Opération de déblocage du détroit d'Ormuz contre le blocus iranien

Opération de déblocage du Détroit d’Ormuz :  

Objectifs :

-Mettre fin au blocus iranien du détroit d’Ormuz et rétablir la liberté de navigation dans cette zone.

Forces engagées :

-Cinquième flotte américaine (depuis le golfe persique)

USS Georges W. Bush et son groupe aérien (2 escadrons de Super Hornet, un escadron de F-35, un escadron de guerre électronique de EA 18G Growlers, un escadron de guet aérien de Hawkeyes, un escadron d’hélicoptères de lutte anti-submersibles Seahawks)
Deux croiseurs Ticonderoga
Deux destroyers Arleigh Burke
Deux sous marins de classe Los Angeles

-Groupe aéronaval Gérald Ford (au sud de l’Iran dans l’océan Indien)

USS Gerald Ford et son groupement aérien (même composition que le groupe ci dessus)
Deux croiseurs Ticonderoga
trois destroyers de classe Arleigh Burke
Deux sous marin de classe Los Angeles

+ 30 F15 E Strike Eagale basé en Arabie Saoudite et à Bahrein

5 Boeing P8 A Poseidon (lutte anti sous marines) américains opérant depuis l’Arabie Saoudite et Bahrein

10 F16 israéliens
10 F15 israéliens
10 F15 E Strike Eagle israélien
Ces appareils bénéficieront du soutien de ravitailleurs en vol américano-israéliens (20 engagés dans les opérations)

Trois Awacs

Destroyer japonais Inazuma de classe Murasame  


Détail des opérations :

-Les appareils basés sur les porte avions ouvriront le bal ainsi que les missiles Tomahawk pouvant être tirés depuis les navires américains. Seront visés les navires maintenant le blocus du Détroit d’Ormuz ainsi que les batteries de missiles côtières iraniennes identifiées. L’objectif est de neutraliser le plus de navires et de systèmes d’armement iraniens possibles avant que les navires ne s’avancent pour reprendre le contrôle du détroit. Les navires de guerre électronique seront bien sûr mis à contribution pour neutraliser autant que possibles radars et autres systèmes iraniens.
-Les porte avions resteront le plus loin possible des opérations afin de rester le plus possible hors de portée des missiles iraniens (notamment le Gerald Ford qui en a la possibilité). Hors de cela les autres navires seront utilisés pour les opérations offensives.
-Toujours soutenus par l’aviation qui s’assurera la suprématie aérienne des lieux, les navires américains entreront en action pour neutraliser la flotte iranienne. Les navires tireront des missiles anti-navires contre tout bâtiment iranien hostile.
-Dès que possible des opérations aériennes anti sous marines seront lancées afin de neutraliser les submersibles perses, notamment les sous marins de poche.
-Une fois les navires iraniens militaires neutralisés, les forces américaines se positionneront à bonne distance des zones tenues jusque là par les Iraniens afin d’éviter les zones minées et des opérations de déminage seront lancées dès que possible une fois les opérations terminées.

Modération de guerre
Tour 1

Destruction des radars iraniens

Chances de succès : 75% ; jet de dés : 85

L’opération de déblocage du détroit d’Ormuz s’est plutôt mal engagée. En effet, malgré la puissance numérique et technologique des dizaines d’avions déployés pour détruire les radars iraniens, notamment ceux chargés de guider les systèmes S-300 et S-400 déployés dans la région, l’US Air Force échoua dans sa mission, principalement à cause des radars du S-400, bien plus performant, qui parvint à engager simultanément de nombreuses cibles américaines, dont les précieux AWACS, et causant de lourdes pertes à l’aviation yankee, sans qu’icelle ne parvienne à atteindre ses objectifs, se privant ainsi d’un atout de force face à l’armée iranienne.

Pertes américano-israéliennes : 1 EA 18G Growlers, 1 AWAC, 2 F-35, 1 F-15 Strike Eagle américains et 2 F-15 israéliens détruits

Pertes iraniennes : 1 radar de batterie antinavires détruit


Neutralisation des batteries côtières

Chances de succès : 80% si précédent jet inférieur à 75%, 60% si supérieur à 75% ; jet de dés : 91

Conséquence logique de l’échec de la destruction des nombreux radars, notamment ceux des systèmes anti-aériens, les frappes missilières sur les différentes batteries antinavires et anti-aériennes sont un flagrant échec pour les Etats-Unis, qui ne parviennent pas à détruire lesdits armements. Pis encore, lors des interceptions des missiles et appareils chargés de les tirer, un F-35 a été endommagé, obligeant le pilote à s’éjecter, et, vents obligent, est atterri sur les côtes iraniennes, où il fut immédiatement capturé par les Gardiens de la Révolution et transporté en lieu sûr pour être questionné.

Pertes américaines : 1 F-35 détruit, 1 pilote capturé.

Pertes iraniennes : aucune


Destruction de la flotte iranienne

Chances de succès : 80% ; jet de dés : 61

Malgré l’échec de la destruction des différents systèmes de défense et d’attaque iraniens, l’US Navy ainsi que l’JDS Inazuma se sont aventurés dans le détroit d’Ormuz afin d’engager le combat contre la marine iranienne. Bien que solidement défendue par les S-300 et S-400, le nombre colossal de missiles tirés par les différents navires de guerre croisés parvint à venir à bout des navires islamiques, au prix toutefois de lourdes pertes du côté américain puisque le croiseur Normandy, de classe Ticonderoga, fut pris à parti par des missiles Persian Gulf et coulé, la quasi-totalité de son équipage ayant péri au combat bien que quelques-uns aient pu s’en sortir et être sauvés par un autre bâtiment de guerre américain juste à côté. Un autre destroyer de classe Arleigh Burke a lui aussi été lourdement endommagé par un missile d’origine russe 3M-54TE, mais a pu être remorqué à la fin des combats.

Le destroyer japonais JDS Inazuma s’est particulièrement distingué lors de ces violents affrontements. En effet, le bâtiment de guerre fut parmi les premiers navires à engager le combat avec l’adversaire iranien, détruisant notamment à l’aide de ses missiles Type 90 le destroyer flambant neuf Khalije Fars, et endommageant gravement un autre navire de cette même classe éponyme. Toutefois, son haut fait fut de s’interposer entre la torpille tirée par un sous-marin de classe Ghadir, qui s’était faufilé hors des combats, et l’USS Gerald Ford, prenant à sa place l’engin iranien, qui endommagea le bâtiment, mais préservant le mastodonte américain et parvenant à détruire le submersible perse grâce à ses missiles anti-sous-marins RUM-139 VL-ASROC. Hélas, le commandant du destroyer périt lors de l’impact, mais couvert de l’honneur de s’être sacrifié pour une lutte qui dépassait sa propre existence.

Pertes américaines : 1 croiseur Ticonderoga coulé, 1 destroyer Arleigh Burke endommagé, 280 marins tués, plusieurs dizaines de blessés.

Pertes japonaises : le JDS Inazuma endommagé, 37 marins tués, 46 blessés.

Pertes iraniennes : 2 frégates de classe Moudge détruites, 2 destroyers de classe Khalije Fars détruits et 1 autre endommagé, 1 sous-marin de classe Ghadir détruit, plusieurs dizaines de corvettes et patrouilleurs détruits ou endommagés.


Destruction de la flotte sous-marine iranienne

Chances de succès : 70% ; jet de dés : 50

Simultanément au combat contre les navires de surface iraniens, la flotte coalisée s’en est également prise aux sous-marins ennemis, aidés par les Boeing P8 A Poseidon ainsi que les hélicoptères de lutte anti-sous-marine. Une véritable traque s’organisa ainsi dans les eaux du Golfe persique ainsi que dans celles du détroit, rendue difficile par la présence là encore des batteries antinavires et anti-aériennes iraniennes qui causèrent des difficultés pour mener à bien la mission, qui fut toutefois victorieuse, même si de nombreux submersibles ont pu regagner leur base militaire d’attache ou à défaut la plus proche lorsqu’icelle était inaccessible à cause de la présence navale ennemie.

Pertes américaines : un Boeing P8 A Poseidon abattu.

Pertes iraniennes : 2 sous-marins de classe Kilo détruits, 5 sous-marins de classe Ghadir détruits, 3 sous-marins de classe Ghadir endommagés.


Déminage du détroit d’Ormuz

Chances de succès : 90% ; jet de dés : 27

Une fois les combats navals achevés, la flotte américano-japonaise put procéder au déminage du détroit, qui fut pour sa part un franc succès, malgré la présence encore de quelques mines ici et là, qui restent évidemment dangereuses à la circulation navale. La présence des missiles iraniens gêna là aussi quelque peu les opérations, bien que les tirs se firent plus rares, Téhéran comprenant que la défaite était sienne, bien que mitigée au regard des dégâts infligés à l’US Navy.

Pertes américaines : aucune

Pertes iraniennes : Des mines détruites.