[Guerre] Opération Colombe en approche - Libération de l'Angola. [Victoire sud-africaine]

Republiek van Suid-Afrika

Contexte:

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Opération Colombe en approche - Dove benadering:
7 décembre 2017

Depuis 2015, l'Etat-Major sud-africain en parfaite concertation avec le gouvernement sud-africain et la Présidente de la République d'Afrique du Sud Helen Zille envisage une intervention militaire en République d'Angola. En effet, la communauté internationale semble être inintéressée par la situation politique et sociale qui ne cesse de se dégrader depuis plusieurs décennies à cause de l'autoritarisme et la corruption du Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos qui est au pouvoir depuis 1979. La population angolaise proteste de plus en plus et appelle à l'aide mais l'Etat angolais est un Etat contrôlant parfaitement les Forças Armadas Angolanas et les forces de l'ordre - ou de répression parfois - angolaises. Face à celà, le peuple angolais ne peut se lancer à nouveau dans une terrible et sanglante guerre civile et préfère une intervention militaire étrangère afin d'enfin mettre un terme à leur souffrance quotidienne. La République d'Afrique du Sud a donc décidé d'intervenir militairement, face au déni international, puisqu'en outre, l'Afrique du Sud ne peut laisser prospérer une nation despotique à ses frontières où les rancœurs des militaires angolais de la Guerre sud-africaine de la frontière ne cessent d'être amplifiées à la frontière Nord-Ouest de l'Afrique du Sud. Après une tentative d'intervention militaire avortée en 2016, la South African National Defence Force passe désormais à l'action en cette fin d'année 2017. Mobilisée en VOVER 2 depuis plusieurs petites semaines avec comme prétexte les fortes tensions en Amérique du Sud, celle-ci passe désormais en VOVER 1, c'est-à-dire l'état de guerre général.

Spoiler:

Une réunion inter-armées secrète et gouvernementale sans précédente eut lieu peu avant le début de l'opération établissant ainsi donc le plan d'attaque et de libération de l'Angola. Durant cette réunion, le Chef d'Etat-Major sud-africain, le Général Solly Shoke, eut l'ingénieuse idée de faire appel à des vétérans de la Guerre sud-africaine de la frontière afin d'obtenir une parfaite connaissance du territoire et du relief angolais. L'opération est nommée ainsi puisqu'une fois le dictateur angolais sera jugé, la paix et la démocratie seront à nouveau quotidien pour nos frères angolais. L'opération doit donc être rapide et fatale.

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Neutralisation:

Quelques jours après l'importe réunion secrète, l'opération débuta le 7 décembre 2017 dans les environs de 7 heures du matin. L'Etat-Major sud-africain est familiarisé avec les missiles balistiques depuis les années 80 avec le programme balistique clandestin effectué durant cette période, aujourd'hui démantelé, et depuis 2015 avec la coopération israélo-sud-africaine. Le choix donc de l'utilisation de missiles balistiques fut donc approuvé afin à la fois de détruire par surprise une partie du matériel angolais mais également et plus dans l'objectif d'intimider les militaires angolais par la supériorité technologique et militaire sud-africaine. De plus, aucune nation du monde, hormis Israël et l'Inde, n'est au courant de la capacité balistique de l'Afrique du Sud, la surprise n'en sera que plus totale.
Le 7 décembre 2017, alors que les premières lueurs allaient tout juste commencer à apparaître, l'opération Colombe en approche - Dove benadering débuta. Les principales bases militaires des Forças Armadas Angolanas se situent à Luanda, Belas, Luena, Kuito, Lubango et Mocamedes, et furent les cibles principales des tirs balistiques. En effet, une dizaine de Jericho II et une vingtaine d'Agni III furent envoyées et touchèrent au bout de quelques petites minutes les bases militaires ci-dessus, à raison de cinq missiles balistiques par base. La surprise au sein de ces bases militaires furent complètes puisqu'une grande majorité des militaires angolais étaient en train de se réveiller ou de s'habiller au moment des impacts balistiques. Très peu de temps après ces derniers, de l'ordre de quelques minutes, une importante force aérienne sud-africaine de la South African Air Force décolla afin de frapper une nouvelle fois les principales bases militaires angolaises. 77 appareils, soit 25 Mirage 2000-5 Mark 2, 15 Panavia Tornado IDS GR4A, 20 JAS 39C/D, 10 Hongdu JL-8W et 7 ATD-X Shinshin arrivèrent rapidement au dessus des bases militaires qui étaient complètement désorganisées avec des militaires courant un peu partout au sol et cette complète désorganisation profita donc grandement à la force aérienne sud-africaine qui les bombarda méthodiquement. De nombreux appareils aériens angolais furent également détruits au sol par les tirs balistiques ainsi que les bombardements aériens subis.

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Mais la neutralisation des forces armées angolaises ne s'arrêta pas là puisqu'une branche de l'armée angolaise n'avait pas été sévèrement touchée: la Marinha de Guerra. En effet, quelques heures avant le déclenchement de l'opération Colombe en approche, une importante flotte de la South African Navy avec comme fleuron de celle-ci le porte-avions sud-africain de classe Cavour était dans les eaux internationales au large des eaux territoriales angolaises en train de simuler un exercice militaire. Cette importante flotte, l'une des plus grandes flottes jamais rassemblées dans l'histoire de toute l'Afrique du Sud, était composée d'un porte-avions, de 6 destroyers, de 17 frégates, de 4 dragueurs de mines et de 4 sous-marins:

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Une dizaine de minutes après les bombardements balistiques et aériens des principales bases militaires terrestres angolaises, la flotte de la South African Navy pénétra dans les eaux territoriales angolaises et en une vingtaine de minutes se positionna au large du port militaire de Luanda. En effet, les navires de la Marinha de Guerra sont situés dans le porte militaire de Luanda, capitale de la République d'Angola. Bien que celà ne faisait qu'une demie-heure que l'opération avait été commencé, le Vice-Amiral sud-africain Refiloe Mudimu fut très surpris par la réactivité de certains membres d'équipages angolais puisque trois torpilleurs de classe Shershen avaient déjà leurs équipages pratiquement prêts au combat et tentèrent de retenir courageusement la flotte sud-africaine. Cette action donc courageuse, également saluée par le Vice-Amiral Refiloe Mudimu, fut tout de même une action suicidaire puisque les torpilleurs furent rapidement neutralisés, dont un coulé, ainsi que le reste de la flotte angolaise encore à quai qui subit d'importants dommages et dont certains furent coulés tellement l'assaut sud-africain fut rapide et fatal. Suite à la entière neutralisation de la Marinha de Guerra, la South African Navy bombarda encore une nouvelle fois les bases terrestres de Luanda et de Belas, à portée des armes navales.

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Bilan des pertes angolaises: 3 500 militaires tués, un nombre conséquent de matériel terrestre détruit, 70% des appareils aériens détruits et 100% de la flotte neutralisée.
Bilan des pertes sud-africaines: 4 Hongdu JL-8W perdus ou fortement endommagés et 2 Panavia Tornado IDS GR4A perdus.

Engagement:

Une bonne heure après les différents bombardements balistiques, aériens et navals sur les bases militaires angolaises, les Forças Armadas Angolanas et les autorités angolaises étaient complètement désorganisées et ne savaient plus où donner de la tête au vu des terribles pertes, aussi bien au niveau matériel que humaines, subies par les bombardements et la surprise générale. C'est dans cette atmosphère de désorganisation et de limite panique générale au sein des Forças Armadas Angolanas que la South African Army passa à l'action. Plus de 250 000 militaires, soutenus par 1 500 chars, des milliers de transports blindés, 850 pièces d'artillerie en tout genre, 30 drones et 150 hélicoptères de combat qui pénètrent sur le territoire angolais, sans compter l'aviation de la South African Air Force qui soutient activement les troupes au sol et possède la supériorité aérienne. Le Chef de la South African Army est le Lieutenant-Général Vusumuzi Masondo et le plan d'invasion a été décidé selon trois axes principaux:
- Namibe-Benguela-Luanda.
- Lubango-Huambo-Luanda.
- Ondjiva-Menongue-Lumbala-Luena-Saurimo.
Les moyens de communication étant assez rustiques en Angola, les premiers kilomètres parcourus par la South African Army furent une surprise générale pour le peuple angolais où en progressant les militaires sud-africains étaient accueillis comme des libérateurs mais malheureusement et également, rapidement plusieurs escarmouches armées eurent lieu avec quelques civils angolais qui virent très vite que l'Afrique du Sud envahissait leur pays. Ces quelques civils angolais étaient généralement des vétérans de la Guerre sud-africaine de la frontière qui possédaient donc naturellement une grande rancœur contre les Sud-Africains. Quoiqu'il en soit, l'avancée sud-africaine fut très rapide au vu de la faible résistance des Forças Armadas Angolanas.

Spoiler:

La ville d'Ondjiva, pratiquement frontalière avec la frontière sud-africaine, fut promptement conquise mais les premières difficultés commencèrent, sans pour autant qu'elles soient énormes, dans les banlieues des villes de Namibe et de Lubango puisqu'une des bases principales de l'armée angolaise se trouvait dans la ville de Namibe et elle eut le temps de s'organiser, bien que les communications étaient coupées avec la capitale angolaise, durant ces quelques heures où l'armée sud-africaine avançait dans la campagne angolaise. Les premiers tirs commencèrent au début des banlieues des deux villes précédentes puisque quelques petites barricades sommaires furent mises en place mais celle-ci ne tinrent que minutes au vu de la puissance de feu sud-africaine. Les chars Olifant Mk2 détruisaient rapidement les quelques T-55 ou T-54 angolais qui tentaient de retenir les forces africaines. Les quelques batteries d'artillerie sol-sol ou sol-air sont rapidement neutralisées par l'artillerie sud-africaine, dont les excellents GV6-52 Extended Range.

Spoiler:

Parallèlement, un bref combat aérien éclata au dessus de la ville de Lubango où quelques appareils angolais, survivants des bombardements, tentèrent avec courage d'intercepter les appareils sud-africains. Déjà que les quelques MIG-21 et MIG-23 angolais étaient en infériorité numérique, l'infériorité technologique était également de leur côté puisque les JAS 39C/D et les ATD-X Shinshin eurent rapidement raison des avions angolais. Bien que la Força Aérea Nacional Angolana possède encore sûrement des avions, la supériorité aérienne sud-africaine ne fait aucun doute dans le ciel angolais. Après une bonne petite journée de combat urbain, les dernières forces angolaises déposèrent les armes dans les environs de 19 heures et les villes de Namibe et de Lugango sont désormais entièrement sécurisées et sous contrôle sud-africain. Le soir-même, des camions remplis de vivres et de matériels médicaux furent acheminés afin d'aider la population locale angolaise mais également de soigner les éventuels blessés civils et les blessés militaires angolais.
Dès le lendemain, les forces sud-africaines recommencèrent à reprendre leurs différentes routes vers leurs divers objectifs.

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Bilan des pertes angolaises: 700 militaires et civils tués, 15 chars détruits, 30 pièces d'artillerie détruites et 7 avions perdus.
Bilan des pertes sud-africaines: 100 militaires tués, 3 chars détruits, 2 pièces d'artillerie détruites et 1 avion perdu.

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Communiqué au Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos:

Monsieur le Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos, nous vous demandons au nom du peuple angolais, de la communauté internationale, de la démocratie et de la liberté de quitter maintenant le pouvoir et de vous rendre aux forces sud-africaines où vous serez jugés à Pretoria. Les forces armées sud-africaines ont déjà infligé de lourdes pertes à vos forces armées et elles ne cessent de progresser inexorablement à travers votre territoire. Nous vous demandons, pour votre peuple, de vous rendre et d'éviter ainsi donc la perte de vies innocentes. Cette reddition de votre part sera votre dernière action en tant que Chef d'Etat et vous terminerez donc votre pouvoir avec une bonne action pour votre peuple.

Fédération des Indes Orientales

Le Chancelier Fédéral des Indes Orientales, Rajnath Singh.

Nous soutenons activement notre allié et ami sud-africain dans sa politique continentale. L'avenir prospère de l'Afrique ne pourra se faire qu'avec comme guide la Présidente sud-africaine Helen Zille et son désir de libération des peuples opprimés voisins. En outre nous annonçons, en plus de notre soutient diplomatique, que si une quelconque nation s'opposait à cette opération, elle recevrait les foudres de la Fédération.

République Fédérative du Brésil

Communiqué de la Présidente :

Encore une fois, un pays à eu le courage d'agir pour la libération d'un peuple sous un pouvoir totalitaire. Que ce nouvelle acte mettent en garde les autres dictateur encore au pouvoir dans ce monde, nous -la communauté internationale- agirons!

République de Turquie

La République Turque soutient les actions sud africaines mais aimerez être rassuré par le leader sud africain, c'est bien une guerre de libération et les suds africains ne comptent pas étendre leur territoire en annexant les Angolais ?

République d'Afrique du Sud

Pretoria n'est pas du tout surprise de la lâcheté du Président angolais José Eduardo dos Santos qui a lâchement abandonné sa patrie et son peuple pour se sauver lui-même avec sa richesse issue de la corruption pétrolière. Par ailleurs, Pretoria salue également le Chef d'Etat-Major angolais Geraldo Sachipengo Nunda qui a fait le bon choix, le choix d'épargner et de sauver la vie d'innocents. L'Opération Colombe en approche - Dove benadering - est donc désormais achevée et une nouvelle phase de future prospérité débute.
L'Angola est donc rattachée entièrement au territoire sud-africain afin de stabiliser socialement et économiquement ce territoire qui possédera le même statut autonome que les autres provinces d'Afrique du Sud, comme l'ont prouvé les territoires sud-africains originaux mais également les provinces namibiennes, mosotho et botswanaises. Parallèlement, des élections provinciales démocratiques et libres seront organisées afin d'élire le Premier Ministre provincial du territoire angolais, poste politique très important puisque les Premiers Ministres provinciaux possèdent les même pouvoirs que le Président de la République d'Afrique du Sud mais uniquement dans le cadre de leur province avec également la mise en place d'un gouvernement provincial. La vie quotidienne des Angolais sera donc toujours régie par un Angolais mais celui-ci sera choisi désormais par voie démocratique et par le peuple angolais lui-même.
Par ailleurs, l'Etat sud-africain a décidé de laisser environ 15 000 militaires de la South African National Defence Force afin de sécuriser la province angolaise mais également d'effectuer des actions humanitaires comme la distribution de denrées alimentaires et médicales mais également afin de soigner tous les blessés de guerre, aussi bien les civils que les militaires angolais.

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