[Conflit] Expansion de la Sphère de coprospérité de la grande Asie orientale.

L'heure est venue pour le Siam, Empire millénaire, de retrouver sa gloire passée, l'éléphant se réveil et ses défenses sont bien là.
Le temps de la passivité face à l'envahisseur occidentale est maintenant loin, la force est de notre coté.

Au soir du 16 Février, l'ambassadeur du Siam au Royaume-Uni se rendit au palais de Royale pour déposé en main propre la déclaration officialisant la guerre avant de partir en sifflotant.

Minutieusement préparé, les troupes attendaient déjà depuis plusieurs heures dans à quelques kilomètres de la Malaysie et de la Birmanie, une fois l'ordre donnée, des dizaines, voir des centaines de milliers d'hommes, accompagnés d'une armada mécanique commencèrent leur croisade.

1ère Partie de l'Opération:

Forces en Présence:

Spoiler:

Dans les airs, c'est une coalition cosmopolites de Messerchmitt, de Junkers et de Mitsubishi, qui dans sa toute splendeur fendait les cieux puis se divisant en divers bataillons proportionnelles partirent assurer l'avancée certaine de la grandiose armée Thai.
Au sol, la déferlante mécanique étais en continuel contact avec Bangkok grâce au ligne de communication récemment construire dans le pays. Des dizaines de camions de transports empruntaient les routes mal entretenus de Malaysie.
Le Royaume de Poséidon n'est pas délaissé, la flotte Royale du Siam, tout juste doté de plusieurs Destroyers partent pour Singapour, les radars au plus haut de leur forme, les sous-marins surveillant le convoi.

Bref, l'armée Royale avançait dans sa toute puissance dans la jungle équatoriale de la futur province de Malaysie Thai.
L'aube se levait, un parfum de force régnait dans l'air.

Aux alentours de 7 heure du matin, les différentes divisions d'aviations furent envoyés sur les différents bases du pays, on décompte de lourdes pertes du coté Britanniques, en effet, aucune troupe réelle n'étais positionné, ainsi qu'aucune défense moderne, du coté Thai, on dénombre seulement quelques blessures légéres.

Pertes Britanniques : -Totalité des bases du pays, toute nation comprises, totalité des systèmes anti-aérien.
Pertes Thailandaise : -5 appareils endommagés.

Les brefs villages de la Jungle n'apposait que peu de résistance, il suffisait simplement de tirs d'obus pour les amadouer de force, certes, mais une fois amadouer il n'opposait plus grande contrainte a la force mécanique de la sublime armée du pays des Elephants.
Il fallut attendre les villes de Kota Bharu et Alor Setar pour réellement avoir une opposition armée, les habitants ayant plus grande difficultés a accepter un tel renversement de situation, fort heureusement, la Marine étais déjà passé sur ses cités cotières, anéantissant la plupart des batiments importants, généralement placés près du port.
Malgré tout, les chars Panzer II durent usés de leurs obus pour anéantir plusieurs poches de résistances, tandis que les M/31, récemment armés de lance-flamme, se lancèrent dans un barbecue, par ailleurs un des officiers déclara avoir senti une forte odeur de porc grillé après l'arrivée des chars dans la préfecture britannique.
Avançant sans désespérer, la force en eux, les soldats au nom de leurs nations marchaient sur touts ennemis à la grande nation Thai, pays des libres, la liberté Thai se répandait sur le sol Malaysien.
Des scénarios similaires se reproduire ainsi tout au long de la journée, des vivres furent récupérés et bientôt des bases seront construites.

A la nuit tombé, l'état Major donna l'ordre d'un regroupement rapide vers la capitale, Kuala Lampur, qui une fois tombée, obligera la région a se rendre.
Un important dispositif fut orchéstré pour empêcher l'ennemi de s'échapper, comme auparavant, des éclaireurs aériens furent envoyés, une fois revenu, aucune déclaration important n'eut lieu, les défenses déjà anéantis précédemment, une salve de bombardiers fut envoyés pour démarrer le feu d'artifice.
S'en suit l'arrivée de la cavalerie, les char Panzer II furent les premiers a entrés dans la ville, , des troupes ayant été placés pendant toute la nuit sur les collines entourant la ville, les bombardement intensifs ayant obligés l'ennemi a battre retraite, ils ne trouvèrent aucun problème particulier.
Le soleil étais à son apogée, et l'armada se lancait, un bruit assourdissant emplissait la vallée, des dizaines d'avions survolaient la zone, tirant sans arrêts, bientôt les cadavres commencèrent a joncher le sol de Kuala Lampur, des immeubles effondrèrent, des troupes a motos firent bientôt leurs apparitions, circulant rapidement les rues étroites de la villes, ils effectuaient des tours de gardes dans les zones déjà sous contrôles.
A l'aube du troisième jour, la ville se rendait.
Un Ultimatum est lancé, maintenant que la capitale est tombée, c'est toute la Malaysie qui doit se rendre, sous peine de lourdes représailles humaines.

La moitié des forces patrouille dans la partie conquise, l'autre partie avance vers Singapour.


2eme Partie de l'Opération:

Forces en Présence:

Spoiler:

Au même moment, tout au long de la frontière Birmane, derrière les fortifications se trouvaient près de 200 000 soldats, près a vengé les pertes de 1909, tout comme en Malaysie, la haine créée par l'Empire Britannique se retourne contre lui et c'est toute une nation qui maintenant, profitant des événements va retrouver ses terres irrédentes.
Rangoon, ne se trouvant qu'a 200 km, un plan d'attaque rapide à été mis en place, une guerre éclair tvisant à emporter une victoire décisive par l'engagement localisé et limité dans le temps d'un puissant ensemble de forces mécanisées, terrestres et aériennes dans l'optique de frapper en profondeur la capacité militaire, économique de l'ennemi.

A l'instar du front Malaysien, des escadrons aériens décollèrent, cependant leurs butes n'étais seulement la neutralisation des bases sur les 400 km de la frontière, mais aussi tous les moyens de transports et de communications, coupant l'ennemi de renforts, une dizaine de bombardiers étant par ailleurs chargés de bombes incendaires pour donner un coup de moral à l'adversaire en les jetant aux alentours de Rangoon, enfermant la ville dans les flammes.
Dans la mer Adaman, le Croiseur lourd Tone accompagné des Destroyers Agano avancaient d'un ton décidé vers le golfe de Martaban, les sous-marins Type C, chargés des torpilles 93 ouvrant la route en partant anéstésier toute réplique marine de l'ennemi, la présence de sous-marins n'étant pas impossible.

La Chevauchée de la cavalerie rapide Thai pouvait donc débuter, des avions d'attaques au sol Junkers ouvrant la route, les Panzer II et M/31 défoncant les éventuels ennemis, les centaines de camions écrasant le sol Birman, les milliers de soldats marchant vacillement vers la Victoire.
En effet, un véritable désert aussi bien humain qu'environnemental séparant Rangoon et la Thailande, il ne fallut pas des années à l'armada pour arriver dans la plaine se trouvant dérrière le fleuve Irrawaddy, ce dernier en cet période d'arrivée de la Mousson étant particulièrement faible, il n'est pas été difficile de le franchir.
Parallèlement la flotte arrivaient dans le golfe de Martaban, aucun batiment ennemi à l'horizon, aussi bien sous et en dehors de l'eau.
Dés lors, la flotte dans l'incapacité de remonter le fleuve commença a patrouiller pour prévenir l'arrivée éventuelle de problèmes.

Nous voilà arrivée au moment fatidique, Rangoon encore largement endommagé par le tremblement de terre suivi d'un Tsunami du début des années 30, commençait a peine a se réveiller, et c'est alors qu'un incroyable incendie la surprend.
Au moment ou l'armée arriva, les forces Birmanes finissaient à peine à finir d'éteindre le résultat des bombes incendiaires, qu'arrivaient déjà au loin un immense nuage de poussière.
La population appeuré, croyant que les Dieux les avaient punis d'avoir pactisé avec les Britanniques pris les armes, l'armée Nationale Birmane étais né.
En réalité, c'est le résultat d'une coopération entre les partis indépendantistes Birmans et la Sphère de Copropriété qui a permit la création de ce mouvement.

Attaqué de l'intérieur et de l'extérieur, la ville bientôt assiéger ne pouvait pas résister, et c'est tout naturellement qu'après plusieurs combats, elle décida de se rendre pour éviter une trop grande effusion de sang. Dés lors une partie de l'armée en retrait, changea de cap, direction la péninsule de Malaysie, non pas pour rejoindre les troupes déjà en opération, mais pour reconquérir la partie Birmane de la région, délaissé par l'Empire Britannique, cette région forte de nombreux Thai se laissa faire sans problème.
Dés lors, le même Ultimatum est posé, la Birmanie doit se rendre.
Les forces patrouillents dans le pays, se ravitailles et consolide des fortifications.