[√] Union d'Afrique du Sud
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[√] Union d'Afrique du Sud
Union of South Africa –
Unie van Suid-Afrika
Union d’Afrique du Sud
Informations générales
Situation du pays :
Population : 18 millions ( 4 millions de blancs, 2 millions de métis et indiens, 12 millions de noirs) recensement de 1960 Capitale : Pretoria (Executif), Bloemfontein (Judiciaire), Le Cap (Législatif)
Régime politique : République parlementaire.
Politique
Situation politique :
Président : Charles SwartPremier ministre : Hendrik Verwoerd
Economie
Monnaie : Livre sud-africain
PIB : 52 milliards (nominal) (dollars de 1990)
Croissance du PIB : 1%
Inflation : ?
Population active : ?
Chômage : ?
Export : ?
Import : ?
Revenu : 10.4 milliards USD (de 1990)
Dépense : 10,2 milliards USD (de 1990)
Dette publique : ?
Forces Armées
Organisation et équipement Armée de Terre
1ère division d'infanterie motorisée (Pretoria) :
2 régiments d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
1 régiment mécanisé
-1200 hommes
-16 Daimler Ferret
-10 canons de 90 mm
-30 camions de transport
-20 Alvis Saracen
-10 batteries de défense anti-aérienne
1 brigade d'artillerie
-800 hommes
-50 camions de transport
-30 pièces de 105 mm
-15 pièces de 155 mm
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
8015 hommes
16 Daimler Ferret
20 Alvis Saracen
400 camions de transport
40 canons de 90 mm
30 canons de 105 mm
15 canons de 155 mm
10 batteries de défense AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
2ème division d'infanterie motorisée (Windhoek) :
2 régiments d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
1 régiment mécanisé
-1200 hommes
-16 Daimler Ferret
-20 Alvis Saracen
-10 canons de 90 mm
-30 camions de transport
-10 batteries de défense anti-aérienne
1 brigade d'artillerie
-800 hommes
-50 camions de transport
-30 pièces de 105 mm
-15 pièces de 155 mm
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
8015 hommes
16 Daimler Ferret
20 Alvis Saracen
400 camions de transport
40 canons de 90 mm
30 canons de 105 mm
15 canons de 155 mm
10 batteries de défense AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
3ème division d'infanterie motorisée (Durban):
2 régiments d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
1 régiment mécanisé
-1200 hommes
-16 Daimler Ferret
-20 Alvis Saracen
-10 canons de 90 mm
-30 camions de transport
-10 batteries de défense anti-aérienne
1 brigade d'artillerie
-800 hommes
-50 camions de transport
-30 pièces de 105 mm
-15 pièces de 155 mm
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
8015 hommes
16 Daimler Ferret
20 Alvis Saracen
400 camions de transport
40 canons de 90 mm
30 canons de 105 mm
15 canons de 155 mm
10 batteries de défense AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
4ème division d'infanterie motorisée (Upington) :
2 régiments d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
1 régiment mécanisé
-1200 hommes
-16 Daimler Ferret
-20 Alvis Saracen
-10 canons de 90 mm
-30 camions de transport
-10 batteries de défense anti-aérienne
1 brigade d'artillerie
-800 hommes
-50 camions de transport
-30 pièces de 105 mm
-15 pièces de 155 mm
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
8015 hommes
16 Daimler Ferret
20 Alvis Saracen
400 camions de transport
40 canons de 90 mm
30 canons de 105 mm
15 canons de 155 mm
10 batteries de défense AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
1ère division blindée (Johannesburg) :
2 régiment d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
1 régiment blindé
-2000 hommes
-30 camions de transport
-68 chars de combat Centurion
-6 ARV
-15 batteries de défense anti-aérienne
2 régiments mécanisé
-2400 hommes
-32 Daimler Ferret
-40 Alvis Saracen
-20 canons de 90 mm
-60 camions de transport
-20 batteries de défense anti-aérienne
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
10 415 hommes
32 Daimler Ferret
40 Alvis Saracen
68 chars de combat Centurion
6 ARV
410 camions de transport
50 canons de 90 mm
35 batteries AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
2ème division blindée (Bloemfontein):
2 régiment d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
1 régiment blindé
-2000 hommes
-30 camions de transport
-68 chars de combat Centurion
-6 ARV
-15 batteries de défense anti-aérienne
2 régiments mécanisé
-2400 hommes
-32 Daimler Ferret
-40 Alvis Saracen
-20 canons de 90 mm
-60 camions de transport
-20 batteries de défense anti-aérienne
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
10 415 hommes
32 Daimler Ferret
40 Alvis Saracen
68 chars de combat Centurion
6 ARV
410 camions de transport
50 canons de 90 mm
35 batteries AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
3ème division blindée (Gobabis) :
2 régiment d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
1 régiment blindé
-2000 hommes
-30 camions de transport
-68 chars de combat Centurion
-5 ARV
-15 batteries de défense anti-aérienne
2 régiments mécanisé
-2400 hommes
-32 Daimler Ferret
-40 Alvis Saracen
-20 canons de 90 mm
-60 camions de transport
-20 batteries de défense anti-aérienne
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
10 415 hommes
32 Daimler Ferret
40 Alvis Saracen
68 chars de combat Centurion
5 ARV
410 camions de transport
50 canons de 90 mm
35 batteries AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
1ère division mécanisé (Port Elizabeth) :
2 régiment d'infanterie motorisée
-6000 hommes
-320 camions de transport
-30 canons de 90 mm
2 régiments mécanisé
-2400 hommes
-32 Daimler Ferret
-40 Alvis Saracen
-20 canons de 90 mm
-60 camions de transport
-20 batteries de défense anti-aérienne
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
8 415 hommes
32 Daimler Ferret
40 Alvis Saracen
380 camions de transport
50 canons de 90 mm
20 batteries AA
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
________________________________________
Division d'infanterie de marine (Cape Town):
2 régiments d'infanterie de marine
-5000 hommes
-230 camions de transport
-20 canons de 90 mm
1 brigade mécanisé renforcé
-1600 hommes
-36 Daimler Ferret
-44 Alvis Saracen
-30 camions de transport
-10 canons de 90 mm
-10 batteries de défense anti-aérienne
1 unité de reconnaissance
-2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
-15 hommes
total :
5615 hommes
260 camions de transport
36 Daimler Ferret
44 Alvis Saracen
30 canons de 90 mm
10 batteries de défense anti aérienne
2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
Total
-78 335 hommes (+ 200 000 réservistes et 700 000 mobilisables)
-228 Daimler Ferret
-280 Alvis Saracen
-204 chars de combat centurion
-17 ARV
-3500 camions de transport
-390 canons de 90 mm
-120 canons de 105 mm
-60 canons de 155 mm
-165 batteries de défense anti-aérienne
-18 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II
Organisation et équipement Armée de l'Air
1ère Escadron de chasseurs-bombardiers(Bloemfontein) :
-11 de Havilland Vampire
-6 F-86 Sabre
-25 pilotes + 29 suppléants
-144 personnel technique
2ème Escadron de chasseurs-bombardiers (Nelspruit) :
-10 de Havilland Vampire
-6 F-86 Sabre
-25 pilotes + 29 suppléants
-144 personnel technique
3ème Escadron de chasseurs-bombardiers (Cape Town) :
-11 de Havilland Vampire
-6 F-86 Sabre
-25 pilotes + 29 suppléants
-144 personnel technique
4ème Escadron de chasseurs-bombardiers (Mthatha) :
-11 de Havilland Vampire
-6 F-86 Sabre
-25 pilotes + 29 suppléants
-144 personnel technique
5ème Escadron de chasseurs-bombardiers (Windhoek) :
-17 de Havilland Vampire
-20 pilotes + 24 suppléants
-80 personnel technique
6ème Escadron de chasseurs-bombardiers (Johannesburg):
-17 de Havilland Vampire
-24 pilotes + 28 suppléants
-96 personnel technique
1er Escadron de bombardement (Bloemfontein) :
-9 English Electric Canberra
-27 pilotes et personnel navigant + 39 suppléants
-90 personnel technique
Total
-77 de Havilland Vampire
-22 F-86 Sabre
-9 English Electric Canberra
-378 pilotes
-environ 3000 personnel technique
-environ 4500 personnel administratif[/center]
Relations internationales
Très bonnes relations : X
Bonnes relations : x
Relations indifférentes : Le monde entier
Mauvaises relations : X
Très mauvaises relations (en guerre) : X
Dernière édition par Skorm123 le Sam 6 Jan 2018 - 15:37, édité 4 fois
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Union d’Afrique du Sud
Affaires politique
Début Janvier 1960, le premier ministre de l’Afrique du Sud, Hendrik Verwoerd, annonce vouloir réorganiser l’Union sud-africaine en une nouvelle république, membre du Commonwealth mais ayant son propre président. Pour cela, il compte unir la population blanche d’Afrique du Sud qu’il considère unie sous la couleur, alors que des divisions linguistiques touchent les blancs d’Afrique du Sud, entre anglais et afrikaaners. Son projet rencontre dans les premiers jours une hostilité croissance de la population blanche anglaise toujours attachée à la Royauté, changer de régime aurait en effet la conséquence directe de ne plus avoir aucun lien avec le Royaume. Un référendum des citoyens sud-africains sera donc mis en place dès cette année, en Octobre, afin de connaitre la position du peuple sur la question. Mais Verwoerd est conscient que la population blanche anglaise ne le soutient pas dans son action, il a donc quelques mois pour faire changer d’avis cette population qui lui est hostile.
Quelques jours après cette annonce, son gouvernement est à pied d’œuvre dans ce but, on y promeut les avantages que ce changement de régime aurait sur l’indépendance politique du pays, du moins en indirectement car finalement le fait que la Reine gouverne le pays en tant que chef d’Etat mais elle n’a aucun pouvoir en Afrique du Sud. Mais une monarchie parlementaire est selon plusieurs officiels du gouvernement assez instable, l’exécutif se trouvant quasiment toujours sous menace d’être destitué, et l’exécutif n’a que son 1er ministre et son gouvernement pour gouverner l’Afrique du Sud. Ainsi, une république avec un président destituable, difficilement, selon certaines conditions, parait plus stable. Stabilité politique qui incite les acteurs économiques à investir, une politique stable c’est une économie stable. Mais pour changer l’avis
La peur du noir est une problématique réelle en Afrique du Sud. Aujourd’hui, d’après les derniers recensements de 1959, la population noire était de 12 millions de personnes tandis que la population blanche n’est « que » de 4 millions d’habitants, et de 2 millions de métis. Le gouvernement souhaite limiter cette population noire, envahissante et problématique de par son inutilité. Pour cela, l’Etat devrait limiter le nombre d’enfants pour chaque femme noire à un. Pour cela, de fortes amendes et condamnations toucheront ces populations noires ayant plusieurs enfants après 1960. De même, il est prévu que les populations tuant leurs enfants (femelles notamment), seront condamnées à mort, en effet un surplus d’homme serait problématique à l’avenir. Un projet de loi regroupant ses idées, et les développer à travers les députés est prévu pour le mois prochain, pour être voté durant l’été.
Quelques jours après cette annonce, son gouvernement est à pied d’œuvre dans ce but, on y promeut les avantages que ce changement de régime aurait sur l’indépendance politique du pays, du moins en indirectement car finalement le fait que la Reine gouverne le pays en tant que chef d’Etat mais elle n’a aucun pouvoir en Afrique du Sud. Mais une monarchie parlementaire est selon plusieurs officiels du gouvernement assez instable, l’exécutif se trouvant quasiment toujours sous menace d’être destitué, et l’exécutif n’a que son 1er ministre et son gouvernement pour gouverner l’Afrique du Sud. Ainsi, une république avec un président destituable, difficilement, selon certaines conditions, parait plus stable. Stabilité politique qui incite les acteurs économiques à investir, une politique stable c’est une économie stable. Mais pour changer l’avis
Affaires sociales
La peur du noir est une problématique réelle en Afrique du Sud. Aujourd’hui, d’après les derniers recensements de 1959, la population noire était de 12 millions de personnes tandis que la population blanche n’est « que » de 4 millions d’habitants, et de 2 millions de métis. Le gouvernement souhaite limiter cette population noire, envahissante et problématique de par son inutilité. Pour cela, l’Etat devrait limiter le nombre d’enfants pour chaque femme noire à un. Pour cela, de fortes amendes et condamnations toucheront ces populations noires ayant plusieurs enfants après 1960. De même, il est prévu que les populations tuant leurs enfants (femelles notamment), seront condamnées à mort, en effet un surplus d’homme serait problématique à l’avenir. Un projet de loi regroupant ses idées, et les développer à travers les députés est prévu pour le mois prochain, pour être voté durant l’été.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Attaque de Sharpeville
Il n’a pas fallu longtemps aux populations noires pour réagir à la loi voulant limiter la population noire dans le pays. Dans de nombreuses villes du pays, le Congrès Panafricain (PAC) ainsi que le Congrès National Africain (ANC) a ainsi appelé le peuple noir à faire des manifestations non-violentes à travers le pays le 21 Mars. La majorité du township (banlieue noire) du pays ont ainsi leur manifestation. C’est le cas à Sharpeville, township de la ville Vereeniging, dans le Transvaal. Quelque 5 000 à 7 000 personnes se sont rassemblées afin de manifester sur la loi sur la natalité mais aussi pour protester contre les passeports intérieurs. Les quelques policiers, une trentaine, du township ne pouvant rien faire, ils se sont rapidement barricadés dans le bâtiment leur servant de commissariat, le commandant reçu l’ordre de disperser la foule. Mais devant l’impossibilité de le faire au vu du déséquilibre numérique, le chef demanda des renforts, chose refusé car les autres villes étaient dans une situation quasiment similaire.
C’est cependant à Sharpeville que la situation dérapa, un policier trébucha lors d’une interpellation eu pour conséquence un mouvement de curiosité de la foule vers la ligne de policiers qui fut très mal interprété. Croyant à une charge ceux-ci tirèrent, tandis qu’un réel mouvement de panique pour échapper aux balles en fut le résultat. Dans un premier temps, la foule se dispersa tandis qu’une trentaine de mort jonchés les rues proche du commissariat, en majorité des morts par balle dans le dos. Ensuite, une foule immense, plus grande encore que la précédente, se rassembla non loin du commissariat tandis que des renforts de policiers étaient en route pour renforcer ceux déjà présent, ainsi que des blindés de l’armée et des renforts aériens. Mais le temps qu’ils arrivent, l’immense foule fonda sur le poste de police, les policiers répliquèrent, tuant pas mal de noirs, mais le manque de munition se fit sentir puis la vindicte populaire toucha le poste de police, les blancs furent simplement exterminé par la foule par une violence rarement vue, il y avait plus grand-chose de reconnaissable des cadavres blancs. C’était une scène de guerre. La foule se dispersa à nouveau, sans oublier de voler tout ce qu’il y avait d’important dans le poste de police tel que des armes avant de bruler le bâtiment. Les renforts arrivèrent à ce moment, la foule se dispersa, il y avait eu vengeance.
A la fin de la journée, on estima le nombre de morts à 250 personnes environ, dont 32 policiers blancs et plus de 540 blessés environ. La nouvelle ne tarda pas à arriver aux oreilles des médias, les bulletins d’informations à la radio et les journaux du soir mirent l’évènement à leur une. Ceci eu pour conséquence de crisper l’opinion public de plus en plus haineuse face à la différence de la peau. Les blancs accusèrent les noirs d’une attaque honteuse sur le poste de police tandis que les noirs affirmaient que c’était le début de massacres prévu par l’Etat. Ceci eu pour conséquence un appel à la grève générale quelques jours plus tard. Celles-ci furent interdit, et l’évènement causa le début du processus visant à interdire l’ANC et le PAC, ainsi que de décréter l’Etat d’urgence.
La répression du gouvernement envers la population noire fut brutale, conduisant les principaux militants vers la prison. Pour le gouvernement Verwoerd, c’est l’occasion inespérée pour réunir la population blanche autour de ses projets de loi ainsi que pour son référendum sur l’avenir de l’Union en octobre. Les blancs vont désormais se sentir menacés face à la menace noire, et la loi sur la natalité noire jusqu’à présent impopulaire va trouver son écho. Les députés eux aussi changèrent d’avis sur la question, et la loi fut débattue sérieusement. En effet, le clivage entre parti disparu dans les jours suivant l’attaque de Sharpeville pour trouver une origine plus raciale. On discuta de l’avenir du pays, alors que l’enquête et les responsabilités sur l’attaque de Sharpeville ne trouvera jamais de réponses.
C’est cependant à Sharpeville que la situation dérapa, un policier trébucha lors d’une interpellation eu pour conséquence un mouvement de curiosité de la foule vers la ligne de policiers qui fut très mal interprété. Croyant à une charge ceux-ci tirèrent, tandis qu’un réel mouvement de panique pour échapper aux balles en fut le résultat. Dans un premier temps, la foule se dispersa tandis qu’une trentaine de mort jonchés les rues proche du commissariat, en majorité des morts par balle dans le dos. Ensuite, une foule immense, plus grande encore que la précédente, se rassembla non loin du commissariat tandis que des renforts de policiers étaient en route pour renforcer ceux déjà présent, ainsi que des blindés de l’armée et des renforts aériens. Mais le temps qu’ils arrivent, l’immense foule fonda sur le poste de police, les policiers répliquèrent, tuant pas mal de noirs, mais le manque de munition se fit sentir puis la vindicte populaire toucha le poste de police, les blancs furent simplement exterminé par la foule par une violence rarement vue, il y avait plus grand-chose de reconnaissable des cadavres blancs. C’était une scène de guerre. La foule se dispersa à nouveau, sans oublier de voler tout ce qu’il y avait d’important dans le poste de police tel que des armes avant de bruler le bâtiment. Les renforts arrivèrent à ce moment, la foule se dispersa, il y avait eu vengeance.
A la fin de la journée, on estima le nombre de morts à 250 personnes environ, dont 32 policiers blancs et plus de 540 blessés environ. La nouvelle ne tarda pas à arriver aux oreilles des médias, les bulletins d’informations à la radio et les journaux du soir mirent l’évènement à leur une. Ceci eu pour conséquence de crisper l’opinion public de plus en plus haineuse face à la différence de la peau. Les blancs accusèrent les noirs d’une attaque honteuse sur le poste de police tandis que les noirs affirmaient que c’était le début de massacres prévu par l’Etat. Ceci eu pour conséquence un appel à la grève générale quelques jours plus tard. Celles-ci furent interdit, et l’évènement causa le début du processus visant à interdire l’ANC et le PAC, ainsi que de décréter l’Etat d’urgence.
La répression du gouvernement envers la population noire fut brutale, conduisant les principaux militants vers la prison. Pour le gouvernement Verwoerd, c’est l’occasion inespérée pour réunir la population blanche autour de ses projets de loi ainsi que pour son référendum sur l’avenir de l’Union en octobre. Les blancs vont désormais se sentir menacés face à la menace noire, et la loi sur la natalité noire jusqu’à présent impopulaire va trouver son écho. Les députés eux aussi changèrent d’avis sur la question, et la loi fut débattue sérieusement. En effet, le clivage entre parti disparu dans les jours suivant l’attaque de Sharpeville pour trouver une origine plus raciale. On discuta de l’avenir du pays, alors que l’enquête et les responsabilités sur l’attaque de Sharpeville ne trouvera jamais de réponses.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires politiques
La récupération politique de la part du gouvernement Verwoerd de l’attaque de Sharpeville ayant tué plusieurs centaines de personne est réelle. Grâce à cela, le gouvernement a pu faire voter son projet de loi limitant la population noire du pays. En effet, en ce mois de juin, le parlement a promulgué la loi Natalité, facilitant les naissances de la population blanche (via des aides financières) et la limitation à un enfant maximum la population noire à partir à compter du 1 janvier 1961. Même si la loi ne sera pas 100% efficace, il est à parier que cette loi aura des conséquences positives pour l’Etat sud-africain. Les blancs quant à eux sont conscients que leur pays prend une direction plutôt dictatorial, mais la peur inspiré par la menace noire depuis les évènements de Sharpeville, ou des policiers entrainés et armés se sont fait exterminer, la peur est réelle du poids démographique que pourrait représenter la population noire dans l’avenir. La loi prévoit un projet à long terme de dépassement de la population noire par la blanche vers l’année 2000, avec environ 8 millions de blancs et de noir. De même, le projet de loi a pris en compte les derniers évènements régionaux : attirer les populations blanches d’Afrique, en effet certain pays d’Afrique devrait normalement avoir leur indépendance prochainement, laissant le pouvoir, semble-t-il, aux populations noires. Les blancs menacés pourraient trouver refuge en Afrique du Sud, des dispositions sont prévus pour les accueillir : accueil dans des centres spécifiques, listing des capacités des populations, rapide naturalisation vers la nationalité sud-africaine, aide économique pour s’établir selon les capacités … dans une certaine limite toutefois, le budget de l’Etat n’est pas illimité.
De même, les derniers évènements ont eu des conséquences sur le futur référendum, déjà le gouvernement a annoncé vouloir faire participer la région du sud-ouest africain, la population germanophone ne soutient pas la royauté. Même si la population anglophone est acquise désormais à la cause du référendum, on ne sait jamais, et cela peut permettre de donner une légitimité sur ce territoire que le gouvernement Verwoerd considère comme sud-africain. On y parle de l’inclure dans la future constitution du pays, qui acterait l’annexion du territoire, en effet le projet Anglais de donner l’indépendance à un pays aussi grand que la Fédération Bantoue en fait un pays particulièrement dangereux à l’Afrique du Sud, un potentiel rival régional. Former un bloc semble donc important pour se protéger des potentielles menaces que représenterait ce pays à l’avenir.
De même, les derniers évènements ont eu des conséquences sur le futur référendum, déjà le gouvernement a annoncé vouloir faire participer la région du sud-ouest africain, la population germanophone ne soutient pas la royauté. Même si la population anglophone est acquise désormais à la cause du référendum, on ne sait jamais, et cela peut permettre de donner une légitimité sur ce territoire que le gouvernement Verwoerd considère comme sud-africain. On y parle de l’inclure dans la future constitution du pays, qui acterait l’annexion du territoire, en effet le projet Anglais de donner l’indépendance à un pays aussi grand que la Fédération Bantoue en fait un pays particulièrement dangereux à l’Afrique du Sud, un potentiel rival régional. Former un bloc semble donc important pour se protéger des potentielles menaces que représenterait ce pays à l’avenir.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires militaire
Depuis la guerre, l’Afrique du Sud n’a lancé que très peu de projets militaire, son armée est assez moderne mais certain équipement commencent à dater. C’est le cas notamment du Daimler Ferret qui n’est plus possible d’utiliser dans les guerres modernes. Sa grande mobilité est pas mal, mais son manque d’armement (une simple mitrailleuse) est problématique, et les couts d’entretiens ne cessent d’augmenter. Le ministre de la défense Jacobus Johannes Fouché ainsi que le chef de l’armée de terre Pieter Grobbelaar sont chargés par le premier ministre de trouver des solutions. L’idée du véhicule serait qu’il soit très mobile, ayant une bonne portée, capable de soutenir les troupes blindés ou non, ainsi que de pouvoir faire de la reconnaissance, agressive si besoin.
Le véhicule blindé sera en majorité utilisé dans les théâtres d’opération contre des guérillas, c’est pourquoi le véhicule devra avoir la possibilité d’accueillir un canon-mortier de 60mm environ, assez efficace contre les véhicules faiblement blindés. Une autre version sera prévu, moins utilisé, équipé d’un canon avec plus de vélocité et de calibre (90mm minimum) afin de détruire des véhicules plus blindés (peut-être pas les chars les plus modernes), et pourquoi pas des missiles-anti-chars dans un avenir. Les théâtres étant sur un terrain plutôt vaste, le blindé devra avoir une portée de 400-450km ainsi qu’une vitesse maximale de 90km/h. Son blindage devra être résistants aux mines et autres bombes artisanales déployés par l’ennemi, notamment guérilla. Le véhicule devra alors être polyvalent dans ses missions et avec des capacités d’évolution selon les guerres que mène l’Afrique du Sud (guérilla ou contre un Etat …)
Le contrat serait qu’une première partie (environ 100 unités) soit produite dans le pays d’origine. Ensuite une seconde partie en licence avec possibilité d’amélioration, en partie de production locale sud-africaine, afin de pouvoir améliorer le véhicule qui correspondrait le mieux aux conditions sud-africain de bush. Le véhicule devra équiper les unités mécanisées d’Afrique du Sud, le pays vise aussi d’équiper ses régiments motorisés d’un petit bataillon de ce véhicule, pour soutenir les troupes motorisés, et les troupes mécanisées en seront intégralement équipés (environ 2 ou 3 bataillons). Ainsi, plus de 1 000 sont prévus à l’avenir, il s’agit donc d’un gros contrat.
Plusieurs pays ont récemment sortis leurs véhicules qui correspondraient aux demandes sud-africaines : en premier lieu celui de l’allié anglais, avec son Alvis Saladin qui a l’avantage de partager pas mal de caractéristiques et de parties interchangeable avec l’Alvis Saracen que l’Afrique du Sud a pour équiper ses régiments mécanisés. Le Panhard AML de la France est aussi un véhicule correspondant aux demandes de l’Afrique du Sud, mais le véhicule anglais est mis en avant, le pays étant dans le Commonwealth. Cependant le contrat devra correspondre aux attentes de l’Afrique du Sud.
Le véhicule blindé sera en majorité utilisé dans les théâtres d’opération contre des guérillas, c’est pourquoi le véhicule devra avoir la possibilité d’accueillir un canon-mortier de 60mm environ, assez efficace contre les véhicules faiblement blindés. Une autre version sera prévu, moins utilisé, équipé d’un canon avec plus de vélocité et de calibre (90mm minimum) afin de détruire des véhicules plus blindés (peut-être pas les chars les plus modernes), et pourquoi pas des missiles-anti-chars dans un avenir. Les théâtres étant sur un terrain plutôt vaste, le blindé devra avoir une portée de 400-450km ainsi qu’une vitesse maximale de 90km/h. Son blindage devra être résistants aux mines et autres bombes artisanales déployés par l’ennemi, notamment guérilla. Le véhicule devra alors être polyvalent dans ses missions et avec des capacités d’évolution selon les guerres que mène l’Afrique du Sud (guérilla ou contre un Etat …)
Le contrat serait qu’une première partie (environ 100 unités) soit produite dans le pays d’origine. Ensuite une seconde partie en licence avec possibilité d’amélioration, en partie de production locale sud-africaine, afin de pouvoir améliorer le véhicule qui correspondrait le mieux aux conditions sud-africain de bush. Le véhicule devra équiper les unités mécanisées d’Afrique du Sud, le pays vise aussi d’équiper ses régiments motorisés d’un petit bataillon de ce véhicule, pour soutenir les troupes motorisés, et les troupes mécanisées en seront intégralement équipés (environ 2 ou 3 bataillons). Ainsi, plus de 1 000 sont prévus à l’avenir, il s’agit donc d’un gros contrat.
Plusieurs pays ont récemment sortis leurs véhicules qui correspondraient aux demandes sud-africaines : en premier lieu celui de l’allié anglais, avec son Alvis Saladin qui a l’avantage de partager pas mal de caractéristiques et de parties interchangeable avec l’Alvis Saracen que l’Afrique du Sud a pour équiper ses régiments mécanisés. Le Panhard AML de la France est aussi un véhicule correspondant aux demandes de l’Afrique du Sud, mais le véhicule anglais est mis en avant, le pays étant dans le Commonwealth. Cependant le contrat devra correspondre aux attentes de l’Afrique du Sud.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires politique
Après plusieurs mois de débats dans la société civile sud-africaine, de conflits (à Sharpeville) et de tensions communautaires, le Dimanche 6 Octobre 1960 fut l’occasion d’exprimer son opinion sur la transformation de l’Afrique du Sud en République, d’une nouvelle constitution. La question fut : « Are you in favour of a Republic for the Union? » Le résultat fut serré, et après quelques jours, les résultats définitifs donnèrent l’avantage au OUI à 52,49% (850 459 votes) contre 775 878 pour le NON, une différence d’environ 70 000 votes. Beaucoup de chose ont justifié la victoire du OUI, d’abord l’attaque à Sharpeville, augmentant la menace des noirs pour les blancs de la population, il faut un Etat fort. Un autre argument a fait l’effet d’une bombe dans les derniers jours : l’ouverture d’une guerre civile sanglante au Congo a eu des gros effets positifs sur l’opinion publique.
Les conséquences seront que l’Union disparaitra pour faire place à une République. Cette république n’aura par exemple plus la reine en tant que chef d’Etat, et une nouvelle constitution verra le jour. La monnaie changera de nom et de symbole et sera mise en circulation mi-février 1961 tandis que la constitution prendra effet le 31 mai 1961.
Les conséquences seront que l’Union disparaitra pour faire place à une République. Cette république n’aura par exemple plus la reine en tant que chef d’Etat, et une nouvelle constitution verra le jour. La monnaie changera de nom et de symbole et sera mise en circulation mi-février 1961 tandis que la constitution prendra effet le 31 mai 1961.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires politique
Beaucoup de choses vont changer en Afrique du Sud pour le passage entre l’Union et la République. En premier lieu, les changements légaux : les références légales qui font référence à la « Couronne » change en « Etat ». Les serments d’allégeances ne vont plus vers la reine mais vers la République sud-africaine. Le Conseil de la Reine est changé en Conseil des séniors. Concernant l’armée, le terme « Royal » disparait des noms, cependant quelques institutions (comme les parcs nationaux et la Royal society of South Africa) ne changent pas de nom.
Le Rands sera la monnaie officielle de l’Afrique du Sud, qui sera diffusé dès mi-février 1961. Cette monnaie n’aura aucune référence à la reine sur les pièces et monnaie.
La constitution change, l’Etat n’aura plus la reine comme chef d’Etat, du coup le dernier gouverneur général de l’Union (Charles R. Swart) deviendra le premier président de l’Etat. Le président n’aura pas forcement de rôle exécutif, uniquement des rôles consultatifs ou cérémonials. Le vrai pouvoir viendra du premier ministre, comme précédemment. Il sera élu par l’assemblée du pays, 160 députés qui voteront pour leur candidat. La prochaine élection sera d’ailleurs l’année prochaine, en Octobre 1961, afin d’élire les députés de la chambre. Le premier ministre dirigera le gouvernement pendant 5 ans, et aura la plupart des pouvoirs exécutifs.
Dans le cadre de l’intégration sud-africaine du sud-ouest africaine, la région aura son référendum en Janvier pour savoir enfin si oui ou non le pays veut intégrer l’Afrique du Sud. Si le oui le remporte, la région sera intégrée directement dans les institutions du pays, ainsi que dans sa constitution. Si le non l’emporte, le gouvernement promet de donner l’indépendance de la région dans les années qui suivent, afin de donner une solide base et éviter l’erreur congolaise, symbole d’une indépendance non préparée.
Le Rands sera la monnaie officielle de l’Afrique du Sud, qui sera diffusé dès mi-février 1961. Cette monnaie n’aura aucune référence à la reine sur les pièces et monnaie.
La constitution change, l’Etat n’aura plus la reine comme chef d’Etat, du coup le dernier gouverneur général de l’Union (Charles R. Swart) deviendra le premier président de l’Etat. Le président n’aura pas forcement de rôle exécutif, uniquement des rôles consultatifs ou cérémonials. Le vrai pouvoir viendra du premier ministre, comme précédemment. Il sera élu par l’assemblée du pays, 160 députés qui voteront pour leur candidat. La prochaine élection sera d’ailleurs l’année prochaine, en Octobre 1961, afin d’élire les députés de la chambre. Le premier ministre dirigera le gouvernement pendant 5 ans, et aura la plupart des pouvoirs exécutifs.
Dans le cadre de l’intégration sud-africaine du sud-ouest africaine, la région aura son référendum en Janvier pour savoir enfin si oui ou non le pays veut intégrer l’Afrique du Sud. Si le oui le remporte, la région sera intégrée directement dans les institutions du pays, ainsi que dans sa constitution. Si le non l’emporte, le gouvernement promet de donner l’indépendance de la région dans les années qui suivent, afin de donner une solide base et éviter l’erreur congolaise, symbole d’une indépendance non préparée.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires militaire
L’année est bientôt terminée, et l’Etat sud-africain compte rapidement se doter de sa colonne vertébrale mécanisé. Le Panhard AML est le seul ayant répondu aux demandes sud-africaines tant au niveau du contrat que sur les spécifications de l’appareil. En effet, l’Etat sud-africain prend commande de 250 de ces véhicules mais qui seront uniquement utilisés en guise de test, d’entrainement de l’équipage voir démontés pour connaitre parfaitement le véhicule. En effet, l’Afrique du Sud dispose désormais de la licence du véhicule. Mais le Panhard AML ne dispose pas forcement de toutes les spécifications utiles en terrain sud-africain et des environs, c’est pourquoi le véhicule sera amélioré pour mieux correspondre aux besoins de l’Afrique du Sud. Son nom sera Eland. C’est l’entreprise Sandock-Austral qui a été sélectionné afin d’améliorer, produire et de maintenir dans le futur le Eland. L’Etat donne 4 ans à l’entreprise afin de pouvoir sortir un véhicule capable de combattre toutes menaces sur le sol ou non sud-africain.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Réforme de l’Apartheid
L’Apartheid, contrairement à ce qu’on peut penser, n’avait pas pour but de stigmatiser les populations noires, mais bien de séparer les populations blanches et les populations noires. Pour ce faire, dès 1951 le gouvernement de Daniel François Malan instaure les Bantoustan via le « Bantu Authorities Act. ». Les Bantoustans sont des territoires réservés aux noirs afin qu’ils puissent s’y installer. 13% du territoire est occupé par les Bantoustan, le reste étant occupé (théoriquement) par les blancs.
Dans les faits, ce n’est pas bon, les Bantoustan ont reçu les terres les moins productives et trop peu d’industrie pour se développer. De ce fait, les populations noires ne quittent pas leurs townships autour des grandes villes, il y a trop peu de débouchés dans les Bantoustans pour qu’ils soient intéressant. De plus, les populations noires ne sont pas tous de la même ethnie, certains seraient exclus socialement, économiquement et politiquement de ces bantoustans contrôlés par certaines ethnies et une petite élite noire gardant jalousement leurs pouvoirs. Ces élites noires sont souvent corrompues et possèdent l’économie de ces Bantoustans. L’économie de ces territoires sont d’ailleurs réservés pour des loisirs notamment interdits en Afrique du Sud tel que les casino, ou des spectacles sexuelles. Ceci ne permettant pas de réduire efficacement le chômage dans les territoires noirs. Le manque d’argent chez les pauvres (car l’élite noir des Bantoustans prenant tout) et le chômage oblige les noirs à chercher des emplois dans les zones blanches en tant que travailleur immigré. On estime que plusieurs millions de noirs sont dans cette situation, travaillant dans les territoires blancs, loin de leurs familles pendant plusieurs mois. Un autre problème du système des Bantoustans n’est autre que l’économie de l’Afrique du Sud est fortement dépendante de la population noire qui lui sert de réservoir de main-d’œuvre peu couteuse dans tous les secteurs de l’économie. Se séparer de ces populations serait problématique pour l’économie. Ces Bantoustans sont, enfin, problématique pour l’Etat car la majorité (au moins 60%) des revenus sont fournis par l’Etat sud-africains, ceux-ci n’aillant pas d’économie performante afin de subvenir aux besoins. Les conditions de vie dans les bantoustans sont particulièrement rudes, et n’attirent pas.
Le « Bantu Self-Government Act » adopté par l’Afrique du Sud en 1959 n’eut pas les effets escomptés. Le but de cette loi était d’augmenter la ségrégation en Afrique du Sud mais de donner le droit de former un gouvernement permettant une large autonomie, une quasi-indépendance des Bantoustans. Ce fut une erreur, ceux qui détenaient l’économie détiennent maintenant la politique et il ne fallut que quelques semaines pour que la corruption de masse soit de mise dans ces Bantoustans.
C’est pourquoi l’Afrique du Sud via le gouvernement d’Hendrik Verwoerd, qu’on appelle déjà l’architecte de l’Apartheid, décide d’intervenir afin de donner des perspectives positives aux Bantoustans du pays afin que ceci puisse attirer la population noire d’Afrique du Sud, et à péréniser l’Etat sud-africain à travers ce qu’on appelle la « Bantu and South Africa Future Act. ».
Premièrement, les sud-africains prenez la population noire comme unique et homogène, c’est totalement faux et de ce point de vu les Bantoustans pourront jamais fonctionner. C’est pourquoi le nombre de Bantoustans sera égal au nombre d’ethnies (principales) que dispose l’Afrique du Sud : Zoulou, Xhosa, Basotho, Bapedi, Venda, Tswana, Tsonga, Swazi, Ndebele pour ne citer que les principaux, des petites enclaves seront créés sur les territoires d’origines des petites tribus (sauf si ressources, ou territoire blanc important, dans ce cas ce ne sera pas très loin), on vise à doubler les territoires des Bantoustans d’ici 1965, avec des villes importantes (si très peu de blancs, et selon l’ethnie principale) et industrie ainsi que des terres productives (sans que cela ne soient trop pénalisant pour les fermiers blancs).
Dans chacun de ces Bantoustans, des élections seront établis, démocratiques, l’Etat sud-africain y mettra son grain de sel pour éviter que les élites noirs économique ne prennent le pouvoir d’un moyen ou d’un autre et puisse y établir des Etats défaillants corrompus à leur solde. Des programmes de développements seront mis en place dans les premières années visant à rendre indépendant économiquement les Bantoustans afin que ceux-ci soient attirants pour les populations noires du pays. De même que la création d’infrastructures telles que des écoles, des services d’urgences, ou des réseaux de transports. Le but en finalité est que les noirs puissent vivre mieux dans les bantoustans qu’en Afrique du Sud, et qu’ils puissent donc quitter tranquillement les territoires blancs.
L’Afrique du Sud mettra en place des plans de réinsertions de fermiers noirs dans les territoires Bantous appartenant traditionnellement à une tribu. Pour cela, les fermiers blancs seront expropriés, leurs fermes vendues un prix élevés à des collectivités noires qui auront des dettes que l’Etat sud-africain gèrera avec les banques via différentes institutions (pour éviter que les fermes ne sombres financièrement). Cette mesure sera très impopulaire chez les populations blanches, notamment afrikaners et couteuse pour l’Etat, mais nécessaires car, pour Verwoerd : « Sans sacrifice de la part des blancs, le rêve d’Apartheid n’est pas possible ». Ces fermiers blancs seront alors aidés par l’Etat pour qu’ils retrouvent un emploi ou bien de nouvelles terres productives, en Afrique du Sud.
Enfin, la dernière mesure est plus globale et concerne les blancs et l’Afrique du Sud. Il faut absolument augmenter la natalité de cette population pour qu’elle puisse remplacer les populations noires dans chaque domaine économique. En premier lieu on pense attirer les occidentaux pauvres afin de leurs donner des perspectives d’avenir en Afrique du Sud, des emplois sont à pourvoir et il ne sera pas difficile de trouver des emplois après que des populations noires se soient déplacés. Des allocations familiales, universelles, pour les blancs seront mis à disposition dès le premier enfant, et augmentant selon le nombre d’enfant jusqu’à l’âge de 18 ans. Divers autres aides seront aussi donnés : l’aide pour les fournitures (selon le revenu), aide à la garde d’enfant (selon revenu), bourse scolaires … tout ceci afin qu’un enfant soit le moins couteux pour le ménage, et donc plus profitable. De plus, de la propagande pro-natalité verra le jour, mettant l’accent sur la menace démographique noire par rapport à la faible natalité blanche en Afrique du Sud.
C’est un projet ultra-coûteux pour l’Etat sud-africain, mais, que le gouvernement espère profitable à moyen ou long terme pour la nation Sud-africaine.
Dans les faits, ce n’est pas bon, les Bantoustan ont reçu les terres les moins productives et trop peu d’industrie pour se développer. De ce fait, les populations noires ne quittent pas leurs townships autour des grandes villes, il y a trop peu de débouchés dans les Bantoustans pour qu’ils soient intéressant. De plus, les populations noires ne sont pas tous de la même ethnie, certains seraient exclus socialement, économiquement et politiquement de ces bantoustans contrôlés par certaines ethnies et une petite élite noire gardant jalousement leurs pouvoirs. Ces élites noires sont souvent corrompues et possèdent l’économie de ces Bantoustans. L’économie de ces territoires sont d’ailleurs réservés pour des loisirs notamment interdits en Afrique du Sud tel que les casino, ou des spectacles sexuelles. Ceci ne permettant pas de réduire efficacement le chômage dans les territoires noirs. Le manque d’argent chez les pauvres (car l’élite noir des Bantoustans prenant tout) et le chômage oblige les noirs à chercher des emplois dans les zones blanches en tant que travailleur immigré. On estime que plusieurs millions de noirs sont dans cette situation, travaillant dans les territoires blancs, loin de leurs familles pendant plusieurs mois. Un autre problème du système des Bantoustans n’est autre que l’économie de l’Afrique du Sud est fortement dépendante de la population noire qui lui sert de réservoir de main-d’œuvre peu couteuse dans tous les secteurs de l’économie. Se séparer de ces populations serait problématique pour l’économie. Ces Bantoustans sont, enfin, problématique pour l’Etat car la majorité (au moins 60%) des revenus sont fournis par l’Etat sud-africains, ceux-ci n’aillant pas d’économie performante afin de subvenir aux besoins. Les conditions de vie dans les bantoustans sont particulièrement rudes, et n’attirent pas.
Le « Bantu Self-Government Act » adopté par l’Afrique du Sud en 1959 n’eut pas les effets escomptés. Le but de cette loi était d’augmenter la ségrégation en Afrique du Sud mais de donner le droit de former un gouvernement permettant une large autonomie, une quasi-indépendance des Bantoustans. Ce fut une erreur, ceux qui détenaient l’économie détiennent maintenant la politique et il ne fallut que quelques semaines pour que la corruption de masse soit de mise dans ces Bantoustans.
C’est pourquoi l’Afrique du Sud via le gouvernement d’Hendrik Verwoerd, qu’on appelle déjà l’architecte de l’Apartheid, décide d’intervenir afin de donner des perspectives positives aux Bantoustans du pays afin que ceci puisse attirer la population noire d’Afrique du Sud, et à péréniser l’Etat sud-africain à travers ce qu’on appelle la « Bantu and South Africa Future Act. ».
Premièrement, les sud-africains prenez la population noire comme unique et homogène, c’est totalement faux et de ce point de vu les Bantoustans pourront jamais fonctionner. C’est pourquoi le nombre de Bantoustans sera égal au nombre d’ethnies (principales) que dispose l’Afrique du Sud : Zoulou, Xhosa, Basotho, Bapedi, Venda, Tswana, Tsonga, Swazi, Ndebele pour ne citer que les principaux, des petites enclaves seront créés sur les territoires d’origines des petites tribus (sauf si ressources, ou territoire blanc important, dans ce cas ce ne sera pas très loin), on vise à doubler les territoires des Bantoustans d’ici 1965, avec des villes importantes (si très peu de blancs, et selon l’ethnie principale) et industrie ainsi que des terres productives (sans que cela ne soient trop pénalisant pour les fermiers blancs).
Dans chacun de ces Bantoustans, des élections seront établis, démocratiques, l’Etat sud-africain y mettra son grain de sel pour éviter que les élites noirs économique ne prennent le pouvoir d’un moyen ou d’un autre et puisse y établir des Etats défaillants corrompus à leur solde. Des programmes de développements seront mis en place dans les premières années visant à rendre indépendant économiquement les Bantoustans afin que ceux-ci soient attirants pour les populations noires du pays. De même que la création d’infrastructures telles que des écoles, des services d’urgences, ou des réseaux de transports. Le but en finalité est que les noirs puissent vivre mieux dans les bantoustans qu’en Afrique du Sud, et qu’ils puissent donc quitter tranquillement les territoires blancs.
L’Afrique du Sud mettra en place des plans de réinsertions de fermiers noirs dans les territoires Bantous appartenant traditionnellement à une tribu. Pour cela, les fermiers blancs seront expropriés, leurs fermes vendues un prix élevés à des collectivités noires qui auront des dettes que l’Etat sud-africain gèrera avec les banques via différentes institutions (pour éviter que les fermes ne sombres financièrement). Cette mesure sera très impopulaire chez les populations blanches, notamment afrikaners et couteuse pour l’Etat, mais nécessaires car, pour Verwoerd : « Sans sacrifice de la part des blancs, le rêve d’Apartheid n’est pas possible ». Ces fermiers blancs seront alors aidés par l’Etat pour qu’ils retrouvent un emploi ou bien de nouvelles terres productives, en Afrique du Sud.
Enfin, la dernière mesure est plus globale et concerne les blancs et l’Afrique du Sud. Il faut absolument augmenter la natalité de cette population pour qu’elle puisse remplacer les populations noires dans chaque domaine économique. En premier lieu on pense attirer les occidentaux pauvres afin de leurs donner des perspectives d’avenir en Afrique du Sud, des emplois sont à pourvoir et il ne sera pas difficile de trouver des emplois après que des populations noires se soient déplacés. Des allocations familiales, universelles, pour les blancs seront mis à disposition dès le premier enfant, et augmentant selon le nombre d’enfant jusqu’à l’âge de 18 ans. Divers autres aides seront aussi donnés : l’aide pour les fournitures (selon le revenu), aide à la garde d’enfant (selon revenu), bourse scolaires … tout ceci afin qu’un enfant soit le moins couteux pour le ménage, et donc plus profitable. De plus, de la propagande pro-natalité verra le jour, mettant l’accent sur la menace démographique noire par rapport à la faible natalité blanche en Afrique du Sud.
C’est un projet ultra-coûteux pour l’Etat sud-africain, mais, que le gouvernement espère profitable à moyen ou long terme pour la nation Sud-africaine.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Réforme de l’Apartheid
La « Bantu and South Africa Future Act. » déchaine les passions à travers le pays. En effet, les Afrikaneers, notamment les fermiers, ont menacés le gouvernement à de nombreuses reprises tandis que certains parlent de collaboration entre le gouvernement et les populations noires : une menace qui parait essentielle chez les populations blanches afrikaans. Pour le gouvernement Verwoerd, les réactions sont compréhensibles, et de nombreux députés menacent de ne plus soutenir le gouvernement, ainsi que d’expulser le premier ministre et son gouvernement de leurs postes. Pour Verwoerd, la menace est trop sérieuse pour ne rien faire. C’est pourquoi il a été décidé de supprimer la partie concernant l’expropriation blanche, mais en gardant l’idée toutefois des collectivités agricoles noires, permettant à moyen terme plus de possibilités d’investissements et donc des gains de productivités importants, même dans des terres moyennement productives. Cette partie de la loi a tout de même fait particulièrement mal au gouvernement, et le premier ministre a décidé de faire un remaniement ministériel, ou la moitié de l’effectif sera remplacé, notamment le ministre de l’agriculture. Cependant, il est d’avis général que le reste de la loi semble avancé dans le bon sens, séparant les populations et essayant de sauver la race blanche. La question des métis ne s’est pas posé, mais il est à parier que le gouvernement ne s’avancera pas sur le domaine, au vu de l’instabilité politique actuelle, et des potentiels risques que des mesures positives ou négatives envers les métis causeront. Cet erreur de communication de la part du gouvernement ne coutera rien, mais une autre aussi importante pourrait causer la destitution du premier ministre qui déjà est sous le feu des critiques de la part de son propre camp, tandis que certains l’insulte d’incompétent. Il risque de perdre sa place lors des prochaines élections de 1961. Il a un an pour prouver qu’il a sa place en tant que 1er ministre.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires politique
Avec le référendum positif pour l’annexion du Sud-ouest Africain, l’Afrique du Sud inscrit dans sa constitution l’appartenance de cette région à l’ensemble national. Cependant, la région semble très instable, les populations blanches pas forcement acquise à la cause de l’Apartheid, et la population noire a déjà exprimé à de nombreuses reprises son mécontentement face au régime sud-africain. Pour ce faire, le gouvernement accorde les demandes de la population locale de la région en augmentant le nombre de siège de la région, c’est-à-dire de 6 à 10 sièges. Ce n’est pas grand-chose pour le moment, « mais les choses iront en s’améliorant » affirme le premier ministre Verwoerd. Une force de police spéciale à cette région est créée, afin de pacifier celle-ci et affirmer la légitimité de l’Afrique du Sud sur le Sud-ouest africain. Concernant l’Apartheid, l’Afrique du Sud veut exporter son système vers la nouvelle région officiellement sud-africaine, pour cela le gouvernement a nommé Fox Odendaal, gouverneurs de la région du Transvaal, pour établir des Bantoustans similaire au modèle sud-africain, avec une prise en compte du nombre d’ethnies, de langages et les possibilités de développements de ces Bantoustans en y accordant des terres fertiles et des villes sans pour autant géner les intérêts nationaux et des blancs. L’Afrique du Sud essaie d’allier optimum de développement pour les régions noirs (pour attirer les populations noirs) et croissance de l’économie et démographique blanche. C’est un pari difficile.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires économiques
Depuis quelques années, le gouvernement semble s’intéresser sur l’Apartheid exclusivement, oubliant par cette occasion les affaires économiques du pays. Le pays continue sa croissance économique, mais ne pas lancer de programmes et de projets économiques est un suicide à long terme. L’Afrique du Sud est un pays dynamique économiquement, et son agriculture est productive et la terre est riche de ressources. Mais pour le gouvernement Verwoerd, ceci n’est pas assez pour vivre sans danger dans le pays : il faut industrialiser l’Afrique du Sud dans chacun des domaines possible afin de devenir une réelle puissance économique régionale, voir continentale. Le pays n’a pas forcément besoin de mesures à court terme, l’économie se portant bien, c’est pourquoi ce sont des mesures à moyen ou long terme qui seront mis en place, ainsi que des mesures dit structurelles. La loi devrait s’appeler « South African Prosperity Act. » et déjà quelques mesures sont parues dans la presse.
La première mesure concerne l’éducation, les noirs, malgré l’intelligence inférieure naturelle de leur race, ont le droit à une certaine éducation élémentaire, notamment sur les langages civilisés du pays, l’anglais ou l’Afrikaans, obligatoire. En effet, cela permettra une facilité dans le donneur d’ordre blanc, et son exécutant noir. De plus, l’école est un vecteur pour mettre en valeur la morale de l’Apartheid ainsi que la culture blanche, évitant ainsi, dit-on, les révoltes. L’école devient donc obligatoire pour les noirs jusqu’à 12 ans, et pour les blancs jusqu’à 16 ans. On croit beaucoup en l’éducation dans le gouvernement Verwoerd, malgré la différence de race, ce sera tout de même une amélioration pour l’économie. De plus, il n’est pas forcement impossible que des génies noirs, des anomalies, aident le pays à se développer. L’accès aux hautes études leurs seront alors ouvert si le génie est prouvé.
La deuxième mesure devrait concerner plus les blancs, elle concerne l’innovation. En effet, le gouvernement pense que l’innovation est un vecteur majeur de la croissance, créer de nouveaux produits ou services permet la croissance économique, même si cela peut détruire d’anciens emplois (destruction-créatrice), l’innovation est toujours positif pour les Etats d’origine. L’important est de financer ces entrepreneurs, qui sont important dans l’innovation car une grande entreprise peut difficilement créer de l’innovation. Pour les financer, une banque publique d’investissement spécialisé dans les projets (sérieux) d’entrepreneurs devrait être créée. Le but étant de les aider à créer leurs entreprises, d’aider à administrer, puis de financer via des dettes à intérêts intéressant les différents projets des entrepreneurs.
Pour le moment, cette loi n’est encore qu’à l’état de projet, et les fuites dessus dans la presse sont rares, le gouvernement ne veut plus faire d’erreurs qui lui serait préjudiciable, après la dernière durant la loi sur l’Apartheid qui avait agité les milieux Afrikaners. Cette loi qui d’ailleurs est passé devant l’assemblée, et voté à 55% par cette assemblée.
La première mesure concerne l’éducation, les noirs, malgré l’intelligence inférieure naturelle de leur race, ont le droit à une certaine éducation élémentaire, notamment sur les langages civilisés du pays, l’anglais ou l’Afrikaans, obligatoire. En effet, cela permettra une facilité dans le donneur d’ordre blanc, et son exécutant noir. De plus, l’école est un vecteur pour mettre en valeur la morale de l’Apartheid ainsi que la culture blanche, évitant ainsi, dit-on, les révoltes. L’école devient donc obligatoire pour les noirs jusqu’à 12 ans, et pour les blancs jusqu’à 16 ans. On croit beaucoup en l’éducation dans le gouvernement Verwoerd, malgré la différence de race, ce sera tout de même une amélioration pour l’économie. De plus, il n’est pas forcement impossible que des génies noirs, des anomalies, aident le pays à se développer. L’accès aux hautes études leurs seront alors ouvert si le génie est prouvé.
La deuxième mesure devrait concerner plus les blancs, elle concerne l’innovation. En effet, le gouvernement pense que l’innovation est un vecteur majeur de la croissance, créer de nouveaux produits ou services permet la croissance économique, même si cela peut détruire d’anciens emplois (destruction-créatrice), l’innovation est toujours positif pour les Etats d’origine. L’important est de financer ces entrepreneurs, qui sont important dans l’innovation car une grande entreprise peut difficilement créer de l’innovation. Pour les financer, une banque publique d’investissement spécialisé dans les projets (sérieux) d’entrepreneurs devrait être créée. Le but étant de les aider à créer leurs entreprises, d’aider à administrer, puis de financer via des dettes à intérêts intéressant les différents projets des entrepreneurs.
Pour le moment, cette loi n’est encore qu’à l’état de projet, et les fuites dessus dans la presse sont rares, le gouvernement ne veut plus faire d’erreurs qui lui serait préjudiciable, après la dernière durant la loi sur l’Apartheid qui avait agité les milieux Afrikaners. Cette loi qui d’ailleurs est passé devant l’assemblée, et voté à 55% par cette assemblée.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Affaires diplomatiques
L’Afrique du Sud accepte la rencontre proposé par le Caudillo en Espagne. L’Afrique du Sud ne cesse d’être isolé diplomatiquement, trouver des alliés semble essentiel si l’Afrique du Sud veut survivre dans ce monde.
Le premier ministre Verwoerd veut profiter de cette invitation pour aller visiter la France dont l’Afrique du Sud veut en faire un partenaire militaire important, surtout depuis l’accord sur le Panhard AML qui sera bientôt le squelette de l’armée sud-africaine.
La « South African Prosperity Act. » visant à rendre l’Afrique du Sud puissante économiquement vient d’être diffusé. La presse n’a pas tardé à en diffuser les principales mesures. En plus des mesures qui avaient fuités du gouvernement le mois dernier, ce rajoute beaucoup de mesures incitatives aux entreprises pour investir, que ce soit des entreprises locales ou internationales. On s’intéresse beaucoup à l’international afin de développer le pays (sauf secteurs stratégiques). Plusieurs zones franches sans impôts pour les entreprises devraient bientôt voir le jour, notamment dans les Bantoustans afin de les développer économiquement. Dans ces zones, on y promet des infrastructures afin de pouvoir exporter ainsi que des impôts inexistants pendant 5 ans, puis réduit encore pendant 5 ans. De plus, les frais de douanes devraient être exonérés dans certains ports du pays. L’Afrique du Sud veut mettre un paquet sur l’investissement qu’elle considère comme essentiel dans le développement d’un pays. Pour cela elle va se doter d’une infrastructure digne du premier monde.
Un volet est sur l’export, l’Afrique du Sud veut pouvoir exporter ses produits en étant compétitif car on ne peut pas développer le pays en se concentrant uniquement sur le marché intérieur. Pour cela, on compte beaucoup sur un réseau de PME ultra-compétitif, utilisant une main-d’œuvre qualifié ainsi que reliés entre elles et dépendantes mais aussi en concurrences entres elles. Le gouvernement s’est beaucoup intéressé aux districts industriels italiens. Pour cela, des zones spéciales devraient voir le jour, seul les PME spécialisés dans un domaine pourront s’y installer. Ces zones ne seront pas limiter par l’espace de quelques km², mais de plusieurs dizaines voire centaines de km², les entreprises spécialisés dans ces secteurs y jouiront d’un impôt réduit pendant une dizaine d’année. L’Afrique du Sud devrait créer une institution visant à faciliter les contacts entre ces PME afin qu’elles jouissent le mieux possible des avantages de la division du travail inter et intra-entreprise, ainsi que des opportunités de l’export. Ceci devrait permettre à ces petites unités d’être compétitif et à ne pas avoir l’inconvénient des niveaux de productions trop faible. Une dizaine de ces districts industriels devraient voir le jour, en guise de test, puis généralisés dans tout le pays, notamment, et en majorité dans les Bantoustans. En réalité l’Afrique du Sud compte beaucoup sur ces districts industriels pour développer les Bantoustans car ces districts industriels sont dans des domaines économiques plutôt simple pour une population noire travailleuse, un noir ne pouvant pas réfléchir aussi bien qu’un blanc. Les domaines sont en effet nombreux : produits sidérurgiques, construction mécanique, électrique ou électronique, textile, habillement, tannerie, chaussures, ameublement, céramique, jouet … Des travaux manuels donc et répétitifs qui déshumanisent, encore faudrait-il qu’il y ait quelque chose d’humain chez ce genre de population.
Le projet de loi a rapidement été voté, c’est un Pour à 57% des voix, le but de ce projet étant que tout soit mis en place dès 1965 et que les effets commencent à se faire ressentir dans la même année.
Le premier ministre Verwoerd veut profiter de cette invitation pour aller visiter la France dont l’Afrique du Sud veut en faire un partenaire militaire important, surtout depuis l’accord sur le Panhard AML qui sera bientôt le squelette de l’armée sud-africaine.
Affaires économiques
La « South African Prosperity Act. » visant à rendre l’Afrique du Sud puissante économiquement vient d’être diffusé. La presse n’a pas tardé à en diffuser les principales mesures. En plus des mesures qui avaient fuités du gouvernement le mois dernier, ce rajoute beaucoup de mesures incitatives aux entreprises pour investir, que ce soit des entreprises locales ou internationales. On s’intéresse beaucoup à l’international afin de développer le pays (sauf secteurs stratégiques). Plusieurs zones franches sans impôts pour les entreprises devraient bientôt voir le jour, notamment dans les Bantoustans afin de les développer économiquement. Dans ces zones, on y promet des infrastructures afin de pouvoir exporter ainsi que des impôts inexistants pendant 5 ans, puis réduit encore pendant 5 ans. De plus, les frais de douanes devraient être exonérés dans certains ports du pays. L’Afrique du Sud veut mettre un paquet sur l’investissement qu’elle considère comme essentiel dans le développement d’un pays. Pour cela elle va se doter d’une infrastructure digne du premier monde.
Un volet est sur l’export, l’Afrique du Sud veut pouvoir exporter ses produits en étant compétitif car on ne peut pas développer le pays en se concentrant uniquement sur le marché intérieur. Pour cela, on compte beaucoup sur un réseau de PME ultra-compétitif, utilisant une main-d’œuvre qualifié ainsi que reliés entre elles et dépendantes mais aussi en concurrences entres elles. Le gouvernement s’est beaucoup intéressé aux districts industriels italiens. Pour cela, des zones spéciales devraient voir le jour, seul les PME spécialisés dans un domaine pourront s’y installer. Ces zones ne seront pas limiter par l’espace de quelques km², mais de plusieurs dizaines voire centaines de km², les entreprises spécialisés dans ces secteurs y jouiront d’un impôt réduit pendant une dizaine d’année. L’Afrique du Sud devrait créer une institution visant à faciliter les contacts entre ces PME afin qu’elles jouissent le mieux possible des avantages de la division du travail inter et intra-entreprise, ainsi que des opportunités de l’export. Ceci devrait permettre à ces petites unités d’être compétitif et à ne pas avoir l’inconvénient des niveaux de productions trop faible. Une dizaine de ces districts industriels devraient voir le jour, en guise de test, puis généralisés dans tout le pays, notamment, et en majorité dans les Bantoustans. En réalité l’Afrique du Sud compte beaucoup sur ces districts industriels pour développer les Bantoustans car ces districts industriels sont dans des domaines économiques plutôt simple pour une population noire travailleuse, un noir ne pouvant pas réfléchir aussi bien qu’un blanc. Les domaines sont en effet nombreux : produits sidérurgiques, construction mécanique, électrique ou électronique, textile, habillement, tannerie, chaussures, ameublement, céramique, jouet … Des travaux manuels donc et répétitifs qui déshumanisent, encore faudrait-il qu’il y ait quelque chose d’humain chez ce genre de population.
Le projet de loi a rapidement été voté, c’est un Pour à 57% des voix, le but de ce projet étant que tout soit mis en place dès 1965 et que les effets commencent à se faire ressentir dans la même année.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Union d’Afrique du Sud
Affaires militaires
Le gouvernement Verwoerd veut doter l’Afrique du Sud d’une armée capable d’intervenir sur son sol mais aussi à l’extérieur, notamment dans les pays limitrophes. La situation mondiale à changer, et l’Afrique du Sud n’est pas forcement capable de pallier à ce changement. Les pays coloniaux européens qui pouvaient maintenir une certaine cohésion dans les régions coloniales donnent au fur et à mesure l’indépendance de leurs pays, plus ou moins préparés. L’exemple de la Fédération Bantou inquiète fortement le gouvernement sud-africain pour plusieurs raison : l’Afrique du Sud ne croit pas à ce que l’Etat fédéral Bantou résiste aux différentes tensions dans son pays, que ce soit à cause des différentes ethnies que de langues ou de races, et que le jeune Etat est trop grand pour être géré efficacement. De ce conflit, les blancs de Rhodésie seront en danger immédiat, et possiblement des millions de noirs réfugiés. Le but du gouvernement sera de stopper ces migrants en Rhodésie, et d’évacuer la population blanche si conflit d’importance en Rhodésie. De même que les colonies portugaises qui risquent de profiter de l’affaiblissement du Portugal pour déclarer leurs guerres d’indépendance. Le gouvernement n’oublie pas non plus l’attaque de Sharpeville ou les policiers ont finis par se faire massacrer par la masse noire en Afrique du Sud. C’est pourquoi, au vu de ces situations problématique, l’Afrique du Sud devrait revoir son armée, la passer de 60 000 hommes environ actuellement à 120 000 d’ici 1970, avec toujours cette doctrine d’ultra mobilité qui va bien à la SADF.
De plus, l’Afrique du Sud est plutôt isolée diplomatiquement, et l’Etat sud-africain veut s’assurer de son indépendance. L’armée est l’un de ces domaines important, stratégique, pour un Etat. S’assurer de l’indépendance du matériel est devenu essentiel pour l’Etat-major sud-africain. Plusieurs projets militaires se sont alors ajoutés à ce déjà existant : construction local de camions, véhicules utilitaires, pistolet, fusil d’assaut, armes lourdes, mais surtout un blindé de transport qui s’ajoutera au Alvis Saracen ainsi qu’au futur Eland, licence locale du Panhard AML, dans les divisions mobiles sud-africaines. Ainsi qu’une amélioration des chars Centurion mal adaptés à l’environnement local.
Enfin, le dernier point est la création de brigades Bantous noirs chargés de défendre les Bantoustans (en guise de soutien), équipés uniquement d’unités motorisés (camions …) et non blindés, et d’armes à feu, ils seront une sorte de garde nationale. Environ 10 000 hommes supplémentaires.
De plus, l’Afrique du Sud est plutôt isolée diplomatiquement, et l’Etat sud-africain veut s’assurer de son indépendance. L’armée est l’un de ces domaines important, stratégique, pour un Etat. S’assurer de l’indépendance du matériel est devenu essentiel pour l’Etat-major sud-africain. Plusieurs projets militaires se sont alors ajoutés à ce déjà existant : construction local de camions, véhicules utilitaires, pistolet, fusil d’assaut, armes lourdes, mais surtout un blindé de transport qui s’ajoutera au Alvis Saracen ainsi qu’au futur Eland, licence locale du Panhard AML, dans les divisions mobiles sud-africaines. Ainsi qu’une amélioration des chars Centurion mal adaptés à l’environnement local.
Enfin, le dernier point est la création de brigades Bantous noirs chargés de défendre les Bantoustans (en guise de soutien), équipés uniquement d’unités motorisés (camions …) et non blindés, et d’armes à feu, ils seront une sorte de garde nationale. Environ 10 000 hommes supplémentaires.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires politiques
Ca y est, des centaines de milliers de blancs sud-africains sont invités à aller voter pour les élections générales en ce 18 Octobre 1961. Le parti National est donner favoris, et le premier ministre actuel Hendrik Verwoerd, semble être favori pour gagner les élections.
Malgré l’erreur politique du « Bantu and South Africa Future Act. » qui avait une mesure qui prévoyait l’achat de terres blanches pour la donner aux noirs, qui avait fait scandale dans l’année, le premier ministre était tout de même le favori du parti pour un nouveau mandat. Quelques promesses cependant avait été fait pendant la campagne, notamment pour la partie anglaise de la population blanche, tel que le fait de retourner dès l’année prochaine dans le Commonwealth, si les négociations réussissent.
C’est sans surprise que les résultats ont donnés grand gagnant le parti National contre le parti Unie. Le premier a recueillis un peu plus que 370 000 votes contre seulement 288 000 votes. Le fait que ce soit un vote non proportionnelle mais majoritaire donne 105 sièges du parlement pour le parti National et seulement 49 pour le parti Unie, sur 160. Seulement 6 sièges sont occupés par différents partis. Le premier ministre Verwoerd est donc reconduit jusqu’aux prochaines élections, ou jusqu’à que le parti décide de se séparer de lui, mais le personnage est l’architecte de l’Apartheid, on doute que cela soit possible.
Malgré l’erreur politique du « Bantu and South Africa Future Act. » qui avait une mesure qui prévoyait l’achat de terres blanches pour la donner aux noirs, qui avait fait scandale dans l’année, le premier ministre était tout de même le favori du parti pour un nouveau mandat. Quelques promesses cependant avait été fait pendant la campagne, notamment pour la partie anglaise de la population blanche, tel que le fait de retourner dès l’année prochaine dans le Commonwealth, si les négociations réussissent.
C’est sans surprise que les résultats ont donnés grand gagnant le parti National contre le parti Unie. Le premier a recueillis un peu plus que 370 000 votes contre seulement 288 000 votes. Le fait que ce soit un vote non proportionnelle mais majoritaire donne 105 sièges du parlement pour le parti National et seulement 49 pour le parti Unie, sur 160. Seulement 6 sièges sont occupés par différents partis. Le premier ministre Verwoerd est donc reconduit jusqu’aux prochaines élections, ou jusqu’à que le parti décide de se séparer de lui, mais le personnage est l’architecte de l’Apartheid, on doute que cela soit possible.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires extérieures
La situation dans les colonies Portugaises inquiète très fortement les autorités sud-africaines. Le Portugal ne semble pas capable de maintenir sa puissance en Afrique suite à la perte de territoire en Inde. La problématique de cela est qu’une indépendance des colonies portugaises peut poser problème si les indépendantistes sont anti-sud-africains ou communistes, et il est possible que le pays s’enfonce dans une profonde guerre civile sanglante comme au Congo.
L’Afrique du Sud veut éviter cela, et pour cela le gouvernement devrait déployer à sa frontière un régiment motorisé de la 2ème division d’infanterie motorisée, une batterie d’artillerie, ainsi que l’unité de reconnaissance de la division équipé d’hélicoptères. Au total, environ 3500 hommes, 195 camions de transports, 15 mortiers 90mm, ainsi que 15 artillerie 105mm, 7 artillerie 155mm, ainsi que 2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II.
L’Afrique du Sud veut éviter cela, et pour cela le gouvernement devrait déployer à sa frontière un régiment motorisé de la 2ème division d’infanterie motorisée, une batterie d’artillerie, ainsi que l’unité de reconnaissance de la division équipé d’hélicoptères. Au total, environ 3500 hommes, 195 camions de transports, 15 mortiers 90mm, ainsi que 15 artillerie 105mm, 7 artillerie 155mm, ainsi que 2 hélicoptères SNCASE SE.3130 Alouette II.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires militaires
Le projet militaire prévu pour 1970 qui avait pour but de doubler le nombre de soldats pour l’Afrique du Sud est finalement non retenu. « Trop ambitieux » pour les principaux experts. En effet, l’Afrique du Sud reste très peu peuplée en termes de population blanche, sachant que celle-ci est la seule à servir dans l’armée, due à l’Apartheid. Le nouvel objectif mis en place par le gouvernement est de 75 000 hommes d’ici 1980. Le fait d’avoir très peu de soldats permettra de les équiper du mieux possible. Pour cela, des armes sont commandés : l’Afrique du Sud prend contact avec la Belgique pour produire localement le FN FAL par l’entreprise ARMSCOR. L’arme devra équiper entièrement l’armée d’ici 1970 environ.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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Affaires diplomatiques
Discours de Hendrik Verwoerd, premier ministre de la République d’Afrique du Sud, devant l’assemblée national : « L’Apartheid est presque achevée. Notre idéologie de séparation de développement des races est en évolution constante vers la perfection. Aujourd’hui cependant, l’Afrique du Sud n’est pas en sa forme parfaite, celle de rassembler tous les blancs d’Afrique, qui n’auraient pas peur de la masse noire. C’est pourquoi l’Afrique du Sud doit lancer sa croisade pour la création d’un Etat blanc, grand et puissant, le « Greater South Africa », projet que j’ai déjà défendu, et qui sera mon principal objectif d’ici la fin de mon mandat. La Grande Afrique du Sud vise à rassembler dans un Etat unique les pays d’Afrique australe tel que l’Afrique du Sud, mais aussi le Lesotho et le Swaziland, ainsi que les régions du Botswana et de Rhodésie. Bien évidemment, l’Afrique du Sud n’est pas un pays hostile, et n’attaquera en aucun cas ces pays, qui sont nos amis. Mais j’assure que je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour réunir les blancs d’Afrique sous un Etat unique. »
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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Re: [√] Union d'Afrique du Sud
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République d’Afrique du Sud
Affaires diplomatiques
Le premier ministre Hendrik Verwoerd accepte de rencontrer le premier ministre du Royaume-Uni. Verwoerd y voudrait parler du futur des relations entre les deux pays, puis de la réintégration de la République d’Afrique du Sud dans le Commonwealth.
Skorm123- Boulet Indiscipliné
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