Re: [V2021] Topic officiel

par **ctrez** Sam 17 Avr 2021 - 20:36

République de l'Inde

[V2021] Topic officiel - Page 2 Bannie19

Politique International

L'Inde se dis préoccupé de la monte de l'états Islamique en Afrique. Le ministre des affaire étrangère Subrahmanyam Jaishankar, souhaite ainsi un rapprochement de l'inde avec le Mozambique.
L'Inde souhaite ainsi apporté au Mozambique une aide militaire. Cette aide se concrétiserais par l'envoie de plusieurs formateur ainsi qu'une aide logistique. L'envoie du porte avion Vikramaditya est elle envisagé si le gouvernement du Mozambique accepte l'aide indienne.
Une proposition économique en plus de l'aide militaire est proposé, ainsi l'Inde est prêt a récupère les divers gisement gazier abandonné par les occidentaux grâce au deux entreprise national ONGC et Oil India Limited.
L'Inde est aussi prêt a envoyé 10 millions de dose du vaccin Indien (covaxin) dans le mois pour permettre au pays de lutte contre l'épidémie de Covid.

par **Skorm123** Sam 17 Avr 2021 - 22:15

대한민국/大韓民國

République de Corée

Le difficile alignement extérieur sud-coréen

[V2021] Topic officiel - Page 2 32631_44359_360

Depuis quelques années déjà, la Corée du Sud tient une position prudente au niveau extérieur et cela pour de nombreuses raisons : on peut citer notamment la question des relations intercoréennes, le commerce … sur tout ces sujets, la Corée du Sud doit faire attention. La principale raison est liée à la situation de guerre froide que se livrent depuis quelques années les superpuissances que sont la Chine et les Etats-Unis. La principale question est comment maintenir les relations privilégiées avec les Etats-Unis sans pour autant que la Chine mette la République de Corée comme ennemi, et réciproquement. La participation au TPMP, exercice naval chinois s’inscrit dans cette politique mais cette fois, que ce soit à l’interne ou l’externe, de nombreux acteurs ont critiqués le choix de la Corée du Sud à participer à cet entrainement militaire. En effet, les médias internationaux et locaux n’ont cessé d’affirmer que peut-être la Corée du Sud quitterait le giron américain pour rejoindre les chinois. Ces allégations ont étés démentis par le parti au pouvoir mais il est difficile de justifier une telle décision prise par le gouvernement sud-coréen.

En Corée du Sud, cette situation de quasi-guerre froide entre les Etats-Unis et la Chine a des conséquences, Moon Jae-in est critiqué par la droite conservatrice qui ressurgit violement alors que les précédents présidents sud-coréens, conservateurs, ont étés récemment condamnés pour diverses raisons. Ceci n’est pas sans inquiéter les plus modérés dont le président Moon, qui laissera derrière lui un mandat marqué notamment par la crise du COVID-19. Les présidentielles de début 2022 approchent vite et certains conservateurs n’hésitent pas à parler, pour les plus extrémistes, de guerres avec la Corée du Nord. Mais toutefois ce genre de politique ne sera pas adopté, ces propos extrémistes sont encore minoritaires dans la politique et même dans l’opinion, mais elle existe. Encore heureux. Moon a quelques mois pour changer la situation politique pour que le prochain président soit de son parti (les présidents sud-coréens ne peuvent être élus président que pour un seul mandat). Les sondages donnent en ce moment une marge de victoire du Parti Démocratique (parti du président) assez faible, mais la tendance va plutôt vers le Pouvoir aux Nationaux (PN), conservateurs. L’alignement de la Corée du Sud sera alors très claire, contrairement à aujourd’hui.

par **Utyi** Lun 19 Avr 2021 - 1:15

Fédération de Russie

Élections de la Douma

Partie uninominal majoritaire à un tour (225 sièges) / Partie Proportionnelle (225 sièges) /Total (450 sièges)
45% Russie Unie (101/225) / 27% Russie Unie (61/225) / 36% Russie Unie (162/450)
25 % LDPR (54/225) / 22 % LDPR (51/225) / 23.5% LDPR (105/450)
15 % KPRF (34/225) / 22% KPRF (50/225) / 18.5% KPRF (84/450)
10 % CP (25/225) / 17% CP (38/225) / 13.5 % CP (63/450)
5% Autres (11/225) / 12% Autres (25/225) /8.5% Autres (36/450)
Il n'y a pas de majorité absolue à la Douma. Le premier parti reste Russie Unie. Le taux de participation est de 65%

par **GeorgeV** Jeu 22 Avr 2021 - 23:50

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★ The United States of America ★

An House Divided Stand Before Me

[V2021] Topic officiel - Page 2 2020-110

Le président Trump qui recommence ses fameux "Trump Rally"

Après des mois et des mois de consultation sur la loi sur les armes à feu proposée par la Maison Blanche aux deux chambres, la proposition est finalement sanctionnée par le Congrès des États-Unis grâce au vote de la vice-présidente Harris, présidente du Sénat, qui a brisée l’égalité des voix. C’est toutefois une version fortement dilué du bill originel qui a été aujourd’hui adopté par le Congrès des États-Unis, ce qui n’a pas notamment empêcher le sénateur du Texas Ted Cruz de monter sur ses grands chevaux et d’appeler à des propos jugé de “sécessionniste” par la Maison Blanche. Le président Trump a par ailleurs pris la balle au bond en annonçant un Trump Rally à travers les États conservateurs des États-Unis, commençant au Nebraska et en abordant le grand sceau de la présidence américaine et ce en dehors de tout protocole. Nul doute qu’il annoncera prochainement qu’il se présente contre le président Biden aux élections de 2024.

Au Homeland Security, les directeurs s’inquiète et mettent en place divers protocoles de sécurité intérieurs contre le terrorisme domestique. La loi ayant été votée, il est désormais temps de l’appliquer, ce qui n’est pas une mince tâche.

U.S State Departement

Bien que officiellement les États-Unis applaudissent le processus de paix en Ukraine, à la Maison Blanche, aucune confiance n’est véritablement donnée au format Normandie qui a retardé l’inévitable pour l’Amérique, c’est-à-dire la soumission de l’Ukraine aux forces armées Russe. L’aide militaire envoyée à Kiev est désormais jugée comme “critique” alors que l’Amérique assure désormais une partie plus importante des dépenses militaires du pays d’Europe de l’Est : le budget envoyé en Ukraine passe de 600 millions à 1.5 milliards de $ U.S. L’ensemble comprend également «des capacités pour améliorer la létalité, le commandement et le contrôle et la connaissance de la situation des forces ukrainiennes grâce à la fourniture de radars de contre-artillerie et d’équipements tactiques supplémentaires; le soutien continu d'une capacité d'imagerie et d'analyse par satellite; et des équipements pour soutenir le traitement médical militaire et combattre les procédures d'évacuation », selon un communiqué du Pentagone. Du personnel militaire américain supplémentaire sera par ailleurs envoyé afin de soutenir les forces ukrainiennes dans leurs efforts de formation et de professionnalisation. Les États-Unis annonce aussi sa volonté de voir l’Ukraine être acceptée dans l’OTAN dans un futur rapproché.

[V2021] Topic officiel - Page 2 Greater_coat_of_arms_of_the_United_States

par **Thalassin** Ven 23 Avr 2021 - 4:22

[V2021] Topic officiel - Page 2 Banniere_France

Elections présidentielles

"Quand le peuple perd l'espoir, sa colère finit toujours par s'exprimer" - Jacques Chirac

Les élections présidentielles de 2022, et leur campagne, se sont déroulées dans un climat que d'aucuns qualifieraient d'"assez tristoune". La gauche, malgré le succès tout relatif aux élections régionales, n'a su s'unir, EELV ayant abandonné toute proposition d'alliance après le désastre qu'ont été ces dernières pour eux, ayant l'impression d'être totalement perdants en tant que parti. Jadot lui-même a été évincé, n'ayant pu éviter une primaire interne qui a donné le plus à gauche Julien Bayou vainqueur. Le PS, dans l'espoir de mener un dernier baroud d'honneur, a tenté l'aventure Hidalgo. Enfin pour ce côté du spectre politique (outre les trotskistes dans leur coin), l'inénarrable Jean-Luc Mélenchon s'est lancé tout seul dans une nouvelle tentative de briguer la présidence en pourfendant la bourgeoisie française et ses excès.

À la droite de l'échiquier politique français, Les Républicains ont eu aussi réaffirmé leur ancrage local, qui est sans doute une si ce n'est la plus grande de leur force, mais ils sont inquiets. Leurs atouts étaient déjà présents en 2017 avec Fillon, et pourtant il n'a su se hisser au second tour de la présidentielle. Xavier Bertrand, large vainqueur des primaires républicaines devant Pécresse et Wauquiez, se présente sur une ligne ferme sur les points de vue sociétaux et énormément de promesses libérales quant à l'économie. Une fermeté qui permet au Rassemblement National, désespérément assoiffé de sa première grande victoire politique en France, de les doubler par la droite. Promettant une lutte nette contre l'immigration et la désindustrialisation, le parti de Marine le Pen a abandonné sa ligne strictement anti-européenne de 2017 au profit d'éléments de langage directement empruntés au gaullisme. Entre les deux, Debout la France et Dupont-Aignan tentent de se frayer un chemin sans réel espoir.

Au milieu de tout ce schmilblick se tient droit le parti présidentiel. Emmanuel Macron a subi de plein fouet un quinquennat qui a fait de lui un des hommes les plus universellement détestés de France. Et pourtant. Et pourtant, malgré la vaccination qui n'a été ouverte à tous qu'en novembre, malgré ses sorties hasardeuses régulières, malgré son mépris général de l'électeur moyen, Emmanuel Macron reste le candidat préféré de la classe moyenne urbaine, un des corps électoraux les plus importants de la France du XXIe siècle, en plus de la bourgeoisie qui le met en avant dans les journaux. Le virage à gauche des EELV en nommant Bayou, et à droite de LREM elle-même tout au long du mandat Macron, promet à ce dernier une vaste plage du spectre politique.

Résultat du premier tour de l'élection présidentielle :

Marine le Pen / Rassemblement National : 25,4%
Emmanuel Macron / La République en Marche : 22,3%
Xavier Bertrand / Les Républicains : 19,1%
Jean-Luc Mélenchon / La France Insoumise : 16,3%
Nicolas Dupont-Aignan / Debout la France : 5,3%
Julien Bayou / Europe Ecologie Les Verts : 4,3%
Anne Hidalgo / Parti Socialiste : 3,1%
Autres partis : 4,2%

Le second tour sera donc un remake de 2017 : cette fois-ci, c'est le Front National qui arrive premier, avec le vote d'un électeur sur quatre. Le résultat vient confirmer un néo-bipartisme de fait qui semble renaître en France, entre LREM et le RN. L'hexagone semble devenir définitivement un pays de droite. Le coup de massue est particulièrement dur pour la gauche. Contrairement au parti de Dupont-Aignan, le Parti Socialiste, Europe-Ecologie les Verts et le Parti Communiste Français sont tous trois tombés sous la barre des 5% après une campagne où ils n'auront fait que se tirer dans les pattes. Synonyme de non-remboursement de la moitié des dépenses de campagne, cette position met en grave danger lesdits partis.

Le deuxième chapitre de la campagne présidentielle est quant à lui bien différent de 2017, la dynamique étant inversée du fait de la position de force du Rassemblement Nationale. Si à gauche tous les partis mineurs (dont le PS et EELV) ont appelé à renouveler le front républicain, tant insoumis que républicains ont refusé d'appeler à voter pour qui que ce soit. Le traditionnel débat d'entre-deux-tours, brillamment remporté par Macron en 2017 a cette fois été un désastre, le banquier se révélant aussi piètre orateur qu'épidémiologiste. Marine le Pen, proposant ouvertement d'établir un gouvernement "d'Union Nationale" avec Dupont-Aignan comme premier ministre, accompagné de diverses personnalités issues de tout le spectre politique, a su acculer Jupiter. Sur les plateaux télés, les analystes s'accordent à jouer la traditionnelle carte piège des abstentionnistes décideurs, sorties quand ils n'osent pas prendre de réelles prédictions.

Résultats du second tour de l'élection présidentielle :
Marine le Pen / Rassemblement National : 50,2%
Emmanuel Macron / La République en Marche : 49,8%

Dans un coup de tonnerre médiatique retentissant, Marine le Pen réussit enfin là où son père et elle-même ont échoué tant de fois : briguer la présidence de la République française. Il ne fait nul doute que le paysage politique du pays va subir une vaste réorganisation d'ici peu, en réaction à l'inédite arrivée au pouvoir de l'extrême-droite.

par **Skorm123** Ven 23 Avr 2021 - 21:00

대한민국/大韓民國

République de Corée

Nouveau président sud-coréen

Lee Nak-yon était le leader pour devenir le président depuis le début

La politique sud-coréenne est en pleine ébullition, après plusieurs mois de campagnes, plusieurs candidats se sont affrontés idéologiquement afin de devenir président de la Corée du Sud. Parmis les candidats, deux sortent du lot, l’ancien premier ministre Lee Nak-yon qui fut le premier ministre sous la direction du président Moon Jae-in il y a quelques années, et membre du Parti Démocratique, parti libéral et progressiste. Face à lui, il y a Hwang Kyo-ahn, ancien premier ministre de Park Geun-hye et même ancien président par intérim, étant donné qu’il a assuré la transition de pouvoir entre les deux précédents présidents suite au scandale Park. Il appartient donc au parti politique « Pouvoir au Peuple » conservateur. Le fait qu’ils furent tout deux premiers ministres à un moment de leurs carrières politiques, a beaucoup fait débat en Corée du Sud sur le renouvellement de la classe politique.

La situation par rapport aux dernières élections, celles de 2017, a grandement changé, les conservateurs se sont renforcés par rapport à cette date mais doivent tout de même se taper une réputation structurelle de corruption, les présidents précédents conservateurs étant systématiquement condamnés par la justice suite à leurs mandats. Le candidat Lee doit lui défendre un mandat qui n’est pas si catastrophique mais touché par un évènement mondial, le COVID-19 ainsi que le ralentissement économique qui en découle. Plusieurs questions ont émané lors de cette campagne, notamment dans une période post-COVID sur la capacité de la Corée du Sud de se réinventer pour un monde différent, autour de l’écologie et le social, des domaines ou la Corée du Sud ultra industrielle parait retardataire. Mais sur ces questions, c’est bien le parti libéral du parti Démocratique qui a les réponses. Sa politique anti-Chaebol, écologique, sociale, anti-corruption, et de démocratie directe attire pas mal la jeunesse sud-coréenne ainsi que les déçus des précédents mandats. D’autres questions ont émaillé cette campagne, sur le monde de demain, notamment la question d’un salaire universel et d’impôts sur la robotique et là encore c’est le PD qui est en avance car des tests ont lieux actuellement dans des petits villages du sud-est du pays afin de voir la viabilité du revenu universel qu’aucun Etat ne semble adopté dans son ensemble. Cette question rejoint la question plus globale sut le social en Corée du Sud jugé défaillant notamment concernant la retraite, certaines personnes devant encore travailler « jusqu’à la mort », l’institution étant créé qu’à partir de 1990 les gens n’ont pu cotiser avant.

C’est donc sans surprise, malgré un retour des conservateurs dans les sondages par rapport à 2017, que ce soit Lee Nak-yon qui serait élu. Et les résultats du 9 mars 2022 n’ont pas changés par rapport aux sondages, la surprise n’avait pas lieu. C’est donc Lee Nak-yon qui sera le 8ème président de la République de Corée depuis l’institution de la 6ème république et la démocratisation du pays. Déjà, les conservateurs promettent un retour pour 2027 avec leurs slogans habituelles « Hwang 2027 » avant même que les élections eurent lieux. Pas sur que celui-ci se représentera.

Il a passé le mois suivant à préparer son programme présidentiel, autour d’une Corée plus sociale, humaine, écologique et moins centrée autour de l’économie. C’est en mai qu’il prit ses fonctions et présenta son gouvernement, 3 noms ressortent. C’est notamment le cas de Park Seong-min, très jeune représentent qui sera à la charge de l’éducation, son jeune âge (née en 1996) a fait débat dans une société boomer qu’est la Corée du Sud mais celle-ci semble prometteuse. Song Young-gil sera le ministre des affaires étrangères et de la réunification, ministère qui sera unis pour la première fois. Il est notamment très droit de l’homme et conciliant, ce qui est bien pour les relations avec la Corée du Nord. Enfin, le premier ministre n’est autre que Choo Mi-ae. Elle sera pour le président d’une aide précieuse car elle est une proche de l’ancien président Moon Jae-in, et permettra une position de Moon dans les décisions du président, ce qui peut aider. Sa droiture et sa carrière dans la justice sera notamment d’une grande aide pour la création d’une loi contre les corruptions, notamment dans le domaine des affaires et entre les politiques et les chaebols.

Après la formation du gouvernement, le président Lee a lancé ses « 100 jours » visant à réformer durablement le pays dès le début de son mandat afin d’en avoir des résultats visibles dès le début. A cela, une loi écologique, sociale et anti-corruption devraient arriver d’ici les proochains mois.

par **Utyi** Ven 23 Avr 2021 - 23:15

Fédération de Russie

En Crimée, il y a un problème d'eau. L'Ukraine a décidé de vomir sur le génie soviétique qui transformé la steppe eurasienne sèche et contraignant au pastoralisme en terre productive par l'irrigation. Le Canal irrigant la Crimée depuis le Dniepr a en effet été coupé. Dès 2021, il y a eu des terribles choix à faire, comme l’abandon de l'agriculture et du rationnement d'eau. Mais encore une fois, le Progrès par la Transformation de la Nature et L’Aménagement du Territoire donnent non pas des miracles car c'est possible et fait, mais des solutions. La rénovation de la tuyauterie, le forage, l'introduction de plantes génétiquement modifiées résistantes à la sècheresse, voir les serres et l’irrigation goute à goute pour les production agricole à plus haute valeur ajouté. Voilà de nombreux moyens, tous appliqués, pour régler le problème de d'eau. Des projets plus fantasques, comme la poldérisation de la Mer d'Azov, la construction d'un nouveau port sur le détroit de Kertch (nommé Kertchodonsk évidement) et la canalisation du Don pour servir de nouveau canal d’irrigation à la Crimée ont été étudiés, mais malheureusement la réalité géopolitique n'est pas comme en 1960 avec le bon SG PCUS Nikita. Ces plans resteront une belle rêverie d'ingénieurs. Mais parmi les projets de gens qui osent de nouveau vouloir un futur meilleur, il y a un projet plus modeste, mais tout aussi utile. Le Kouban a des réservoirs qui débordent bien souvent dans la mer d'Azov. En réalité c’était les anciens marrais de son delta, mais tonton Staline est passé par là en les remodelant à grand coup de plan quinquennaux. De ce fait, ponctionner ces créations majestueuses d'une époque révolue est une option. L'eau passe ensuite le long du pont de Crimée et continue jusqu'au réservoir de Kertch qui est lié au Canal de Crimée. L'inversion du cours de ce canal à la place des rivières de Sibérie ont peut dire.

A l’international, il est bien dommage d’observer que l'UE est en état de mort cérébrale. Pas de Spoutnik V pour eux, ni de Nord Stream II... Tant pis, ils auront les morts du Covid, et un manque chronique de gaz. Et sinon, la production de Spoutnik tourne à plein régime, en Russie tout du moins. Il est bien dommage d’observer que la Chine , le Brésil, l'Europe ou les USA n'ont pas profité des délicieuses subventions de la banque mondiale pour produire encore plus. Seule l'Inde semble éprouver un intérêt à cela, avec, cerise sur le gâteau, une production de Spoutnik V.

par **Utyi** Lun 26 Avr 2021 - 14:13

Fédération de Russie

La Fondation d'un nouveau parti

Le succès resplendissant de l’irrigation en Crimée, la mémoire de Khrouchtchev et Gagarine, la réussite pharmaceutique de la Russie...
Tout cela sert de base au Parti du Découplement. Parti, mais aussi association et lobby, et alliance entre vieux techniciens et ingénieurs soviétiques réanimées par les réalisations prométhéennes de l'année 2021-2022, et de russes plus jeunes, et qui veulent améliorer leurs condition de vie. Plus précisément, le projet est de se libérer des conditions naturelles, qui ont le sait sont biens rudes, surtout en arctique, par la technique. Cette nature a cependant son utilité: être exploité pour satisfaire les besoins et demandes des Russes, qui aspirent à vivre mieux. Cette nouvelle idéologie est soutenue par les gens habitants au nord, en Crimée du point de vue géographique, mais aussi du point de vue sociologique par les communistes et la jeunesse qui ont su trouver un terrain d'entente.
La coopération avec le reste du monde est d'une évidence vu que l'idéologie sous-jacente au mouvement étant facilement généralisable à toute l'humanité.
Peux être même avec l'occident si il réussit à dépasser le snobisme, la xénophobie, l'arrogance et la haine du reste des Européistes et des pays d'Europe de l'est ayant besoin d'un croque mitaine à leur frontière...

par **Utyi** Ven 30 Avr 2021 - 14:35

Fédération de Russie

Alors que la Douma se fossilise dans des lutte stériles et des coups bas digne des années 90, le tous sous le regard coupable de Poutine qui voit ses opposants s'autoliquider, le mouvement du découplement essaime en masse dans la société civile, l'administration et les corps d'ingénieurs de Russie.
De grands projets de modernisation agro-industrielle sont en œuvre. Si la situation en Russie était déplorable après les embargos européens en 2014, elle s'est plus ou moins rétabli en 2021. Il est temps de dépasser la simple récupération et enter dans une phase de croissance.
Fort de l’expérience en Crimée, qui renoue avec la Transformation de la Nature des années 50 et 60, mais en beaucoup mieux, plus rapide et moins cher, le développement agricole est étendu dans toute la Russie. Les énormes exploitations de centaines de km² constituent une part non négligeable des terres exploités en Russie. Et sans surprise, ce sont aussi les plus productives. Il n'y pas de place pour les moujik et les narodniki au 21e siècle. Les gros conglomérats agricoles sont déjà mécanisés et utilisent des semences modernes. Il faut optimiser encore plus, par l’utilisation de divers drones et robots de surveillance, qui permettent d'économiser l'utilisation des divers intrants, (pesticide engrais, eau). De même, les OGM, moins demandeurs tout en étant plus productif, sont utilisés.
Et les petits exploitants? Si ils arrivent à survivre, tant mieux pour eux. Sinon, l’option de vendre les terres et aller en ville est une option que la Russie compte favoriser. Les logements de masse préfabriqués font peux être rager les esthètes jouant la fine bouche, mais ils sont productible en quelques semaines. Une crise du logent est donc un non sujet, grâce au retour de l'architecture soviétique. Les services, perfectionnés dans l'urbanisme, de même. Quant à l'emploi, les petits exploitants pourront toujours remuer la terre, après une formation d'agronome. Il travailleront, si ils le veulent, dans des serres, l'aquaculture voir la production de viande synthétique, ce dernier étant tout juste sorti de la R&D. Ces produits à haute valeur ajouté (fleurs, légumes, herbes, poissons, viandes) ont une production encore plus intensive, voir industrialisé. Peux être cette fusion marquera la fin du monde rural, pour de bon, comme les années 70 en occident ont marqué la fin de la paysannerie.
Tout cela ne se fait pas seulement par la main de l'homme, loin de là. Les belles usines de tracteurs et autres machines agricoles sont de nouveaux en activité. Mieux, elles doivent dépasser le pic de production soviétique, pour répondre à ce nouveau 21e. Il va sans dire que le gouvernement Russe, noyauté par le découplement, arrose cette reprise industrielle, qui sans doute, stimulera d'autre secteurs bien soviétiques comme la sidérurgie et la machinerie en général.
La Chimie n'est pas en reste. Phosphates, azote, potassium, tout cela requiert des minerais, mais aussi du gaz naturel. De même, les pesticides de synthèse ont souvent besoin d’un précurseur issu de la pétrochimie. Pas encore besoin de synthétiser le pétrole ou le gaz en Russie, vu qu'ils regorgent dans l'arctique. Les industries chimiques devront elles aussi s’étendre. Pour la Russie, mais aussi pour le monde, dont l’Afrique qui constitue une énorme zone d'intensification agricole rendue possible grâce aux routes chinoises et l'AfCFTA. Peux être voudront ils des usines russes dans leurs territoire, et pas seulement des produits. Pas de problème à cela, car qui veut s'opposer à booster la croissance économique d'un contient entier, surtout si celle ci profite aux investisseurs russes ?
Enfin, la recherche et le développement de semences OGM encore plus productives est financé.

par **Utyi** Sam 8 Mai 2021 - 15:14

Fédération de Russie

La demande énergétique russe croit. C'est bon signe, cela veut dire que la production augmente. Il reste a répondre à cette demande. L'utilisation d'hydrocarbures est une option qui n'est pas souhaitable. Il s'agit d'un atout géopolitique considérable pour rappeler à l'Europe de l'Ouest, comment elle se chauffe en hiver ... De ce fait, nucléaire et hydroélectrique sont plus préférés.
Il y a 260 GW (2300 TWh/an) d’hydroélectrique possible en Russie. Ils sont majoritairement situé en Sibérie. Seul 100GW (850 TWh/an) sont économiquement utilisable. Pas de grand barrage et de détournement de rivière sibériennes donc. Mais 60 GW (750 TWh/an) d'installations sont prévues pour les 10 années à venir.
"L'URSS est plus fort que l'atome". Un beau slogan réduit à la moquerie en 1986. Mais le programme nucléaire civil russe a survécu à la décennie 90. Il s'est même amélioré. Les découpleurs se gardent de lancer un slogan aussi cavalier, mais l’utilisation de différent type de réacteurs reste acceptable.
Le réacteur VVER-TOI, de troisième génération, a en effet des couches et des couches de sécurisation ajouté au design des VVER qui a remplacé celui des RMBK. Utilisant des technologies connues, une construction en 5 ans est un objectif tout a fait réalisable. Ils constitueront la majorité de la réponse à la croissance de la demande électrique. Une cinquantaine de réacteurs sont planifiés. Cela correspond à 65 GW (ou 570 TWh/an).
Les RITM-200 ou RITM-400, de petite taille, ont l'utilisation double de propulsion de navires brises glace et d'utilisation pour des régions isolé en arctique. Ils prennent deux ou trois ans à produire.
Le BM-1200 permet de rendre utilisable l'uranium 238 et le thorium en les transmuant . 8 réacteurs de ce type sont commandés, ils devraient fournir assez de réserves pour toute la consommation d'uranium russe, en plus de produire presque 10 GW (87 TWh/an). Ils devraient prendre 10 ans à construire.
Enfin, le premier de série BREST-1200 est capable de régler le problème des déchets en les utilisant. Il est aussi apte à utiliser l’uranium 238 directement. Il sera dans les années 2035 le design principal en production. Il produit 1.2 GW (10.5 TWh/an)
En tous cas, vers 2030/35, il est planifié 80 GW (990 TWh/an) de puissance nucléaire en plus.
Il y a donc au total 140GW (1750 TWh/an) à créer. Cela semble énorme, mais comparé au 1200 TWh/an actuels, cela n'est que 150% de croissance en 10 ans, soit 4% par an. Quelque chose de modeste en somme, que l'URSS à réussi à atteindre régulièrement dans tous ses plans quinquennaux.
En plus de l'usage électrique, dans le cas du nucléaire, une puissance thermique équivalente est réinjecté dans les réseau de chaleur, qu'ils soit de chauffage dans le cas du VVER TOI, ou bien industriel (en particulier chimique et pétrochimique) pour les autres. Peux être qu'un 1/10 (ou 800 TWh/an) d'hydrocarbures seront économisé grâce à cela.

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