[Conflit] Guerre Balkanique.

par **Aetius** Jeu 2 Jan 2014 - 13:11

¤ Βασίλειον τῆς Ἑλλάδος ¤

Contexte

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Forces en présence

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Contexte économique, social et militaire des belligérants.

L'Empire Ottoman est en péril : elle abrite une industrie quasi-inexistante et surtout un ordre politique fragile : la révolution des jeunes-turcs à totalement balayé l'ordre ottoman. Les minorités de l'Empire sont très hostiles aux gouvernement, des levées de troupes sont impossibles. Malgré quelques efforts, l'armée est vétuste et les levées troupes sont chaotiques, l'armée ottomane pourra compter que sur 300 000 hommes mal armées au maximum. La Flotte a été rénonvé mais reste obsolète face à la Royal Navy.
L'Italie est une jeune puissance européenne, son industrie est récente et souffre d'une inégalité sur sa répartition sur le territoire national. L'armée italienne reste toutefois très moderne supplantant de loin l'armée ottomane, les italiens développent des techniques de guerre modernes.
La Grande-Bretagne est une grande-puissance industrielle, et sa flotte, la Royal Navy pourra tout à fait remplir son objectif de destruction de la flotte ottomane.
La Bulgarie est la nation balkanique la plus puissante militairement, ses 350 000 hommes et ses 1 100 canons peuvent à eux seul battre l'armée ottomane.
La Grèce est une vielle nation, les prêts acquis auprès des puissances protectrices a permis à la Grèce de mettre en place une armée bien équipée, le militarisation récente, très récente de la Grèce a permis à la Grèce de rénover son arsenal militaire.
La Serbie et le Monténégro, possèdent des forces armées tout à fait capables.

Forces armées grecques mobilisées pour la guerre.

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Forces Armées Ottomanes

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La Guerre Balkanique

Camps avancé de Thessalie, centre du commandement Grec, Grèce, 20 avril 1910.

................ Antistratigos Ionnis Kolokotronis : Lançons les offensives sur la Macédoine et la Thrace dès maintenant ! Nous ne devons pas traîner !
Stratège : Où est mon aide de camps ? Ah Alexios, enregistre nos parole ... bien, autrefois j'avais un petit chat tout roux
Antistratigos Ionnis Kolokotronis : Pardon ?
Stratège Konstantinos Sapourtzakis : J'avais un petit chat tout roux, on l'appelait le chat juif. Je l'avais trouvé dans un champs,volé à sa mère un vrai sauvage. Il avait quinze jours, peut-être plus. Il savait déjà griffer et mordre. Il était féroce, je lui donner à manger, je l'ai caressé et je l'ai amené. Il était devenue le chat le plus doux. C'était l'être le plus polis, une politesse naturelle, un prince. Le matin il venait nous réveiller pour coucher dans notre lit. Une fois nous avons fermés la porte. Il a essayé de l'ouvrir, il la poussait avec son derrière, il a fait un beau boucan ; il a boudé pendant une semaine. C'était un chat poltron, un désarmé un poète. Quand il a grandi, des chattes rôdaient autour de la maison, lui faisaient la cour, l'appelaient. Cela l'affolait, il ne bougeait pas. Quant on l’obligeait à sortir, il avait peur, les pigeons le faisait peur. Les animaux, les autres chats étaient pour lui des créatures étranges dont il se méfiait ou des ennemis qu’il craignait. Il ne se sentait bien qu’avec nous. Nous étions sa famille. Il n’avait pas peur des hommes. Il sautait sur leurs épaules sans les avertir, leur léchait les cheveux. Il croyait que nous étions des chats et que les chats étaient autre chose. Un beau jour, tout de même, il a dû se dire qu’il devait sortir. Le gros chien des voisins l’a tué. Il était comme une poupée-chat, une poupée pantelante, l’œil crevé, une patte arrachée, oui, comme une poupée abîmée par un enfant sadique.
Le Roi George Ier de Grèce : Pourquoi dîtes vous ça ?
Stratège Konstantinos Sapourtzakis : Je dis ce que je dis, la Macédoine est un terre antique grecque, peut-être, mais 60% de sa population ne se déclare pas grec ? Pourquoi récupérer un territoire convoité par nos alliés, alors que sa population ne se déclare pas comme nos frères. Si nous voulons avoir des alliés dignes, nous devons être des alliés dignes. Nous devons tenir nos engagements auprès des grecs, la Grande Idée doit-être respecté, la Thrace prime sur la Macédoine, car la Megali Idea guide notre peuple, et notre peuple nous guide. Ne soyez pas comme mon chat juif, comme mon unique chat. Soyer fidèle à vos principes, Semper Fi.
Le Roi George Ier de Grèce : Quand je vous ai dit que vous aviez carte blanche pour prendre Constantinople, c'est que vous l'aviez, prenez cette ville, par tout les moyens et gardez nos alliés c'est encore mieux ! Faîtes, moi j'ai Empire Romain d'Orient à proclamer.
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Épire, Grèce.

................ Partie de Corfou, l'Armée d’Épire comptait environ 20 000 chasseurs alpins et 5 000 sapeurs du génie, ainsi qu'une centaine de canon et une centaine de mitrailleuse. L'objectif : Ioannina, ville comprenant deux forteresses principales, celles de Bizani et Kastritsa défendue par environ 15 000 hommes et quelques miliciens, aucun renfort de Macédoine n'était arrivé. Le commandement grec avait établi le plan d'attaque suivant : pour prendre Bizani, l'armée grecque devait feindre d'attaquer la forteresse par le sud-est, tandis que l'effort principal serait en fait dirigé vers le sud-ouest. C'est dans un premier temps l'artillerie grecque qui s'est manifesté, en tirant quelque 150 coups de canons en direction de la forteresse, les ottomans quant à eux n'avaient pas réagis assez vite, il s'était replié vers la ville fortifié mais il manquèrent rapidement de munitions, l'artillerie ottomane ne posa pas grand problème. Les premières unités grecques quant à elle, fort du soutien de l'artillerie viola la ligne défensive du sud-ouest, les différentes divisions grecques fort de ce succès, entreprirent des percées prudentes à travers différents axe, tandis que l'ennemi désorganisé se replier vers le centre de la ville. L'armée grecque, d'un feu supérieur à celui ottoman, isola les forts de Bizani et Kastrista. Le fort de Bizani céda complètement après 3 jours de bataille, le reste de la ville céda après 6 jours de bataille. Les troupes survivantes ennemies d’Épire, furent alors poursuivis, les chasseurs alpins d'une mobilité extraordinaire parvinrent sans mal à réduire à néant les différentes poches de résistances établis par des fantassins ou de simples miliciens. La supériorité numérique, l'emploie de l'artillerie, l'emploi de l'infanterie alpine dans un milieu extrêmement montagneux, alors même que les ottomans avaient envoyé de simples fantassins ainsi que la mobilité des troupes grecques (accordée par le génie) furent des éléments déterminants qui expliqua cette victoire.
Spoiler:
Pertes grecques : 400 fantassins
Pertes ottomanes : 2 000 fantassins, 600 miliciens. Plusieurs milliers de prisonniers.

Thessalie, Grèce.

................ Les premières opérations sont basés sur l'invasion de la Thessalie, c'est l'objectif principal et pour se faire le prince Constantin menant l'attaque, s'est doté de moyens conséquent : 100 000 fantassins et 300 canons suivent le prince dans la conquête de Thessalonique. Cependant malgré la déroute totale des ottomans face à des attaques balkaniques coordonnées (la coordination de la ligue balkanique a fait énormément souffrir la position ottomane), les ottomans entretiennent près de 80 000 dans cette région. La frontière fut rapidement enfoncés, les premiers fort pris sans difficulté, la grande armée grecque avançait rapidement, les troupes ottomanes opérèrent elles des mouvements plus au moins réussis pour tenter de s'opposer à la gigantesque armée grecque. La bataille de Sarantaporo fut la première bataille remportée par la Grèce, les armées ottomanes n'arrivèrent pas à stopper l'armée grecque. Les différentes divisions grecques avancèrent dans une "course à la mer", soutenues par des canonnières, les dix divisions de l'armée de la Péloponnèse prirent un par un les ports ottomans de Thessalie, l'avancement des troupes grecques, le manque d'effectif ottoman et la difficulté pour les ottomans de mettre en place une ligne défensive, contraint les troupes ottomanes forte encore de 70 000 hommes de fuir vers Thessalonique
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Pertes grecques : 2 000 hommes, 5 canons.
Pertes algériennes : 4 200 hommes, 6 000 prisonniers

Thessalonique.

................Les troupes ottomanes, comptant maintenant 70 000 fantassins furent affectés à la protections de Thessalonique, ville vitale puisqu'elle permet le ravitaillement des troupes ottomanes en Europe, et qu'elle constitue le plus gros entrepôt d'armes. 1 mois après la campagne d’Épire, le prince Constantin reçu des renforts comptant près de 15 000 chasseurs alpins, 4 000 sapeurs du Génie ainsi que 200 canons et une centaine de mitrailleuse, des troupes mobilisés prirent le pas pour l'occupation des territoires conquis. Maintenant fort d'une armée de 108 000 hommes et de 500 canons. Dans un premier temps, le prince Constantin envoya l'intégralité de l'infanterie alpine sécuriser les zones montagneuses des alentours, celles-ci était défendues par environ 9 000 hommes, mal équipés, les divisions alpines prirent très vite position autours de la région de Salonique. Une armée de 89 000 hommes et de quelques sapeurs du génie attaqua alors les alentours de la ville par le sud-ouest, la surprise totale de cette attaque donna un plus grand avantage numérique provisoire de l'armée grecques, perçant les lignes ottomanes, les officiers ottomans organisèrent des manœuvre de soutien envers les divisions se battant pour le contrôle de ses villages, le combat fut âpre, très âpre. Finalement fort d'une artillerie de meilleur qualité, l'armée grecques prit le contrôle du sud-ouest de la région, ainsi qu'une ligne ferrée menant à Salonique. Fort de ce succès, Constantin conscient que Salonique ne sera pas isolée éternellement, décide de rassembler ses troupes et de lancer le siège final, les 55 000 ottomans restant pour défendre Thessalonique tentèrent d'abord de briser l'encerclement, mais les mouvements audacieux de l'infanterie alpine fit plié les divisions ottomanes du nord-est. Un autre événement inattendu se produisit pour les ottomans, l'assistance italienne, un corps expéditionnaire italien venait de débarquait dans les positions grecques, soudain renforcé, les divisions locales purent écrasés des troupes ottomanes largement en infériorité. Ces événements annoncèrent le début du siège, la totalité des 900 obusiers grecs et italiens tirèrent alors, la rythmique des bombardements était alors utilisé pour réduire le moral ennemi. Après trois jours de siège, Constantin lança, l'assaut final, qui fut meurtrier, les troupes ottomanes s'étant retrancher dans la ville avec succès. Devant l'impopularité de l'armée ottomane dans cette ville grecque, la garnison finale de 27 000 hommes entamée par les longs combats capitulèrent.
Spoiler:
Pertes grecques : 8 000 fantassins, 1 200 chasseurs alpins, plusieurs milliers de blessés.
Pertes ottomanes : 6 000 morts et 38 000 prisonniers. Le reste des troupes ont fuient par l'Est par une percée lors de l'encerclement grec qui se résultera par l'immobilisation du reste de la garnison.
Pertes italiennes : 800 morts

Carte et résumé de la situation
Spoiler:

La ligue balkanique composé de la Grèce, de la Bulgarie, de la Serbie, du Monténegro ainsi que ses alliés italiens et britannique, revendiqua le traité suivant, qui non-négociable est le seul pouvant arrêter sa guerre et éviter la destruction de l'Empire Ottoman.

- L'Empire Ottoman cède la Roumélie, la Thrace et la région Smyrne aux différents membres de la ligue.
- La Libye passe sous domination italienne.
- La flotte ottomane est cédée à la Grande-Bretagne.
- L'Empire Ottoman s'engage à laisser les populations grecques et arménienne (environ 3 millions de personne) rejoindre le nouvel Empire Romain d'Orient, tandis que les puissances balkanique laisse les populations turques (environ 5 millions de personnes) rejoindre l'Anatolie ottomane.

Spoiler:

[Conflit] Guerre Balkanique. 1386357704-1050px-royal-coat-of-arms-of-greece-svg

par **Aetius** Jeu 2 Jan 2014 - 13:12

Merci au joueur ottoman d'attendre les post britannique, serbe ( qui contrôle également le Monténégro), italien et bulgare.

Il est probable que je fasse un post pour Marin qui joue la Bulgarie, ce sera un simple résumé.

par **Gungauss** Jeu 2 Jan 2014 - 13:54

République Française

[Conflit] Guerre Balkanique. Francecoatofarms1898-2

Communiqué confidentiel pour les puissances de la Ligue

La France est extrêmement déçue de ne pas avoir été prévenu par ses alliés de la Ligue, de la préparation d'une opération militaire dans les Balkans. Il est clair que les relations entre la France d'un côté, et la Ligue de l'autre, Royaume-Uni compris, viennent de décliner grandement.

Communiqué ouvert

La France déclare rester neutre dans le conflit. Elle continuera à remplir son traité avec l'Empire Ottoman, à savoir l'application stricte du pacte de non-agression, ainsi que l'aide économique et financière qui sont joint au traité.

par Invité Jeu 2 Jan 2014 - 14:00

par **PonchMan** Jeu 2 Jan 2014 - 14:07

[Conflit] Guerre Balkanique. 1388598112-banniere

Invasion de la Libye et de l'Albanie

Casus Belli: Libérer la Libye et l'Albanie des griffes ottomanes et les placer sous la protection du Royaume d'Italie

Forces en présence:

Forces Italiennes:
-140 000 hommes (60 000 en Albanie, 80 000 en Libye)

-2 Flottes constituée de 1 Dreadnought Classe Duilio, 2 Croiseurs protégés Classe Umbria et 3 Torpilleurs Classe Pegaso II chacune ayant pour mission de protéger les flottes de débarquement

-Plusieurs groupes de navires soutenant les débarquement en Libye composés de quelques croiseurs protégés, de croiseurs cuirassés et de destroyers

Forces Ottomanes:
-Environ 8 000 réguliers et 20 000 irréguliers en Libye (chiffres de la guerre Italo-Turque IRL)
-Environ 20 000 réguliers en Albanie
-Flottille de 8 canonnières

Front albanais:

Etape N°1: La Marche vers Tirana

Débarquement de Durrës:

Forces en présence:
Armée Italienne: 40 000 hommes, soutien naval
Garnison Ottomane: Environ 2 000 hommes

Alors que le jour se levait sur le port de Durrës sur la côte albanaise, que tout était calme, le sifflement d'un obus vint briser le silence ambiant puis ce fut un, deux, trois et bientôt une véritable pluie d'obus qui tomba sur le port. Les quelques forces en garnison dans la ville ne purent réagir et les cibles militaires désignées furent détruite sous une avalanche de flamme. C'est alors que débuta le débarquement de Durrës, première bataille du conflit italo-turque qui allait se jouer. Les 40 000 italiens s'élancèrent comme un seul homme à l'assaut de la ville. La garnison ottomane ne put rien faire tant elle avait été surprise mais surtout tant elle était en sous-nombre. Celle-ci avait déjà de plus été ébranlée par les violents bombardements. La résistance ne dura pas longtemps dans la ville et la population albanaise accueillit les italiens en libérateurs. Les derniers survivants ottomans déposèrent les armes. Après cette éclatante victoire, la force italienne se lança en marche forcée vers Tirana afin de ne pas laisser trop de temps aux forces ottomanes bien plus nombreuses dans la capitale.

Pertes:
Italiennes: 194 tués, 217 blessés
Ottomanes: 417 tués, 561 blessés, 1 258 prisonniers au total

Débarquement de Vlorë:

Forces en présence:
Armée Italienne: 20 000 hommes, soutien naval mineur
Garnison Ottomane: Environ 1 000 hommes

Vlorë, petit port du sud de l'Albanie, voilà où allait se dérouler la deuxième scène du premier acte de l'invasion de l'Albanie. Il était environ midi, rien ne semblait pouvoir déranger la quiétude de la ville quand soudain la sirène retentit. C'était l'alerte, le débarquement avait commencé. En un instant, des obus s’abattirent au sol explosant dans un vacarme assourdissant. Les civils paniquaient et fuyaient, les soldats ottomans en poste ici furent tirés si brutalement de leur torpeur qu'ils ne purent réellement réagir face à l'attaque. Cependant, la défense de ce qui pouvait être défendu fut organisée et quelques pertes furent infligées aux envahisseurs italiens mais rien ne put stopper l'inexorable avancée de cette marée humaine. Les coups de feu s'échangeaient, le sang était versé puis tout s'arrêta d'un coup, le commandant de la garnison hissa le drapeau blanc et ordonna la reddition sans condition. La ville de Vlorë était tombée, les portes de l'Albanie étaient grandes ouvertes et l'armée italienne ne se priva pas de s'y engouffrer. Les forces qui avaient débarqués à Vlorë se divisèrent bientôt en deux groupes équitables. L'un pris la direction de la petit ville d'Armen qui se rendit sans résistance. L'autre groupe prit la direction de Dukat au sud.

Pertes:
Italiennes: 102 tués, 143 blessés
Ottomanes: 284 tués, 301 blessés, 612 prisonniers au total

Accrochage près de Kamëz:

Forces en présence:
Armée Italienne: 39 000 hommes
Division Ottomane: Environ 5 000 hommes

Alors que l'armée italienne qui se dirigeait vers Tirana continuait sa route et approchait de la capitale albanaise, l'ennemi fut repéré dans la campagne entourant la ville de Kamëz qui se trouvait à seulement 8 km au nord de Tirana. Les éclaireurs italiens avaient repéré ce contingent ennemi et en plein milieu de l'après-midi, l'artillerie italienne fit feu sur les troupes adverses qui étaient en mouvement. Ces troupes se réorganisèrent rapidement et comprenant que face à un ennemi aussi nombreux ils n'avaient aucune chance de l'emporter, ils entamèrent une retraite vers Tirana. Cependant, ce mouvement avait été anticipé par l'Etat-Major italien et des troupes se trouvaient en embuscade sur la route empruntée par les forces ottomanes.

Spoiler:

La cavalerie italienne lança une magnifique charge qui fit voler en éclate les semblants des lignes ottomanes. Les flancs ottomans furent bientôt submergés par les forces italiennes. Complètement encerclés, les ottomans n'eurent d'autre choix que de se rendre.

Pertes:
Italiennes: 247 tués, 270 blessés
Ottomanes: 1 347 tués, 1 443 blessés, 3 697 prisonniers au total

Prise de Tirana:

Forces en présence:
Armée Italienne: 38 500 hommes
Division Ottomane: Environ 10 000 hommes

"Feu à volonté!". Voilà l'ordre qui sonna le glas de l'armée ottomane car il venait de lancer la bataille qui allait causer la déroute des forces ottomanes d'Albanie. Alors, un rideau de feu s'abattit sur la ville de Tirana. Les canons italiens crachaient tels des dragons des flammes qui illuminaient le ciel de la ville qui allait s'endormir en cette soirée. La garnison ottomane qui savaient qu'un assaut allait arriver s'était organisée mais les préparatifs n'étaient pas terminés car les ottomans ne s'attendaient pas à ce que l'armée italienne avance si vite. Alors que l'artillerie se tut, la cohorte italienne s'élança dans la ville et inonda les rues. Les ottomans opposèrent une résistance héroïque infligeant d'importantes pertes aux italiens mais le résultat fut au final le même que celui de toutes les batailles jusqu'alors. La ville fut bientôt prise et les derniers ottomans soit s'enfuyaient soit furent capturés. Les troupes qui avaient réussi à fuir se réorganisèrent plus loin et une parti des forces italiennes fut détaché afin de les combattre.

Spoiler:

Pertes:
Italiennes: 1 879 tués, 2 973 blessés
Ottomanes: 1 249 tués, 1973 blessés, 5 812 prisonniers au total

Résumé de la situation:

Etape N°2: Sécurisation du littoral

Après avoir pris Tirana, l'objectif était d'étendre la zone contrôle par l'armée italienne au nord et au sud, le long de la côte. Pour ce faire, les deux armées firent la jonction au niveau de la ville de Divjakë pendant que des division prenaient le contrôle des villes de Lezhë et Velipojë au nord ainsi que les villes de Himarë et Piqeras au sud. Ainsi, la côte albanaise était quasiment sous le contrôle total des forces italiennes. Cet étape fut achevée sans avoir mené de batailles. Seuls quelques accrochages mineurs furent à déplorer étant donné la débandade des forces ottomanes.

Résumé de la situation:

Les forces italiennes se préparent désormais à s'enfoncer plus profondément en Albanie afin de chasser définitivement les ottomans.

Bilan des pertes:
Italiennes: 2 422 tués, 3 603 blessés
Ottomanes: 3 297 tués, 11 379 prisonniers

Front libyen:

Etape N°1: Poser le pied en Libye

La première étape de l'invasion de la Libye (qui s'est déroulé simultanément à l'invasion de l'Albanie) consistait en quatre débarquements simultanés sur Tripoli, Syrte, Benghazi et Tobrouk afin que les forces italiennes posent le pied sur le sol Libyen tout en prenant le contrôle des 4 plus grandes ville de Libye. Avant toute chose, la flottille ottomane présente au large de Tripoli devait être anéantie.

Bataille des côtes de Tripoli:

Forces en présence:
Armée Italienne: 1 Dreadnought Classe Duilio, 2 Croiseurs protégés Classe Umbria et 3 Torpilleurs Classe Pegaso II
Garnison Ottomane: 8 Canonnières

Spoiler:

La marine italienne savait que des navires ottomans se trouvaient dans la zone au large de Tripoli. Cette flottille devait être éradiquée avant que le débarquement italien ne puisse commencer. Les trois torpilleurs Pegaso II qui étaient rapides approchèrent à la rencontre de la marine ottomane et dès qu'ils furent à portée, lancèrent leurs torpilles. Les canonnières ottomanes ne tardèrent à répliquer mais les torpilleurs très mobiles parvinrent à éviter les attaques. L'apparent équilibre fut complètement renversé quand arrivèrent peu après sur zone le dreadnought ainsi que les croiseurs italiens. Ceux-ci ouvrirent le feu raflant littéralement les navires ottomans alors quasiment immobiles. Alors que la nuit tombait, les tirs cessèrent les équipages ottomans en profitèrent pour abandonner leurs navires transformés en épaves. Les équipages parvinrent à fuir et à rejoindre la côte.

Pertes:
Italiennes: Aucune
Ottomanes: 6 canonnières coulées, 2 capturées

Débarquement de Tripoli:

Forces en présence:
Armée Italienne: 30 000 hommes, soutien naval
Garnison Ottomane: Environ 4 000 réguliers en garnison dans un premier temps puis renforts d'environ 10 000 irréguliers

Spoiler:

Il était tôt en cette matinée, le soleil se levait sur la capitale de la province de Libye. Tout était calme. Pour le moment. En quelques minutes, comme en Albanie de l'autre côté de la Méditerranée, les obus tirés des navires italiens firent voler en éclat ce calme. Quelques minutes encore et voilà le port submergé d'embarcation de débarquement et voilà l'armée italienne forte de 30 000 hommes qui s'élança sur la ville. Les défenseurs turcs n'avaient rien vu venir et l'avancée italienne dans la ville était irrésistible. La garnison ottomane se replia hors de la ville rapidement. Alors que les italiens pensaient avoir remporté la bataille, les ottomans se regroupaient en dehors de la ville avec une force de 13 000 hommes environ constituée de 3 000 réguliers et de 10 000 irréguliers arabes. Cette force tenta une contre-attaque sur la ville. Dans un premier temps, les italiens surpris n'eurent d'autre choix que de reculer mais il s'agissait là pour les envahisseurs de reculer pour mieux sauter. L'artillerie eu le temps de s'installer et fit feu sans relâche sur l'armée ottomane brisant les lignes et sapant le moral des troupes irrégulières. Alors, l'assaut fut relancé du côté italien et la résistance ottomane fut renversée et bientôt écrasée. Le commandant ottoman se rendit et fit hisser le drapeau blanc.

Pertes:
Italiennes: 1 931 tués, 2 544 blessés
Ottomanes: 1 743 tués, 3 269 blessés, 7 693 prisonniers au total

Débarquement de Syrte:

Forces en présence:
Armée Italienne: 15 000 hommes, soutien naval
Garnison Ottomane: Environ 1 500 réguliers

Comme à Tripoli, l'assaut fut donné à Syrte au petit matin. La garnison ottomane fut ébranlée par les obus tirés par les quelques navires italiens présents sur zone. Le port fut alors pris d'assaut par les troupes italiennes qui déferlèrent sur la ville. Cependant, la garnison ottomane était prête et les soldats étaient en garnison dans certains bâtiments de la ville. Un à un ces bâtiments furent sécurisés au prix de relativement lourdes pertes pour les italiens. Ces derniers étant dix fois plus nombreux et soutenus par de l'artillerie et les navires en rade du port, la victoire leur était assurée. Le drapeau blanc fut bientôt hissé.

Pertes:
Italiennes: 1 301 tués, 1 873 blessés
Ottomanes: 610 tués, 784 blessés, 797 prisonniers au total

Débarquement de Benghazi:

Forces en présence:
Armée Italienne: 20 000 hommes, soutien naval
Garnison Ottomane: Environ 2 000 réguliers

Benghazi fut elle aussi le théâtre d'un grand débarquement italien. Les forces italiennes, dix fois plus nombreuses que la garnison ottomane n'eurent aucun mal, avec le soutien des navires en rade du port, à mettre en déroute les forces ottomanes. En effet, les défenseurs de la ville n'étaient pas prêt à repousser un tel assaut et leur désorganisation était totale et flagrante. L'ordre de retraite général fut donné rapidement par le commandant de la garnison, si bien que la ville fut prise sans trop de perte dans les deux camps. Aucun doute que les forces ottomanes qui s'étaient retirées se préparaient à se regrouper avec d'autres pour préparer un assaut.

Pertes:
Italiennes: 89 tués, 102 blessés
Ottomanes: 112 tués, 127 blessés, 200 prisonniers au total

Débarquement de Tobrouk:

Forces en présence:
Armée Italienne: 15 000 hommes, soutien naval
Garnison Ottomane: Environ 1 500 réguliers

Tobrouk était la dernière ville de la liste, the last but not the list. En gagnant à Tobrouk, les italiens remportèrent une importante bataille. Ainsi, les portes de la Libye étaient grandes ouvertes. La bataille s'engagea avec les bombardements italiens suivis très rapidement de l'assaut général sur la ville. La garnison ottomane fut surprise et ne put réellement réagir. Dans les rues, les défenseurs face aux italiens si nombreux déposaient les armes et comme à Benghazi, l'ordre de repli général fut rapidement donné. La ville était sécurisée.

Pertes:
Italiennes: 189 tués, 211 blessés
Ottomanes: 137 tués, 180 blessés, 354 prisonniers au total

Résumé de la situation:

Etape N°2: Étendre la zone sécurisée le long des côtes

La deuxième étape de la campagne de Libye consistait en l'extension de la zone contrôlée par les forces italiennes. Pour se faire, les forces présentes dans chaque ville se sont séparées en plusieurs groupes. Depuis Tripoli, un groupe composé de 7 500 hommes est parti en direction de Sabratah ainsi que de Zuwara alors qu'un autre groupe de 10 000 homme est parti vers Misrata en passant par Al-Khums et Zliten. A l'ouest, seuls quelques accrochages ont été a déplorer alors qu'à l'est, les troupes italiennes se sont confrontées à la résistance des ottomans à Zliten. Depuis Syrte, un groupe de 8 000 hommes est parti en direction de Misrata pour faire la jonction avec les troupes de Tripoli. Enfin, depuis Benghazi un groupe de 10 000 hommes est parti vers Al Bayda tandis qu'un groupe de 8 000 hommes est parti de Tobrouk vers Derna. La seule bataille importante de cette phase de l'invasion a donc eu lieu à Zliten.

Bataille de Zliten:

Forces en présence:
Armée Italienne: 10 000 hommes
Garnison Ottomane: Environ 1 000 réguliers et 10 000 irréguliers

Pour la première fois de cette campagne, l'armée italienne se retrouvait en situation d'infériorité numérique. Cependant, les forces italiennes n'étaient constituées que de soldats réguliers tandis que les forces ottomanes ne comportaient presque que des irréguliers. Les ottomans avaient décidé d'affronter les italiens à l'extérieur de la ville, dans le désert. Les italiens, sachant que le terrain ne leur était pas favorable décidèrent alors d'attendre que les ottomans viennent et préparèrent leurs positions.

Spoiler:

Le commandant ottoman avait bien compris que les italiens étaient prêt et il ne comptait pas lancer l'assaut. Cependant, les troupes irrégulières recrutées dans la population arabe locale voulaient en découdre avec les forces italiennes et n'écoutèrent pas les ordres du général. Ils lancèrent alors la charge, charge bientôt coupée par les tirs d'artillerie et les tirs en rafale des italiens. Voyant la déroute des ottomans, les italiens chargèrent et massacrèrent les fuyards. les forces régulières ottomanes qui étaient restées en position se défendirent héroïquement infligeant des pertes relativement importantes aux italiens. Bientôt encerclés cependant, les turcs durent se rendre et le commandant ottoman ordonna la reddition de la ville. Bientôt, les troupes italiennes firent la jonction à Misrata comme prévu avec les troupes venant de Syrte.

Pertes:
Italiennes: 1 084 tués, 1 584 blessés
Ottomanes: 3 987 tués, 4 720 blessés, 6 000 prisonniers au total

Résumé de la situation:

La côte libyenne sera bientôt sous contrôle mais des poches de résistance existent encore dans la zone contrôlée par l'Italie. Ces poches sont la priorité des troupes italiennes.

Bilan des pertes:
Italiennes: 4 594 tués, 6 314 blessés
Ottomanes: 6 589 tués, 15 044 prisonniers, 6 canonnières coulées, 2 canonnières capturées

L'Albanie tombera bientôt, les forces libyennes sont en déroute et la côte libyenne sera bientôt entièrement sous notre contrôle, nous appelons l'Empire Ottoman à accéder aux requêtes exposées par la Grèce. Nous n'hésiterons pas à avancer encore plus profondément en Libye et vos forces ne pourront pas résister à un assaut d'envergure. Nous n'hésiterons pas non plus à envoyer des renforts en Albanie pour soutenir nos alliés des Balkans directement après avoir complètement pris le pays.

Par ailleurs, les mitrailleuses commandées à l'Allemagne ont été reçues et équipent désormais les armées italiennes au front. Les positions sont renforcées et des renforts sont régulièrement envoyés en Albanie dans les deux ports capturés. Ce sont près de 50 000 hommes dans chaque ports qui sont en cours d'acheminent. Ces ports seront tenus par ces hommes qui se mettent en position et qui ont pour mission de tenir ces deux villes coûte que coûte.

par **Gungauss** Jeu 2 Jan 2014 - 14:16

Étape 3 et 4 de l'invasion de l'Albanie annulée.
En un post, débarquer, tenir une tête de pont, s'enfoncer vers les villes et prendre un territoire sans infrastructures et pratiquement impraticable (montagnes), c'est impossible.

par **Caoki** Jeu 2 Jan 2014 - 20:56

United Kingdom of Great Britain and Ireland

Le Sultan Mehmed V et le Roi George V du Royaume-Uni.

Londres et Constantinople se sont réunis secrètement et ont mis au point le traité suivant dont le Roi George V du Royaume-Uni a apposé sa signature:

Traité d'al-Fāw de 1910:

- Londres et Constantinople signent un Pacte de Non-Agression de dix années, soit jusqu'en 1920.
- Londres verse 15 milliards de livres sterling à Constantinople.
- Constantinople cède à Londres les territoires suivants:
Spoiler:

par **Nitrox** Jeu 2 Jan 2014 - 21:13

Empire Ottoman

Le calife Mehmed V appose sa signature au traité d'al-Fāw.

par **Marin** Ven 3 Jan 2014 - 0:47

¤¤¤ Tsarat de Bulgarie. ¤¤¤

L'heure est venue pour la Bulgarie, de retrouver sa gloire passée.
Le temps de la passivité face à l'ennemi Ottoman est maintenant loin, la force est de notre coté.
Alors que le crépuscule venait a sa fin, l'ambassadeur de Bulgarie a Constantinople se rendit au palais de Royale pour déposé en main propre la déclaration officialisant la guerre avant de partir en sifflotant.
Minutieusement préparé, les troupes furent acheminés à bord de voitures commandés par milliers auparavant a l'Allemagne, quelques chevaux demeuraient cependant.
1ère Partie de l'Opération:

Forces en Présence:
- 350 000 soldats de métiers.
- 560 pièces d'artillerie.

Dans les airs, des dirigeables furent envoyés pour faire état des positions ennemis, la désolation laissés par les troupes grecques n'avaient surement pas laisser les Ottomans de marbre et le discours du Sultan avait eu son effet sur les populations anatoliennes.
Au sol, la déferlante mécanique étais en continuel. Des dizaines de camions de transports empruntaient les routes mal entretenus des Balkans Ottoman.
Les cotes bulgares, portant sur la mer noire et cette dernière envahit de la vermine ottomane sont fortifiés pour empecher tout débarquement important, des soldats armés de gaz sarin et moutarde sont prêt a en découdre. De plus la totalité des navires du pays sont réquisitionnés et armés.
Bref, l'armée du Tsar, portée par les glorieux généraux Savov, Fichev et Kutinchev avançait dans sa toute splendeur vers Constantinople, qui sera bientot assiéger.
L'aube se levait, un parfum de force régnait dans l'air.
Deux jours plus tard, les différentes divisions de dirigeables faisait état de leur observation, les Balkans étaient quasi-délaissé, en effet, aucune troupe réelle n'étais positionné, ainsi qu'aucune défense moderne.
Les brefs villages de la campagne ottomane n'apposait que peu de résistance, il suffisait simplement de tirs d'obus pour les amadouer de force, certes, mais une fois amadouer il n'opposait plus grande contrainte a la force mécanique de la sublime armée Bulgare.
Il fallut attendre les villes de Luleburgaz et Corlu pour réellement avoir une opposition armée, les habitants ayant plus grande difficultés a accepter un tel renversement de situation, fort heureusement, l'usage du gaz et des tirs obus, anéantissant la plupart des batiments importants fit plié les éventuelles rebelles.
Avançant sans désespérer, la force en eux, les soldats au nom de la nation marchaient sur touts ennemis à la grande nation Bulgare, pays libre, la liberté Bulgare se répandait sur le sol Ottoman
Des scénarios similaires se reproduire ainsi tout au long de la journée, des vivres furent récupérés et bientôt des bases seront construites.
A la nuit tombé, l'état Major donna l'ordre d'un regroupement rapide vers la capitale, Constantinople ou Istanbul comme l'appelle les mahométans, qui une fois tombée, obligera la région a se rendre.
Un important dispositif fut orchéstré pour empêcher l'ennemi de s'échapper, comme auparavant, des éclaireurs aériens furent envoyés, une fois revenu, aucune déclaration important n'eut lieu.
S'en suit l'arrivée de la cavalerie, les voitures allemandes, certaines blindés furent les premiers a voir la cité, des troupes ayant été placés pendant toute la nuit sur les collines entourant la ville, le soleil étais à son apogée, et l'armada se lancait, un bruit assourdissant emplissait la vallée.
L'ennemie étais terminé, engoncé dans une péninsule bien trop petite, la bataille commença. Presque 200 000 troupes ottomanes étaient là, craintives, face à la mort qui les attendaient.
En premier lieu, les collines furent rapidement noirs d'hommes, pendant que d'intense tirs de mitrailleuses et d'obus s'orchestraient, détruisant par endroit l'antique Mur Théodosien, et semant le désordre chez l'ennemie.
Les premiers combat furent déclenché, dans une anarchie la plus totale, les glorieux bulgares sous les ordre du général Savov usaient des véhicules comme bouclier pour avancer tout en exterminant l'ennemie qui fut contraint à se réfugier dans Constantinople.

Pertes :
- 120 000 Hommes.
- 250 véhicules.

2eme Partie de l'Opération:

Forces en Présence:
- 40 000 soldats de métiers.
- 200 000 hommes mobilisés
- Véhicules de transport dont une partie blindée.
Au même moment, tout au long de la frontière occidentale, se trouvaient près de 240 000 soldats, près a vengé la nation Bulgare des siècles de martyres sous le joug ottoman, tout comme a Constantinople, la haine créée par l'Empire Ottoman se retourne contre lui et c'est toute une nation qui maintenant, profitant des événements va retrouver ses terres irrédentes. L'objectif est d'atteindre les troupes italiennes, en Albanie.
A l'instar du front Sud, des escadrons aériens décollèrent.
La Chevauchée de la cavalerie rapide Bulgare pouvait donc débuter, les milliers de soldats marchant vacillement vers la Victoire.
En effet, un véritable désert aussi bien humain qu'environnemental séparant l'Adriatique et la Bulgarie, il ne fallut pas des années à l'armada pour arriver dans la plaine ou se trouve Skopje, capitale de la Macédoine, dont la population majoritairement orthodoxe accueillit de manière assez neutre les soldats bulgares, tandis que les turcs furent emprisonner.
Nous voilà arrivée au moment fatidique, Rangoon encore largement endommagé par le tremblement de terre suivi d'un Tsunami du début des années 30, commençait a peine a se réveiller, et c'est alors qu'un incroyable incendie la surprend.
Cette partie de l'armée s'arrête ici, attendant l'avancée italienne à l'intérieur d [Conflit] Guerre Balkanique. Onbais10

es terres.

EDIT :

Concernant la première partie :

-Non-utilisation du gaz, donc bombardement avec l'artillerie intensif.
-Je ne suis pas a Constantinople, au porte de la province.
-Dés lors réduction des pertes a 30 000 hommes.

Deuxième partie :

- pertes de 15 000 hommes.

Carte :

Spoiler:

par **Thalassin** Ven 3 Jan 2014 - 11:58

[Conflit] Guerre Balkanique. 1388340566051426300

[Conflit] Guerre Balkanique. 1388340587047395700

Le Royaume de Serbie appelle la Bulgarie, et par conséquent toutes les nations du monde, à modérer l'utilisation des gaz nocifs, d'autant plus que cette fois-ci ils ont été utiisés dans des villes peuplées de civils.

par **Gungauss** Ven 3 Jan 2014 - 12:04

République Française

La France se porte garante du respect de la Convention de Genève. La prochaine utilisation de gaz nocif lors du conflit amènera la France à intervenir contre son utilisateur.

par **Gungauss** Ven 3 Jan 2014 - 13:17

Marin => Une carte à faire pour ton post, les pertes de la 2eme opération à faire, la suppression de l'utilisation de gaz sarin (découvert en 1939) et du gaz moutarde (pas de technologies de déploiement de gaz en 1911). Et revoir ton attaque sur les environs de Constantinople : c'est la zone la mieux défendue de la région avec les Dardanelles. Les fortifications y sont très nombreuses.
De plus, l'avance doit être ralentie : l'usage des camions en 1911 est quasi-inexistant étant donné que TRES PEU de modèles de camions existent (les seuls camions existant en 1910 sont développés et construits en France et au Royaume-Uni)

par **VLAD** Ven 3 Jan 2014 - 23:11

Guerre Balkanique

---- ☬ En ayant entretenu depuis peu de très bonne relation avec l'Empire Ottoman, un drame à eu lieu et rien même l'amitié ne pourra empêcher l'Empire Russe de se mobiliser. C'est avec tristesse et désarroi que le pays tout entier à appris la mort de Olga N. Romanova et Tatiana N. Romanova, deux des filles du Tsar Nicolas II de Russie, morte dans un navire en direction de la France ou elles devaient passer des vacances, morte dans le bosphore par une mine Ottomane. En sachant que le gouvernement Ottoman était au courant, et qu'aucune précaution n'a était prise par celui ci, c'est une déclaration de guerre ouverte qu'il propose, et pour venger les filles du Tsar qui était comme les filles de tout un peuple, la guerre est déclaré.

---- ☬ Maintenant que c'est officiel, plus de 200 000 actifs sont envoyé dans les régions du Caucase, 20 000 hommes du génie, 150 000 réservistes, 1 000 obusiers et 2 000 canons de campagnes les accompagnes.

L'Empire Russe rentre en guerre contre les forces Ottomane.

par **PonchMan** Dim 5 Jan 2014 - 12:09

[Conflit] Guerre Balkanique. 1388915573-banniere

Front albanais:

Etape N°3: Percée dans les terres

Maintenant que la côté était sécurisée, l'objectif était d'avancer le plus rapidement possible à l'intérieur des terres. Après quelques jours, le sud de l'Albanie était quasiment sous contrôle, de même pour le nord. Au centre, les dernières forces ottomanes opposaient une résistance de la dernière chance. Les ottomans s'étaient regroupés à Elbasan. La ville fut alors prise d'assaut.

Prise d'Elbasan:

Forces en présence:
Armée Italienne: 30 000 hommes
Division Ottomane: Environ 7 000 hommes

C'est à Elbasan qu'allait se dérouler la dernière bataille de cette campagne d'Albanie. En effet, une victoire italienne ici signifiait la fin de la résistance ottomane et donc la victoire de l'Italie.
Comme toujours, la bataille débuta sur les crissements des obus, le vacarme des explosions et les cris des soldats s'élançant à l'assaut de la ville. Comme toujours, la supériorité numérique des italiens eut raison de la détermination des ottomans et comme toujours la bataille fut remporté par les forces italiennes, au prix cependant de lourdes pertes. Les forces ottomanes se rendirent, il en était désormais bientôt fini de la campagne d'Albanie.

Pertes:
Italiennes: 2 931 tués, 3 422 blessés
Ottomanes: 1 803 tués, 2 691 blessés, 4 759 prisonniers au total

Après cette bataille, l'armée italienne put avancer encore plus dans les terres albanaises. La résistance avait été écrasée une bonne fois pour toute à Elbasan.

Résumé de la situation:

Etape N°4: La Fin de la Campagne d'Albanie

Il en était désormais fini de cette campagne d'Albanie, l'opposition ottomane avait été écrasée et les derniers pans du territoire albanais étaient sécurisés. Conformément aux objectifs fixés, l'armée italienne s'arrêta à la frontière de la province albanaise. Le premier acte de ce conflit italo-turc était terminé.

Résumé de la situation:

Bilan des pertes:
Italiennes: 5 353 tués, 7 025 blessés
Ottomanes: 5 100 tués, 16 138 prisonniers

Etape N°5: L'entrée en Macédoine

Après que l'Albanie ait été complètement sécurisée par les forces italiennes, celles-ci marchaient en direction de l'est. L'armée du nord qui avait pris Tirana avait pour but de prendre la ville de Kicevo. La prise de cette ville permettrait de repousser encore les ottomans plus à l'intérieur de la Macédoine. L'armée du Sud devait elle prendre la ville de Kastoria en Épire. Par ailleurs, les 100 000 hommes débarqués ont été répartis comme suit: 10 000 hommes restent dans chaque ports sur la côte afin de les garder, 20 000 hommes se rendent à Tirana et enfin les 60 000 hommes sont répartis équitablement entre les deux armées.

Prise de Kicevo:

Forces en présence:
Armée Italienne: 60 000 hommes
Division Ottomane: Environ 20 000 hommes

Après la campagne d'Albanie qui fut rapide, les forces ottomanes restantes se sont regroupées dans la ville de Kicevo en Macédoine. Les troupes qui avaient fuit avaient rejoint les troupes ottomanes encore présentes en Macédoine. Avec l'avancée bulgare ainsi que l'avancée grecque, la Macédoine était désormais complètement enclavée.
La bataille s'engagea au petit matin lorsque l'artillerie italienne commença à faire son oeuvre et pour la première fois de l'histoire, les bombardements ne vinrent pas que du sol mais également des airs. En effet, les dirigeables acquis auprès de l'Allemagne furent utilisés afin de bombarder les positions ottomanes. Cette tactique très efficace permis d'ébranler les ottomans qui ne s'attendaient pas à une attaque venue des cieux.

Spoiler:

L'assaut fut alors donné dans la ville mais les soldats ottomans, bien que très affaiblis s'étaient terrés dans la ville et les pertes infligées aux italiens furent importantes. La reddition fut cependant acquise après des heures de combat acharné. Beaucoup d'ottomans furent alors capturés.

Pertes:
Italiennes: 5 967 tués, 7 873 blessés
Ottomanes: 4 882 tués, 5 233 blessés, 10 920 prisonniers au total

Prise de Kastoria:

Forces en présence:
Armée Italienne: 50 000 hommes
Division Ottomane: Environ 25 000 hommes

Au sud, l'armée italienne eu pour ordre de s'enfoncer en Épire, dans la zone encore contrôlée par les ottomans. La ville de Kastoria, ville où se trouve un important contingent ottoman, devait absolument être prise. L'artillerie italienne prépara alors le terrain en mettant la ville à feu et à sang. Les ottomans présents dans la ville ne purent réellement s'organiser et lors qu’arrivèrent les dirigeables bombardiers, le chaos en fut encore plus important. Sachant la situation de désorganisation totale des ottomans, les forces italiennes décidèrent de se lancer à l'assaut de la ville. Le combat fut âpre mais rapide, les soldats italiens étaient déterminés et leur rage se fit sentir. Les ottomans, démoralisés, se rendirent rapidement. Beaucoup d'autres parvinrent à fuir.

Pertes:
Italiennes: 3 998 tués, 5 028 blessés
Ottomanes: 6 147 tués, 7 841 blessés, 11 023 prisonniers au total

Résumé de la situation:

Front libyen:

L'objectif principal en Libye était désormais de prendre le contrôle total des côtes. Afin que cela soit chose faite, la ville d'Ajdabiya se trouvant entre Syrte et Benghazi devait être prise. Deux armées de 10 000 hommes venant de chaque côté de la ville ont eu pour mission de sécuriser la ville, ville seulement défendue par des irréguliers.

Prise d'Ajdabiya:

Forces en présence:
Armée Italienne: 20 000 hommes
Division Ottomane: Environ 5 000 irréguliers

Etant donné la supériorité numérique des troupes italiennes mais également la supériorité technologique et étant donné que les troupes ottomanes n'étaient composées que d'irréguliers, l'issue de la bataille ne faisait aucun doute. Cependant, ces irréguliers ottomans, galvanisés par leur commandant Mustafa Kemal Atatürk. Les hommes, déterminés à défendre la ville ne furent pas intimidés par les bombardements de l'artillerie italienne. Ils étaient prêt et attendaient les italiens. Cependant, ceux-ci, désormais équipés de mitrailleuses les utilisèrent dans les combats qui se sont déroulés dans les rues, les installant sur des barricades face aux ottomans qui tentaient de charger ces positions. La bataille fut un massacre mais la ville fut finalement prise. Le commandant Mustafa Kemal Atatürk fut capturé ainsi que le reste des survivants.

Pertes:
Italiennes: 4 723 tués, 5 698 blessés
Ottomanes: 2 397 tués, 2 411 blessés, 2 603 prisonniers au total

Rien n'empêchait plus les troupes italiennes d'avancer dans les terres libyennes. L'état-major avait décidé de prendre le contrôle du littoral mais de ne pas envoyer les troupes trop loin dans les terres.

Résumé de la situation:

[Conflit] Guerre Balkanique. 1388920148-devise

par **Nitrox** Dim 5 Jan 2014 - 16:33

Empire Ottoman

La guerre Balkanique

La mobilisation générale Ottoman a mobilisé plus de 300 000 soldats, commencé il y a déjà plusieurs mois. Les réservistes sont tous rappelé, en tout, près de 1 000 000 de soldats sont pret.

Depuis plusieurs mois, les forces ottomanes se sont rapproché du front, grace notamment aux bateaux et camions réquisitionné dans l'Empire.
Les soldats présent au Levant seront envoyé au front, puisqu'il est placé sous tutelle Française.

Front Grec

La ville de Ioannina, perdu récemment face aux lâches Grec, était un point fort entre les 2 pays, c'est pourquoi nous devons le reprendre.
Les Grec, apres la prise de la ville, n'avaient pas ajouté de renfort.

Soldats Grec: 25.000 soldats
Soldats Ottomans: 40.000 soldats, Pièce d'artillerie fourni par l'Allemagne, Mitrailleuse lourdes.

5h30 du matin,
Les artilleries avaient ouverts le feu pour affaiblir et prendre par surprise les force Grec.
Les soldats ottomans, pour certain qui habitaient dans la régions, connaissaient la région montagneuse très bien. 300 coups de canons furent tiré vers la ville et l'assaut de les fantassins prirent l'assaut vers la forteresse. Les soldats Grec, encore endormi pour certain, ne s'attendaient pas a un tel assaut car les forces ottomanes n'avaient pas montré de signe de vie depuis plusieurs jours. Les forteresses n'ont pas tenu longtemps face aux coups de canons et à l'assaut des fantassins.
Les forteresse tombé, les fantassins entrèrent dans le ville même et les soldats Grec a peine réveillé ont pris les armes et combattue vaillamment. Mais l'avantage numérique et l'effet de surprise ont été décisif.

L'assaut fut un succès surtout parce que les Grec ne s'attendaient pas et l'effet de surprise a été totale. Les chasseurs alpin n'étaient pas habitué a ce genre de combat en ce genre de milieu, ils ne s'étaient pas préparé et surtout

Perte Grec: 7100 chasseurs alpins, 800 sapeurs du génie. Environ 8500 soldats échappés, le reste capturé.
Perte Ottomane: 6700 fantassins.

________________________________________________________________________________

Thessalonique, ville capitale tombé sous le feu Grec quelques mois auparavant, était très important pour le ravitaillement, mais dès lors, le front greco ottomane est infesté de soldats, depuis plusieurs mois, les troupes ottomanes se sont mobilisé et rapproché le plus du front.

Les généraux savent que reprendre la ville de Thessalonique sera une victoire décisive contre la Grece, ne pouvant se relevé d'une telle défaite si l'armée ottomane est victorieuse.

Soldats Grec: +100 000 soldats environ
Soldats Ottomans: 180 000 fantassins, 10 000 chasseur alpins, armes et munitions pour les prisonniers, 400 canons, mitrailleuse lourdes.

Le générale Abdullah Semih a fait un plan de bataille avec ses conseillers, préparé durant 4 jours et sans cesse corrigé pour obtenir un plan presque parfait.
Connaissant la ville et la région très bien, les fantassins et chasseurs alpins n'auront pas de mal à trouver le chemin.

L'attaque de la ville dot aussi se faire dans la plus grande surprise, au milieu de la nuit, car en attaquant de face la ville très bien protégé, nos forces se feront certainement repousser sans très grande difficulté.
3H50, milieu de la nuit, les canons se préparent à tirer, les mitrailleuses sont pretes et les fantassins guidés par les chasseurs alpins attaqueront à l'ordre.
4H10, les canons firent feu, quelques 800 coups se font alors entendre presque simultanément, les mitrailleuses font feu, les forteresses résistent bien, mais les canons continuent de faire feu et les forteresses tomberont bientôt, à l'intérieur de la ville, les soldats Grec sont réveillé, les habitants aussi, nous avons perdu notre effet de surprise.
Durant ce temps, l'armée continue de faire feu, les forteresses tombent apres 3 heures de bataille et sous l'énorme puissance de feu ottomanes réuni à cet occasion.

L'armée ottomane a perdu son effet de surprise, mais le générale décide d'attaquer sous prétexte que plus on attend plus les Grec seront préparé à la défense.

Une première tentative ottomane par la porte Nord est repoussé, faisant quelques centaines de morts en tout des 2 cotés.

Maintenant, l'armée ottomane a entouré la ville, et se prépare à attaquer par ses portes Ouest et Nord, car là sont prisonniers les soldats ottomans capturé lors de la prise de la ville des par les Grec.

Les canons, n'ayant presque plus d'obus, firent feu, ce qui marque le début de l'offensive, les soldats ont réussit à pénétré par la porte Ouest, moins protégé que les autres. Les hostilités sont maintenant à l'intérieur même de la ville, les soldats ont réussit à atteindre l'endroit où les soldats étaient prisonniers, leur donnent les armes qui ont été apporté exprès eux. Bientôt, la plupart des prisonniers prirent des armes et combatèrent ensemble, le nombre de soldats ottomans à l'intérieur de la ville double, bientôt, l'intérieur de la ville n'est plus qu'un champ de bataille, mais les soldats ottomans, supérieur en nombre, prirent l'avantage vite.
Après plusieurs heures de batailles, l'armée Grecque ne capitule toujours pas, mais l'arrivé à l'intérieur de la ville des mitrailleuses est décisif.
Peu après, l'armée Grecque capitula sans conditions.

Pour plus de sécurité: Les prisonniers Grec seront enfermé, mais traité correctement en tant que prisonniers de guerre. Les prisons seront chargé d'explosifs, donc dès les premiers révoltes ou attaque des forces armées Grecques, les prisons exploseront.

Perte Grec: 12.500 soldats mort, 18.000 blessé, 47.000 prisonniers 23.000 échappé
Perte Ottoman: 16.500 soldats morts, 8000 blessé. 35.000 prisonniers récupéré.

Résumé de la situation

Spoiler:

Lettre à la Grece: Déposez les armes, nos peuples peuvent encore vivre, en paix si possible, nous oubliront cette guerre et vous aideront à vous relever!
Réfléchissez bien, nous ne sommes plus seuls à présent.

Front Albanais.

Ne pouvant utiliser les navires, la Libye sera laissé pour l'instant.

Reprise de Kicevo:

Italie: 64.000 hommes
Ottoman: 90.000 hommes

Depuis les victoire décisif sur le front Grec, c'est au tour du front Albanais, tenu fortement par l'armée Italienne.

Après les victoires Ottomanes en Grece, les soldats avaient tous la morale et étaient déterminer à gagner sur le front Albanais.

Au petit matin, les forces ottomanes lancèrent l'offensive sur la ville de Kicevo, mais cette fois, les généraux n'ont pas utilisé la tactique de surprise, contrairement sur le front Grec. Les dirigeables, retiré, sont une tache de moins.
Les Italien, moins bien armées que les Ottomans, vu que les armées ottomanes sont équipé de matériel Français et Allemands. Nous sommes aussi plus lourdement armées car les Italiens n'ont pas reçu de renfort depuis plusieurs mois.
L'offensif fut un totale succès, appuyé par les mitrailleuses lourdes, mais malheureusement il y a eu de grosses pertes dans les 2 camps. Les forces Italiennes n'étaient pas préparé en pensant que nous étions trop occupé sur le front Grec.
Mais comme en Grece, les prisonniers de guerre ottomans ont été libéré et affecté pour protéger la ville.

Perte Italiennes: 11760 tué, 3450 blessé. 19.000 capturé. Le reste, 30.000 hommes échappé.
Perte Ottomans: 12.000 tué, 2350 blessé. 10.000 prisonniers récupéré.

Les prisonniers seront gardé comme en Grece, c'est a dire à l'explosif.

Prise de Kastoria:

La ville de Kastoria, prise il y a peu, est très important, cette ville relie l'Albanie à la Grece, récemment repris par les Ottomans.

Les ottomans présent en Grece capturé et les Ottomans venue d'Asie et s'étant préparé depuis pres d'un an à venir en Europe.

Le nombre fulgurant de soldats a permis à la reconquete de la Grece et de l'Albanie.
Pour finaliser la contra attaque, la ville de Kastoria doit rester entre nos mains.

Force Italienne: 45.000 hommes
Force Ottomanes: 40.000 hommes

Les canons, envoyé depuis la Grece, firent feu sur la ville, massacrant les Italien qui ne s'attendaient pas à ca. Les portes de la ville sont maintenant ouvert pour les Ottomans, qui se lancèrent comme une flèche qui va atteindre sa cible, ils pénétrèrent à l'intérieur, massacrant les Italiens. Les prisonniers ont été libéré tous petit a petit, combattant contre les Italiens.

Perte italienne: 13.000 morts, 4000 blessé, le reste tous capturé, ne pouvant s'échapper.
Perte Ottomans: 15.00 morts, 6000 blessé, les prisonniers tous récupéré.

Résumé de la situation:

Spoiler:

Modifications modales :
-Artillerie ottomane faible
-Troupes ottomanes démoralisées par les armements modernes italiens (dirigeables et avions)
-Désertion d'environ 1/10eme des troupes
-Manque de logistique ottomane

Lettre à la France:
Cher allié, depuis le début de cette guerre vous nous soutenez, c'est pourquoi nous vous demandons des avions de guerre, des Blériot XI.
Nous vous remercions.

Lettre à la Bulgarie:
Cher tsar, nous vous demandons, aujourd'hui, de signer la paix entre nos 2 puissance, vous aurez vos territoire convoité. Nous attendons une réponse rapide.

Lettre à l'Allemagne:
Cher Kaiser, nous vous demandons, le plus sincèrement, de nous aider en nous fournissant des canons et de l'artillerie.
Merci de votre sincérité.

par **Marin** Lun 6 Jan 2014 - 18:33

¤¤¤ Tsarat de Bulgarie. ¤¤¤

Le Tsar Ferdinand Ier de Bulgarie, accepte la proposition Ottomane, la Bulgarie se retire de la guerre et acquiert de nombreux territoires dans les Balkans.

[Conflit] Guerre Balkanique. Illustration_1908_pre_de_premiere_guerre_mondiale_poster-r186d064de58b49efac24d0f1542061af_7ubl_8byvr_512

par **Nitrox** Lun 6 Jan 2014 - 19:15

Empire Ottoman

Nous sommes heureux de la réponse Bulgare, qui bénéficie à nos 2 nations.

Cependant il faut ajouter:
-PNA de 5 ans, rennouvelable.

Les territoire cédé à la Bulgarie::

par **Gungauss** Mar 7 Jan 2014 - 12:42

Évènement

L'Albanie déclare son indépendance !

Sous l'impulsion de Guillaume de Wied, descendant de la dynastie de Roumanie et de nationalité allemande, le peuple albanais s'est soulevé, comme lors des révoltes du début du XXème siècle, et a déclaré son indépendance.
Guillaume de Wied est donc couronné Roi d'Albanie sous le nom de Vidi Ier.
Le Roi demande la protection de l'Italie afin de garantir son indépendance. Environ 2.000 miliciens albanais sont prêt à rejoindre les troupes italiennes, à condition que l'Italie garantisse l'indépendance de l'Albanie et soutienne le royaume dans ses revendications :

Territoires revendiqués en rouge :
-Albanie
-Kosovo
-Épire du Sud

par **PonchMan** Mar 7 Jan 2014 - 22:27

[Conflit] Guerre Balkanique. 1389038590-banniere

Front albanais:

Bien que les villes de Kicevo et de Kastoria aient été reprises par les forces ottomanes, celles-ci ont remportées de véritables victoires à la Pyrrhus. En effet, les pertes ont été de leur côtés très importantes et le morale des troupes ottomanes est très chancelant. Un plan a été mis au point par l'Etat-Major italien. Celui-ci consiste en une reprise de la ville de Kastoria où les otages seront libérés. Les troupes ayant réussi à fuir de Kicevo seront incorporées à cette armée qui ira reprendre la ville. Cette victoire signera définitivement le glas de l'armée ottomane et l'armée italienne repartira alors au sud afin de d'aider les grecs.

Bataille de Kastoria:

Forces en présence:
Armée Italienne: 71 000 hommes
Armée Ottomane: Environ 17 000 hommes

Afin d'engager la bataille de Kastoria, les italiens lancèrent leurs 5 dirigeables ainsi que leurs 5 Blériot XI chargés de bombes afin de faire pleuvoir les bombes sur la ville. En même temps, l'artillerie italienne se mit en marche. Les ottomans, fortement démoralisés fuyaient ce déchaînement de puissance de feu. Alors, les troupes italiennes lancèrent un magnifique assaut. Face à cette véritable marée humaine les ottomans fuyaient sans opposer de résistance. Les soldats italiens faits prisonniers furent libérés et armés. Les pertes étaient faibles chez les italiens et côté ottoman les défections étaient très importantes. La ville fut très facilement reprise et les forces ottomanes furent repoussées loin en arrière.

Pertes:
Italiennes: 3 875 tués, 3 341 blessés
Ottomanes: 3 000 tués, 3 412 blessés, 8 000 prisonniers au total, 6 000 déserteurs

Bataille de Kicevo:

Forces en présence:
Armée Italienne: environ 125 000 hommes
Armée Ottomane: Environ 68 000 hommes

Dès que leur oeuvre fut terminée à Kastoria, les Blériot XI et les dirigeables italiens se dirigèrent vers Kicevo. L'armée italienne avançait en marche forcée. Là, toute la puissance de feu disponible fut déchaînée sur la ville qui fut réduite en cendre. Les ottomans fuyaient de la ville en feu, la ville assiégée. Les forces italiennes encerclaient la ville et les ottomans qui tentaient de fuir furent abattus sans pitié. Des groupes d'ennemis tentaient des sortis mais étaient facilement décimés. Le moral des ottomans était au plus bas. La charge des italiens donna le coup de grâce. La résistance était très faible, les ottomans manquaient de nourriture et de munitions et se rendaient en masse. Cette éclatante victoire sonna le glas de la contre-offensive ottomane.

Pertes:
Italiennes: 15 983 tués, 6 012 blessés
Ottomanes: 20 000 tués, 6 872 blessés, 38 000 prisonniers au total, 10 000 déserteurs

Résumé de la situation:

La situation était revenue à celle d'avant la contre-offensive ottomane. Après la bataille de Kicevo, l'armée italienne se répartie sur le front en se retranchant et en minant le terrain. Les mitrailleuses étaient placées et la Regia Aeronautica faisait des patrouilles très régulières. A la moindre approche de troupes ottomanes, les troupes italiennes pouvaient rapidement se replacer. L'artillerie était en arrière afin de pouvoir pilonner les éventuelles troupes ennemis.

Front turc:

Afin de faire céder rapidement les ottomans, trois débarquements de grande envergure furent décidés à Izmir, Antalya et Mersin. Pour ces débarquements, 225 000 hommes ont été réunis et 80 000 soldats de l'armée russe ont été mis à disposition de l'Etat-Major italien. Ces soldats, partis de Petrograd il y a quelques temps sont prêts et déterminés.

Débarquement d'Izmir:

Forces en présence:
Armée Italienne: 70 000 hommes (55 000 Italiens et 15 000 Russes)
Armée Ottomane: Environ 3 000 hommes

L'Etat-Major italien tout comme les soldats savaient que cette phase du conflit était déterminant et tous étaient déterminés car tout le monde savait qu'une réussite serait extrêmement symbolique et forcerait les ottomans à négocier. La détermination était palpable et aucun ne comptait renoncer. La ville d'Izmir ne comptait qu'une faible garnison de 3 000 hommes car toute l'armée ottomane était mobilisée sur les différents fronts.
Tôt dans la journée, les navires italiens présents ouvrirent le feu. Les soldats prirent rapidement le contrôle du quai et les 70 000 hommes débarquèrent progressivement et se lancèrent à l'assaut de la ville, débusquant les hommes en garnison un à un. Les pertes étaient légères du côté italien étant donné l'effet de masse et la préparation du terrain par l'artillerie. Les ottomans refusaient de se rendre et beaucoup furent tués. Les autres furent fait prisonniers.

Pertes:
Italiennes: 1 983 tués, 2 017 blessés
Ottomanes: 2 049 tués, 797 blessés, 951 prisonniers au total

Débarquement d'Antalya:

Forces en présence:
Armée Italienne: 50 000 hommes (45 000 Italiens et 5 000 Russes)
Armée Ottomane: Environ 2 000 hommes

Comme à Izmir, les navires en rade de la ville firent feu avant la bataille. La faible garnison ottomane fut violemment ébranlée par cette première attaque. Le port fut rapidement pris et le débarquement débuta. Les premiers affrontements furent violents mais la résistance fut rapidement éradiquée de la ville. L'amitié entre les soldats italiens et les soldats russes était forte et renforçait le moral et la combativité des hommes. La ville fut rapidement prise.

Pertes:
Italiennes: 876 tués, 933 blessés
Ottomanes: 1 134 tués, 588 blessés, 866 prisonniers au total

Débarquement de Mersin:

Forces en présence:
Armée Italienne: 60 000 hommes (50 000 Italiens et 10 000 Russes)
Armée Ottomane: Environ 2 000 hommes

Mersin était la dernière ville sur la liste en Anatolie. Les navires en rade ouvrirent le feu, préparant ainsi le débarquement qui fut lancé rapidement. La résistance fut ici aussi écrasée rapidement. Les soldats russes faisaient preuve d'une efficacité et d'une détermination impressionnante qui motivait les italiens. Là aussi, la ville fut prise rapidement avec des pertes faibles pour les forces italo-russes et élevées pour les ottomans.

Pertes:
Italiennes: 793 tués, 897 blessés
Ottomanes: 1 087 tués, 531 blessés, 913 prisonniers au total

Après ces trois victoires, les troupes avancèrent dans les terres. Les troupes d'Izmir prirent rapidement le contrôle des villes de Manisa, d'Aydin et de Nazilli, les troupes d'Antalya prirent le contrôle de Manavgat et Analya et enfin les troupes de Mersin ont quant à elles eu pour mission de maintenir la position tout en avançant légèrement en direction d'Adana.

Résumé de la situation:

Front grec:

Débarquement de Thessalonique:

Forces en présence:
Armée Italienne: 125 000 hommes (65 000 Italiens et 60 000 Russes)
Armée Ottomane: Environ 40 000 hommes

La plus grosse partie des forces navales étaient en rade de Thessalonique. Tous les canons ouvrirent le feu afin d'affaiblir au maximum les ottomans ainsi que de les décourager. Très vite, les 5 Blériot XI et les 5 dirigeables de la Regia Aeronautica arrivèrent sur place et firent leur oeuvre. Les ottomans étaient ici démoralisés comme en Albanie. L'écho des revers en Albanie avait porté un coup fatal au moral des ottomans. Le port était l'objectif premier et celui-ci fut rapidement pris, au prix de pertes relativement lourdes. Alors que le débarquement avait lieu, les troupes avaient pour mission de tenir coûte que coûte ce qui fut chose faite. Les ottomans en tentant de reprendre le port subirent de lourdes pertes. Quand le débarquement fut terminé, la résistance ottomane déjà très affaiblie ne put résister à la déferlante italo-russe. Tous les hommes étaient déterminés, les russes faisaient preuve d'un héroïsme admirable et les italiens n'avaient rien à envier. En face, les ottomans étaient également de fiers combattant mais ils ne pouvaient rien faire face aux tirs répétés de l'artillerie navale, face aux bombardements aériens et surtout face à la détermination et à la supériorité technologique et surtout numérique des assaillants. Thessalonique était reprise et est désormais fermement tenue par les forces italo-russes.

Pertes:
Italiennes: 15 589 tués, 10 741 blessés
Ottomanes: 18 740 tués, 9 874 blessés, 14 540 prisonniers au total, 6 720 échappés certainement déserteurs.

Nous appelons vivement les autorités ottomanes à se rendre !

De plus, nous reconnaissons officiellement Sa Majesté Vidi Ier d'Albanie et assurons la protection du naissant Royaume d'Albanie ! Ce Royaume sera placé sous tutelle italienne et l'Italie aura son mot à dire dans la politique albanaise cependant. Ceci dit, une importante liberté sera laissée. Quant aux revendications, elles seront discutée avec les ottomans lors des négociations.

par **Thalassin** Mar 7 Jan 2014 - 23:33

Royaume de Serbie

Le gouvernement serbe répond négativement aux revendications albanaises sur son territoire.

(Je suis sur 3DS la mise en page sera faite dès que j'aurai accès à l'ordi)

par **Nitrox** Mer 8 Jan 2014 - 15:46

Empire Ottoman

L'Empire Ottoman capitule sans condition face aux nations de la Ligue Balkanique, et face à l'Empire de Russie.

Message édité par l'administration.

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[Conflit] Guerre Balkanique.

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