[Accepté] République Roumanie
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[Accepté] République Roumanie
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Dernière édition par Blanvaro le Jeu 26 Sep 2013 - 10:08, édité 70 fois
Invité- Invité
Re: [Accepté] République Roumanie
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Gosseau- Secrétaire général des Nations Unies
- Messages : 4375
Date d'inscription : 22/08/2011
Affaire International et Intérieur.
- Politique intérieur:
- Face à la rue, Bucarest recule sur le projet de mine d'or géante des Carpates.
Après des jours de contestation, les "Indignés" ont fait céder le gouvernement. Le premier ministre roumain, Victor Ponta, a annoncé lundi 9 septembre qu'il retirait son soutien au projet de mine d'or de Rosia Montana. Depuis une semaine, sur la place de l'Université de Bucarest, théâtre de la révolution contre la dictature de Ceausescu il y a 24 ans, des foules s'y pressaient jour et nuit pour protester contre ce projet d'exploitation minière d'une compagnie canadienne en Transylvanie. La plus grande mine à ciel ouvert d'Europe.
Dimanche, le mouvement avait gagné les principales villes roumaines. Quelque 15 000 personnes avaient défilé aux quatre coins du pays pour demander l'abandon du projet. A Bucarest, environ 6 000 protestataires, beaucoup de jeunes, étudiants, lycéens, ingénieurs, artistes, entrepreneurs, de sensibilités très différentes, avaient pris d'assaut le centre de la capitale pour exprimer leur colère.
C'est à la fin des années 1990, que la compagnie canadienne Gabriel Resources, cotée à la Bourse de Toronto, a découvert, à Rosia Montana, petit village au coeur des Carpates, le plus gros gisement d'or en Europe. La compagnie affirme pouvoir y extraire chaque année des quantités d'or et d'argent qui dépasseraient la production de tous les pays de l'Union européenne. "Nous comptons sur une réserve de 314 tonnes d'or et de 1 480 tonnes...
- Social:
- La Roumanie, le pays où les retraités sont plus nombreux que les salariés
La crise, l'exode des travailleurs et la désindustrialisation de la Roumanie ont fait chuter le nombre de salariés alors que le vieillissement de la population se poursuit.
Avec davantage de retraités que de salariés, la Roumanie est "une anomalie économique". C'est ce qu'assure, mardi 27 août dans une longue analyse, le quotidien économique roumain Ziarul Financiar (article payant, en anglais).
En vingt ans, le nombre de salariés a été quasiment divisé par deux. En 1990, la Roumanie comptait 8,1 millions de salariés et 3,5 millions de retraités, indique le quotidien. Mais en 2012, il n'y avait plus que 4,3 millions de salariés pour 5,3 millions de retraités dans le pays. "Si le rythme actuel se poursuit, en moins de dix ans, la Roumanie ne pourra plus payer les retraites", estime le professeur Mircea Costea, qui réclame une stratégie nationale à long terme pour créer des emplois.
Récession brutale et exode
Comment expliquer cette "anomalie" ? Avec l'entrée dans l'économie de marché, la Roumanie a vu le nombre de ses emplois industriels brutalement chuter. L'un des plus grand combinats sidérurgiques du pays qui comptait encore 27 000 employés à la fin des années 1990, devenu propriété d'ArcelorMittal, ne compte plus aujourd'hui qu'un peu moins de 8 000 employés. Le quotidien de référence note également que la récession enregistrée en 2009 et 2010 a fait disparaître des centaines de milliers d'emplois qui n'ont pas été recréés malgré le retour à la croissance.
Le nombre de demandeurs d'emploi est d'ailleurs en hausse constante, à 7,6% de la population active en juin 2013 contre 6,7% en décembre 2012. Lundi 26 août, le président roumain de centre droit, Traian Basescu, a d'ailleurs mis en garde contre une montée du chômage.
Une désindustrialisation massive depuis la chute du communisme, en 1989, combinée à la crise, a par ailleurs amené de nombreux Roumains a émigrer pour trouver un emploi. Depuis l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne en 2007, c'est près de 2 millions de personnes qui ont quitté le pays pour aller travailler à l'étranger.
- Industrie:
- Le point sur l’industrie automobile en Roumanie,
Le secteur automobile occupe une place centrale dans l’économie et le commerce extérieur de la Roumanie, grâce aux investissements étrangers et à la modernisation de l’industrie.
L’industrie automobile est le premier secteur exportateur et le principal moteur de la croissance économique du pays. Elle représente environ 8% du PIB et emploie 60 000 personnes directement et 500 000 autres indirectement. Les véhicules de transport représentent 15 % des exportations. En 2012, la Roumanie a exporté 330 942 véhicules (+ 8,5 %), dont près de 300 000 modèles Dacia.
Fortement orienté à l’exportation, le secteur automobile roumain a poursuivi sa croissance pendant les années de crise, alors que le marché local a fortement décliné depuis 2008. Malgré le ralentissement des ventes, la Roumanie reste toutefois un pays à fort potentiel de croissance pour les constructeurs. Le parc automobile roumain ne compte en effet que 4,5 millions de véhicules pour une population de 19 millions d’habitants, soit un ratio de 0,23 voiture par habitant qui place le pays en queue de peloton dans l’Union européenne. L’âge moyen du parc est de 14 ans, le plus élevé d’Europe. Plus de 3 millions de véhicules en circulation sont âgés de plus de 10 ans.
Le marché automobile roumain a connu une forte croissance dans les années 2000. Il est passé de 112 000 unités en 2002 à plus de 300 000 unités en 2007 et en 2008, mais les ventes ont chuté dans les années suivantes. L’an dernier, il ne s’est vendu que 87 000 véhicules, dont 72 179 voitures. Le constructeur local Dacia, filiale de Renault, est le leader incontesté sur ce segment du marché, avec une pénétration de 27,5 % en 2012.
L’industrie automobile roumaine s’est réorganisée autour des deux pôles historiques, passés sous pavillon étranger : l’usine de Mioveni (près de Pitesti), reprise par Renault en 1999, et l’usine de Craiova, reprise par Daewoo en 1994 puis par Ford en 2008. Les relations avec les deux constructeurs ne sont pas récentes : Ford avait en effet ouvert une usine d’assemblage à Bucarest dès 1935, tandis que la collaboration entre Renault et Dacia a débuté dans les années 1960.
- Politique Extérieur:
- Roumanie – Syrie : entre politique étrangère et enjeux électoraux
La scène politique roumaine s’échauffe, et les déclarations se succèdent les unes après les autres. Néanmoins, il est de plus en plus difficile de comprendre qui à la tête du pays est en charge de la politique étrangère : le président Traian Băsescu – ce qui serait tout naturel – ou le ministre des Affaires étrangères, Titus Corlățean – ce qui semble être davantage le cas. Les députés du parlement national semblent quant à eux être plus préoccupés par les débats politiques intérieurs que par les problèmes de politique étrangère.
Essayons de décrypter les subtilités de la politique étrangère actuelle de la Roumanie. Il y a tout d’abord pour l’opinion publique roumaine la douloureuse question des relations avec la Hongrie. De Bucarest, on suit avec une inquiétude croissante les dernières déclarations de Budapest sur la Transylvanie. C’est pourquoi la cinglante réplique du président Băsescu, qui a qualifié la Hongrie de « foyer d’instabilité dans la région», n’a pas fait l’effet d’une surprise. Tout comme d’ailleurs sa promesse de laisser son pays assumer la responsabilité de remettre Budapest à sa place. Ce n’est plus un secret de dire que les différends roumano-hongrois sont depuis longtemps un casse-tête pour les organisations dont les deux Etats sont membres (OTAN et UE), ainsi que l’a rappelé au micro de La Voix de la Russie Boris Shmelev, directeur du Centre de politique étrangère de l’Académie des sciences de Russie :
« Bien sûr, Bruxelles et l’OTAN influencent les gouvernements hongrois et roumains, et essaient de les empêcher de prendre des décisions excessivement dures l’un envers l’autre. Mais il est impossible d’inverser ce processus. Les adhésions à l’OTAN et à l’UE n’ont pas permis et ne peuvent permettre une véritable normalisation des relations bilatérales. Elles n’ont pas permis d’éliminer les divergences historiques existant entre la Hongrie et la Roumanie. Dans l’immédiat, il ne sera pas possible d’éliminer ces divergences, nous allons assister à un renforcement de la confrontation entre ces deux pays, et nous ne pourrons qu’observer les efforts de Bruxelles pour trouver auprès des pays d’Europe occidentale des soutiens pour que la situation reste sous contrôle. Mais ce sera difficile. »
Il est clair que les paroles du président roumain ont soulevé l’indignation en Hongrie. Cependant, le ministre des Affaires étrangères de Roumanie, Corlățean lui-même, s’est retrouvé parmi les critiques de Băsescu. Pour lui, ce n’est pas la politique hongroise qui fait problème mais Băsescu. « Les déclarations du président sur le fait que la Roumanie assume la responsabilité de faire pression sur Budapest créent un problème dangereux dans les relations internationales », a déclaré le chef de la diplomatie roumaine. Il a même souligné que d’après lui, la position officielle de Budapest sur le dossier transylvanien était tout à fait équilibrée.
Même si l’on tient compte des particularités de la lutte politique intérieure en Roumanie, la situation frise l’absurde. Elle ne renforce pas la crédibilité du pays sur la scène internationale qui, même sans cela, demeure faible. Vladislav Belov de l’Institut Européen de l’Académie des sciences de Russie a rappelé les demandes répétées, mais vaines, des autorités roumaines auprès de l’UE (en partenariat avec son voisin bulgare) pour obtenir l’accord d’être rattachées à l’espace Schengen. Rien n’y fait, pas même les mises en demeure visant à « faire pression » sur les Pays-Bas, qui tiennent sur ce point la position la plus intransigeante.
Dans un interview le Président Roumain et prêt a quitte l'Europe et l'OTAN pour aller avoir a lieur, on parle déjà un rapprochement avec le Russie et son voisin Ukrainienne.
« La demande roumaine est pleinement réelle. Mais quoi qu’il en soit, elle ne sera pas réglée par la partie roumaine. Si les Pays-Bas ont opposé leur veto à la demande roumaine, cela signifie qu’ils ont toutes les raisons de le faire, comme dans le cas de la Bulgarie. Ces deux pays, pour le moment, ne remplissent tout simplement pas les exigences portant sur les frontières internes et externes pour entrer dans l’espace Schengen.»
Cependant, le problème ne porte pas seulement sur l’espace Schengen ou les désaccords entre Băsescu et Corlăţean. Le président roumain ne peut nullement se défaire de son image d’intransigeant, sur au moins une autre question importante pour le pays, celle du Kosovo.
La Roumanie s’est déclarée catégoriquement opposée à reconnaître l’indépendance su Kosovo. Depuis lors, Traian Băsescu a réaffirmé à plusieurs reprises cette position, la qualifiant de « fondamentale ». En septembre 2009, le président roumain a souligné que « le redécoupage des frontières est inacceptable quel que soit l’explication qui lui est donnée ».
C’est dans ce contexte qu’il a été signalé que la Roumanie était prête à soutenir des frappes militaires contre la Syrie sans mandat de l’ONU. Selon les informations provenant du ministère des Affaires étrangères français que cite le portail RTL.be, Bucarest se retrouve en très intéressante compagnie.
Les problèmes économiques et la dépendance financière à l’égard de l’UE et du FMI privent pratiquement de toute politique étrangère indépendante. La présence de la Roumanie parmi ces « faucons » de la question syrienne parait étrange, surtout quand on considère le caractère délicat de la position de Bucarest sur les questions plus régionales telles que la Transylvanie, la Transnistrie ou le Kosovo. Il apparaît ainsi que quand il s’agit de préserver l’intégrité territoriale en Europe, l’avis de l’ONU compte pour Bucarest. Mais le regard des Nations Unies ne compte déjà plus vraiment quand il est question de la Syrie.
Par ailleurs, ni la Hongrie, ni la Bulgarie, ni les autres voisins de la Roumanie ne se pressent de prendre position sur un règlement militaire du problème syrien.
Tentant d’expliquer la situation actuelle en Roumanie, Titus Corlățean a déclaré très raisonnablement que « les hommes politiques utilisent les périodes de tension pour récolter des points aux élections». Il est difficile de trouver à redire à cela. Il est seulement à souhaiter que ces « périodes de tension » lourdes de décisions irréfléchies et contradictoires sur la scène internationale ne s’éternisent pas indéfiniment, et que l’on réussisse à éviter toutes conséquences tragiques et irréversibles
La Roumanie pourrait intervenir au coté des Russes en Syrie et sans l'Europe
Invité- Invité
Diplomatie internationale - Le 12/09/2013
- La fin d'un rêve:
- La Roumanie quittait l’Union européenne et l'OTAN ?
référendum en Roumanie.
La fragmentation géographique des marchés financiers internationaux consécutive à la crise de 2008 est déjà une menace existentielle pour la Roumanie.
Mais pour nombre de spécialistes, si le Roumanie décidait de quitter l’Union européenne à l’occasion du référendum qu’a promis le Président Roumain avant la fin de la semaine.
« Ceci conduirait à des révisions stratégiques chez les grands acteurs, en particulier ceux qui n’ont pas aujourd’hui d’implantation significative en zone euro »
Le caractère de plus en plus satellite de la Roumanie en Europe a déjà donné lieu à un bras de fer porté devant la Cour européenne de justice entre les autorités européennes et les autorités Roumain. Bucarest se plaint que la BCE ne veuille fournir des liquidités pour les transactions de produits dérivés en euros qu’aux chambres de compensation localisées en zone euro.
« Or, si Francfort impose la compensation des dérivés en euros dans la zone euro, les acteurs de ce marché se déplaceront
progressivement vers des centres européens »
- Relations Russie-Roumanie :
- Le président Traian Basescu a remercié l'invitation à visiter la Russie.
''J'ai la conviction que les fondements du nouveau type de relations Roumain et Russie on été posés à l'occasion de ma visite à Moscou"
A précisé Traian Basescu
la Roumanie est le pays qui a le moins de contacts avec la Russie.
« Mais le climat politique est en train de changer. Nos partenaires roumains sont intéressés à l'amélioration des relations, l’intensification du dialogue sur les questions positives actuelles. Une approche pragmatique du développement des relations bilatérales, sans préjugés ni stéréotypes qui répondent aux intérêts des deux pays, auraient pu donner une nouvelle impulsion à la coopération russo-roumaine dans tous les domaines. C’est une approche d’avenir. L’accord-cadre politique russo-roumain aura 10 ans cette année, et en 2013 nous célébrons le 135e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre nos deux pays. C’est une bonne occasion d’analyser ensemble ce qui a été fait et ce qu’il reste à faire ».
Crise Moldave
Dans ce contexte, il est difficile d'ignorer la question de la Moldavie, qui traverse actuellement une crise politique aiguë. L’UE et les Etats-Unis se sont déjà immiscés dans cette crise, et les hommes politiques roumains ont également leurs propres exigences.
Les projets gaziers européens. Mais nous sommes convaincus que la coopération russo-roumaine dans la sphère énergétique recèle un large potentiel de développement. L’intérêt mutuel dans ce domaine a été confirmé lors de la dernière réunion de la Commission intergouvernementale sur la coopération économique, scientifique et technique entre les deux pays, qui a eu lieu à Bucarest », analyse Andreï Maslov.
Et on peut juger de l’intérêt de l'opinion publique roumaine pour les informations arrivant de Moscou par la fréquentation du site de La Voix de la Russie, auquel le président roumain Traian Basescu a même accordé un entretien. La popularité de La Voix de la Russie en Roumanie a été évoquée par l'Ambassadeur de Russie en Roumanie Oleg Malguinov sur le site Romania Libera.
- Lancement du laser le plus puissant du monde en Roumanie:
C'est un projet dont la Roumanie n'est pas peu fière, à savoir le lancement d'un site de recherche scientifique devant abriter le laser le plus puissant du monde. Son coup d'envoi a été donné en grande pompe la compagnie du premier ministre roumain, Victor Ponta, chargé de la politique régionale
"C'est donc important non seulement pour la Roumanie mais aussi pour l'Europe dans son ensemble du monde"
Il "entraînera la création d'emplois, pas seulement dans la recherche (...) et contribuera à lutter contre l'exode des cerveaux" dans la région, s'est-il félicité.
le projet a bénéficié d'importants fonds, d'un montant total de 150 millions d'euros, et aura pour but de fournir aux scientifiques, ingénieurs et médecins les puissances laser les plus élevées, équivalentes à 100000 fois la puissance produite par toutes les installations fournissant de l'électricité sur Terre, selon le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), qui a coordonné la phase préparatoire.
- Commande Militaire:
- A la fin de l'entretien le président Roumain et Russe on signer une coopération entres les deux pays.
Les deux pays étaient parvenus à des accords sur l’achat de chars blindés et de missiles anti-aériens russes avec un crédit russe de 2,2 milliards de dollars américains.
Le président Roumain parfaitement conscient de la réalité des menaces et des risques estime indispensable d’avoir un équipement afin d’enpecher des avions étrangers de penétrer le ciel Roumain. A ce jour le Roumanie est déja en possession de 24 avions de guerre ainsi que de plusieurs hélicoptères russe. A souligner la Roumanie a déboursé plus de trois milliards de dollars afin d’acquérir un équipement militaire russe. La Roumanie a étudie actuellement l’achat de missiles anti-aériens Antey 2500, Buk M2 et Pechora, ainsi que des missiles sol-air S-300 et des chars blindés 92 T-72.
- Soukhoï Su-35 - 30
- Antey 2500 - 10
- Buk M2 - 5
- Pechora - 5
- S-300 - 15
- 92 T-72
Dernière édition par Blanvaro le Ven 13 Sep 2013 - 19:03, édité 1 fois
Invité- Invité
Négociation Roumanie / Serbie-Ukraine
- Négociation Roumanie/Serbie:
En matière d’énergie, la Serbie a effectué des aménagements sur le Danube, en coopération avec la Roumanie, lui permettant d’exploiter 50 % de l’électricité produite par le barrage des Portes de Fer.
Du fait de la guerre et des sanctions économiques, la production industrielle n’a atteint que la moitié de son niveau de 1990. Elle s’organise autour du complexe métallurgique de Bor (à l’est), de la sidérurgie à Smederevo (dans le centre), de l’industrie automobile, de la fabrication de textiles, de produits chimiques, de machines et du secteur agroalimentaire en Voïvodine et à Belgrade.
La Roumanie Souhaite exporter plus de produit Serbe et a bas prix dans une politique d'aide économique de la Serbie en partenariat avec la Roumanie.
Le contrat de 350 millions € d'aides à l'économie de la Serbie devrait améliorer l'économie Serbe et puits aussi se luit de la Roumanie avec des coût importation bas.
"Le territoire serbe est riche en gisements métallifères (plomb, cuivre, zinc et bauxite"
"La forte production agricole de la Voïvodine"
- Effets escomptés des investissements
Une série d’indicateurs applicables à chacune des priorités du programme ont été mis au point par les pays participants et permettront d’évaluer les progrès réalisés au cours de la mise en œuvre du programme. Les résultats seront mesurés à l’aune des mouvements transfrontaliers de personnes et de biens, de la création d’entreprises, des taux d’emploi, des niveaux de pollution, des niveaux de sensibilisation à l’environnement, etc.
- Priorités
Le programme sera mis en place selon une structure simplifiée s’articulant autour de trois priorités principales et d’une priorité «assistance technique».
Priorités
Le programme sera mis en place selon une structure simplifiée s’articulant autour de trois priorités principales et d’une priorité «assistance technique».
Priorité n° 1: Développement économique et social [environ 50% de l’investissement total]
Cette priorité portera sur des questions concernant l’accessibilité, la compétitivité et le développement rural. Ses objectifs sont les suivants:
Soutenir les infrastructures économiques et sociales au niveau local/régional. Les initiatives locales et régionales sont axées sur les infrastructures économiques et sociales, y compris les services publics et les équipements socio-éducatifs, et sur l’élaboration d’études de faisabilité et d’autres travaux préparatoires pour des investissements à grande échelle qui doivent être financés par d’autres programmes. Il est prévu également de développer les liaisons de transport locales intégrées et respectueuses de l’environnement, et notamment d’améliorer les transports routiers locaux et de développer les équipements intermodaux, afin de renforcer la capacité et l’efficacité logistiques dans la zone frontalière.
Développer le secteur touristique, notamment en renforçant l’identité de la zone frontalière comme destination touristique. Des attractions touristiques sont créées, modernisées et améliorées, et des activités de promotion et de commercialisation sont mises en œuvre à l’appui des initiatives visant à promouvoir l’identité de la zone frontalière en tant que zone touristique. Une attention particulière est accordée aux initiatives fondées sur l’exploitation du potentiel de l’écotourisme, du tourisme culturel et du tourisme thermal et sur l’exploitation/le développement des parcs nationaux.
Encourager le développement des PME. Les régimes de soutien facilitent la commercialisation et le développement des entreprises, y compris dans le secteur agricole. Les PME élaborent des services et produits transfrontaliers communs ayant une identité transfrontalière marquée. Des services de conseil seront mis en place pour aider les PME à développer des activités commerciales connexes.
Soutenir la recherche, le développement et l’innovation (RD&I) dans la zone frontalière. Les régimes d’aide encouragent le développement de la RD&I, en particulier dans le contexte des partenariats entre universités et entreprises impliquant des transferts de technologie, des centres d’innovation et d’autres initiatives. Une attention particulière est accordée aux actions qui visent à stimuler les activités communes de RD&I dans tous les secteurs, en se concentrant sur les projets qui cherchent à encourager les entreprises à largement adopter des méthodes novatrices.
Priorité n° 2: Environnement et prévention des situations d’urgence [environ 26% du financement total]
Cette deuxième priorité reconnaît l’existence d’une série de problèmes communs aux deux côtés de la frontière dans les domaines spécifiques de l’environnement et de la prévention des situations d’urgence, qui nécessitent une action commune pour que soient atteints des résultats significatifs et durables. Ses objectifs sont les suivants:
Améliorer les systèmes et les méthodes pour faire face aux défis écologiques transfrontaliers et à la protection et la gestion de l’environnement (notamment des campagnes de sensibilisation et d’information, et des formations en matière d’environnement et de préparation aux situations d’urgence). Des recherches et travaux préparatoires (études de faisabilité, par exemple) sont menés. Parallèlement, la mise en œuvre du cadre législatif national et communautaire en matière d’environnement et de préparation aux situations d’urgence sera améliorée, de même que l’élaboration de procédures d’urgences transfrontalières spécifiques et de systèmes de gestion communs (inondations, santé, sécurité alimentaire).
Développer et mettre en œuvre des stratégies efficaces pour la gestion des déchets et le traitement des eaux usées.
Il est prévu d’accorder une aide pour le développement, la mise à jour et la mise en œuvre de stratégies/plans d’action transfrontaliers conjoints pour la gestion des déchets et le traitement des eaux usées.
Améliorer l’efficacité des systèmes et des méthodes de préparation aux situations d’urgence (y compris la prévention des inondations et la lutte contre celles-ci, la sécurité alimentaire et les questions sanitaires). Des formations et des activités pédagogiques ainsi que des campagnes d’information dans le domaine de l’environnement et de la préparation aux situations d’urgence sont actuellement préparées et mises en œuvre. Les ressources humaines recevront une formation qui leur permettra de mieux réagir aux situations d’urgence environnementale. Des études de faisabilité et d’autres travaux préparatoires portant sur des investissements à grande échelle, qui doivent être financés par d’autres programmes, seront également réalisés.
Priorité n° 3: Développement des échanges citoyens [environ 14% du financement total]
Il est essentiel de mettre sur pied des actions dans ce troisième domaine prioritaire afin d’élargir et d’approfondir l’engagement des communautés des deux côtés de la frontière dans des actions communes. Compte tenu de ce qui précède, la troisième priorité comporte les objectifs suivants:
Soutenir le développement de la société civile et des communautés locales. Il est prévu de resserrer les liens sociaux et culturels entre les communautés de la zone frontalière et de mener des actions conjointes de renforcement des capacités en faveur de la société civile.
Améliorer la gouvernance locale dans le contexte de la fourniture de services locaux aux communautés des régions frontalières. Des stratégies et des plans de développement locaux communs seront élaborés dans des domaines spécifiques, au même titre que des formations et des actions de renforcement des capacités orientées vers les institutions locales et les ONG, afin d’améliorer la gouvernance et la fourniture de services au niveau local.
Intensifier les échanges éducatifs, culturels et sportifs. Des programmes d’échanges éducatifs, culturels et sportifs, et des activités conjointes dans ces domaines viseront à promouvoir la diffusion de bonnes pratiques depuis les «pôles d’excellence» jusqu’aux zones moins développées de la zone frontalière. Améliorer l’intégration sociale et culturelle dans les régions frontalières. Des actions communes de renforcement des capacités seront développées pour les organisations de la société civile et les organisations locales.
Priorité n° 4: Assistance technique [environ 10% du financement total]
Au titre de cette priorité, une aide est accordée pour la gestion et la mise en œuvre du programme, y compris le soutien technique, la communication et la publicité, la recherche et l’évaluation et les actions ciblées de renforcement des capacités.
Le contrat signer avec la Roumanie - Serbie' Programme et de 15 ans
Et aussi dans l'aide à l'économie coopérative de la Roumanie et Serbie.
- Négociation - Roumanie/Ukraine:
Le programme Roumain et Ukrainien sera mis en place selon une structure simplifiée s’articulant autour de trois priorités principales et d’une priorité «assistance technique».
Priorité n° 1: Développement économique et social [environ 50% de l’investissement total]
Cette priorité portera sur des questions concernant l’accessibilité, la compétitivité et le développement rural. Ses objectifs sont les suivants:
Soutenir les infrastructures économiques et sociales au niveau local/régional. Les initiatives locales et régionales sont axées sur les infrastructures économiques et sociales, y compris les services publics et les équipements socio-éducatifs, et sur l’élaboration d’études de faisabilité et d’autres travaux préparatoires pour des investissements à grande échelle qui doivent être financés par d’autres programmes. Il est prévu également de développer les liaisons de transport locales intégrées et respectueuses de l’environnement, et notamment d’améliorer les transports routiers locaux et de développer les équipements intermodaux, afin de renforcer la capacité et l’efficacité logistiques dans la zone frontalière.
Développer le secteur touristique, notamment en renforçant l’identité de la zone frontalière comme destination touristique. Des attractions touristiques sont créées, modernisées et améliorées, et des activités de promotion et de commercialisation sont mises en œuvre à l’appui des initiatives visant à promouvoir l’identité de la zone frontalière en tant que zone touristique. Une attention particulière est accordée aux initiatives fondées sur l’exploitation du potentiel de l’écotourisme, du tourisme culturel et du tourisme thermal et sur l’exploitation/le développement des parcs nationaux.
Encourager le développement des PME. Les régimes de soutien facilitent la commercialisation et le développement des entreprises, y compris dans le secteur agricole. Les PME élaborent des services et produits transfrontaliers communs ayant une identité transfrontalière marquée. Des services de conseil seront mis en place pour aider les PME à développer des activités commerciales connexes.
Soutenir la recherche, le développement et l’innovation (RD&I) dans la zone frontalière. Les régimes d’aide encouragent le développement de la RD&I, en particulier dans le contexte des partenariats entre universités et entreprises impliquant des transferts de technologie, des centres d’innovation et d’autres initiatives. Une attention particulière est accordée aux actions qui visent à stimuler les activités communes de RD&I dans tous les secteurs, en se concentrant sur les projets qui cherchent à encourager les entreprises à largement adopter des méthodes novatrices.
Priorité n° 2: Environnement et prévention des situations d’urgence [environ 26% du financement total]
Cette deuxième priorité reconnaît l’existence d’une série de problèmes communs aux deux côtés de la frontière dans les domaines spécifiques de l’environnement et de la prévention des situations d’urgence, qui nécessitent une action commune pour que soient atteints des résultats significatifs et durables. Ses objectifs sont les suivants:
Améliorer les systèmes et les méthodes pour faire face aux défis écologiques transfrontaliers et à la protection et la gestion de l’environnement (notamment des campagnes de sensibilisation et d’information, et des formations en matière d’environnement et de préparation aux situations d’urgence). Des recherches et travaux préparatoires (études de faisabilité, par exemple) sont menés. Parallèlement, la mise en œuvre du cadre législatif national et communautaire en matière d’environnement et de préparation aux situations d’urgence sera améliorée, de même que l’élaboration de procédures d’urgences transfrontalières spécifiques et de systèmes de gestion communs (inondations, santé, sécurité alimentaire).
Développer et mettre en œuvre des stratégies efficaces pour la gestion des déchets et le traitement des eaux usées. Il est prévu d’accorder une aide pour le développement, la mise à jour et la mise en œuvre de stratégies/plans d’action transfrontaliers conjoints pour la gestion des déchets et le traitement des eaux usées.
Améliorer l’efficacité des systèmes et des méthodes de préparation aux situations d’urgence (y compris la prévention des inondations et la lutte contre celles-ci, la sécurité alimentaire et les questions sanitaires). Des formations et des activités pédagogiques ainsi que des campagnes d’information dans le domaine de l’environnement et de la préparation aux situations d’urgence sont actuellement préparées et mises en œuvre. Les ressources humaines recevront une formation qui leur permettra de mieux réagir aux situations d’urgence environnementale. Des études de faisabilité et d’autres travaux préparatoires portant sur des investissements à grande échelle, qui doivent être financés par d’autres programmes, seront également réalisés.
Priorité n° 3: Développement des échanges citoyens [environ 14% du financement total]
Il est essentiel de mettre sur pied des actions dans ce troisième domaine prioritaire afin d’élargir et d’approfondir l’engagement des communautés des deux côtés de la frontière dans des actions communes. Compte tenu de ce qui précède, la troisième priorité comporte les objectifs suivants:
Soutenir le développement de la société civile et des communautés locales. Il est prévu de resserrer les liens sociaux et culturels entre les communautés de la zone frontalière et de mener des actions conjointes de renforcement des capacités en faveur de la société civile.
Améliorer la gouvernance locale dans le contexte de la fourniture de services locaux aux communautés des régions frontalières. Des stratégies et des plans de développement locaux communs seront élaborés dans des domaines spécifiques, au même titre que des formations et des actions de renforcement des capacités orientées vers les institutions locales et les ONG, afin d’améliorer la gouvernance et la fourniture de services au niveau local.
Intensifier les échanges éducatifs, culturels et sportifs. Des programmes d’échanges éducatifs, culturels et sportifs, et des activités conjointes dans ces domaines viseront à promouvoir la diffusion de bonnes pratiques depuis les «pôles d’excellence» jusqu’aux zones moins développées de la zone frontalière. Améliorer l’intégration sociale et culturelle dans les régions frontalières. Des actions communes de renforcement des capacités seront développées pour les organisations de la société civile et les organisations locales.
Priorité n° 4: Assistance technique [environ 10% du financement total]
Au titre de cette priorité, une aide est accordée pour la gestion et la mise en œuvre du programme, y compris le soutien technique, la communication et la publicité, la recherche et l’évaluation et les actions ciblées de renforcement des capacités.
Le contrat signer avec la Roumanie et l'Ukraine Programme et de 15 ans
- Contrat Militaire avec la Roumanie/ Serbie-Ukraine.:
- Le président Roumain a salue ces homologues Serbe et Ukrainien, sur le soutien militaire et économique qui on apporter.
Un contrat militaire avec l'Ukraine à été signé pour la deuxième fois, sur la commende de Tank T-72.
- T-72 - 50 - Coût estimé : Non communiqué.
Une alliance militaire a êtes signer avec la Roumanie - Serbie/Ukraine.
Et de plus l’autorisation de la Serbie de survoler l'espace Roumain avec les conditions qui son les même que l'Ukraine.
- Informer la défense Roumanie de l'action.
- Informer 2 semaines avant le passage de survol de l'espace Roumain.
Dernière édition par Blanvaro le Ven 13 Sep 2013 - 9:28, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [Accepté] République Roumanie
Blanvaro, tous les posts situés sur ce topic doivent également figurer sur le topic officiel quand ils ne concernent ni la partie organisations, ni la partie guerre du forum. Ce topic sert de récapitulatif à tes posts des autres parties du forum.
Caoki- Chef de Département des Nations Unies
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[Inde] Diplomatie International
Not ??
Dernière édition par Blanvaro le Jeu 26 Sep 2013 - 10:09, édité 1 fois
Invité- Invité
Déclaration de la lois Martial en Roumanie. [ International ]
- l'armer Roumaine sou contrôle de l'OTAN:
- Le gouvernement a fait appelle à la lois martial et demande que l'armer Roumaine sois sou contrôle de l'OTAN pour éviter tout coup d'état militaire.
- Déclaration de la lois Martial en Roumanie.:
La lois Martial en Roumanie pour protéger les civiles.
L'armer roumaine mobilises toute sa puissance militaire à la frontière Ukrainienne.
Notre gouvernement à ferme les frontières avec l’Ukraine, la Roumanie prêt riposter si son espace aérienne et marmite son violer.
Invité- Invité
Crise EU / USA [ International ]
- Politique International:
- Ouverture d'une en quête en Roumanie pour savoir qui est responsable de la crise roumaine et international.
La Roumanie propose qu'une enquête internationale soit menait avec l'OTAN et l'ONU et l'UE.
Cette en quête sera long et difficile dans les circonstances de guerre froide.
Le nouveau gouvernement à assurer que l’enquête nous permettra d'avoirs plus informations comme la menace serbe sur le Kosovo en coopération avec l’ancien gouvernement roumain.
À la suite de cette information, le président par intérim à demander au Kosavo si il souhaiter un appui militaire de la par de la Roumaine.
Et la Roumanie demande aux USA plus de soutien militaire pour le Kosovo.
Un document top secret a été envoyé à l'UE, on parle d’invasion de l’Europe de l'Est selon une source roumaine des services secrets.
- Economie Roumaine:
La Roumanie à faite appelle au FMI et à la TROÏKA, le gouvernement roumain n'a plus vraiment le choix une tutelle forte sur la Roumanie.
Avec une économie et des dépenses aussi colossales il étés impossibles que la Roumanie rembourses les emprunts a c'est créancier.
Et le replie de - 5% de croissance pour cette anné annonce les heures terrible et sombres de la Roumanie.
Invité- Invité
Roumanie [ International, Interne ]
- Ovni en Roumanie:
Plus de 25 milles personnes on aperçue des OVNI ( Objet Volant Non Identifier ) à Bucarest, la panique total « on c'est dit que cette une un invasion de l'Ukraine et de la Russie ».- Témoignage.:
1 - Inconnue
« J'ai pris la voiture pour allez au parlement de Bucarest. A mi-chemin environ, j’ai pu apercevoir une substance de couleur grise ou bleu clair, qui se déplaçait en parallèle de moi à environ deux kilomètres de distance.
J’ai tourné la tête en direction de cette substance, et sous mes yeux, elle a tout de suite changé de vitesse. Tantôt elle accélérait, tantôt elle s’arrêtait, tout en s’approchant de moi et augmentant en taille. Il s’agissait tantôt d’une boule, tantôt d’un disque de couleur violette ».
2 -Inconnue
« Je me suis arrêté sur l'avenue et ai ouvert la fenêtre de la portière de ma voiture pour pouvoir observer cet objet. Ce dernier s’est approché du parlement de Bucarest, et restant à 20 ou 30 mètres du parlement, il est monté dans le ciel, restant à 3-4 mètres du sol.
L’objet changeait tout le temps de taille. Il avait au départ les dimensions d’un ballon de football, puis il faisait trois fois la taille d’un ballon, tout en changeant de forme et se transformant en un disque plat ».
3 -Inconnue
« A ses côtés, j’ai vu comme une queue de feu, qui avait une couleur violette ou rouge foncé.
Ensuite, cette queue a disparu.
Cet objet se déplaçait de manière erratique avec une vitesse incroyable.
D’abord il faisait un mouvement de haut en bas, puis il bougeait vers le côté, tout en s’avançant vers moi.
J’ai pris plusieurs photos de cet objet avec mon téléphone portable, et ces photos ont été conservées ».
- OVNI au dessus le palais du parlement.:
Le Palais du Parlement situé dans ville de Bucarest, capitale de la Roumanie, a été sous les feux des projecteurs après que des soucoupes volantes aient été photographiées en train de le survoler, en pleine nuit …
L’auteur de la photo. Il raconte avoir été choqué par cette vision peu banale.
Quand il prit sa photo de l’imposant bâtiment gouvernemental, il eut d’abord une étrange sensation.
Mais lorsqu’il regarda le fruit de son travail, sa stupéfaction était à son comble.
Il vit une étrange lumière verte et bleue qui dirigeait ses rayons sur le Palais.
A l'intérieur du faisceau, il semble y avoir deux formes elliptiques planant au-dessus de la grande structure. De ce fait, l'image rappelle une célèbre scène du blockbuster américain, Independence Day, où un vaisseau spatial extraterrestre apparaît au-dessus de la Maison Blanche à Washington avant de la détruire.
Ainsi, des internautes du monde entier ont émis une foule de théories pour tenter d’expliquer ce spectacle inhabituel.
Certains sont convaincus qu'il s’agit d’un vaisseau spatial extraterrestre, tandis que d'autres penchent plutôt pour un étonnant jeu de lumière.
Le photographe amateur a déclaré :
« Je me promenais après le travail et j’avais décidé de prendre quelques photos. Il faisait très froid et venteux et il y avait un ciel nuageux. C'était la première fois que je prenais des photos du Parlement de nuit et je n'ai pas été déçu par le résultat. »
Il poursuit :
« J'ai pris cinq ou six photos, mais quand j'ai pris la dernière, j'ai eu un sentiment étrange. Je l'ai regardé encore et encore et je ne pouvais pas en croire mes yeux. »
« Je l'ai vu quand j'ai regardé ma photo. Je ne peux pas l'expliquer. J'ai montré la photo à mon ami et il m’a dit que cela ressemblait à une scène de ‘Independence Day’. C'était très inattendu. »
Ces dernières semaines, la ville de Bucarest semble avoir connu une série d’observation d’OVNI.
- Top Secret:
- - ni vue ni connue -
L'ovni et partie dans la direction de la Serbie, et les avions F-16 longs pour suivie et soudainement l’ovni a disparue des radars roumains et des yeux des pilotes F – 16.
Cette affaire ont-elle un quelconque rapport avec la Russie et Ukraine ? Nul ne sera le dire …
Le ministre roumain de la Défense a fait par d'une annonce il dit
« On était à deux doigts de tirer sur les Ukrainiens ».
« C'était la panique dans tous nos services de renseignement ».
« Je me suis dit, non il fond pas haussés s'attaquer à l'OTAN et UE, j'ai bien fait de suivre mon intuition, j'ai donner l'ordre uniquement de le suivre et de le surveiller cette OVNI ».
Témoignage du ministre de la Défense Roumaine.
- Le Président par intérim veut rassurer l'Europe sur la crise politique.:
Le Président par intérim, Victor Ponta poursuit sa visite aux dirigeants européens devant lesquels il doit s'expliquer sur la crise politique dans son pays et la la révolution social en Roumanie.
Il a affiché sa volonté de coopérer avec Bruxelles.
La première journée du voyage bruxellois de Victor Ponta promettait d’être la moins polémique avec, au programme, une rencontre avec le président du Parlement européen.
Il affirme ne pas lui avoir caché ses inquiétudes, même s’il estime que la Roumanie ne doit pas être condamnée avant d’être jugée.
Ceci tempère donc des déclarations précédentes où le président du Parlement accusait les pays de l’Union d’être trop silencieux.
Victor Ponta, qui affirme être victime de propagande politique, en a profité pour se poser en défenseur de la démocratie et de l’Etat de droit.
Mais les socialistes européens, qui avaient été beaucoup plus nets lors de l’affrontement, par exemple, avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban, sont peut-être un peu gênés aux entournures.
Ce qui n’est pas le cas des conservateurs du Parti populaire européen qui parlent, eux, de dérive autoritaire en Roumaine.
La deuxième journée du voyage de Victor Ponta pourrait être plus compliquée. Il doit rencontrer le président du Conseil européen et celui de la Commission, alors que la commissaire à la Justice menace de rendre un rapport négatif sur la justice et la corruption en Roumanie, et sous-entend que l’adhésion du pays à l’espace Schengen pourrait être retardée.
- La crise démographique persiste:
En dix ans, la Roumanie a vu sa population baisser de plus de 13%, selon une source.
Cette baisse démographique, enregistrée depuis la chute de la dictature communiste, fin 1989, s'est poursuivie sous l’effet conjugué de l’émigration et d’une baisse de la natalité.
Deuxième pays le plus pauvre de l’Union européenne après la Bulgarie, la Roumanie comptait 20 millions d’habitants en 2011 contre 23 millions en 1990, soit une baisse de 13,3%, selon un recensement publié le 4 juillet 2013.
Fuite des travailleurs
Il s'agit, selon l’Institut national des statistiques (INS).
Elles montrent que près d’un million de Roumains se sont établis principalement dans des pays comme l’Espagne et l’Italie où, à qualification égale, il est plus facile de trouver des opportunités de travail plus avantageuses.
Le nombre de travailleurs expatriés roumains atteindrait deux à trois millions, selon certaines estimations.
- Le contrôle de la justice, enjeu central de la crise politique en Roumanie:
Une crise politique sans précédent frappe la Roumanie. La remise en question de l'Etat de droit dans ce pays inquiète les institutions européennes.
"C'est un véritable coup d’État, a affirmé l'eurodéputée roumaine Monica Macovei, ancienne ministre de la justice, à l'origine d'une réforme radicale du système judiciaire roumain, très appréciée par la Commission européenne."
"Il est temps que les Roumains regardent la vérité en face et qu'ils se mobilisent."
Afin de rassurer les partenaires européens, le président par intérim Victor Ponta s'est rendu à Bruxelles où il a rencontré le président de la Commission européenne, et le président du Conseil européen, puis ensuite le président du Parlement européen.
Reçu avec froideur, le golden boy de la politique roumaine s'est engagé à respecter les règles européennes.
La Commission européenne annoncer une sous surveillance renforcée de la Roumanie.
- HAUT DEGRÉ DE CORRUPTION:
Le véritable enjeu de cette cacophonie politique roumaine ?
La rapidité avec laquelle le président roumain a été nommais a soulevé de nombreuses questions. La réponse n'est sans doute pas strictement politique. C'est en fait le sort de la justice qui est en jeu.
Pays réputé pour son haut degré de corruption, la Roumanie avait pourtant réussi ces dernières années à changer la perception de la Commission européenne qui évalue tous les ans l'état de son système judiciaire.
Le Parquet national anticorruption (DNA), institution qui fonctionne sous le haut patronage de la présidence, avait réussi ces derniers temps à faire condamner plusieurs secrétaires d’État, députés, préfets, généraux et autres personnages publics réputés jusque-là intouchables.
- CRÉDIBILITÉ COMPROMISE:
Mais "le varan" et ses marionnettes haut placées ont mésestimé la réaction des institutions européennes.
Le rapport sur la justice roumaine que la Commission européenne rendra public s'annonce très négatif et annule toutes les démarches faites par la Roumanie pour intégrer l'espace Schengen de libre circulation en Europe.
Le conflit qui secoue la scène politique roumaine est le reflet de l'opposition entre une Roumanie qui veut évoluer, se moderniser et s'adapter aux normes européennes, et un pays immobile, ancré dans le passé et contrôlé par des réseaux qui entendent protéger leurs intérêts économiques derrière l'immunité parlementaire. Le référendum devrait permettre aux Roumains détrancher.
Invité- Invité
Réponse à [ l'Ukraine ] de la part de la Roumanie.
- OTAN, EU, USA, ONU:
- " Nous demandons l'annulation des forces américaines en Roumanie. Enfin nous demandons à la Roumanie de démobiliser ses armées et stopper la demande d'aide de pays extérieur pour calmer les tensions proches d'un conflit majeur. "( Gouvernement Ukrainienne )
Notre gouvernement ne peut vous répondre sans l'aval des USA de l'OTAN et de l'EU.
Notre armé et sous contrôle de l'OTAN si vous conter attaquer la Roumanie et la Moldavie ( OTAN ).( Bouclier OTAN )
Rappel :
Attention à vos actions, vous ignorer la graviter et les conséquences, pour se monde, la Moldavie et dans l'OTAN de même pour la Roumanie.
Nous sommes sous protection parapluie nucléaire, pour éviter une guerre nucléaire je vous demande d'éviter les actions mal perçue par nos services de l'OTAN.
Nous allons informer UE et OTAN et aussi ONU et seul eu peu veut vous répondre.
Merci de votre compréhension, Monsieur le Président de l'Ukraine
Invité- Invité
Pour la [ Turquie ] de la par de la Roumanie.
- Diplomatie Commercial:
- La Roumanie et la coopération autour de la mer Noire:
L'intérêt manifeste de la Roumanie pour le projet turc de coopération économique entre pays de la mer Noire tient avant tout à sa position géopolitique qui l'a toujours poussée à jouer un rôle d'intermédiaire entre l'Orient et l'Occident. Cependant, les avis restent très partagés quant au degré d'implication dans ce projet. D'une part, les partisans d'une intégration régionale dans le cadre de la ZCEMN, avec des partenaires proches, d'autre part, les défenseurs de la priorité à la candidature à la CEE.La Roumanie et toujours en partenariat avec la Turquie.
Invité- Invité
L'austérité a la Roumaine
- Discoure du président:
- " Il faut dire la réalité au Roumains "
"Aujourd'hui, ces facteurs de croissance ont disparu. Les banques prêtent beaucoup moins depuis la crise et les salaires sont en baisse dans le public, stagnent ou augmentent très légèrement dans le privé"
"La Roumanie va avoir beaucoup de mal à s'en sortir, car la politique d'austérité ne va faire qu'accroître la pauvreté. En l'absence de demande intérieure, le seul espoir pour la Roumanie réside dans la reprise économique de la zone euro. Le pays pourra alors reprendre ses exportations, dont elle est très dépendante."
- Budget 2015-2016 :
- Droit au mariage pour les couples du même sexe et a l'adoption.
Décriminaliser les drogues douce. ( création des centre mobile de drogue)
Report de d’ages de départ a la retraite à 67 ans.
Coupes de 45% dans les salaires de la fonction publique,
Gel des retraites sur 5 ans, et suppression dans 2 ans et établissement de la retraite à la suisse ( Capitalisation )
Taxe carbone 8%
Départ de 3500.000 fonctionnaires,
Hausse de la TVA de 1 points = 25%
Salaire minimum de 158 euros par mois
L'impôt sur les revenues 20 %
Taxe sur les Transactions 7%
Taxe sur le licenciement 7%
Fin des retraites chapeaux
Taxe sur la fortune 12%
Diminution des aides social dans tout les domaines publique de 7%
Total = 38 milliards de recettes.
Invité- Invité
Communiqué à [ l'Inde ]:
- Réponse à l'Inde:
- Votre gouvernement
- Suite à votre trahison, New-Delhi exige immédiatement le renvoi immédiat des 100 chars T-72 Ajeya MK2 et 150 BMP-2 "Sarath" offerts il y a quelques mois par notre pays. Des navires sont en route afin de les récupérer . ( Inde )
- Trahison ?
- Quelle trahison ?
- Revoyez l'histoire roumaine svp,
- Exige immédiatement ! ? ( Inde ) Vous n’ait pas en position de force pour exige quelque chose.
- Vous parler à OTAN, monsieur le président indien.
- Revoyez votre diplomatie svp
- Pour vous informer notre gouvernant et d’accord pour vous restituer les 150 BMP-2 dons et les 100 chars T-72 Ajeya MK2
Mais DSL de le redire comme pour Ukraine seule et uniquement seule OTAN peu décider de cette action.
- Avis de la Roumanie sur l'Inde:
- Et pour finir le peuple roumain a décidé son avenir comme le peuple indien, don me fait pas le moral sur le mot trahison le jour qui y aura une révolution sociale dans votre pays on reparlera.
Revoyez vos droits des femmes avant de nous donner des leçons, le peuple indien qui demande des réformes sociales colossales.
À monsieur le président la peine de mort ne mettra pas à terme à la violence contre les femmes.
Seule et uniquement les réformes des droits et liberté des femmes peu changer la donne.
Et de deux les violences domestiques font des ravages dans votre pays.
De plus l'environnement de Bangalore devient de plus en plus une poubelle pour votre peuple .
Une trahison a l’environnement des habitants de l'Inde et des droits des civiles qui souhaitent habiter dans un environnement propre comme tout citoyen de la planète Terre.
Alors oui l'Inde a des soucie avoir aux niveaux sociaux, votre pays connaît une crise sociale et si votre peuple demain souhaitent se révolter contre le système sociale la Roumanie ne sera pas surpris,- Navire de guerre:
Suite a votre diplomatie erronée qu'il faut revoir, nous refusons que vos navires amarre dans le port de Constanta a nouvel ordre si vos navires se trouvent dans les eaux territoriales de la Roumanie nous considérons comme une trahison et une violation des traités des mers internationaux et nous verrons feu sur vos navires et le bouclier de l'OTAN sera activer automatiquement en cas de ripostes de vous ou de vos alliés.
Je vous demande de patienter et d'attendre les réponses de l'OTAN ( USA ) merci à vous.
Cordialement la Roumanie.
Invité- Invité
Réforme pour 2017 /2019[ International et Interne ]
- Politique intérieur:
Discoure du président Roumain.
" Le système économique, politique Suédoise et Suisse et puis Australien sera appliquer en Roumanie "
" Sans l'autorités il n'y a pas de liberté et sans l'autorité c'est la l'anarchie. "
" Une pays ne peut pas dépenser plus ce qu'il gagne "
" Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. "
" Les frontières roumaine sont ouverte et fermée pour se qui critique les moeres de la Roumanie. "
" L’état n'est pas garant du peuple mais le peuple et garant de l’état. "- Réforme 2017 / 2020:
- Sociale :
- Allocation d'aide au logement.
Aide à intégration sociale.
Mise à jour tout les mois des dépenses des ministres, et sanctions possibles, visibles par le peuple.
Taxe pornographique à 90%
- Sécurité:
- Fin des peines planchers.
3 nouvelles prisons de hautes sécurités.
Lutter contre le trafique de tabac.
Interdiction de toute vente d'arme à feu en Roumanie
Justice indépendante.
Création de centres formation pénitentiaire.
Création d'un centre médical dans toutes les prisons roumaine.
Création d'une cellule antiterroriste.
Création d'une agence d’espionnage échelon roumain.
Création d'une basse militaire top secret dans les montagnes de la Transylvanie.
- Santé:
- Déremboursement de toute génériques.
Interdiction de ventre des cigarettes électronique.
Diminution des centres hospitaliers.
Diminution drastique des dépenses de Santé publique et des remboursements.
Diminution du temps d'hospitalisation et de garde des malades.
Sanction des clients qui appelle les hôpitaux Roumain sans aucune raison médicale urgente.
- Impôts:
- Dénationalisation automatique pour tout évader fiscale.
Interdiction de fumer dans les lieux public et priver.( droit uniquement dans la rue )
Augmentation taxe-tabac à ( 0,89 € à 17 € )
Déremboursement des génériques.
Contrôle fiscal de tout citoyen roumain qui habite à l'étranger.
Taxe sur les au revenues des patrons.
- Économie:
- - - Application des règles d'or. (Déficits ( 0% ), Dette ( 60% ), Croissance ( 3 ), Commercial exportation ( 60 % et importation 40 % ) dans 7 ans.
- États:
- Suffrage universelle.
Élections présidentielles tous les 3 ans plus se lui de l’assemblé national.
Interdiction des parties extrémiste.
Création de la coalition --- Gauche – Centre – Droit.
Destitution du roi roumain et interdiction d’exprimer sur la scène politique international.
Fin des avantages des ministres roumains. ( Logement, Voiture, Billet d'avion, etc. )
Fin du salaire du président roumain.
Diminutions des salaires des députes et fin de cumule de mandat ou de fonction.
Augmentation de la parité entre homme et femme.
Création d'une crèche pour enfant au parlement de Bucarest.
Création de l'état démocratique et autoritaire.
Séparation de l’état et de l'église.
Droit de sanctionner le président de l'état, et de le poursuivre juridiquement.
Cumule de mandat illimité pour le président et le président de l'assemblée.
- Militaire:
- Recrutement de 20 milles soldas par ans sur 3 ans
Négociation des Rafales avec la France et Eurofighter avec EU.
Service militaire obligatoire pendant 3 mois.
Interdiction de donner des récompense national à des civile des fins.
Fin de la coopération OTAN, l'armée Romaine sous contrôle de l'états. ( 2018 )
- Transport:
- Construction autoroute et ferroviaire ( 350 klm ) plus train magnétique ( 35 klm ).
Construction d'un troisièmes aéroport à Bucarest.
- Travail:
Recrutement d’inspecteur du travail 35 mille.
Création du CDD et CDI.
Augmentation du SMIC ( 150 à 500 € ) sur 10 ans ( publique et privé )
Augmentation des droits entre sexes.
- Religion :
- Fin de l'éducation religieuse et interdiction.
Interdiction de toute forme de secte.
- Énergie:
- Négociation sur une centrale nucléaire avec la France et la Corée du Sud.
- Liberté:
Liberté de réunion et d'association pacifiques.
Liberté total des journaliste, droit de critiquer l'état.
- Immigration:
- Aide à l'intégration des immigrés.
Expulsion des immigrais qui ne trouve pas de travail et de logement dans les 2 ans après leur intégration.
- Éducation:
- Intégration de la parité dans l'éducation nationale.
Interdiction de porter des objets ou autre vêtement religeux dans les établissements national et publique.
- International:
- Photos publique de manifestations:
- Election présidentiel dans 1 ans:
Celons un sondage 63 % des Roumains favorable au SPD
Invité- Invité
Soutien Militaire et commande militaire et économique [ International ]
- Soutien Militaire:
- La Roumanie souhaite une aide militaire française, pour la sécurité de l’Europe de l'Est.
La Roumanie prête a riposté en cas d'invasion part de l’Ukraine ou autre pays qui menace la Moldavie.
La Roumanie commande en urgence ( 25 X Rafales ) à la France et de plus une centrale nucléaire de 2 X 700 MWT, lieu de l'emplacement non communiquer pour le moment.
Total : 8 milliard la central nucléaire
Dernière édition par Blanvaro le Mer 18 Sep 2013 - 10:00, édité 2 fois
Invité- Invité
Réponse [ International ]
- Réponse [ International ]:
- Nous souhaitons savoir si l’Europe et favorable a l’adhésion de la Roumanie dans l’union Européenne.
Et nous souhaitons voir le feu vert du gouvernement Moldave et du Kosovo et de la Géorgie pour une intervention pacifique inti-invasion.
La Roumanie demande à la Géorgie si elle souhaite une intervention de soutient militaire, nous attendons toujours la réponse si elle souhaite adhérait à l'OTAN et à l'EU.
- Communiquais International:
- Un grand emprunt à était fait au prêt du FMI et du EU et d'autre créancier du monde.
Une réforme sur l'armement roumain sur 3 ans va être mise en place, pour que la Roumanie devienne indépendant en matière militaire.
Une priorité nationale pour se munir des changements internationaux protéger les autres pays comme la Moldavie et la Bulgarie et puis le Kosovo qui son des nations fragiles sur le plan militaire.
Et bien sur il y a les conditions de l'OTAN.
La Roumanie, mais en garde l'Ukraine et les autres pays membres de l’alliance avec la Russie si il s’attaquer un pays allié de la Roumanie et de l'OTAN.
La Roumanie demande à la Géorgie si elle souhaite une intervention de soutient militaire, nous attendons toujours la réponse si elle souhaite adhérait à l'OTAN et à l'EU.
Pour le problème des frontières avec l'Ukraine la Roumanie veux raserait que si personne ne bouge ou tires il y aura pas de conflit ou d'autre dégradation diplomatique.
Pour l'Inde, vos navire doives attendre dans les eaux internationales je vous conseil que vos navires samare à Istanbul chez vos alliés le temps d'attendre le feu vert de l'OTAN.
Mais suite à votre dernière communiquer, nous ne sommes pas impressionnés de votre impatience du a votre diplomatie.
- Commande militaire pour la France.:
- Véhicule
- Photo:
200+ surs - ( 3 ans )
Peugeot P4
+55 ( dans 3 ans )
Renault VAB
+15 ( dans 2 ans )- Photo:
+15 ( Dans 2 ans )
Avion- Photo:
( +25 dans 1 an ) - - - 2 500 Milliards €- Photo:
Mirage 2 000
( +15 dans 1 an ) - - -300 Millions €- Photo:
- Photo:
L'E2C Hawkeye
+5 ( dans 3 ans ) - - -1 150 Milliards €
Hélicoptère- Photo:
Caïman marine NH90 - - - 1 400 Milliards €
+35 ( 3 ans )- Photo:
Eurocopter EC665 Tigre - - - 4 200 Milliards €
60+ ( 2 ans )- Photo:
Frégate de classe Horizon
+15 ( Dans 3 ans )- Photo:
Le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc -
+2 ( dans 2 ans )- Photo:
Frégate anti-aérienne Cassard.
( +10 dans 3 ans )- Photo:
La frégate La Fayette
( +3 dans 3 ans )
Total = 20 milliards € ' ( en gros )
Dernière édition par Blanvaro le Jeu 19 Sep 2013 - 18:42, édité 1 fois
Invité- Invité
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