Septième Guerre Russo-turque

Empire Ottoman:

TOUR 1:

Siège de la forteresse de Kinburn:

Effectifs, équipements, organisations: (I : 28 000 / C : 7000 / T : 35 000)
Forces terrestres:
. 10 000 Janissaires
. 2000 artilleurs
. 1000 sapeurs
. 3500 Solaklar/Sakalar
. 1500 Sipahi
. 2000 cavaliers
. 1500 Deliler
. 2000 Timariotes
. 7500 Azab
. 4000 Bashi-Bazouk
Forces navales:
. 5 navires lourds
. 12 navires légers
. 5 navires de transports

Carte:

Spoiler:

Détail de l’action:
(1). L’armée ottomane situé à la frontière avec la Crimée a reçu pour ordre de rentrer en territoire russe pour s’emparer de la forteresse de Kinburn qui contrôle l’embouchure du Dniepr. Dans un premier temps, les éclaireurs ont reçu ordre de se déployer dans la région afin de repérer une éventuelle armée russe.

(2). Dans un second temps, le gros des forces du sultan marcherons vers la forteresse. Si aucun contact n’a lieu avec une armée russe, alors le siège sera installé. Une fois l'artillerie en place, celle-ci aura pour mission de bombarder la place afin d'ouvrir une brèche dans ses défenses. A partir du moment où les défenses seront affaiblit, plusieurs assauts seront donné afin de s'emparer le plus rapidement possible du site.

(3). Afin d’éviter d’exposer tout l’armée à une contre-attaque russe venu des terres, les forces de Sipahi (1500 hommes environ) resterons en retrait afin de servir d’arrière garde. Ce dispositif devrait permettre à l’armée ottomane de se retourner contre une éventuelle armée russe et de protéger les convois ravitaillant les troupes.

(4). Dans le même temps, la flotte de mer noire a reçu ordre de tester la présence russe aux abords de la Crimée. Elle ne devra engager le combat qu’en étant sur de sa supériorité. Dans le cas où aucun navire russe ne se présenterais pour contester la suprématie maritime, les navires les plus lourds devront aller porter soutient aux armée terrestres par un bombardement de la forteresse de Kinburn.

Autres mouvements de troupes:

Pendant que l'armée conduite par le Grand Vizir s'emparera de Kinburn, les autres troupes resterons sur la défensive. En Valachie et Moldavie, les garnisons de Roumélie et d'Anatolie se sont rejointe pour former une nouvelle armée. Dans le Caucase, la moitié des effectifs seront redirigé vers les Balkans (Roumélie) tandis que les soldats restant garderons la défensive.

Modération de guerre
Tour 1

Siège de Kinburn

Chances de succès : 55% ; jet de dés : 89

Le siège de la forteresse de Kinburn est un cuisant échec pour le sultan Abdul Hamid I. En effet, malgré une stratégie plutôt intéressante, plusieurs facteurs vinrent perturber son assaut. Déjà, le surnombre de soldats déployés sur une si petite zone, un banc de sable, à côté de marécages, entraîna une certaine lenteur lors des assauts, tandis que toute la force de feu ottomane ne pouvait pleinement être employée face au fort, qui alignait pour sa part plus de 300 canons dans toutes les directions. Ainsi, lorsque la flotte ottomane s’approcha du fort, elle fut immédiatement prise à partie par l’artillerie russe, lui infligeant de sérieux dégâts, alors qu’à terre, les troupes du sultan peinaient à avancer dans la zone, sous le feu nourri là encore des canons russes, qui usèrent de la boîte à mitraille pour causer un maximum de pertes aux ottomans. Le commandant de la garnison, Alexander Vasilyevich Suvorov, ordonna ensuite à une partie des 1'500 hommes présents dans sa garnison de sortir combattre les ottomans, toujours sous le feu de l’artillerie russe ; ce qui acheva totalement les troupes ottomanes, contraintes de regagner Ochakov.

Pertes ottomanes : 1'247 tués, 1'753 blessés, 1 navire lourd coulé, 2 navires légers endommagés, 2 navires de transport coulés

Pertes russes : 263 tués, 216 blessés


Déploiement des saphis

Chances de succès : 70% ; jet de dés : 54

Le déploiement des 1'500 saphis dans différentes régions aux alentours de la forteresse afin de prévenir toute offensive russe s’est globalement bien déroulé, malgré quelques incidents tels que des soldats se noyant dans les marais. Malgré leur faible nombre, ils pourraient ralentir une opération russe.

Pertes ottomanes : 4 morts noyés, 2 blessés en coupant du pain

Pertes russes : Igor le paysan urinant dans un buisson, tombé nez à nez avec un ottoman

Empire de Russie

Tour 1 – Attaque – Sécurisation de la Mer Noire

Nature de l’action : Afin de conserver sa domination navale dans la Mer Noire, la Russie part à la rencontre des navires ottomans afin de les couler. Ainsi, la flotte de la mer noire, dirigée par le comte-amiral Alexei Grigoryevich Orlov, qui avait déjà vaincu les mahométans turcs lors de la dernière guerre, est déployée.

Effectifs, équipements, organisation :

Forces terrestres :
Néant

Forces maritimes :
5 navires de ligne
19 navires légers (frégates)

Carte :

Spoiler:

Détails de l’action :
I. La flotte sort du port où elle est.
II. La flotte va vers la position de la flotte ottomane.
III. La flotte engage la flotte ottomane. DEUS VULT.

Tour 1 – Attaque – Siège de Khotin

Nature de l’action : Une armée russe menée par le général Ivan Petrovich Saltykov assiège la ville ottomane de Khotin, au nord de la Moldavie.

Effectifs, équipements, organisation :

Forces terrestres :
20'000 soldats d’infanterie
5'000 cavaliers,
86 pièces d’artillerie

Forces maritimes :
Néant

Carte :

Spoiler:

Détails de l’action :
I. L’armée arrive à proximité de la forteresse de Khotin. L’artillerie se met en place ainsi que l’infanterie.
II. Les cavaliers organisent des rondes dans la région afin de repérer toute troupe ennemie pour prévenir l’état-major. Environ 2'000 cavaliers restent avec l’infanterie. Pendant ce temps, l’artillerie pilonne le fort et la ville.
III. L’infanterie pénètre dans la ville et dans son fort une fois les défenses affaiblies.

Tour 1 – Attaque – Siège d’Ochakov

Nature de l’action : Le général & prince Grigori Aleksandrovitch Potemkine, après la victoire de son homologue au fort de Kinburn, lance l’offensive sur Ochakov afin de percer les lignes ottomanes.

Effectifs, équipements, organisation :

Forces terrestres :
50'000 soldats d’infanterie
15'000 cosaques,
176 pièces d’artillerie

Forces maritimes :
2 navires lourds
3 navires légers

Carte :

Spoiler:

Détails de l’action :
I. La flotte russe bombarde les positions ottomanes sur la ville et dans les alentours.
II. Les 15'000 cosaques se divisent en dix groupes de 1'500 cavaliers chacun et précèdent l’armée. Ils patrouillent dans les zones à la recherche de troupes ottomanes embusquées.
III. L’armée suit à vingt kilomètres de distance les cosaques. Une fois le chemin libre, elle avance pour assiéger Ochakov.
IV. L’armée encercle la ville tandis que les cosaques continuent les patrouilles pour prévenir toute arrivée ennemie. L’artillerie pilonne les positions ennemies.
V. Une fois les défenses percées, l’armée entre à l’intérieur de la ville pour l’envahir.
VI. Le fort de Kinburn, récemment défendu avec vaillance par les russes, et situé juste en face d’Ochavok, couvrira les arrières de la flotte russe en interdisant toute approche navale ennemi grâce à ses canons.

Modération de guerre
Tour 1

Bataille navale de la Mer Noire

Chances de succès : 70% ; jet de dés : 85

Malgré une supériorité numérique et de puissance, déjà démontrée dans la précédente guerre, il semblerait que Dieu ne voulut point accorder la victoire aux russes. En effet, en raison d’une très mauvaise météo, la flotte russe fut grandement handicapée lors de ses manœuvres et perdit énormément de temps à rattraper la flotte ottomane qui se redirigeait vers son port d’attache, Constantinople. Arrivés plus vites qu’escomptés, les navires russes furent ainsi pris en tenailles entre les navires ottomans et la défense navale de la Sublime Porte, envoyant au fond du Bosphore une partie de la flotte russe, l’autre parvenant tant bien que mal à s’extraire de cet enfer et à se réfugier dans son port d’attache.

Pertes ottomanes : 1 navire lourd coulé, 1 navire léger coulé, 1 navire léger endommagé

Pertes russes : 3 navires lourds coulés, 1 navire lourd endommagé, 9 navires légers coulés, 3 navires légers endommagés


Siège de Khotin

Chances de succès : 60% ; jet de dés : 69

Au nord, la situation n’est guère plus favorable. En effet, l’armée russe n’a pu assiéger comme escompté la ville de Khotin, pourtant stratégique pour permettre l’avancée des troupes vers la Bessarabie et les Balkans ottomans. Si la défense ottomane n’est pas la cause de l’échec, c’est parce qu’elle n’a pas eu le temps d’entrer en jeu. En effet, les troupes russes ont été littéralement embourbées dans les champs ukrainiens, à cause de pluies torrentielles qui se sont abattues dans la région. Les canons ont été enlisés tandis que les chevaux peinaient à avancer, à l’instar des hommes. L’armée devrait pouvoir reprendre s marche vers Kothin le tour suivant.

Pertes ottomanes : aucune

Pertes russes : dix-huit canons embourbés


Siège d’Ochakov

Chances de succès : 40% ; jet de dés : 76

Jamais deux débâcles sans trois. Le siège d’Ochakov est une véritable bérézina avant l’heure pour les russes. En effet, l’état-major russe a vraisemblablement sous-estimé le temps nécessaire pour traverser la région et atteindre la ville, important à cause du Dniepr et des marais, sous-estimant par la même occasion les besoins de ravitaillement. Ce même ravitaillement a connu de nombreux problèmes, étant souvent la proie d’attaque des saphis, que les cosaques n’ont pu débusquer, cherchant bien trop au nord, ou se faisant littéralement défoncer par quelques petites escouades ottomanes qui avançaient rapidement et discrètement dans les marais et forêts locaux, laissant peu de chances aux cavaliers. Là aussi, de nombreux canons furent embourbés. Comble de la malchance, une épidémie de peste a éclaté à cause du corps du vieil Igor, et a contaminé une partie de l’armée. Profitant de l’occasion, les troupes légères ottomanes mirent le feu à plusieurs entrepôts de munitions russes, après infiltration des camps d’infortunes, empêchant toute offensive russe. Quant à l’attaque navale, les navires furent coulés par le fort de Kinburn, qui, à cause du mauvais temps, confondit les bâtiments russes avec des ottomans.

Pertes ottomanes : 34 tués, 23 blessés

Pertes russes : 361 cosaques tués, 10'863 soldats tués par la peste et les ottomans, 56 canons embourbés, 23 canons détruits, 15'720 soldats indisponibles à cause de la peste, 2 navires lourds coulés, 3 navires légers coulés.