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Chacun son Pays - le forum :: Archives du jeu :: Accéder aux archives :: V 2019 ( 6 octobre - 22 novembre)
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
United States of America
● Affaires internes ●L’actualité politique américaine est, depuis l’intervention en Iran, des plus tendus, le Président Donald J. Trump est délégitimé par l’opinion publique, par les élus démocrates et pire encore par sa base républicaine. Les médias et chose inédite la chaine FoxNews lâche la Maison Blanche à un mois du scrutin. A la question « Voulez-vous que le Président Donald J. Trump se représente ? » , les instituts de sondages pronostiquent une défiance totale, seul 13 % des sondés répondent « oui ». En tout état de fait, le parti républicain abandonne totalement l’administration Trump. Au Congrès, un nombre grandissant de sénateurs et représentants républicains se disent prêt à suivre les élus démocrates pour leur procédure d’Impeachment. Pour éviter le déshonneur à leur chef de file, les principaux cadres du parti ont décidé de faire abdiquer le magnat de l'immobilier à sa propre réélection, en s’engageant à ne pas le traduire en justice, suite à la non consultation du Congrès pour l’engagement en Iran. Le coup de grâce fut donné par l’un de ces plus proches collaborateurs le Secrétaire du Trésor Steven Mnuchin qui déclare : « Nous allons droit au mur si tu t’obstines à vouloir te présenter Donald, je me désolidarise si tu continues dans cette voie, et je poserais ma démission. Et là tu seras dans beau merdier car c’est moi qui évite à cette maison de brûler !».
Après des heures de pourparler et de négociation, le Président Donald J. Trump abdique en prenant la décision de ne pas se représenter à l’élection de Novembre 2020. Outre cela, les cadres du parti républicain ont voté à l’unanimité pour que leur représentant à la présidentielle soit Marco Rubio, Sénateur de Floride qui lui-même a choisi comme colistier Paul Ryan, ex Président de la Chambre des Représentants. Ce choix a été dicté par les postions modérées de Rubio et son positionnement ouvertement Anti Trump lors des primaires de 2016, Paul Ryan quant à lui a quitté le monde politique en 2019 lors des élections de mi-mandat, il est l’un des idéologues économiques du parti prônant un libéralisme économique. Immédiatement le pays a été informé, un déchainement de news sur les médias et internet commente ce coup de tonnerre. Très vite la campagne s’articule, les républicains se mettent en marche pour ne plus perdre de temps, l’ensemble de l’appareil s’organise pour faire gagner cette nouvelle paire de modéré face à l’adversaire démocrate Warren/Sanders de mouvance ouvertement socialiste.
● Affaires économiques ●L’attaque contre l’Iran suivie d’un holocauste nucléaire a suscité les pires craintes sur le cours de pétrole. Cette escalade a provoqué une rupture momentanée de l’approvisionnement en or noir et gaz des pays du Golfe Arabo-Persique ainsi que l’arrêt total de la production de l’Iran. Cette forte contraction de l’offre a pour conséquence une montée inexorable des cours du barils jusqu’à atteindre 300 dollars. Pour arrêter cette tendance le gouvernement américain s’affère immédiatement à déminer les voies maritimes. Le Secrétaire à la Défense Mark Esper fait un point quotidien sur l’avancée des travaux afin de rassurer les marchés. Il assure que des corridors entièrement sécurisés sont d’ores et déjà opérationnels avec la sécurisation des convois effectué par l’US Navy.
Par ailleurs, Mark Esper autorise le prélèvement d’une part des réserves stratégiques de pétroles des États-Unis pour le marché intérieur, afin d’exporter le surplus de la production domestique au reste du monde pendant la durée de la crise. Pour rappel, ses réserves sont d’une capacité d'au plus 727 millions de barils de pétrole.
Cependant le retour à une relative normalité au Moyen-Orient prendra un certain laps de temps. Ainsi afin de limiter une trop forte volatilité des cours des énergies fossiles, les États Unis veulent intensifier leur offre. C’est pourquoi, les supermajor du secteur Exxon Mobil, Chevron et ConocoPhilips ont été convoqué par le Secrétaire du Trésor Steven Mnuchin, pour intensifier leurs investissements dans le shale oil. En complément à cette action mené auprès des grands groupes, Mnuchin veut accélérer la part des petites entreprises spécialisées dans le pétrole de schiste, en leur garantissant une facilité à faire appel à l’épargne publique, et à émettre des obligations à Wall Street.
Outre ce volet, les immenses réserves pétrolières conventionnel découverte en Alaska seront exploitées à 100%, selon les dires du secrétaire, toutes les barrières relatives à la protection de l’environnement seront levées notamment dans les parcs nationaux. De primes abords, selon le scénario de l’administration Trump, les États Unis devrait avoir une capacité de production de 13 millions de barils d’ici 2022.
Concernant la consommation de matières énergétiques, le département du commerce va pratiquer une politique temporaire de maîtrise de l’inflation à hauteur de 10%, pour ce qui concerne les produits pétroliers et gaziers. Le mécanisme sera des plus simple pour le Secrétaire aux Commerces Wilbur Ross, grâce à la production domestique du pays qui permet de subventionner directement les producteurs américains, en leur versant les aides pour ce qui est des matières consommées aux États Unis. Une fois le retour à la normal amorcé cette prime exceptionnelle sera abrogée.
Sur le plan financier, le Président Trump sous les conseils de la FOMC a fermé immédiatement, et pendant une semaine Wall Street immédiatement après la riposte nucléaire d’Israël. Cette action était indispensable pour que les investisseurs ne soient pris de panique suite à cette événement. Mais cette action a eu un effet pervers sur la population américaine dont la confiance à la solidité des institutions financière a été ébranlé.
Nonobstant, le président de la FED Jérôme Powell un jour après cette décision a tenu à rassurer le peuple des États-Unis, lors d’une intervention télévisée à FoxNews et CNN, assurant que la FED garantissait les encours des comptes bancaires.
Par ailleurs, Jérôme Powell suite à la réunion des gouverneurs a mise en place un plan de Quantating Easing d’un montant de 300 milliards de dollars, afin de consolider les liquidités du secteur bancaire pour maintenir la consommation américaine. Pour ce qui est des Fed Funds ces derniers resteront à leur niveau actuel c’est à dire 1,50% afin de contrôler l’accroissement de la masse monétaire.
Pierremenez- Ministre
- Messages : 628
Date d'inscription : 16/08/2019
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
اسلامی جمہوریۂ پاکستان
République Islamique du Pakistan
Crise au Moyen-Orient
Alors que les différentes têtes de l’exécutif étaient tous dans divers endroits secrets et protégés, la peur commença à emporter les Pakistanais qui au bout de quelques heures étaient mis au courant de la situation dans le pays voisin iranien : des bombes nucléaires avaient explosés et l’Iran est peut-être rayé de la carte. Dès lors, les pakistanais rentrent chez eux, se fortifient et attendent. Il a fallu parfois plusieurs jours pour que certaines familles décident de quitter leurs forteresses qui seraient bien inutile en cas d’attaque nucléaire. Après confirmation que le Pakistan n’allait pas être attaqué, la tension pu redescendre un peu. La valise des codes nucléaires était ouverte et le président était à deux doigts d’ordonner l’utilisation des armes nucléaires.
Dès lors, le Pakistan pouvait connaitre en partie les dégâts en Iran, déjà les explosions nucléaires étaient visibles depuis l’espace, puis ensuite les villes qui brulent pendant plusieurs jours voir semaines laissaient entrevoir des fumées. Ces fumées sont observés ainsi que le vent et divers mesures : on s’inquiète au Pakistan d’avoir de la radiation arriver sur le pays. Toutefois la faible puissance des armes et les diverses zones montagneuses avant le Pakistan devrait permettre aux particules de se redéposer en Iran sans toucher le Pakistan.
Le Gouvernement Provisoire en Iran a donné l’autorisation au Pakistan d’intervenir en Iran pour aider. C’est pourquoi 30 000 troupes du Frontier Corps devraient traverser la frontière, ils seront accompagnés de quelques 5 000 civils, volontaires, et autant de militaires de l’armée de terre spécialisés dans les conflits NBC ainsi que dans les divers soins et vers la communication pour communiquer justement avec la population locale. Même si ces personnes ne devraient pas s’occuper des divers zones touchés, qui sont trop loin sur le territoire iranien, ils devraient aider à la mise en place de zones de réfugiés dans l’est de l’Iran. Le Pakistan estime à plusieurs millions le nombre de déplacés en Iran, y compris via les mouvements de paniques pour échapper aux radiations. De même au Pakistan, la frontière reste ouverte pour les réfugiés iraniens qui devraient être redirigés vers des camps de réfugiés. Le Pakistan s’inquiète : le pays est déjà le deuxième au monde par le nombre de réfugiés et ceci devrait augmenter au risque de mettre à mal l’économie, le social et la politique de l’Etat. Les FC devraient aussi aider à maintenir l’ordre dans cette région reculée de l’Iran. Le but étant d’éviter un effondrement total de l’Etat ici.
En marron, la zone d’intervention du Pakistan.
Le Pakistan intervient à son nom, mais ne veut pas de cela, il s’agit d’une situation d’urgence. A ce niveau le Pakistan presse le conseil de sécurité pour une intervention des Casques Bleus en Iran. Ils auraient l’objectif de maintenir l’Etat iranien, de s’occuper de la population et de la soigner. Pour cette mission, il faudrait que ce soit une opération importante avec de la main-d’œuvre et du matériel. Le Pakistan se propose pour être le mandataire de cette opération dans l’est du pays, dans la zone la moins touché du pays. Ce sont les villes de l’ouest de l’Iran qui sont particulièrement touchés et le Pakistan ne peut y intervenir par difficulté logistique.
Au Pakistan, on s’inquiète du prix du pétrole et du gaz suite à ce conflit. Les réserves étaient déjà faibles avant le conflit suite aux difficultés économiques et budgétaires. Aujourd’hui, le Pakistan peut tenir à priori un mois avec les réserves stratégiques. Une partie de ces réserves seront utilisés dans le but de diminuer au maximum les importations qui sont très couteux avec l’augmentation du prix du baril de pétrole. Divers mesures sont donc annoncés :
-les importations de l’entreprise sont faites via l’entreprise KSO en grande partie et donc qui se retrouve au milieu des préoccupations du gouvernement. L’entreprise et celles du secteur devrait bénéficier d’allégement de taxes sur l’importation concernant les produits pétrolier et gazier. De même, un plafond sera mis en place sur le prix à la pompe notamment. La différence sera remboursée par l’Etat.
-le gouvernement cherche à diminuer l’utilisation de pétrole. Pour cela les projets non importants et utilisant des ressources pétrolières et gazières seront reportés à plus tard, les automobiles les plus polluants seront interdit de circuler, la production de produits trop consommatrices de pétrole seront limiter au marché national et non exporté. Niveau communication, l’Etat demande à ses citoyens de n’utiliser du pétrole que pour l’urgence. Les services publics sont priés d’utiliser le moins de pétrole possible, de même que l’armée. Pour l’énergie, le gouvernement devrait limiter la consommation dans les heures creuses pour éviter le plus possible de dégrader l’économie.
-la production de pétrole sera augmentée au maximum des capacités, de toute façon ce sera plus rentable économiquement que d’acheter sur le marché. Le Pakistan dispose de quelques réserves de pétrole mais loin d’être suffisant pour les besoins du pays.
Dès lors, le Pakistan pouvait connaitre en partie les dégâts en Iran, déjà les explosions nucléaires étaient visibles depuis l’espace, puis ensuite les villes qui brulent pendant plusieurs jours voir semaines laissaient entrevoir des fumées. Ces fumées sont observés ainsi que le vent et divers mesures : on s’inquiète au Pakistan d’avoir de la radiation arriver sur le pays. Toutefois la faible puissance des armes et les diverses zones montagneuses avant le Pakistan devrait permettre aux particules de se redéposer en Iran sans toucher le Pakistan.
Le Gouvernement Provisoire en Iran a donné l’autorisation au Pakistan d’intervenir en Iran pour aider. C’est pourquoi 30 000 troupes du Frontier Corps devraient traverser la frontière, ils seront accompagnés de quelques 5 000 civils, volontaires, et autant de militaires de l’armée de terre spécialisés dans les conflits NBC ainsi que dans les divers soins et vers la communication pour communiquer justement avec la population locale. Même si ces personnes ne devraient pas s’occuper des divers zones touchés, qui sont trop loin sur le territoire iranien, ils devraient aider à la mise en place de zones de réfugiés dans l’est de l’Iran. Le Pakistan estime à plusieurs millions le nombre de déplacés en Iran, y compris via les mouvements de paniques pour échapper aux radiations. De même au Pakistan, la frontière reste ouverte pour les réfugiés iraniens qui devraient être redirigés vers des camps de réfugiés. Le Pakistan s’inquiète : le pays est déjà le deuxième au monde par le nombre de réfugiés et ceci devrait augmenter au risque de mettre à mal l’économie, le social et la politique de l’Etat. Les FC devraient aussi aider à maintenir l’ordre dans cette région reculée de l’Iran. Le but étant d’éviter un effondrement total de l’Etat ici.
En marron, la zone d’intervention du Pakistan.
Le Pakistan intervient à son nom, mais ne veut pas de cela, il s’agit d’une situation d’urgence. A ce niveau le Pakistan presse le conseil de sécurité pour une intervention des Casques Bleus en Iran. Ils auraient l’objectif de maintenir l’Etat iranien, de s’occuper de la population et de la soigner. Pour cette mission, il faudrait que ce soit une opération importante avec de la main-d’œuvre et du matériel. Le Pakistan se propose pour être le mandataire de cette opération dans l’est du pays, dans la zone la moins touché du pays. Ce sont les villes de l’ouest de l’Iran qui sont particulièrement touchés et le Pakistan ne peut y intervenir par difficulté logistique.
Au Pakistan, on s’inquiète du prix du pétrole et du gaz suite à ce conflit. Les réserves étaient déjà faibles avant le conflit suite aux difficultés économiques et budgétaires. Aujourd’hui, le Pakistan peut tenir à priori un mois avec les réserves stratégiques. Une partie de ces réserves seront utilisés dans le but de diminuer au maximum les importations qui sont très couteux avec l’augmentation du prix du baril de pétrole. Divers mesures sont donc annoncés :
-les importations de l’entreprise sont faites via l’entreprise KSO en grande partie et donc qui se retrouve au milieu des préoccupations du gouvernement. L’entreprise et celles du secteur devrait bénéficier d’allégement de taxes sur l’importation concernant les produits pétrolier et gazier. De même, un plafond sera mis en place sur le prix à la pompe notamment. La différence sera remboursée par l’Etat.
-le gouvernement cherche à diminuer l’utilisation de pétrole. Pour cela les projets non importants et utilisant des ressources pétrolières et gazières seront reportés à plus tard, les automobiles les plus polluants seront interdit de circuler, la production de produits trop consommatrices de pétrole seront limiter au marché national et non exporté. Niveau communication, l’Etat demande à ses citoyens de n’utiliser du pétrole que pour l’urgence. Les services publics sont priés d’utiliser le moins de pétrole possible, de même que l’armée. Pour l’énergie, le gouvernement devrait limiter la consommation dans les heures creuses pour éviter le plus possible de dégrader l’économie.
-la production de pétrole sera augmentée au maximum des capacités, de toute façon ce sera plus rentable économiquement que d’acheter sur le marché. Le Pakistan dispose de quelques réserves de pétrole mais loin d’être suffisant pour les besoins du pays.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Date d'inscription : 30/10/2011
Age : 31
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
United States of America
● Affaires Extérieures ●
Le Secrétaire à la Défense Mark Esper, VRP officiel de l’industrie de l’armement des États-Unis, répond au gigantesque appel d’offre Saoudien. Répondant au cahier des charges stricte émis par l’administration militaire Saoud. Ainsi il présente les équipements suivants :
• Le char M1A2 SEPV3 pour un coût unitaire de 9,5 millions de dollars. Ces caractéristiques principales un canon de 120mm M256 pouvant tirer les dernières munitions XM1111 Mid-Range Munition, une tourelle télé opéré de 12,7mm, et la protection active Trophy. Outre ces qualités intrinsèques indéniable, ce bijou de technologie est extrêmement modulable avec notamment la possibilité de rajouter un pack de protection TUSK. En plus de ce matériel neuve, General Dynamics propose la remise à niveau des exemplaires Abrams plus anciens.
• Le véhicule de combat d’infanterie (APC) IAV Stryker (3 millions de dollars) et ses nombreuses variantes spécialisées reconnaissance, transport blindé d’infanterie, mobil gun system, anti tank etc.
• Les MRAP de Navistar International MaxxPro (550 000 dollars) et MXT-MV (500 000 dollars), ainsi que le MRAP de General Dynamics le Cougar (730,000 dollars)
• Et enfin le véhicule blindé léger Oshkosh L-ATV (460 00 dollars).
Concernant l’’expertise demandé par les Saoud, le Secrétaire d’État Mike Pompeo répond favorablement et enverra dans les heures qui suivent des experts en catastrophe nucléaire, en génie civil et en infrastructure gazière. Outre cela, Mike Pompeo se dit meurtrie par l’attaque et compatie à la peine qu’à subit l’Arabie Saoudite.
Pierremenez- Ministre
- Messages : 628
Date d'inscription : 16/08/2019
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
Canada
19 octobre 2020.
Après des mois d'instabilités sous les conservateurs, les néo-démocrates arrivent enfin à la tête du pays, forts d'une agréable majorité mais avec beaucoup de pains sur la planche. C'est la première fois que le parti orange gagne une élection fédérale et son chef, Alexandre Boulerice, compte bien montrer à la population canadienne que le Nouveau Parti Démocratique est à même de donner un nouveau souffle au pays.
Dès les premiers jours de son mandat, le nouveau Premier Ministre Canadien réitérera son chagrin face aux événements qui ont récemment eu lieu en Iran et annonce le déblocage de près de 100 millions de dollars pour l'aide humanitaire et une suite de cette aide comme une dépense officielle dans les prochains budgets. La création d'un corps de casque bleus canadiens prêts à partir pour le moyen-Orient et la préparation d'une mission de nettoyage du golfe, à la fois des explosifs et du pétrole, est mise dans les mains des Forces Armées Canadiennes, historiquement une armée œuvrant pour la paix.
Les divers promesses de campagne sont réitérés : Médicaments, dentistes et hospitalisation entièrement gratuits pour tous ; le renforcement du tissu social au service des travailleurs et du peuple face aux grandes entreprises et aux riches ; une forte aide aux premières nations et un plan pour leur assurer leur autodétermination ; un plan environnemental pour rattraper l'année entière perdue par les conservateurs qui créera 300 000 emplois et qui abolira le projet pourtant lancé il y a quelques mois par Scheer du pipeline Énergie-Est.
Oldarick- Ministre
- Messages : 502
Date d'inscription : 23/08/2016
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
Україна
Affaires internes
Affaires internes
Alors même que les troupes de l'armée régulière ukrainienne ont désormais terminé de s'installer sur la ligne de front dans le Donbass, afin d'être parés à répondre à une éventuelle attaque des paramilitaires à la solde de l'armée russe, à la Rada le gouvernement agit pour mettre en oeuvre le programme qui a porté le président Zelensky au pouvoir.
Dans la même session parlementaire, deux décisions législatives en faveur de la communauté russophone d'Ukraine ont été prises. La première d'entre elles est un assouplissement des lois de décommunisation afin de permettre aux villes des oblasts de Louhansk et Donetsk de conserver leur nom, ainsi qu'une consultation populaire dans les villes et oblasts de Dnipro et Kropyvnytskyi afin de déterminer si les habitants souhaitaient revenir au nom de localité d'avant les lois de changement.
La seconde décision, encore plus clivante, reconnaît la langue russe comme co-officielle, et pouvant être utilisée dans les mêmes circonstances que l'ukrainien, dans le Sud et l'Est ukrainiens, à savoir dans les oblasts d'Odessa, Mykolaiv, Kherson, Zaporijia, Dnipro, Donetsk, Luhansk, Kharkiv, ainsi que dans la ville de Sébastopol et la République Autonome de Crimée. Il s'agit ainsi d'une attaque directe contre les lois sur la langue ukrainienne promulguées par l'ancienne rada entre l'élection de Zelensky et les législatives, dans un dernier sursaut porochenkiste.
Porochenkistes, qui d'ailleurs ne tardent pas à se mobiliser dans les rues de Kiev mais aussi des grandes villes d'un ouest très majoritairement ukrainien et ukrainophone qui est sensible au nationalisme, telles que Tcherkassy, Lviv ou encore Tchernigov. Encadrés en plus de ça par les groupes d'extrême-droite et paramilitaires, c'est plus de 90 000 Ukrainiens qui sortent dans la rue pour dénoncer un "gouvernement russophile", des "vendus à Moscou" et parmi lesquels volent à nouveau des slogans dénonçant une capitulation face à l'impérialisme russe. La personne même du président Volodymyr Zelensky, russophone, est vivement critiquée.
Alors que les oppositions russophile et neutraliste applaudissent ces réformes, ce n'est pas le cas de l'Union panukrainienne, le parti de Iulia Timochenko, qui soutenait jusque là le gouvernement Zelensky. La politicienne, en réaction à cette vague de manifestations, a d'ores et déjà déclaré qu'en cas de motion de censure elle voterait contre le gouvernement.
Si de toute façon le parti de Zelensky tient la majorité absolue a lui tout seul, il n'en est pas moins fragilisé, et il va sans nul doute devoir marcher sur des œufs, d'autant plus après les répliques politiques ayant suivi le choix des habitants de la ville et de l'oblast de Dnipro de revenir au nom de Dnipropetrovsk, et celui des habitants de la ville (mais pas l'oblast) de Kropyvnytskyi de revenir au nom Kirovograd, à chaque fois provoquant des manifestations de quelques milliers de personnes à Kiev. À partir de maintenant, il ne fait aucun doute que le gouvernement marche sur des œufs.
Thalassin- Modérateur
- Messages : 2342
Date d'inscription : 27/10/2013
Age : 24
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
République hellénique
Ελληνική Δημοκρατία
Vie économique_
Alors que le Ministère des Finances est en train de s'évertuer à appliquer sur grand plan de réforme de l'administration publique, un nouveau projet gouvernemental vient d'être adopté à la majorité par le parlement, ce sans aucune espèce de surprise puisque la Nouvelle Droite possède la majorité absolue. Ce plan, intitulé "Revalorisation du travail et de l'entrepreneuriat" vise à instaurer un cadre légal plus propice au développement des entreprises de petite et moyenne taille et, par conséquent, à la création de nouveaux emplois durables. Il s'agit également du toucher au Code du Travail pour favoriser le fait d'être actif au détriment d'être passif.
Réforme de l'impôt sur les sociétés
Le premier volet de ce projet d'envergure consiste à réformer le système d'imposition appliqué aux petites et moyennes entreprises. Il comporte principalement les points suivants :
- Création d'une imposition sur les sociétés par tranches comme suit (uniquement pour les entreprises grecques) : 13% (auto-entrepreneurs, entreprises individuelles) ; 15% (entreprises de moins de 250 salariés) ; 17% (entreprises de 251 à 500 salariés) ; 19% (entreprises de 501 à 1000 salariés) ; 21% (entreprises de 1001 salariés et plus)
- L'imposition sur les sociétés étrangères est abaissée de 28% à 24% du revenu mondial pour les sociétés résidentes, et de 26% à 23% du revenu d'origine grecque pour les sociétés non-résidentes
Revalorisation du travail au détriment de l'inactivité
Le second volet de ce plan s'attaque au Code du Travail et vise à réduire le taux de chômage dans un délai de cinq ans. Les principales mesures prises sont les suivantes :
- Augmentation du salaire minimum de 758 Euros à 825 Euros
- Mise en place de la dégressivité de l'allocation chômage (-5% par mois d'inactivité pleine)
- Plafonnement de l'allocation chômage à 525 Euros par mois contre 590 Euros jusqu'à présent
Les économies réalisées sur le coût de l'inactivité seront rassemblées dans le cadre d'un fonds d'investissement d'État qui sera reversé au cas par cas sous forme d'aides au développement de nouvelles sociétés et de primes envers les startups innovantes. L'État grec injecte d'ores et déjà 100 millions d'Euros dans ce fonds.
Réforme de l'impôt sur les sociétés
Le premier volet de ce projet d'envergure consiste à réformer le système d'imposition appliqué aux petites et moyennes entreprises. Il comporte principalement les points suivants :
- Création d'une imposition sur les sociétés par tranches comme suit (uniquement pour les entreprises grecques) : 13% (auto-entrepreneurs, entreprises individuelles) ; 15% (entreprises de moins de 250 salariés) ; 17% (entreprises de 251 à 500 salariés) ; 19% (entreprises de 501 à 1000 salariés) ; 21% (entreprises de 1001 salariés et plus)
- L'imposition sur les sociétés étrangères est abaissée de 28% à 24% du revenu mondial pour les sociétés résidentes, et de 26% à 23% du revenu d'origine grecque pour les sociétés non-résidentes
Revalorisation du travail au détriment de l'inactivité
Le second volet de ce plan s'attaque au Code du Travail et vise à réduire le taux de chômage dans un délai de cinq ans. Les principales mesures prises sont les suivantes :
- Augmentation du salaire minimum de 758 Euros à 825 Euros
- Mise en place de la dégressivité de l'allocation chômage (-5% par mois d'inactivité pleine)
- Plafonnement de l'allocation chômage à 525 Euros par mois contre 590 Euros jusqu'à présent
Les économies réalisées sur le coût de l'inactivité seront rassemblées dans le cadre d'un fonds d'investissement d'État qui sera reversé au cas par cas sous forme d'aides au développement de nouvelles sociétés et de primes envers les startups innovantes. L'État grec injecte d'ores et déjà 100 millions d'Euros dans ce fonds.
Affaires internationales_
Génocide en Iran
Par voie de communiqué Ministériel, le Ministre des Affaires étrangères Níkos Déndias a condamné les agissements "dignes des plus grands génocides commis dans notre histoire" des États-Unis et de son allié israélien en République islamique d'Iran. "Le bombardement nucléaire israélien a engendré plusieurs millions de morts chez des civils iraniens innocents. Il doit être condamné devant les instances internationales et surtout, puni comme il se doit", a-t-il ajouté via ce communiqué. Enfin, le Ministre a complété son communiqué par les éléments suivants : "En l'état, nous ne pouvons plus cautionner le fait que l'État d'Israël détienne l'arme nucléaire, dont il a usé de manière totalement irresponsable. Le risque est que l'utilisation du feu nucléaire se banalise et donne de mauvaises idées à d'autres détenteurs de cette arme. La République hellénique est extrêmement inquiète quant à la situation actuelle".
Dans la soirée, le Ministère a annoncé, en conséquence des actes commis par les États-Unis et ses alliés en Iran, la rupture des relations économiques et diplomatiques avec les États-Unis, Israël et l'Arabie saoudite. Les ambassades des pays concernés doivent être évacuées sous 48 heures et les entreprises ressortissantes ne peuvent plus exercer d'activité sur le territoire grec. De plus, il est ordonné aux États-Unis d'évacuer la base militaire que son armée occupe à Souda (Crète) sous 72 heures. Il a été précisé que la base reste à disposition des autres forces de l'OTAN, l'interdiction d'utilisation ne concernant que l'armée américaine.
Enfin, la Grèce débloque une aide financière à hauteur de 50 millions d'Euros ainsi qu'un appui humanitaire pour aider la République islamique d'Iran à faire face aux conséquences immédiates du génocide qu'elle vient de subir.
Par voie de communiqué Ministériel, le Ministre des Affaires étrangères Níkos Déndias a condamné les agissements "dignes des plus grands génocides commis dans notre histoire" des États-Unis et de son allié israélien en République islamique d'Iran. "Le bombardement nucléaire israélien a engendré plusieurs millions de morts chez des civils iraniens innocents. Il doit être condamné devant les instances internationales et surtout, puni comme il se doit", a-t-il ajouté via ce communiqué. Enfin, le Ministre a complété son communiqué par les éléments suivants : "En l'état, nous ne pouvons plus cautionner le fait que l'État d'Israël détienne l'arme nucléaire, dont il a usé de manière totalement irresponsable. Le risque est que l'utilisation du feu nucléaire se banalise et donne de mauvaises idées à d'autres détenteurs de cette arme. La République hellénique est extrêmement inquiète quant à la situation actuelle".
Dans la soirée, le Ministère a annoncé, en conséquence des actes commis par les États-Unis et ses alliés en Iran, la rupture des relations économiques et diplomatiques avec les États-Unis, Israël et l'Arabie saoudite. Les ambassades des pays concernés doivent être évacuées sous 48 heures et les entreprises ressortissantes ne peuvent plus exercer d'activité sur le territoire grec. De plus, il est ordonné aux États-Unis d'évacuer la base militaire que son armée occupe à Souda (Crète) sous 72 heures. Il a été précisé que la base reste à disposition des autres forces de l'OTAN, l'interdiction d'utilisation ne concernant que l'armée américaine.
Enfin, la Grèce débloque une aide financière à hauteur de 50 millions d'Euros ainsi qu'un appui humanitaire pour aider la République islamique d'Iran à faire face aux conséquences immédiates du génocide qu'elle vient de subir.
Malaa- Haut Commissaire
- Messages : 51
Date d'inscription : 18/06/2019
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
République d'Inde
Affaires internes
• Un danger invisible : entre fermeté et inquiétudesLes frappes en Iran ont beaucoup inquiété la population indienne. Le gouvernement s'est voulu rassurant dès les premiers signes de panique : les tirs opérés étaient localisés et les ogives en elles-mêmes, bien que coûteuses en vies humaines comme toute arme non-conventionnelle, n'étaient pas calibrées dans le but de dévaster l'Iran tout entier. En conséquence, et s'agissant des retombées radioactives, l'impact sanitaire en Inde a été jugé "négligeable". Pour le coup, la position du gouvernement vis-à-vis de cet incident majeur n'est pas décrédibilisée par celle de son ennemi traditionnel, à savoir le Pakistan, qui n'a pas jugé utile de prendre des mesures d'une ampleur particulière.
Pour autant, si cet ennemi invisible n'est pas la radioactivité, peut-être qu'il s'agit de la menace nucléaire en elle-même. Le monde entier a été choqué, consterné, devant le scénario catastrophe qui s'est déroulé en Iran. Et quand on habite en Inde, puissance nucléaire, que l'on sait que le voisin dispose également de cette arme et que les relations actuelles sont exécrables, comment ne pas appréhender l'avenir sans inquiétudes ?
D'un jour à l'autre, après un test ambitieux mais au final assez loin des préoccupations d'une majorité silencieuse, les vies de millions de personnes vont partir en fumée. Du fait d'une poignée de dirigeants peu scrupuleux. Comme si c'était une fatalité.
La population n'y pense pas toujours mais il faut regarder les choses en face. Un tel scénario appliqué entre l'Inde et le Pakistan pourrait avoir des conséquences d'une toute autre échelle. Ces deux pays sont voisins, et dans la pire escalade de violence possible, le premier pays qui aura recours à l'arme nucléaire aura aussi l'intention d'en être le dernier. Ne pouvant s'exposer au moindre risque de riposte - dont les conséquences seraient dramatiques - l'agresseur n'aurait d'autre choix que de mettre tout en œuvre pour atteindre son objectif final qui est de neutraliser entièrement son voisin. Tout en mettant, de facto, en péril son propre avenir durant des générations et des générations.
Partout, en Inde, des mouvements de protestation visant à légiférer - pour ne pas dire bannir - l'arme nucléaire se répandent. Relativement bien connectés, les Etats du Sud se rallient à cette cause mondiale.
Le paradoxe dans tout ceci, c'est qu'une majorité de la population demeure très nationaliste, et ne souhaite rien concéder au Pakistan de quelque nature que ce soit. Peut-être que certains souhaitent seulement que le Pakistan et l'Inde écartent coûte que coûte cette éventualité de recourir au nucléaire. Un bien beau rêve. Le Pakistan ne lâchera pas ce qui lui permet de tenir le rapport de force avec le géant indien, tout comme l'Inde ne mettra pas de côté ce qu'il considère comme une caractéristique de la puissance au sens large du terme. Le gouvernement n'a même pas daigné répondre à l'ONU aux différentes propositions de sommet mondial sur le sujet.
Au Cachemire, le centre de toutes les préoccupations, l'atmosphère est restée assez tendue depuis l'attentat perpétré à l'encontre d'élus indiens par ce qui est officiellement reconnu comme coupable, le Pakistan. Le gouvernement a cependant décidé de lâcher du lest et de rétablir la plupart des communications pour la population. Cependant, une forte présence militaire restera active dans la région pour encore un temps.
Affaires externes
• Un danger invisible : une nécessité de rétrograderLe Premier Ministre indien Narendra Modi a exprimé son intention de rencontrer son homologue pakistanais Imran Khan à New-Delhi pour une nouvelle ouverture du dialogue entre les deux pays.
Eindes- Premier Ministre
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République Islamique du Pakistan
Affaires extérieures
La situation a beaucoup changé en quelques mois, la destruction par l’arme atomique de l’Iran a beaucoup affecté les pakistanais, population sans doute la plus proche des iraniens. Beaucoup ont exprimés à travers les réseaux sociaux voir dans la rue leur envie de stopper cette folie humaine. Le Pakistan est particulièrement touché car sa situation est grandement similaire à celui de l’Iran étant donné que le Pakistan et l’Inde disposent de l’arme nucléaire, mais en plus grande quantité et d’une puissance plus forte.
C’est pourquoi le Pakistan accepte la proposition indienne de négociation. Il faudra trouver des solutions ingénieuses et équitables pour arrêter les tensions entre les deux pays et ceci ne risque pas d’être facile. Le Pakistan a l’arme nucléaire car est quasiment sur de ne pas pouvoir affronter longtemps le géant indien. Cependant, les deux pays se sont déjà entendus à travers les 70 ans de leur existence. On peut notamment citer le traité sur le partage des eaux de l’Indus, malgré que celui-ci soit sujet de tensions, notamment depuis l’élection de Modi.
C’est pourquoi le Pakistan accepte la proposition indienne de négociation. Il faudra trouver des solutions ingénieuses et équitables pour arrêter les tensions entre les deux pays et ceci ne risque pas d’être facile. Le Pakistan a l’arme nucléaire car est quasiment sur de ne pas pouvoir affronter longtemps le géant indien. Cependant, les deux pays se sont déjà entendus à travers les 70 ans de leur existence. On peut notamment citer le traité sur le partage des eaux de l’Indus, malgré que celui-ci soit sujet de tensions, notamment depuis l’élection de Modi.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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United States of America
● Affaires intérieures ●
................A la suite d’une fin de mandat compliquée, le président Donald J. Trump, qui venait pourtant de sauver le monde de l’horrible menace iranienne, avait été contraint par le deep state américain, à renfort de phrases mâchées bienpensantes et larmoyantes envers le peuple iranien, certes endeuillé par la mort de millions de ses compatriotes mais responsable de son propre sort en se soumettant à un régime autoritaire et dangereux pour l’humanité, ce qui avait poussé l’opinion publique à désavouer son meilleur président depuis Richard Nixon. Ainsi, le Parti républicain avait été contraint de nommer, en catimini, un duo prometteur, Marco Rubio, sénateur de Floride, anti-trumpiste notoire, latino et membre de l’aile droite du Parti, et Paul Ryan, ancien Speaker de la Chambre des Représentants, libéral convaincu et figure plus modérée, capable de fédérer un électorat plus centriste, face à un duo très gauchiste, quasiment communiste à en écouter la propagande républicaine, formée par Elizabeth Warren et Bernie Sanders, qui furent taillés en pièce dans les médias de droite. Si le peuple avait désavoué le magnat de l’immobilier, qui avait échappé par deux fois à l’impeachment en moins d’un an, il ne s’était pas pour autant rebellé contre le Parti républicain, qui restait solide dans les sondages grâce à la politique économique menée lors du mandat Trump, ce en dépit de la récente crise économique qui venait d’éclater. De surcroît, les élections étaient aussi l’occasion pour Gary Johnson, infatigable représentant du Parti libertarien, de présenter pour une énième fois sa candidature, et d’affaiblir là encore davantage les démocrates en prenant l’aile la plus modérée de leur électorat. Ainsi, nonobstant des circonstances de prime abord défavorables, la stratégie démocrate de présenter des candidats outrancièrement à gauche, celle des républicains de présenter un ticket à la fois droitier avec la tête de liste et modéré avec son second, et la présence d’un troisième parti plus centriste, capable de rogner sur l’électorat démocrate, joua en faveur des républicains. A renfort de publicités à coût de millions de dollars, de généreuses donations de la part d’une industrie de l’armement qui craignait être impactée par les promesses démocrates de réduire la force militaire américaine, et notamment son stock nucléaire, de mobilisation de la NRA et des éléments les plus conservateurs parmi les chrétiens, particulièrement en jouant sur l’aspect croisade gagnée contre Satan, mais aussi – et surtout – grâce à la division du camp d’en face, le duo Rubio-Ryan, qui peina à faire une véritable campagne, devant parcourir 51 Etats en un mois à deux, parvint remporter la mise de justesse, grâce à davantage de grands électeurs que le Parti démocrate, une fois encore majoritaire en voix mais minoritaire au Collège électoral. Pour cause, le succès des républicains dans plusieurs Etats pivots, notamment la Floride, grâce à la fédéralisation de Porto Rico, qui apporta une nette avance au Grand Old Party dans l’Etat, et le maintien de la plupart des Etats qui votèrent Trump – et bien sûr, la prise de Porto Rico, qui accorda ses six grands électeurs au duo Rubio-Ryan –, obtenant 281 grands électeurs sur 544, contre 230 pour les démocrates.
................S’il reste encore trois mois à l’Administration Trump pour finir son mandat, la période de transition est d’ores et déjà lancée, et icelle devrait se dérouler sans trop d’accroc, puisqu’elle se fait au sein du même camp, bien que le président élu Marco Rubio, premier latino à diriger les Etats-Unis, a d’ores et déjà annoncé une rupture avec son prédécesseur, ne serait-ce que sur le style, assurant que « Twitter ne sera plus le moyen de communication privilégié de la Maison Blanche, ni l’outil diplomatique le plus utilisé. » Entre les deux Administrations, très peu de membres devraient être reconduits, à quelques exceptions près, Rubio ayant fait campagne sur le rajeunissement du gouvernement, ainsi que son renouvellement intégral, notamment en écartant Mike Pence, au moins officiellement, bien que sa mobilisation auprès des grandes associations religieuses ont permis aux républicains de conserver le vote des chrétiens sionistes et des mormons. Le président élu peaufine encore son programme, notamment l’application de mesures phares lors des célèbres cent jours, particulièrement afin de combattre ardemment la crise économique mondiale. Pour ce faire, il pourra compter sur une majorité de 224 députés à la Chambre des représentants, une majorité assez courte mais suffisante face aux 212 députés démocrates et aux trois députés libertariens – chambre qui passe à 439 membres avec l’intégration de Porto Rico –, tandis qu’au Sénat, la majorité républicaine est maintenue avec 53 sénateurs, mais est moins forte puisque le nombre de sénateurs est désormais de 102 avec l’intégration de Porto Rico. Même s’il n’est pas encore investi président des Etats-Unis, Marco Rubio a par ailleurs d’ores et déjà fait ses premiers pas diplomatiques, en déclarant conjointement avec le Secrétaire d’Etat Mike Pompeo qu’il était « inacceptable que l’un des plus anciens alliés américains, la Grèce, tente d’expulser les soldats américains, déployés dans le cadre de l’OTAN, de son territoire, et de se rapprocher dangereusement d’une Russie qui, il y a 70 ans, tentait de pervertir son régime et de faire plonger sa population dans la dictature communiste, de laquelle les Etats-Unis l’ont sauvé. » En outre, l’actuelle Administration Trump a fait savoir à la Grèce qu’elle ne pouvait expulser des troupes américaines déployées dans le cadre de l’OTAN, à moins de quitter l’organisation, et que les soldats étasuniens ne bougeraient pas d’un iota. En attendant, rupture des relations oblige, plus aucune aide financière ni plus aucun équipement militaire ne sera livré à Athènes, dont l’essentiel de l’armement est américain, et qui ne tardera pas à tomber en lambeaux faute de pièces de rechanges. Plus prudent à ce sujet, Marco Rubio a quant à lui appelé le gouvernement grec à revenir à la raison, déplorant évidemment « la mort de ces millions d’innocents iraniens », et demandant à Athènes de temporiser et d’attendre son investiture, fin janvier 2021, afin de discuter calmement du différend qui semble désormais opposer le berceau de la civilisation européenne avec ce qu’elle a enfanté de plus réussi, c’est-à-dire les Etats-Unis d’Amérique, symbole de la démocratie et de la prospérité dans le monde.
Sirda- Modérateur
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République d'Inde
Affaires internes• La FED s'emploie au Quantitative Easing : Frileuse, la RBI claque la porte aux quelques investisseurs peu scrupuleuxAlors que le gouvernement indien s'emploie à contrôler du mieux qu'il peut les tendances inflationnistes pouvant résulter du choc pétrolier, la Reserve Bank of India a surpris les marchés en annonçant une baisse - légère pour l'instant - de son taux directeur de 5,40 à 5,20 %. Cette mesure à contre-courant de la politique actuelle en Inde s'inscrit en réaction du quantitative easing opéré par la FED et annoncé pour quelques 300 milliards de dollars. Sans être au niveau du plan massif des années 2012-2013, le plan demeure d'une importance significative.
Certes, l'objectif premier est clairement d'abreuver les banques américaines de liquidités, mais pour la RBI, nul doute qu'avec un tel plan, des investisseurs peu scrupuleux, armés de liquidités, risquent d'en profiter pour encore spéculer sur les actifs des pays émergents - la monnaie et l'immobilier en premier lieu. Et quand bien même, la tendance est déjà inflationniste et assez peu engageante à de telles spéculations, l'Inde a donné jusqu'ici tous les signaux favorables à de telles transactions avec ses mesures anti-inflationnistes.
La RBI adresse ainsi un avertissement aux marchés, plutôt qu'une réelle mesure, selon lequel l'Inde ne souhaite pas que les marchés puissent librement spéculer sur sa monnaie, jusqu'à aller à contre-courant de ses propres mesures annoncées un mois auparavant.
La RBI annonce par ailleurs ne pas écarter un second abaissement du taux directeur. Il ne sera relevé qu'à la fin annoncée du Quantitative Easing par la FED.
Eindes- Premier Ministre
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Україна
Bellicisme russe
Bellicisme russe
La décision unilatérale, sans préavis et aux portes de l'hiver de la part de Moscou de cesser toute exportation de gaz à destination de l'Ukraine choque profondément dans le pays. De nombreux Ukrainiens se retrouveraient sans chauffage, et risqueraient par conséquent la mort.
Immédiatement après cette annonce, le président a rédigé un décret proclamant l'état d'urgence sur l'ensemble du territoire ukrainien. La Rada a par conséquent été convoquée en urgence, un gouvernement d'Union Sacrée se formant derrière le président Zelensky, incluant jusqu'aux moins extrémistes de la Plateforme d'opposition. Ceux qui souhaitaient des relations neutres entre UE et Russie rejoignent en effet l'Union Sacrée, effrayés par la menace qu'a décidé de faire peser la Russie sur l'Ukraine. C'est sans aucune ambiguïté que le décret a été validé par 390 voix pour sur 450 possibles
La première décision sous l'état d'urgence a été un décret redirigeant l'électricité vers les secteurs clés, ainsi qu'appelant l'ensemble des réservistes sous les drapeaux. Les frontières avec la Russie et la Crimée sont renforcées en hommes et placées en état d'alerte renforcés, et l'ensemble des forces de police sont mises à contribution pour distribuer à la population couvertures, bois, charbon et autres matériels nécessaires à la survie pendant l'hiver.
Dans le même temps, une intense campagne de communication à l'international est lancée, exhortant les généreux donateurs du monde à soutenir les pauvres Ukrainiens souffrant du froid à cause de l'impérialisme russe.
Thalassin- Modérateur
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JOUR DE PAUSE 2021
Bureau- Vox Bureauli
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United States of America
● Investiture ●
La journée d'investiture commença le mercredi 20 janvier 2021 à Washington DC, le Président Marco Rubio et son Vice-Président, Paul Ryan, avaient assisté, tout d’abord à la parade inaugurale sur Pennsylvania Avenue. Avant que le point culminant de la cérémonie se fit à midi précis, lorsque sur les marches du Capitole, le premier Président latino des États-Unis prêta serment devant prêt de 400 000 américains.
« Je jure solennellement que j'exécuterai loyalement la charge de président des États-Unis et que du mieux de mes capacités, je préserverai, protégerai et défendrai la Constitution des États-Unis. »
Immédiatement après le serment, la fanfare militaire joua quatre « Ruffles and flourishes » puis le « Hail to the Chief », suivis par 21 coups de canon tirés par des obusiers du district militaire de Washington. Une fois ce protocole exécutait, le 46ème Président des États-Unis débuta son discours d'investiture, qui donne le ton de la future politique de la nouvelle administration.
« Chers compatriotes, je me tiens aujourd'hui devant vous avec un sentiment d’humilité, je veux avant tout vous remercier pour la reconnaissance, et la confiance que vous me faites, en me donnant la chance d’administrer la première Puissance Mondiale. La tâche sera ardue, mais les États Unis doivent réinventer leurs relations avec le reste monde. En effet, les actions de notre pays ont des conséquences qui peuvent être lourdes pour le destin de certaines nations. Notre virulence, notre foi en la puissance et notre manque de tact, ont provoqué un holocauste nucléaire en Iran. Cela ne devra plus se passer comme ça, et cela ne se passera plus ! Nous devons rester humble au regard du don qu’à donner dieu à notre nation. Et c’est pour cela que je tiens à faire amende honorable. Au nom de la nation américaine je tiens à présenter mes excuses les plus sincère aux peuples iraniens. Aujourd'hui, marque une nouvelle ère, où les États-Unis devront surmonter de véritable défis crise économique, transition écologique et contexte post frappes nucléaires. Ils sont graves et ils sont nombreux. Mais je veux dire ceci à l'Amérique : la grandeur de notre nation se renouvelle à partir de maintenant ! »
Une fois la cérémonie finie, les chaines nationales dévoilèrent la structure du nouveau gouvernement américains.
Secrétaire d’État : Liz Cheney
Secrétaire du Trésor : Steven Munchin
Secrétaire de la Défense : Mitt Romney
Procureur général des Etats-Unis : Ted Cruz
Secrétaire à l'Intérieur : Sarah Palin
Secrétaire à l’Agriculture : Mike Johanns
Secrétaire du Commerce : Nikki Haley
Secrétaire au Travail : Elaine Chao
Secrétaire à la Santé et aux Service Sociaux : Michele Bachmann
Secrétaire au Logement et au Développement Urbain : Christine O'Donnell
Secrétaire aux Transports : Michael Stephen Steele
Secrétaire à l’Énergie : John Cornyn
Secrétaire à l’Éducation : Betsy DeVos
Secrétaire aux Anciens Combattants : David Jonathon Shulkin
Secrétaire à la Sécurité Intérieure : Elaine Costanzo Duke
Chef de Cabinet de la Maison Blanche : Steve Scalise
Pierremenez- Ministre
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
Effets de la NekbatNekbat
Rapidement en Iran, le mot de Nekbat était sur toutes les lèvres. Alors que les gens s'organisaient en unités civiles de secours, largement modélisées et encadrées par les Basij, le mot de Nekbat (catastrophe en farsi) résonnaient à travers les ruines des grandes villes martyr du pays.
- Basij sauvant une vieille femme de décombres d'un immeuble:
3 millions de personnes ont été tuées lors de la frappe nucléaire sur l'Iran. Elles sont mortes immédiatement, pour la majorité dans les conflagrations thermiques suivant les détonations. 5 millions de plus ont été grièvement blessés ce jour même. Aujourd'hui, un peu plus de 6 mois après la Nekbat et après un hiver extraordinairement difficile pour le peuple iranien, le Gouvernement Provisoire de la République Islamique d'Iran a annoncé que le nombre de décès total était de 4.8 millions.
En effet, 1.8 millions d'iraniens sont décédés des suites directes des conséquences de la frappe nucléaire israélienne sur le pays. En effet, 1.2 million des 5 millions de blessés graves sont morts, pour la plupart dans des hôpitaux de fortune. La majorité sont décédés dans les premières semaines, mais les décès dues à de graves blessures ou à de sérieux niveaux de radiations reçues continuent d'être comptabilisées au rythme de plusieurs centaines par jour, même en 2021. 600 000 iraniens sont également décédés lors de l'hiver 2020-2021, pour la majorité dans les campagnes isolées. L'effondrement du réseau électrique et de l'approvisionement en nourriture et en gaz a en effet crée une famine conséquente en Iran, ainsi qu'un grand nombre de villages totalement isolés du reste du pays.
Parmi ces 600 000 victimes de l'hiver 2020-2021, surnommé la Grande Epreuve par de nombreux responsables politiques iraniens, la majorité sont morts de froid dans leurs maisons. On dénombre 120 000 personnes mortes de faim.
Le rôle de l'aide internationale
L'aide internationale a afflué avec une rapidité certaine, mais en bien plus petit nombre que ce que l'Iran avait besoin. L'appui décisif de la Fédération de Russie dans l'aide humanitaire a été un point fort pour la stabilité de la région de la Caspienne iranienne. Quelques jours seulement après les bombardements, plusieurs milliers de tonnes d'aide humanitaire ont été envoyés en Iran par les forces aéroportées russes.
Mil-Mi 26 de l'armée russe
La demande d'une base permanente russe a cependant été refusée par le gouvernement provisoire. En effet, la Constitution de la République Islamique interdit tout déploiement de forces étrangères permanent sur le sol de la République.
L'aide venant d'autres pays a également afflué, et en premier chef l'aide pakistanaise. Dans le Baluchistan iranien, de nombreux réfugiés ont été pris en charge par les autorités pakistanaises, qui ont fourni vivres et abri aux civils iraniens, les accueillant dans des camps à la frontière.
Un soldat pakistanais aidant un jeune garçon iranien
D'autres appuis moins directs ont été reçus par l'Iran, comme du matériel médical et des vivres indiens, des céréales et des patates ukrainiennes, etc...La crise des réfugiés iraniens
- Carte des mouvements de réfugiés iraniens:
La crise a évidemment provoqué un exode de la part de plusieurs millions d'iraniens. Les pays les plus accueillants ont été le Pakistan, l'Azerbaijan et le Turkménistan. Ces trois pays ont chacun accueilli plus d'un million de refugiés, dans des conditions souvent moyennes mais aucune crise humanitaire majeure n'a eu lieu. Les retours en Iran se font aujourd'hui, après la Nekbat. On compte plus de 20 000 iraniens retournant en Iran chaque jour depuis chacun de ces pays.
L'Irak a accueilli des réfugiés fuyant par la frontière terrestre en grand nombre. De nombreux camps ont été dressés aux alentours de la ville de Basrah en Irak. Sont à noter également la Russie, l'Arménie et l'Inde, qui ont chacun accueilli plusieurs dizaines de milliers de réfugiés.Troubles politiques iraniens :
La Nekbat a déstabilisé totalement l'Etat, qui peine à se remettre sur pied. Depuis son siège provisoire de Rasht, isolé sur les bords de la mer Caspienne, Mahmoud Ahmadinejad doit faire face à de nombreux défis.
Premièrement, le Kurdistan iranien s'est remarquablement débrouillé lors de la Nekbat, en organisant des unités de secours autonomes. Le nombre de victimes civiles dans le Kurdistan iranien a été relativement faible comparé à la moyenne du pays, grâce à cette organisation née littéralement de nulle part. Point négatif pour le régime, cette autonomie dans la gestion de la Nekbat a amené de nombreux kurdes iraniens à revendiquer une indépendance du régime central. Les Kurdes représentent 6 millions d'habitants de l'Iran, dont 4.8 millions sont concentrés dans le Kurdistan iranien proche de la frontière avec l'Irak et la Turquie. Ahmadinejad a dans un discours radiophonique déclaré que le Gouvernement Provisoire de la République Islamique d'Iran n'était pas "fondamentalement contre" une "révision en profondeur" des relations entre les Kurdes et la République. Cette promesse à court-terme calme les violences, mais dans de nombreuses villes comme Kermanshah, on voit déjà des patrouilles de milices kurdes se former.
De nombreux conflits sporadiques ont eu lieu durant l'hiver 2020-2021. De manière non localisée comme la potentialité du conflit kurdo-iranien, on dénote la formation de plusieurs milices anti-gouvernementales, dont les deux plus grandes sont :
- La Milice pour le Salut de l'Iran (MSI) - groupe armé religieux, prônant une adhérence stricte aux préceptes de la Révolution Islamique, né dans les ruines de la ville sainte de Qom. Elle compterait environ 12 000 membres, pour la majorité des militaires ou policiers, encadrés par des membres radiaux du clergé chiite.
- Union pour l'Iran (UI) - groupe armé et politique prônant une démocratisation radicale et immédiate, ainsi qu'un grand débat national sur le fonctionnement de l'Iran. Il compterait environ 4 000 miliciens armés, dispersés sur le territoire, mais plusieurs centaines de milliers de sympathisants.
Membres du MSI
Selon les rapports, peu fiables, du Gouvernement Provisoire, 145 incidents ont eu lieu depuis la Nekbat, causant la mort violente par arme à feu de 850 personnes. Certains journalistes iraniens avancent le chiffre bien plus inquiétant de près de 4 000 soldats et/ou miliciens tués dans des affrontements entre groupes armés depuis la Nekbat.
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
Iraq
Brève
Evénement
L'Iraq est profondément déstabilisé par la crise nucléaire iranienne. En effet, le pouvoir s'appuyant sur les milices chiites, et un financement officieux de l'Iran, doit faire face à un tarrissement de cette source. Plus de 80% des miliciens chiites ont en effet participé aux opérations humanitaires à la frontière iranienne, organisant le transport des civils vers la ville de Basrah, coeur humanitaire de l'Iraq.
La conséquence est un affaiblissement du pouvoir de Bagdad dans le nord du pays, et une absence quasi totale en réalité du pouvoir étatique au nord de la ville de Samara.
Israël
Brève
Evénement
La réputation internationale d'Israël est gravement entachée par la frappe nucléaire sur l'Iran. Netanyahu, toujours Premier Ministre, dans ce qui est aujourd'hui un gouvernement d'Union Nationale, s'est justifié de l'usage de la force nucléaire car il s'agissait d'une riposte à une frappe venant d'Iran, elle-même nucléaire.
Les frappes du Hezbollah libanais restent quasiment quotidiennes sur le nord d'Israël. Celui-ci, enragé par ce qui vient de se passer, a en effet gagné en popularité de manière exponentielle au Liban, et de manière plus générale sur la scène internationale. De nombreux observateurs critiques d'Israël voient le Hezbollah comme le seul rempart face à un Etat d'Israël devenu complètement fou.
Le gouvernement israélien lui ré-itère que la frappe était défensive, ce qui est factuellement vrai, mais l'opinion internationale semble déjà avoir oublié les missiles iraniens interceptés par les forces de Tsahal, tant le traumatisme des images de l'Iran en feu est grand.
Arabie Saoudite
Brève
Evénement
Outre l'Iran, c'est aussi l'Arabie Saoudite qui a occupé l'attention de la communauté internationale ces derniers temps.
Les critiques envers l'Etat saoudien sont en effet très très grandes au sein même du pays. Celui-ci semble plus déterminé à continuer une guerre au Yémen coûteuse et peu populaire même parmi les hautes classes saoudiennes, plutôt que de traiter la destruction par le feu nucléaire d'infrastructures critiques à sa production gazifière.
Les critiques envers Riyadh sont fortes. En effet, l'Arabie Saoudite a elle aussi été frappée par le feu nucléaire, mais rien n'a été entrepris pour gérer la crise, même si elle est humainement beaucoup moins grave que la crise iranienne.
Etats-Unis
Brève
Evénement
De nombreux observateurs n'oublient pas que l'élément déclencheur de la malheureuse chaine de violence culminant dans la mort de millions d'iraniens a été une frappe américaine sur les installations nucléaires de l'Iran.
Les critiques envers le Parti Républicain, aux commandes lors de la Crise sous l'administration Trump, continuent d'occuper une bonne partie du paysage politique américain, malgré l'élection de Rubio comme Président. Même au sein du GOP on critique extrêmement violemment les décisions va-t-en guerre de certains sénateurs républicains.
La cote de confiance dans les hommes politiques américains et dans l'institution fédérale est à son plus bas historique. Seuls 8% des démocrates déclarent avoir confiance dans le gouvernement fédéral, tandis que le chiffre est à peine plus haut, 11%, pour les républicains.
De violentes manifestations ont également rythmé l'hiver 2020-2021 aux Etats-Unis, concernant la décision de l'administration Trump d'interdire le mariage gay à l'échelle fédérale, et l'absence de "roll-back" d'un Président Rubio bien plus modéré sur les questions sociales, mais qui déçoit très nettement ses électeurs.
Monde
Brève
Evénement
Si aujourd'hui le Détroit d'Ormuz est à nouveau praticable, les conséquences de l'événement iranien sont très très sérieuses sur l'économie mondiale.
Le prix du pétrole reste extrêmement haut, à environ 280 dollars le baril, et le prix du gaz a doublé depuis 6 mois. Le choc psychologique de la crise iranienne a dévasté les marchés du Moyen-Orient tout d'abord, mais du monde entier, plongeant le monde dans une véritable crise économique.
L'Iran voit évidemment la plus forte baisse de sa croissance. Le PIB a chuté de 65% en 2020. L'Arabie saoudite voit une croissance négative à -8%, l'Irak à -7.9%, le Pakistan une forte baisse de sa croissance malgré un maintien dans la stabilité à 2.7%.
Jusqu'en Asie, les conséquences de la crise sur les marchés et la finance se fait sentir. La croissance chinoise chute à 4%, tandis que la croissance sud-coréenne stagne à 0.3%. L'endormissement du géant chinois effraye les pays asiatiques, qui ressentent déjà l'effet sur leurs industries de manufactures.
Bureau- Vox Bureauli
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
United States of America
● Affaires étrangères ●
● Affaires étrangères ●
................A la suite des tragiques péripéties militaires iraniennes, et de la crise économique mondiale qui en découla, mais surtout de la véritable crise politique que connaissent les Etats-Unis d’Amérique, caractérisée par une défiance absolue de la quasi-totalité de la population à l’égard du gouvernement fédéral, le président Rubio a décidé de prendre à contre-pied la politique de son prédécesseur Donald J. Trump afin de restaurer la confiance du peuple américain dans les institutions fédérales américaines. Pour ce faire, le nouveau leader du monde libre s’est adressé depuis le Bureau Ovale, non pas seulement à ses simples concitoyens, mais au monde entier, dans une allocution qui fera date puisqu’elle fut l’occasion pour le président de présenter les « sincères et profondes excuses de la nation américaine à l’Iran » pour le bombardement nucléaire dont il fut victime, certes de son propre fait – ce que Rubio ne précisa pas –, appelant également la communauté internationale à « davantage de mobiliser en faveur de l’Iran, car si de nombreux pays apportèrent leur aide dans les premiers jours, celle-ci ne doit pas faiblir avec le temps. » A ce titre, il a annoncé que le Département d’Etat débloquerait trois milliards de dollars pour aider l’Iran à se redresser. Mais le point crucial de l’annonce, outre ces excuses – chose rarissime de la part d’un Etat et fortement symbolique –, le président Rubio a appelé les autres puissances nucléaires à « observer un moratoire sur la production d’armes nucléaires », et les invite à se rendre dans les plus brefs délais à New York afin d’y négocier un nouvel accord sur la non-prolifération des armes nucléaires dans le cadre des Nations Unies pour empêcher tout nouveau pays d’acquérir la bombe, et éviter qu’une telle tragédie se reproduise, mais aussi et surtout afin de réduire les stocks d’armes nucléaires à travers le monde. En gage de bonne foi, Marco Rubio a d’ores et déjà annoncé le début du démantèlement dans les semaines à venir de 2'385 des 6'185 armes nucléaires actuellement détenues par les Etats-Unis, tandis que 1'000 autres ogives devraient être démantelées et détruites dans les années à venir, afin de réduire le stock d’armes nucléaires à moins de 3'000 unités. S’il appelle à la paix dans le monde, le chef d’Etat américain précise néanmoins que la force risque d’être encore nécessaire pour parvenir à cet objectif, et ce notamment au Moyen-Orient, face au Hezbollah et aux autres groupes terroristes. En outre, le président Rubio a chargé la nouvelle Secrétaire d’Etat américaine, Elizabeth Lynne Cheney, fille de l’ancien vice-président de Georges W. Bush, d’incarner ce nouveau changement et la nouvelle politique américaine, notamment en traduisant dans les faits ces excuses officielles.
Sirda- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
Communiqué aux Etats-Unis :
Le gouvernement provisoire de la République Islamique d'Iran refuse l'aide américaine de 3 milliards de dollars. Le refus de toute aide venant des Etats-Unis, directement responsables de la Nekbat, a été une ligne claire du GPR2I.
Il serait en effet risible pour l'Iran, toujours dévasté et dont les grandes villes restent en ruine, d'accepter l'aide humanitaire américaine alors que Washington est responsable et toujours impuni pour les frappes militaires ayant mené à l'escalade nucléaire.
"La clémence et la compréhension du peuple iranien ont des limites. Nous avons traversé la Grande Epreuve de l'hiver 2020-2021 sans recevoir un seul dollar occidental, nous arriverons à reconstruire notre pays sur de nouvelles bases sans plus de dollars occidentaux, et surtout pas américains. Les Etats-Unis et Israël sont directement responsables de l'escalade automatique nucléaire ayant mené à la destruction de l'Iran. Si nous regrettons tous amèrement aujourd'hui cet épisode, et je suis sûr que bon nombre de faucons américains le regrettent aussi, il reste totalement inacceptable pour l'Iran d'accepter l'aide de la même main qui l'a détruit." - Ahmadinejad, Président du GPR2ILe gouvernement iranien fait donc savoir que l'aide est refusée. On ne revient pas sur les lieux du crime après 7 mois passés à contempler la désolation d'un peuple avec le sourire.
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
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République Islamique du Pakistan
Les effets du Nekbat au Pakistan
Le choc est redescendu parmi la population pakistanaise. Le Nekbat comme désormais se nomme la crise iranienne, a beaucoup tué, et a montré le potentiel destructeur de l’arme nucléaire. La peur de la fin de l’humanité par l’atome, comme durant les années 80 dans la guerre froide, reprends dans le monde, et particulièrement au Pakistan, pays doté de l’arme nucléaire, ainsi que le voisin indien. Dès lors, politiquement soutenir l’arme nucléaire parait difficile, mais l’est tout de même face à une Inde qui est toujours menaçante malgré un climat de détente entre les deux nations.
Economiquement, le pays se retrouve plutôt mal. Les manques de pétrole et de gaz ont de nombreux résultats désastreux sur la santé économique du pays. La production d’électricité en est réduite alors même que des rationnements ont lieux sur la consommation. Le Pakistan importe plus grand-chose, en termes de quantité de pétrole, alors que le déficit commercial ne diminue pas dû au grand prix pratiqué au niveau pétrole. Autre problème majeur : le Pakistan annonce au monde entier son incapacité à produire en quantité suffisante des engrais . Utilisant l’industrie chimique et pétrolière, les engrais permettent d’augmenter la productivité des terres et est un des éléments les plus important dans la révolution verte des années 60 et le Pakistan reste dépendant de cette méthode pour sa productivité. La sécurité alimentaire mondiale est menacée car le Pakistan reste un gros producteur mais ce problème concerne les agriculteurs du monde, qui ne peuvent produire qu’en important du pétrole. Le fait que le prix des matières premières va augmenter avec celui du pétrole, va inexorablement faire augmenter le prix de la nourriture et donc conduire à une révolte de la faim dans divers pays du monde. Cette vague d’augmentation du prix devrait avoir lieu d’ici quelques mois et le marché financier devrait aussi jouer dessus. C’est pourquoi le Pakistan se prépare au pire, préparant des réserves pour éviter l’import et demande aux structures familiales et aux plus grandes exploitations agricoles d’économiser le plus possible l’utilisation des engrais, il faut un rationnement dans ce domaine pour qu’il soit utilisé le plus efficacement possible. De plus, une partie de la production est acheté par l’Etat dans le but de subvenir aux besoins du Pakistan mais également de celui de l’Iran qui reste dans l’incapacité de produire pour nourrir sa population. Et cela au risque de mettre à mal un peu plus le budget Etatique.
En effet, si le Pakistan était riche, il aurait bien entendu soutenu son industrie d’engrais ainsi que ses agriculteurs mais la dette, la balance commerciale très déficitaire, la croissance faible et le budget en déficit empêche le gouvernement de faire quoi que ce soit. La croissance, certes positive mais faible, n’aide pas. Le fait que la population pakistanaise soit en croissance assez importante implique que le PIB doit augmenter d’environ 7% par année pour intégrer ces nouveaux travailleurs. Le chômage touche donc particulièrement les jeunes et les neo-urbains qui quittent encore les campagnes dans un exode rural. On estime que la situation difficile prochaine concernant les agriculteurs devrait augmenter encore un peu plus cet exode rural, la ville étant un choix logique lorsque la campagne n’a rien à offrir.
L’afflux de réfugiés venu d’Iran est aussi un problème. Plus d’un million s’ajoute au million d’afghan déjà dans le pays, ce qui fait du Pakistan le second pays avec le plus de réfugiés après la Turquie. Contrairement à la Turquie le Pakistan a très peu d’avantage pour intégrer cette population, même si elle semble déjà repartir chez elle. Dès lors le marché noir prend de plus en plus d’importance dans le Baloutchistan pakistanais, iranien et afghan tant cette population désespérée ne trouve pas de quoi nourrir leurs familles. Même si le Pakistan intervient pour empêcher famines et maladie, la faim est là et les iraniens peuvent subvenir aux besoins élémentaires de leurs familles que via des services douteux, ce qui augmente un peu plus la criminalité et l’efficacité de l’Etat dans cette région déjà reculé du Pakistan.
Autre problème, le manque de pétrole augmente le temps des projets pour aboutir, ce qui laisse l’économie sans trop d’investissements, si la situation dure l’économie risque de s’effondrer en quelques années. Le CPEC par exemple est quasiment stoppé, le Pakistan ne peut payer tant d’investissement avec un prix du pétrole à 280 dollars.
Economiquement, le pays se retrouve plutôt mal. Les manques de pétrole et de gaz ont de nombreux résultats désastreux sur la santé économique du pays. La production d’électricité en est réduite alors même que des rationnements ont lieux sur la consommation. Le Pakistan importe plus grand-chose, en termes de quantité de pétrole, alors que le déficit commercial ne diminue pas dû au grand prix pratiqué au niveau pétrole. Autre problème majeur : le Pakistan annonce au monde entier son incapacité à produire en quantité suffisante des engrais . Utilisant l’industrie chimique et pétrolière, les engrais permettent d’augmenter la productivité des terres et est un des éléments les plus important dans la révolution verte des années 60 et le Pakistan reste dépendant de cette méthode pour sa productivité. La sécurité alimentaire mondiale est menacée car le Pakistan reste un gros producteur mais ce problème concerne les agriculteurs du monde, qui ne peuvent produire qu’en important du pétrole. Le fait que le prix des matières premières va augmenter avec celui du pétrole, va inexorablement faire augmenter le prix de la nourriture et donc conduire à une révolte de la faim dans divers pays du monde. Cette vague d’augmentation du prix devrait avoir lieu d’ici quelques mois et le marché financier devrait aussi jouer dessus. C’est pourquoi le Pakistan se prépare au pire, préparant des réserves pour éviter l’import et demande aux structures familiales et aux plus grandes exploitations agricoles d’économiser le plus possible l’utilisation des engrais, il faut un rationnement dans ce domaine pour qu’il soit utilisé le plus efficacement possible. De plus, une partie de la production est acheté par l’Etat dans le but de subvenir aux besoins du Pakistan mais également de celui de l’Iran qui reste dans l’incapacité de produire pour nourrir sa population. Et cela au risque de mettre à mal un peu plus le budget Etatique.
En effet, si le Pakistan était riche, il aurait bien entendu soutenu son industrie d’engrais ainsi que ses agriculteurs mais la dette, la balance commerciale très déficitaire, la croissance faible et le budget en déficit empêche le gouvernement de faire quoi que ce soit. La croissance, certes positive mais faible, n’aide pas. Le fait que la population pakistanaise soit en croissance assez importante implique que le PIB doit augmenter d’environ 7% par année pour intégrer ces nouveaux travailleurs. Le chômage touche donc particulièrement les jeunes et les neo-urbains qui quittent encore les campagnes dans un exode rural. On estime que la situation difficile prochaine concernant les agriculteurs devrait augmenter encore un peu plus cet exode rural, la ville étant un choix logique lorsque la campagne n’a rien à offrir.
L’afflux de réfugiés venu d’Iran est aussi un problème. Plus d’un million s’ajoute au million d’afghan déjà dans le pays, ce qui fait du Pakistan le second pays avec le plus de réfugiés après la Turquie. Contrairement à la Turquie le Pakistan a très peu d’avantage pour intégrer cette population, même si elle semble déjà repartir chez elle. Dès lors le marché noir prend de plus en plus d’importance dans le Baloutchistan pakistanais, iranien et afghan tant cette population désespérée ne trouve pas de quoi nourrir leurs familles. Même si le Pakistan intervient pour empêcher famines et maladie, la faim est là et les iraniens peuvent subvenir aux besoins élémentaires de leurs familles que via des services douteux, ce qui augmente un peu plus la criminalité et l’efficacité de l’Etat dans cette région déjà reculé du Pakistan.
Autre problème, le manque de pétrole augmente le temps des projets pour aboutir, ce qui laisse l’économie sans trop d’investissements, si la situation dure l’économie risque de s’effondrer en quelques années. Le CPEC par exemple est quasiment stoppé, le Pakistan ne peut payer tant d’investissement avec un prix du pétrole à 280 dollars.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
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Politique interne
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L'Union sacrée à la Rada a fait long feu, malgré le non-règlement des tensions avec la Fédération de Russie. Les mesures d'urgence liées à l'absence de gaz ont largement porté leurs fruits, et le nombre de morts imputables à l'absence de chauffage se limite à 148. 148 de trop certes, mais pas de quoi émouvoir plus que ça l'opinion publique, bien plus inquiète à cause du ralentissement de l'économie du pays.
Ce n'est toutefois pas l'économie qui a fait exploser la coalition à la tête du pays, mais bien les propos du président Zelensky lui-même, qui s'est dit dans une interview avec un des quotidiens les plus influents du pays "prêt à considérer l'octroi d'une autonomie du Donbass au sein de l'État ukrainien". Si le dirigeant ne s'est ainsi pas placé en opposition au maintien de l'intégrité territoriale de l'Ukraine, cette solution reste inacceptable aux yeux de l'ensemble des centristes et nationalistes ukrainiens qui y voient une fragmentation de l'unité nationale.
Désavoué après une nouvelle série de manifestations, le président Zelensky n'a eu d'autre choix que de dissoudre la Rada et appeler à des élections législatives anticipées pour le mois de juin 2021, lançant immédiatement une lutte électorale féroce, principalement axée autour de trois orientations de débat.
À la gauche du spectre politique, l'ensemble des formations politiques europhiles et issues de l'Euromaïdan jouent la carte du nationalisme et de l'unité nationale pour critiquer vertement un président jugé incapable de faire respecter le protocole de Minsk et qui menacerait l'entièreté de la nation ukrainienne par son laxisme. À la droite, la Plateforme d'Opposition-Pour la Vie rompt sous les débats internes : neutralistes et russophiles ne parviennent plus à s'entendre sur la position à adopter depuis les volontés d'escalade de la Russie à l'égard de l'Ukraine. Enfin, au centre, le parti du président Zelensky, Serviteur du Peuple, défend son action (et son inaction) dans le but de reconduire sa majorité
Thalassin- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
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Le choc pétrolier se fait finalement ressentir au Canada et il est violent. Une baisse de la croissance a grandement impacté l'économie et a notamment, fait augmenté le chômage et a brisé complètement le bien-être économique de certaines régions à l'économie déjà vacillante comme dans les provinces atlantiques. Tout ça rappelle à une grande partie de la population les événements de 2008, en bien plus fort.
Le Premier Ministre canadien, Alexandre Boulerice, a annoncé la mise en place du Green New Deal, nécessaire pour faire faces aux crises économique et écologique qui font face au Canada et au monde. Tout d'abord, est annoncé une fin totale des subventions aux pétrolières et une réorientation de la production du pétrole vers l'intérieur du pays. Ensuite, le gouvernement veut se donner plus de pouvoirs et cela par une réorganisation du système monétaire et financier. La Banque du Canada rachètera donc la totalité des dettes canadiennes aux banques privées. Ainsi, tout en faisant un bon en avant dans le combat contre l'endettement de l'état, Boulerice réinjecte des liquidités dans les banques, libère une partie colossale du budget qui étaient avant utilisé aux remboursements des intérêts de la dette et le tout sans risque d'une inflation trop forte, celle-ci étant déjà très basses et très peu influencée par l'augmentation des prix du pétrole sur les marchés internationaux, une production intérieure étant déjà très forte.
En plus cela, de vastes plans d'infrastructures sont mis en place afin de développer des sources d'énergies vertes comme des barrages hydroélectriques de différentes tailles mais surtout une connexion plus vaste de l'Ontario au système d'HydroQuébec. Plusieurs constructions d'éoliennes off-shore sont prévus dans le Pacifique, dans l'Atlantique et même quelques essais seront faits dans la Baie d'Hudson. Un des grands projets est par exemple de bâtir un champ d'éoliennes au large de Terre-Neuve afin de pouvoir alimenter l'île d'électricité et de pouvoir faire fermer la centrale énergétique au pétrole des Irving à Saint-Jean qui s'alimentait jusqu'à lors de pétrole saoudien. C'était d'ailleurs la dernière trace de pétrole saoudien sur le sol canadien quand elle a changé pour du pétrole de l'Ouest canadien.
Finalement, le gouvernement Canadien compte aider les familles à absorber le choc de la crise économique en annonçant que le gouvernement absorberait les dépenses de tous les canadiens en soins de santé dentaire et en médicaments dès le prochain budget tout en offrant des enveloppes d'aide financières aux familles.
Oldarick- Ministre
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
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L'explosion en vol. C'est ce qui a caractérisé la plateforme d'opposition dans ces élections anticipées. La rupture est consommée entre les russophiles du bloc d'opposition, qui gardent leur nom, et l'ensemble des éléments neutralistes qui gravitaient autour, désormais réunis dans une coalition aux penchants sociaux-démocrates sous le nom de Nadiya, "espoir" en ukrainien. Cette nouvelle formation politique a à sa tête la cheffe du parti Ukraine - En avant ! Natalia Korolevska.
Après donc quasiment deux mois de campagne, les résultats tombent et sont parlants :
Serviteur du Peuple (Majorité sortante) : 221 sièges
Espoir (Neutraliste, Social-démocrate) : 40 sièges
Solidarité européenne (Porochenkiste) : 39 sièges
Union panukrainienne - Patrie : 25 sièges
Bloc d'opposition (russophile) : 24 sièges
Voix (Libéral, pro-européen) : 21 sièges
Pour le Futur (Libéral) : 19 sièges
Indépendants : 34 sièges
Vacants : 27 sièges
Le parti présidentiel perd donc sa majorité absolue à la Rada à 5 sièges près, mais devrait sans trop de souci pouvoir obtenir un vote de confiance en s'appuyant sur un nombre suffisant de députés indépendants. En revanche, tout espoir de main tendue vers les européistes de l'Union panukrainienne de Ioulia Timoshenko étant désormais impossible, toue réforme majeure et notamment constitutionnelle devra se faire en prenant au moins en considération la nouvelle formation Espoir, qui promeut une Ukraine neutre entretenant de bonnes relations tant avec l'UE qu'avec la CEI, et également avec les libéraux de Pour le Futur, plus enclins à accepter une solution alternative pour la paix dans le Donbass.
Thalassin- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
Invitation d'Ali al-Sistani à Rasht
Le Gouvernement Provisoire de la République Islamique est face à un énorme problème. La tête du système islamique est décapitée, et impossible d'en nommer une nouvelle car l'Assemblée des Experts ne peut se réunir.
Le Président Ahmadinejad a officiellement invité Ali al-Sistani, brillant théologien iranien vivant en Iraq depuis les années 50 à rejoindre l'Iran pour guider le pays dans ces temps difficiles. Ali al-Sistani, de la branche quiétiste de l'islam duodéciman, est connu pour ses propensions au dialogue inter-confessionnel et son rejet du régime islamique. Il est favorable à un fort pouvoir laïc.
Ali al-Sistani, âgé de 90 ans
C'est la première action officielle diplomatique de l'Iran depuis la Nekbat. Un avion de l'armée de l'air iranienne a été dépêché sur l'aéroport de Najaf en Iraq pour chercher al-Sistani. Les Forces Spéciales iraniennes assureront sa sécurité lors du transfert vers Rasht, siège officieux du pouvoir iranien depuis la destruction quasi-totale de Téhéran.
Le théologien a été accueilli avec les acclamations de la foule dans la petite ville de Rasht, déjà gonflée par les réfugiés internes. Sa figure consensuelle est un véritable plus pour la stabilité du gouvernement provisoire. Le Président Ahmadinejad et al-Sistani ont déjà annoncé qu'une réunion d'experts iraniens serait mise en place dans les prochaines semaines pour renégocier le contrat national, et organiser au mieux l'Etat iranien pour permettre à l'Iran de se relever de cette crise catastrophique.
Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
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2021 est une année d'élections présidentielles en Israël, bien qu'il s'agisse d'un rôle principalement honorifique dans le système politique du pays. Le chef de l'État israélien n'est en effet pas élu par le peuple mais directement par la Knesset. Knesset qui est en l'occurrence dirigée par un gouvernement d'Union Sacrée depuis que le gouvernement bandit d'Iran a tenté de rayer l'État juif de la carte, et où la désignation d'un président a dû se faire en évitant au maximum les confrontations partisanes. Et s'il y a bien une institution transpartisane dans le pays, c'est bien l'armée
Ancien chef de l'état-major de 2015 à 2019, Gadi Eizenkot n'a pas rencontré de grandes difficultés pour se faire élire à la tête de l'État, écrasant son seul rival notable, le candidat porté par l'ensemble des partis ultra-orthodoxes de la Knesset. Fait notable, le nouveau président est un Juif d'ascendance marocaine, né à Tibériade de parents ayant accomplis l'Aliyah. En tant que militaire, il a formulé la doctrine Dahiya qui consiste à prôner un usage volontairement disproportionné de la force contre les zones civiles d'où proviennent des tirs contre Israël à des fins de dissuasion
Le président Gadi Eizenkot
Le discours d'investiture d'Eizenkot s'est voulu axé sur la défense de l'intégrité d'Israël, et notamment vis-à-vis de ce qui s'est passé avec l'Iran : "Le scandaleux régime antisémite et islamiste iranien a tenté de détruire l'État d'Israël, et fort heureusement nous avons été capables de nous défendre face à cet assaut, et même de répliquer avec la force la plus juste et la plus déterminée pour exterminer cette menace. Maintenant que l'Iran n'est plus, il reste des obstacles à la réconciliation. Ces obstacles sont les derniers reliquats du régime islamiste de Perse, qui sèment encore la mort et tentent de s'en prendre à Israël. Cependant je n'ai pas peur. Je sais que notre armée est parfaitement capable de faire taire les sombres avatars d'un bellicisme inconsidéré à notre égard. Je sais que notre population n'a pas peur des élucubrations fantasques de Nasrallah. Je sais qu'Israël est éternel, et que toujours nous serons debout !"
Thalassin- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
République hellénique
Ελληνική Δημοκρατία
Vie politique_
Un scandale financier d'envergure provoque la démission du Premier Ministre et la dissolution du parlement
Alors que la politique économique menée par le gouvernement de Kyriákos Mitsotákis commençait à porter ses fruits, c'est un vaste scandale politico-médiatique qui s'est déclenché à la surprise générale dans le pays. Effectivement, le quotidien national Estía, classé à la gauche de l'échiquier politique grec, a dévoilé des informations accablantes concernant le Premier Ministre en personne.
Kyriákos Mitsotákis est accusé d'avoir camouflé aux finances publiques une partie de sa fortune via un montage financier extrêmement complexe, qui lui aurait ainsi permis de ne pas déclarer près d'un million d'Euros de revenus tirés de son entreprise d'audit bancaire, en les plaçant dans un établissement bancaire privé aux Îles turques et caïques.
Démentant vigoureusement les informations relevées par le quotidien, le Premier Ministre n'a toutefois pas su faire face à l'énorme contestation populaire que l'information a déclenchée : effectivement, plusieurs dizaines de milliers de personnes - en grande partie des électeurs des partis de l'opposition - sont descendus dans les rues d'Athènes pour demander la démission de Kyriákos Mitsotákis. Si l'aspect totalement opportuniste de la chose est avéré, le Premier Ministre n'a pas souhaité aller à la confrontation et a annoncé sa démission dans la soirée au JT de ERT1, chaîne publique du pays. Il a déclaré vouloir se concentrer sur sa défense, pour prouver son innocence et rétablir son honneur.
Dans la foulée, il a été annoncé la dissolution du gouvernement et également celle du parlement. Les Grecs sont appelés aux urnes pour un scrutin législatif anticipé dans un mois. La transition gouvernementale sera assurée par Panagiótis Pikramménos, ex Vice-Premier Ministre.
Le premier sondage déployé par VoxPop Analysis donne Solution grecque et la Nouvelle Droite au coude à coude. L'affaire n'a donc eu que peu d'effet sur la popularité électorale du parti sortant.
Alors que la politique économique menée par le gouvernement de Kyriákos Mitsotákis commençait à porter ses fruits, c'est un vaste scandale politico-médiatique qui s'est déclenché à la surprise générale dans le pays. Effectivement, le quotidien national Estía, classé à la gauche de l'échiquier politique grec, a dévoilé des informations accablantes concernant le Premier Ministre en personne.
Kyriákos Mitsotákis est accusé d'avoir camouflé aux finances publiques une partie de sa fortune via un montage financier extrêmement complexe, qui lui aurait ainsi permis de ne pas déclarer près d'un million d'Euros de revenus tirés de son entreprise d'audit bancaire, en les plaçant dans un établissement bancaire privé aux Îles turques et caïques.
Démentant vigoureusement les informations relevées par le quotidien, le Premier Ministre n'a toutefois pas su faire face à l'énorme contestation populaire que l'information a déclenchée : effectivement, plusieurs dizaines de milliers de personnes - en grande partie des électeurs des partis de l'opposition - sont descendus dans les rues d'Athènes pour demander la démission de Kyriákos Mitsotákis. Si l'aspect totalement opportuniste de la chose est avéré, le Premier Ministre n'a pas souhaité aller à la confrontation et a annoncé sa démission dans la soirée au JT de ERT1, chaîne publique du pays. Il a déclaré vouloir se concentrer sur sa défense, pour prouver son innocence et rétablir son honneur.
Dans la foulée, il a été annoncé la dissolution du gouvernement et également celle du parlement. Les Grecs sont appelés aux urnes pour un scrutin législatif anticipé dans un mois. La transition gouvernementale sera assurée par Panagiótis Pikramménos, ex Vice-Premier Ministre.
Le premier sondage déployé par VoxPop Analysis donne Solution grecque et la Nouvelle Droite au coude à coude. L'affaire n'a donc eu que peu d'effet sur la popularité électorale du parti sortant.
Malaa- Haut Commissaire
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic Officiel
United States of America
● Affaires Économiques ●
Bien que l’inflation ait atteint la barre des 3,8%, la consommation des États Unis a particulièrement bien résisté. Cette vitalité toute relatif est la conséquence de la politique interventionniste de réorientation de la production pétrolière américaine à prix plafonné vers le marché intérieur. Cette mesure du Secrétaire du Trésor Steven Mnuchin-reconduit par le Président Rubio- a permit en corrélation avec le quantating easing de la FED de limiter la casse. Par ailleurs, bien que le marché du travail reste solide, des signes clairs de ralentissement sont apparus avec une baisse des embauches et donc une remontée du taux de chômage à 4,3%.
Ainsi prévoyant un scénario où le cours du baril revient progressivement à un prix normal, combiné aux effets positif de la mise en application des réformes sur l’investissement, l’administration Rubio s’attend à un redémarrage de l’économie américaine. Cependant ce regain ne pourra être durable qu'en passant par une action du côté des dépenses publiques, et ceux malgré le niveau d’endettement important de l’état fédéral. Selon, Mnuchin, cette politique peut être rendu possible grâce à l'adoption des projets de loi de crédit dans le cadre des nouveaux plafonds de dépenses décidés par le Congrès. In fine, le département du Trésor voudrait relever le plafond de la dette à 24600 milliards afin de constituer un plan de relance budgétaire ambitieux, de nature à compenser les effets négatifs du Nekbat. Après d’âpres négociations de l’ancien banquier de Goldman Sachs réussi à convaincre les chefs des partis Républicains et Démocrates. Ces derniers se sont ainsi exprimés en faveur de l'application du nouveau plafond de la dette et à l'exécution de dépenses publiques en direction des infrastructures, mais aussi dans des investissements favorisant la transition énergétique. Ce volet écologique étant une des mesures consenties pour rallier à la cause le parti Démocrate.
Par conséquent, le Secrétaire du Trésor prévoit afin de financer le plan de relance dénommé « New Prosperity », l’émission de Bons du Trésor à 10 ans pour un montant de 600 milliards de dollars sur le marché secondaires. Cette dette souveraine des États Unis d’Amérique sera acquise par la FED via des opérations OMT (Outright Monetary Transactions) au taux d’intérêt des Fed Fund à hauteur de 500 milliards. Cette solution technique sera provisoire, elle n’a pour objectif que le financement des investissements fédéraux.
C’est pourquoi en conformité à la feuille de route établie « New Prosperity » se présentera de la manière suivante:
• De prime abord près de 200 milliards de dollars seront alloué à la modernisation des infrastructures vieillissantes du pays, construites pour la plupart entre les années 1950 et 1970 (hôpitaux publiques, autoroutes...).
• Dans second temps 100 milliards de dollars seront injecter dans des subventions diverses, avec comme condition d’octroie la préférence nationale, pour accélérer au déploiement du réseau 5G auprès des opérateurs américains Verizon, AT&T etc. Ce qui marquera la base de développement des technologies lié à l’intelligence artificielle, à l’holographie, à l'interopérabilité d'objets communicants et à la l’essor du concept de « ville intelligente ».
• Et enfin, la mise en place d’une dernière enveloppe de 300 milliards de dollars pour le financement de la transition écologique. C’est pourquoi en coopération avec les États de l'Union des projets divers visant à réduire la dépendance aux énergies fossiles seront financées: ligne LGV, parc solaire, centrale hydroélectrique, système de stockage d’énergie, centrale nucléaire nouvelle génération AP1000 etc.
Selon les conseillers économiques du Président Rubio cette politique pourrait susciter quelque 1 800 milliards de dollars d’investissements indirect des partenaires publics ou privés. Cette embellie étant rendu possible grâce à l’effet de levier imputé à la méthode de financement de « New Prosperity ».
Il est aussi décidé, étant donné le contexte économique, d’appliquer une baisse des FED FUND à 1% sur le troisième trimestre 2021. Cette stratégie ayant pour but non seulement d’alléger les charges d’intérêts liées à la technique de l’OMT, mais aussi de maintenir ouverte les vannes du crédit à prix bas pour les banques américaines.
Pierremenez- Ministre
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