[Accepté] Empire de Valence
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[Accepté] Empire de Valence
Empire de Valence
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I- Informations générales
- Histoire du pays:
Abrégé
Valence a jadis été une cité-État, qui, au fur et à mesure de ses périples, devint une puissance, non pas militaire, mais scientifique. En effet, Valence laissa librement s'installer tous les lycées de philosophie(s) au sein de son territoire, afin d'acquérir une supériorité technique sur les autres communautés qui se hissaient graduellement dans la concurrence interrégionale. Cependant, même si les gains intellectuels étaient immenses, plusieurs ecclésiastiques de divers cultes pré-bénédictes contestaient les afflux de théories sur l'univers et la conception de l'être, sa matière et sa forme, tant physique que spirituelle. Rien, néanmoins, n'empêcha Valence de développer les premières institutions scolaires d'État, grâce à de fins stratagèmes propagandistes, qui attirèrent plusieurs érudits à œuvrer pour la cité.
Une ère de prospérité s'éleva alors, et Valence décupla son savoir-faire, le diversifia, via des marchands orientaux, des spadassins d'Occident, des penseurs de l'Est et des artisans de l'Ouest, des navigateurs du Nord. L'essor grandissait, et peu à peu, attira la convoitise. Certes, pendant que Valence s'agrandissait, d'autres rois de cités voisines s'enorgueillissaient de leur prestige militaire, et jalousaient Valence, davantage pour les richesses que pour les manuscrits. C'est alors qu'après cent ans de paix, les lances se dressèrent, et le sang jalonna les paysages et endeuilla les familles.
Valence, néanmoins, triompha, mais au prix de lourdes pertes.
Une telle expérience initia de nouveaux courants de pensées, qui engendra des réformes dans le système classique, et de la prédominance des hoplites dans les combats, peu unifiés, plus avares de leur gloire et fortune personnelles. Ainsi, des changements s'appuyèrent sur des nécessités de survie, et parvinrent à instituer une armée de métier permanente. Qui plus est, après la guerre, le commerce florissant permit d'engager des vétérans en guise d'entraîneurs et d'agencer l'équipement des guerriers, sans considération pour l'origine sociale de l'individu, car selon les théoriciens de l'époque, l'agilité et la bravoure n'avaient pas de lignée, mais naissaient à même le cœur par l'expérience et les capacités de chacun.
Cité-État lagunaire, Valence voyait sa prospérité croître, sa richesse grandir et ses terres, après quelques générations de stratèges ambitieux ou audacieux, s'étendre. Jusqu'au moment où, face à une autre cité d'ampleur, elle, s’écrasa. Ce royaume entra vite en conflit avec les intérêts des Valentiniens, qui pensaient faire vaincre le tact, se trompèrent amèrement. Une gigantesque guerre de plus d'une décennie épuisa les armées et finit par mettre au sol les deux puissants. Après un statu-quo de deux ans, une trêve arrêta les effusions, mais le commerce, lui, en souffrit trop.
Une lente déchéance commença à paralyser les systèmes, la pauvreté gagna les diverses couches de la société, et les impôts élevés, conséquences de la guerre, sclérosaient l'économie et alourdissaient les charges de l'État. L'Âge d'Or prenant brutalement fin.
Lors d'événements rocambolesque, les rois tentèrent de restaurer le lustre d'antan, mais tandis qu'un monarque relevait le prestige de Valence, un autre le ternissait, et les conflits isolés entre les tribus étrangères qui pillaient les régions côtières et les riverains valentiniens, affaiblissaient l'influence de la cité.
Quelques siècles plus tard, la situation se stabilisa, et le rythme quotidien avait repris son cours naturel, les traites enrichissaient les marchands et paysans, les échanges avec l'Orient faisaient bénéficier à tous un luxe supplémentaire, et l'habileté de diplomates et chefs de la cité nettoyait les souillures qui envenimaient les tensions d'autrefois.
Toutefois, les centaines d'années qui s'écoulèrent avaient profondément transformées et faits muter les mœurs. En effet, une conscience non pas simplement villageoise, mais culturelle s'était formée. Qui plus est, Valence elle-même avait été assimilée par un autre État, paisiblement, et son gouvernement s'étant volontairement vassalisé à une entité qui se faisait surnommer ''l'Empire''. Un nouvel âge illustra une renaissance culturelle, par les arts.
Deux-cent ans passèrent, avant que des communautés vinrent propager l'idée d'une divinité unique, D'abord farouchement et longtemps combattue, cette idéologie séduisait, et finit par devenir coutume: Le Bénédicte. Au loin, dans la Capitale de l'Empire, quelques années plus tard, les officiels annoncèrent que les anciens usages étaient prohibées, et que les enseignements du Père de la Lumière étaient une affaires d'État.
Valence, d'habitude calme, abrita de plus en plus les érudits, tel un autre temps, mais cette fois-ci, elle le faisait sous la protection d'un puissant. Différents séminaires s'ouvraient, les traditions se faisaient valoriser, le commerce se décuplait, les écoles publiques se multipliaient et se spécialisaient, plusieurs ateliers de maîtres s'installaient dans les régions et faubourgs, et surtout, Valence fut ouvertement la cité préférée d'un empereur, qui y octroya des financements colossaux, et une attention toute particulière. Elle fut même nommée, la Favorite. Soixante ans de règne bâtirent Valence tel un foyer de la culture et de l'éducation, avec des écoles variées.
Dès la fin du règne de l'empereur Flavius VI, Valence retrouva sa tranquillité, mais demeura, dès cette période, la cité de référence pour tous les citoyens de de l'Empire. Même les souverains se réservaient des places.
Puis, vint plusieurs marasmes, les guerres, les ravages de la religion, et l'immense conflit civil qui détruisit l'Empire.
Type de puissance : Nouvelle puissance
Capitale : Valence
Population : 9 700 000 (non exhaustif)
Culture(s) : Latine
Religion : Bénédicte réformé
II- Économie Nationale et Science Nationale
Monnaie nationale : Sesterce
Revenus annuels : 170 000
Points de production industriel : ø
Points de recherche : 0.75
Listes des infrastructures militaires et carte de leurs positions (pour les fortifications) :
1x Caserne militaire
Liste des infrastructures civiles et carte de leurs positions (pour les infrastructures de ressources et les villes) :
2x Laboratoire de recherches : +0.5 point
1x Petite scierie de bois
Technologie(s) :
Sabre de cavalerie (1 pt)
Fusil à silex (1 pt)
Canon en bronze (1 pt)
Frégate à voile (1 pt)
Man’o’War (1 pt)
Ballon d’observation (3 pt)
Ressources produites :
Bois : +5 unités annuellement
III- Politique
Régime politique : Monarchie constitutionnelle
Parti au pouvoir : ø
Fonctionnement des institutions
Institutionnellement, l’Empire de Valence est une monarchie constitutionnelle toute particulière, qui entretient un système bicaméral, soit, deux chambres représentatives, dans lesquelles oeuvrent les citoyens pour actionner les rouages sensibles de l’administration gouvernementale.
Liste du fonctionnement simplifié de l’Empire de Valence
Chef de l’État :
Monarque
Chef du gouvernement :
Premier-Conseiller
Sénat d’État :
(Haute chambre)
Patricien(s)
200 hommes agréés
(Basse chambre)
Délégué(s)
30 élus plébéiens
Technocratie :
Les gens éduqués
Suffrage capacitaire
Tous les citoyens qui obtinrent leur diplôme d’enseignement de second cycle
Patricien, qui signifie «Père», dans l’usage ancien, était un individu qui avait une appartenance aux vieilles familles qui fondèrent Valence lors de l’Antiquité, mais au cours des périodes de l’histoire, lesdites familles finirent par disparaître, et un nouvel usage apparut. Plutôt qu’utiliser Père au sens originel, où l’attache se forme par une identité familiale, celui-ci prend désormais une signification distincte, néanmoins rattachée, qui désigne des préservateurs de la conscience collective, soit, les gens éduqués.
Afin d’être nommé patricien, il est nécessaire d’accomplir un cheminement scolaire déterminé. Cette dignité n’est octroyée qu’aux fonctionnaires de l’État, à titre honorifique et distinctif, comparativement aux nombreuses autres reconnaissances académiques et professionnelles, tels que docteur, maître et bachelier. Le programme éducatif adapté à l’obtention du grade scolaire de patricien est organisé par concours, via des examens qui testent les connaissances des candidats, en matière de science politique et de gestion administrative, ce qui comporte plusieurs variantes de sciences humaines.
Contrairement à la hiérarchie traditionnelle latine, le patricien et le plébéien ne sont pas des contraires, telle noblesse et roture, car un patricien est aussi un citoyen, et a juridiquement les mêmes droits qu’un plébéien, car il en est un. Certes, ceci n’est qu’une façon d’identifier le rôle et la position des individus qui exécutent un métier, non une dénomination pour encadrer une caste d’une autre.
Le souverain de Valence, de jure, est le pater familias de la dynastie Tiberius.*
*Actuellement absent, l’aîné de la Maison (impériale) Tiberius est, via une ancienne règle, et à titre exceptionnel, remplacé par le Conseil de régence, constitué de trois représentants1, qui gèrent et assument collégialement les attributions et responsabilités du chef d’État.
1Contrairement au détenteur légitime de la Couronne de laurier qui a pour appellation, Sa Majesté, les trois membres du Conseil sont nommés, monseigneur ou messeigneurs.
Chef de l’État
Il administre l’État, nomme son cabinet (ministres), ainsi que son second (Chef du gouvernement), via les candidatures proposées par le Sénat. Il est détenteur des pouvoirs exécutifs, représentant diplomatique et chef des armées. Selon des règles légales strictes qui ne permettent aucun égarement entre les différentes responsabilités de chacun, le monarque partage ses pouvoirs législatifs avec le Sénat d’État. Légalement, le souverain est en droit d’intervenir dans la justice, mais par égard et vergogne, il se retient, outre sous demande spéciale, de toute ingérence.
Chambre des Pairs
Chambre-Haute
Obligatoirement détenteur(s) du Patriarcat (Doctorat, Maîtrise et Baccalauréat, sont des titres académiques apparentés, mais le Patriarcat est le titre affilié à celui qui a accompli le cheminement scolaire pour être patricien, nom également associé à celui de patriarche.
Ils organisent l’État, votent les lois nationales, proposent des candidats au souverain.
Assemblée citoyenne
Chambre-Basse
Aucune attestation patricienne n’est nécessaire au sein de cet organe, mais un simple niveau académique minimum attesté. Ce sont des élus, provenant de toutes les couches de la société, qui ont été intronisés à une charge de magistrat (député).
Ils présentent et votent les lois locales, noté dans les cahiers de doléances des comités municipaux. Ils délibèrent afin de nommer les membres de la Chambre des Pairs.
- Spoiler:
Libertés fondamentales
Liberté d'expression : Garantie (Abus réprimandés)
Liberté de la presse : Encadrée
Liberté de culte : Non autorisée
Liberté de réunion : Garantie
Liberté de déplacement intérieur : Garantie
Manifestations : Garanties, mais encadrées par l’autorité
Grèves : Interdites (Cahier de doléances)
Réglementation des mœurs
Contraception : Tolérée
Avortement : Interdit (exception : Cas de viol)
Métissage (ethnique et/ou social) : Toléré
Euthanasie : Interdit
Prostitution : Interdite
Polygamie : Interdite
Adultère : Interdit
Vote des femmes : Autorisé
Homosexualité : Interdite dans la sphère publique, tolérée dans celle privée
Mariage homosexuel : Interdit
Adoption par couple homosexuel : Interdite
Racisme,xénophobie,antisémitisme,(tout autre forme de racisme,...) : Interdit*
Jeux de hasards et d'argent : Contrôlé et régulé par l’État (interdit hors-cadre)
Sectarisme : Interdit
*Évidemment, un favoritisme existe pour l’appartenance à l’endogroupe valentinien, et un certain protectionnisme des valeurs, mais rien qui crée un dédain envers les étrangers.
Réglementation sécuritaire
Peine de mort : En vigueur (potence)
Tabac : Interdit
Drogues : Interdites
Alcool : Réglementé aux 18 ans et plus, interdit en deçà.
Armes à feu : Réservées aux autorités
Autres réglementations
Ouverture des frontières : Fermée, ou sous permission
Travail des enfants : Interdit
Majorité : 21 ans
Majorité sexuelle : 18 ans
IV- Forces Armées
2x Lanciers (2 000 hommes)
2x Épéistes (2 000 hommes)
6x Infanterie de ligne (6 000 hommes)
Total : 10 000 hommes
Les corps d’armée sont :
Légion impériale (Terre)
Armada impériale (Mer)
Aviation impériale (Air)
Messire Ulrich- Gratte-papier
- Messages : 11
Date d'inscription : 28/07/2014
Age : 35
Localisation : Québec
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