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Message par Invité Dim 20 Avr 2014 - 16:19

[Accepté] United States of America Americ10
 :globe:  United States of America  :globe: 


Hymne américain, The star spangled banner :
Spoiler:
Carte des États-Unis d'Amérique :
Spoiler:

Informations générales
Devise nationale officielle : In God we trust
Devis nationale traditionnelle : E pluribus unum
Langue officielle : anglais
Capitale : Washington D.C.
Plus grande ville : New York City
Population : 317 453 000 habitants
Forme de l’État : république fédérale
Président de la République : Paul Ryan (Republican Party)
Vice-président de la République : Christopher Christie (Republican Party)



Économie
Taux de chômage : 6,6 %
Produit Intérieur Brut : 15 996 milliards d'USD
Rang pour le PIB : 1er (en volume), 9ème (par tête)
Croissance du PIB : + 3,2 % [Accepté] United States of America 11px-Increase2.svg
Inflation : 2,3 %
Population sous seuil de pauvreté : 12,5 %
Indice de Développement Humain : 0,937 (3ème mondial) [Accepté] United States of America 11px-Increase2.svg
Exportations : 994,7 milliards d'USD
Importations : 1,445 milliards d'USD
Balance commerciale : -993,255 milliards d'USD [Accepté] United States of America 11px-Decrease2.svg
Recettes publiques : 2 400 milliards d'USD
Dépenses publiques : 3 540 milliards d'USD
Balance publique : -1 140 milliards d'USD [Accepté] United States of America 11px-Decrease2.svg



[Accepté] United States of America 200px-United_States_Department_of_Defense_Seal.svg
United States Armed Forces
Chef d'état-major : Gal Martin DEMPSEY
Militaires actifs : 1 428 000 hommes
Militaires réservistes : 848 000 hommes
Budget : 580 milliards d'USD



[Accepté] United States of America 150px-United_States_Department_of_the_Army_Seal.svg
US Army
Nombre de chars : 8 725
8 725 M1 Abrams (dont 400 en construction, livraison en 2021)

Nombre de blindés d'infanterie : 6 652
6 652 M2 Bradley (dont 200 en construction, livraison en 2021)

Nombre de véhicules de transport : 10 887
6 700 M113
4 187 Stryker

Nombre de véhicules légers : 232 000
160 000 Humvee
44 000 FMTV
28 000 HEMTT

Nombre de canons : 3 725
1 934 M109
653 M198
638 M777
500 M119

Nombre de lance-missiles : 1 330
990 M270
340 HIMARS

Nombre de missiles antiaériens : 2 106
1 106 Patriot
1 000 Avenger



[Accepté] United States of America 150px-United_States_Department_of_the_Navy_Seal.svg
US Navy
Nombre de portes-avions : 13
USS Dwight D. Einsenhower (CVN-69) - classe Nimitz
USS Carl Vinson (CVN-70) - classe Nimitz
USS Theodore Roosevelt (CVN-71) - classe Nimitz
USS Abraham Lincoln (CVN-72) - classe Nimitz
USS George Washington (CVN-73) - classe Nimitz
USS John C. Stennis (CVN-74) - classe Nimitz
USS Harry S. Truman (CVN-75) - classe Nimitz
USS Ronald Reagan (CVN-76) - classe Nimitz
USS George H. W. Bush (CVN-77) - classe Nimitz
USS Gerald R. Ford (CVN-78) - classe Ford
USS John F. Kennedy (CVN-79) - classe Ford
USS Enterprise (CVN-80) - classe Ford (en construction, livraison en 2024)
USS Bill Clinton (CVN-81) - classe Ford (en construction, livraison en 2027)

Nombre de croiseurs : 24
24 de classe Ticonderoga (dont 2 en construction, livraison en 2022)

Nombre de destroyers : 67
5 de classe Zumwalt (dont 2 en construction, livraison en 2022)
62 de classe Arleigh Burke

Nombre de frégates : 15
15 de classe Oliver Hazard Perry (dont 2 en construction, livraison en 2022)

Nombre de sous-marins : 58
15 de classe Virginia
40 de classe Los Angeles
3 de classe Seawolf

Nombre de sous-marins lanceur d'engins : 18
18 de classe Ohio

Nombre de patrouilleurs : 18
14 de classe Cyclone
2 de classe Freedom
2 de classe Independence

Nombre d'avions de reconnaissance : 47
11 EP-3 Orion
20 P-8 Poseidon
15 T3-A Black Manta
1 XR-7 Aurora prototype (en construction, livraison en 2021)



[Accepté] United States of America 150px-Seal_of_the_US_Air_Force.svg
US Air Force
Nombre de chasseurs : 2 273
1 245 F-16C/D Fighting Falcon
222 F-15C Eagle
219 F-15E Strike Eagle
195 F-22A Raptor
111 F-35A Lightning II
99 AV-8B Harrier II
32 F-15D Eagle
150 F-15SE Silent Eagle (en construction, livraison en 2022)

Nombre d'avions d'attaque au sol : 488
443 A-10C Thunderbolt II (dont 100 en construction, livraison en 2022)
45 AC-130 Spectre

Nombre de bombardiers : 162
76 B-52H Stratofortress
66 B-1B Lancer
20 B-2A Spirit

Nombre d'avions de transport : 905
265 C-130H Hercules
223 C-17A Globemaster III
126 MV-22 Osprey
88 MCJ-130 Combat Talon II
79 C-130J-30 Super Hercules
77 C-5M Galaxy
13 C-27J Spartan
13 C-130E Hercules
11 C-26B Metroliner
10 C-130J Super Hercules

Nombre d'hélicoptères d'attaque : 958
726 AH-64D Apache
153 AH-1 SuperCobra
51 AH-6M Little Bird
28 AH-1Z Viper

Nombre d'hélicoptères de transport :
1 443 UH-60 Black Hawk
1 422 UH-1 Iroquois
877 CH-47F Chinook
250 UH-72 Lakota
139 CH-53E Super Stallion
111 CH-46 Sea Knight
88 UH-1N Twin Huey
64 EH-60 Black Hawk
61 MH-47 Chinook
31 UH-1Y Venom

Nombre de drones : 838
500 RQ-7 Shadow
165 MQ-1 Predator
104 MQ-9 Reaper
37 RQ-4 Global Hawk
20 RQ-5 Hunter
12 MQ-1C Grey Eagle



[Accepté] United States of America 150px-USMC_logo.svg
US Marines Korps
Nombre de chars : 4
4 M1 Abrams

Nombre de blindés légers : 16
16 LAV-25

Nombre de lance-missiles antichars : 8
8 Javelin

Nombre de véhicules amphibies : 15
15 AAV7

Nombre de canons : 14
8 M252
6 M198

Nombre de véhicules de transport : 118
30 M925
63 MMMWV
3 Caterpillar D7

Nombre d'hélicoptères : 23
12 CH-46 Sea Knight
4 CH-53E Sea Stallion
3 UH-1N
4 AH-1W Super Cobra

Nombre d'avions d'attaque au sol : 6
6 AV-8B

Nombre d'avions ravitailleurs : 2
2 KC-130 Hercules


Arsenal nucléaire : 5 500 armes



Diplomatie
++ Relations excellentes : Canada, Corée du Sud, Japon, Royaume-Uni, Israël, Australie
+ Relations positives : Italie, Allemagne, Mexique
x Relations cordiales : Autres
- Relations tumultueuses : Russie, Cuba, Bolivie, Venezuela, Syrie
-- Relations exécrables : Iran, Corée du Nord, Indonésie

Organisations membre : Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC), Accord de Libre-Échange Nord-Américain (ALENA), Organisation des États américains (OEA), Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), Conseil de sécurité des Nations unies.


Dernière édition par Giovale le Dim 27 Avr 2014 - 14:07, édité 3 fois
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Message par Gosseau Dim 20 Avr 2014 - 19:25

Accepté.
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Secrétaire général des Nations Unies
Secrétaire général des Nations Unies

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[Accepté] United States of America Empty Re: [Accepté] United States of America

Message par Invité Dim 20 Avr 2014 - 22:29

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 :globe:  United States of America  :globe: 


Politique intérieure
Démission historique de la présidente Hilary Clinton

[Accepté] United States of America Hillary-clinton

C'est un moment historique qui vient de se produire aux États-Unis. La présidente Hilary Clinton vient en effet d'annoncer sa démission, trois ans après avoir été élue, prenant alors la suite de Barack Obama. La crise politique intérieure qui secoue actuellement le pays aura eu raison de la présidente, devenue aussi impopulaire, en seulement deux ans, que George W. Bush à la fin de son second mandat. Il faut dire que la démission du président du sénat la semaine dernière avait donné le ton, et laissé envisager le pire. C'est la seconde fois dans l'histoire des États-Unis d'Amérique qu'un président décide de se retirer volontairement avant la fin de son mandat, après la démission de Richard Nixon faisant suite au scandale du Watergate en 1974. Symbole d'un échec cuisant de la politique prônée par le Parti Démocrate, la démission de la présidente Clinton, femme de l'ancien président ayant précédé à Georges W. Bush, annonce d'ores et déjà une élection anticipée historique, et laissant prévoir une défaite cuisante des Démocrates.

Il faut dire que ces derniers n'auront pas volé la sanction à la fois politique et populaire qu'ils sont en train de subir. Le sentiment de ras le bol est omniprésent au sein de la population, autant, voire plus fort, qu'avant le départ de Georges W. Bush en 2009, pourtant symbole de l'Amérique décadente, impérialiste et antisociale. Le premier mandat de Barack Obama avait laissé entrevoir une perspective de progrès, tant sur les plans social et économique que diplomatique. Mais les grandes promesses, les grands plans sociaux, les grandes idées n'ont absolument pas vu le jour. La victoire d'Hilary Clinton en 2017 était surtout due à la démobilisation du côté des Républicains, qui avaient présenté John McCain en tant que candidat, après l'échec pourtant significatif de sa campagne 2008. Le Tea Party avait par ailleurs décidé de tourner le dos au Parti Républicain et d'appeler à l'abstention. Mais tout ça n'est que passé. La réalité actuelle est bien autre : beaucoup de choses exaspèrent les Américains, allant de l'inactivité du gouvernement sur le plan social à l'ingérence totale du pays au niveau des grands conflits mondiaux. Entretemps, le Parti Républicain s'est ressoudé et a trouvé un nouveau leader, certes tout naturel, en la personne de Paul Ryan. Celui qui fut le colistier de Mitt Romney en 2012 et celui de John McCain en 2016 porte une image de personnage dynamique, réactif et symbolisant accessoirement un possible renouveau pour les États-Unis dont la décadence, tant sur le plan économique que social, s'accentue au fur et à mesure que le temps passe. Le pays s'est embourbé dans une crise systémique touchant toutes les catégories de population, tous les secteurs d'activité. Le nouveau président aura le devoir de mettre en place un vaste plan de relance, visant à réduire les déficits public et commercial, en misant sur l'optimisation de la productivité générale et sur le développement de la création de ressources cotables, ainsi que sur les secteurs clés de son industrie ouverte à l'exportation.

Paul Ryan élu Président 46ème président des États-Unis d'Amérique

[Accepté] United States of America 20120830-paul-ryan-600x-1346356278

Sans surprise, Paul Ryan est élu 46ème président des États-Unis d'Amérique. Auteur d'une campagne à la fois très rassembleuse et incisive, il n'a jamais laissé aucune chance à son adversaire Joe Biden, qui avait pourtant comme colistier l'ancien président Barack Obama. Le Républicain, habile tant dans les grands discours que dans les débats de fond, a eu l'intelligence de lisser son image tout au long de la campagne, tout-en n'hésitant pas à taper là où cela fait mal, à savoir sur les grands échecs de la politique démocrate depuis l'investiture de Barack Obama en 2009. Il faut dire que le contexte jouait grandement en faveur du Parti Républicain, qui a eu la chance de ne pas gouverner dans la période de l'après-crise immédiate. Dix ans après la reprise effective de l'économie mondiale faisant suite à la crise du siècle, le Parti Républicain est réapparu fort au moment opportun, c'est à dire celui où la masse populaire commence à s'impatienter, attendant toujours d'éventuelles retombées positives émanant d'une gouvernance démocrate qui lui avait promis énormément de choses. Les résultats sont sans appel, et marquent une totale débâcle pour les Démocrates :

Paul Ryan (Parti Républicain) : 72,68 % - 391 grands électeurs
Joe Biden (Parti Démocrate) : 27,32 % - 147 grands électeurs

[Accepté] United States of America Victoire-obama-a-chicago-election-us-10801154lmzaw_1713
Le nouveau président Paul Ryan a fêté son élection lors d'un gigantesque meeting tenu en marge de l'annonce des résultats, dans la plus grande ville de son État natal, à savoir Milwaukee dans le Winsconsin. Ce sont en effet quelque 150 000 personnes qui se sont pressées, parfois bien avant l'annonce des résultats officiels, sur les lieux du meeting, sur lesquels était installée pour l'occasion une immense scène ornée de la bannière rouge et blanche, surmontée des 49 étoiles sur fond bleu. La victoire de Paul Ryan a été fêtée un peu partout dans le pays, et particulièrement au Texas, en Californie et dans l'Arizona, bastions républicains pourtant perdus lors de la précédente élection. Lors d'une allocution télévisée éclair, l'adversaire de Ryan, Joe Biden, a reconnu sa défaite et souhaité le meilleur à son ancien adversaire, en l'espoir que ce dernier fasse les bons choix pour les États-Unis. Paul Ryan a, lui aussi, évoqué Joe Biden en félicitant ce dernier pour la campagne menée.


Annonce du gouvernement

3 mois plus tard, une fois l'investiture du président Ryan effectuée, le mystère sur la composition du Cabinet a été levé, mettant fin à des semaines de tractations médiatiques. Ce dernier est très hétérogène, tant au niveau de l'âge qu'au niveau des sensibilités politiques internes au Parti Républicain :

Vice-président : Christopher Christie - 57 ans
Secrétaire d’État : Mitt Romney - 73 ans
Secrétaire du Trésor : Chuck Hagel - 73 ans
Secrétaire de la Défense : Jeb Bush - 66 ans
Procureur général des États-Unis : Mary Fallin - 65 ans
Secrétaire à l'Intérieur : Margaret Whitman - 63 ans
Secrétaire à l'Agriculture : Marco Rubio - 48 ans
Secrétaire au Commerce : Bobby Jindal - 48 ans
Secrétaire au Travail : Carly Fiorina - 65 ans
Secrétaire à la Santé : Ann Wagner - 57 ans
Secrétaire au Logement et au Développement Urbain : Jeff Flake - 57 ans
Secrétaire aux Transports : Christine O'Donnell - 50 ans
Secrétaire à l’Énergie : Jackie Walorski - 56 ans
Secrétaire à l’Éducation : Nikki Haley - 47 ans
Secrétaire aux Anciens combattants : John Hoeven - 62 ans
Secrétaire à la Sécurité intérieure : Debra Fischer - 68 ans


Diplomatie
Réponse au Canada

Nous acceptons de vous produire et fournir 6 sous-marins de classe Victoria. Leur cout unitaire est de 150 millions de Dollars canadiens par bâtiment, ce qui vous reviendrait à 900 millions de Dollars canadiens au total. Nous pouvons proposer de vous les céder sur un leasing de 10 ans, vous confiance ainsi un étalonnement plus intéressant. Veuillez nous confirmer le processus de paiement que vous souhaitez afin que nous lancions la construction. Cette dernière devrait prendre au total 18 mois pour les 6 sous-marins.

Position des États-Unis sur les grands conflits mondiaux

Le président Paul Ryan a annoncé la volonté d'impliquer les États-Unis d'Amérique dans chaque conflit où les principes à la liberté et à la démocratie seraient remis en cause. Il a toutefois insisté sur le fait que le pays ne soutiendrait pas toute intervention militaire abusive, non justifiée par des faits ou preuves concrets, et n'ayant pas été portée devant le conseil de sécurité de l'ONU. L'objectif du mandat Ryan est de remonter l'image des États-Unis dans le monde entier, et plus particulièrement en Orient. La politique internationale concernant les conflits sera donc plus axée sur une démarche diplomatique que militaire à outrance.

Le secrétaire d’État, Mitt Romney, va s'exprimer incessamment sous peu au sujet des fronts ukrainien, éthiopien et indonésien qui l'inquiètent particulièrement.
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Message par Invité Lun 21 Avr 2014 - 12:36

[Accepté] United States of America Americ10
 :globe:  United States of America  :globe: 


Économie
Mise en place d'un plan de réindustrialisation massive

[Accepté] United States of America 572134-usine-produisant-petrole-alberta-partir

Le secrétaire du Trésor, Chuck Hagel, a présenté aujourd'hui les grandes lignes d'un vaste plan de relance de l'industrie du pays, en berne depuis bientôt maintenant deux décennies. Le plan se décline en plusieurs temps et comporte de multiples causes à effets.

Tout d'abord, l’État mise sur une augmentation de 8 % de la production domestique d'hydrocarbures, et principalement de pétrole, alors que ce dernier devient, d'année en année, une denrée de plus en plus prisée. Le pays possède une réserve en hydrocarbures qui pourrait couvrir 1 800 % de son besoin annuel, soit près de 18 ans de réserve à consommation normale. Le grand axe de cette étape du plan de relance est alors de réduire le déficit énergétique en réduisant les importations de pétrole, usant donc de la réserve nationale.

Ensuite, les États-Unis visent, sur le moyen terme (avant la fin du mandat de Paul Ryan), une baisse globale du prix de l'énergie, provoquée par les effets de la mesure sus-citée d'une part, et par la diminution du prix public du gaz par une nette augmentation de sa production. En résultera, selon le cabinet d'experts formé par le secrétaire à l’Énergie Chuck Walorski, une nette revalorisation de la compétitivité-prix du pays. A terme, une croissance constante de cette compétitivité-prix permettra une relance significative du secteur industriel, sur un modèle classique. Le déficit industriel connaîtra aussi, selon les experts, une chute remarquable.

Il convient également d'évoquer une compétitivité-coût de plus en plus favorable, réalité économique provoquée entre autre par la baisse du coût du travail, assortie à une sous-évaluation constante, depuis deux décennies maintenant, du Dollar US.

Objectif 2025, voilà la limite que s'est fixée le président Ryan pour que le pays ressente pleinement les effets de ce plan de réindustrialisation. Ce dernier permettra, d'ici 6 ans, la création tablée de 300 000 emplois dans l'industrie, et donc provoquera une diminution flagrante du taux de chômage. Les friches industrielles de grande taille, à l'image de celles de Detroit dans le Michigan, seront globalement réinvesties, portant de cette manière un grand coup de boost aux économies locales dépendant fortement du secteur de l'industrie. Le président Ryan a évoqué le retour des viviers industriels qui ont, dans le passé, fait l'une des plus grandes forces des États-Unis. Une manière de mettre fin à l'exode des villes de taille moyenne vers les mégapoles. La croissance du pays ne pourra, de fait, qu'en ressortir améliorée.

[Accepté] United States of America Plan-epargne-retraite

Retour d'une force d'épargne domestique : objectif 2027

Le pays a connu, depuis 2015, une faible baisse de l'endettement de ses ménages, faible mais significative, puisqu'elle est passée de 117 % de leur revenu disponible à 111 %. Le pays, encore endetté à hauteur de 88 % de son PIB, ne peut pour le moment pas bénéficier d'une réserve de crédits par le biais de l'épargne domestique. Même si la hausse de l'immobilier a pu compenser, un temps, cette absence de réserve de crédits, sur le long terme cette méthode ne pourra fonctionner, puisqu'elle contribue à creuser un endettement domestique déjà abyssal, tout en inscrivant le secteur de l'immobilier dans une crise conjoncturelle. Du coup, le secrétaire au Trésor Chuck Hagel a rappelé que le pays dépend de plus en plus de bailleurs étrangers, provenant dans 72 % des cas d'Asie, et plus particulièrement de Chine et du Japon. Si les États-Unis veulent, sur le long terme, asseoir leur compétitivité internationale et leur mégaépuissance financière, il va falloir en passer par la réduction de la dépendance aux fonds étrangers, qui plus est provenant de réels rivaux sur le plan économique.

L’État va donc limiter grandement cet afflux de capitaux étrangers au niveau de l'immobilier. Limitation qui, même si elle va se solder par une nouvelle hausse des prix de l'immobilier, s'observera parallèlement à une réduction du coût de la vie, avec pour visée le désengorgement de la dette domestique. Le président en personne a en effet annoncé travailler avec l'ensemble du Cabinet sur un vaste plan social consistant, notamment, en la baisse du coût de la santé, la stabilisation de la consommation générale et la croissance constante des opportunités d'emploi. Un atelier de travail qui devrait durer jusqu'en 2021, année lors de laquelle les premières conclusions seront rendues, avec pour visée la mise en place en 2023 maximum, pour des effets qui seront remarqués au plus tard en 2027, soit à la fin du second mandat de Paul Ryan.


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Message par Invité Mer 23 Avr 2014 - 23:07

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Politique intérieure
La loi Obama sur la réforme du système de santé mise en lock-out

[Accepté] United States of America Anti-obamacare-demonstrators-protest-the-supremecourts-ruling-thursday-some-republicans-were

La loi de refonte du système de santé américain, projet phare de la campagne présidentielle de Barack Obama en 2012, et adoptée en Janvier 2013, vient officiellement d'être suspendue pour une durée indéterminée. Les sénateurs viennent en effet de voter, à 60 voix contre 38, la suspension d'une réforme jugée aussi inefficace et inutile que coûteuse par l'opinion publique, ainsi que par l'ensemble du Parti Républicain. Il faut dire que cette dernière, aussi nommée populairement Obamacare, n'a jamais été à la hauteur des attentes et des promesses en 6 ans d'existence. Contrairement à ce qui avait été annoncé, des millions d'Américains ont vu leur couverture d'assurance privée résiliée. D'autre part, en 6 ans, seulement 8 millions d'Américains ont souscrit une assurance maladie. Barack Obama avait dû, d'ailleurs, présenter ses excuses à la Nation en 2014 pour cette loi qui n'a fait que contribuer au creusement du déficit social, déjà abyssal, du pays. En six ans, la réforme a coûté près de 900 milliards de Dollars. Celle-ci a mis à mal la santé économique du pays puisqu'elle devait se financer par le biais de taxes sur les entreprises et sur les grandes fortunes, mettant en péril la survie-même de certaines petites entreprises, et encourageant encore un peu plus, parmi tant d'autres choses, l'exode fiscal. Elle ne prévoyait, de fait, pas de paliers de taxation en fonction de la taille des entreprises imposées, ce qui était tout simplement aberrant aux yeux des chefs d'entreprise. Il faut, enfin, rappeler que l'Obamacare prévoyait des pénalités financières envers les ménages qui ne souscriraient pas à une assurance maladie. Un comble dans un pays dont les libertés individuelles sont ardemment défendues. Un grand débat aura lieu le mois prochain, la première semaine, au sénat. Les sénateurs pourront ainsi présenter des amendements à l'Obamacare, ou simplement soutenir son abrogation pure et simple.

[Accepté] United States of America FDA-Monsanto-4-537x392

Monsanto épinglée par le président en personne

Le président Paul Ryan s'est exprimé aujourd'hui au sujet de Monsanto Company, entreprise phare du domaine de la biotechnologie agricole aux États-Unis. L'entreprise est en effet accusée par de nombreux spécialistes d'avoir conçu un herbicide, le Mass Roundup, fabriqué à partir des propriétés chimiques de l'agent orange, désherbant massif qui avait été utilisé par l'Armée américaine dans les maquis lors de la guerre du Vietnam, à titre stratégique officiellement, mais selon certains vétérans, avec visée de destruction humaine. Ce désherbant, déjà interdit dans 37 pays depuis sa commercialisation en 2017, et quasiment dans l'ensemble des pays de l'Union Européenne, fait tellement polémique au point de contraindre le président Ryan à réagir en personne contre Monsanto. Ce dernier a affirmé souhaiter une expertise immédiate sur le produit incriminé, et a déclaré que si les informations révélées s'avéraient réelles, il n'hésiterait pas à ordonner de lourdes sanctions envers l'entreprise agricole. Une stratégie de communication ouvertement agressive qui a été jugée comme une erreur dans le camp républicain, puisqu'il faut quand-même rappeler que Monsanto produit les OGM à l'origine de près de 80 % des récoltes de maïs du pays. Autant dire que pour se défendre, l'entreprise possède de nombreux arguments dissuasifs.






Militaire
L'US Army appuie le Brésil dans son engagement en Bolivie

[Accepté] United States of America Sikorsky-uh-60-blackhawk_pics52-5205

Les États-Unis sont satisfaits de la progression des interventions brésilienne et argentine en Bolivie. Conformément aux souhaits émis par le Brésil, le pays va donc envoyer ses meilleures spécialistes de l'action contre-révolutionnaire, qui formera les troupes brésiliennes aux spécificités qu'implique le fait de combattre un mouvement de guérilla anti-démocratique. Par ailleurs, Washington met à disposition du Brésil 50 hélicoptères de transport et de reconnaissance, de modèle UH-60 Black Hawk, qui faisaient partie du parc de véhicules militaires inactifs de l'US Air Force. Washington demande à Brasilia de préciser quel autre type de matériel militaire il désirerait acquérir auprès des États-Unis. Le même soutien logistique et d'armement est également proposé à Buenos Aires, dans le cadre de son intervention en Bolivie. La Maison Blanche a d'ores et déjà exprimé, dans un communiqué, sa volonté de soutenir l'action démocratique du Brésil et de l'Argentine sans pour autant engager un nombre conséquent de ses hommes dans le conflit.






Diplomatie
Communiqué de la Maison Blanche sur la situation entre l'Ukraine et la Russie
[Accepté] United States of America White-house-logo1

IN GOD WE TRUST
Les États-Unis d'Amérique se félicitent qu'une issue diplomatique ait pu être trouvée entre l'Ukraine et la Russie, mettant ainsi fin à un conflit militaire devenu interminable. Le gouvernement américain souligne, par ailleurs, les efforts et concessions consentis de la part des deux camps. Cet accord diplomatique est la preuve que les dirigeants de la Russie comme de l'Ukraine ont su se montrer responsables, et prouver qu'ils avaient réellement l'envie de stopper toute action militaire, attentant quotidiennement à des centaines de vies humaines, et creusant encore davantage la structure politique des deux pays.

Les États-Unis d'Amérique félicitent, par ailleurs, la Fédération de Russie pour son changement radical de politique, et remarquent, sans conteste, que le pays s'est très largement démocratisé depuis l'arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant. Washington espère ainsi pouvoir, dans un futur plus ou moins proche, entreprendre des relations diplomatiques plus sereines avec Moscou, comme avec Kiev.


:mac: Télex à la Thaïlande :mac:

Nous tenons à vous faire part de notre grande inquiétude vis à vis de la situation que connait votre pays, ainsi que la péninsule est-asiatique en général. L'Indonésie a grandement déstabilisé la zone, avec ses changements multiples de dirigeants, tous aussi mégalomanes les uns que les autres. La pseudo chute du régime stalinien n'enterre en rien nos craintes. Nous ne croyons pas à une démocratisation de l'Indonésie sans intervention extérieure. Ainsi, les zones d'exclusion aérienne et maritime sur l'ensemble du territoire indonésien sont maintenues à titre conservatoire, et seront renforcées en cas de montée de la menace indonésienne. Nos drones surveillent en permanence les activités indonésiennes, et plus particulièrement les bases militaires.

Nous vous proposons une aide dans la modernisation de votre armée, pour vous permettre de faire face plus également à une éventuelle attaque indonésienne. Exceptionnellement, nous pouvons vous ouvrir l'accès à l'ensemble des véhicules militaires que nous produisons. Veuillez, si vous le désirez, nous envoyer une commande de matériel militaire.

Par ailleurs, nous vous faisons part de notre intention de demander, devant le conseil de l'ONU, l'envoi d'une coalition internationale pour sécuriser les zones maritimes d'Asie de l'Est.
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Message par Invité Ven 25 Avr 2014 - 12:29

[Accepté] United States of America Americ10
:globe: United States of America :globe:


Militaire
Achèvement de la construction du porte-avions USS John F. Kennedy

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Aujourd'hui est un grand jour pour l'US Navy, puisque le porte-avions USS John F. Kennedy, le second de classe Ford, vient de lui être livré par le chantier naval de Newport. C'est un réel projet pharaonique qui s'achève là, puisque le chantier aura duré plus de deux ans, alors que la construction du bâtiment avait été conclue il y a douze ans. Le coût total du navire est estimé à 4 milliards de Dollars environ, tandis que le chantier aura, lui, coûté près de 400 millions de Dollars. Long de 335 mètres, et doté de deux réacteurs à poussée nucléaire A1B, ce porte-avions pourra se déplacer à 30 nœuds environ, en vitesse de croisière. Sa mise en service devrait normalement signifier la mise à la retraite de l'USS Nimitz (CVN-68) avant 2023. L'USS John F. Kennedy va faire l'objet d'une série de tests et d'entraînement au large de la Virginie, avant que lui soit affectée une mission précise. Il est cependant pressenti que ce dernier sera envoyé en Asie de l'Est, à Singapour ou en Thaïlande notamment, pour permettre aux avions de l'US Air Force participant à la zone d'exclusion aérienne indonésienne de bénéficier d'une base plus proche que celles de Palau et Guam. Une équipe de 500 marins permanents devrait également lui être attribuée. Le navire coûtera près de 400 milliards d'entretien et d'exploitation sur les 50 ans de service qui sont prévus pour lui.

Annonce de la construction prochaine de deux nouveaux portes-avions
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La livraison de l'USS John F. Kennedy signifie que deux nouveaux porte-avions vont être construits, comme ce fut décidé en 2008. Ces derniers, qui seront également de classe Ford, seront nommés USS Enterprise (CVN-80) et USS Bill Clinton (CVN-81). Le premier sera l'oeuvre du chantier de Newport, et le second du chantier de Corpus Christi. Tous deux seront des versions améliorées de la classe Ford, puisqu'ils disposeront de réacteurs nucléaires plus puissants, pouvant pousser la vitesse des navires à près de 40 nœuds en croisière. Le premier devrait être livré en 2025, les plans de sa construction étant déjà achevés, et le second en 2027. Leur coût unitaire est encore plus élevé que celui du John F. Kennedy, puisqu'il avoisinera les 5,5 milliards de Dollars, pour environ 700 milliards de Dollars d'exploitation et de maintenance sur 50 ans. Les deux chantiers devraient permettre la création de près de 5 000 emplois sur la durée de ces derniers, dans plusieurs branches d'activité.

Élargissement des critères de recrutement dans l'US Army

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Alors qu'il était possible de rejoindre Oncle Sam avec seulement un visa de résidence provisoire, le Pentagone a annoncé aujourd'hui que le recrutement serait rendu possible pour les étrangers : en l'échange de leur engagement dans l'armée américaine, les intéressés se verront offrir l'obtention de la nationalité américaine au bout d'un an. Une façon pour certains d'accéder au rêve américain en l'échange de leur implication, tandis qu'il s'agit pour les États-Unis de faire face à une presque pénurie en recrues. En effet, l'armée a globalement perdu de son attractivité auprès des nationaux, du fait de l'ingérence militaire caractéristique des deux précédents mandats présidentiels démocrates. Celle-ci fut en effet engagée sur des fronts jugés inutiles par le peuple, tandis qu'elle ne fut pas présente là où le besoin était réel, contribuant à la baisse de l'influence diplomatique des États-Unis à travers le monde.

Le projet Aurora enfin rendu public par le Pentagone

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Le gouvernement vient de révéler l'existence officielle du projet Aurora. Ce dernier est un prototype d'avion de reconnaissance destiné à l'US Air Force, donc l'objectif sera de pallier à la mise en retraite du Lockheed SR-71 Blackbird, qui vieillit plutôt mal. Le nom de l'engin sera XR-7 Aurora. Le Pentagone a affirmé que le projet était abouti à 80 %, mettant ainsi fin à près de dix ans de tractations et de spéculations sur le projet militaire alors jugé le plus secret des États-Unis. La base de cette avion a été pensée à partir de celle du défunt North American X-15, et modérément inspirée des propriétés du Lockheed SR-71 Blackbird. Ce sont quelque 400 chercheurs qui ont contribué à la mise au point du modèle, après environ dix années de recherches. Les deux premiers prototypes devraient être produits sur la base ultrasecrète de la Zone 51, dans le Nevada, à deux heures de route de Las Vegas. Si le Pentagone n'a pour l'instant pas fourni le coût unitaire du XR-7 Aurora, ce dernier serait, selon un participant au projet ayant souhaité demeurer anonyme, proche des 800 millions de Dollars. Le Pentagone communiquera ces prochains mois à propos des caractéristiques détaillées de l'avion. La mise en service devrait se faire dans le courant de l'année 2023.

Réponse à la demande de l'Italie

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Nous acceptons de vous concevoir un plan de F35-C avec les fonctionnalités en langue italienne. Le coût unitaire d'un avion F35-C avoisine les 200 millions de Dollars, sans compter les frais liés au développement. Nous vous proposons donc d'acquérir la licence de l'avion pour 5 milliards de Dollars. Merci de nous confirmer votre accord ou non afin que nous vous livrions les plans de construction. Vous devez cependant vous engager à ne pas divulguer ou revendre ces derniers à quelque pays que ce soit.

Réponse à la demande du Japon

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Actuellement, notre seul porte-avions pouvant être potentiellement vendu est l'USS Theodore Roosevelt (CVN-71). De classe Nimitz, il a été mis en service en 1986. Cependant, ses facultés restent bien supérieures à celles de la plupart des portes-avions existant aujourd'hui, grâce à ses deux réacteurs nucléaires A4W Westinghouse le dotant d'une vitesse de 30 nœuds et d'une puissance de 260 000 chevaux. Il peut en outre héberger 4 batteries de missiles surface-air et 3 canons anti-missiles. Nous estimons que vous pourrez l'exploiter, sous réserve d'un entretien régulier, entre 25 et 30 ans. Son coût d'exploitation et de maintenance annuel s'élève à 3 milliards de Dollars. Nous vous demandons 6 milliards de Dollars pour acquérir l'USS Theodore Roosevelt (CVN-71). Merci de nous confirmer ou non votre accord.



Diplomatie
Le président Ryan s'exprime au sujet du nucléaire ukrainien

Le président américain Paul Ryan a déclaré aujourd'hui que les États-Unis avaient la volonté de moins se mêler des affaires internes des autres pays, quand un regard international n'est pas réellement nécessaire. Toutefois, il a accepté de s'exprimer au sujet du programme nucléaire ukrainien, estimant que la détention de la force nucléaire concerne l'ensemble des pays du monde. En outre, le président Ryan ne voit pas d'objections à ce que l'Ukraine se dote, à nouveau, de la force nucléaire, étant donné les grands progrès diplomatiques et politiques consentis par le pays, combinés à la conclusion de la paix avec son voisin russe, ôtant ainsi à la région son contexte tendu. Un programme qui, de toute façon, était selon lui inévitable tôt ou tard, puisque l'Ukraine avait conservé l'ensemble de ses installations nucléaires datant de l'ère soviétique, d'autant plus qu'elle n'avait pas ratifié le traité de non prolifération des armes nucléaires. Toutefois, les États-Unis souhaitent proposer à l'Ukraine un encadrement international, composé d'experts issus des cinq premières puissances nucléaires à condition qu'elle limite sa détention d'ogives nucléaires à 50 unités.

:mac: Le but est en fait d'essayer de se rapprocher de l'Ukraine et prendre la Russie de vitesse, pour ainsi posséder un vassal aux portes-même de la Russie. :mac:
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Message par Invité Dim 27 Avr 2014 - 13:53

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:globe: United States of America :globe:


Militaire
L'USS George Washington (CVN-73) dépêché en Malaisie

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Face à la montée constante de la menace indonésienne, pays qui ne dispose désormais d'aucune stabilité, que ce soit sur le plan politique ou sur le plan militaire, le porte-avions de l'US Navy, le George Washington (CVN-73), vient de quitter son port d'attache de Yokosuka au Japon, lequel il n'avait plus quitté depuis son arrivée en 2008. Il arrivera, dans deux jours, dans le port malaisien de Kuantan, où il s'arrimera jusqu'à nouvel ordre. L'objectif de la mobilisation de l'USS George Washington est de renforcer la zone d'exclusion aérienne déjà en place au dessus de l'Indonésie depuis près de deux ans. Une faille a en effet été révélée au niveau de ce dispositif, puisque certaines des îles de l'archipel des Riau n'étaient pas couvertes. Des activités aériennes non-identifiées ont, de fait, été rapportées au niveau de ces dernières. Avec l'arrivée de la flotte aérienne de l'USS George Washington, le problème est donc corrigé, et l'ensemble du ciel indonésien est désormais sous contrôle. Elle renforcera les flottes déjà déployées en permanence par les États-Unis en collaboration avec les armées de l'air japonaise et malaisienne. Par ailleurs, l'US Air Force vient d'obtenir l'autorisation, au même titre que le Japon, d'utiliser l'ensemble des bases aériennes militaires de la Malaisie. Le président Paul Ryan a justifié cette mobilisation par la menace que représente l'instabilité de l'Indonésie pour son peuple, mais aussi pour l'ensemble des peuples d'Asie du Sud et de l'Est. D'autant plus qu'elle a été à l'origine d'émeutes au sein d'autres pays. Le problème devient donc international, puisque l'Indonésie sème désormais le trouble en dehors de ses frontières. Toutefois, le président américain réfute toute intervention militaire terrestre, qui ne ferait qu'augmenter le désastre que vit actuellement la population indonésienne, et engendrerait de grandes pertes militaires et civiles. La flotte à bord du porte-avions exploite le maximum de la capacité d'accueil en aéronefs de ce dernier (90 aéronefs), et est donc composée de :
- 35 chasseurs F/A-18 Hornet ;
- 20 avions de reconnaissance Grumman EA-6 Prowler ;
- 20 avions de surveillance Grumman E-2 Hawkeye ;
- 10 hélicoptères de surveillance Sikorsky SH-60 Seahawk ;
- 5 avions de transport Grumman C-2 Greyhound.





L'US Air Force transmet ses plans de F-35C à la République sociale d'Italie

Le secrétaire à la défense, Jeb Bush, a confirmé ce matin l'envoi des plans de construction de F-35C par le service de développement de l'US Air Force à l'armée de l'air italienne. L'Italie dispose désormais d'une licence officielle lui permettant de construire par elle-même des F35-C avec ordinateurs de bord en italien. La République sociale d'Italie a déboursé plus de 5 milliards de Dollars pour acquérir la possibilité de développer ses propres modèles de F-35C. Cependant, tenant compte de la technologie et des chantiers dont dispose l'Italie, le coût unitaire d'un F-35C sera pour elle de 280 millions de Dollars, alors qu'il est de 200 millions de Dollars pour les États-Unis. La capacité en production de l'Italie lui permettra de construire un maximum de 100 F-35C par an.

Le secrétaire d’État, Mitt Romney, a par ailleurs déclaré que le changement récent de politique interne en Italie n'a jamais, à quelque moment que ce soit, remis en cause la livraison des plans du F-35C à celle-ci. Les liens entre les États-Unis d'Amérique et l'Italie sont forts depuis près de six décennies, à l'instar de beaucoup de nations européennes. Le régime actuellement en place a été élu démocratiquement et émane donc pleinement de la volonté du peuple italien. En outre, la République sociale italienne ne représente pas une menace pour ses voisins, ni pour le monde entier. Il n'y a donc, pour le moment, aucune raison de boycotter ce pays. Les États-Unis d'Amérique ont prouvé leur volonté de ne pas demeurer dans l'interventionnisme à outrance quand il s'agit des affaires intérieures d'un pays. Le pays est donc déçu des récentes déclarations de la France à son encontre, cette dernière ayant clairement émis un doute par rapport à la responsabilité de la diplomatie américaine. Si la France s'inquiète d'une possible menace italienne, les États-Unis d'Amérique se portent garants, du fait de leurs relations étroites avec les deux parties, de la paix en Europe de l'Ouest.



Réponse à la demande de l'Allemagne

Nous acceptons de vous vendre le porte-avions USS Nimitz (CVN-68), après l'avoir réhabilité à l'exercice militaire par nos propres soins. Ce dernier sera restauré dans son port d'attache à Norfolk, en Virginie. Le chantier durera près d'un an et demi, et impliquera le remplacement des réacteurs par des réacteurs nucléaires de dernière génération, similaires à ceux dont sont dotés les bâtiments de classe Ford. La vitesse de l'USS Nimitz passera ainsi de 25 à 35 nœuds en croisière. Les turbines et arbres d'hélice seront, également, remplacés par des modèles plus récents. Le bâtiment sera, enfin, repeint aux couleurs de votre Marine. Néanmoins, le changement des réacteurs nucléaires fera baisser la capacité d'accueil du porte-avions de 90 à 75 aéronefs. Il vous en coûtera au total 4 milliards de Dollars, pour un coût à l'exploitation et à la maintenance de près de 500 milliards de Dollars sur 50 ans. Les Etats-Unis précisent qu'avec la vente de l'USS Nimitz à l'Allemagne et celle, probable, de l'USS Theodore Roosevelt au Japon, désormais aucun porte-avions n'est disponible à la vente.



Réponse à la demande de l'Australie

Nous confirmons votre commande de matériel militaire. Nous mettons dès à présent à la production en votre faveur :
- 1 croiseur de classe Ticonderoga Baseline III, chantier maritime de Corpus Christi (TX) d'une durée de 12 mois ;
- 5 Boeing-Bell V-22 Osprey, chantier aérien de Cleveland (OH) d'une durée de 18 mois ;
- 30 Lockheed Martin F-35B Lightning II, chantier aérien de El Paso (TX) d'une durée de 24 mois ;
- 25 F-15SE, chantier aérien de Portland (OR) d'une durée de 20 mois.



Par ailleurs, nous acceptons de vous transmettre la licence de production locale du F-15SE par le biais de la filiale Boeing Australia, à condition que vous vous engagiez à ne pas la transmettre à quelque pays que ce soit, le droit de vente de la licence restant de notre entier ressort. Enfin, nous vous donnons notre accord concernant la création de la société Raytheon Australia, à condition que vous lui garantissiez une sécurité sans failles et suffisante pour empêcher toute éventualité, notamment en terme d'espionnage militaire. Nous vous proposons l'échelonnement du paiement de 10 milliards de Dollars sur 20 ans, afin que votre budget militaire immédiat n'en soit pas excessivement affecté.



Annonce de la production militaire annuelle

US Army
- 400 chars M1 Abrams, durée de production : 22 mois (coût unitaire : $ 6,21 millions) = $ 2,48 milliards ;
- 200 blindés M2 Bradley, durée de production : 14 mois (coût unitaire : $ 3,21 millions) = $ 642 millions.



US Air Force
- 150 Boeing F-15SE Silent Eagle, durée de production : 24 mois (coût unitaire : $ 100 millions) = $ 15 milliards ;
- 100 Fairchild Republic A-10 Thunderbolt II, durée de production : 18 mois (coût unitaire : $ 11,8 millions) = $ 1,18 milliards ;
- :mac: 1 XR-7 Aurora prototype, durée de production : 12 mois (coût unitaire : $ 780 millions) = $ 780 millions :mac:.



US Navy
- 2 croiseurs de classe Ticondera, durée de production : 24 mois (coût unitaire : $ 1 milliard) = $ 2 milliards ;
- 2 destroyers de classe Zumwalt, durée de production : 30 mois (coût unitaire : $ 3,45 milliards) = $ 6,90 milliards ;
- 2 frégates de classe Oliver Hazard Perry, durée de production : 28 mois (coût unitaire : $ 2,20 milliards) = $ 4,40 milliards.



Un programme 2020 de production militaire exploitant près de 80 % de la capacité productive du pays en armement, dont le coût total approche les 34 milliards de Dollars, soit près de 7 % du budget annuel alloué à l'armée.





Diplomatie
Réponse à l'Ukraine
Mitt Romney, secrétaire d’État :
Puisque vous semblez l'avoir compris ainsi, nous souhaitons vous affirmer que le but de notre proposition d'envoyer une coalition internationale spécialisée dans l'armement nucléaire en Ukraine n'avait pas pour vocation de contrôler ou surveiller votre programme nucléaire, mais plutôt de l'encadrer. Vous auriez ainsi pu tirer bénéfice du savoir-faire des principales puissances nucléaires afin d'optimiser votre programme et d'accélérer sa mise en place effective. De plus, nous vous avions émis l'hypothèse de limiter le nombre de vos ogives nucléaires car vos structures nucléaires ne permettent pas, à notre sens, à l'Ukraine de détenir autant d'ogives que des pays comme la France ou le Royaume-Uni.

Quoi qu'il en soit, la Maison Blanche est ouverte à toute rencontre émanant de votre souhait, visant notamment à lisser les relations diplomatiques entre l'Ukraine et les pays de l'OTAN. Le renouveau que connait votre pays implique une ouverture plus importante aux grandes puissances selon nous.





:mac: Télex d'urgence au Japon, à la Thaïlande, à la Chine, à l'Australie, au Royaume-Uni et à la Malaisie :mac:

Washington est extrêmement inquiète de la situation délicate au niveau de l'Indonésie. Ça y est, l'Indonésie a dépassé les limites, en provoquant des rébellions en dehors de ses frontières. Ce pays, dont le nouveau régime prétend être démocratique, met à mal la santé économique de l'Asie tout entière, et se révèle être une réelle menace pour l'ensemble des pays d'Asie de l'Est. De part la présence de territoires nous appartenant en Asie du Sud et en Océanie, nous nous devons d'agir afin de neutraliser totalement la menace indonésienne, d'autant plus qu'elle sème le désordre dans d'autres pays tels que le Cambodge. L'heure est maintenant venue d'agir. Nous vous proposons donc la tenue d'une conférence d'urgence à Washington à ce sujet, et ce dans le plus grand secret. Espérant obtenir votre confirmation rapide, afin que nous puissions élaborer ensemble un plan de neutralisation envers l'Indonésie.



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