[Accepté] Second Empire Français

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Orientation politique : Monarchie constitutionnelle

Empereur : Sa Majesté Impériale Napoléon III

Capitale : Paris
Religion : Catholicisme
Type de puissance : Grande puissance
Parti au pouvoir : Parti Bonapartiste (réactionnaire)
Type d’économie : Capitalisme d’État

Population : 37,386 millions d’habitants.

Description du pays : Le Second Empire a été proclamé le 2 décembre 1852 par Louis-Napoléon Bonaparte, alors premier et unique président de la Seconde République. Suite à cette proclamation, il devient « Napoléon III, Empereur des Français », et va mener jusque dans les années 1860 une politique autoritaire. Grande puissance, l’Empire est en plein essor, bien qu'il ait un certain retard sur la colonisation vis-à-vis du voisin britannique, celui-ci enclenche une colonisation rapide en Afrique et lance le moteur économique Français.

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Armée française :

Effectif de l’Armée Impérial : 324 000 hommes.

Ière Légion : 29 000 hommes, garnison : Brest, composition : 27 brigades de fantassins, 2 brigades de cavaleries
IIème Légion : 9 000 hommes, garnison : Rome, composition : 9 brigades de fantassins.
IIIème Légion : 10 000 hommes, garnison : Metz, composition : 4 brigades de fantassins, 6 brigades de cavaleries
IVème Légion : 15 000 hommes, garnison : Algérie Française, composition : 12 brigades de fantassins., 3 brigade de cavalerie, 2 brigades de canons de campagne
Vème Légion : 40 000 hommes, garnison : Strasbourg, composition : 34 brigades de fantassins., 8 brigades de canons de campagne, 8 brigades de cavaleries
VIème Légion : 49 000 hommes, garnison : Bordeaux, composition : 45 brigades de fantassins, 4 brigades de cavaleries
VIIème Légion : 34 000 hommes, garnison : Nice, composition : 30 brigades de fantassins., 4 brigades de cavaleries, 1 brigade de canons de campagne
IXème Légion : 24 000 hommes, garnison : Lons, composition : 24 brigades de fantassins., 1 brigade de cavalerie
Xème Légion : 40 000 hommes, garnison : Montpellier, composition : 25 brigades de fantassins, 3 brigade de canon de campagne, 5 brigades de cavaleries
XIème Légion : 37 000 hommes, garnison : Paris, composition : 37 brigades de fantassins, 4 brigades de canon de campagne
XIIème Légion : 18 000 hommes, garnison : Saigon, composition : 15 brigades de fantassins, 3 brigades de cavaleries, 2 brigades de canons de campagne
XIIIème Légion : 25 000 hommes, garnison : Mustaghanim, composition : 18 brigades de fantassins, 7 brigades de cavaleries, 2 brigades de canons de campagne

Alors que le Second Empire profite de sa prospérité, économique, culturelle et diplomatique, celle-ci doit cependant maintenir le cap vers la montée industrielle qui se profile au loin, et c'est avec fierté que sa majesté impériale Napoléon ainsi que le ministre Adolphe de Forcade Laroquette ont annoncés que le bilan économique de 1860 était très bon, signe d'une futur essor financier, avec le contrat economique signé l'an passé avec le Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande l'an passé, les échanges commerciaux entre les deux puissances mondiales se sont rapidement accentués, à Calais tout comme à Plymouth les produits Britanniques et Français sont légions, le signe d'une possible et futur amitié Franco-Britannique .

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Sur le plan colonial, Napoléon III a promis à chaque indigènes des colonies, que tout homme servant l'armée Française pendant une durée de 7 ans, jouira des droits français, de la nationalité Française, ainsi que d'une pension de quelques centaines de livres après son service, une fois leur période sous les drapeaux, il leur sera possible de rejoindre les hautes institutions coloniales et favoriser ainsi l'intégration du Second Empire, tout comme des pays colonisés, à travers l'Empire Colonial.

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De plus une importante réforme de l'administration, de l'intendance ainsi du commandement militaire va avoir lieu, s'étalant sur près de 3 ans ces réformes ne toucheront en aucun cas l'intégrité des troupes Françaises, mais surtout mettre au commandement dérisoire des sous-officiers ainsi que des officiers supérieurs, du manque de cohésion entre les généraux et surtout faire de l'armée Française une armée plus que moderne et encore plus opérationnel. De plus, désormais les corps d'armées seront renommés par le nom de légions.

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Après plus d'un siècle après la perte de ces colonies en Amérique, le Second Empire Français voit son empire colonial s'agrandir et pour cause, de nombreux sous-royaumes et tribus ont déjà acceptés de se joindre à la civilisation et à la modernisation. Jouissant des différentes campagnes militaires menés en Afrique, l'Empire Colonial Français se stabilise petit à petit, accepté de plus en plus par les populations locales et les chefs de guerre tribaux, les pertes causés par la Guerre de Sept ans vont finalement être de lointain souvenirs, la France a dors et déjà su se faire une place au sein du continent Africain. Profitant de cette stabilité exemplaire, de nouvelles expéditions coloniales vont être menés à travers le continent Africain, notamment en Algérie, au Sénégal et en Afrique de l'est, là où deux nouvelles îles inhabités ont été découvertes par des explorateurs Français. Ainsi, près de 190.000 £ sont débloqués par les caisses du commissaire impériale chargé de la colonisation Africaine pour permettre aux colons d'effectuer à bien leur mission de colonisation et de mises en place de deux comptoirs à travers les nouvelles découvertes insulaires.

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Lançant un véritable élan de modernisation à travers le Second Empire, c'est avec fierté que Napoléon III officialise le nouveau plan de chemins de fer, la démocratisation des transports ferroviaires va rapidement permettre à la France d'accélérer son commerce et l'acheminement de troupes.
Un total de 126.900 £ seront nécessaire pour la création des lignes de chemins de fer.

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L'Empereur avait reçu une visite inespéré aujourd'hui, celle du nouveau premier ministre grec Thalis Vasiliakos, celui-ci était en colère, fatigué et surtout désemparé par la situation extérieure de son pays, " Ah les bâtards ! " tels furent les mots du grec furieux quand il expliqua la situation à Louis Napoléon Bonaparte, sa majesté impériale, discutant dans la cour du palais des Tuileries, le sage être qu'est Napoléon III a su redonner espoir à l'homme venu de l'est, désormais la France se chargera d'effectuer un don de 100.000 £ par an au Royaume de Grèce, de plus son éminence impériale caresse l'idée de redéployer la IIe Légion actuellement en garnison à Rome, à Athènes.

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Avec la nouvelle de la sécession confédéré, c'est l'ensemble de la cour Napoléonienne qui a salué l'initiative que représente le commerce non-protectionniste sudiste, en gage de signe d'amitié, les quelques 150.000 fusils Minié sont fièrement vendus aux sécessionnistes pour le prix de 110.000 £.

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De plus, une entrevue importante entre les représentants royaux de l'Espagne et les ambassadeurs Français en Espagne a eu lieu, notamment sur la question marocaine, et ainsi les deux nations se sont arrangés sur l'accord suivant : l'Espagne met en protectorat la partie nord du Maroc, tandis que la France s'occupe de la partie Sud, chacun donnant 50.000 livres par an à la couronne Marocaine et en envoyant conseiller et ingénieurs pour moderniser le Maroc.

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Quant à la demande Suèdo-Norvégienne, Napoléon III affirme qu'un don de 100.000 £ est effectué pour ensuite donner annuellement 30.000 £ au jeune Royaume, par ailleurs la demande Italienne est bien évidemment acceptée.