[Guerre] Guerre de Shangai
2 participants
Chacun son Pays - le forum :: Archives du jeu :: Accéder aux archives :: V1932 (12 février - 22 mars 2013)
Page 1 sur 1
[Guerre] Guerre de Shangai
Note interne aux ministères des affaires étrangères, de la défense et du premier ministre.
Télégramme officielle aux ambassades européennes.
Opération Oda
Vendredi 16 juin 1932 - 17h16 - 23°C
Préparatifs :
Shanghai - 18h09
Le soleil venait de se coucher pour les hommes du 6e régiment de la troisième brigade de la deuxième division de Rikusentai. Les hommes étaient l'élite de l'armée. Extrêmement entraînés, ces anciens samouraïs ont souhaité perpétuer leur art de la guerre. Surnommé Tokugawa, le sergent en charge de ce régiment est un arrière petit fils de l'ancien Shogun.
Les hommes avaient pour but de réduire des postes de résistances dans le plein centre de Shanghai. Les combats seront violents. Tandis que les Rikusentai attaquent directement les poches de résistances, les régiments de la première brigade de police militaire établiront un périmètre autour des concessions européennes. Les régiments de la deuxième brigade ont pour mission d'assurer la sécurité dans les zones nettoyées.
Le sergent était tout de même inquiet. Ses hommes avaient rejoins le centre ville sur des embarcations de fortunes, remontant la rivière. Les autres sections de la brigades avaient fait de même. À terre, ils progressaient discrètement. Toutes les sections furent positionnées, à l'angle de certaines ruelles, dans certains bâtiments, tout était prévu pour piéger les éléments combattants chinois. Les opérations n'avaient pas encore commencée.
Le "radio" de la section s'approcha du sergent : "Sergent, ils ouvrent le feu d'ici deux minutes, tenons nous prêt."
Le sergent regarda sa montre, M-1'30". Il se retourna vers ses hommes, il les fixa un par un. Le silence de la section était total, malgré l'animation qui devait grouillé sur les ports et dans le centre-ville. Dans les ruelles avoisinantes, les autres sections devaient aussi être aux aguets. Les habitants ne se doutaient à priori de rien. La police militaire avait atteint le quartier des concessions et établissait des périmètres de sécurité autour de celles.
Soudain, des bruits de tirs d'artillerie, lourde. Tokugawa a dénombré 24 coups plus sourds que les autres. C'était les canons des cuirassés lourds Ise et Fuso.
L'immeuble devant la section fut frappée au troisième étage par un obus de cuirassé. Un pluie de gravas éclaboussa la rue. Plusieurs autres impacts firent trembler le sol dans les rues. Puis les incendies et les sirènes.
D'autres roulements de tambours, d'autres salves. Cette fois-ci les croiseurs et destroyers se joignirent à la fête. La terre grondait, devant la section, le front d'immeuble venait d'être comme labouré à l'horizontale par un tremblement de terre. Dans sa tête, un soldat originaire de Kanto pensait "c'est pire que le séisme de 1923."
Tokugawa hurla alors précipitamment : "à l'assaut !" Et les hommes sortirent de leurs fortifications de fortunes pour attaquer le groupe d'immeuble en face d'eux. Les nationalistes avaient été pris par surprises. Les coups de feu claquaient alors que le roulement de l'artillerie s'éloignait.
Courant d'étages en étages, les hommes de Tokugawa n'avaient pas eu à faire à de résistance. Ils n'avaient devant eux que des cadavres et des gravas. Quelques minutes plus tard ils eurent en vue les positions réelles des nationalises. Ceux-ci avaient cerné le centre ville et de l'extérieur, et tentaient de contre-attaquer pour chasser des forces japonaises d'un pâté d'immeubles.
Les hommes se mirent instinctivement aux fenêtres et visèrent les soldats nationalistes, pris à revers. Les premiers tirs furent mortels, treize chinois tombèrent. Pris aux pièges de la rue, ils étaient condamnés. Des lâches réussirent à s'enfuir. On acheva les blessés grave, les atrophiés et les aveugles. Les prisonniers allaient être conduits dans des camps en Mandchourie.
Partout en ville, les chinois furent frappés de la sorte. Les opérations sur les plages avaient été un succès, deux têtes de ponts solides sont établies au Nord et Sud de Shanghai.
Pertes :
Japonaises : 213 hommes morts au combat, 340 blessés.
Chinoises : indénombrables, plusieurs milliers dans les frappes. Au moins 2100 soldats morts.
Conséquences :
La bataille ne fait que commencer, la progression japonaise correspond à ceci :
Toutes les unités qui ont sécurisés la ville en elle même entame la pacification de la ville. Les objectifs sont de sécuriser à tous prix les concessions. Les troupes qui ont débarquer se mettent en route pour arriver à Shanghai.
Expéditeur : colonel Imagawa, chargé de la coordination impérial dans le secteur de Shanghai.
MM. nos forces sont depuis quelques semaines aux prises avec des éléments hostiles de la police militaire chinoise. Notre 3e régiment d'infanterie de la 4e brigade d'infanterie a été pris à parti au Nord-Ouest de la ville par une milice militaire du Guomindang. Visiblement leur chefs n'apprécient pas notre victoire en Mandchourie.
Les escarmouhes sont trop fréquentes pour garantir la sécurité des européens à Shanghai ainsi que celle de nos ressortissant. Je préconise une réaction rapide de nos Rikusentai déployés sur les lieux depuis la semaine dernière. Ceux ci suffiront à éclater des groupes de résistances en cellule trop petites pour poser de problèmes.
Télégramme officielle aux ambassades européennes.
Messieurs,
Le Japon est victime d'agression continue de forces nationalistes dans le secteur de Shanghai.
Les concessions européennes ne sont pas en sûreté.
Afin de garantir la sécurité de vos ressortissant le gouvernement impérial japonais a lancé une opération pour maintenir la sécurité à Shanghai.
La ville sera in fine gouvernée par un administrateur civil japonais, tandis que la zone avoisinante sera démilitarisée.
Nous vous remercions pour la confiance que vous portez dans le gouvernement japonais.
Opération Oda
Vendredi 16 juin 1932 - 17h16 - 23°C
Préparatifs :
L'amiral Yamamoto voulait lui même superviser les opérations. C'était un entraînement à échelle réduite de sa nouvelle vision de la guerre : une guerre violente, sournoise, rapide, aérienne, navale, coordonnée. Non pas une répétition générale, mais un filage complet.
Les deux première brigades de Rikusentai de la première division attaqueront la plage sud de Shanghai, appuyés par une brigade d'artillerie et ceux des cuirassés Fuso et Ise, fleurons de la flotte.
- Spoiler:
Au Nord, la plage sera prise d'assaut par la deuxième division de Rikusentai, au complet elle.
La ville en elle même sera sécurisée par une brigade des Rikusentai de la première division d'infanterie de marine soutenue par deux brigades de police militaire.
Le soutien aérien n'est pas des moindres : le Soho et le Kaga apporteront leurs appareils embarqués tandis que des Ki-10 seront en soutien.
Shanghai - 18h09
Le soleil venait de se coucher pour les hommes du 6e régiment de la troisième brigade de la deuxième division de Rikusentai. Les hommes étaient l'élite de l'armée. Extrêmement entraînés, ces anciens samouraïs ont souhaité perpétuer leur art de la guerre. Surnommé Tokugawa, le sergent en charge de ce régiment est un arrière petit fils de l'ancien Shogun.
Les hommes avaient pour but de réduire des postes de résistances dans le plein centre de Shanghai. Les combats seront violents. Tandis que les Rikusentai attaquent directement les poches de résistances, les régiments de la première brigade de police militaire établiront un périmètre autour des concessions européennes. Les régiments de la deuxième brigade ont pour mission d'assurer la sécurité dans les zones nettoyées.
Le sergent était tout de même inquiet. Ses hommes avaient rejoins le centre ville sur des embarcations de fortunes, remontant la rivière. Les autres sections de la brigades avaient fait de même. À terre, ils progressaient discrètement. Toutes les sections furent positionnées, à l'angle de certaines ruelles, dans certains bâtiments, tout était prévu pour piéger les éléments combattants chinois. Les opérations n'avaient pas encore commencée.
Le "radio" de la section s'approcha du sergent : "Sergent, ils ouvrent le feu d'ici deux minutes, tenons nous prêt."
Le sergent regarda sa montre, M-1'30". Il se retourna vers ses hommes, il les fixa un par un. Le silence de la section était total, malgré l'animation qui devait grouillé sur les ports et dans le centre-ville. Dans les ruelles avoisinantes, les autres sections devaient aussi être aux aguets. Les habitants ne se doutaient à priori de rien. La police militaire avait atteint le quartier des concessions et établissait des périmètres de sécurité autour de celles.
Soudain, des bruits de tirs d'artillerie, lourde. Tokugawa a dénombré 24 coups plus sourds que les autres. C'était les canons des cuirassés lourds Ise et Fuso.
L'immeuble devant la section fut frappée au troisième étage par un obus de cuirassé. Un pluie de gravas éclaboussa la rue. Plusieurs autres impacts firent trembler le sol dans les rues. Puis les incendies et les sirènes.
D'autres roulements de tambours, d'autres salves. Cette fois-ci les croiseurs et destroyers se joignirent à la fête. La terre grondait, devant la section, le front d'immeuble venait d'être comme labouré à l'horizontale par un tremblement de terre. Dans sa tête, un soldat originaire de Kanto pensait "c'est pire que le séisme de 1923."
Tokugawa hurla alors précipitamment : "à l'assaut !" Et les hommes sortirent de leurs fortifications de fortunes pour attaquer le groupe d'immeuble en face d'eux. Les nationalistes avaient été pris par surprises. Les coups de feu claquaient alors que le roulement de l'artillerie s'éloignait.
Courant d'étages en étages, les hommes de Tokugawa n'avaient pas eu à faire à de résistance. Ils n'avaient devant eux que des cadavres et des gravas. Quelques minutes plus tard ils eurent en vue les positions réelles des nationalises. Ceux-ci avaient cerné le centre ville et de l'extérieur, et tentaient de contre-attaquer pour chasser des forces japonaises d'un pâté d'immeubles.
Les hommes se mirent instinctivement aux fenêtres et visèrent les soldats nationalistes, pris à revers. Les premiers tirs furent mortels, treize chinois tombèrent. Pris aux pièges de la rue, ils étaient condamnés. Des lâches réussirent à s'enfuir. On acheva les blessés grave, les atrophiés et les aveugles. Les prisonniers allaient être conduits dans des camps en Mandchourie.
Partout en ville, les chinois furent frappés de la sorte. Les opérations sur les plages avaient été un succès, deux têtes de ponts solides sont établies au Nord et Sud de Shanghai.
Pertes :
Japonaises : 213 hommes morts au combat, 340 blessés.
Chinoises : indénombrables, plusieurs milliers dans les frappes. Au moins 2100 soldats morts.
Conséquences :
La bataille ne fait que commencer, la progression japonaise correspond à ceci :
- Spoiler:
Flèches rouges : axes des débarquements, points rouges : actions concertées des Rikusentai.
Toutes les unités qui ont sécurisés la ville en elle même entame la pacification de la ville. Les objectifs sont de sécuriser à tous prix les concessions. Les troupes qui ont débarquer se mettent en route pour arriver à Shanghai.
Wikipédia- Premier Ministre
- Messages : 1098
Date d'inscription : 25/10/2011
Age : 34
Localisation : Edo
Re: [Guerre] Guerre de Shangai
République Française
Alors que les batailles commencent à atteindre les périphéries Sud de la concession française de Shanghai, qui compte 499 000 habitants, dont 19 000 étrangers, parmi lesquels 8 200 Russes-blancs et 1 500 Français, le Consul de France Henri Hoppenot déclare que la concession française de Shanghai est une zone neutre et est désormais fermée où aucune sortie et aucune entrée ne sont plus possible. Aucune extension de combat n'est toléré à l'intérieur de la concession française. Le Consul de France a donc ordonné à la Garde municipale, forte de 3 000 hommes, d'exécuter la neutralité et la fermeture des frontières de la concession française en refoulant les nombreux civils chinois tentant de se réfugier à l'intérieur. Six cents volontaires étrangers supplémentaires assistent également la Garde municipale. Le pont reliant la concession française à la Concession internationale de Shanghai (concession britannique et américaine) est désormais fermé mais les hommes de la Garde municipale locaux ont reçu l'ordre d'aider, dans la mesure du possible en les mettant à l'abri, les étrangers de la Concession internationale de Shanghai en collaborant avec la Shanghai International Police.
- Spoiler:
Briefing avant de rejoindre un poste frontière:
Parallèlement, le Consul de France Henri Hoppenot appelle l'Empire du Japon et la République de Chine à un cessez-le-feu et à s'installer à la table des négociations afin d'éviter le plus possible la mort d'êtres humains.top secret
Cinq destroyers de classe Arabe et L'Adroit ainsi que trois sous-marins de classe Redoutable, partis de la base navale de Saïgon, sont en route pour le Territoire de Kouang-Tchéou-Wan.
- Spoiler:
Destroyer de classe L'Adroit:
Caoki- Chef de Département des Nations Unies
- Messages : 3344
Date d'inscription : 02/10/2011
Age : 31
Re: [Guerre] Guerre de Shangai
Carte de la situation, jour +3
- Spoiler:
Cartes des opérations
- Spoiler:
Les ronds rouges signalent les zones de combats.
Combats
- Spoiler:
- - 2e régiment (reconnaissance) de la 3e brigade de la 2e division de Rikusentai, environs nord de Zhoupu, 6.32 am, H-2, 1°C -
Les ordres étaient de se saisir de la zone de Zhoupu, dernière enclave à la progression japonaise. Il fallait rejeter dans le Huangpu ces satanés chinois, qui défendaient leur territoire coûte que coûte.
La division était en branle, les trente brigades allaient envelopper et attaquer le dernier bastion chinois, défendu par au moins cinquante brigades.
Le terrain était difficile pour les deux camps : des rizières et des pâturages, rien de plus, rien de moins. Deux bourgades sur le chemin.
Les trois cent hommes du régiments se mirent en route, la nuit été encore totale. Ils devaient reconnaître les défenses ennemies pour permettre des corrections de tirs aux brigades d'artillerie et à l'artillerie navale.
Courant d'abris en abris, les hommes du commandant Homna scrutait les collines et les talus. C'était des postes de tir appréciés des Chinois. On entendait des coups de feu, d'autres sections avaient du être repérées. Après deux kilomètres de marches, les hommes firent une halte dans une bourgade, d’où ils pourraient établir leur poste de communication. Une ferme, un peu à l'écart était l'endroit parfait. Les habitants avaient déjà fuis les combats.
Les coups de feu se faisaient de plus en plus nombreux, l'offensive allait commencer, d'ici quelques minutes. Ils devaient rapidement communiquer les coordonnées des cibles aux appareils embarquées et à l'artillerie.
L'opérateur radio se mit à transmettre dans un code crypté : un dialecte Aïnous quasi inconnus des ethnologues.
Soudain des voix, l'un des soldats jeta un coup d'oeil par la fenêtre : une patrouille chinoise. Il fit signe à ses camarades, qui jetèrent deux grenades au milieu de la rue.
Une déflagration, des cris, les murs avaient changé de couleurs.
Désormais ils étaient repérés. D'autres hommes venaient des collines, les Japonais se défendirent de toute leur hargne. Homna pensait avoir déjà tué 4 ou 5 chinois. Mais d'autres venaient. Ils ne tiendrait jamais sans les renforts.
L'opérateur radio semblait devenir fou sur sa machine, il parlait de plus en plus vite alors que les coups claquaient autour de lui. La maison voisine, dans laquelle s'était abrité une section, fut pulvérisée par des tirs d'artillerie.
Comme par magie, l'aviation arriva. Sauf que ce n'était pas de la magie, c'était le triomphe de Yamamoto. Le triomphe de la coordination aérienne avancée. Une autre section située en retrait avait remarqué que le 2e était en difficulté, avait demandé l'appui aérien.
Les chasseurs B1M et B2M du Kaga firent des merveilles. Les Chinois n'avaient rien contre eux.
Les Chinois essayèrent de briser l'attaque avec leur artillerie, qui fut réduite à néant par les canons du Fuso.
A 9h30, la ville de Zhoupu était dans les mains du Japon, en ruine, mais sécurisée.
Des troupes chinoises ont également tenté une contre attaque au Nord dans les rizières. Si leur offensive a semblé marcher, les canons des navires ont aidé les Chinois à faire demi tour.
Ce fut un carnage : embourbés jusqu'au genoux dans les rizières, ils ne pouvaient pas se dégager. Ils furent écrasés pour la plupart sous un déluge de feu.
Pertes :
Japonaises : 560 hommes au total, deux avions endommagés, cinq pièce d'artillerie
Chinoises : de 1100 à 2300 hommes environ, 30 pièces d'artilleries capturés (soit une brigade)
Conséquences :
la 15e armée du Guomindang est en déroute, son flanc sud étant à découvert.
Le Japon proclame officiellement sa souveraineté sur la ville de Shanghai et ses environs.
Wikipédia- Premier Ministre
- Messages : 1098
Date d'inscription : 25/10/2011
Age : 34
Localisation : Edo
Re: [Guerre] Guerre de Shangai
中華民國 - République de Chine
La République de Chine accepte un cessez-le-feu et la cession de la ville de Shanghai à l'Empire du Japon ainsi que la démilitarisation d'une zone de quelques kilomètres autour de Shanghai.
Top Secret
Suite aux récentes sévères défaites militaires chinoises et aux pertes de la région de Mandchourie ainsi que de la puissante ville de Shanghai, le généralissime et l'ancien Président de la République Tchang Kaï-chek retourne sur le devant de la scène politique et militaire.
La République de Chine accepte un cessez-le-feu et la cession de la ville de Shanghai à l'Empire du Japon ainsi que la démilitarisation d'une zone de quelques kilomètres autour de Shanghai.
Top Secret
Suite aux récentes sévères défaites militaires chinoises et aux pertes de la région de Mandchourie ainsi que de la puissante ville de Shanghai, le généralissime et l'ancien Président de la République Tchang Kaï-chek retourne sur le devant de la scène politique et militaire.
Caoki- Chef de Département des Nations Unies
- Messages : 3344
Date d'inscription : 02/10/2011
Age : 31
Sujets similaires
» Sommet asiatique de Shangaï
» Organisation de Coopération de Shangaï
» Congrès Asiatique de Shangaï - ÉCHEC
» [Alliance] Organisation de Coopération de Shangai (OCS).
» [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
» Organisation de Coopération de Shangaï
» Congrès Asiatique de Shangaï - ÉCHEC
» [Alliance] Organisation de Coopération de Shangai (OCS).
» [Guerre] Guerre République des Deux-Nations / Empire Ottoman [échec de la coalition anti-ottomane, guerre déplacé]
Chacun son Pays - le forum :: Archives du jeu :: Accéder aux archives :: V1932 (12 février - 22 mars 2013)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum