[VCSP] Topic Officiel

Etats-Confédérés d'Ecnef.

Photo de l'Etat-Major confédéré, avec la présence du Président des Etats-Confédérés Charles Dumont et le Général Jacques Prousse.

Affaires coloniales et militaires:

Suite à l'augmentation et à l'extension du budget du Secrétaire des Colonies depuis plusieurs mois, le Secrétaire des Colonies Eugène Tournelle a lancé depuis quelques jours le dernier projet colonial de cette année 1880 pour pas moins de trente mille Dofois. Située au Sud de l'implantation coloniale en cours depuis plusieurs petits mois, cette nouvelle colonie riche en fer devrait grandement aider les Etats-Confédérés puisque ces derniers manquent cruellement de fer et de charbon. En ce chaud début de mois de juillet, les premiers colons embarquant pour la nouvelle colonie ont quitté le port de la capitale, Maraix, escortés par les deux torpilleurs de l'expédition coloniale précédente ainsi que deux cents fantassins de ligne également. "Cette nouvelle expédition coloniale se doit d'être une réussite pour l'avenir des Etats-Confédérés", a déclaré le Président des Etats-Confédérés Charles Dumont selon son interview dans le journal quotidien "Le Maraixais", alors que l'isolement géographique et pour le moment diplomatique de la nation ne profitent pas à celle-ci, cette dernière se doit d'être autosuffisance afin de survivre.

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Dans le plus grand secret, l'Etat-Major des Forces armées confédérées d'Ecnef, dont le Général Jacques Prousse est le plus haut gradé, le Président des Etats-Confédérés Charles Dumont et les membres du Cabinet confédéré liés à la Guerre et à l'économie, comme par exemples la Secrétaire du Trésor Germaine Robert et le Secrétaire à la Marine François Mantin, se sont réunis au sein du Quartier-Général de la Marine confédérée à Fortville. En effet, il est indéniable que les Etats-Confédérés d'Ecnef possèdent l'une des plus puissantes flottes du monde et c'est cette puissante flotte qui réussit à maintenir l'indépendance, la souveraineté et la liberté des Ecnefiens. Mais combien de temps celà allait-il durer ? L'un des principaux thèmes d'urgence de la réunion est sans conteste le manque cruel des ressources primaires militaires comme le fer et le charbon au sein des territoires ecnefiens, ainsi que l'invitation du Königreich Jötunheim au sein de l'alliance du Pacte de Fer. Après une réunion extraordinaire et d'une durée de douze heures, il a été conclu à majorité et sous l'impulsion du Président Dumont et de son soutien le Général Prousse que l'avenir énergétique de la patrie se trouve dans les territoires encore non-colonisés et que tôt ou tard, sans ces ressources essentielles, la Marine confédérée ne pourra assurer la défense nationale comme elle le doit, et si celà devait arriver face à une puissante nation, il vaut mieux pour le moment, au détriment d'une petite partie de la souveraineté nationale, accepter de rentrer dans une alliance militaire afin de protéger efficacement les Etats-Confédérés. Afin d'étendre donc la flotte confédérée, deux navires de transport de troupes, un navire de commerce et deux bataillons d'infanterie de ligne sont en cours de production et de recrutement pour pas moins de soixante-dix milles Dofois et deux cargaisons de bois. Les navires seront achevés au début de l'année 1861 alors que l'infanterie se verra entièrement recruter et former courant 1862.

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Affaires extérieures:

Lettre au Königreich Jötunheim:

Cher Roi Franz I de Jötunheim,

C'est avec grand plaisir que nous avons reçu et lu votre courrier diplomatique. En effet, vous avez bel et bien remarqué que nous ne faisons parti d'aucun organisme ou alliance diplomatique avec d'autres nations étrangères. Aujourd'hui et notre époque est une époque d'ouverture sur le monde et nous avons déjà tant entendu parler de votre Royaume, par ailleurs nous avons également récemment contacté votre allié impérial dans le cadre d'éventuels échanges commerciaux. Mais ne connaissant toujours pas bien les Etats-membres du Pacte de Fer, nous voudrions commencer naturellement par obtenir un statut d'observateur avant de nous diriger ultérieurement dans une pleine implication au sein du Pacte de Fer. Qu'en pensez-vous ?

Cordialement,

Charles Dumont, Président des Etats-Confédérés d'Ecnef.

Palais impériale, chambre de l'empereur, 15 Janvier 1881 7h.

Un messager déambula dans la chambre de l'empereur, celui-ci encore endormit, en criant.

Messager : Majesté! C'est un message urgent de la Fédération du Vaanverk! Il a été envoyé il y a trois jours, je ne crains que le bateau qui l'a emmené ici n'est eu quelques complications en route! Je pense que nous devrions répondre au plus vite, avant que cela n’entache gravement nos relations avec la Fédération, elle demande l'autorisation au VDF Noordsterr de se ravitailler dans nos ports.

Empereur Sigmar I : Hum... vous avez bien fait de me réveiller, faites donc ce qu'il faut, écrivez que nous acceptons la demande et que le VDF Noordsterr peut se ravitailler au port de Muddenheim. Et envoyait la lettre au plus vite, je ne veux pas que la Fédération reçoive notre message trois jours après. Maintenant, laisser moi me rendormir!

Le messager s'en alla accomplir sa mission dans son bureau, laissant l'empereur dormir.

♛ Diplomatie ♛

................En ce début d'année 1881, l'humeur du Royaume de Syldavie est relativement mitigée pour plusieurs raisons, toutes prenant racine dans les révoltes républicaines qu'ont subis nos amis et partenaires de la Triple Entente. Tout d'abord, la transition pacifique et démocratique qui a eu lieu au Grand Archiduché Uni de Panhellénie, dorénavant nominé République de Panhellénie, rassura l'administration Zelenka au plus haut point qui décida donc de démobiliser les deux divisions du premier corps d'armée des forces armées royales qui avaient été déployées à la frontière sud-ouest dans le but d'éviter toute propagation des idéaux révolutionnaires et de réguler les éventuels flux de réfugiés. Quelques semaines plus tard, les relations entre Panathéna et Liedau se normalisèrent pour retrouver la très bonne entente qui régnait avant la transition politique qui se fit chez notre voisin. Malheureusement, ce même scénario se répéta quelques mois plus tard chez notre autre allié qu'est la Ligue Impériale des Brumes : Karel Ameshoff, révolutionnaire républicain brumien, réussit à mener ses partisans vers la victoire en prenant le contrôle, par la force, des hautes institutions régaliennes de notre allié. Ce mouvement populaire, aussi brusque que soudain, arriva à s'imposer comme étant la nouvelle représentation officielle des Brumes en instituant la République Nordique des Brumes. Cette entité décida d'emprisonner les anciens représentants de la Ligue, accablés par plusieurs chefs d'accusation plus ou moins véridiques. Face à ces évènements rapides chez notre voisin nordique et en réponse à la lettre de Karel Ameshoff, le Ministre des Affaires Étrangères Vilem I. Geradiev choisit de clarifier la situation entre nos deux nations : la poursuite des liens qui nous unissent ne se fera que lorsque votre République aura montré des signes importants de démocratie et de respect, par exemple en libérant les anciens dirigeants brumiens qui n'ont pas commis de crimes impardonnables (la justice syldave entend par cette dénomination honorifique la traitrise, les crimes de masse, le meurtre des personnes d’État, la corruption d'importance, ...), et par la clarification de votre ligne politique; en effet, d'après les discours que nous rapportent certains voyageurs (qui trouvent un écho significatif dans nos journaux), votre gouvernement se définit plutôt à l'extrême-gauche; malheureusement, le Royaume de Syldavie ne traite pas avec les pays radicaux socialistes. Ainsi, notre nation poursuivra ses accords diplomatiques, économiques et militaires avec les Brumes une fois que ces dernières auront montré patte blanche, avec tout le respect que nous vous devons.

................Tandis que les relations avec la République de Panhellénie sont au beau fixe et que celles avec la République Nordique des Brumes attendent d'être clarifiées, le Ministre des Affaires Étrangères Vilem I. Geradiev reçut plusieurs lettres de diplomates syldaves l'informant que l'Empire du Danaheim a assuré aux citoyens brumiens, perturbés par les changements politiques qui ont eu lieu, qu'il pouvaient se réfugier sur le territoire danaheimien. Cette ingérence dans la politique intérieure d'un ami, certes déstabilisé mais qui reste et restera un allié par la Triple Entente, est inacceptable pour l'administration Zelenka. Aucun communiqué officiel ne fut publié sur cette affaire mais le Royaume de Syldavie reste à l'affut, aussi bien pour ses intérêts que pour ceux de son partenaire nordique.

Spoiler:

♛ Politique ♛

................Le Royaume de Syldavie serait-il sur la voie de la gloire et de la puissance ? C'est la question que s'est posé le Président du Conseil, Aleksander E. Zelenka, lors d'une séance de questions au gouvernement à la Diète Royale. En effet, alors que les ministres et la majorité libérale-conservatrice du Prava Parta (ou Parti du Droit) se défendaient difficilement face aux invectives furieuses de l'opposition incarnée par l'Arbeider Parta (ou Parti Travailliste), le chef de l’État restait pensif, les yeux perdus dans le vide tandis que le cerveau réfléchissait profondément. Ce petit moment de quiétude qu'il s'offrait, alors que la stabilité de la nation se jouait autour de lui, ne plut pas à un député social-démocrate à la voix forte qui l'alpagua farouchement, lui demandant si les discussions l'intéressaient ou s'il souhaitait se retirer dans son palais, provoquant la stupeur des autres représentants du peuple et du public assistant à la séance. La Diète Royale s'était subitement tue, attendant la réaction du plus haut fonctionnaire de l’État. Ce dernier répondit par un discours qui se révéla être le fondateur d'une idée prédominante en Syldavie pour les prochaines décennies à venir :

................« Vous voulez savoir si je veux me retirer dans mon palais ? Il n'en est rien, à la différence de vous travaillistes qui avaient vécu dans ce palais pendant trente années s'en faire avancer la Syldavie. Certes, vous avez un programme qui fit progresser les droits des classes ouvrières. Mais ce ne sont pas les programmes de salut qui manquent à la Syldavie, ce sont la volonté et la réalisation d'un projet. Un projet qui dépasserait les partis, cette assemblée; un projet d'envergure qui nécessiterait toutes les forces vives de cette nation, pour cette génération et celles à venir. Dans notre passé, nous avons fait une guerre splendide au point de vue de l’héroïsme individuel et national. Après avoir été sujets, les syldaves de 1808 étaient devenus guerriers. Mais la sociale-démocratie a mené la guerre comme une affaire d’administration ordinaire. Ces hommes que nous connaissons tous, dont les images physiques sont imprimées dans nos esprits, nous apparaissent désormais comme dépassés, décatis, comme des déchets, comme des vaincus. Les choses sont claires : il s’agit de démolir toute la superstructure sociale-démocrate. Nous aurons un État qui tiendra dans ce simple discours : « L’État ne représente pas un parti, l’État représente l'intérêt national, il protège la liberté et se dresse contre quiconque porte atteinte à ses fonctions régaliennes ». Cet État sera et restera inviolé et ce par la pratique constante de la reálpolitika, soit la politique fondée sur le calcul des forces et l'intérêt national. Voilà l’État qui doit sortir de cette séance. Ce nouvel État servirait un projet incroyable, une ambition extraordinaire : la Grande Idée. Cette Grande Idée répandrait les valeurs universelles de notre pays. Elle assurerait la force de notre peuple et la grandeur du Royaume pour les prochaines décennies à venir : par la libéralisation de nos finances, par l'affirmation de la tradition syldave et royale dans notre société, par l'expansion territoriale et l'assimilation à notre culture des peuples colonisés, par le développement de notre puissance militaire incroyable, par le renforcement de nos liens avec nos alliés. C'est seulement par la réalisation de ces objectifs que la Grande Idée serait accomplie et que les hommes et les femmes de notre Royaume deviendraient les forces vives d'une nouvelle puissance mondiale. Ces hommes et femmes, oubliés par la philosophie politique des gouvernements sociaux-démocrates des trente dernières années, lèvent les yeux vers nous pour être guidé et pour une opportunité de faire parti de la grande marche syldave. Nous tous ici assemblés, établissons-nous prophètes d’un nouvel ordre de courage et de liberté. Ceci est plus qu’une réponse lors d'une séance : c’est un appel aux armes. Donnez-moi votre aide pour vaincre dans cette croisade pour rendre la Syldavie à son peuple. Donnez-moi votre aide pour faire de notre Royaume la puissance de cette ère !»

................Ce discours spontané du Président du Conseil fut reçu par un tonnerre d'applaudissements venant de la part de la majorité libérale-conservatrice et du public assistant à l'audience, tandis que l'opposition sociale-démocrate tentait en vain de se défendre. Le Président de la Diète Royale, Karol A. Hlavatchek, décida de suspendre la séance pour laisser les esprits se reposer quelques minutes. Le lendemain et les jours suivants, le discours d'Aleksander E. Zelenka fut publié dans tous les journaux, partisans ou non de sa politique. La société et ses commentateurs se rendirent compte rapidement qu'un évènement important venait de se passer : après trente ans de ralentissement économique et de léthargie générale, le gouvernement libéral-conservateur venait de définir un nouvel objectif à atteindre pour la nation.

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♛ Finances ♛

................Deux semaines après le discours historique du Président du Conseil à la Diète Royale, les ministres des Finances, Teodor L. Filipovic, du Commerce et de l'Industrie, Vaclav K. Horatchek, de l'Agriculture, Emil Kridz, et des Transports et des Travaux Publics, Artjom T. Skalicky, publiaient un rapport commun faisant état des avancées économiques significatives réalisées par l'administration libérale-conservatrice, motivée par les objectifs de la Grande Idée. Tout d'abord, le Royaume de Syldavie dépensa en 1880 60,000 krona dans le but de coloniser plusieurs milliers de kilomètres carrés à l'ouest du pays, aussi bien pour assurer notre expansion territoriale extrêmement nécessaire suite à la croissance démographique galopante que pour fournir des matières premières supplémentaires à l'industrie naissante. Ces trois provinces furent intégrées officiellement à la nation en janvier, tandis que le mois d'après de nouvelles colonisations syldaves furent autorisées par le gouvernement dans les montagnes du nord pour la somme de 60,000 krona : plusieurs centaines de familles se sont ruées vers ces massifs pour y trouver des métaux et les revendre aux plus offrants dans les villes minières scittes. Ensuite, un grand réseau de routes de terre fut fait en 1880 pour le moderniser durant les cinq prochaines années à venir en réseau de routes de pierre, puis peut-être en réseau de chemins de fer. En outre, dans la nouvelle politique d'innovation initiée par l'administration Zelenka, deux complexes de recherche viennent compléter le laboratoire de recherche situé dans la capitale, à Liedau, pour 1,200 tonnes de pierre, 1,000 tonnes de fer et 600 tonnes de cuivre. Enfin, plusieurs autres infrastructures d'ordre militaire ou civil sont construites dans le but d'assurer le développement, sur le long terme, du Royaume : une caserne militaire est conçue dans la capitale pour 200 tonnes de bois, 100 tonnes de pierre et 100 tonnes de fer, ainsi qu'un aérodrome pour 200 tonnes de fer, 200 tonnes de pierre et 100 tonnes de cuivre. Un autre est bâti à Novolevski pour les mêmes quantités de matière. Enfin, pour assurer la bonne marche de l'industrie syldave et son approvisionnement constant en ressources naturelles, il a été décidé en ce début d'année, grâce au rapport délivré par la commission interministérielle, de lancer l'aménagement de deux carrières de pierre au nord-est pour 600 tonnes de bois et 400 tonnes de fer et d'une autre plus petite au nord-ouest pour 100 tonnes de bois et 100 tonnes de fer. Les ressources manquantes, notamment le cuivre qui n'est pas présent en abondance sur notre territoire, seront achetées auprès de nos partenaires commerciaux dans les mois à venir, tandis que la totalité des infrastructures précédemment citées seront terminées aux alentours de janvier 1883.

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♛ Forces Armées Royales ♛

................Le Ministère de la Guerre, sous la direction du libéral-conservateur Theodor L. Valenta, venait de voir son budget annuel exploser pour atteindre des sommets et ce pour plusieurs raisons : d'une part, l'instabilité interne de nos alliés au sein de la Triple Entente due aux révoltes républicaines risque d'attirer les appétits des puissances étrangères; d'autre part, dans l'optique de la Grande Idée, il est impératif que notre nation dispose d'une armée puissante et moderne qui permettra d'assurer l'hégémonie syldave sur une bonne partie de l'Aradie du Nord. C'est pourquoi sur les années 1880 et 1881, les forces armées royales disposaient d'un budget de 280,000 krona dépensées de diverses façons : tout d'abord, de vastes investissements ont été fait dans la recherche d'une nouvelle arme personnelle, le fusil à chargement par la culasse M1885 Nádinski-Komora qui devrait voir le jour en 1885 et changer considérablement les techniques de combat. Ensuite, quatre batteries de l'artillerie fixe, soit 120 pièces en tout, sont constituées et réparties entre les différentes divisions de l'armée pour 80,000 krona et 400 tonnes de bois. Enfin, 16,000 fantassins de l'infanterie de ligne sont recrutés pour la somme de 160,000 krona et sont également répartis entre les branches de l'organisation terrestre du Royaume. Ainsi en ce milieu d'année 1881, le Royaume de Syldavie a décuplé sa puissance militaire, en plus de conserver 40,000 krona, 2,800 tonnes de charbon, 500 tonnes de pierre, 400 tonnes de bois et 400 tonnes de métaux rares pour le reste de l'année.

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⊕ République Libre du Détroit / רפובליקת המיצרים חינם ⊕

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---------------|Diplomatie| ⊕ La République Libre du Détroit recherche activement d'important stock de ressources, et passe donc une demande à ses amis et ses alliés, la liste des ressources est de 10 cargaisons de pierre, 10 cargaisons de fer, 5 cargaisons de cuivre. Enfin, nous aimerions acheter à quiconque la technologie militaire du fusil à verrou et nous sommes prêt a y mettre le prix. L'Amiral Myriam Bonheur de la Marine Républicaine Libre aimerait repasser la commande de cinq Torpilleurs de classe « Mesrine » aux Cités Libres d'Atlantas ( Prix de l'accord 42 500 Libro en 1881, et 42 500 Libro en 1882 )

----------|Diplomatie| ⊕ Le Président et Représentant du Peuple M. Graig Hilson est heureux des événements se passant dans l'ancienne Ligue Impériale des Brumes et la nouvelle et prometteuse République Nordique des Brumes, c'est un grand soutien qu'il souligne et annonce que si des aides dans les domaines militaire, économique ou même diplomatique est nécessaire, la République Libre du Détroit les satisfera.

----------|Colonisation| ⊕ Une année est passé depuis le plan d'aménagement proposé par le gouvernement Hilson et voté par le Parlement. Après un conseil gouvernemental puis parlementaire afin d'en tirer le bilan, chaque député en ressort avec le sourire, c'est sans aucun signe d'hostilité que l'aménagement à eu lieu, les populations anciennement sous le joug de l'Empire et depuis cinq année en total anarchie ont étaient heureuse d'intégrer la République Libre du Détroit. Le Ministre Populaire, M. Benjamin Barrington, c'est rendu en ces nouvelle terre afin de rencontrer les populations et leur assurer la place de citoyen comme les autres au sein de la République et qu'elle leur offrira un toit, de la nourriture et une protection immortel. ( Estimation de l'aménagement 60 000 Libro par année )

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---------------|Militaire| ⊕ L'Armée de Terre Libre annonce le recrutement de dix brigades d'Infanterie, 10 000 hommes, ainsi que de cinq unités de cavalerie, 5 000 cavaliers. Ainsi que de 2 brigades d'artillerie fixe pour renforcer les positions défensive du Détroit. ( Estimation du recrutement 155 000 Libro et 2 cargaisons de bois. ).

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