[Evangélisation] Evangélisation des territoires païens du nord de la Suède

Le roi Serker II de Suède déclare vouloir montrer le droit chemin de la foi aux païens du nord de la suède, suite à une visite de Dieu Tout-puissant.

C'est en fait l'évêque de Stockholm qui lui en a donné l'ordre, du fait que le roi, insatisfait de sa femme, ai décidé de faire le tour des bordels de la capitale engendrant ainsi plus d'une dizaine de bâtard.
Le roi mobilise, le 4 mars 1202, 3000 soldats de son ost personnel, le seigneur Ohlsson, comte du Västra Götaland, et 15 moines-guerriers charger de prêcher la foi tout au long de leur périple.

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La route du roi et de la sainte-cohorte se sépara dans la ville de Falköping siège du seigneur Ohlsson.

L'évangélisation se passe bien par la grâce de dieu.
La plupart des villages païens se convertissent aussitôt devant la splendeur de notre Père.
Les quelques villages hostiles ont très vite compris que la voix de dieu était la seule possible.

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L'évangélisation bat son plein lorsque les sentinelles, envoyées en reconnaissance, viennent prévenir le comte Ohlsson d'une funeste nouvelle. Les païens se regroupent au nord, sous la bannière d'un jeune chef belliqueux. Leur nombre est estimé à 2500. Devant ce rassemblement inattendu le comte rassemble ses hommes et marche vers le nord. Le destin de la Sainte-cohorte et des païens se décidera lors d'une sanglante bataille.

Bien que l'été soit déjà bien avancé, la neige recouvrait encore le peu de végétation qui arrivait à braver le froid polaire de la région. Le froid mordait la chair et la buée s'echappant des bouches se perdait dans l'immensité grise du ciel.
L'ennemi se dressait, fier, de l'autre côté de la vaste étendu enneigée. Comme le voulait la tradition, le baron Ohlsson allait affronter le chef païen, en combat singulier, avant que les deux armées ne se percutent. Il descendit donc de cheval, son armure blanche et pure comme la neige soulignant la blondeur de ses cheveux, et dégaina son épée. Le jeune chef adverse, armé de son cimettere, le rejoignit au centre du no man's land qui séparait les deux armées. Cet bande, si grande et pourtant si mince, qui séparait l'homme de la bête, l'instruit de l'ignorant, le Dieu du Diable.
Le païen fut le premier à frapper. Son arme s'abattit avec une force fulgurante, en direction du crâne de notre héros. Celui-ci para le coup, et son arme vibra sous l'impact. S'en suivit une série de coup, porter par le chef adverse, qui faisait trembler le sol et le ciel. Le comte était en mauvaise posture, il subissait les coup de son adversaire comme autant de rocher qui s'abattait sur lui. Enfin le barbare, trop gourmand, allongea son coup en visant le pectorale du seigneur, découvrant ainsi sa garde. La lame du héros decrivit alors un arc mortel, le blanc de la neige et de son armure se teinta de rouge alors que la tête du diable roulait sur le sol gelé.
Les cris de l'armée adverse furent très vite couvert pas le sifflement des lames, et la charge de la sainte-armée suédoise. Les guerriers adverses, dont la tête avait été coupée, perdaient toute coordination et volonté meurtrière. Ils se dispersèrent et tombant à genou implorèrent notre pardon. La bataille était finit, Dieu avait triomphé sur son ennemi juré.

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Bilan final des pertes:

Pertes de la Sainte cohorte: 283 hommes dont 138 fantassins légers, 97 fantassins lourds, 34 cavaliers légers et 34 archers.
Perte païennes: 617