Offensive française dans le Maine et en Alençonnais

Le 23 mai marque le début des opérations, Charles VII quitte Tours à la tête de 5 000 français et 1 000 angevins en direction d'Alençon accompagné du Duc d'Alençon, Jean II. Quelques jours avant des espions à la solde française avait chercher à rallier des loyalistes dans l'enceinte de la Cité espérant que celle-ci ouvre ses portes à la vu de son légitime possesseur. En outre, par cet manœuvre Charles VII cherche à diviser les forces anglaises entre les pillards du Maine et le contingent anglais à la solde de Montaigu.

Dans un même temps, les 3 000 écossais renforcés par 2 000 français, menés par John Stuart, Connétable de France s'engage dans le Maine s'opposant alors aux pillards anglais trainant dans un territoire encore non pacifié dont les places fortes de Laval, Mayenne et le Mans sont encore tenus par les loyalistes angevins. Il cherche ainsi à repousser l'ennemi tout en capturant de potentiels bandes éparses en s'appuyant sur le contrôle des places fortes.

Si l'opération à Alençon est un échec, l'Armée de Charles VII terminera de pacifier le Maine et Jean II accompagné de quelques hommes regagnera sa fortification de Fougères afin d'être restaurer dans sa seigneurie. Tandis que si c'est un succès, Charles pacifiera l'Alençonnais au profit de Jean II.

1° Théatre : Ralliement d'Alençon ;
Forces alliées :
5 000 français commandé par le Dauphin de France, Charles VII (présence de Jean II d'Alençon)
1 000 angevins commandé par un brave officier angevin.
Forces ennemis :
Armée de Montaigu ?

2° Théatre : Pacification du Maine ;
Forces alliées :
2 000 français commandé par un brave officier français.
3 000 écossais commandé par le Connétable de France, Jean Stuart
Forces ennemis :
Armée anglaise du Maine ?
Bandes armées anglaises ?

Une offensive de 6000 hommes est menée par le roi de France en direction d'Alençon, en réponse au raid infructueux mené par les troupes du comte Thomas Montaigu. Celui-ci, récemment nommé gouverneur a aujourd'hui la charge du ravitaillement et de l'organisation de la défense de cette région, et a l'usage de ses 700 hommes et des 1800 hommes de la couronne qui restent levés sous son contrôle et sont revenu de leur raid pour renforcer nos défenses contre l'attaque française. L'ordre est donné de garder des positions défensives et se préparer pour un siège long.

Pendant ce temps, John Talbot lève entre Paris et la Normandie une très importante force Anglaise. Ce sont 12 000 hommes qui marchent à la rencontre des troupes du Dauphin pour venir écraser l'offensive, en espérant arriver avant la prise d'Alençon.

Résolution des batailles du Maine

1° Théatre : Ralliement d'Alençon ;

Forces alliées :
5 000 français commandé par le Dauphin de France, Charles VII (présence de Jean II d'Alençon)
1 000 angevins commandé par un brave officier angevin.
Forces ennemis : 500 défenseurs dirigés par Thomas de Montaigu

Probabilité : 15%, jet : 67 ;

Charles VII se présente avec le duc légitime d'Alençon, espérant que la garnison se rende spontanément devant l'arrivée du Roi à la tête de 6000 hommes. Il trouve une forteresse fortement défendue et préparer à un long siège, où s'est retranché Thomas Montaigu après ses raids. Voyant que la défense d'Alençon est solidement assurée par des hommes anglais, le Dauphin décide de rebrousser chemin.


2° Théatre : Pacification du Maine ;

Forces alliées :
2 000 français commandé par un brave officier français.
3 000 écossais commandé par le Connétable de France, Jean Stuart

Forces ennemis :
Armée anglaise du Maine 1200 soldats
Bandes armées anglaises : 2800 pillards

Les forces françaises et écossaises en surnombre progressent rapidement avec confiance dans leur offensive sur les territoires contrôlés par les Anglais. Ils sont surpris par une importante force anglaise de 4000 hommes qui déboulent des collines du Maine. Sous l'effet de surprise, les anglais paraissent plus nombreux, et les forces françaises battent en retraite après un bref engagement. Dans la débandade, 700 soldats français et 1000 soldats écossais sont tués par les pillards anglais qui ne perdent que 400 soldats. Un echec cuisant pour l'offensive française dans l'ouest de la france.