[VCSP] Topic Officiel

Affaires Intérieures


Suite à la montée des tensions entre nos alliés et les nations du Pacte de Fer ainsi que le Vestiland, un plan de construction immédiat d'une escorte supplémentaire de torpilleurs pour le prix de 70 000 ducats Vaanverker ainsi que 300 tonnes de bois et 100 tonnes de fer. Les navires seront terminés d'ici 6 mois et seront mis à l'eau dans le port de Vrijstatt.

Les navires en construction sont :

VDF Strijd
VDF Confrontatie
VDF Volhouden
VDF Volhouden II
VDf Volhouden III

---------------|Militaire| ⊕ L’Etat-major de la République Libre du Détroit à enfin mit un plan de défense du Détroit. Ce Plan rassemble les trois branches des Armées Libre du Détroit, terre, mer et air. Après de nombreux recrutement et achat, les forces Armée permanente ce sont bien renforcé et permette aujourd’hui d’assurer une sécurité au Détroit. Les ballons d’observation, les récents torpilleurs et les canons d’artillerie en fer que les laboratoires militaire ont mis en place en cette année 1882 vont permettre une force de frappe et d’anticipation importante à la République.
---------- Les 10 ballons d’observation « Obs » sont un des éléments les plus important du système de Défense du Détroit et de sa puissance d’anticipation, ils surveillent en permanence par équipe de 5, les deux entrés du Détroits et par des tours de garde entre les 5 ballons, des informations sont directement transmisse par bouteilles en fer, lancer aux officiers au sol qui peuvent par des messagers prévenir une attaque terrestre ou naval avant même que l’ennemis n’est pénétré le territoire de la République Libre du Détroit.

Spoiler:

---------- La Marine Militarisé Nationale pour l’instant composé de dix torpilleurs de classe « Mesrine » mais qui s’étoffera à l’avenir, est forte de son mobilisme important, une petite taille compensé par une armature en fer et un armement lourd. Son mobilisme que les Amiraux utilisent à bon escient, les torpilleurs auront divers trajet défini mais donné aléatoirement à chaque retour aux ports de ravitaillement, beaucoup de golfe et de baie existe sur le Détroit qui n’est pas un simple fleuve avec deux côtes, les torpilleurs devront s’y cacher et contre attaquer intelligemment si une attaque de grande envergure à lieu. Enfin, aucune force navale ne doit se déplacer, sans en avoir reçu l’ordre préalablement, proche des entrées du Détroit déjà surveillé par les Ballons d’observation.
---------- Les Forces Terrestre lourde de plusieurs dizaines de millier d’hommes et de centaines de pièce d’artillerie ont principale but de défendre les frontières maritime, seul 1/8 des forces s’occupe des frontières terrestre. Récemment découvert et développé, les canons d’artillerie de fer ont étaient disposé au niveau des ports des grande villes de la République ainsi que sur les points stratégique des entrées du Détroit afin de contrer principalement une attaque maritime, voir un débarquement.
( Estimation total de la mise en place du plan : 10 000 ♅ )

Affaires externes

Communiqué à la République Libre du Détroit

La République Fédérale de Chelov vous propose le contrat suivant :
Chelov vous fournira pendant 5 ans, à raison d'une livraison par an, 2 cargaisons de fer, 4 cargaisons de pierre et 2 cargaisons de charbon. En échange, le Détroit fournira à Chelov 10 cargaisons de bois, 25.000¢ ainsi que les plans des canons de bronze avant la fin de l'année 1882.

Communiqué à la Fédération du Vaanverk

La République Fédérale de Chelov souhaiterait vous acheter 6 cargaisons de bois au prix qu'il vous conviendra. La livraison devra être effectuée avant la fin de l'année 1882.

Missive à la République de Chelov :

Nous pouvons envoyer immédiatement les 6 cargaisons de bois pour la somme de 30 000 ducats.

---------------|Diplomatie| ⊕ La République Libre du Détroit accepte l'accord commerciale et économique avec la République Fédérale de Chelov qui est de 200 tonnes de fer, 400 tonnes de pierre et 200 tonnes de charbon par an pendant 5 ans. Ainsi que la donation de la République de Panhellénie de 1 400 tonnes de pierre, nous en somme très reconnaissant de la part d'une République proche et ami de la notre.

Affaires externes

Communiqué à la Fédération du Vaanverk

Nous acceptons les conditions du contrat.

Suite au cessez le feu de Chelov, les 5 frégates sont annulées pour un gain de 5 bois et 200.000 GSK.
Notre trésor se porte donc a 636.000 GSK et 60 Bois .

Nous vous sommes infiniment reconnaissant pour votre coalition , mais ,notre marine est dépassée, comme l'a montré cette guerre. Nous vous demandons donc donc une dernière aide qui est la construction de navires moderne pour notre armée .

Affaires internes

Suite aux difficultés de résolution du conflit provenant de l'obstination des États-Confédérés d'Ecnef, le gouvernement de la République a maintenu la mobilisation partielle. Des fortifications côtières lourdes sont en construction sur les deux rives sud du détroit de la République. Afin de protéger leur construction, les 18 torpilleurs de la Marine sont déployés le long des côtes en cours de fortifications.

Les exigences inconsidérées des États-Confédérés, couplées à l'attaque perfide de la flotte de la République par la coalition menée par l'Ecnef alors qu'une demande diplomatique avait été faites, ont amenés la presse a jeté ses foudres sur les "États-Traitres d'Ecnef". La population est plus que revancharde.

Image de la presse montrant un soldat de la République Fédérale et un soldat des États-Confédérés se faisant face

République fédérale du Mannheim

Le Président Von Miquel a rappelé au Détroit, ainsi qu'à ses alliés, qu'il serait fort regrettable d'entrer en guerre contre une République qui se revendique comme les plus ouvertes et démocratiques au monde :

"Vos idéaux sont les nôtres, et pourtant vous vous attardez à nous provoquer dans des conflits inutiles, par pure impulsivité. Déclarer la guerre au Mannheim, c'est refuser à votre vision du monde, de la vie et de la politique, dans toutes ses formes. Nous sommes frustrés de cet affront et saurons défendre l'honneur, la République et la démocratie si nécessaire."

Affaires externes

Communiqué du Parti Bénédictin Chelovek à l'État Pontifical de la Foi Bénédictine

Votre Sainteté, je me permets de prendre contact avec vous afin de vous demander humblement de prendre une place de médiation dans les négociations entre la République Fédérale de Chelov et les États-Confédérés d'Ecnef. Je crains que le refus de négocier de la part de l'Ecnef et de Chelov n'entraîne une guerre qui s'étendra rapidement par le jeu des alliances.

J'espère que vous répondrez à temps avant que la situation ne s'envenime.

Etats-Confédérés d'Ecnef.

Affaires intérieures:

Suite à la récente colonisation de nouveaux territoires, le Sénat confédéré a approuvé le lancement de plusieurs projets de construction. Une mine de cuivre (deux cargaisons de bois et deux cargaisons de fer) et une mine de fer (deux cargaisons de bois et deux cargaisons de fer) sont en cours de construction alors que parallèlement est lancée le projet de deux laboratoires de recherche respectivement à Frambourg et Platréal (six cargaisons de pierre, deux cargaisons de fer et une cargaison de cuivre). La construction d'un laboratoire de recherche à Platréal montre bien l'effervescence et la croissance rapide que représente cette ville coloniale toujours en extension et en accroissement urbain ! Les colons et le Maire Benoit Clocher se disent fiers d'accueillir une telle infrastructure au sein de leur "ancienne petite ville coloniale" selon le Maire de la ville, ravie selon la photo provenant du journal quotidien "Le Maraixais".
Simultanément, deux escadres de torpilleurs sont mis sur le chantier afin d'accroître la défense maritime confédérée au vu des récents événements (que je détaillerai demain dans mon post) pour pas moins de cent quarante milles Dofois (+ six cargaisons de bois et deux cargaisons de fer).

Spoiler:

Affaires internes

Alors que la guerre s'achève contre la perfide coalition du sud, le Sénat vient d'approuver le nouvel hymne de la République.

La Marine Nationale s'octroie également un "air musical officiel".

La défaite passe mal au sein du peuple et du gouvernement. Le nationalisme et le patriotisme en ont pris un coup. Les tensions lors des négociations de paix ont exacerbés les volontés revanchardes du peuple contre les États-Confédérés d'Ecnef, qui devient le rival n°1 de la République Fédérale aux yeux de la population.
Certains journaux parlent déjà de la "Guerre d'Opposition", non pas comme une guerre concrète, mais comme une opposition diplomatique directe entre les deux nations.
Une fois les troupes expéditionnaires débarquées en métropole, le Sénat a décidé la fermeture du détroit à tout navire, commercial ou militaire, battant pavillon des États-Confédérés de l'Ecnef, du Khévirat des Haradrims et de la République du Vestiland. Pour leur commerce, ces pays devront faire le tour de Khartoum et donc augmenter leur consommation en charbon.
Les nations voulant commercer avec ces trois pays en passant par le détroit de Chelov devront s'acquitter d'une taxe lors du passage du détroit à hauteur de 500¢ par navire à destination d'un de ces trois pays bloqués.

En matière militaire, l'armée et la Marine font le bilan de l'opération. La flotte a été victime de son éparpillement et du manque de navire lourd. C'est pourquoi d'ici la mi-1882, les 5 torpilleurs en cours seront achevés et 2 escadres de 5 torpilleurs classe Legia chacune seront construite en plus. Début 1883, ces commandes seront achevés et le pré-dreadnought classe Coram en cours de construction sera achevé. Les chantiers navals lanceront donc 2 nouveaux pré-dreadnoughts classe Coram afin de compenser les pertes de la guerre et reconstruire un potentiel naval capable de rivaliser avec l'Ecnef.

Concernant l'armée de terre, la mobilisation prend fin. L'État-Major a annoncé que la recherche concernant la mise au point de canons en bronze était achevée. Le Ministère de la Guerre a quant à lui annoncé la levée de 5 brigades d'infanterie de ligne supplémentaire.

Troupes Fédérales lors de manœuvres militaires

Le Concile des Citoyens a voté l'application d'une réforme scolaire, approuvé auparavant par le Sénat, sur proposition du Président du Conseil.
Cette réforme applique l'école publique laïque, divisée en deux échelons : l'école d'instruction primaire, de 6 à 13 ans, et l'école d'instruction secondaire de 14 à 17 ans. Ces deux écoles sont obligatoires pour tout Chelovek.
Les programmes sont constitués, pour le primaire, de mathématiques, de grammaire, de leçons d'orthographes, de cours d'histoire (bien évidemment endoctrinés) et de leçons physiques de gymnastique et d'endurance.
Le secondaire contiendra sensiblement le même programme, incluant en plus les sciences naturelles, les sciences économiques, la physique, la chimie et des cours d'instruction militaire. Ces cours d'instruction militaire seront composés d'instruction maritime pour les écoles des provinces côtières et d'instruction terrestre pour les écoles des provinces intérieures et coloniales.

Jeunes en cours d'instruction militaire

Spoiler:

Échec de l'expédition polaire du VDF Noordsterr

C'est après avoir reçu un télégramme urgent de la République Nordique des Brumes qu'un navire de la Marine Fédérale, le torpilleur VDF Vrij s'est mis en route pour le Grand Nord. En effet, Erik van Looken, explorateur Vaanverker, a été secouru par un navire Brumien après la prise dans les glaces et la destruction du VDF Noordsterr par la pression immense de la Nature.

Erik van Looken serait le seul survivant de toute l'équipage. Le VDF Vrij l'ayant récupéré dans le Nord après son sauvetage, l'a emmené à Zeekut pour qu'il reçoive des soins intensifs. En effet, l'explorateur souffre de graves engelures sur les doigts et les pieds, ainsi que d'une grave blessure oculaire suite à un accident à bord du navire. Il est probable qu'Erik van Looken devienne borgne.

Il a cependant annoncé clairement sa volonté à ré-organiser une expédition vers le Nord, malgré l'échec de celle-ci, une fois rétabli. Le Président Robert Laarspeck lui a décerné le titre de Citoyen d'Honneur de la Fédération du Vaanverk.

Nous envoyons au Khédivat des Haradrim et au Etats-Confédérés d'Ecnef 150.000 GSK en gise de remercient au deux nations .
Le budget se porte donc a 336.000 GSK.
Nous proposons également a Ecnef un de nos comptoirs, celui le plus a l'ouest .
Nous rappelons également notre demande de construction de navires plus modernes par les Haradrim

Affaires externes

Communiqué à l'Empire Spartanian

La République Fédérale souhaiterait, afin de financer ses réformes et la refonte de sa flotte, emprunter à l'Empire Spartanian la somme de 130.000¢. Nous vous laissons le choix des conditions.

Etats-Confédérés d'Ecnef.

Maraix, ancienne capitale du Royaume de Maraix de 1639 à 1702, puis de la République de Maraix de 1820 à 1845 et enfin actuelle capitale des Etats-Confédérés d'Ecnef depuis 1845.

Affaires intérieures:

Maraix, capitale des Etats-Confédérés d'Ecnef, dix heures du matin:

La journée était magnifiquement ensoleillée et aux bonnes températures, ni trop chaud, ni trop froid grâce à un petit vent. Une journée donc parfaite pour ce grand événement national qui attira de très nombreux médias nationaux mais aussi internationaux. Une grande partie des Maraixais était sortie mais également souvent des habitants venant des communes alentours afin de pouvoir assister à cet événement hors du commun, de l'autre côté des cordons de sécurité se tenaient des centaines de milliers de spectateurs. Certains étaient même arrivés plusieurs heures à l'avance afin d'avoir le meilleur emplacement possible. Partout des drapeaux confédérés s'agitaient alors que les enfants étaient portées sur les épaules de leurs parents afin de pouvoir voir le défilé militaire. Quelle joie, quelle fierté dans le coeur des Ecnefiens de fêter cette première victoire militaire de la Confédération sur une nation impérialisme souhaitant soumettre les plus faibles qu'elle ! Une belle victoire de la Justice pour les Ecnefiens.

Spoiler:

Dix heures, les rues étaient bondés de spectateurs, le défilé commença. Alors que le port de Maraix fourmillait de spectateurs qui parfois tentaient de dépasser les cordons de sécurité avant que les soldats ne les reconduisent à leurs places avec un avertissement, les premières colonnes de fumées noires apparurent au large du port maraixais et les petites tâches noires firent apparaître avec éclat la parade navale qui s'approchait du port. Alors que deux pré-dreadnought et deux torpilleurs ayant livré combat quelques petits temps auparavant se rapprochaient du port, ils se séparèrent en deux groupe par une manoeuvre sublime à voir et laissèrent entrevoir, puis complètement voir les cinq navires de transport capturés. Immédiatement alors que ceci étaient pratiquement à quais et que les nouveaux équipages arboraient leurs uniformes de cérémonie, plusieurs lâchés de colombes, symbole de la paix, sortirent des navires de transport. Le spectacle était grandiose à voir et les enfants étaient ravis de voir tant d'oiseaux s'envolés.

Spoiler:

Puis le défilé militaire terrestre commença en remontant toute la Rue de la Confédération jusqu'au Palais de la Confédération où le Président des Etats-Confédérés Charles Dumont et le Cabinet attendaient le défilé. A la tête donc de ce dernier, l'Amiral Benoit Pougue, Amiral de la Marine confédérée et qui avait pris le commandement personnel de la flotte avec les autres amiraux haradrims et vestilandais, défilait en premier avec une bonne partie de son équipage venant du pré-dreadnought CSS François II et fleuron de la Marine confédérée. L'Amiral était fier de défiler et celà se voyait, la très grande majorité des Ecnefiens présents le remercier en criant, applaudissaient à pleines mains ou bien parfois pleuraient de joie. La fierté se voyait sur tous les visages ecnefiens que ce jour, ce défilé, le peuple en avait besoin pour exprimer leur volonté de défendre la Liberté et la Démocratie dans le Sud du monde. Suite à l'équipage du CSS François II, plusieurs divers autres équipages de navires avec leurs uniformes de cérémonie défilèrent également, avec quelques unités d'infanterie de ligne durant pas moins de deux heures et demi avant de rejoindre les formations devant la tribune présidentielle et gouvernementale.

Spoiler:

Là aux alentours de treize heures, le Président des Etats-Confédérés, entouré des cinq membres du Cabinet, remit personnellement à l'Amiral Benoit Pougue la Croix de la Légion confédérée, la plus haute décoration honorifique des Etats-Conférés et jamais attribuée par le passé depuis la création en 1845 des Etats-Confédérés d'Ecnef, qui l'accepta avec grande humilité. Puis l'hymne nationale, le Chant des Partisans, retentit dans tout Maraix. Pas un seul mot ou presque ne fut prononcé dans l'immense foule qui était le long de la Rue de la Confédération et dans les rues avoisinantes pendant que l'hymne nationale était jouée et chantée aux points respectifs afin que tout Maraix puisse l'entendre.

Spoiler:

Mais le défilé ne s'arrêta pas à la fin de l'hymne pour autant. En effet, le Président des Etats-Confédérés Charles Dumont, toujours très populaire depuis son premier mandat présidentiel de 1873 à 1878, monta quelques marches de la tribune présidentielle qui faisait face à toute la Rue de la Confédération, jusqu'à son présentoir puis prononça le discours suivant:

" Ecnefiennes, Ecnefiens,

Aujourd'hui nous ne fêtons pas la victoire des Etats-Confédérés d'Ecnef et de ses alliés sur la République fédérale de Chelov, non ! Non ! Aujourd'hui nous fêtons la victoire de la LIBERTÉ et de la DÉMOCRATIE sur l'IMPÉRIALISME et la tentative de SOUMETTRE autrui par la force ! Au prix de nombreuses vies ecnefiennes et alliées malheureusement, aujourd'hui nous pouvons être fiers que sur nos cartographies apparaît toujours la nation de Vestiland comme libre et indépendante. Tant que nos valeurs qui ont fondé notre belle Patrie et la maintiennent à flot à savoir la Liberté, la Démocratie et la Souveraineté donneront du courage à nos marins d'écumer les mers du Sud contre ces Briseurs de Libertés ou bien à nos soldats de parcourir Bryttenwelda contre ces Impérialistes anarchistes, alors les Etats-Confédérés d'Ecnef resteront debout et seront le fer de lance de la Souveraineté de chaque Etat du Sud. Même si la République fédérale de Chelov tentera sûrement de nous diaboliser aux yeux du monde alors que nous sommes les premiers à défendre les valeurs pour lesquelles soit-disant la République fédérale de Chelov combat, à savoir celles du Front républicain, notre Nation ne coulera pas, au contraire. Cette Grandiose victoire militaire a montré aux yeux du monde qu'il ne faut pas tenter d'importuner et de soumettre les nations sudistes sans craindre une réaction globale d'elles !

Liberté, indépendance et union ! Vive la Confédération ! Et Gloire et Prospérité aux Etats-Confédérés d'Ecnef !

Spoiler:

Afin de protéger le territoire national de toute invasion, le gouvernement à décréter en collaboration avec l'Etat Major de l'Armée de Terre, le début de la construction de fortification lourde et légère le long des frontières. Ce plan, placé sur le commandement du Ministre de la Guerre, Monsieur Thuaidh portera le nom de ligne Thuaidh.
Elle sera composé de plusieurs lignes de fortification lourde et légère combiné par des tranchés réservé aux troupes d'infanterie. Afin d'assurer la qualité des fortifications, l'Armée va recruter de nouvelles unités dont des pièces d'artilleries ainsi que des bataillons de forteresse spécialisé dans la défense de cette ligne. La priorité des constructions étant donnée à la ligne nord. En effet, à l'Ouest et au Sud la forêt de Lug forme une frontière naturelle difficilement franchissable.
En plus de ces lignes, des fortifications lourdes côtières seront construite afin de protéger les villes de débarquement.
Carte:

Spoiler:

Coût du projet: 60 bois + 24 pierres
Durée des premières constructions: 3 ans
Recrutement: 3 bataillons de forteresses + 2 batteries d'artillerie

La construction de la ligne s'accompagne d'une réforme de l'uniforme. A la place du rouge jugé trop voyant, l'Etat Major a adopté une couleur verte kakis. Les uniformes des troupes coloniales restent eux identiques.
Voici le nouvel uniforme:

République Fédérale du Mannheim

Au Mannheim, on s'indigne. La plaie est encore très fraîche et profonde. Les journaux mannheimois en font la une de l'actualité : la prétendue "République libre" du Détroit, qui viole le territoire administratif d'outre-mer du Freihafen, abrégé du Freiheithafen, le "Port de la liberté" de la République Fédérale du Mannheim. Le comportement belliqueux du Détroit va de paire avec Chelov. Les caricatures se multiplient, avec des images que certains membres du gouvernement approuvent, comme la meute de chiens qui se bousculent pour faire basculer la paix certes fragile, mais la paix mondiale, en revendiquant leur jeu d'alliance, en s'inventant des nations ennemies, en proclamant des idéaux qui salissent l'image de la République.

Dans tout ce défouloir médiatique, mais également ce déchirement national, le gouvernement tente de garder son calme. Le Mannheim est une nation récente, à industrialisation précoce. Les grandes structures de l'économie du pays doivent être jetées dès maintenant.

Le Premier Ministre Gustav Von Roon s'y attelle et a dans un premier temps rappelé qu'il fallait progressivement effacer la place de l'Etat dans l'économie, du moins dans son fonctionnement et de réserver les grandes politiques interventionnistes lorsque c'est nécessaire. Réinventer le pays, créer une nation moderne et attractive aux yeux du monde, c'est l'objectif du gouvernement des Modérés.

Spoiler:

La République Fédérale du Mannheim est un Etat faible producteur de ressources, c'est un fait. Les importations vont augmenter au fur et à mesure que le pays va d'industrialiser et s'enrichir. Avec le suivi de la Haute Instance de la Conformité et de la Transparence, et après 2 ans de préparation, l'Etat va procéder à la création de 4 grandes entreprises publiques chargées d'acheter les matières premières à l'étranger et de les revendre sur le marché national. Règles du jeu : ces 4 entreprises ont 4 ans pour présenter le meilleur résultat possible. Dans tous les cas, 1 d'entre elle sera démantelée à la fin du délai et les 3 meilleures, considérées comme suffisamment performantes, seront privatisées. L'objectif est de parvenir à la meilleure distribution possible des ressources dans le pays, des ressources de la meilleure qualité possible, au meilleur prix possible, avec la livraison la plus rapide possible. Evidemment, les 4 nouveaux géants de l'énergie sont interdits d'entente sur les prix, et privés de spécialisation. Chacun des 4 géants devra ainsi présenter une offre en bois, charbon, fer, cuivre, pétrole, uranium, minerais précieux, métaux rares et pierre.
La réalisation du projet a nécessité un investissement substantiel de 30 000 Shilling du Mannheim par le gouvernement.

Pour autant, l'heure n'est pas à la déconsidération sociale. Le gouvernement a présenté la refonte sociale du pays, validée par la HICT. Elle comprend la création d'une journée de repos hebdomadaire, et la semaine à 60 heures, ne devant dépasser 10 heures par jour. L'opposition gauchiste a jugé cette mesure intéressante par le gouvernement de centre-droit, de tradition pourtant libérale. Mais il ne faut pas fermer les yeux devant la réalité : le Premier Ministre a en effet affirmé qu'avec un temps de travail moins contraignant, et surtout une journée de repos hebdomadaire, l'ouvrier est susceptible d'être à la fois plus motivé, plus concentré et en meilleure forme pour travailler. Ainsi, l'écart de production réel devrait être en fait moindre par rapport à l'écart de production théorique. A long terme, cela peut également influencer positivement la durée de vie de la population. Le Premier Ministre a également annoncé la mise en place d'une étude statistique sur l'espérance de vie moyenne, qui servira de base à la mise en place du premier droit à la refonte. Il s'agit de la deuxième mesure sociale phare du gouvernement visant à délivrer un droit pour les personnes ayant passé un certain pourcentage par rapport à la base 100 de l'espérance de vie, de bifurquer sur un travail moins pénible.

Le gouvernement prévoyait également de grandes réformes fiscales visant à soutenir l'activité aux dépends des recettes de l'Etat. Mais en raison des menaces aux frontières, la sécurité nationale prime.
Dans le sens inverse, le Premier Ministre a eu l'idée d'instaurer la cotisation libre, visant à obtenir des recettes sur la base du volontariat auprès de la population pour libérer les citoyens mannheimois. L'idée a été refusée par la HICT, considérant un engagement trop important de l'Etat envers la population, susceptible de créer des déséquilibres et conflits intérieurs dans la suite des événements.

Enfin, le gouvernement clôture ses réformes avec la création des bases d'une gestion forte et efficace des entreprises. Ainsi pour celles dépassant le seuil des 250 employés (c'est à dire les principales usines), la direction devra être assurée par le dirigeant lui-même, ainsi qu'un Conseil d'Administration. Ce dernier regroupera les associés, ainsi que les principaux représentants d'établissements de crédits tiers, et un commissaire membre de l'ordre de l'HITC. En même temps, avec la montée de l'actionnariat, le gouvernement fixe un seuil plancher de 60% de détention nationale des titres de propriété, afin que les décisions liées au capital dans la sphère dirigeante corresponde à une logique d'intérêts nationaux.

Récapitulatif des indicateurs de ressources et du budget disponibles :

- 12 de bois.
- 3 de fer.
- 6 de charbon.
- 26 de pierre.

136 000 MS.