Affaire Sixte

Alors que la disette et les poussés indépendantistes des slaves de l'Empire minent l'Autriche-Hongrie, et que la situation militaire est complétement enlisé pour en Istrie, en Grèce et en Russie, qui malgré sa révolution, reste combattive, Charles 1er pense, et il a beaucoup de temps pour penser puisque ses prérogatives sont partiellement aux main du IIe Reich, à une sortie de la guerre rapide pour sauver l’intégrité des terres de sa dynastie.
C'est par ce biais anachronique (et à vrai dire peu crédible) qu'il veut voir la paix. Il contacte son beau frère, Sixte de Bourbon-Parme officier belge, et donc de l’Entente, par le biais de sa belle mère suisse qui délivre personnellement sa lettre. Dans sa lettre, après les prévisibles platitudes sur la nécessité de la paix, il demande la possibilité de pourparlers.
Les concessions qu'il peut faire sont la cession à l'Italie du Trentin et de l'Istrie, ainsi que retour aux frontières de 1914 dans les Balkans. Sans consulter les allemands, il mentionne aussi l'Alsace-Moselle à rétrocéder aux français, ainsi que la restitution du territoire belge à l'ouest. Il reste vague en Orient et en Russie, ne savant pas interpréter ni les intrigues de palais ottomans, ni la situation révolutionnaire en Russie.