[Sommet] Conférence de Rome [Création de la République Fédérale Européenne]
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[Sommet] Conférence de Rome [Création de la République Fédérale Européenne]
¤ Fédération Européenne ¤
¤ Description ¤
¤ Second Traité de Rome (STR) ¤Le 8 décembre 2014, suite aux montées des tensions internationales et à l'inaction d'une grande part des pays membres de l'Union Européenne face à la crise internationale de 2007, le Président du Conseil italien, Carlo Scognamiglio Pasini, propose aux nations développées fédéralistes de l'organisation de réaliser la formation de la Fédération Européenne, projet qui traine depuis maintenant une trentaine d'années. Ainsi, l'Allemagne (jouée), l'Autriche, la Belgique, le Danemark, l'Italie (jouée), le Luxembourg et les Pays-Bas formeraient une nouvelle nation européenne basée sur un système politique simplifié et démocratique, obéissant à des lois et des règles économiques, financières, juridiques et sociales communes pour placer ce pays sur le podium des puissances mondiales. Les pays précédemment cités ont des similitudes qui leur permettent de former une telle entité (même si des différences fondamentales sur le système social et juridique existent) : par exemple, l'importance du Parlement est de mise, la politique d'austérité est la seule sortie de crise adoptée par ces pays, tandis que les forces armées sont uniquement motivées par la défense. La Fédération Européenne est donc possible et les hautes instances italiennes ont proposé un Second Traité de Rome (abrégé STR) dont les clauses principales sont citées ci-dessous. Toutes les nations participantes à ce sommet peuvent proposer des modifications au STR; quant aux autres membres de l'Union Européenne non invités, ils ne peuvent que demander des explications (ou rejoindre la FE).
Ces clauses sont temporaires et il reste une myriade de choses à ajouter, ce qui ne peut se faire que par le débat avec les autres nations présentes au sommet. Le dernier point ajouté par le Président du Conseil italien concerne le sort des autres pays de l'Union Européenne : la Fédération Européenne serait une entité au sein de l'UE et en aucun cas nos compatriotes européens ne seraient abandonnés.Clauses proposées par l'Italie :- dissolution des entités étatiques allemandes, autrichiennes, belges, danoises, italiennes, luxembourgeoises et néerlandaises
- formation d'une Assemblée Constituante Européenne (composée de 700 représentants de tous les pans de la société), siégeant immédiatement après la Conférence de Rome, qui définira les bases politiques de la FE et harmonisera les différents états
- concernant ces bases politiques, nous proposons un modèle de république parlementaire fédéraliste (modèle allemand modifié) : une présidence représentative élue par les 183 millions de citoyens européens, un Parlement bicaméral (la Chambre des Députés (320 sièges, 10 par NUTS 1) pour gérer les affaires fédérales et le Sénat (475 sièges, 5 par NUTS 2) pour gérer les affaires plus locales) élu aussi au scrutin direct universel proportionnel plurinominal (c'est de ce Parlement qu'émanerait le Chancelier européen (chef de l'exécutif) et son Gouvernement qui doit comporter au moins un Ministre de chaque pays) et un pouvoir judiciaire totalement indépendant
- concernant l'harmonisation, nous proposons une économie et des finances libérales d'austérité, un modèle social nordique et un système judiciaire beaucoup plus sévère que celui danois par exemple
- lancement des premières élections générales (présidentielles, législatives, locales et municipales)
- élection des dirigeants, dissolution de l'Assemblée Constituante Européenne
- fin de la phase transitoire, la Fédération Européenne est une nation comme les autres
Dernière édition par Alaminsk le Mar 29 Oct 2013 - 22:23, édité 1 fois
Alaminsk- Grand Consul
- Messages : 2826
Date d'inscription : 17/09/2011
Age : 28
Localisation : Paris, France.
Re: [Sommet] Conférence de Rome [Création de la République Fédérale Européenne]
République Française
La France soutient partiellement cette proposition. Paris espère que les aspects économiques de l'UE ne seront pas atteints négativement par cette fédération. Si ce n'est pas le cas, la France s'alignera économiquement sur la Fédération afin d'amener stabilité et prospérité à l'Europe.
Néanmoins, la France restera indépendante.
Gungauss- Chef de Département des Nations Unies
- Messages : 3466
Date d'inscription : 16/10/2011
Localisation : A bord du R95
Re: [Sommet] Conférence de Rome [Création de la République Fédérale Européenne]
Monarchie Constitutionnelle de Suède
La Suède pointe du doigt le choix d'économie d'austérité et surtout le choix d'un système judiciaire sévère. La Suède, un pays, où les "prisons" sont des centres d'aides aux personnes qui en ont besoins (appelé chez vous "criminels" ) ne peux cautionner ce choix.
Hanabix- Haut Commissaire
- Messages : 132
Date d'inscription : 21/10/2013
Re: [Sommet] Conférence de Rome [Création de la République Fédérale Européenne]
République Fédérale d'Allemagne
La Suède n'est guère concernée et n'a donc pas à entrer dans le débat.
Le système judiciaire sera ferme et juste. Nous n'appliqueront pas de politique laxiste lorsque les citoyens vivent dans l'insécurité. La Suède étant un pays relativement calme, elle n'a pas à effectuer de quelconque comparaison.
Nous souhaitons néanmoins attendre la formation du gouvernement avant de dicter la politique économique à suivre. Nous rajouterions aussi que le modèle fédéral devra se référer au découpage administratif actuel de chaque état concerné, et en aucun cas considérer les Etats actuels comme découpage territorial supplémentaire aux régions.
La Suède n'est guère concernée et n'a donc pas à entrer dans le débat.
Le système judiciaire sera ferme et juste. Nous n'appliqueront pas de politique laxiste lorsque les citoyens vivent dans l'insécurité. La Suède étant un pays relativement calme, elle n'a pas à effectuer de quelconque comparaison.
Nous souhaitons néanmoins attendre la formation du gouvernement avant de dicter la politique économique à suivre. Nous rajouterions aussi que le modèle fédéral devra se référer au découpage administratif actuel de chaque état concerné, et en aucun cas considérer les Etats actuels comme découpage territorial supplémentaire aux régions.
Dernière édition par Skavian le Lun 28 Oct 2013 - 21:55, édité 1 fois
Eindes- Premier Ministre
- Messages : 1408
Date d'inscription : 15/04/2012
Re: [Sommet] Conférence de Rome [Création de la République Fédérale Européenne]
¤¤¤ Formation de la Fédération Européenne ¤¤¤
¤ Cyan : Membres de la Fédération Européenne.
¤ Orange : Joueurs invités à Rome
¤ Violet : Joueurs non invités à Rome.
¤ Rouge : Membres de l'Union non invités souhaiter adherer à le FE
¤ Olive : Attendant la positions des joueurs.
¤ Marron : Rejetés du Projet.
¤ Cyan : Membres de la Fédération Européenne.
¤ Orange : Joueurs invités à Rome
¤ Violet : Joueurs non invités à Rome.
¤ Rouge : Membres de l'Union non invités souhaiter adherer à le FE
¤ Olive : Attendant la positions des joueurs.
¤ Marron : Rejetés du Projet.
Les pays du Benelux ; C'est à dire les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg acceptent la proposition fait si dessus, elles demandent un délai allant de 1 ans pour le Luxembourg à 3 ans pour le Pays-Bas afin d'adopter des réformes administratives ayant pour but de faciliter la création européenne.
L'Autriche intégrera le Fédération Européenne, le référendum s'est en effet montrer favorable au fédéralisme. Le Danemark fera de même.
Le République Tchèque, Malte ainsi que la Slovaquie demandent d'être intégrer au plus vite à la Fédération Européenne.
Les Pays Baltes souhaitent faire partie de la Fédération, mais attendent la position polonaise.
Quant aux autres membres de l'Union Européenne (PNJ), ils sonnent l'alarme, cette proposition risque de détruire harmonisation du continent européen, à moins que Bruxelles ne distribue des aides sociales afin de ramener les nations en retard à la moyenne occidentale.
Dernière édition par Aetius le Lun 28 Oct 2013 - 21:58, édité 1 fois
Aetius- L'Alexandre du Nord
- Messages : 2085
Date d'inscription : 03/09/2012
Age : 83
Re: [Sommet] Conférence de Rome [Création de la République Fédérale Européenne]
¤ Repubblica italiana ¤
¤ Affaires externes - Diplomatie Officielle ¤................Le Président du Conseil italien, Carlo Scognamiglio Pasini, assure à la France que les aspects bénéfiques de l'Union Européenne, notamment la politique agricole commune qui permit d'améliorer grandement la vie quotidienne des agriculteurs européens ainsi que de développement ceux des nouveaux pays membres. Toutefois, il est clair que si la Fédération Européenne est mise en place, l'Union Européenne va devoir se réformer aussi bien sur ses institutions politiques qu'économiques pour rendre cette organisation, malmenée depuis la crise de 2007, plus viable. Quant aux déclarations de la Suède, il est clair que les systèmes juridiques et carcéraux sont différents entre les nations nordiques et celles du sud mais il faut considérer un point essentiel oublié par votre Gouvernement : les problèmes qui nous impactent. Vous n'avez pas à gérer, par exemple, la mafia sicilienne et si tel était le cas, votre système d'emprisonnement ne permettrait pas de contrôler des criminels qui réitéraient leurs méfaits une fois sorti de prison. C'est pourquoi dans un pays aussi "calme" que le votre, nous applaudissons vos manières de faire mais dans le notre, le crime organisé ne peut laisser la place qu'à la répression, d'où notre motivation d'apporter une certaine sévérité au sein de la Fédération.
................Concernant la réponse des nations membres de l'Union Européenne, le Président du Conseil italien réagit immédiatement : tous les pays invités à la Conférence de Rome répondirent favorablement à notre proposition. Ainsi, l'Allemagne, l'Autriche, le Danemark et le Benelux rejoignent le projet de Fédération Européenne. Quant aux autres pays, différentes réactions vinrent : la République Tchèque, la Slovaquie et Malte veulent faire partie de cette nouvelle famille. L'Italie s'est exprimée pour l'entrée de Malte mais contre les demandes tchèque et slovaque dû au retard économique certain mais surtout à cause du fait que la Tchéquie n'a pas adopté l'euro comme monnaie. Les pays baltes ont fait le même vœu mais attendent la réaction polonaise. Certaines populations, comme la France ou le Royaume-Uni, sont profondément contre la Fédération. Enfin, les autres pays de l'Union Européenne et notamment ceux des Balkans ont peur que les aides européennes soient coupées; principe qu'a infirmé le Président du Conseil italien.Ainsi, suite aux différentes contre-propositions faites par les pays prêts et capables à intégrer la Fédération Européenne, le texte final du Second Traité de Rome fut publié et ratifié par l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, le Danemark l'Italie, le Luxembourg, Malte et les Pays-Bas.¤ Second Traité de Rome, adopté le 15 décembre 2014 ¤- dissolution des entités étatiques allemandes, autrichiennes, belges, danoises, italiennes, luxembourgeoises, maltaises et néerlandaises.
Clauses du STR
- formation de la République Fédérale Européenne, avec pour capitale Vienne, pour monnaie l'euro, pour langue véhiculaire l'anglais, pour langues vernaculaires l'allemand, le danois, le français, l'italien, le maltais et le néerlandais, pour devise "Unité, Progrès, Justice" et pour hymne "Te Deum".
- la République Fédérale Européenne, issue de la fusion totale des Etats suivants : l’Allemagne, l’Italie, l’Autriche, Malte, le Danemark, les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg forment la 3ème puissance économique mondiale. Il s’agit du premier exportateur mondial, très loin devant la Chine et les Etats-Unis, mais regroupe également les principaux moteurs de l’Union Européenne. Les principaux points économiques à aborder pour que la nouvelle République puisse prospérer se résume à l’harmonisation. L’harmonisation fiscale, l’harmonisation sociale ou encore l’harmonisation régalienne. Par chance, les anciens Etats aujourd’hui regroupés appliquaient des taux d’impositions assez similaires. Cependant, la question demeure complexe, notamment concernant la fiscalité appliquée sur les ménages. La course au moins-disant fiscal en Europe a conduit généralement à une facture salée pour les consommateurs, mais certains Etats comme Malte continuent d’appliquer une fiscalité équitable, à savoir 35% pour les ménages et 35% pour les entreprises, alors que dans toutes les autres nations, elle est déséquilibrée avec un écart de 20 à 25% toujours en faveur des entrepreneurs. Si la République Fédérale sera en mesure d’harmoniser la fiscalité pour 183 millions de citoyens, soit une énorme partie de la population de l’Union Européenne, le débat devra être élargi à toute l’Union, car l’Europe du dumping fiscal est un fait persistant et obstacle à la cohésion des nations entre elles. Les pays de l’Est sont les champions de la défiscalisation, avec des taux avoisinant respectivement les 16% et 10% pour la Roumanie et la Bulgarie. Cela étant, l’Union Européenne devra d’abord travailler à l’effacement du dumping fiscal avec l’Espagne, la France, le Royaume-Uni, la Suède, la Finlande et la Fédération Européenne quasi exclusivement car il est évident que pour les partenaires orientaux, la fiscalité est un des moyens leur permettant d’assurer une attractivité aux investissements étrangers assez similaire à celle des Occidentaux. Dans un deuxième point, la Fédération Européenne va fortement profiter à la relance de l’activité économique. Avec une dette plafonnant à 92%, elle reste encore loin des 120% fatidiques qui conduisent généralement à une crise d’endettement. L’Italie est donc sauvée et le gouvernement fédéral va s’empresser de réanimer le formidable potentiel industriel de ce qui deviendra les régions italiennes de la Fédération. Le modèle suisse a été globalement calqué en réintégrant la Commission pour la Technologie, l’Exportation et l’Innovation, déjà présentée par le gouvernement allemand. Son importance va être doublée dans la mesure où elle devra coordonner des entreprises encore bien plus nombreuses. Si une entreprise née de deux plus petites se voit toujours renforcée, cela également vrai à l’échelle étatique. En effet, toutes les innovations cumulées par le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Danemark, l’Italie et Malte, qui servait autrefois à chaque nation d’un atout compétitif par rapport à sa voisine, vont cette fois être partagées au sein de toute la République Fédérale, promettant l’avenir de championne mondiale de l’innovation. En effet, la République Fédérale Européenne est désormais en mesure d’aligner un budget supérieur au Japon et équivalent aux Etats-Unis. Cette toute puissance budgétaire consacrée uniquement à la R&D s’explique notamment par le fait que la Fédération Européenne regroupe des nations dégageant pour la majorité des excédents commerciaux, à l’image de l’Allemagne, mais également des Pays-Bas et de l’Italie. Les entreprises étaient donc pour la plus part confortée par un climat d’investissement favorable, et continuaient ainsi sans relâche à investir dans des moyens de productions plus efficaces, dans la R&D mais aussi dans l’élargissement du capital productif. Cette situation n’a pas toujours été vraie, notamment avec l’aggravement de la situation au Sud de l’Italie et la crise de la zone euro, cependant l’excédent commercial de la République Fédérale Européenne démontre qu’elle possède encore des industries fortes et compétitives, tirées principalement par l’innovation.
Cela étant, tout est loin d’être rose. La République Fédérale Européenne doit travailler à maintenir un budget équilibré et se doit de suivre une relative politique de rigueur pour éviter la crise de la dette. Un premier accord a été signé portant sur le fait que les liquidités perçues grâce aux excédents commerciaux qui jusque-là existaient sous forme d’épargne détenue à l’étranger soient réinjectés dans l’économie, dans les pôles d’innovation et de compétitivité bien sûr, mais aussi dans les régions plus défavorisées : les Länder est-allemands par exemple, la Wallonie, mais aussi le Mezzogiorno et la Sicile. Jusqu’ici, l’Allemagne par exemple, a placé plus de 4'000 milliards d’euros, principalement en zone euro, au Royaume-Uni mais aussi en Amérique et en Asie. Ce choix de replacement des liquidités est d’autant plus évident que la tendance serait à dévaluer quelque peu l’euro afin de donner un nouveau souffle à l’économie du Vieux Continent, alors que l’épargne allemande risquerait en effet d’être doucement grignotée. Cependant, l’accord précise que l’épargne au sein de l’Union Européenne devra globalement être maintenue, car les exportations de la Fédération Européenne sont assez concentrées sur le « jardin européen » et il paraît en ce sens évident que les partenaires commerciaux principaux de la Fédération Européenne doivent être en possession d’un maximum de possibilités de financement.
- le fonctionnement du système politique européen est régi par une nouvelle Constitution appelée "Constitution Fédérale". Les anciens pays forment la République Fédérale Européenne, pays composé de 33 états égaux, dont la capitale fédérale est Vienne. Elle est organisée selon le principe de séparation des pouvoirs et d'une démocratie à régime parlementaire. Ces 33 entités disposent de grandes libertés dans plusieurs domaines dont la police, l'éducation, l'environnement, l'urbanisme (sauf grands projets fédéraux) ou l'aide sociale, mais aucune dans les affaires qui concernent l'ensemble du pays (grands projets, énergie, défense, ...). Pour gérer ces états, des Conseils Fédéraux de 70 membres élus tous les 5 ans au scrutin direct universel proportionnel plurinominal sont charger de l'administration. Le chef de l’État, le Président de la République, est élu au scrutin direct universel proportionnel plurinominal pour 5 ans. Même s'il ne possède que peu de pouvoirs, il est essentiel au système politique de la République. Il choisit le Chancelier parmi les députés du Congrès qui doit être confirmé par ce dernier. Le Président approuve ou refuse toute loi adoptée par le Parlement. Il peut le dissoudre si une crise politique a lieu et il peut destituer à tout moment le Chancelier de sa fonction. Ce dernier exerce donc l'essentiel du pouvoir exécutif. Il est généralement le leader du parti politique victorieux des élections générales et il est confirmé à la majorité absolue des membres du Parlement. Il fixe les grandes orientations de la politique européenne et il constitue son gouvernent. Le Chancelier et son Gouvernement proposent des lois ou des réformes de la Constitution au Parlement qui les confirme ou non. Il possède aussi un certain nombre de pouvoirs : demander, avec l'accord du Parlement et du Président, l'entrée en guerre du pays, organiser un référendum, etc ... Le pouvoir législatif est exercé par le Parlement qui est constitué du Congrès (chambre basse) et du Sénat (chambre haute). Il est renouvelé tous les 5 ans. Le Congrès est composé de 330 députés (10 par état) élus au scrutin direct universel proportionnel plurinominal. Il exerce, en coopération avec le Sénat, le pouvoir législatif. Il confirme ou non le Chancelier et son Gouvernement lui est responsable. Le Sénat est composé de 165 sénateurs (5 par état) élus au suffrage universel indirect (par les Grands Électeurs de la Fédération). Ils débattent des projets inter-états de la Fédération et il examinent, après le Congrès, les lois proposées par le Gouvernement. Quant au pouvoir judiciaire, sa plus haute instance et le Tribunal Constitutionnel Fédéral.
- les différentes forces armées sont fusionnées pour former les Forces Fédérales Européennes. La première branche est composée des Forces Européennes Terrestres de 220 000 hommes; la deuxième, les Forces Européennes Aériennes de 95 000 hommes; la troisième, les Forces Européennes Maritimes de 55 000 hommes. Les différents véhicules en faisant partie seront détaillés dans l'ambassade. Concernant les forces de police, elles sont divisées en trois principales unités : les FSO (ou Federal Security Office), lourdement armée et appelée pour les problèmes importants de sécurité, la FPO (Federal Police Office), moyennement armée et chargée de la sécurité quotidienne ainsi que de l'enquête, et la LPO (Local Police Office), faiblement armée et faisant office de police de proximité.
- concernant l'éducation et l'enseignement supérieur, il est calqué sur celui allemand. Ainsi, différents niveaux scolaires sont proposés, tandis que les universités sont en coopération continue avec les entreprises. Des universités fédérales sont créées dans les principales grandes villes mais surtout à Vienne où enseignent les professeurs les plus érudits. Le système fédéral permet aussi aux états de proposer des programmes différents, même si un socle commun est imposé par Vienne : par exemple, la population italienne apprend en premier lieu l'anglais et l'histoire européenne (socle commun) et en second lieu l'italien et l'histoire italienne (imposés par les Conseils Fédéraux).
- concernant le social, la Fédération Européenne suit une ligne politique claire : pour les grands problèmes, c'est l'intervention des instances fédérales; sinon, c'est le privé qui prend en charge. Pour la sécurité sociale, les injures sévères sont remboursées totalement par l’État, tandis que les petites sont laissées au système libéral et privé. Pour la justice, les petits crimes ne sont pas sévèrement punis car la compréhension est de mise; pour les grands crimes, la peine maximum qu'est la prison à perpétuité est appliquée sans concessions.
- la division territoriale suit la nomenclature des unités territoriales statistiques des niveaux un (états fédérés), deux (provinces) et trois (districts).
- Spoiler:
Le drapeau de la République Fédérale Européenne.
Alaminsk- Grand Consul
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Date d'inscription : 17/09/2011
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