[En cours] Cinquième guerre gréco-turque
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[En cours] Cinquième guerre gréco-turque
Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος / Royaume de Grèce
« Elefthería í thánatos »
● Cinquième guerre gréco-turque ●
« Elefthería í thánatos »
● Cinquième guerre gréco-turque ●
................L’annonce du débarquement de Mustafa Kemal à Antalya le 5 novembre dernier, puis de sa marche triomphale jusqu’à Konya les jours suivants, fit grand bruit à Constantinople. Ce retour en force d’Atatürk est loin d’être du goût de la Grèce, qui voit en cet homme le principal ennemi du royaume. Certes, le maréchal Cakmak était un abyssal tocard aux yeux de la Seconde Rome, mais il avait le mérite de respecter plus ou moins le Traité de Constantinople – bien qu’il le violât en réduisant la taille de l’Etat fédéré alévi et en tentant vainement d’annexer des territoires iraniens. Mais Kemal, lui, était la Bête immonde, celui qui avait déclenché la guerre d’indépendance turque quelques années auparavant, envoyé ses milices vengeresses massacrer des dizaines de milliers de Grecs à travers l’Anatolie, et dès son retour au pouvoir, il violait le Traité en rétablissant la Turquie, supprimant de facto les provinces fédérées alévies et kurdes. Bref, autant de menaces et de violations qui ne pouvaient décemment pas laisser le Gouvernement de Sa Majesté indifférent. Sans grande surprise, le Président du Conseil Dimitrios Gounaris a annoncé la mobilisation générale des armées et réservistes grecs, et à fait savoir sa volonté de « faire respecter les termes du Traité de Constantinople par l’Anatolie ». Une intention tout à fait louable en soi, mais qui n’est pas du goût de tous, puisque d’aucuns espèrent bien réaliser définitivement la Grande Idée grâce à cette guerre, et d’autres, la Fédération orientale. Ou peut-être cela finira-t-il tout simplement en Grande Catastrophe, tout dépendra de l’issue de la guerre.
Tour 1 – Attaque – Blocus naval
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
Néant.
Forces maritimes :
- Une dizaine de navires de guerre (cuirassés, croiseurs, destroyers)
Forces aériennes :
Néant.
Détails de l’action :
Une partie de la marine royale grecque est déployée au large de la Lycie et du Pont afin de mettre en place un véritable blocus naval contre la Turquie, d’une part afin d’empêcher toute sortie navale turque, mais aussi et d’autre part pour éviter d’éventuels ravitaillements depuis l’extérieur. Cependant, les navires battant pavillon de pays « alliés » de la Grèce, dont la France et le Royaume-Uni, ne seront pas visés par ce blocus afin de ne pas froisser ces Etats.
Tour 1 – Attaque – Offensive d’Ankara
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
- 50'000 soldats grecs
- Divers matériels (artillerie, chars, camions de transport, etc.)
Forces maritimes :
Néant.
Forces aériennes :
- 24 avions de chasse / bombardier
Détails de l’action :
Depuis Bolu, Çankırı, Eskişehir cinq divisions grecques, soutenues par des régiments d’artillerie et de blindés ainsi que par l’aviation, lancent une offensive vers les restes de la ville d’Ankara et sa région, à l’emplacement stratégique puisqu’il donne soit accès à différentes positions grecques majeures aux Turcs, soit parce qu’il ouvre aux Grecs la voie royale vers Konya. Le chemin de fer depuis Eskişehir jusqu’à Ankara sera notamment utilisé pour ravitailler les troupes mais aussi appuyer leur progression grâce à l’utilisation de trains blindés. Reprenant les stratégies victorieuses de la précédente guerre, les armées grecques arriveront ainsi par trois côtés pour encercler la province attaquée, puis s’en emparer le plus rapidement possible.
Tour 1 – Attaque – Conquête de la Pisidie
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
- 80'000 soldats
- Divers matériels (artillerie, chars, camions de transport, etc.)
Forces maritimes :
Néant
Forces aériennes :
- 36 avions de chasse / bombardier / reconnaissance
Détails de l’action :
Huit divisions vont partir de Denizli, Kutahya et d’Uşak afin de s’emparer de la Pisidie turque, à savoir les régions d’Afyonkarahisar, Burdur et Isparta, clefs pour accéder à Antalya et Konya. Là encore, les chemins de fer construits sous l’Empire ottoman vont être utilisés pour appuyer militairement la progression des troupes grecques, les grandes villes étant reliées par les rails, mais aussi pour la logistique. De même, la stratégie habituelle grecque sera employée, à base de reconnaissance aérienne, frappe d’artillerie et bombardements aériens puis attaque terrestre afin de faire tomber les villes et leur région.
Tour 1 – Défense – Sécurisation des frontières
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
- 50'000 Gardes nationaux et réservistes
Forces maritimes :
- Soutien naval sur les positions côtières frontalières
Forces aériennes :
- Vols de reconnaissance
Détails de l’action :
En Carie et dans le Pont, cinq divisions de gardes nationaux et de réservistes sont déployées aux frontières afin d’en assurer la sécurité. Les systèmes de fortification construits lors de la précédente guerre sont à nouveau utilisés pour prévenir toute intrusion turque, tandis que des vols de reconnaissance seront régulièrement opérés pour tenter de repérer toute offensive ennemie sur les territoires en question, les autres étant d’ores et déjà sécurisés par la présence massive de troupes dessus.
Tour 1 – Diplomatie – Cappadoce
Détails de l’action :
Ayant noué depuis plusieurs années de solides relations avec la minorité alévie turque, armée, entraînée et financée secrètement par ses propres soins, la Grèce appelle ses alliés de Cappadoce à prendre les armes et à se battre à nouveau pour leur indépendance face au régime de Mustafa Kemal contre lequel ils s’étaient déjà rebellés. L’émissaire grec l’assure : les Alévis retrouveront le territoire auquel ils pouvaient prétendre conformément au traité de Constantinople, en cas de victoire évidemment. Naturellement, un soutien grec total sera apporté aux troupes Alévies.
- Spoiler:
Etoiles bleues : navires de guerre
Lignes noires : principaux chemins de fer en Anatolie
Flèches oranges : offensive sur Ankara
Flèches vertes : offensive sur la Pisidie
Sirda- Modérateur
- Messages : 2622
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: [En cours] Cinquième guerre gréco-turque
Modération de guerre :
Carte post offensive, en gris les territoires conquis
Action 1 : Blocus naval
Action réussie d'emblée vu l'inexistante marine turque
Les côtes turques sont isolées par la marine grecque qui patrouille. Aucun navire turc n'étant existant, il n'y a aucune perte civile, mais le commerce avec la Turquie est fortement impacté, notamment à Antalya.
Action 2 : Offensive d'Ankara
Chances de succès : 75%, jet de dé : 91
Alors que les premiers coups de feu de l'armée grecque retentissent dans les collines entourant Ankara, c'est le branle-bas de combat partout dans la région. Ankara, ville martyr, ne doit pas tomber aux mains de l'armée grecque une nouvelle fois. Ainsi, en plus des 20 000 soldats positionnés dans la région, plusieurs dizaines de milliers de miliciens turcs rejoignent le front en quelques jours, pour beaucoup réfugiés expulsés par les grecs et survivants de la Catastrophe (le génocide).
L'armée grecque est repoussée, et ne parvient pas à se saisir d'Ankara.
Pertes grecques : 1 200 tués
Pertes turques : 600 soldats tués, 500 miliciens tués
Action 3 : Conquête de la Pisidie
Chances de succès : 75%, jet de dé : 35
Dans le sud du pays, le front cède et l'armée grecque avance avec une rapidité effrayante, se saissisant des clefs d'accès vers Konya, Antalya et le sud d'Ankara.
Pertes grecques : 500 soldats
Pertes turques : 700 miliciens
Carte post offensive, en gris les territoires conquis
Re: [En cours] Cinquième guerre gréco-turque
L'heure est grave, et la Turquie doit procéder à deux actions. Repousser l'envahisseur grec d'un côté, et mater l'énième révolte kurde de l'autre. Pour ce dernier objectif, l'armée d'Inönü, forte d'environ 25 000 hommes, est tout à fait appropriée.
Après avoir contrôlé le pays d'une manière plus forte, la Turquie sera plus à même de mener une offensive contre la Grèce. L'idée d'une intervention française du côté turc n'est pas à négliger non plus, et celle-ci serait plus que nécessaire pour mener à bien la défense de la patrie. Ainsi Mustafa Kemal a ordonné une politique défensive vis à vis de la Grèce pour l'instant, visant à protéger le coeur de l'Anatolie avant tout.TOUR 1 -
Nature de l'action : Destruction des rébellions internes et protection du coeur de la Turquie.
Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
- ~ 200 000 soldats ( 80 000 soldats professionnels, 120 000 miliciens et affiliés)
Forces maritimes :
- /
Forces aériennes :
- ~ 20 avions de reconnaissance
Carte :
- Spoiler:
Détails de l'action :
Action 1
Inönü, évacuant l'Iran pour rentrer au pays, devra procéder à une attaque contre les populations rebelles kurdes. Sont visés les centres de pouvoir rebelles comme Diyarbekir et Agri. Il aura sous ses ordres environ 25 000 soldats, dont 20 000 soldats professionnels et une escadre de 6 avions qui l'appuieront pour des missions de reconnaissance.
Chance de succès : 70 % ; jet de dés : 47
Résultat de l’action : Les troupes d'Inönü avancent de manière très professionnelle contre les quelques milliers de miliciens kurdes reconvertis à la cause du sécessionisme. Face à l'organisation des 20 000 soldats de l'Armée Turque, les troupes kurdes se dispersent rapidement. Plusieurs massacres ont lieu dans des villages, malgré la réticence d'Inönü à cette idée. Les troupes turques sont en effet enragées par ce coup de couteau dans le dos.
Après une semaine de conflits, la rébellion kurde se rend et le territoire repasse sous contrôle (précaire) de la République de Turquie.
Pertes de l’attaquant :
- 600 soldats turcs tués
Pertes du défenseur :
- 800 miliciens kurdes tués, 1 500 prisonniers
- 7 000 à 9 000 civils massacrés par l'Armée Turque
Action 2
Dans le nord, la rébellion alevi se doit d'être matée immédiatement, avant que ceux-ci ne laissent la Grèce pénétrer sur le territoire sacré de la République. Ainsi, ce sont 10 000 soldats professionnels, et 30 000 miliciens qui ont pour mission de pacifier la région et d'en prendre le contrôle.
Chance de succès : 80 % ; jet de dés : 41
Résultat de l’action : Les troupes turques reprennent rapidement possession du territoire. En effet, la rébellion alevi n'est que très peu organisée et peu d'hommes ont suivi les appels des leader religieux. Parmi eux, quelques uns se sont enfuis vers la côte grecque de la Mer Noire suivant la défaite militaire. Là aussi, plusieurs massacres ont lieu dans des cemevi, ces lieux de culte alevi, qui sont incendiés par l'Armée Turque.
Pertes de l’attaquant :
- 200 miliciens tués, 60 soldats turcs tués
Pertes du défenseur
- 400 miliciens tués
- 4 000 civils massacrés
Action 3
Enfin, le reste de l'armée soit environ 150 000 à 170 000 soldats et miliciens ont pour ordre de fortifier du mieux possible la frontière anatolienne avec la Grèce, c'est à dire :
- patrouilles frontalières de reconnaissance accrues
- destruction immédiate de tous les chemins de fer menant vers Konya, Antalya et Gaziankara
- création de tranchées dans les banlieues des villes de Konya, Antalya et Gaziankara
- mobilisation de la population locale pour en faire des franc-tireurs et distribution massive d'armes à feu pour les volontaires
Chance de succès : / non nécessaire car action défensive
Re: [En cours] Cinquième guerre gréco-turque
Royaume-UniLe déclenchement de la cinquième guerre gréco-turque provoque des remous au 10 Downing Street. Londres qui avait soutenu jusqu’au bout son allié grec les années précédentes, fait un pas en arrière et condamne l’invasion militaire de Constantinople qui déstabilise la région et provoque l’ire du partenaire français. Stanley Baldwin a toujours le souvenir des erreurs de son prédécesseur au court mandat marqué par un aventurisme délirant en Asie mineure pour contrer l’influence rouge. Malgré cela, il y a toujours pour Londres une réelle volonté politique de stopper l’expansionnisme soviétique qui lorgne au plus près des possessions britanniques en Orient. Le Premier ministre britannique propose donc une réunion diplomatique d’urgence avec la France et la Grèce, pour trouver une solution diplomatique au conflit.
Gosseau- Secrétaire général des Nations Unies
- Messages : 4375
Date d'inscription : 22/08/2011
Re: [En cours] Cinquième guerre gréco-turque
Le Royaume-Uni, contre toute attente, ne soutient pas la Grèce autant que la Turquie le craignait. En effet, Londres est un ennemi acharné de la Turquie depuis maintenant plus d'une décennie. La demande de conférence de paix est une excellente nouvelle pour la Turquie. La Grèce risque fort de devoir renoncer à son projet génocidaire suite à la pression internationale.
En revanche, la Turquie ne se couchera pas dans une position défensive. La mobilisation lancée il y a deux mois commence à porter ses fruits et de nombreux miliciens recrutés à la va vite à travers l'Anatolie se pressent sur le front. Aucune difficulté à recruter parmi la population turque, au vu de la haine viscérale envers l'armée grecque.
L'Armée Turque lance donc une offensive, quitte à dégarnir considérablement le reste du front. Celle-ci est certainement bien plus dans l'idée d'adopter une posture différente de celle d'un pays à terre. Le loup turc n'est pas encore vaincu, bien qu'il soit mortellement blessé.TOUR 2 - OFFENSIVE TURQUE VERS SAKARYA
Nature de l'action : Afin de peser dans les négociations et de frapper la Grèce en retour, l'Armée Turque se lance dans une offensive d'envergure vers Constantinople.
Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
- 30 000 soldats de l'Armée Turque
- 100 000 miliciens de la Milice Nationale Turque
Forces maritimes :
- /
Forces aériennes :
- 6 escadres de 2 appareils de reconnaissance chacune
Carte :
- Spoiler:
Détails de l'action :
Action 1
L'Armée turque doit percer le front dans la vallée Bolu - Düzce - Sakarya afin d'arriver sur les abords d'Izmit et de menacer directement les lignes de ravitaillement grecques venant de Constantinople.
L'offensive sera menée par la Première Division de l'Armée Turque aussi nommée Lions d'Anatolie, appuyée de deux divisions professionnelles sous le commandement du Général Inönü. Les 100 000 miliciens serviront d'appui et notamment à sécuriser l'arrière du front et les territoires conquis par les divisions professionnelles en cas de victoire.
Mustafa Kemal Atatürk préparant les troupes à l'offensive
Re: [En cours] Cinquième guerre gréco-turque
Modération de guerre
Cinquième guerre gréco-turque - Tour 2
Action n°1 - Offensive turque vers Sakarya
Chances de succès : 67% ; jet de dés : 9 [VICTOIRE MAJEURE]
Laconiquement décrite comme « Ballsy » par un haut gradé turc pendant la réunion d'état-major lors de laquelle le plan a été approuvée, l'offensive vers Sakarya est un succès considérable pour la Turquie. Jouant sur la retraite des divisions grecques vaincues devant Gaziankara, dispersées vers leurs trois points d'offensive, la concentration de l'essentiel de la puissance militaire turque en un seul point a permis de surpasser rapidement les défenses grecques dans la région et de percer jusqu'à la ville de Sakarya, tombée sans grande difficulté, après les chutes consécutives de Bolu et de Düzce.
Pertes turques : 500 soldats / miliciens tués
Pertes grecques : 2500 soldats tués, 4000 prisonniers
Sirda- Modérateur
- Messages : 2622
Date d'inscription : 18/09/2011
Gosseau aime ce message
Re: [En cours] Cinquième guerre gréco-turque
Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος / Royaume de Grèce
« Elefthería í thánatos »
● Cinquième guerre gréco-turque ●
« Elefthería í thánatos »
● Cinquième guerre gréco-turque ●
................L’effroi s’est emparé de Constantinople. La chute de Bolu, Düzce et de Sakarya rapproche dangereusement les armées turques de la capitale grecque, qui n’en reste pas moins protégée par la marine royale et le Bosphore, empêchant pour l’instant toute chute de la Seconde Rome. Pour autant, l’Anatolie grecque semble plus que menacée, tandis que les armées grecques, défaites à Ankara puis en Bithynie, peinent à inverser la tendance. Le limogeage d’une partie des officiers républicains, les plus expérimentés, est certainement la raison de cette débâcle, mais le Gouvernement, sous pression, garde confiance en façade. Il ne peut toutefois que constater sa propre crédulité, lui qui avait accepté la rencontre avec Londres et Paris et suspendu ses opérations militaires le temps qu’elle se déroule. Si le maintien de cette rencontre est toujours à l’ordre du jour côté grec, une vaste opération de contre-offensive et de vengeance est toutefois mise en place par l’état-major pour briser la Turquie et renvoyer ce pays dans les profondeurs abyssales du Néant dont la race turque n’aurait jamais dû sortir. Mais hélas, les Francs fanatiques avaient empêché cette action salvatrice il y a cinq siècles, et leur comportement aujourd’hui fait craindre une répétition de l’Histoire.
Tour 3 – Contre-offensive grecque / Opération Némesis
Forces terrestres :
- 165'000 soldats professionnels
- 100'000 conscrits
- 150'000 réservistes dont 50'000 membres de la Garde nationale
Forces maritimes :
- 4 cuirassés
- 2 croiseurs
- 15 destroyers
- 14 torpilleurs
- 2 sous-marins
- Divers navires auxiliaires (chasseurs et mouilleurs de mines, ravitailleurs, etc.)
Forces aériennes :
- 6 avions de reconnaissance
- 54 bombardiers
- 20 chasseursAction n°1 – Bombardement naval de la Lycie
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
Néant.
Forces maritimes :
- Lemnos, cuirassé de classe Mississippi
- Georgios Averof, croiseur de classe Pisa
- Keravnos et Nea Genea, destroyers de classe V
- Niki et Aspis, destroyers de classe Niki
Forces aériennes :
Néant.
Détails de l’action :
L’escadre grecque déployée au large de la Lycie reçoit pour ordre d’opérer le bombardement des positions militaires d’Antalya et d’autres garnisons le long de la frontière avec la Carie grecque afin de déblayer la zone et d’infliger un maximum de dégâts aux unités turques dans la zone.Action n°2 – Reconquête de Bolu
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
- 30'000 soldats grecs
- Divers matériels (artillerie, chars, camions de transport, etc.)
Forces maritimes :
Néant.
Forces aériennes :
- 12 avions de chasse / bombardier
Détails de l’action :
Depuis la Paphlagonie, trois divisions sont chargées de reconquérir Bolu et sa région afin d’encercler les armées turques en Bithynie et les affamer au passage en leur coupant les lignes de ravitaillement.Action n°3 – Contre-offensive de Sakarya
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
- 70'000 soldats professionnels
- 50'000 conscrits
- Divers matériels (artillerie, chars, camions de transport, etc.)
Forces maritimes :
Néant
Forces aériennes :
- 36 avions de chasse / bombardier / reconnaissance
Détails de l’action :
Pour certains rapatriés en urgence depuis la Pisidie, pour d’autres venant de Bursa, de Constantinople, et d’Izmit, sept divisions professionnelles et cinq divisions de conscrits sont mobilisées en toute urgence depuis la Bithynie libre, la Mysie, la Paphlagonie, et la Thrace afin de mener la contre-offensive générale vers Sakarya, sous le commandement du prince André de Grèce, déjà victorieux à Ankara quelques années plus tôt. Les troupes seront divisées en trois corps, chacun partant de son point pour fondre vers Sakarya et récupérer la ville tout en massacrant les troupes turques qui, on l’espère, seront privées de moyens de repli par la reprise de Bolu. En outre, profitant des chemins de fer locaux, des trains blindés seront là en renfort.Action n°4 – Bataille de Konya
Effectifs, équipements, organisation :
Forces terrestres :
- 40'000 soldats professionnels
- 20'000 conscrits et réservistes
Forces maritimes :
Néant.
Forces aériennes :
- 24 avions de reconnaissance / chasseurs / bombardiers
Détails de l’action :
Les troupes victorieuses de Pisidie, profitant de la présence de l’essentiel des troupes turques en Bithynie, lancent une offensive sur la capitale turque afin de prendre la ville et de contraindre Kemal et ses sbires à la capitulation. Dégarnies d’éléments professionnels au profit de Sakarya, mais renforcées par des conscrits et des réservistes, notamment des Epistratoi fournis par Ioannis Metaxas, elles compteront sur la supériorité aérienne grecque pour frapper les positions ennemies et couvrir leur avancée vers Konya, qui sera pilonnée par l’artillerie.
- Spoiler:
Action n°2 : flèche rouge
Action n°3 : flèche vert foncé
Action n°4 : flèche bleu
Sirda- Modérateur
- Messages : 2622
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: [En cours] Cinquième guerre gréco-turque
[quote="Sirda"]
Modération de guerre
Cinquième guerre gréco-turque - Tour 3
Simulation des quatre actions
Chances de succès : 90%, 40%, 60%, 45% ; jet de dés : 71, 76, 66, 92 [DEFAITE]
Ce devait être la remontada, c'est la catastrophe générale : l'opération Némésis est un échec complet. Si la marine royale est parvenue à atteindre ses objectifs - quoi que pas autant que prévus - lors des bombardements côtiers, à terre, les armées grecques ont tout bonnement échoué dans leurs diverses opérations. Les défenseurs de Bolu infligèrent une sèche défaite aux troupes venues couper en deux les lignes turques, tandis qu'à Sakarya, le Prince André de Grèce, après une violente et honorable bataille, dû concéder une défaite de justesse face à Inönü et battre retraite vers Nicomédie. Quant à la tentative de prise de Konya, même la tentative de soulèvement nationaliste hongroise à Budapest d'il y a quelques années fut moins minable, les troupes grecques ayant été interceptées dès la frontière et contraintes à la retraite.
Pertes turques : 2500 soldats / miliciens tués
Pertes grecques : 8000 soldats tués
Sirda- Modérateur
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