[x] République d'Espagne

par **Colonel_NKR** Dim 24 Sep 2017 - 22:48

République d'Espagne

GÉNÉRAL

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Capitale : Madrid
Régime politique : République

Histoire :

Depuis 1944 :
L’occupation militaire des Alliés ne va pas sans contestation, une part de la population ne se sent pas responsable de la Guerre contre la France et le Royaume-Uni et en supporte mal la présence militaire. La reconstruction du pays est en partie financée par des crédits français et britanniques. La politique espagnole est orientée vers une social-démocratie de gauche et est très liée diplomatiquement aux Alliés qui ont libéré le pays. Après de nombreux procès l’Armée Espagnole est totalement réorganisée et ses effectifs ne dépassent pas les 90.000 hommes ainsi qu’une production militaire encadrée par les alliées. En bref, si l’Espagne républicaine a repris le pouvoir grâce aux alliés, la situation socio-économique du pays est grave et les Alliés gardent un grand contrôle sur le pays. Le 1er Mars 1948, de vastes manifestations sont organisées à Madrid, Valence, Séville et Bilbao afin de réclamer une totale indépendance du pays vis-à-vis des Alliés, ces réclamations tournent vite à l’émeute et font une dizaine de morts, peu à peu le mouvement s’essouffle. A la fin de l’année 1949, la situation économique du pays semble se rétablir lentement mais montrent des signes encourageant, l’exportation de fruits et légumes ainsi que celle de viandes et poissons et l’activité la plus rentable du pays.

STATISTIQUES

Croissance économique :
Produit Intérieur Brut : 40 Mds$
Population : 21 000 000

ARMÉE

Effectif des forces armées : 90 000

Spoiler:

Placements :
Trois corps d'armée de 15 000 hommes soit quinze divisions chacune, l'un à Madrid, l'autre à Valence et l'autre à Bilbao.

Spoiler:

Équipement :

Spoiler:

par **Vautour** Lun 25 Sep 2017 - 0:24

Effectif des forces armées (à répartir) :
Spoiler:

Équipement :
Spoiler:

par **Shikkoku** Mar 26 Sep 2017 - 14:29

Validé. (Tu changeras ton drapeau)

par **Colonel_NKR** Mer 27 Sep 2017 - 23:01

République d'Espagne

Troubles de 1950 en Espagne

A Bilbao, Madrid, Séville, Saragosse, Palma, les émeutiers communistes provoquent des incendies et font des grèves générales, cette situation est intenable et l'économie de nos régions s'effondrent devant ces insubordinations et ces mutineries bolcheviques. Les quelques oligarques qui dirigent le pays à l'aide de leur marionnette à peine présente sur la scène politique ne savent plus où donner de la tête, faut-il aller en vacance ou appointer l'armée pour mater les insurrections communistes ? Ils ont décidé d'aller en vacance pour oublier les troubles espagnoles, "ça ne peut pas être pire, de toute façon", constate l'oligarque Gonzalo Ramirez.

Ils se prennent donc des vacances dans les Caraïbes tandis qu'une famine est en phase de se déclarer et que le Parti Communiste d'Espagne a environ 30% de la population avec lui, non ça ne pourrait pas être pire, quoique...

Le 17 Janvier, le gouvernement est dissout par le président qui annonce qu'un nouveau sera formé, le lendemain, les communistes tentent un coup de force en assiégeant le Parlement, les choses tournent très mal et malgré le souhait des leaders communistes de négocier une issue pacifique, les plus radicaux (anarchistes) incendient carrément le Parlement, faisait deux morts et des dizaines de blessés.

Suite à ce coup de force réussit mais non-voulu, les communistes proposent un gouvernement de coalition avec l'actuel président, un social-démocrate de gauche dont les idées ne sont pas claires du tout. Cette acceptation des revendications communistes est annoncée dans un communiqué présidentielle, mais rapidement, l'armée prends le pouvoir et destitue le président pour "corruption", les généraux affirment que celui-ci avait été payé au préalable par les communistes pour les accepter au sein de son gouvernement.

Mais ces trois jours flamboyant ne seraient pas si flamboyant si Vania Rosa de Blascó, à la tête du Mouvement national-démocrate dont la ligne est fermement anti-communiste, ne prenait pas le pouvoir.

Vania Rosa de Blascó, cette jeune femme de trente et un an dont l'histoire est peu commune : Sa famille se fait massacrer pendant la guerre civile, elle fuit dans un couvent, là-bas, elle aurait aperçut un vautour qui se posa juste en face d'elle et dessina une forme ressemblant à la péninsule ibérique au sol, pour elle c'est un signe qu'elle va devoir servir la nation plus tard dans sa vie. Elle y reste, dans le couvent, jusqu'à la fin de la sanglante guerre civile, à la proclamation de l'Union Ibérique, elle s'enrôle dans la marine en tant que réparatrice, même si les femmes ne sont pas très bien vues dans les institutions militaires ibériques, son expertise était bien et elle pût exercer dans la marine militaire. A l'aube de la Seconde guerre mondiale, elle commence à contester le régime ibérique, estimant que cette union est stupide et qu'une simple alliance entre le Portugal et l'Espagne aurait suffit, bref elle se politise. Vers la fin de la guerre, alors que les troupes alliées se pressent en Espagne, elle se mutine (pas d'elle-même, mais suivant un mouvement plus grand inspiré par le peuple) contre son gouvernement à la tête d'officiers espagnoles et prends partie des alliés, ce vaste mouvement parvient à faire plier l'Union Ibérique qui offre sa reddition aux alliés. Elle devient après la fin de la guerre officière au sein de la Marine, subit chaque jour la misogynie de ses camarades mais parvient finalement à s'imposer au sein du Mouvement national-démocrate, dont la ligne est anti-communiste et fortement pro-américain & britannique. Grâce à ce parti, elle devient une figure politique en Espagne et dont chaque sortie est médiatisée : tout le monde la connaît, chaque sortie qu'elle fait, c'est avec son uniforme de la marine et les cheveux lâchées. Elle déteste les communistes et le fait savoir, elle devient rapidement la principale figure d'opposition au communiste & au gouvernement qu'elle juge "corrompu" par les oligarques.

Le 20 Janvier, à la tête de trente trois officiers et de trois milles manifestants, elle prends le Palais présidentiel avec l'aide de ses soutiens & un soutien tacite de l'armée, et, selon la théorie de la lacune constitutionnelle, fraîchement apprise de Von Bismarck, elle est désignée présidente (temporairement) par son parti et annonce la tenue de plusieurs référendum populaire et d'élection libre dans les mois à suivre. Pour apaiser les tensions avec les communistes, ceux-ci obtiennent certains postes dans l'administration.

Elle craint désormais d'être renversée par son propre mouvement et se dote ainsi d'une garde personnelle efficace et dévouée.

Vania Rosa de Blascó, seconde présidente d'Espagne, deux jours après son investiture.

Après avoir été alerté de la situation à Madrid, les oligarques reviennent précipitamment à Madrid pour parler à la nouvelle présidente, ils comptent bien en faire leur marionnette et la soumettre à leurs désirs - politique, bien entendu.

Diplomatie

Missive diplomatique via Alliés:

par **Colonel_NKR** Dim 1 Oct 2017 - 15:42

République d'Espagne

Restauration de Juan Paja Venilo

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Juan Paja Venilo, en 1950.

Grâce à l'intervention française, le président Venilo a été remis en place et déjà il dissout le Mouvement National-Démocratique qu'il qualifie ouvertement de "traître fasciste dans l'illégalité la plus total" et enferme Vania Rosa et ses partisans, tous ceux ayant participé au putsch et à l'établissement illégal du nouveau gouvernement seront jugés pour haute trahison. Et tout le monde sait que de Blasco risque la peine de mort.

Venilo a ensuite une rencontre avec les oligarques qui lui précisent que ce genre de chose ne doit pas se reproduire, et pour cela, il faut "nettoyer" l'appareil militaire, ainsi, sept généraux, quatre cent vingt quatre officiers et mille deux cents soldats sont arrêtés et jugés coupable pour le renversement du gouvernement légitime, ils sont immédiatement condamné trente ans de prisons ferme.

Les communistes eux, restent étrangement calme et appellent à des élections législatives, qu'ils sont sûrs de remporter avec une écrasante majorité.

Diplomatie

Missive diplomatique via France:

par **Colonel_NKR** Dim 1 Oct 2017 - 15:43

République d'Espagne

Ambiance pré-élections

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Les capitalistes tremblent, camarades, les bourgeois paniquent et les fascistes se cachent ! Cette élection est une révolution : que les révolutionnaires aillent voter, ensemble, nous vaincrons la bourgeoisie capitaliste et mettront en route le socialisme en Espagne !

Voilà des discours que l'on peut entendre à Madrid, Bilbao, Valence ou les autres grandes villes espagnoles, l'ambiance est au socialisme, au communisme, au bolchevisme comme titrent les journaux les plus conservateurs de Madrid. Le président, lui, ne s'inquiète pas vraiment et pense plutôt à acheter sa villa dans le sud de la France avec l'argent de l'Etat, "de toute façon les Français me soutiennent" pense-t-il. Aussi, le fait que ce ne soit que des élections législatives et non présidentielles le rassure, il pense pouvoir se maintenir et combattre le MND avec l'aide des communistes, même si la plupart de ses conseillers lui assurent que les communistes sont plus dangereux encore que le MND et qu'il faut limiter les dégâts, mais il est trop occupé à acheter des villas et stocker son argent dans des banques suisses ou luxembourgeoises.

Pendant ce temps à Asturies, José Pablo Gomez proclame un discours devant au moins 80 000 personnes au bas-mot où il dénonce la main-mise de la France et d'autres pays étrangers sur la politique intérieure et extérieure espagnole.

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Les soi-disantes démocraties se permettent de parler d'indépendance, de liberté et d'autonomie des peuples mais les interventions françaises nous montrent le contraire ! Quand les journaux parisiens nous parlent de dictature en Allemagne, ne tournent-ils pas les yeux vers Madrid ? Est-ce que les camarades soviétiques interviennent en Allemagne, en Hongrie pour renverser des gouvernements et annuler des élections par la force et les remplacer par des marionnettes corrompues ? Non, il n'y a que les chez les capitalistes que l'on peut voir ça, où ils peuvent parler de liberté et d'indépendance lorsque ceux-ci même colonisent des continents entiers et oppriment de la manière la plus brutale les peuples sous le prétexte du développement et de la démocratie, a-t-on déjà vu plus hypocrite que les capitalistes ?
Je vous le demande peuple espagnol, et vous y répondrez dans les urnes !

Dans les rues, les gens chantent El Pueblo Unido, un chant récemment composée par un musicien du Front Populaire, devenu l'hymne du Parti. Mais pendant ce temps, au sein de ce même parti, tous se disputent sur une question simple mais d'ne complexité sans nom : Si nous écrasons Juan et sa clique, qui deviendra le président ? - Sachant que le président du Parti est très contesté dans son propre camp, notamment pour ses positions ambiguë par rapport à la France et sa critique de l'URSS.

Après des élections, des complots & des trames au sein du Parti, c'est le démagogue national-communiste José Antonio Aguirre y Lecube, ancien membre du parti nationaliste basque dans les années 1935, ayant rejoint les républicains lors de la guerre civile, après des années d'exil il est revenu en 1949 dans son pays, en pleine reconstruction et a aidé à la réorganisation du Parti Social-Révolutionnaire transformé en Front Populaire. Il est désormais convaincu que le communisme est la seule idéologie qui permettra d'apporter la prospérité à la population espagnole.

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José Antonio Aguirre y Lecube en 1950.

Chez les conservateurs, il n'y a plus aucun espoir, leur parti a été dissout et la plupart assurent qu'ils n'iront pas voter pour faire comprendre à Juan son erreur de ne pas avoir trouvé un accord à l'amiable avec Vania Rosa, et de plus en plus de militants du MND rejoignent les rangs communistes, paradoxalement car ce sont eux qui mettent le plus l'accent sur la souveraineté espagnole qu'il faut - absolument - retrouver.

En somme de quoi, il n'y a plus aucun doute sur qui va gagner les législatives, la question que se pose la maigre opposition au Front Populaire est : Comment se maintiendra le président, ou plutôt, combien de temps réussira-t-il à se maintenir ?

par **Colonel_NKR** Lun 2 Oct 2017 - 18:44

République d'Espagne

Elections législatives

Les résultats viennent de tomber à Madrid, et chez les bourgeois & les impérialistes, c'est la panique. Peu avant le jour des élections, les opposants au Front Populaire avaient appelé à un barrage électorale contre les communistes, précipitant ainsi leur chute - semi-chute, plutôt. Les conservateurs du MND reviennent pour la plupart sur leur décision de s'abstenir et vote pour le Comité d'Union Espagnol, mais c'est trop peu. Certains soupçonnent d'une fraude des communistes lors des élections, mais les représentants du Front Populaire arguent du fait que les élections étaient surveillées par un commissariat temporaire de l'ONU dédié spécialement à cette mission et qui sera dissous ensuite.

C'est ainsi que le Front Populaire arrive au Parlement avec plus de siège que n'importe quel autre parti, les socialistes étant leurs alliés, ils sont en position de force pour dicter une politique au président, qui lui, ne veut aucunement avoir à faire aux communistes.

Front Populaire : 256 sièges.
Comité d'Union Espagnol : 177 sièges.
Union Libérale d'Espagne : 54 sièges.
Parti Socialiste Espagnol : 53 sièges.
Mouvement Espagne Libre : 28 sièges.
Parti nationaliste réorganisée hispanique : 16 sièges.

Ces résultats sont un fracas dans toute l'Europe, alors que le président, sous la pression du Front Populaire, nomme José Antonio comme Premier Ministre et Ernesto Garcia comme ministre de l'Intérieur, "ils n'auront rien de plus !" s'exclame t-il.

Mais déjà, José Antonio clame sa victoire en plein Madrid, devant une foule en liesse :

Aujourd'hui, nous libérons l'Espagne de ses entraves !

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par **Colonel_NKR** Lun 2 Oct 2017 - 18:45

République d'Espagne

Politique axée sur le développement

Le Front Populaire, immédiatement après sa victoire, distribue des badges du Front à tout ses membres, il est désormais obligatoire de le porter - pour les membres, bien sûr - sous peine d'exclusion sauf si une excuse est présentée au bureau local du Parti. Déjà près dix millions de badges ont été distribués par le Front, mais les opposants arguent qu'à peine cinq millions de badges ont été distribués et sont actuellement portés. Ceci est fait dans le but de provoquer les droitistes et l'extrême-droite chaque jour.

José Antonio et son ministre de l'Intérieur décident, sans l'accord du président, la création de la Alta Comisión del Servicio Secreto - Haut-Commissariat des Services secrets -, soit les services secrets espagnols. Composé uniquement de communiste, le Premier ministre affirme au président que le Haut-Commissariat ne va avoir pour but que le contre-espionnage, c'est ainsi que pour sa première mission la ACSS aura pour but de passer au peigne fin chaque diplomate étranger résidant en Espagne, pour voir s'ils ne sont pas des "agents-doubles" ou des espions.

Dans le même temps, un décret présidentielle accepté par le Parlement a injecté 12 600 000 pesetas espagnols dans la construction civile, notamment pour financer de grands projets d'usines et d'universités, c'est donc 17 universités dans les grandes villes et une vingtaine de zones industrielles qui seront construites d'ici deux ans et José Antonio a affirmé que ceci n'était que le début de l'Ascensión espagnole.

Concernant l'armée, avec le soutien des socialistes, José Antonio fait passer une loi permettant la réduction des forces militaires à seulement 45 000 hommes, mais cette loi ne sera appliqué que le 1er Février 1951 et le premier ministre affirme que du travail sera rapidement trouvé et qu'un projet est déjà en cours d'examination pour faire travailler ces 45 000 hommes.

Mais l'incident au Parlement survient lorsque José Antonio propose d'accorder le droit de vote à tout les jeunes de dix-huit ans et plus, cette mesure renforcera certainement le Front Populaire et le Parti socialiste ainsi que le Parti Nationaliste Réorganisée Hispanique, le CUE et l'ULE contestent et demandent au président d'empêcher par une motion de censure le passage de cette loi, le premier bras de fer est engagée entre les communistes & leur opposition.

Diplomatie

Javier Garavà, un membre de l'Union Libérale Espagnole, a été nommé aux affaires étrangères pour contre-balancer le poids des communistes au niveau du gouvernement, mais il a des idées très précises quant à ce qu'il doit faire, et ce n'est pas les objections du président faible et l'opposition des communistes qui lui feront changer d'avis.

Organisation européenne de coopération économique:

Missive diplomatique via Grande-Bretagne, France:: Nous voudrions négocier la diminution de la présence militaires des Alliés en Espagne, pour cela nous proposons une rencontre tripartite à Asturies entre le nouveau Premier ministre et les PMs français & britanniques.

par **Colonel_NKR** Mar 3 Oct 2017 - 20:18

République d'Espagne

Discours de José Antonio

Depuis son fief d'Asturies, qu'il ne quitte pas, José Antonio entends bien parler directement au peuple par la Radio, la Radio du Front Populaire émets donc le 28 Novembre le discours de José Antonio, expliquant la situation politique actuelle et la crise diplomatique avec la France :

Nous avons parlé avec les Français, nous ne pensons pas qu'ils sont enclins à faire la paix ou à stopper l'oppression du peuple espagnol. Sachez que oui, vous êtes oppressés par les vils impérialistes français qui occupent votre pays, mon pays, depuis déjà des années lorsque le gouvernement fasciste a annoncé sa reddition. Il est évident que les fascistes sont responsables de la situation, actuelle et précédente, après avoir envoyé des marins se faire tuer sur les côtes turques ou nos hommes se faire massacrer sur le front des Pyrénées, leur échec de l'Union Ibérique représente bien l'échec du fascisme à l'échelle globale.

Ainsi tout le poids de la défaite des fascistes retombent sur le peuple espagnol, en particulier les prolétaires et les ouvriers, qui ont versé leur sang pour la nation, et qui se sont fait lâchement trahir par l'Union Ibérique. C'est donc après des années que la France est parvenu a occuper notre pays, une vieille tradition du pays des Gaulois, en 1808 encore, nous lancions, dans un grand élan de patriotisme, la guerre d'indépendance contre l'occupant français. Aujourd'hui le gouvernement Pleven, sous le voile de la démocratie, le chapeau de liberté, se pense être les nouveaux Napoléons, capable de tenir des pays aussi grands que l'Espagne, les démembrer en nous enlevant nos plus grandes villes et nous imposer une politique que nous ne voulons.

Il faut savoir, peuple espagnol, que, oui, la France a refusé d'entendre quoique ce soit, pour elle, les communistes n'ont pas gagné et il faut faire de nouvelles élections. Evidemment elle ne dit ça seulement car les résultats ne lui plaisent, sachez que quand les pseudos-démocrates sont dérangés par le choix du peuple, ils imposent un choix par la force, sans pitié et sans considération pour le choix du peuple. Nous pouvons bien voir aujourd'hui jusqu'où va le respect de la démocratie, de la liberté, de l'indépendance, du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes chez les fervents faiseurs de démocratie impérialistes français, notamment en Indochine où ils n'hésitent pas à bombarder aveuglément les populations civiles pour satisfaire leurs désirs de domination et leur soif de pouvoir.

Ainsi le peuple espagnol a refusé - comme toujours, de se laisser vaincre et par la même occasion s'est insurgé contre les occupants français dans les urnes, brave action mais pas suffisante pour l'arrogance française qui envoie des régiments supplémentaires occuper notre belle capitale pour la mettre encore plus sous son joug.

C'est ainsi qu'un climat de méfiance se mets en place entre la population espagnole et les troupes françaises, notamment lorsque la presse communiste déforme un fait divers et en fait un scandale nationale, un soldat français qui buvaient un verre dans un bar de Madrid a été lyncher après que celui-ci ait voulu courtiser une jeune dame. Evidemment la presse communiste ne le rate pas et affirme que le France a violé la jeune femme et les espagnoles n'ont fait que se défendre.

La Garde Rouge

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La Garde rouge espagnole, inspirée de la Garde rouge finlandaise, est formée avec l'aval du président du Front Populaire pour "défendre les intérêts de la révolution en Espagne". Elle a désormais une autorisation ministérielle pour faire "respecter l'ordre" dans les rues d'Asturies, fief des communistes en Espagne.

Ainsi, cette milice se compose de 5 000 hommes et voit ses rangs grossir, notamment à cause du chômage grandissant et de la popularité des idéaux communistes en Espagne. Elle démarre ses actions à Madrid où elle arrête les fonctionnaires corrompus et les bourgeois malfaisants pour protéger le peuple, bien sûr les personnes en question sont remises à la police (qui, généralement, les relâchent ensuite) mais elle veille également à la défense du Premier ministre et du ministre de l'Intérieur, considérés comme les guides de la révolution prolétarienne espagnole.

C'est ainsi que la milice des défenseurs de la révolution est née, elle est faite pour durer et vaincre, triompher.

Diplomatie

Le Ministre des Affaires étrangères a été remplacé par Carlons Beneguez, un communiste convaincu ayant des liens très étroits avec le PC allemand.

Missive diplomatique via France:: Nous voudrions mettre au point certaines choses et pour cela organiser une rencontre entre le Premier ministre français et le premier ministre espagnol.

Missive diplomatique via URSS:: Nos représentants veulent organiser une rencontre secrète entre nos deux pays à Sébastopol.

Missive diplomatique via Italie:: Nous voudrions organiser une rencontre entre nos deux ministres de l'Economie pour parler du développement et de la reconstruction de nos deux pays, la relance économique est un sujet essentiel dont il faut traiter.

par **Colonel_NKR** Jeu 5 Oct 2017 - 12:41

République d'Espagne

Incohérence gouvernementale

Suites aux récentes déclarations & réalisations du Front Populaire, l'établissement de la Garde rouge et les déclarations hostiles à la France, le président décide de sortir de son silence. Par décret gouvernemental, il annule toutes les initiatives prises par les communistes, démantèle la Garde rouge qui est relégué désormais au rang de garde personnelle des cadres du Front Populaire et menace de dissoudre le Parlement dans un communiqué et de limoger les principaux ministres communistes si ceux-ci continuent leurs agitations incessantes. Il ré-affirme à la France tout son soutien et annonce qu'il se rendra lui-même à Paris en Février 1951.

Cette période d'incohérence gouvernementale est appelée en espagnol l'Uncohesión (littéralement "incohésion" en Français)

par **Colonel_NKR** Jeu 5 Oct 2017 - 17:11

MISE À JOUR ANNÉE X

Statistiques:
- Croissance : -4.90 %
- Produit Intérieur Brut : 38.04 millions $
- Population : 21 157 500

Forces armées :
- Effectifs : /
- Armée : /
- Armée de l'air : /
- Marine : /

Diplomatie :

- Crise diplomatique avec la France

Conflits :

/

par **Colonel_NKR** Jeu 5 Oct 2017 - 22:07

République d'Espagne

Affaires intérieurs

Comme annoncé à l'ONU, le président Juan Paja Venilo dissout le Parlement et annonce de nouvelles élections législatives. Il tente de faire arrêter le gouvernement communiste mais à sa grand surprise, ils ne sont pas à Madrid. Il limoge immédiatement le commandant des forces de police et fait arrêter son état-major et cinq cent officiers dans un excès de paranoïa.

Mais les communistes se vengent immédiatement, la Garde rouge tente de marcher sur le Palais présidentiel avec quelques centaines d'hommes mais se heurte à la résistance de policiers et de brigadiers espagnols loyaux au président. Les combats tournent rapidement au carnage et l'on dénombre une cinquantaine de morts et quelques centaines de blessés, c'est l'incident de Madrid. Les communistes se retirent rapidement et appellent publiquement à la révolution jusqu'à ce que José Antonio, secrétaire général du Front Populaire, ne sorte de son silence et annonce à la radio que la guerre civile en Espagne doit être évitée à tout prix malgré le processus "anti-démocratique" du président "corrompu" Venilo. Ainsi les communistes, après trois jours de violences dans toute l'Espagne ayant fait environ trois cent morts et un millier de blessés, stoppe leur brusque révolution, mais ceux-ci assurent que le gouvernement a sciemment fait assassiner les cadres locaux du PC.

Pendant ce temps, les nationalistes espagnols du Mouvement national-démocrate parviennent à planifier et réussir à faire évader Vania Rosa de Blascó qui déclare ouvertement dans un audio diffusé à la radio madrilène son inimité et sa haine pour le président et plus précisément les français, elle déclare que chaque meurtre de soldat français sera récompensé de 10 000 pesos.

Les élections sont donc encore plus rapidement organisées pour éviter à ce que les différentes factions rebelles ne s'organisent et tentent un coup d'état contre un président sans gouvernement et quasiment sans armée, le climat n'est vraiment pas propice à attendre. Les élections se font donc le 18 Janvier sous la surveillance de la Garde républicaine nouvellement créée pour lutter contre les dissidents [voir plus bas], les élection se passent donc malgré quelques heurts & incidents :

Union Libérale d'Espagne : 134 sièges.
Comité d'Union Espagnol : 133 sièges.
Parti Socialiste Espagnol : 124 sièges.
Front Populaire : 84 sièges.
Mouvement Espagne Libre : 67 sièges.
Parti nationaliste réorganisée hispanique : 58 sièges.

Le président assure que les élections n'ont pas connu de fraudes, si ce n'est de très minimes incident ne remettant aucunement en cause le résultat, il annonce par ailleurs que le menace communiste n'existe plus : "Ils ont été vaincus par le peuple malgré leurs prétentions" dit-il dans le journal L'Independencia.

C'est donc un nouveau gouvernement qui est formé avec Giral Pereira, un membre de l'Union Libérale, à sa tête.

Nos alliés en France et ailleurs peuvent se réjouir : Le calme est rétabli dans toutes les régions d'Espagne, les communistes ne s'agitent plus

Affaires militaires

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Grâce à la jugeote et la perspicacité étonnante du président, celui-ci, lors de son inactivité politique pendant quelques mois, forma en secret la Garde républicaine espagnole, formée en trois mois et dans le plus grand secret, cette garde de 5 000 hommes a été formé pour faire en sorte de défendre la République face aux menaces intérieures. Rigoureusement entraînés, ces anciens vétérans de la seconde guerre mondiale sont capable de tout pour défendre l'état.

Ils sont par ailleurs armés de fusils automatiques modernes et ont des uniformes spéciales, ils ont plus de droit que la police elle-même, ils peuvent arrêter sans raison apparente tout ceux pouvant faire entrave à la République.

Cette garde d'élite sert donc à protéger la République et ses intérêts, ils ont eux-mêmes surveillés les élections législatives mais n'ont pas pu intervenir lors de l'incident de Madrid.

Affaires économiques

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Malgré les faux airs que l'on pourrait donner au président, il est un très grand rêveur et aime particulièrement la nature, et il aime quelque chose par-dessus tout : Le miel.

Ainsi, il décide de la construction de trois gigantesques complexes d'apicultures dans le but de produire du miel en masse l'exporter à des petits prix dans des pays qui ont de la demande, notamment en Afrique et en Asie. Il finance ce projet grâce à sa fortune personnelle, les trois complexes devraient donc être construits d'ici trois mois et le miel rapidement exporté par baril dans les pays importateurs, il espère trouver des pays pouvant signer des contrats concernant cela rapidement.

-

En parallèle, il annonce la construction de douze autoroutes dans toute l'Espagne, de quinze hôpitaux dans les villes "intermédiaires" et de six universités également dans le but de décentralisé l'Espagne.

Tout ceci est financé par l'argent étatique et Venilo déclare que le projet pour faire de l'Espagne une puissance économique majeure en Europe vient de commencer.

Affaires diplomatiques

Le nouveau ministre des affaires étrangères, Gonzalo Ichigo est quelqu'un de très actif et très diplomate et conciliant, grâce à lui, le président espère pouvoir rapidement réaliser des contrats avec d'autres pays et arranger des situations gênantes.

par **Colonel_NKR** Ven 6 Oct 2017 - 22:24

République d'Espagne

Affaires intérieures

Suite au discours plus qu'insolent que Gonzalo Ichigo à la tribune l'ONU, celui-ci est amené devant le président de la République. Le président sirotait son thé & fumait sa pipe devant son journal l'Independencia.

« Alors comme ça tu mets l'Espagne dans une mauvaise position aux Nations-Unies Gonzalo, dis-moi. »

Il répondit d'un ton peureux : « Ce n'est vraiment pas ce que vous croyez patron ... »

« C'est trop tard Gonzalo, au fait, comment va ta femme, Isabella ? Et tes enfants ? J'espère qu'ils ne vont pas trop te manquer. Et vice-versa. »

Gonzalo commença à pleurer : « Ne faites pas ça patron, s'il vous plaît ! », suite de quoi, il s'agenouilla.

« Je ne reviens jamais sur mes décisions. »

Il prit son verre et le but ensuite, avant que la Garde républicaine ne vienne le chercher. Dirigé vers un endroit secret, il se rendit vite compte qu'il atteignait un camp de détention totalement fermé au public. Là-bas, il vu le spectacle le plus horrible de sa vie : Tous les militaires purgés ont été pendus et d'autres simplement exécuté d'une balle dans la tête. Il cria de l'épargner mais c'était trop tard, il se fit abattre de sang-froid par un garde.

Plus le temps avançait, plus Venilo se comportait comme un dictateur sanglant, le renversement du gouvernement - par une femme - l'avait traumatisé et il s'était remis en question. Il se promit de ne plus jamais faiblir et d'être ferme en tant que détenteur de l'autorité.

Dans toute l'Espagne, les agitations sont de plus en plus visibles, les gens n'hésitent plus à manifester contre le président. Le chômage étant en hausse, les jeunes ne trouvent rien d'autre à faire que d'intégrer des groupes d'extrême-gauche ou d'extrême-droite. Des attaques armés ont lieue à la campagne contre des membres de la police ou des cadres politiques locaux. Ces attaques ne sont faites que par des nationalistes ou des groupes d'anarchistes isolés. La pire attaque a lieue dans le village de Sarrameso où 34 personnes meurent et une centaine sont blessés par l'attaque d'un groupe nationaliste allié au Mouvement National-Démocrate, ce petit village était soupçonné par les nationalistes d'avoir voté pour le Comité d'Union Espagnol et d'abriter des militants de ce parti. C'est le massacre de Sarrameso.

C'est donc dans ces graves circonstances que le président Venilo décrète l'état d'urgence et fait arrêter plusieurs centaines de personnes lors de la Rafle de Février.

Affaires économiques

Le chômage bats son plein en Espagne, c'est pourquoi, le président décide de financer la constructions de :

- Un Institut de Recherche scientifique à Asturies.

- Trois nouveaux quartiers au sud de Madrid.

- Un Institut militaire à Madrid.

- Quatre nouveaux quartiers à Bilbao.

- Vingt cinq hôpitaux sur tout le territoire.

- Quatre zones industrielles à Bilbao.

Il mets également en place le Projet 1960, qui consiste à vouloir agrandir les villes côtières du nord de l'Espagne pour faire marcher le tourisme. Et également pour renforcer le pays en lui-même, le développer et l'améliorer pour qu'il soit mieux encore qu'il ne l'était.

Affaires diplomatiques

Un nouveau ministre des affaires étrangères est nommé, Alfredo Romero, un romantique comme il n'en existe pas.

Missive diplomatique via Portugal:: Nous vous proposons une rencontre à Madrid pour discuter de l'avenir des relations entre nos deux pays.

Missive diplomatique via Japon:: Nous vous proposons une rencontre à Cadix pour discuter de nos intérêts communs et principalement pour ouvrir l'Espagne au marché florissant de l'est de l'Asie.

Missive diplomatique via Italie, Grèce:: Nous vous proposons une rencontre commune à Grenade pour discuter d'une possible union économique entre nos trois pays méditerranéen.

par **Colonel_NKR** Sam 7 Oct 2017 - 21:28

République d'Espagne

Affaires intérieures

Les Rafles de Février se sont bien déroulées. Maintenant le président compte purger l'appareil policier, gangrené par les nationalistes, c'est ainsi que 6 000 fonctionnaires de polices sont arrêtés et emprisonnés pour "conspiration" et "appartenance à un groupe illégale" du fait de leur relation avec différents groupes nationalistes.

Suite à l'incident frontalier avec la Catalogne, le président décide de maintenir ses forces à la frontières malgré les garanties catalanes, pensant que ceux-ci peuvent attaquer de nouveau à tout moment.

La Garde Républicaine est désormais affecté à plusieurs camps de détentions, ces camps servent à détenir les individus dangereux pour la société. Il y en a un à 60 km de Madrid et l'autre à 180 km de Bilbao, pouvant chacun accueillir environ dix à vingt milles personnes. Les prisonniers politiques sont envoyés là-bas, ils travailleront dix huit heures par jour pour servir le peuple - c'est ce qu'ils prétendent tous, ils seront aussi affectés à différents chantier à travers tout le pays.

Affaires économiques

Le Projet 1960 est dévoilé, il doit aboutir à l'agrandissement conséquent des villes côtières du nord de l'Espagne, une liste a été établis :

- Saint-Sébastien, quinze nouveaux quartiers doivent être construits.

- Zumaia, cinquante nouveaux quartiers modernes doivent être construits pour transformer ce village en véritable ville.

- Bilbao, cette ville doit devenir un pôle touristique gigantesque, vingt nouveaux quartiers devront être construits ainsi que des plages et des hôtels de luxe au bords de la mer & un aéroport d'utilité civil.

- Santander, la ville doit s'agrandir au nord et avoir une grande et magnifique plage bordée d'hôtels et de boutiques, c'est donc une centaine de quartiers qui devront être construits.

- Ribadesella, un petit village qui doit devenir une grande ville, c'est également plusieurs centaines de quartiers qui devront être construits, ainsi que des hôtels de luxe et des plages aménagées.

- Gijon, cette ville déjà assez grande doit l'être encore plus, une vingtaine de quartiers seront construits et une grande plage,
la plus grande au monde sur cinquante kilomètre, devra être aménagée.

- Avilés, cette ville intermédiaire, doit accueillir de grands buildings à l'américaine et construire une quinzaine de nouveaux quartiers et des plages aménagées.

- Ferrol et la Corogne seront toutes deux annexées l'une à l'autre, le nom de La Corogne sera gardé et c'est là le gros du projet : Une base navale, cinq cent quartiers, des plages aménagées, des hôtels, des buildings à l'américaine et un aéroport.

- Pontevedra, la ville sera aussi agrandie avec la construction de vingt quartiers en plus, d'une base navale, de plages aménagées, d'hôtels et de boutiques.

- Vigo, la ville annexera quatre de ses voisines au sud et une base navale sera également construire ainsi qu'un aéroport, soixante quartiers, des plages aménagées, des hôtels & des des boutiques.

Tout cela sera évidemment fait étape par étape, le but n'est pas de se dépêcher d'avoir tout cela, mais plutôt d'atteindre ces objectifs avant le début d'année 1960. Un superviseur est nommé : Diego Ramirez pour s'occuper de mener à bien le projet. Assez socialiste, sa planification des choses est très appréciée du président, d'abords, ce sont tous les prisonniers qui sont employés à cette tâche, ensuite, tous les chômeurs iront au chantier, la totalité du projet sera financée par le gouvernement, les crédits français & britannique, la fortune personnelle du président, et si cela ne suffit, nous emprunterons dans des banques français & britanniques.

Affaires diplomatiques

Missive diplomatique via Grande-Bretagne, France:: Nous vous proposons de financer le Projet 1960, pour un avenir radieux & prospère en Espagne et le bien de son peuple.

Mouvement national-démocrate via Colombie:: Un bataillon de 3 000 combattants nationalistes sont prêts à venir en Colombie dans le but de vous aider à combattre le bolchevisme venezueliens et les différentes milices communistes sur votre territoire.

Garde rouge via Venezuela:: L'invasion capitaliste est intolérable à nos yeux, nous pourrions vous aider en envoyant 2 500 partisans avec vous dans le but de vous aider dans la défense de votre patrie.

par **Shikkoku** Sam 7 Oct 2017 - 23:14

Sur décision administrative, ce pays est retiré au joueur.

Raisons : incapacité latente à mener un jeu cohérent et respectueux des règles.

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