[En cours] Occupation de la Ruhr

Occupation de la Ruhr

L'Allemagne ne paie pas. L'Allemagne ne produit pas. L'Allemagne ne respecte pas. Mais en plus, l'Allemagne maintient des troupes militaires à proximité immédiate des zones d'occupation de l'Entente, violant ainsi la sécurité des Etats français et belges en violation totale et évidente du traité de Versailles. Par conséquent, il n'y a qu'une seule solution pour Paris et Bruxelles : s'assurer elles-mêmes que plus aucun doryphore ne pullule dans la Ruhr.

Ainsi, devant foule de badauds et de presse, Clemenceau, tout comme le Premier ministre belge, ont prononcé un ultimatum dont la copie télégraphiée sera envoyée à Berlin immédiatement : "La République française et le Royaume de Belgique exigent du gouvernement allemand un retrait immédiat de la totalité de ses troupes militaires de la Ruhr, une non-opposition totale à l'occupation de celle-ci. Tout refus entraînera des mesures d'ordre militaire à l'encontre de l'Allemagne."

Bataille de la Ruhr

Forces en présence :
France :
- 30 000 hommes dont 20 000 soldats coloniaux
- Police militaire du Rhin
- 2 régiments d'artillerie de campagne
- Aviation de reconnaissance
Belgique :
- 10 000 hommes
Royaume-Uni :
- 5 000 hommes

Allemagne :
- 20 000 hommes
- Diverses milices (Freikorps, SPD : ~10k hommes)

Déroulement

Après avoir reconnu la position des troupes allemandes par aéronef, profitant de la supériorité aérienne garantie par le traité de Versailles, l'artillerie française pilonnera lesdites troupes avant que l'infanterie franco-belge n'attaque pour repousser les Allemands. Le général Mangin, qui dirige l'opération, appliquera alors sa stratégie testée pendant la première guerre mondiale de feu roulant de l'artillerie : à l'aide de camions, l'artillerie de campagne française suivra son infanterie pour mettre les Allemands en recul sous un feu d'artillerie constant, rendant ainsi extrêmement difficile pour eux de se réorganiser.

Chances de succès : PJ vs PJ

Carte

Les forces française épaulée par leur allié on porter un grand au force coalisé allemande de la Ruhr. Ainsi, grâce a la reconnaissance aérienne, l'artillerie a pu pilonner de façon extrêmement efficace les position Allemande désorganisant complètement leur armée. 

Les forces régulière allemande ont ensuite tenter une fuite en direction de Gelsenkirchen. Le SPD a lui essayer de créer une résistance aux alentour de Essen.  Resistance qui sera écraser par les forces Anglo-Belges. 

Les freikorps ont eux dans leur folie refuser la retraite, les forces colonial les massacreront au alentour de Oberhaussen. Quand a la police militaire du Rhin elle massacrera le semblant de poches des freikorps. 

L'armée française se pose  devant la ville de Gelsenkirchen ou se masse les troupes allemandes. 

Celle-ci complétement désorganiser, sans général (celui-ci ayant pris la fuite) et ayant perdue de nombreux officier pendant le pillonement de l'artillerie décidera en grande partie de se rendre. Les quelque résistant essaieront de fuir la Ruhr.

Dans les jour suivant l'armée française et ces alliés prirent le contrôle de la Ruhr mais des brèves combat continue notamment à cause de quelque freikorps encore vivant qui semble vouloir entrer en résistance total avec l'occupant Français.  

TOUR 2 - Contre offensive symbolique

Nature de l'action : Il existe toujours quelques centaines de miliciens en roue libre, par contre la Reichwehr est soit prisonnière soit en fuite. Cependant Hindenburg ne peut se résoudre à capituler. Il lui faut une "victoire", si tirée par le cheveux, et sans intérêt soit elle. Après il est possible d'accuser dans un mythe du coup de couteau dans le dos remastérisé tout le reste de la population. L'objectif est d'avoir quelque tête de pont dans la ville de Dortmund. Ainsi, avec le fond de Reichwehr provenant d’ailleurs de l'Allemagne, une pseudo offensive est lancée.

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
Allemagne: 2.000 soldats
Entente: 45.000 soldats + Police Militaire du Rhin répartis dans toute la Ruhr

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :
Infiltration

En recyclant les tactiques des strosstruppen de la grande guerre, les 5.000 hommes ont pour ordre de trouver des points faiblement gardés et d'attaquer dans ces endroits, tout en contournant et en évitant les points forts. Ils sont armés de MP 18 et de Luger P08, ainsi que plusieurs grenades chacun. En réalité c'est leur seul avantage vu qu'il n'y aura pas d’artillerie, ni d'aviation pour les aider. Vu ce déficit de puissance de feu, une contre tactique est d’utiliser le paysage urbain pour coller au maximum les troupes françaises, et ainsi nullifier l'avantage qu'ils ont. Il est aussi espérée que les ruines, et des attaques le soir ou le matin protègent plus ou mois des bombardements qui pourront quand même se faire. Si l’occasion se présente, des raids pour détruire la logistique ou l'artillerie française est envisagé, mais tout cela reste à la discrétion des officiers sur le terrain.


Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action:
Pertes de l’attaquant:
Pertes du défenseur:

Retraite

Après avoir prouvé (ou pas) la capacité, aussi futile soit elle, d'une réactivité allemande, toute les troupes Reichwehr (et les paramilitaires qui le peuvent aussi) quittent la Ruhr, car l'armée allemande n'est pas assez desillusional pour croire en gros fascistes en une victoire par le triomphe de la volonté. Après ce baroud d'honneur, Hindenburg démissionnera et laissera le SPD assumer les conséquences de cette occupation.

Chance de succès : % ; jet de dés :
Résultat de l’action:
Pertes de l’attaquant:
Pertes du défenseur:

TOUR 2 - Contre offensive symbolique

Nature de l'action : Il existe toujours quelques centaines de miliciens en roue libre, par contre la Reichwehr est soit prisonnière soit en fuite. Cependant Hindenburg ne peut se résoudre à capituler. Il lui faut une "victoire", si tirée par le cheveux, et sans intérêt soit elle. Après il est possible d'accuser dans un mythe du coup de couteau dans le dos remastérisé tout le reste de la population. L'objectif est d'avoir quelque tête de pont dans la ville de Dortmund. Ainsi, avec le fond de Reichwehr provenant d’ailleurs de l'Allemagne, une pseudo offensive est lancée.

Effectifs, équipements, organisations :
Forces terrestres :
Allemagne: 2.000 soldats
Entente: 45.000 soldats + Police Militaire du Rhin répartis dans toute la Ruhr

Carte :

Spoiler:

Détails de l'action :
Infiltration

En recyclant les tactiques des strosstruppen de la grande guerre, les 5.000 hommes ont pour ordre de trouver des points faiblement gardés et d'attaquer dans ces endroits, tout en contournant et en évitant les points forts. Ils sont armés de MP 18 et de Luger P08, ainsi que plusieurs grenades chacun. En réalité c'est leur seul avantage vu qu'il n'y aura pas d’artillerie, ni d'aviation pour les aider. Vu ce déficit de puissance de feu, une contre tactique est d’utiliser le paysage urbain pour coller au maximum les troupes françaises, et ainsi nullifier l'avantage qu'ils ont. Il est aussi espérée que les ruines, et des attaques le soir ou le matin protègent plus ou mois des bombardements qui pourront quand même se faire. Si l’occasion se présente, des raids pour détruire la logistique ou l'artillerie française est envisagé, mais tout cela reste à la discrétion des officiers sur le terrain.


Chance de succès :10% ; jet de dés :65
Résultat de l’action: Les forces allemandes, on tenté une charge a 10H. Seulement la 4 et 5 division colonial française les attendais de pieds ferme. Se fut un massacre a sens unique. Les 15 000 combat coloniaux épauler par l'industrie a massacrer les forces allemande
Pertes de l’attaquant:
-1200 morts
Pertes du défenseur:
-710 morts
Retraite

Après avoir prouvé (ou pas) la capacité, aussi futile soit elle, d'une réactivité allemande, toute les troupes Reichwehr (et les paramilitaires qui le peuvent aussi) quittent la Ruhr, car l'armée allemande n'est pas assez desillusional pour croire en gros fascistes en une victoire par le triomphe de la volonté. Après ce baroud d'honneur, Hindenburg démissionnera et laissera le SPD assumer les conséquences de cette occupation.

Chance de succès : 15% ; jet de dés : 71
Résultat de l’action: La retraite a était pour les troupes allemande un véritable massacre, la police militaire du Rhin les forces anglo-belges c'était préparer et attendais de pied ferme les forces allemandes, celle-ci épuiser et acculé se faire la plus du temps attraper, ou tué.
Pertes de l’attaquant:
-2000 mort
-5 000 hommes capturé
Pertes du défenseur:
-400 mort police militaire du rhin
-200 anglais morts
-230 belges morts