Guerre du Rif
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Re: Guerre du Rif
TOUR 1 - Attaque
Nature de l'action : Desembarco de Alhucemas
Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
13,000 soldats espagnols
11 tankettes
Forces maritimes :
3 battleships
5 light cruisers
1 protected cruiser
1 aircraft carrier
2 destroyers
2 monitors
7 gunboats
18 patrol boats
6 torpedo boats
4 tugs
58 transport ships
Forces aériennes :
160 avions de divers type
Carte :
Action 1
Afin de tromper Abd-el-Krim sur le point de débarquement réel, les deux convois bombarderont les redoutes côtières rifaines ; la flottille de Ceuta attaquera Oued Laou, organisant une opération amphibie de diversion, tandis que la flottille de Melilla, soutenue par des navires de guerre français, feindra un débarquement à Sidi Dris.
Action 2
Les opérations consiste à débarquer une force de 13 000 soldats espagnols transportés de Ceuta et Melilla par une flotte navale combinée hispano-française. Le commandant de l'opération est le dictateur espagnol, le général Miguel Primo de Rivera, et, en tant que chef exécutif des forces de débarquement sur la plage de la baie d'Alhucemas, le général José Sanjurjo, sous les ordres duquel se trouve deux brigades de l'armée de Ceuta et Melilla. , dirigés respectivement par Leopoldo Saro Marín et Emilio Fernández Pérez. Parmi les officiers de la brigade de Ceuta, il y a aussi le colonel Francisco Franco.
GeorgeV- Grand Consul
- Messages : 2658
Date d'inscription : 30/09/2011
Localisation :
Re: Guerre du Rif
Tour 1 - Résultats : Probabilité 80% de chance de succès Dé : 15
La colonne de tête de la brigade de Ceuta, commandée par le colonel Francisco Franco, est la première à débarquer vers 11h40. Le haut-fond a permis aux barges K de s'approcher à peine de 50 mètres du rivage, jetant des doutes sur la faisabilité d'Ixdain comme point de débarquement. À l'initiative de Franco, les fantassins pataugèrent entre les barges et la plage en portant leurs fusils et leur équipement au-dessus de leur tête. Une compagnie de chars légers, faisant partie de la colonne franquiste et destinée à cette phase à soutenir les troupes et la zone de ravitaillement en tant que « bunkers mobiles » protégeant le débarquement, ne peut quitter l'engin amphibie dans ces conditions. Pris par surprise par un débarquement trop à l'ouest, la réaction rifaine fut lente et faible. Les forces de Franco, soutenues par le bombardement agité de la flotte espagnole et française et des forces aériennes combinées, se sont déplacées vers l'est, sécurisant la plage de Cebadilla, qui avait été minée. Les troupes avaient une prescience du champ de mines grâce à une précédente reconnaissance de plage effectuée sur un bateau à moteur par le capitaine Carlos Boado, l'officier de marine qui commandait les chalands de débarquement. Après quelques heures, la Légion et les réguliers avaient pris le contrôle des falaises et des pentes autour de la crique, capturant une position ennemie avec deux mitrailleuses lourdes et une pièce d'artillerie de 75 mm. Le champ de mines de la plage de Cebadilla a été dynamité par les sapeurs à midi, donnant le feu vert à une deuxième vague de débarquements dans ce secteur à 13h00. Les chars, 11 Renault FT, débarquent sur la plage de Los Frailes, plus à l'est. Les chars ont ensuite été conduits à travers la côte jusqu'à leur camp entre Cebadilla et Ixdain afin de sécuriser les lignes de ravitaillement espagnoles.
La brigade de Melilla n'a débarqué sur la plage de Cebadilla plus tard, en raison d'une mer croisée. Ils subirent les premières contre-attaques rifaines sur les hauteurs de Morro Nuevo, dans la partie orientale de la tête de pont.] Les forces indigènes de la brigade, commandées par le colonel José Enrique Varela, ont subi le poids de l'assaut rifain, mené par l'unité choisie par Abd-el-Krim, les juramentados. La deuxième nuit, les hommes de Varela manquaient de munitions et durent compter sur des cartouches empruntées à la compagnie de marines récemment débarquée. Les mortiers de la brigade ont également joué un rôle clé pour repousser les attaques. De nouvelles avancées ont été retardées par une pénurie d'eau. Le mauvais temps a gêné la mission de ravitaillement des navires-citernes en eau, tandis que l'artillerie rifaine bombarde la tête de pont la nuit, pour éviter d'être repérée par les avions d'observation. Les conditions de la mer ont également entravé le débarquement des mules, qui étaient un outil clé pour transporter les fournitures des barges aux positions avancées. L'une des solutions trouvées par le commandement espagnol pour surmonter les mers agitées et faire débarquer les approvisionnements était l'utilisation de quais flottants en bois, ce qui sauva au final la brigade de Melilla et donna la victoire aux espagnols.
Les troupes de Sa Majesté ont réussi à avancer jusqu’à la capitale des rifains, Axdir, ou les indigènes et la Légion ont retourné la ville au statut de ruine. La population tant qu’à elle est totalement massacré dans la foulée génocidaire des guerres du Rif.
Madrid ayant sécurisé des points fortement stratégiques du protectorat, les forces déployées par la France, beaucoup plus importantes en nombre et en qualité, s’apprête à lancer un assaut massif par le Nord du Rif.
Perte espagnoles : 309 tués ou blessés
Perte riftaines : 700 tués ou blessés
Carte de la situation :
La colonne de tête de la brigade de Ceuta, commandée par le colonel Francisco Franco, est la première à débarquer vers 11h40. Le haut-fond a permis aux barges K de s'approcher à peine de 50 mètres du rivage, jetant des doutes sur la faisabilité d'Ixdain comme point de débarquement. À l'initiative de Franco, les fantassins pataugèrent entre les barges et la plage en portant leurs fusils et leur équipement au-dessus de leur tête. Une compagnie de chars légers, faisant partie de la colonne franquiste et destinée à cette phase à soutenir les troupes et la zone de ravitaillement en tant que « bunkers mobiles » protégeant le débarquement, ne peut quitter l'engin amphibie dans ces conditions. Pris par surprise par un débarquement trop à l'ouest, la réaction rifaine fut lente et faible. Les forces de Franco, soutenues par le bombardement agité de la flotte espagnole et française et des forces aériennes combinées, se sont déplacées vers l'est, sécurisant la plage de Cebadilla, qui avait été minée. Les troupes avaient une prescience du champ de mines grâce à une précédente reconnaissance de plage effectuée sur un bateau à moteur par le capitaine Carlos Boado, l'officier de marine qui commandait les chalands de débarquement. Après quelques heures, la Légion et les réguliers avaient pris le contrôle des falaises et des pentes autour de la crique, capturant une position ennemie avec deux mitrailleuses lourdes et une pièce d'artillerie de 75 mm. Le champ de mines de la plage de Cebadilla a été dynamité par les sapeurs à midi, donnant le feu vert à une deuxième vague de débarquements dans ce secteur à 13h00. Les chars, 11 Renault FT, débarquent sur la plage de Los Frailes, plus à l'est. Les chars ont ensuite été conduits à travers la côte jusqu'à leur camp entre Cebadilla et Ixdain afin de sécuriser les lignes de ravitaillement espagnoles.
La brigade de Melilla n'a débarqué sur la plage de Cebadilla plus tard, en raison d'une mer croisée. Ils subirent les premières contre-attaques rifaines sur les hauteurs de Morro Nuevo, dans la partie orientale de la tête de pont.] Les forces indigènes de la brigade, commandées par le colonel José Enrique Varela, ont subi le poids de l'assaut rifain, mené par l'unité choisie par Abd-el-Krim, les juramentados. La deuxième nuit, les hommes de Varela manquaient de munitions et durent compter sur des cartouches empruntées à la compagnie de marines récemment débarquée. Les mortiers de la brigade ont également joué un rôle clé pour repousser les attaques. De nouvelles avancées ont été retardées par une pénurie d'eau. Le mauvais temps a gêné la mission de ravitaillement des navires-citernes en eau, tandis que l'artillerie rifaine bombarde la tête de pont la nuit, pour éviter d'être repérée par les avions d'observation. Les conditions de la mer ont également entravé le débarquement des mules, qui étaient un outil clé pour transporter les fournitures des barges aux positions avancées. L'une des solutions trouvées par le commandement espagnol pour surmonter les mers agitées et faire débarquer les approvisionnements était l'utilisation de quais flottants en bois, ce qui sauva au final la brigade de Melilla et donna la victoire aux espagnols.
Les troupes de Sa Majesté ont réussi à avancer jusqu’à la capitale des rifains, Axdir, ou les indigènes et la Légion ont retourné la ville au statut de ruine. La population tant qu’à elle est totalement massacré dans la foulée génocidaire des guerres du Rif.
Madrid ayant sécurisé des points fortement stratégiques du protectorat, les forces déployées par la France, beaucoup plus importantes en nombre et en qualité, s’apprête à lancer un assaut massif par le Nord du Rif.
Perte espagnoles : 309 tués ou blessés
Perte riftaines : 700 tués ou blessés
Carte de la situation :
- Spoiler:
GeorgeV- Grand Consul
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Date d'inscription : 30/09/2011
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Re: Guerre du Rif
TOUR 2 - Attaque
Nature de l'action : Intervention française au Nord
Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
160 000 soldats français (Armée du Rhin, tirailleurs algériens, tirailleurs sénégalais, réguliers marocains et goumiers).
Forces maritimes :
NIL
Forces aériennes :
160 avions de divers type
Carte :
- Spoiler:
Action 1 - Bombardement de Chefchaouen
La guerre du Rif est un terrain d’exploration incroyable pour des techniques de guerre moderne et les officiers français, grâce aux attachés espagnols qui leur fournit des information crucial sur le terrain, voit désormais la cité sainte de Chefchaouen comme un objectif de guerre important afin de faire capituler la tribu de Jebala, l’un des alliés les plus important de Abd el-Krim. En plus d’être un objectif symbolique, Chefchaouen est aussi un hub logistique pour le nord du protectorat, notamment Tetouan, la capitale sous occupation ennemie. La réduction au statut de ruine antique de la cité est confiée aux mercenaires américains et l’Escadrille Cherifienne, des hommes franchement peu recommandables, avec une stature morale parfaitement dépravée pour la guerre du Rif.
Action 2 - Avancé du front Nord
L’avantage numérique écrasant de l’armée française sera utilisé afin d'avancer le plus possible en territoire ennemi et prendre des cités clés afin de relier l’armée française au territoires espagnols pour faciliter la logistique.
GeorgeV- Grand Consul
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Re: Guerre du Rif
Tour 2 - Résultats : Probabilité 90% de chance de succès Dé : 79
Si l’armée française a réussi à prendre certains territoires clés, la ville de Tétouan reste dans les mains des rifains. Sur tout le front, l’armée français fait preuve d’une efficacité certes importante et l’utilisation de gaz chimique contre les insurgés fait un large nombre de victimes tant parmi les civils que les militaires. Les pertes françaises restent faibles : les rebelles préférant se replier que d'affronter directement la plus grande armée du monde. Le général Hubert Lyautey, reste toutefois sur sa faim : les troupes coloniales de l’Empire français sur place impressionnent peu, contrairement aux tirailleurs marocains espagnols qui sont reconnus pour leur efficacité et leur brutalité malgré leur équipement désuet. La discipline est donc renforcée d’un tour dans les rangs des armées coloniales présentes au Rif.
Le bombardement de Chefchaouen par les mercenaires américains de l’escadrille Chérifienne est bien peu efficace. Dans les faits, seulement certains bâtiments ont été détruits, rendant l’un des premiers bombardements stratégiques bien peu effectif. La tribu de Jebala reste fidèle à la cause rifaine.
L’implication massive de la République française dans le conflit est un coup fatal pour la rébellion. Le royaume d’Espagne offre à Abd el-Krim des négociations de bonne foi afin de faire régner la paix au Rif.
Perte françaises : 200 tués ou blessés
Perte riftaines : 3500 tués ou blessés
Carte de la situation :
Si l’armée française a réussi à prendre certains territoires clés, la ville de Tétouan reste dans les mains des rifains. Sur tout le front, l’armée français fait preuve d’une efficacité certes importante et l’utilisation de gaz chimique contre les insurgés fait un large nombre de victimes tant parmi les civils que les militaires. Les pertes françaises restent faibles : les rebelles préférant se replier que d'affronter directement la plus grande armée du monde. Le général Hubert Lyautey, reste toutefois sur sa faim : les troupes coloniales de l’Empire français sur place impressionnent peu, contrairement aux tirailleurs marocains espagnols qui sont reconnus pour leur efficacité et leur brutalité malgré leur équipement désuet. La discipline est donc renforcée d’un tour dans les rangs des armées coloniales présentes au Rif.
Le bombardement de Chefchaouen par les mercenaires américains de l’escadrille Chérifienne est bien peu efficace. Dans les faits, seulement certains bâtiments ont été détruits, rendant l’un des premiers bombardements stratégiques bien peu effectif. La tribu de Jebala reste fidèle à la cause rifaine.
L’implication massive de la République française dans le conflit est un coup fatal pour la rébellion. Le royaume d’Espagne offre à Abd el-Krim des négociations de bonne foi afin de faire régner la paix au Rif.
Perte françaises : 200 tués ou blessés
Perte riftaines : 3500 tués ou blessés
Carte de la situation :
- Spoiler:
GeorgeV- Grand Consul
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