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Chacun son Pays - le forum :: Archives du jeu :: Accéder aux archives :: V 2019 (4 mars - 23 mai 2019)
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Commencée en plein désastre économique, la décennie 2010 s'achève sur une période d'incertitude sans précédent. Alors que le défi climatique se fait chaque jour plus pressant et que de nombreux experts économiques tirent la sonnette d'alarme face à l'aggravation des déséquilibres du capitalisme financiarisé, de plus en plus de peuples décident de renverser la table. Du Brexit à l'élection de Donald Trump aux Etats Unis en passant par la crise des Gilets Jaunes, c'est tout un modèle économique et le système politique libéral, qui semblait pourtant triomphant. Dans une Europe plus que jamais divisée, embourbée dans le dossier du Brexit, de nouveaux modèles politiques anti -libéraux progressent tandis que les interrogations sur l'avenir de l'Union Européenne sont de plus en plus lourdes.
Face à cette Europe divisée, de nouveaux hommes forts porteurs de projets « impérialiste » s'affirment de par le monde, de Vladimir Poutine à Narendra Modi en passant par l'Empereur Rouge Xi Jinping qui entend faire de la Chine une superpuissance mondiale face à des Etats Unis aux abois. Le Moyen-Orient a quand à lui sombré dans le chaos et l'Afrique, pourtant annoncée comme le continent du XXIème siècle, semble encore bien loin de l'essor espéré. Tout espoir n'a pourtant pas disparu des ces régions déshéritées, à l'image de celui porté par les jeunesses algériennes et soudanaises...
Bureau- Vox Bureauli
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
中华人民共和国
République Populaire de Chine
Commerce extérieure
La Chine, par l’intermédiaire de son vice-gouverneur de la banque centrale de Chine Chen Yulu, dénonce la politique protectionniste « America First » du président américain Donald Trump. Ce protectionnisme ne fera qu’envenimer les relations entre les Etats-Unis et le reste du monde, tandis que l’économie mondiale se trouvera à nouveau plus fragilisé. La Chine appel les organisations transnationales, notamment le FMI et l’OMC à réagir envers ces prises de décisions unilatérales et injustes pour l’économie mondiale. La croissance économique mondiale devrait être touchée par ces mesures étasuniennes. La guerre commerciales entre les deux géants mondiaux, la Chine et les Etats-Unis, depuis quelques mois, ne cessent de rendre les marchés instables et frivoles, choses qui encore gène la croissance des deux puissances.
Au-delà de cette guerre commerciale, Xi Jinping y voit un repli des Etats-Unis dans le monde. Le dépassement des Etats-Unis par la Chine d’ici quelques années est d’ores et déjà visible : les Etats-Unis perdent un peu de leur influence, chose que la Chine peut rapidement remplacer. La récente visite en Europe en est une preuve, la Chine cherchant de nouveaux partenaires qui sont des marchés importants et surtout plus stable que l’ermite Etasunien.
Au-delà de cette guerre commerciale, Xi Jinping y voit un repli des Etats-Unis dans le monde. Le dépassement des Etats-Unis par la Chine d’ici quelques années est d’ores et déjà visible : les Etats-Unis perdent un peu de leur influence, chose que la Chine peut rapidement remplacer. La récente visite en Europe en est une preuve, la Chine cherchant de nouveaux partenaires qui sont des marchés importants et surtout plus stable que l’ermite Etasunien.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Affaires Internes :Tchétchénie et accusations de déviance :
Dans la République de Tchétchénie, Ramzan Kadyrov dirige le gouvernement d'une main de fer. Proche allié du Président Poutine, il était Président de la République de Tchétchénie avant d'en devenir le Leader après l'abrogation du titre présidentiel en faveur de celui de leader.
Ramzan Kadyrov
Des accusations par plusieurs médias étrangers et quelques médias russes de crimes contre l'humanité en Tchétchénie ont été proférées récemment. Certains journalistes accusent en effet la Tchétchénie de rassembler les homosexuels dans des camps d'internement, de les torturer et parfois de les assassiner. Ces accusations sont bien évidemment fausses. Ramzan Kadyrov s'est exprimé publiquement sur TVChechnya pour les démentir."Certains accusent la Tchétchénie de tuer des homosexuels. C'est une fantaisie. Nous ne faisons rien de cela. Il n'y a d'ailleurs aucun homosexuel en Tchétchénie, même si nous le voulions, nous ne pourrions pas les torturer." - Ramzan Kadyrov
La réalité est tout autre évidemment, et peu sont dupes. Ce seraient entre 30 et 40 personnes qui auraient disparues après une rencontre avec les services de police tchétchènes dans les derniers mois. Rien d'officiel ne sera cependant publié. Le gouvernement fédéral russe a refusé toute intervention médiatique sur le sujet.Décomission du Dmitriy Donskoi (TK-208)
Le sous-marin Dmitriy Donskoi, de classe Typhoon, sera décommissionné durant l'été 2019. Le plus gros sous-marin du monde en activité effectuera donc ses dernières missions dans les mois qui viennent avant de se diriger vers Mourmansk pour être tout d'abord placé en réserve puis certainement démantelé.
La décomission se fait en continuation de celle des autres classe Typhoon, qui seront remplacés à terme par les classe Borey, bien plus récents et aptes à mener des opérations de combat modernes.
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland
● Affaires intérieures ●
● Affaires intérieures ●
................Depuis plusieurs mois désormais, le Royaume-Uni vit suspendu à l’heure d’un Brexit qui, plus la date fatidique approchant, ne cesse d’être reporté de quelques semaines puis mois, comme si trois ans après le référendum du 23 juin 2016, le pays ne souhaitait – ou ne pouvait plus – respecter le choix démocratique et souverain du peuple britannique et s’affranchir de la tutelle bruxelloise, qui se faisait alors de plus en plus oppressante. Juste après l’adoption d’un nouveau report le 11 avril, le Parlement s’était mis en congé. Au retour des vacances de Pâques, et alors que les parlementaires espéraient passer – du moins temporairement – à un autre sujet, en attendant les élections européennes pour reparler du Brexit, celui-ci est revenu sur la table bien plus vite que prévu à la suite d’une déclaration fracassante du leader de l’opposition travailliste, Jeremy Corbyn, qui a quitté la table des négociations à laquelle il s’était assis il y a plusieurs semaines de cela pour essayer de trouver un compromis bipartisan pour parvenir à une sortie effective du Royaume-Uni de l’Union européenne. Selon lui, « Theresa May refuse catégoriquement de céder de le moindre point minime, et s’efforce de faire échouer les négociations entre les conservateurs et les travaillistes. » Des accusations évidemment retournées contre Corbyn par la premier-ministre, qui estime avoir consenti de nombreuses concessions par rapport à lui.
................La premier-ministre se retrouve dès lors plus isolée que jamais, alors que son aile droitière, menée par Jacob Rees-Mogg, ne cesse d’occuper la scène médiatique et politique en réclamant le départ de la locataire du 10 Downing Street, accusée de ne pas être capable de mettre en œuvre la volonté populaire britannique. Deuxième enjeu, la stabilisation de l’économie britannique, qui connaît une légère phase de ralentissement liée à l’incertitude totale des conditions de déroulement du Brexit, au départ de premiers établissements financiers et industriels vers le Vieux Continent, et une certaine angoisse des consommateurs. Enfin, troisième enjeu auquel est confronté Theresa May : l’approche des élections européennes. En cas d’accord avant le 1er juillet, et surtout avant la date du scrutin, le Royaume-Uni ne serait pas tenu de participer auxdites élections. Pour la premier-ministre, l’enjeu est de parvenir à trouver un tel accord, d’autant plus que les sondages indiquent son parti en deuxième position, nettement affaibli par la montée en force de UKIP et de Brexit, dirigé par Nigel Farage, deux formations créditées de quasiment 30% des intentions de vote à elles deux réunies – devant le Parti travailliste et le Parti conservateur, donc. Il s’agit donc, pour la chef des conservateurs, d’éviter une débâcle électorale à sa formation politique, et surtout de tenter de récupérer l’électorat pro-Brexit et de le ramener chez les Tories.
................Face à cette situation des plus compliquées, Thersa May a opéré un changement de stratégie, profitant du nouveau délai de report pour s’attaquer à la base du problème : l’accord lui-même, que les européens rechignent à renégocier, mais que le Parlement refuse d’adopter. L’objectif est de prendre en compte les principales revendications des hard Brexiters, mais aussi des unionistes irlandais et des travaillistes dans une moindre mesure, tout en atténuant certaines d’entre elles, tout en les conciliant avec les desideratas européens – un véritable numéro d’équilibriste assez périlleux. Le point clef de ce nouvel accord proposé aux européens est un changement total de paradigme : passer du modèle d’intégration européenne norvégien à la relation entre le Canada et l’Union, c’est-à-dire se contenter d’un accord de libre-échange mais avec de nombreuses garanties au lieu de se maintenir dans l’union douanière, cela de sorte à satisfaire un maximum les parties et parvenir à compromis « équilibré entre le Royaume-Uni et l’Union européenne, permettant la poursuite des relations commerciales dans un esprit de confiance, tout en sauvegardant la souveraineté britannique », étant entendu par-là sa capacité à nouer d’autres accords de libre-échanges avec des puissances extra-européennes, à l’instar des Etats-Unis d’Amérique, des pays du Commonwealth ou encore du Japon. Reste à convaincre les parlementaires et les européens.
- Proposition d'accord:
- Accord sur le retrait du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord de l'Union européenne et de la Communauté européenne de l'énergie atomique
1. L'Union européenne, ci-après dénommée l'« Union », et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, ci-après dénommé le « Royaume-Uni », collectivement dénommés les «parties», sont convenus du présent accord concernant le retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne et de leurs relations futures, sur la base prévue par l'article 50, paragraphe 2, du traité sur l'Union européenne (TUE) pour la négociation d'un accord fixant les modalités de retrait d'un État membre quittant l'Union européenne, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l'Union.
2. L'Union et le Royaume-Uni sont résolus à œuvrer de concert pour préserver l'ordre international fondé sur des règles, l'État de droit et la promotion de la démocratie, ainsi que des normes élevées en matière de commerce libre et équitable et de droits des travailleurs, de protection des consommateurs et de l'environnement, et de coopération face aux menaces intérieures et extérieures pesant sur leurs valeurs et leurs intérêts.
3. Dans cet esprit, la présente déclaration établit les paramètres d'un partenariat ambitieux, large, approfondi et souple en matière de coopération commerciale et économique, de services répressifs et de justice pénale, de politique étrangère, de sécurité et de défense, ainsi que dans des domaines de coopération plus larges. Si les parties estiment que cela sert leur intérêt mutuel au cours des négociations, les relations futures peuvent englober d'autres domaines de coopération que ceux décrits dans la présente déclaration politique. Ces relations seront fondées sur les valeurs et intérêts que l'Union et le Royaume-Uni partagent. Ceux-ci découlent de leur géographie, de leur histoire et de leurs idéaux, ancrés dans leur patrimoine européen commun. L'Union et le Royaume-Uni partagent la conviction que la prospérité et la sécurité sont renforcées par le choix d'un commerce libre et équitable, la défense des droits individuels et de l'État de droit, la protection des travailleurs, des consommateurs et de l'environnement, et par l'union face aux menaces, qu'elles proviennent de l'intérieur ou de l'extérieur, pesant sur les droits et les valeurs.
4. Les relations futures reposeront sur un équilibre entre droits et obligations, compte tenu des principes propres à chaque partie. Cet équilibre doit préserver l'autonomie décisionnelle de l'Union et être compatible avec les principes de l'Union, eu égard en particulier à l'intégrité du marché unique et de l'union douanière, et à l'indivisibilité des quatre libertés. Il doit également assurer la souveraineté du Royaume-Uni et la protection de son marché intérieur, tout en respectant le résultat du référendum de 2016, notamment en ce qui concerne l'élaboration de sa politique commerciale indépendante et la fin de la libre circulation des personnes entre l'Union et le Royaume-Uni.
5. La période d'appartenance du Royaume-Uni à l'Union a donné lieu à un niveau élevé d'intégration entre les économies de l'Union et du Royaume-Uni, ainsi qu'à un entrelacement du passé et de l'avenir des peuples et des priorités de l'Union et du Royaume-Uni. Les relations futures devront inévitablement tenir compte de ce contexte unique. Bien que les relations futures ne sauraient équivaloir aux droits et obligations découlant du statut d'État membre, les parties conviennent que celles-ci devraient être envisagées avec une ambition élevée pour ce qui est de leur portée et de leur profondeur, et elles sont conscientes que cette approche pourrait évoluer au fil du temps. Il convient par-dessus tout que ces relations servent les intérêts des citoyens de l'Union et du Royaume-Uni, aujourd'hui et à l'avenir.Partie I – Partenariat économique
6. Prenant acte de l'étendue et de la profondeur envisagées des relations futures et des liens étroits qui unissent leurs citoyens, les parties établiront des principes, modalités et conditions généraux régissant la participation du Royaume-Uni aux programmes de l'Union, dans les conditions fixées par les instruments de l'Union correspondants, dans des domaines tels que la science et l'innovation, la jeunesse, la culture et l'éducation, le développement à l'étranger et l'action extérieure, les capacités de défense, la protection civile et l'espace. Ces principes, modalités et conditions généraux devraient notamment prévoir une contribution financière équitable et appropriée, et comporter des dispositions permettant une bonne gestion financière par les deux parties, un traitement équitable des participants ainsi qu'une gestion et des consultations adaptées à la nature de la coopération entre les parties
7. Les parties conviennent de mettre en place un partenariat économique ambitieux, vaste et équilibré. Ce partenariat sera étendu, et comprendra une zone de libre-échange ainsi qu'une coopération sectorielle plus large lorsque cela est dans l'intérêt mutuel des deux parties. Il s'appuiera sur des dispositions assurant des conditions propices à une concurrence ouverte et équitable. II devrait faciliter les échanges et l'investissement entre les parties dans la mesure du possible, tout en respectant l'intégrité du marché unique de l'Union et de l'union douanière ainsi que du marché intérieur du Royaume-Uni, et en tenant compte de l'élaboration, par le Royaume-Uni, d'une politique commerciale indépendante au-delà de ce partenariat économique.
8. Les parties conserveront leur autonomie et la capacité de réglementer l'activité économique selon les niveaux de protection que chaque partie juge appropriés afin de réaliser des objectifs de politique publique légitimes, comme la santé publique, la santé et le bien-être des animaux, les services sociaux, l'éducation publique, la sûreté, l'environnement, y compris le changement climatique, la moralité publique, la protection sociale ou des consommateurs, la protection de la vie privée et des données, et la promotion et la protection de la diversité culturelle. Le partenariat économique tiendra compte du fait que le développement durable constitue un objectif primordial des parties. Le partenariat économique prévoira aussi des exceptions générales appropriées, notamment en ce qui concerne la sécurité.
9. En vue de faciliter le flux transfrontière de marchandises, les parties envisagent des arrangements complets qui créeront une zone de libre-échange combinant une coopération réglementaire et une coopération douanière approfondies, et fondée sur des dispositions assurant des conditions propices à une concurrence ouverte et équitable.
10. Le partenariat économique devra garantir l'absence de tarifs, de redevances, de taxes ou de restrictions quantitatives dans tous les secteurs, au moyen d'arrangements douaniers ambitieux qui, conformément aux objectifs et principes des parties énoncés ci-dessus, développent et améliorent le territoire douanier unique prévu dans l'accord de retrait qui rend inutiles les vérifications pour ce qui est des règles d'origine.
11. Tout en préservant l'autonomie réglementaire, les parties mettront en place des dispositions favorisant des approches réglementaires transparentes et efficaces, qui promeuvent l'absence d'obstacles superflus aux échanges de marchandises et qui sont compatibles dans la mesure du possible. Les disciplines sur les obstacles techniques au commerce (OTC) et les mesures sanitaires et phytosanitaires (MSP) devraient s'appuyer sur les accords respectifs de l'OMC et aller au-delà de ces accords. Plus précisément, les disciplines OTC devraient établir des principes communs dans les domaines de la normalisation, des règles techniques, de l'évaluation de la conformité, de l'accréditation, de la surveillance du marché, de la métrologie et de l'étiquetage. Les parties devraient se traiter l'une l'autre comme des entités uniques en ce qui concerne les mesures MSP, y compris à des fins de certification, et tenir compte de la régionalisation sur la base d'informations épidémiologiques appropriées fournies par la partie exportatrice. Les parties étudieront en outre la possibilité d'une coopération entre les autorités du Royaume-Uni et des agences de l'Union telles que l'Agence européenne des médicaments, l'Agence européenne des produits chimiques et l'Agence européenne de la sécurité aérienne.
12. Les parties devraient conclure des arrangements ambitieux, complets et équilibrés dans les domaines du commerce des services et de l'investissement dans le secteur des services et les secteurs autres que les services, dans le respect du droit de chaque partie d'édicter des règles. Les parties devraient avoir pour objectif de parvenir à un niveau de libéralisation du commerce des services allant bien au-delà de leurs engagements dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et s'appuyant sur les accords de libre-échange conclus récemment par l'Union.
13. Les parties devraient viser une couverture sectorielle substantielle, qui englobe tous les modes d'approvisionnement et prévoie l'absence de l'essentiel des discriminations dans les secteurs couverts, moyennant des exceptions et des limitations en tant que de besoin. Les arrangements devraient par conséquent porter sur des secteurs incluant les services professionnels et aux entreprises, les services de télécommunications, les services de messagerie et les services postaux, les services de distribution, les services environnementaux, les services financiers, les services de transport et d'autres services d'intérêt commun.
Les arrangements devraient inclure des dispositions sur l'accès au marché et le traitement national selon les règles de l'État d'accueil en ce qui concerne les fournisseurs de services et les investisseurs des parties, et aussi tenir compte des prescriptions de résultat imposées aux investisseurs. Cela garantirait que les fournisseurs de services et les investisseurs des parties sont traités d'une manière non-discriminatoire, y compris en matière d'établissement.
14. Les parties sont déterminées à préserver la stabilité financière, l'intégrité du marché, la protection des investisseurs et des consommateurs et une concurrence loyale, tout en respectant l'autonomie réglementaire et décisionnelle des parties, ainsi que leur capacité à prendre des décisions d'équivalence dans leur propre intérêt, et ce, sans préjudice de la capacité des parties à adopter ou à maintenir toute mesure lorsque cela est nécessaire pour des raisons prudentielles. Les parties conviennent de coopérer étroitement en matière de réglementation et de surveillance au sein des instances internationales.
15. Les parties devraient inclure des dispositions visant à permettre la libre circulation des capitaux et des paiements concernant les transactions libéralisées dans le cadre du partenariat économique, sous réserve des exceptions pertinentes.
16. Les parties devraient prévoir la protection et le respect des droits de propriété intellectuelle afin de stimuler l'innovation, la créativité et l'activité économique, en allant au-delà des normes de l'accord de l'OMC sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce et des conventions de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, le cas échéant. Elles reconnaissent mutuellement leurs dispositifs réciproques de protection de la propriété intellectuelle.
17. Compte tenu de l'intention du Royaume-Uni d'adhérer à l'accord de l'OMC sur les marchés publics (AMP), les parties devraient prévoir des possibilités mutuelles sur leurs marchés publics respectifs, allant au-delà des engagements qu'elles ont pris en vertu de l'AMP dans des domaines d'intérêt mutuel, sans préjudice de leurs règles nationales visant à protéger leurs intérêts essentiels en matière de sécurité.
18. Les parties devraient également s'engager en faveur de normes, fondées sur celles de l'AMP, assurant la transparence des possibilités commerciales et des règles, procédures et pratiques en matière de passation de marchés publics. En s'appuyant sur ces normes, les parties devraient remédier au risque de comportement arbitraire lors de l'attribution de marchés, et mettre à disposition des moyens et procédures de recours, y compris devant des autorités judiciaires.
19. Le Royaume-Uni consent au maintien d’une liberté de circulation sur son territoire, laquelle consiste en une exemption totale de visa pour les séjours d’une durée inférieure à un an ou à des fins, de recherche, d'études, de formation, d'échanges de jeunes, de visite familiale, de tourisme ou de stage. S’agissant des séjours d’une durée excédant un an, le Royaume-Uni fixera les règles appropriées.
Les citoyens européens et leurs familles installés au Royaume-Uni et les citoyens britanniques et leurs familles installés dans l’Union conservent l’entièreté des droits acquis lors de leur installation avant la date d’entrée en vigueur du retrait du Royaume-Uni de l’Union.
20. Les parties devraient coopérer pour contribuer à assurer un approvisionnement en électricité et en gaz qui présente un bon rapport coût-efficacité et qui soit propre et sûr, sur la base de marchés concurrentiels et d'un accès non discriminatoire aux réseaux.
21. Les parties devraient établir un cadre pour faciliter la coopération technique entre les opérateurs et organismes chargés de la gestion des réseaux d'électricité et de gaz, tels que les réseaux européens des gestionnaires de réseau de transport pour l'électricité et pour le gaz, en ce qui concerne la planification et l'utilisation d'infrastructures énergétiques reliant leurs systèmes. Ce cadre devrait en outre prévoir des mécanismes visant à garantir, dans la mesure du possible, la sécurité d'approvisionnement et l'efficacité des échanges sur les interconnexions à différentes périodes.
22. Prenant acte du retrait du Royaume-Uni de la Convention de Londres sur la pêche du 9 mars 1965, es parties conviennent de la fin des droits réciproques de pêche, à l’exception d’éventuels droits historiques, sur les mers territoriales et les zones économiques exclusives respectives d’entre elles.
23. Les parties sont conscientes de l'importance que revêt la coopération mondiale pour traiter des questions présentant un intérêt économique, environnemental et social partagé. À ce titre, tout en préservant leur autonomie décisionnelle, les parties devraient coopérer au sein des enceintes internationales, telles que le G7 et le G20, lorsque cela est dans leur intérêt mutuel, notamment dans les domaines suivants :
a) changement climatique ;
b) développement durable ;
c) pollution transfrontière ;
d) santé publique et protection des consommateurs ;
e) stabilité financière ; et
f) lutte contre le protectionnisme commercial.Partie II – Dispositions diverses
24. Le Royaume-Uni, conformément à sa souscription au budget général de l’Union européenne sur la période s’étalant de 2014 à 2020, et de sa participation à divers programmes dans le cadre des différentes institutions européennes, versera pour les années 2019 et 2020 la somme correspondant à sa contribution audit budget, laquelle s’élève à dix milliards d’euros par an. En sus, il s’acquittera des sommes dues à sa participation desdits programmes durant leur réalisation.
25. Les citoyens de la République de Chypre vivant et travaillant dans les bases britanniques situées sur ladite île continueront de bénéficier, sans aucune perturbation, du droit européen par dérogation aux stipulations du présent accord, à moins que ledit Etat ne vienne à se retirer de l’Union.
26. Les relations futures devraient se fonder sur un cadre institutionnel global, couvrant les chapitres et les accords liés qui se rapportent à des domaines spécifiques de coopération, étant entendu que la forme juridique précise de ces relations futures sera déterminée dans le cadre des négociations formelles. S'il y a lieu, les parties peuvent fixer des modalités de gouvernance spécifiques dans des domaines déterminés.
27. Les parties fonderont les modalités du règlement des différends et du contrôle de l'application sur celles prévues dans l'accord de retrait. À cette fin, les parties devraient dans un premier temps faire tout leur possible pour régler toutes les questions concernant le fonctionnement des relations futures par la discussion et la consultation. Si l'une des deux parties le juge nécessaire, elle devrait pouvoir saisir le comité mixte en vue d'un règlement formel.
28. Sauf disposition contraire, le comité mixte peut à tout moment décider de soumettre le différend à un groupe spécial d'arbitrage indépendant, et l'une des parties devrait pouvoir le faire lorsque le comité mixte n'est pas parvenu à le régler d'une manière mutuellement satisfaisante dans un délai déterminé. Les décisions du groupe spécial d'arbitrage indépendant seront contraignantes pour les parties.
Sirda- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
REPPUBLICA ITALIANA
Affaires européennesLe mois de mai 2019 secoue l'Europe entière du fait de la tenue des élections communautaires le 26 mai, à travers l'ensemble de l'Union Européenne. En Italie, celles-ci bénéficient d'un écho particulier en ce que le populaire et médiatique leader de la Lega, Matteo Salvini, est tête de liste dans l'ensemble des circonscriptions électorales, et mène activement campagne à travers l'Italie, critiquant l'Europe et ses politiques notamment migratoires, concentrant son ire sur le président français et son parti, tant pour sa politique étrangère dénoncée comme impérialiste en Afrique que pour sa volonté affirmée d'approfondir l'intégration européenne.
Dans le plus grand discours tenu par le chef de file de la droite populiste italienne au cours de cette campagne, en plein cœur de Milan, ce dernier a répondu sous les ovations aux critiques que lui avaient adressées l'alors ministre Nathalie Loiseau lorsqu'il avait soutenu le mouvement des Gilets Jaunes : << Madame Loiseau m'a dit, je cite, "Je voudrais lui rappeler que Strasbourg c'est la capitale de la démocratie européenne, je voudrais lui rappeler qu'ici on traite de démocratie, on traite de droits de l'homme, on est proche des citoyens...". Et bien moi je voudrais rappeler à cette poule prétentieuse que si la démocratie européenne c'est imposer les directives de Bruxelles au peuple, si les droits de l'homme c'est noyer sous du gaz et des coups de matraque le peuple français qui réclame sa dignité, si la proximité des citoyens c'est regarder ce massacre depuis sa tour d'ivoire en s'en félicitant, alors cette démocratie là, nous n'en voulons pas ! Non, non et non ! >>
À côté de ces coups d'éclat médiatiques, la campagne européenne du parti qui codirige le pays semble bien fade, le Mouvement 5 étoiles se retrouvant désarmé entre un discours sur l'immigration sur lequel il n'a jamais su de quel pied danser, et un discours démocratique et populiste totalement siphonné par la Ligue. Les résultats de l'élection reflètent parfaitement cet état de fait. La Lega assoit sa position de force en rassemblant un tiers des électeurs et 28 des 76 députés sous sa houlette, écrasant un M5S réduit en dessous de la barre des 20% de voix, incapable de même terminer deuxième parti aux élections, concurrencé par un Parti Démocrate qui a réussi à se faire le porte-étendard de la participation au projet européen pour élargir son électorat à un ensemble d'Italiens progressistes. Derrière suivent Forza Italia en nette baisse même par rapport aux estimations du début du mois d'avril, n'empêchant pas Berlusconi et huit autres de ses lieutenants de s'adjuger un siège à Strasbourg, tout comme 5 membres de Fratelli d'Italia qui se félicitent d'un score au-dessus de leurs attentes initiales.
Alors que la coalition de gauche de la Sinistra, en pleine restructuration, perd tous comme les écologistes sa poignée de députés européens, l'échec le plus probant est sans aucun doute celui de la coalition centriste et ouvertement européiste +Europa, totalement incapable de faire entendre son discours en dehors des classes favorisées de la société italienne, d'autant plus face à la campagne efficace du PD se superposant sur une partie de son discours. Véritable camouflet pour le parti, celui-ci s'est révélé incapable d'atteindre le seuil de 4% des voix requis pour bénéficier d'une représentation au Parlement de l'Union.
Quoiqu'il en soit, Salvini, sorti largement vainqueur de cette confrontation qui cache son nom pour le leadership du gouvernement face au Mouvement 5 étoiles, renforce encore son aura auprès de ses partisans, d'autant plus que le poste de ministre pour les Affaires européennes, actuellement occupé par Giuseppe Conte de manière intérimaire, devrait échoir à un membre de la Lega en réaction à ce succès électoral
Lega (ENF) : 33,2% (28 députés européens)
Parti démocrate (S&D) : 22,9% (18 députés européens)
Mouvement 5 étoiles (EFDD) : 19,7% (16 députés européens)
Forza Italia (EPP) : 9,3% (9 députés européens)
Fratelli d'Italia (ECR) : 5,4% (5 députés européens)
+Europa (ALDE) : 3,5% (0 députés européens)
La Sinistra (GUE/NGL) : 3% (0 députés européens)
Europa Verde : 0,5% (0 députés européens)
Affaires étrangères
Le gouvernement italien a fait part de son opposition à la proposition d'accord formulée par Londres, considérant que l'accepter serait une capitulation plus qu'un accord à proprement parler. Justifiant son annonce que si jamais cela était nécessaire l'Italie voterait contre la signature de cet accord au Conseil européen, le président du Conseil Giuseppe Conte a déclaré que "ce que Londres propose, c'est de rester dans un marché unique qui tait son nom, se gaver sur le dos des peuples européens, sans être soumis aux mêmes droits et obligations qu'eux. Mon gouvernement a refusé de ratifier le CETA, nous n'accepterons pas d'offrir aux Anglais un accord de libre-échange encore plus scandaleux"
Concernant la situation libyenne, le gouvernement italien adopte une position critique vis-à-vis des relations floues entre la République française et le maréchal Haftar en Libye, estimant que Paris cherchait à compromettre les efforts de paix bâtis en coopération avec le gouvernement de Tripoli, et a bien fait comprendre que l'Italie défendrait ce dernier par toutes les méthodes à sa disposition (Secrètement, une missive a été envoyée à Washington afin de sonder l'opinion de l'allié américain à ce sujet)
Thalassin- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
République de l’Inde
Brève
Evénement
Les élections générales indiennes, les plus grandes du monde comme l'aiment à préciser les journaux tous les 5 ans, forment la Lok Sabha, la chambre du peuple.
L'enjeu est important pour l'Inde, et les élections sont les plus suivies depuis des décennies. En effet, la dérive autoritaire du Président Modi, issu du BJP, un parti nationaliste hindou, a profondément fracturé la société civile indienne. De vifs débats eurent lieu tout le long des 4 semaines d'élection, le temps nécessaire pour ce béhémoth de la démocratie afin de rassembler et comptabiliser les votes.
Les résultats furent publiés officiellement le 19 mai 2019 à 21h par le gouvernement, et sanctionnés par la Cour Suprême de la République, l'organe garant de la Constitution et de la bonne tenue des processus démocratiques sur le sous-continent. C'est avec fracas que le BJP, le parti du gouvernement, fut rabaissé au rang d'opposition par un véritable raz-de-marée du Nation Indian Congress et ses alliés politiques.
Sur les 545 sièges de la chambre, et les 273 nécessaires à une majorité, 280 furent en effet remportés par la coalition dirigée par le Congrès et son leader Raul Gandhi, contre 200 sièges pour la Northern Democratic Alliance, la coalition dirigée par le BJP. Le reste est formé de partis locaux, parfois régionaux ou de marge comme des partis d'extrême-gauche ou encore plus à droite que le BJP.
C'est donc Raul Gandhi qui devient le Premier Ministre de la République d'Inde, à la tête d'une fragile coalition.
Le programme du Congrès se focalisera sur les points suivants, et des centaines de millions d'électeurs comptent sur la Congrès pour faire disparaître une fois pour toute l'extrémisme religieux de la politique indienne :
- Nyuntam Aay Yojana : un programme de sécurité sociale qui distribuera près de 1 000 dollars par an aux 20% des foyers les plus pauvres de l'Inde.
- Une révision des dettes paysannes.
- Le passage au parlement du Right to Homestead Act, qui distribuera gratuitement un lopin de terre à toutes les familles qui n'en possèdent pas, afin que tout indien puisse disposer d'une propriété privée.
- Le passage au parlement d'un Right to Healthcare Act, qui mettra en place dans les hopitaux des services spécialisés dans les soins d'urgence et de prévention, gratuits.
- L'augmentation du budget des Forces Armées Indiennes.
Ukraine
Brève
Evénement
En Ukraine, les élections présidentielles mènent au pouvoir le comique Volodymyr Zelensky, sans grande surprise au vu des sondages. Âgé de seulement 41 ans, le showman devient donc le Président de la République Ukrainienne après Porochenko. Lui et son parti Serviteurs du Peuple sont des ovnis de la politique ukrainiennes, et beaucoup le comparent déjà à Emmanuel Macron.
Algérie
Brève
Evénement
Une chape de plomb s'abat sur l'Algérie, après la démission du Président Boutelflika le mois dernier et l'accession au pouvoir d'un de ses proches, Abdelkader Bensalah, Président intérimaire de la République algérienne. Aucun signe d'une réelle organisation d'élections n'est à percevoir, même si le gouvernement continue à faire semblant de vouloir rapidement passer à autre chose.
La mécanique politique algérienne commence à s'embourber dans des manifestations, des répressions policières de plus en plus violentes (même si aucun mort n'est à déplorer pour le moment depuis le début de la crise). Le gouvernement assure que des élections auront lieu avant la fin de l'année, mais que pour le moment elles ne sont pas tenables en raison des violences au sein du pays. Les manifestants eux, ne démordent pas et demandent la tenue immédiate d'élections.
Bureau- Vox Bureauli
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
✠ Bundesrepublik Deutschland ✠
✠ Europäische Union ✠
La position allemande concernant la sortie imminente du Royaume-Uni de l’Union européenne a été depuis le début des processus entamés par Londres relativement modéré contrairement à la position des autres membres de l’Union davantage revancharde. Il est vrai que l’Allemagne a beaucoup à perdre d’un Hard-Brexit, les lobbies industriels allemands sont à pied d’œuvre pour rappeler les conséquences économiques d’une telle avenue aurait sur l’économie allemande basée en grande partie sur l’exportation. La baisse de la demande au Royaume-Uni à la suite d’un hard Brexit entraînerait un marché de 65 millions de consommateurs qui n’est plus exploitable à son maximum par les industries allemandes. Il est donc clair pour Berlin que le marché britannique doit rester ouvert aux intérêts allemands.
Cela étant dit, plusieurs interrogations restent pour la majorité des députés allemands au Conseil. Concernant l’agriculture, Londres ne propose rien de concret afin de suivre la politique agricole commune. L’Allemagne ne peut se résoudre à mettre à mal certaines économies de l’Union passablement fragile dans des pays ayant davantage de difficulté à ce niveau. Berlin affirme aussi qu’elle s’attend à un plus grand enthousiasme et des mesures concrètes afin de participer aux mesures de sécurité et à la défense de l’Europe. Nous considérons le Royaume-Uni comme un partenaire clé dans celle-ci. De plus, rien n’est affirmé concernant les mesures déjà prises concernant la sécurité et la défense. Finalement, en l’état, l’Allemagne ne peut pas soutenir l’accord proposé par Londres, notamment l’accord de libre-échange utopiste mis de l’avant. Le dumping de biens et de services est bel et bien un danger pour l’Union européenne et le Royaume-Uni va devoir accepter certaines limitations concernant l’accord de libre-échange à défaut de continuer à participer à certaines institutions de l’Union.
Résultats de l’élections européenne :
CDU et CSU : 33%
SDP : 15%
AfD : 13%
FDP : 9%
LINKE : 9%
GRUNE : 15%
✠ Einigkeit und Recht und Freiheit ✠
GeorgeV- Grand Consul
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
الجمهورية الجزائرية الديمقراطية الشعبية
Alors que les manifestations ne se tassent toujours pas dans le pays, une étrange sourdine s'est mise en place dans les médias occidentaux qui jusque là, rapportaient chaque nouvelle se déroulant en Algérie par des manifestations démocrates. C'est bien là le problème, cette sourdine n'est pas anodine, en effet depuis maintenant plus d'un mois de large manifestation ralliant les bas quartiers des villes du pays se soulèvent et commencent à se mobiliser tout comme les sympathisants de la démocratie cependant l'ampleur du mouvement s'est intensifié il y a peu. Une réunion des dirigeants des parti islamistes actuels s'est organisée à fin d'établir un nouveau parti politique réunissant tout les bords des tendances islamiques plus ou moins conservatrices réunissant alors les partisans de l'ex-FSI, le Mouvement de la société pour la paix et le Mouvement pour la réforme nationale majorité. Le gouvernement lui, dénonce une manipulation des masses par un état tiers et appel le peuple à se calmer, cependant un vaste campagne des conservateurs est mise en avant partout sur les réseaux arabes, notamment Telegram et d'autres applications privées et publiques.
Les conservateurs du pays acquiescent désormais plus d'influence et les manifestants deviennent de plus en plus virulent, à l'origine les plus déterminé s'étaient lancé dans la lutte de l'alcool dans les quartiers en incitant les citoyens à se mobiliser en fermant les bars et autres bistrots mettant en avant les ravages du produit. Un débat qui avait suscité nombres censures mais qui n'avait alors pas eu autant d'ampleur que les évènements actuel qui suivent la continuité des élections qui devraient être mises en place prochainement. Les violences se poursuivent entre les forces de l'ordre et le peuple, Djahid Younsi appel cependant au calme et à agir de manière démocratique à fin de montrer que le peuple algérien n'est pas à genoux et est prêt à combattre par les moyens qui se présentent à savoir lors des votes.
Alors que les manifestations ne se tassent toujours pas dans le pays, une étrange sourdine s'est mise en place dans les médias occidentaux qui jusque là, rapportaient chaque nouvelle se déroulant en Algérie par des manifestations démocrates. C'est bien là le problème, cette sourdine n'est pas anodine, en effet depuis maintenant plus d'un mois de large manifestation ralliant les bas quartiers des villes du pays se soulèvent et commencent à se mobiliser tout comme les sympathisants de la démocratie cependant l'ampleur du mouvement s'est intensifié il y a peu. Une réunion des dirigeants des parti islamistes actuels s'est organisée à fin d'établir un nouveau parti politique réunissant tout les bords des tendances islamiques plus ou moins conservatrices réunissant alors les partisans de l'ex-FSI, le Mouvement de la société pour la paix et le Mouvement pour la réforme nationale majorité. Le gouvernement lui, dénonce une manipulation des masses par un état tiers et appel le peuple à se calmer, cependant un vaste campagne des conservateurs est mise en avant partout sur les réseaux arabes, notamment Telegram et d'autres applications privées et publiques.
- Spoiler:
Les conservateurs du pays acquiescent désormais plus d'influence et les manifestants deviennent de plus en plus virulent, à l'origine les plus déterminé s'étaient lancé dans la lutte de l'alcool dans les quartiers en incitant les citoyens à se mobiliser en fermant les bars et autres bistrots mettant en avant les ravages du produit. Un débat qui avait suscité nombres censures mais qui n'avait alors pas eu autant d'ampleur que les évènements actuel qui suivent la continuité des élections qui devraient être mises en place prochainement. Les violences se poursuivent entre les forces de l'ordre et le peuple, Djahid Younsi appel cependant au calme et à agir de manière démocratique à fin de montrer que le peuple algérien n'est pas à genoux et est prêt à combattre par les moyens qui se présentent à savoir lors des votes.
Invité- Invité
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland
● Affaires européennes ●
● Affaires européennes ●
................La Premier ministre du Gouvernement de Sa Majesté a fait part de sa consternation face à la réponse italienne à la suite de la proposition d’un nouvel accord pourtant « plus juste et plus bénéfique tant aux Etats-membres de l’Union européenne qu’au Royaume-Uni » selon les mots de Theresa May. Pour elle, Rome « n’est guère dans une position de parler de soumission aux droits et obligations découlant des traités européens, au regard de la politique mise en œuvre par le gouvernement de M. Conte, lequel viole allègrement plusieurs principes majeurs du droit communautaire. » En outre, la chef du gouvernement britannique a rappelé que, dans cette nouvelle mouture, Londres acceptait de se plier à de nouvelles obligations, notamment en matière de liberté de circulation, et qu’en outre, les règlementations minimales étant les mêmes des deux côtés, le Royaume-Uni devra nécessairement, dans les faits, se conformer aux exigences du marché européen, et réciproquement, pour que les échanges puissent se faire. Dès lors, il ne s’agit pas d’un « traité de libre-échange encore plus scandaleux » comme affirmé par le gouvernement italien, mais bel et bien d’un accord juste, d’autant plus que contrairement au Canada, Londres versera plusieurs dizaines de milliards d’euros en indemnités de départ, et continuera de verser de l’argent pour la participation aux programmes européens, notamment relevant du marché unique.
................Quant à l’Allemagne, la Premier ministre a répondu à son homologue en lui rappelant que « l’objectif du Royaume-Uni, en se retirant de l’Union, est de cesser de participer aux programmes qu’il ne désire pas, tout en se réservant le droit de participer à ceux qui l’intéresse. » Il va sans dire que la politique agricole commune, laquelle bénéficie très peu à Londres, fait partie des programmes auxquels la Couronne ne veut plus participer, et que, à l’instar de la Norvège, le Royaume-Uni entend mener seul sa politique dans ce domaine, bien que des tarifs douaniers extrêmement bas soient souhaitables pour les deux parties. Ensuite, concernant la sécurité et la défense, Theresa May a affirmé que son pays continuera de participer aux programmes auxquels il a souscrit, notamment dans la lutte contre le terrorisme, etc., ainsi que ceux de coopération militaire, dont les programmes de développement d’armes franco-britanniques. Toutefois, elle réaffirme que « la défense de l’Europe passe nécessairement par l’OTAN. En tant que membre de cette organisation, le Royaume-Uni continuera de contribuer à la défense collective européenne de cette manière, et d’aucune autre. » Enfin, d’agissant du dumping, Londres réitère ses propos transmis aux italiens, et fait remarquer qu’il serait hypocrite que l’Union refuse un hypothétique dumping britannique alors qu’elle accepte celui de nombreux pays en son sein.
................Quoi qu’il en soit, Theresa May a – une nouvelle fois – échoué à trouver un accord avec ses homologues européens avant la fin du mois de mai. Si la date butoir est théoriquement fin octobre, le Royaume-Uni a été contraint d’organiser les élections des parlementaires européens, lesquelles se sont déroulées dans un climat assez tendu, avec de violentes attaques de la part du camp des brexiters, qui ont incontestablement gagné ces élections, avec à leur tête l’iconoclaste Nigel Farage, à la tête de son nouveau parti Brexit. En effet, si le Parti Travailliste est arrivé premier avec 24% des suffrages, envoyant à Bruxelles 18 députés, le Parti Conservateur a quant à lui fait élire 13 eurodéputés, avec 16% des voix – son plus bas score depuis sa création –, quasiment tous eurosceptiques. Les deux partis les plus europhobes, Brexit et UKIP, ont respectivement obtenu 15% et 14% des voix, soit 12 et 11 députés chacun, tandis que les libéraux-démocrates et les verts envoient 6 députés chacun, grâce à leur 8% de voix, et que le parti Change UK peine à envoyer 5 élus avec 7% des suffrages. Au total, donc, près de la moitié des eurodéputés britanniques manifestent une hostilité franche à l’Union européenne. Nigel Farage et Jacob Rees-Mogg, chef de file des conservateurs eurosceptiques, le clament haut et fort : « nous bloquerons toute évolution et tout projet de l’Union jusqu’à ce qu’elle nous redonne notre souveraineté intégrale. »
................En attendant, les premières tractations commencent avec différents partis européens afin de constituer un solide groupe souverainiste. Ainsi, Gerard Batten, leader de l’UKIP et eurodéputé largement réélu, a notamment pris contact avec le Rassemblement national et la Ligue afin de reconstituer le groupe Europe des Nations et Libertés, auquel il propose à l’Alternativ für Deutschland de se joindre. De son côté, Nigel Farage a repris le groupe Europe de la liberté et de la démocratie directe, dans lequel se trouve le Mouvement 5 étoiles et d’autres mouvements analogues. Malgré les désaccords entre eux, Gerard Batten a appelé Nigel Farage ainsi que tous les partis-membres de l’EFDD à former un « vaste groupe souverainiste eurosceptique », lequel pourrait aisément atteindre plus d’une soixantaine de membres, voire une petite centaine en comptant de nombreux partis eurosceptiques comptant quelques membres, à l’instar du PVV et de Forum pour la démocratie aux Pays-Bas, de Vox en Espagne, des nationalistes flamands, etc., et ainsi s’imposer comme l’une des principales forces politiques au sein du Parlement européen. Pour sa part, le Parti Conservateur a décidé de continuer de siéger au sein du groupe Conservateurs et réformistes européens, aux côtés notamment des polonais, bien que certains eurodéputés semblent tentés de rallier l’initiative de Gerard Batten. Les autres partis restent dans leur groupe habituel.
Sirda- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Espagne
Brève
ÉlectionsJournée d'élections extrêmement attendue en Espagne à la toute fin du mois d'avril, convoquées de manière anticipées par le chef socialiste du gouvernement Pedro Sanchez après le dépôt d'une motion de censure contre son gouvernement. Les sondages annonçaient un scrutin extrêmement serré entre la gauche et la droite, pour la première ayant annoncé être prête à s'unir au sein d'une coalition avec la parti montant d'extrême-droite VOX si cela était nécessaire à la formation d'un gouvernement. Le résultat confirme cependant l'orientation de gauche du Royaume d'Espagne, les forces de gauche réunies parvenant à arracher une courte majorité de 179 sièges (la majorité absolue est à 176 sièges) alors que les forces droitières accumulées en récoltent 156 (les 15 restants étant divers partis régionalistes/de marge). Deux points majeurs sont toutefois à noter, qui viennent relativiser le succès de Pedro Sanchez. D'abord, ce qui n'est -malheureusement pour bien des commentateurs politiques- pas une surprise, l'explosion de VOX qui recueille plus de 10% des voix et s'avance comme une force politique de rang dans la vie parlementaire espagnole, mais aussi le fait que la majorité absolue du gouvernement repose sur l'inclusion des indépendantistes catalans de gauche dans sa coalition, indépendantistes qui ne seront pas sans faire pression pour obtenir la mise en oeuvre d'un véritable référendum officiel dans la région.
Bureau- Vox Bureauli
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
ESTADOS UNIDOS MEXICANOS
NUEVAS DE MEXICO
Affaires américaines
Mexico à exprimé certains doutes face aux politiques États-Uniennes, en particulier celles concernant les mesures protectionnistes du pays, alors même qu'il est le premier partenaire commercial du Mexique.
"Monsieur Trump semble être quelque peu en décalage avec la réalité, le commerce libéral et mondialisé est une invention américaine, les Etats-Unis sont le premier marché mondial et opérer une telle manœuvre, c'est courir à la catastrophe sur de multiple plan avec en premier lieu, un risque que certains investisseurs deviennent frileux pour échanger avec les américains, et par là, engendrer des conséquences à l'échelle de l'ensemble du continent par les liens tissés avec les autres pays." A déclaré le président Obrador.
Le gouvernement à ajouter que si cet allié continue une telle fermeture, le Mexique n'aurait d'autre choix que de compenser par le biais de nouveaux partenaires pour subvenir à ses besoins et à son commerce, avec, en tête, la Chine qui est actuellement le deuxième partenaire du pays. Nul doute que les politiques Trumpesques risques de bénéficier très largement à la Chine sur le plan commercial ou elle est déjà proche de dépasser le géant du Nord.
Toutefois, Washington ne s'est pas encore exprimée quand à ses intentions de relations avec le nouveau gouvernement du Mexique et nul doute que le gouvernement est dans l'attente des prochaines déclarations de la Maison Blanche.
D'autre part, le Secrétaire des Relations Extérieures Ebrard à appeler ce matin ses collègues à placer la lutte contre les trafics de drogues au centre des discussions du prochain sommet de l'Organisation des États Américains, afin de faire reculer, je cite, "la Lèpre des Amériques".
En cause selon lui, le caractère internationale de ce problème qui, pour être vaincu, doit être davantage traité sur le plan international, les cartels "ne portant attention aux frontières que pour l'augmentation du prix de la marchandise qu'elles procurent".
On peut sentir en demi-teinte derrière ces déclarations , une tentative d'appel du pieds vis-à-vis d'autres pays relais et plus particulièrement des pays de départ tel que la Colombie, pour intensifier la lutte contre les centres de production et ainsi couper les appels d'airs aux cartels mexicains.
Tiett- Gratte-papier
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Cộng hoà Xã hội Chủ nghĩa Việt Nam (République Socialiste du Vietnam)
Affaire intérieur:
Interdiction du phosphate
Le ministère de l'agriculture et du développement rural a décidé d'interdire le glyphosate en la retirant de la liste des produits chimiques autorisés au Vietnam.
Cette décision s'explique par les probables effets néfastes pour la santé des utilisateurs de la substance potentiellement cancérigène.
fredred- Gratte-papier
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
中华人民共和国
République Populaire de Chine
Conquête de l’Ouest
Une des rares image d’un Laogai dans le Xinjiang.
Xi Jinping souhaite conquérir définitivement les régions de l’Ouest le plus rapidement possible. Sous contrôle chinois les régions du Tibet et du Xinjiang sont composés de populations plutôt hostiles à ce qu’ils disent être une occupation. Depuis quelques années, le Parti Communiste chinois y établit un régime de terreur, en emprisonnant dans des camps de rééducations plus d’un million d’Ouighours, une minorité turcophone et musulmane. De plus, une sorte de colonisation a lieu, des populations Hans, groupe majoritaire en Chine, n’hésitent pas à se déplacer vers ces régions pour contrôler la vie sociale de la région et changer le visage ethnique de ces régions, les Hans seront en effet plus enclin à suivre le régime que les Ouighours ou les tibétains. Pour Xi Jinping, la sécurisation du Tibet mais surtout du Xinjiang est essentiel pour asseoir sa domination totale et celle du Parti mais également à son ambitieux plan des Nouvelles Routes de la Soie dont le Xinjiang est une plaque tournante essentielle à ce projet mondial. Xi Jinping veut accélérer l’assujettissement de ces deux régions au plus vite, n’hésitant pas à recourir à la violence pure et dure. En premier lieu, l’augmentation des Laogai dans la région, afin de pouvoir accueillir plus de personnes accusées de terrorisme par l’Etat. L’objectif est de pouvoir accueillir d’ici 2 ans pas moins de deux millions de personnes. A l’intérieur de ceux-ci, les populations y subissent un lavage de cerveau, de rejeter en premier lieu leurs religions mais également d’enseigner le mandarin et l’idéologie communiste chinoise du brave Mao.
Le but affiché est de rendre la population la plus proche possible d’un chinois, même si ces populations n’auront jamais la même envergure qu’un Han. De plus, les enfants Ouighours y feront un tour d’une semaine maximum durant leurs éducations, sans violence mais avec cette pression psychologique et de lavage de cerveau, dans des conditions vivables. Ceci afin d’apprendre à ces jeunes la vie chinoise, et de quitter la vie traditionnelle Ouighour qui dit-on devrait disparaitre d’ici quelques années. Il serait dommage d’être isolé et de ne plus pouvoir s’intégrer dans la vie professionnelle ou sociale. Les gens ne voulant pas que leurs enfants aillent à l’école écoperont d’une forte amende en plus d’un tour au Laogai. Le programme vise donc à ce que la population soit éduquée à 100%, et chaque village aura son école, qui formera la population. Pour éviter toutefois les mouvements anti-chinois, les enfants y apprendront les techniques agricoles (dans les campagnes) ou autre métier (dans les villes) afin qu’ils soient formés assez rapidement. Le PCC veut que les Hans représentent la majorité de la population (soit 9 millions d’habitants), d’ici à 2025, mais en ne comptant pas les mingongs, ces ouvriers et travailleurs migrants, et les militaires. Enfin la dernière mesure est d’accélérer la destruction, en secret comme le reste de ces mesures, des mosquées et autres monuments qui sont l’identité du peuple Ouighour.
Mais contrairement à ce qu’on peut penser, le PCC veut inclure les Ouighours dans l’économie, ils seront ensuite plus enclin à ne pas devenir extrémistes. Des projets assez petits, reliant des villages par routes ou rails aux projets plus importants de la Nouvelle Route de la Soie permettra à cette population de se diluer et à s’intégrer dans les villes. Même s’il est moins impressionnant, l’idée sera reprise au Tibet. En incluant les Ouighours, le gouvernement veut inclure les logiciels de notation dans ces régions, obligatoire pour ceux qui auront un portable au Xinjiang. Les informations qui sortent de la région restent contrôlés, on ne veut pas donner au monde des preuves de ce que fait la Chine dans la région du Xinjiang.
Le but affiché est de rendre la population la plus proche possible d’un chinois, même si ces populations n’auront jamais la même envergure qu’un Han. De plus, les enfants Ouighours y feront un tour d’une semaine maximum durant leurs éducations, sans violence mais avec cette pression psychologique et de lavage de cerveau, dans des conditions vivables. Ceci afin d’apprendre à ces jeunes la vie chinoise, et de quitter la vie traditionnelle Ouighour qui dit-on devrait disparaitre d’ici quelques années. Il serait dommage d’être isolé et de ne plus pouvoir s’intégrer dans la vie professionnelle ou sociale. Les gens ne voulant pas que leurs enfants aillent à l’école écoperont d’une forte amende en plus d’un tour au Laogai. Le programme vise donc à ce que la population soit éduquée à 100%, et chaque village aura son école, qui formera la population. Pour éviter toutefois les mouvements anti-chinois, les enfants y apprendront les techniques agricoles (dans les campagnes) ou autre métier (dans les villes) afin qu’ils soient formés assez rapidement. Le PCC veut que les Hans représentent la majorité de la population (soit 9 millions d’habitants), d’ici à 2025, mais en ne comptant pas les mingongs, ces ouvriers et travailleurs migrants, et les militaires. Enfin la dernière mesure est d’accélérer la destruction, en secret comme le reste de ces mesures, des mosquées et autres monuments qui sont l’identité du peuple Ouighour.
Mais contrairement à ce qu’on peut penser, le PCC veut inclure les Ouighours dans l’économie, ils seront ensuite plus enclin à ne pas devenir extrémistes. Des projets assez petits, reliant des villages par routes ou rails aux projets plus importants de la Nouvelle Route de la Soie permettra à cette population de se diluer et à s’intégrer dans les villes. Même s’il est moins impressionnant, l’idée sera reprise au Tibet. En incluant les Ouighours, le gouvernement veut inclure les logiciels de notation dans ces régions, obligatoire pour ceux qui auront un portable au Xinjiang. Les informations qui sortent de la région restent contrôlés, on ne veut pas donner au monde des preuves de ce que fait la Chine dans la région du Xinjiang.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Royaume-Uni
Brève
Réaction des Brexiters au deal de May
Les membres du Parlement pour un Brexit ne sont que peu impressionnés par le deal de May, et demandent qu'un vrai Brexit soit négocié par les Tories. En effet, le deal présenté à l'UE est selon eux totalement distancié de l'esprit d'un Brexit, d'un regain de la souveraineté nationale et d'une reprise des contrôles des frontières.
Ils ont d'hors et déjà annoncé qu'ils voteraient contre ce deal s'il était présenté à la House of Commons. Brexit means Brexit.
Bureau- Vox Bureauli
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Grand débat & 1er mai
Les mesures ayant suivi la conclusion du « grand débat national » organisé par le gouvernement pour répondre à la crise des gilets jaunes, annoncées le 15 avril par le chef de l’État n’avaient pas convaincus. Suppression totale de la taxe d’habitation, fin de la redevance audiovisuelle, baisse de l’impot sur le revenu, reconnaissance du vote blanc étaient les principales réformes prévues. Le samedi 20 avril qui suivait ces annonces avait été émaillé de nombreuses violences et avait marqué un rebond de participation aux manifestations hebdomadaires débutées le 17 novembre 2018. Tout annonçait un 1er mai compliqué. Le traditionnel défilé syndical utilisé depuis quelques années par l’ultra gauche pour accomplir des démonstrations de force était préparé depuis plusieurs semaines par les gilets jaunes ainsi que les milieux anarco-autonomnes afin de marquer une grande journée de convergence entre syndicats « black blocs » et gilets jaunes. De nombreux militants d’ultra gauche venant des quatre coins de l’Europe étaient attendus à Paris et les services de renseignements s’attendait à des manifestations particulièrement violentes.
Évidemment, ça n’a pas manqué. Le cortège devait parcourir un parcour long de six kilomètres et demi reliant la place d’Italie au Champs de Mars. Après une première partie de parcours calme, l’entrée dans les plus chics arrondissements de la rive gauche et la prise de la tête de la manifestation par un très imposant « black bloc » de plus de 3000 membres selon la police qui étaient restés très discrets jusque là. Très rapidement la situation dégénéra avec des affrontements très violents en tête de cortège opposant « black blocs », gilets jaunes et forces de l’ordre alors que les manifestants commençaient à saccager les avenues de l’arrondissement de Rachida Dati. Non contents de cacher d’ors et déjà la journée de l’élu LR, les militants réussirent à déborder complètement le dispositif policier en profitant de la confusion et de nombreuses manifestations sauvages s’engagèrent dans le 7ème arrondissement détruisant les commerces et les voitures de luxe trouvées sur son passage au cris de « Allons chercher Micron !! » et allant jusqu’à incendier brièvement la mairie du 7ème situé rue Grenelle après le jet d’un cocktail molotov par une des fenêtres de l’édifice. Le 7ème arrondissement concentre de nombreux lieux de pouvoirs et la situation força la police, sous la pression de l’exécutif à employer des méthodes très musclées pour ramener un semblant d’ordre dans un quartier désormais mis à sac depuis plusieurs heures par l’ultra gauche. D’abord seuls car ayant semés les forces de police et ayant tout le temps pour s’adonner à la casser, les manifestants furent au bout de quelques heures contraint d’abandonner cette occupation pour affronter violemment les très nombreux renforts policiers arrivés dans tout l’arrondissement pour appuyer leurs collègues. La préfecture avait du faire les fonds de tiroir face à l’ampleur du désastre et avait amenés de nombreux policiers de terrain pas spécialisés dans le maintien de l’ordre de Paris et d’Ile de France. C’est dans ce contexte que se produit le plus grand désastre du maintient de l’ordre en France depuis plusieurs décennie. Alors que les affrontements commençaient enfin à baisser en intensité aux alentours de 21 heure, on apprenait qu’un jeune ouvrier d’un centre de recyclage, porteur de gilet jaune, était décédé sous les coups d’une compagnie de la BAC l’ayant pris en embuscade alors qu’il quittait la manifestation, la scène avait en plus de ça été filmée par des badauds depuis leur appartement. La vidéo faisait bien le tour du monde. Au même moment quasiment, un jeune étudiant de l’institut d’études politiques de Toulouse, venu à Paris pour l’occasion, succombait aux mains des pompiers qui l’avaient pris en charge après qu’une grenade GLI F4 lui ait explosé en plein sur le visage.
Dès le lendemain, le jeudi 2 mai, de nombreux centres de recyclages de la région parisiennes connaissaient des grèves sauvages massives et plusieurs facs française se retrouvaient elles aussi bloquées en France. De très nombreuses associations, partis politiques, syndicats et figures des gilets jaunes appelaient à faire du samedi suivant une marche blanche en hommage aux deux victimes. L’après midi de la même journée, la grève s’étendait aux éboueurs parisiens, et dès le vendredi, à bon nombre de centres de recyclages dans toute la France et, plus sporadiquement, à plusieurs milieux professionnels dit combatifs : les cheminots de plusieurs gares, en particulier celles parisiennes, les dockers de Marseille, du Havre et de Saint Nazaire ainsi que l’ensemble des raffineurs de France votait en assemblées générales sauvage le jeudi soir une journée de grève de solidarité le vendredi 3. La manifestation du lendemain, très calme, fut un immense succès, 300 000 manifestants selon le ministère, 1000 000 selon les organisateurs, et 150 000 manifestants à Paris selon un collectif de médias. Le lundi, la plupart des grévistes reprenaient le travail mais une ambiance bien différente avait saisi le pays. Les syndicats de police, faisant un virage à 180°, dénonçait les consignes bien très dures de l’État aux fonctionnaires de police lors de la journée du 1er mai après avoir crié au laxisme pendant 3 mois de contestation. Le gouvernement, lui, naviguait à vu, mais tenait encore bon malgré les vociférations de l’opposition. Christophe Castaner le ministre de l’intérieur avait tout de même été débarqué en catastrophe dans la journée du vendredi 3 mai, remplacé par Sylvain Maillard, jusque là député LREM de Paris. La plupart des grévistes reprirent le travail le lundi suivant mais tout le monde sentait que l’ambiance avait profondément changé en France au cours de ces cinq journées folles.Élections européennes
Tout cela ne pouvait arriver à un pire moment pour la majorité, à 25 jours des élections européennes. Rapidement LREM pourtant jusque là favorite, commença à dévisser dans les sondages, laché par des électeurs de gauches choqués par la gestion gouvernementale ultra répressive et par des électeurs de droite lassés et tenant le gouvernement pour responsable du désordre. Ce fut d’ailleurs un des thèmes de campagne récurent qui permit au Rassemblement National, qui pu s’imposer naturellement comme le parti de l’ordre, de décoller dans les sondages. Du côté des électeurs de gauche, d’habitude particulièrement abstentionnistes face à ce scrutin, les sondeurs notèrent un fort regain de mobilisation afin de faire « barrage à MICRON » suite à ce 1er mai meurtrier. Les résultats furent sans appel, le Rassemblement National l’emportait largement avec 30 %, emmenant 28 députés au Parlement Européen et acceptait au passage l’offre faite par l’UKIP. Jordan Bardella, tête de la liste gagnante déclara que les français avaient fait « le choix de l’ordre face aux désordres imposés par l’extrême gauche et par le centre néolibéral ». En seconde position arrivait la France Insoumise avec 16 % et 15 députés, puis La République en Marche avec 14 % et 13 députés. Les Républicains atteignaient les 10 % et 9 députés élus. Les deux derniers partis à obtenir une score leur ouvrant les portes du Parlement Européen furent Europe Ecologie les Verts avec 8 % et 6 députés ainsi que le Parti Socialiste avec 5 % et 4 députés. Les populistes étaient vainqueurs.
Mirage- Grand Consul
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Affaires Etrangères :Communiqué officiel au Monde :
Alors que déjà les chancelleries du monde occidental attribuent le terrible attentat contre la personne de Farrez Al-Sarraj à la Russie, le Ministère des Affaires Etrangères de la Fédération de Russie se doit de corriger certaines attitudes. La Russie n'a aucun lien avec la tentative d'assassinat sur la personne du Premier Ministre du Gouvernement d'Union Nationale de Libye."Il est tout à fait regrettable, encore une fois, que face à la complexité du monde et des géopolitiques locales, l'Occident cherche à faire porter le chapeau à la Russie. La Russie est une nation de droit, et assassiner un leader politique reconnu comme tel par la communauté internationale serait agir en dehors du droit. Ces accusations, non seulement fausses, sont honteuses." - Sergei Lavrov, Ministre des Affaires Etrangères de la Fédération de RussieCommuniqué officiel à la République française :
La Fédération de Russie dénonce les tactiques policières employées par la France à l'encontre de sa population. La crise politique française, en cours depuis désormais plusieurs mois, vient de passer à un niveau supérieur avec la première mort directe de l'action policière française. Le Kremlin ne peut qu'apporter ses condoléances au peuple français.
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland
● Affaires intérieures ●
● Affaires intérieures ●
................Au 10 Downing Street, l’ambiance est des plus moroses. Si les serviteurs et autres laquais de la résidence officielle du premier-ministre continuent de s’afférer à leurs basses besognes, peu de politiciens fréquentent les lieux en cette fin du mois de mai. Loin d’être en vacances, ils fuient plutôt cette place maudite, tenue d’une main de fer dans un gant de velours par celle qui fut surnommée la « nouvelle Thatcher » lors de son accession au pouvoir, fin 2016. Or, de la célèbre Iron Lady, Theresa May n’en avait ni la crinière, ni l’élégance, ni la force, ni la persévérance, et s’apparentait davantage à une Ségolène Royal à l’anglaise plutôt qu’à une vraie dirigeante. Dehors, le jeu politique battait son plein. L’échec des élections européennes – certes, le parti était arrivé en deuxième position, mais réalisait son plus mauvais score depuis sa création, et surtout avait été devancé par les hard brexiters – avait ravivé la contestation de la locataire de Downing Street par ses propres pairs, Jacob Rees-Mogg en tête, qui dénonce ouvertement « une premier-ministre déconnectée, reniant ses engagements et trahissant la volonté souveraine du peuple souverain de recouvrer sa pleine et entière souveraineté en quittant l’Union européenne », et appelant à sa démission tous les jours. En privé, Theresa May se contente d’une question rhétorique cinglante : « Mais qu'est-ce qu'il me veut de plus ce papiste ? Mes couilles sur un plateau ? » Ambiance.
................Malgré son isolement politique de plus en plus important, la premier-ministre a de nouveau procédé à une série de votes, sur le modèle de ce qu’il s’était passé les 12, 13 et 14 mars derniers, afin de déterminer la politique à suivre concernant le Brexit. Une fois encore, Theresa May a mis dans la balance sa démission pour tenter de convaincre les députés conservateurs les plus récalcitrants. Ainsi, le lundi 10 juin, la dancing Queen a proposé à ses honorables collègues d’adopter l’accord originel, celui de novembre. Cette première proposition fut rejetée par 302 voix pour et 320 voix contre, ce qui marque tout de même une nette progression en faveur dudit accord par rapport au vote du 29 mars. Face à l’échec de cette proposition, la premier-ministre proposa ensuite un no-deal. Là encore, la Chambre des communes rejeta la proposition, cette fois par 281 voix pour et 346 voix contre, les parlementaires semblant ainsi préférer la recherche d’un nouvel accord de retrait. En conséquence, et malgré la franche hostilité des Brexiters à ce dernier, Theresa May soumit au vote sa nouvelle proposition d’accord faite en avril à ses partenaires européens, provoquant une levée de boucliers de la part des Brexiters et de l’opposition : nouveau rejet, cette fois à 202 voix pour et 446 voix contre. Un camouflet total, contraignant la premier-ministre à définitivement abandonner son nouvel accord, et à revenir sur l’ancienne mouture.
................Face à ces trois refus consécutifs, le Gouvernement de Sa Majesté apparaît comme de plus en plus fragilisé et isolé, et en particulier sa tête, qui ne sait plus vraiment sur quel pied danser. Pis encore, le Parlement britannique, pourtant une institution majeure dans la vie politique du Royaume-Uni, symbole absolu de la démocratie à l’anglaise, paraît incapable de se décider, pris dans ses querelles et tiraillements politiques internes, tandis que le peuple, lui, est incapable de se projeter dans le futur proche, et commence à s’impatienter. Dans plusieurs villes du pays, des manifestations ont été organisées, à l’initiative des partis du Brexit et UKIP, pour demander « le respect du vote souverain du peuple britannique ». Dans les médias, certains dirigeants politiques demandent l’organisation d’un nouveau référendum, comme l’avait suggéré Jérémy Corbyn, pour décider si Albion doit ou non quitter l’Union européenne. Interrogée à ce sujet, Theresa May a écarté toute idée d’un tel vote, affirmant que s’il devait y avoir un référendum, ce serait uniquement pour demander au peuple s’il souhaite quitter l’Union avec ou sans accord. A quatre mois de l’échéance, l’avenir du Royaume-Uni paraît tout aussi incertain qu’en début d’année, alors que le Gouvernement est incapable de trouver un compromis avec d’une part la Chambre des communes et d’autre part les partenaires européens, faisant craindre un hard Brexit.
Sirda- Modérateur
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
✠ Bundesrepublik Deutschland ✠
✠ Einwanderung und Staatsbürgerschaft ✠
Les politiques migratoires en Allemagne changent quasiment d’année en année. Cherchant à pallier une population vieillissante et un manque de main-d’œuvre qualifiée, Berlin cherche à attirer une immigration importante dans le pays. L’opposition anti-immigration est d’autant plus importante que la chancellerie trouve important de soulager les unions chrétiennes.
L’immigration européenne d’abord
Un partenariat encore plus important sera mis en place entre les entreprises et l’État fédéral afin d’attirer des travailleurs européens qualifiés en Allemagne, leur garantissant notamment un emploi, mais aussi des cours de mise à niveau ainsi que de langue subventionnés par les entreprises. Berlin compte aussi aider les PME en la matière, offrant conseil et aide financière si nécessaire afin d’offrir aux nouveaux arrivants un milieu de travail intéressant et accueillant. Les pays d’Europe de l’Est sont particulièrement visés par ce nouveau déploiement d’effort, mais aussi les pays d’Europe du Sud comme l’Espagne, l’Italie et la Grèce sont visés par l’Allemagne. Ces nouvelles mesures sont en continuation a skilled workers immigration law mise en place l’année dernière.
Demandeurs d’asile et réfugiés
Le gouvernement fédéral a annoncé son intention de diminuer les largesses des länder en ce qui concerne le droit à l’asile et le relâchement des permis de travaux aux demandeurs d’asile en Allemagne. En effet, les länder détenus par le CSU et certains même par le CDU n’hésitent plus à déporter les demandeurs d’asile en cas de doute sur leur situation de travail. Berlin affirme que cette attitude va en désaccord avec la loi sur les demandeurs d’asile en Allemagne. Un demandeur d’asile pouvant prouver qu’il est employé en Allemagne se doit d’avoir un permis de travail pour une durée de 5 ans (3+2 rules). Après ce temps, le demandeur d’asile ayant eu son dossier rejeter peut demander d’obtenir un permis de travailleur immigrant. Le but étant d’éviter de perdre des immigrants bien intégrés à la société allemande.
Étudier en Allemagne
Berlin compte mettre en place de nombreuses autres opportunités pour les étudiants du monde entier à venir étudier et rester éventuellement dans le pays. Les lieux d’enseignements allemands, de grande qualité et reconnus à travers l’Europe, se doivent d’attirer davantage de jeunes venant d’Asie et des Amériques.
✠ Europäische Union ✠
«Das Vereinigte Königreich kann nicht ohne Vereinbarung gehen”. La Chancelière Angela Merkel est à pied d’œuvre au sein du groupe des 27 afin de convaincre les autres pays d’Europe d’accorder une extension supplémentaire au Brexit. « La situation est devenue intenable au Royaume-Uni et nous ne souhaitons pas voir le partenariat exceptionnel entre l’UE et la Grande-Bretagne ternir ». En réalité, ce sont les exportations allemandes en Angleterre, largement en surplus, que Berlin ne souhaite pas mettre à mal. L’Allemagne vient au secours de Brexit, alors que le gouvernement britannique est en déroute et que le leadership est mis à mal. En outre, Berlin affirme que l’élaboration d’un traité de libre-échange entre l’Union et le Royaume-Uni prendrait au mieux plusieurs années, le tout étant d’une complexité rare. En effet, chaque parlement national doit entériner un futur accord. Pour le Canada par exemple, le traité de libre-échange a pris plusieurs années avant d’être accepté par la Wallonie.
✠ Auswärtiges Amt ✠
Le ministre fédéral des affaires étrangères Heiko Maas dénonce au nom du gouvernement allemand l’ingérence totalement inacceptable de la Russie dans les affaires de la Libye et la tentative lâche et tyrannique d’assassinat envers le premier ministre libyen. Pour l’Allemagne, il est désormais clair que la Russie cherche la déstabilisation en Afrique du Nord, la Libye étant particulièrement instable. La Russie, en tant que grande puissance devrait chercher à concilier les parties en place en Libye plutôt que de créer la division comme elle le fait actuellement. Malgré tout, Berlin affirme que l’affaire est d’une grande gravité, chercher à éliminer un chef de gouvernement étranger ne devrait pas rester impuni. L’Allemagne continue de soutenir le gouvernement libyen dans sa tentative de stabilisation, de paix et de prospérité.
✠ Einigkeit und Recht und Freiheit ✠
GeorgeV- Grand Consul
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Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
ESTADOS UNIDOS MEXICANOS
NUEVAS DE MEXICO
Le président López Obrador à annoncé aujourd'hui réduire encore sont salaire pour le passer de 108 000 pesos par mois à 100 000 pesos, avançant qu'il est le représentant d'un peuple qui à voté pour la lutte contre la pauvreté, et que le premier acte concret passe par l'austérité des représentant du peuple. Toutefois, contrairement à son entrée en fonction, il ne force pas ses ministres à faire de même, mais les invites à l'imiter. Il a préciser que ce salaire que ces économies seraient bien évidemment dispenser à des secteurs du budget en besoins de moyens.
"Le chantier qui nous attend est colossal et entremêlé : baisser la corruption, c'est aussi réduire le pillage des ressources nationales, mais réduire la pauvreté, c'est donner un bourre-pif à la corruption, ma politique cherchera à combattre sur ces deux fronts."
De son côté, le secrétaire d’État aux Finances et au Crédit public Urzúa Macías à aujourd'hui demandé aux chambres de faire passer une loi visant à rendre entièrement transparentes les finances publiques et secteurs publiques ou nationalisés, relativisant ses propos ainsi "bien évidemment, je ne pense pas à montrer à la face du monde les dessous de culottes de l'armée et des services secrets".
Cette mesure est l'une des première visant à une réduction de la corruption, une transparence des finances publiques permettraient en effet de voir où les fonds sont manquants, détournés ou gaspiller et de saisir de potentiels responsables qui auraient alors des comptes à rendre devant les chambres.
Enfin, on notera le départ d'une intense campagne de sensibilisation à l'encontre des cartels de la drogue, certains parents et entités parentales ont déposés plainte et estimer que cet "étalage de violence" suffisait à leur enfants par le témoignage quotidien qu'ils pouvaient avoir même si le gouvernement affirme que 90 % des recrues des cartels sont de jeunes gens peu ou pas avertis.
Aparté HRP : (Si vous tenez vraiment à voir des clichés (fortement déconseillé), taper "morts cartels mexicains" et retirer les filtres (mêmes avec les filtres c'est déjà pas folichons))
Programme Inquisición
- Top secret:
- Opération Sembrar
Lutte interne et psychologique contre les cartels et créations des bases d'une Autorité à l’Intégrité de l’État.
Lutte contre les cartels :
En vue de lutter contre les problèmes inhérents au Mexique, la présidence ordonne secrètement le recrutement sur dossiers et compétences de psychologues par le biais des services secrets. Ces psychologues auront pour mission de retourner des narcos capturés, notamment en les convaincants que par le simple fait qu'ils ait été en contacts avec le gouvernements, ils deviennent compromis aux yeux des narcos.
Une fois retournés, ces éléments sont renvoyés dans les réseaux et cartels afin d’identifier d'anciens compagnons, mais aussi dans les campagnes et villes afin de discuter avec la population pour savoir les problèmes et actes causés par les cartels dans différentes régions.
Cette méthode n'est pas neuve, c'est un repompage complet de la "bleuite" du capitaine
Paul Alain Léger, utilisé avec un franc succès par l'armée française pendant la guerre d'Algérie contre le FLN au cour de la bataille d'Alger.
Le but recherché est évidemment de capturer des membres de cartels, mais également de créer une forte paranoïa au sein de ses propres membres comme en Algérie, pour les pousser à s'éliminer entre eux, jusqu'à destruction d'ensembles complets de cartels et la chute de chefs. (c'est arrivé pour des branches entières du FLN qui avait pourtant une motivation plus idéologiques que des cartels)
Bases d'une Autorité à l'Intégrité de l’État :
Dans le même temps, des étudiants en droit des universités membres de mouvements anti-corruptions ainsi que des juges connus et/ou réputés pour leur intégrité/la traque de corrompus, seront recrutés pour instituer les bases d'une Autorité de l'Intégrité, construite suivant leurs recommandations de sorte à pouvoir présenter un projet de lois aux chambres.
Elles seraient fondé sur un conseil de 12 juges, indépendants au pouvoir exécutif et ne devant rendre des comptes qu'à la cour suprême des États-Unis (gardienne de la constitution). Ces 12 juges seraient choisit suivant le nombre d'affaires de corruptions qu'ils auraient traités, leur volonté de participer puisque leur vies seraient menacées, ainsi que suivant une enquête approfondie du Fisc pour s'assurer qu'ils ne sont malgré tout pas eux-mêmes corrompus. Ceci, afin que de vrais personnages anti-corruptions sièges à cette autorité.
Elle aurait pouvoir de nommer des Procureurs à l'Intégrité qui n'auraient compte à rendre qu'à cette institution et aurait pouvoir d'enquêter sur n'importe quel fonctionnaire de l’État, y compris le président, les sénateurs et les députés.
Dans le cadre de leur mission, tout moyens qu'ils requéreraient pour mener la mener à bien seraient mis à dispositions sous la condition que de strictes rapports d'utilisations et d'usages soit rendu à l'Autorité et au Fisc, toute infraction ou irrégularité entrainant une suspension immédiate suivit d'une enquête.
Il serait prévu entre autre que leur recrutement soit basé sur le fait qu'ils connaissent le droit; qu'ils soient ou ait été proche ou membre d'organisations/soit connu pour leur volonté de lutte contre la corruption, qu'ils soient eux-mêmes lavés de soupçons de corruptions par le même biais que les 12 juges cités précédemment, qu'ils acceptent la mission puisque leur vie serait menacé, qu'ils acceptent d'être, de vivre et d'opérer avec l'armée, avec leurs familles sous protection de cette dernière dans les bases pour assurer une incorruptibilité aussi poussée que possible et une sécurité maximale aux proches.
L'idéal serait des procureurs n'ayant aucunes attaches.
A termes, leurs cibles privilégiées seraient d'abord tout fonctionnaire disposant d'un levier de commande, à grande ou petite échelle, le statut d'enquêteur spécial dépassant toute autorité de l'exécutif ou du fonctionnariat.
Il leur serait néanmoins nécessaire de produire des preuves puisqu'une enquête seraient opérés face à des personnages soupçonnés de corruptions, ils restent donc soumis au processus d'enquête classique.
(IRL, les américains ont utilisés de tels enquêteurs dans les années 30-40 pour lutter contre la mafia du temps de Capone, ils étaient surnommés "les incorruptibles" et ont obtenus des résultats convaincants.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Eliot_Ness et https://fr.wikipedia.org/wiki/Incorruptibles)
(Je part du principe que les FISC sont, dans tout les états du monde, les ensembles les moins sujets à la corruption puisqu'ils sont généralement et naturellement très bien payés pour traquer justement les mauvais payeurs)
Note importante : il ne s'agit que d'une première étape et de beaucoup de planification, qui va nécessiter un certain temps pour se mettre en place.
Tiett- Gratte-papier
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Date d'inscription : 08/04/2019
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
France
Brève
Evénement
Alors que les tensions sociales sont à leur comble en France, sur les réseaux sociaux les français sont enragés contre les forces de l'ordre après la mort d'un manifestant, filmée et imputable directement à l'action policière. Plusieurs rumeurs ont circulé, mettant notamment en cause le fait que les policiers assassins soient maghrébins. Plusieurs tweets ont été relayés par des cadres du Rassemblement National dans ce sens, notamment un des porte-parole du parti, Jordan Bardella.
Dans les milieux d'extrême-gauche, on préfère les #MortAuxFlics et #PolicePourrie, qui se sont rapidement propulsés en tête de liste twitter.
Ludovic Pajot, député Rassemblement National, a lui clairement dénoncé que l'immigration détruisait l'institution la plus sacrée de la France, celle des gardiens de la paix, en y introduisant des "éléments subversifs à la Nation, des criminels, des personnes prônes à la violence".
- Spoiler:
Le Ministère de l'Intérieur, en sur régime depuis plusieurs semaines, dénonce une ingérence étrangère sur les médias.
Bureau- Vox Bureauli
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Date d'inscription : 15/06/2018
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Venezuela
Brève
Evénement
L'été est lourd à Caracas. Depuis près d'une dizaine de mois désormais, la contestation contre le pouvoir de Nicolas Maduro est violente. Les manifestations n'ont pas cessé depuis 2018, et après la proclamation de Juan Guaido, en accord avec la Constitution bolivarienne du pays et se revendiquant Président de la République en opposition au Président Maduro, la situation s'était envenimée.
Dans les derniers mois, les coupures d'électricités de plus en plus courantes continuèrent de causer des ravages dans le pays. Des ravages matériels, mais aussi humains. Des ONG dénoncent la mort de près de 4 500 personnes depuis le début des coupures d'électricités, qui seraient indirectement liées à celles-ci, notamment dans le secteur hospitalier et les maternités.
Juan Guaido
Décidant d'en finir une bonne fois pour toutes avec la contestation de Juan Guaido, Nicolas Maduro prépara durant le mois de juin l'arrestation du personnage pour haute trahison envers l'Etat. Juan Guaido, fier de son patriotisme, n'avait en effet pas jugé préférable de quitter le pays et ses compatriotes.
Le 28 juin, à son domicile dans les faubourgs huppés de Caracas, Juan Guaido fut surpris par de violents fracas. Son service de sécurité personnelle venait de tirer la sonnette d'alarme, les miliciens du Parti Socialiste Unitaire du Venezuela étaient là pour l'arrêter, accompagnés de quelques militaires. Les discussions entre miliciens à la solde de Guaido et ceux à la solde de Maduro tournèrent rapidement au vinaigre devant la résidence du Président autoproclamé, et lorsqu'un coup de feu fut tiré, une véritable boucherie commença. 4 personnes furent tués, et 1 badaud grièvement blessé.
La nouvelle se propagea rapidement sur les réseaux sociaux venezueliens, et la ville se souleva en manifestations d'une ampleur sans précédent. Le chaos règna pendant plusieurs heures avant que l'ordre fut rétabli par l'armée vénézuelienne, au lourd bilan de 21 morts.
Juan Guaido lui, a réussi à fuir par convoi terrestre vers la ville de Maracaibo, dans l'ouest du pays. La garnison militaire de Maracaibo, à son arrivée, lui prêta allégeance comme Président légitime de la République bolivarienne du Venezuela, et lui offrit l'asile dans la ville.
Le spectre de la guerre civile hante le Venezuela si un accord n'est pas rapidement trouvé entre les différentes parties. Le gouvernement Colombien aurait annoncé à Juan Guaido la possibilité de l'extraire via une opération militaire si nécessaire vers Bogota, et de lui offrir l'asile politique. Le gouvernement de Caracas a dénoncé cette ingérence colombienne dans ses affaires internes.
Bureau- Vox Bureauli
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Date d'inscription : 15/06/2018
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Union Européenne
Brève
Evénement
Après les élections parlementaires européennes et la continuation de la coalition EPP/S&D/ALDE au pouvoir, c'est le spitzenkandidat Guy Verhofstadt qui est élu à la Présidence du Parlement. Le flamand est connu pour ses positions fortes notamment sur le plan de la diplomatie et contre les populistes européens. Il a été un des plus vocaux critiques des pays arabes lors des répressions du Printemps Arabe, un critique connu et interdit de territoire de la Russie, et soutient une réforme du système d'accueil des migrations.
Bureau- Vox Bureauli
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Date d'inscription : 15/06/2018
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
中华人民共和国
République Populaire de Chine
Première politique Nataliste en Chine
Nombre moyen d’enfants par femme en Chine passé et projeté.
Xi Jinping et son gouvernement s’inquiètent de voir les résultats de la natalité en Chine. En 2018, il y aurait eu 15 millions de naissances, soit 2 millions de moins que 2017, presque le chiffre le plus bas historique. Les autorités avaient prévus quelque 20 millions de naissances en 2017, et le résultat est catastrophique dans un pays qui comptera quelque 30% de la population au-dessus des 60 ans en 2030.
Le gouvernement lance un vaste projet nataliste visant à rééquilibrer le nombre de naissance. Le but affiché est assez haut : atteindre 1,95 enfant par femme pour les populations de moins de 40 ans d’ici 2035 (il est de 1,62 aujourd’hui concernant la population totale) puis 2,1 d’ici 2040. Pour cela le gouvernement sort les projets natalistes du tiroir et ceci sont très ambitieux et s’approchent de ce que peut faire les pays occidentaux sur la question. Les jeunes couples seront les principaux visés par ces mesures incitatives qui sont nombreuses : les chinois auront droits à des réductions d’impôts dès le premier enfant, et cumulatif selon le nombre d’enfants, des allocations familiales dès le second enfant et augmentant progressivement jusqu’au 3ème , des primes sont aussi prévues, allant jusqu’à plusieurs fois le salaire moyen. L’Etat devrait créer un département concernant l’aide à la garde des enfants : en Chine il est difficile de faire garder ses enfants, ce qui cause un arrêt de travail de la part de la femme qui peut causer une diminution assez important des revenus de la famille. Pour cela, plusieurs milliers de crèches publics, abordables pour les classes les plus populaires. Des mesures de protections des femmes sont aussi prévues, notamment l’interdiction de licenciement de celles-ci lors du congé maternité qui sera d’ailleurs obligatoire et rallongé. Des services d’accompagnements et de soutiens seront également mis en place, en plus de formation pour devenir un bon parent.
Finalement, dans un domaine un peu plus psychologique, une campagne de propagande, à travers les différents médias, sera mis en place. Le but est de faire comprendre au peuple chinois que faire des enfants est simple, et pour le bien de tous. De plus, de nombreux points seront ajoutés à la note sociale, permettant un meilleur accès aux logements sociaux, aux crédits et à certains emplois. Ainsi, pour Xi, certains emplois pourraient ne pas être disponibles que si la personne a des enfants, permettant une quasi-obligation de faire des enfants pour augmenter professionnellement. L’idée est d’encourager, sous un air passif-agressif, la natalité en Chine. Le gouvernement espère une mise en place assez rapide de ces mesures, dès 2020 pour la plupart. On estime son coût à 20 milliards de dollars dès la première année, et ce budget ne devrait pas cesser d’augmenter avec les résultats.
Le gouvernement lance un vaste projet nataliste visant à rééquilibrer le nombre de naissance. Le but affiché est assez haut : atteindre 1,95 enfant par femme pour les populations de moins de 40 ans d’ici 2035 (il est de 1,62 aujourd’hui concernant la population totale) puis 2,1 d’ici 2040. Pour cela le gouvernement sort les projets natalistes du tiroir et ceci sont très ambitieux et s’approchent de ce que peut faire les pays occidentaux sur la question. Les jeunes couples seront les principaux visés par ces mesures incitatives qui sont nombreuses : les chinois auront droits à des réductions d’impôts dès le premier enfant, et cumulatif selon le nombre d’enfants, des allocations familiales dès le second enfant et augmentant progressivement jusqu’au 3ème , des primes sont aussi prévues, allant jusqu’à plusieurs fois le salaire moyen. L’Etat devrait créer un département concernant l’aide à la garde des enfants : en Chine il est difficile de faire garder ses enfants, ce qui cause un arrêt de travail de la part de la femme qui peut causer une diminution assez important des revenus de la famille. Pour cela, plusieurs milliers de crèches publics, abordables pour les classes les plus populaires. Des mesures de protections des femmes sont aussi prévues, notamment l’interdiction de licenciement de celles-ci lors du congé maternité qui sera d’ailleurs obligatoire et rallongé. Des services d’accompagnements et de soutiens seront également mis en place, en plus de formation pour devenir un bon parent.
Finalement, dans un domaine un peu plus psychologique, une campagne de propagande, à travers les différents médias, sera mis en place. Le but est de faire comprendre au peuple chinois que faire des enfants est simple, et pour le bien de tous. De plus, de nombreux points seront ajoutés à la note sociale, permettant un meilleur accès aux logements sociaux, aux crédits et à certains emplois. Ainsi, pour Xi, certains emplois pourraient ne pas être disponibles que si la personne a des enfants, permettant une quasi-obligation de faire des enfants pour augmenter professionnellement. L’idée est d’encourager, sous un air passif-agressif, la natalité en Chine. Le gouvernement espère une mise en place assez rapide de ces mesures, dès 2020 pour la plupart. On estime son coût à 20 milliards de dollars dès la première année, et ce budget ne devrait pas cesser d’augmenter avec les résultats.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Date d'inscription : 30/10/2011
Age : 31
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
Après des années de médisance, les oiseaux de mauvaise augure qui prédisait une fin rapide du mandat Trump ne se font plus guère entendre à Washington. Quasiment blanchi dans l'affaire russe et toujours fermement appuyé sur sa base électorale républicaine, il est désormais clair que le fringant milliardaire va terminer sans encombre son mandat. Malgré le blocage du programme législatif par les démagogues démocrates, celui-ci ne cesse de vanter son bilan et s'apprête maintenant à entrer en campagne en vue de sa réélection aux cris d'un nouveau slogan : « Keep America Great ! ».
Fidèle à lui même, le locataire de la Maison Blanche continue de s'appuyer sur son style de gouvernance appuyé sur les réseaux sociaux et une communication offensive commentant tous les sujets au gré de leur passage sur Fox News. Les événements de Paris faisant la une de la chaîne conservatrice, Donald Trump n'a ainsi pas manqué de réagir :« Des mois d'émeutes dans Paris et maintenant des morts pour l'accord de Paris sur le climat, cela doit cesser ! »Crise au Venezuela :
D'une façon plus sérieuse, le président américain a par contre à nouveau pris position sur la crise au Venezuela. Interrogé par la presse sur la situation, Donald Trump a à nouveau condamné fermement les agissements du « sinistre tyran Maduro » et apporté son soutien à Juan Guaido. Dans uun interview à la télévision, le conseiller à la Sécurité Nationale, John Bolton a précisé la position américaine :« Juan Guaido est le président légitime du Venezuela. Il est maintenant temps pour Maduro et sa clique, cause de la ruine du pays, de le comprendre et de quitter le pouvoir dans les plus brefs délais. Nous suivons la situation avec la plus grande attention, toute nouvelle manœuvre violente à l'encontre du président Guaido aura de grave conséquence.[...] Tout ce que je peux dire aujourd'hui, c'est que toute les options sont sur la table. » John Bolton, conseiller à la Sécurité Nationale
Le conseiller présidentiel a également appelé solennellement les soldats vénézuéliens, et plus largement l'ensemble des fonctionnaires et des citoyens, à prêter allégeance au président de Maracaibo. Dans le secret du Bureau ovale, plusieurs plans ont été présentés au président Trump sur le sujet. Si dans l'immédiat Washington va continuer de jouer la carte du pourrissement, en espérant la déliquescence et la chute du pouvoir chaviste sous les coups de sa propre population ou d'une défection de l'armée, la préparation d'un plan de renforcement de la présence militaire américaine en Colombie a été ordonnée. Du reste, toute nouvelle action violente du gouvernement de Maduro contre le camp retranché du président Guaido entraînera une riposte directe des États-Unis et de leurs alliés régionaux.Mexique :
L'administration américaine a également répondu aux invectives du président mexicain. Très irrité de s'être fait traiter de personnage « en dehors de la réalité », Donald Trump a fermement répondu. Si les Etats-UNis restent ouverts à la discussion avec le Mexique sur le plan commercial, Trump a mis en avant dans un tweet l'extrême dépendance du Mexique vis à vis du marché américain.« Si le Mexique veut jouer avec le feu libre à lui ! »
Alors qu'en interne le projet de Mur patine du fait de l'opposition démocrate, le chef de l'exécutif américain déplace comme à son habitude le problème sur la question migratoire, menaçant le Mexique de taxes douanières à 25% si les autorités mexicaines n'intensifient pas leur politique de contrôle des frontières et d'arrestation des clandestins.Italie :
Sur un tout autre sujet, le président Trump s'est entretenu avec le président du Conseil italien, Mr Conte. La conversation a principalement porté sur la question libyenne, le chef de l'Etat américain ayant assuré l'allié italien de la pleine solidarité américaine et de son opposition à l'offensive du général Haftar. Visiblement satisfait de l'entretien, le président a par la suite dégaîné son Iphone favori pour poster un tweet élogieux :
« Très bonne discussion avec le premier ministre Conte, lui et Matteo Salvini font un travail exceptionnel pour l'Italie ! »Trump et son ami italien
Jhe- Administrateur
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Date d'inscription : 25/04/2015
Re: ¤ V2019 ¤ Topic officiel
الجمهورية الجزائرية الديمقراطية الشعبية
Les manifestations ont fait plier le gouvernement, bien que l'armée ne sache pas comment réagir les islamistes sont désormais réunis sous l'égide d'une union entre l'ensemble des partis bien que certains soient en désaccord sur quelques pensées, dans les grandes lignes tout le monde a su faire face à la division pour sauver la patrie. Les manifestations qui commençaient à être de plus en plus violente ont rapidement tournée en grande marche organisée par les têtes de L'Union Islamique des Patriotes Algérien, abrégé en UIPA qui remplacera l'ancienne coalition "Alliance de l'Algérie verte" qui était composée du Hamas, Ennahda et Islah, c'est Abdallah Djaballah qui prend la tête de la nouvelle coalition. En effet tout en proliférant et embrigadant plus de personnes chaque jours, le calme et l'ordre a été demandé à fin de montrer que le peuple n'est pas une bande de singe prêt à tout fracasser, n'oubliant pas que les torts sont directement versé sur des citoyens algérien. L'armée et la police bien que déployée a pu observer avec attention le bon déroulement des choses, cependant les manifestants plus démocrates ont quand eux continué à mener de violente manifestations allant jusqu'à la destruction d'équipements de police. Les islamistes ont quand à eux essayé tant bien que mal d'embourber leurs adversaires politique avec divers stratégie dans les rues pour couper les convois et imposer le nombre et ainsi faire disperser les manifestants non complice à leurs idées.
Devant ces personnes de tout bord et la propagande excessive utilisée par le nouveau parti, le cœur de plusieurs soldat algérien s'est mêlée à ceux de leurs parents et frères, cependant les anciens de l'armée ont quand à eux commencé à sévir dans leurs rangs à fin de réduire au maximum les éléments les plus favorable à une république islamique. Dans la foulée, Tayeb Belaiz et Daho Ould Kablia, ont démissionné suite à la pression populaire commençant à prendre une ampleur encore inégalée, d'après les chiffres du gouvernement la dizaine de millier de personne a menée à une centaine de millier le dernier mois, ramenant dans les grandes villes les personnes les plus éloignées comme dans le désert du Sahara.
Le 4 juillet se tient les élections tant attendue et c'est après un discours devant le monument des martyrs:
UIPA: 57%
FLN: 20%
RND: 19%
Indépendant: 3%
Autres: 1%
La fracture opposant le FLN et le RND aura permis à la grande coalition islamique de récupérer nombre d’adhérents, les secousses des manifestations auront lancé un élan d’espoirs pour duper les algériens notamment avec le RND qui accentuait et se servait des berbéristes et autres partisans très démocrates, l'UIPA a permis de mettre un terme à l'alliance présidentielle qui était composée du FLN/RND/MSP, le MSP s'étant rallié avec le gros des islamistes au vu de la tournure des derniers évènements, marquant ainsi une nouvelle ère algérienne. C'est désormais vers les élections législative que ce tourne l'UIPA qui se produiront en 2022, tout comme le FIS, le soutien populaire marque un tournant dans l'établissement d'une Algérie qui regarde l'horizon avec des valeurs qui la représente bien. La victoire bien qu'éclatante reste fragile dans un climat de tension qui va sans doute déplaire ceux qui finançaient les groupes pro-démocrates. Notamment avec des médias pro-occident qui déclarent les élections comme une machination dirigée part les anciens alliés du régime à fin de conserver ses relations et privilèges.
Confidentiel
Une entrevue a été établie entre les hauts placés de l'armée et les têtes de la coalition regroupant les vainqueur, en effet la situation marquant clairement en la faveur de l'UIPA les deux camps ont souhaité se rencontré à fin d'éviter une nouvelle guerre comme lors de la fulgurante victoire du Front Islamique du Salut en 1991 qui mènera a des subterfuges de l'armée et ses services de renseignements pour déjouer et diaboliser les islamistes mais ou la vérité éclata avec les révélations de Mohamed Samraoui, ex-haut responsable des services secrets de l’armée algérienne. Aujourd'hui l'Algérie est menacée par des terroristes à son sud et par les puissances occidentales et c'est pourquoi l'entente entre les deux camps fut nécessaire à fin que les militaires puissent garder leurs postes jusqu'à leurs retraites bien graisseuses et que le prochain gouvernement ait la faveur de ces derniers, les évènements actuel risqueraient si guerre civile il y aurait, à une rupture sociale et de terrible combats au vu des tensions engendrée pour de simple élections, les alliés du gouvernement étant loin et les opportunistes aux frontières le compromis était vital. Cependant dans les rangs de l'armée de relation avec de jeunes officiers et soldats partisans d'un nouveau régime est petit à petit mis en place, bien que les vieux soient satisfaits des positions qu'ils conserveront, rien ne dit qu'il n'essaieront pas un jour ou l'autre de faire un coup d'état.
Dès lors des enquêtes pour corruption, sédition et trahison sont ouvertes, notamment dans les régions ou le drapeau berbère a été usé excessivement à fin de savoir si un lien concret est établit entre les berbéristes et des agents étrangers visant donc principalement les groupes féministo-lgbt-berbère.
Les manifestations ont fait plier le gouvernement, bien que l'armée ne sache pas comment réagir les islamistes sont désormais réunis sous l'égide d'une union entre l'ensemble des partis bien que certains soient en désaccord sur quelques pensées, dans les grandes lignes tout le monde a su faire face à la division pour sauver la patrie. Les manifestations qui commençaient à être de plus en plus violente ont rapidement tournée en grande marche organisée par les têtes de L'Union Islamique des Patriotes Algérien, abrégé en UIPA qui remplacera l'ancienne coalition "Alliance de l'Algérie verte" qui était composée du Hamas, Ennahda et Islah, c'est Abdallah Djaballah qui prend la tête de la nouvelle coalition. En effet tout en proliférant et embrigadant plus de personnes chaque jours, le calme et l'ordre a été demandé à fin de montrer que le peuple n'est pas une bande de singe prêt à tout fracasser, n'oubliant pas que les torts sont directement versé sur des citoyens algérien. L'armée et la police bien que déployée a pu observer avec attention le bon déroulement des choses, cependant les manifestants plus démocrates ont quand eux continué à mener de violente manifestations allant jusqu'à la destruction d'équipements de police. Les islamistes ont quand à eux essayé tant bien que mal d'embourber leurs adversaires politique avec divers stratégie dans les rues pour couper les convois et imposer le nombre et ainsi faire disperser les manifestants non complice à leurs idées.
Devant ces personnes de tout bord et la propagande excessive utilisée par le nouveau parti, le cœur de plusieurs soldat algérien s'est mêlée à ceux de leurs parents et frères, cependant les anciens de l'armée ont quand à eux commencé à sévir dans leurs rangs à fin de réduire au maximum les éléments les plus favorable à une république islamique. Dans la foulée, Tayeb Belaiz et Daho Ould Kablia, ont démissionné suite à la pression populaire commençant à prendre une ampleur encore inégalée, d'après les chiffres du gouvernement la dizaine de millier de personne a menée à une centaine de millier le dernier mois, ramenant dans les grandes villes les personnes les plus éloignées comme dans le désert du Sahara.
Le 4 juillet se tient les élections tant attendue et c'est après un discours devant le monument des martyrs:
UIPA: 57%
FLN: 20%
RND: 19%
Indépendant: 3%
Autres: 1%
La fracture opposant le FLN et le RND aura permis à la grande coalition islamique de récupérer nombre d’adhérents, les secousses des manifestations auront lancé un élan d’espoirs pour duper les algériens notamment avec le RND qui accentuait et se servait des berbéristes et autres partisans très démocrates, l'UIPA a permis de mettre un terme à l'alliance présidentielle qui était composée du FLN/RND/MSP, le MSP s'étant rallié avec le gros des islamistes au vu de la tournure des derniers évènements, marquant ainsi une nouvelle ère algérienne. C'est désormais vers les élections législative que ce tourne l'UIPA qui se produiront en 2022, tout comme le FIS, le soutien populaire marque un tournant dans l'établissement d'une Algérie qui regarde l'horizon avec des valeurs qui la représente bien. La victoire bien qu'éclatante reste fragile dans un climat de tension qui va sans doute déplaire ceux qui finançaient les groupes pro-démocrates. Notamment avec des médias pro-occident qui déclarent les élections comme une machination dirigée part les anciens alliés du régime à fin de conserver ses relations et privilèges.
Confidentiel
Une entrevue a été établie entre les hauts placés de l'armée et les têtes de la coalition regroupant les vainqueur, en effet la situation marquant clairement en la faveur de l'UIPA les deux camps ont souhaité se rencontré à fin d'éviter une nouvelle guerre comme lors de la fulgurante victoire du Front Islamique du Salut en 1991 qui mènera a des subterfuges de l'armée et ses services de renseignements pour déjouer et diaboliser les islamistes mais ou la vérité éclata avec les révélations de Mohamed Samraoui, ex-haut responsable des services secrets de l’armée algérienne. Aujourd'hui l'Algérie est menacée par des terroristes à son sud et par les puissances occidentales et c'est pourquoi l'entente entre les deux camps fut nécessaire à fin que les militaires puissent garder leurs postes jusqu'à leurs retraites bien graisseuses et que le prochain gouvernement ait la faveur de ces derniers, les évènements actuel risqueraient si guerre civile il y aurait, à une rupture sociale et de terrible combats au vu des tensions engendrée pour de simple élections, les alliés du gouvernement étant loin et les opportunistes aux frontières le compromis était vital. Cependant dans les rangs de l'armée de relation avec de jeunes officiers et soldats partisans d'un nouveau régime est petit à petit mis en place, bien que les vieux soient satisfaits des positions qu'ils conserveront, rien ne dit qu'il n'essaieront pas un jour ou l'autre de faire un coup d'état.
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