Insurrection allemande en Pologne, 1929

TOUR 0

Résumé de la situation:

La répression polonaise des germanophones à poussé ceux ci à la révolte. En utilisant ce qui reste de leur réseaux, ils ont lancé une insurrection en ce mois de mars (pas d’action communiste déso) pour leur droit de vivre, askip. Dans les régions où les allemands sont en majorité écrasante (en gris), il a été facile pour eux de raider et piller les lieux de pouvoir polonais pour se les approprier. Casernes, armureries, commissariat, tribunaux, banques, mairies, postes, stations de chemin de fer, douanes, tout cela à pu être saisi rapidement par des Freikorps décidément biens armés, et encore plus maintenant qu'ils ont les fonds, les statistiques et les stocks de Silésie et d'une partie de la Prusse orientale, ainsi que des frontières ouverte avec leur voisin, le Reich. Ils sont environ 20.000 en Sillésie et 5.000 en Prusse Orientale. Bien sûr, pas de prisonniers et une explosion de massacres ethniques dans les zones occupé par les Allemands.
Dans les régions où les allemands sont en minorité, à savoir le corridor et la région de Poznan/Posen (rayures brunes), ce ne sont pas moins des actes aussi courageux au vu du caractère oppressif du régime polonais. Grève, manifestations, blocages, sabotage de chemin de fer ou de téléphones sont en cours. La partie occidentale de la Pologne est paralysé, jusqu’à que l'armée mette la loi martiale et casse des faces sur le parvis.
Enfin, la ville libre de Dantzig profite de ce chaos pour expulser les polonais et les répudier droits économiques de ceux ci, en saisissant le port, les postes, le chemin de fer, ce qui enclave de fait la Pologne. Cependant, ils ne rejoignent pas l’insurrection et préfère attendre, bien que ils laissent la porte ouverte aux allemands insurgés.
Bien sur, la réaction Polonaise ne se fait pas attendre et la loi martiale a été déclarée. Des troupes se dirigent vers les les zones en sédition depuis l'est de la Pologne.

Carte :

Spoiler:

Forces terrestres en présence :
-20.000 Freikorps en Silésie
-5.000 Freikorps en Prusse Orientale
-3.000 Freikorps à Dantzig

TOUR 1P

Nature de l'action : La révolte germanique est prise très au sérieux par le gouvernant polonais. Ce n'est pas une simple opération de police mais une véritable guerre pour le régime nationaliste. La mobilisation est déclaré, et au bout d'un mois, 300.000 hommes sont réunis, organisés et partent pour l'ouest de la Pologne. Entre temps, barricades, pièges et caches ont été placé par les germaniques parés pour une guerre de guérilla et toujours gavés en armes et explosifs par l'Allemagne, le long des douanes saisies par les révoltés. Entre temps aussi, la situation reste tout aussi chaotique dans l'ouest de la Pologne avec une mutation vers le sabotage puisque les grèves occupations et manifestations ont été réprimé dans le sang. Les menaces diplomatique du Reich sont ignorés et la guerre arrive.

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres Polonaises
-300.000 hommes. Équipement lourd (artillerie, aviation et autochenille en support)
Action 1(Police): 100.000 hommes contre des civils
Action 2(Dantzig): 50.000 hommes contre 10.000 miliciens
Action 3(Prusse): 20.000 hommes contre 5.000 Freikorps
Action 4(Silésie): 130.000 hommes contre 20.000 Freikorps


Détails de l'action :
Action 1

La première action est la remise en ordre des régions paralysées. L'armée a carte blanche pour assister la police et exécuter les saboteurs. Surtout elle doit réparer les machines ou infrastructures sabotés avec le génie militaire et surtout les bras de près de 100.000 soldats. Ils vivront sur les ressources des germanophones (et un refus de coopérer sera sanctionné d'une balle dans la tête).

Chance de succès: plus c'est bas mieux c'est
Résultat de l’action: 42.

Globalement, la remise en ordre s'est faite. Des tête ont été fracassé sur le parvis, mais la police peut bien faire cela tout seul. Des réticences et des techniques de dissimulation ont lieu chez les allemands, ce qui force la Pologne a dépenser du précieux cargo pour ravitailler ces troupes, cargo en moins pour le déplacement de celles ci. Malgré que le réseau soit globalement réparé, une petite partie (20%) des troupes ne peux pas accéder au zones de conflits et mangent donc leur colle à Varsovie ou Cracovie.

Action 2

Dantzig a viré les polonais. La Pologne considère ça comme un acte de guerre et voit ça comme une occasion de rayer de la carte ce furoncle lui bloquant l'accès à la mer.
Des 50.000 soldats envoyés, seul 40.000 ont pu se déplacer vers cette ville.

Chance de succès : 90% ; jet de dés :99
Résultat de l’action: Échec

Face à l'invasion polonaise, la ville libre de Dantzig à fait le choix de demander son annexion à l'Allemagne. Pour ne pas perdre la face alors que ailleurs, les allemands se font laminer et massacrés, le Reich à aussitôt accepté. Face à ce coup de théâtre, l'offensive Polonaise a été stoppé dans son élan et le général chargé de la réduction de cette ville attends des ordres de Roman Dmowski pour savoir si il doit partir à l'assaut ou pas.

Pertes de l’attaquant: 0
Pertes du défenseur: 0

Action 3

La Pologne envoie en Prusse orientale 20.000 soldats mater la révolte. Mais seul 16.000 ont pu réellement y accéder. Un ratio de 1 pour 3.2, mais sont ils prêt pour la guérilla dans la foret ?

Chance de succès : 80% ; jet de dés : 16
Résultat de l’action: Réussite majeur

La réponse est oui. La quasi totalité des révolté ont été tués, capturé et exécutés, et les quelques rares survivants ont seulement réussi à fuir vers la Prusse Allemande. Plus encore, l’écrasante supériorité numérique à permis à l’armé polonaise de reconquérir proprement, avec relativement peu de victimes civiles. Reste à savoir si, maintenant que les allemands sont à leur merci, l'armé polonaise ne décidera pas de faire un massacre de masse.

Pertes de l’attaquant: 500 soldats
Pertes du défenseur: 4.500 Freikorps tués ou exécutés. 10.000 civils en collatéral

Action 4

En Silésie, la Pologne met le paquet. 130.000 hommes contre 20.000 Freikorps. Mais les campagnes sont minés et remplis de guets-apens. Et la guerre urbaine n'est jamais facile, surtout que Wroclaw/Breslau a été barricadé, alors que 26.000 hommes manquent à l’appel.

Chance de succès : 95% ; jet de dés : 4
Résultat de l’action: Réussite totale

Si la réussite en Prusse est éclatante, celle en Silésie l'est plus encore. Pas de fuyards cette fois ci, tous les insurgés ont été coincé à Wroclaw qui est devenu leur tombeaux. La encore une offensive éclaire en surnombre à brisé les maigres barricades ont été pulvérisé à l'artillerie. Cependant, Wroclaw reste presque totalement intacte, si l'on excepte les cadavres pendus par les pieds ou crucifiés des révoltés. Là encore, les allemands sont à la merci de l'armée polonaise, qui peut à tout moment décider de leur faire une jésus christ à ces prots.

Pertes de l’attaquant: 4.000 soldats
Pertes du défenseur: 20.000 Tous morts ou exécutés 40.000 civils morts collatéraux à Wroclaw et 20.000 dans la campagne.