage du réseau routier pavé, il est étendu d'une dizaine de milliers de kilomètres supplémentaires pour la somme de 40 000 kreuzer (chantier terminé en 1705). Ces dépenses subsidiaires causèrent cependant un endettement pour l'année prochaine de 147 000 kreuzer qui seront remboursés en 1704. Enfin, les différentes divisions bavaroises furent réaffectées à de nouvelles provinces pour coordonner convenablement l'armée princière du pays.

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♛ Diplomatie officielle ♛

................Sa Majesté Royale Maximilien Ier de Wittelsbach, Roi de Bavière et de Saxe-Meiningen, Duc de Bade et de Wurtemberg, Comte d'Ansbach, de Bayreuth et du Palatinat du Rhin, Seigneur de Munich et de Nuremberg, Prince-Électeur impérial, Vicaire impérial, Prince de Pologne et chevalier de la Toison d'or a tout d'abord souhaité remercier l'empereur Léopold Ier pour la création du titre du Royaume de Bavière et de Saxe-Meiningen. Cependant, la suite de la lettre impériale ne ravit point les dignitaires bavarois et saxons. En effet, la mobilisation de la totalité des armées du Saint-Empire Romain Germanique pour une guerre offensive n'est pas l'objectif du regroupement politique de nos nations sous la coupole des Habsbourg. Maximilien Ier estime avoir rempli son devoir envers l'empereur en lui offrant 750 000 kreuzer kreuzer l'année passée, somme amplement suffisante à couvrir les frais de la guerre nous opposant à l'Empire Ottoman.

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Message confidentiel à la France, l'Espagne, le Portugal et l'Angleterre

Altesses royales

Alors que les braises de la récente guerre d'Italie sont encore chaudes, voilà que c'est l'Orient s'enflamme, et que les monarchies de l'Est européen se lancent dans une guerre contre l'Empire Ottoman. Pendant ce temps, le Maroc s'arme dangereusement

Je prends donc l'initiative de proposer une conférence qui réunirait nos cinq nations afin de discuter d'une stratégie commune à élaborer vis à vis des conflits et tensions qui ne cessent de s'accroitre sur la terre d'Europe et, peut être, officialiser une alliance entre nos nations.


Votre très cher et très dévoué ami, le doge Alvise Giovanni Mocenigo

Alors que le Saint Empereur vient de plier à la demande française ce dernier a immédiatement ensuite ordonné la mobilisation totale des troupes impériales. En réponse à cette mesure exessive et alors que le conseil vota à 3 contre 1 que cette mobilisation menaçait le Royaume de France, par lettre royale, les places fortes françaises en Duché de Lorraine furent renforcé tandis que les troupes françaises commandé par Louis-François de Boufflers, Duc de Boufflers, ne cachaient plus leurs exactions et coupèrent le lien entre la Lorraine et le reste du Saint Empire. Louis XIV a déclarer "Qu'Aucun Lorrain ne participera à cette folle mobilisation".
Au Sud du Royaume, ce fut le Duché de Parme qui se retrouva occupé par les troupes françaises, tout du moins sa frontière nord. Ce fut Nicolas Auguste de La Baume, Maréchal de France qui commanda l'opération.

Le Royaume de France se place en protecteur des états du Saint Empire face à l'Empereur qui sans demander l'avis de ses sujets a décréter une mobilisation totale et à inviter tout les états déclinants cette offre à se ranger du côté français.

Le Royaume de France est prête à évacuer vos territoires, aucun mal n'a été fait à vos populations civiles, sachez que nos opérations n'ont pas été effectuer contre vous mais pour vous, vos hommes n'ont pas à aller mourir dans les guerres personnelles de l'Empereur.

Le Royaume de France ne voit pas en quoi les portugais sont concernés par la situation en méditerranée. De même que les anglais mais au vue de leur importance, nous sommes aptes à les laisser venir. Où se déroulerait cette "conférence" ?

République des Deux-Nations / Électorat Princier de Saxe

Communiqué au Royaume de France

Votre Majesté,
Nous sommes effrayés par la situation qui se développe entre votre royaume et le Saint Empire. Je me permet de vous rappeler que vous avez une garantie de non-agression envers l'Autriche et ses alliés, et que nous garantissons l'indépendance des États du Saint Empire. Il serait pour nous inacceptable que le Royaume de France s'empare de duchés et autres états de l'Empire, et cela offrirait à l'Empire un casus belli qui risque de détruire l'Europe dans une guerre fratricide.
Nous vous appelons à la retenue, alors que le Saint Empire est aux prises avec les infidèles turcs, qui doivent être repoussés d'Europe.

J'ai l'espoir que votre grande sagesse permettra, Votre Majesté, de maintenir la paix en Europe.

Cordialement,
Sa Majesté Auguste II, Roi de Pologne, Grand-Duc de Lituanie, Prince Palatin et Électeur de Saxe

Communiqué à l'Archiduché d'Autriche

Votre Grâce,
La situation entre l'Empire et la France s'est beaucoup trop dégradée. Il est nécessaire, pour le bien de la campagne contre l'Empire Ottoman, que la crise se tasse. Je fais appelle à votre sagesse pour annuler la conscription dans les États voisins de la France afin de calmer la situation.
Je vous fais part de mon entière fidélité envers l'Empire et son Roi.

Cordialement,
Sa Majesté Auguste II, Roi de Pologne, Grand-Duc de Lituanie, Prince Palatin et Électeur de Saxe

Communiqué au Royaume de France

Les Portugais, de part leur importance sur les côtes africaines, sont concernés par les affaires concernant le Maroc. De même, ils ont déjà, il me semble, des relations importants avec l'Espagne. Il serait plus utile de créer une grande alliance plutôt qu'un réseau compliqué d'alliance.

Nous sommes prêts à organiser cette conférence au palais des doges de Venise, mais tout bien réfléchi il serait plus judicieux qu'elle se déroule dans votre royaume, qui e situe à peu près au centre géographique de la zone des pays concernés.

Nous somme ravi de participer à cette conférence qui permettra nous l'espérons, la formation d'une alliance durable et la sécurisation des côtes Africaine.
Cordialement, Pierre II.