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[Conflit] Opération Fall weiss

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ZcommeZorro
Gosseau
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Message par Gosseau Dim 4 Nov 2012 - 22:22

:globe: GroßdeutschesReich :globe:





Contexte

Spoiler:

Ordre de bataille


Spoiler:

31 Aout 1939, 5h01, frontière germano-polonaise

Le Führer confia une tâche de grande importance au Reichsführer-SS, Heinrich Himmler. Il lui confia les reines d’une opération consistant à obtenir un nouveau casus beli pour l’Allemagne, afin de justifier son invasion de la Pologne. C’est ainsi que se déroule le 31 août 1939 l’Opération Himmler. Des prisonniers, déguisés en militaires polonais, passent la frontière pour aller en Pologne, après avoir évité les guetteurs polonais, il se dirige vers tour hertzienne de Gliwice et annoncent à la radio un appel au soulèvement contre le chancelier Adolf Hitler. Les prisonniers furent quelques minutes après abattu et plusieurs journalistes furent convoqués afin de témoigner de l’attaque polonaise.
L’Opération Himmler est un succès et confère à l’Allemagne un nouveau cassus beli pour mettre en place l’invasion de la Pologne.


Spoiler:

Pertes allemandes : 12 morts (prisonniers), 0 blessés et 0 disparus.

Les dernières heures d’août 1939 s’écroulent. Des Carpates à la Baltique, la nuit est froide et claire. Les prévisions météorologiques sont excellentes. La brume qui se forme dans mes bas-fonds se dissipera au soleil levant. La journée sera calme, ensoleillée, hautement propice à l’aviation.
Durci par l’été et rasé de ses moisons, le terrain n’est pas moins propice aux chars. Beaucoup de rivières sont à sec et les grands cours d’eau, la Nairew, le Bug, la Vistule, sont guéables presque partout. Tout se conjugue pour offrir les meilleures conditions possibles à l’expérimentation des nouvelles méthodes de combat de la Wehrmacht. L’ensemble des opérations porte le nom de « Plan blanc » (Fall Weiss). La mise sur pied de guerre des unités s’est faite uniquement par convocations individuelles avec interdiction de prononcer le mot de « mobilisation ». L’ordre d’exécution n’est parvenu aux quartiers généraux de groupes d’armées qu’a 17 heures sous la forme suivante : Y = 1.9.4.45.. Cela signifie que le point de départ de la guerre, l’heure H du destin de l’Allemagne et du monde est le 1er septembre, à 4h45 du matin. Le système des transmissions s’est mis immédiatement en branle pour propager jusqu’aux sections d’infanteries et blindés déployés le long de la frontière polonaise la décision du Führer.


1 Septembre 1939, 6h55, Bataille de Lomza

Les troupes de la IIIe Armée dirigé par v.Kuchler partirent depuis la Prusse Oriental à l’assaut du nord de la Pologne. La plupart des troupes avait pour ordre de lancer l’assaut sur la ville de Lomza ville qui doit être normalement défendu principalement par des troupes de qualité relativement moindre. Comme prescrit dans les ordres du Führer, les troupes s’élancèrent dans une blitzkrieg « infernal » et arrivèrent rapidement aux portes de la ville,(avec quelques pertes durant la routes à cause d’un nombre assez important de soldats mobilisés mais qui furent mis en déroute sans difficulté) alors qu’une résistance relativement faible était attendue, ce fut tout le contraire qui se déroula. Les troupes polonaises se battirent maison par maison et n’abandonner rien face aux troupes allemandes. La Luftwaffe fut appelé en renfort afin d’apporter un soutien supplémentaire à la Heer, qui grâce à elle permit de sauter la prise de certaines maisons qui était en ruine. Arrivés au centre-ville, ce fut un « festival » de batteries antiaériennes qui mirent à terre 2 escadrilles entières de bombardiers HE-111. Les blindés moyen durent ainsi se taper le sale boulot mais furent surpris à plusieurs reprises par des soldats polonais embusqué. Malgré tout, les troupes allemandes réussies à occuper la ville à la nuit tombée mais au prix de pertes assez lourde. L’héroïsme et le courage des troupes polonaises restent toutefois surprenants.

Pertes allemandes : 15 559 morts, 4412 blessés et 84 disparus.
Pertes polonaises : 12 750 morts, 3480 blessés et 3382 prisonniers.

Spoiler:

2 Septembre 1939, 15h28, Bataille de Ostrów Wilkp.

La VIIIe Armée dirigé par Blaskowitz ne chôme pas aussi, puisque qu’elle est relativement proche de Varsovie et est vital à la survie de la IVe et IIIe Armée. Alors qu’une partie de cette Armée se dirige vers Poznań, l’autre partie est aux portes de la petite ville d’Ostrów Wilkp. Qui fut atteinte avec difficulté à cause des nombreuses troupes polonaises situées à la frontière. Vu sa faible importance stratégique, elle a était bombarder toute la matinée par la Luftwaffe et par des batteries d’artillerie. Des brigades d’infanteries motorisées arrivèrent quelques heures après dans ‘après-midi afin de neutraliser les troupes polonaise restante. Malgré la victoire allemande, la Heer possède un plus haut taux de mort que la Pologne sur cette bataille à cause de la résistance farouche polonaise le long du trajet des troupes de la VIIIe Armée.

Spoiler:

Pertes allemandes : 18 745 morts, 1223 blessés, 18 disparus.
Pertes polonaises: 12 437 morts, 1178 blessés et 333 prisonniers.


1 Septembre 1939, 4h55 , Bataille de Katowice
La Xe Armée dirigé par v.Reichnau avait la lourde tâche de lancer l’assaut sur la ville de Katowice, ville industriel importante de la Pologne grâce à son importante réserve de charbon. La ville était proche de la frontière germano-polonaise, et on dit même que les premiers coups de canon on était tiré là-bas. En tout cas, avant même d’arrivé dans la ville, les combats furent particulièrement intense et les allemands eurent l’avantage grâce à la rapidité de l’assaut et la quasi-surprise de l’attaque (quasi à cause de la mobilisation polonaise). Les troupes polonaise qui combattait sur les plaines battirent en retraite et fortifièrent leurs positions dans la ville. Des Stuka furent envoyé bombarder la ville dans son intégralité en particulier les quartiers ou les troupes polonaise était le plus densément situé. La zone industrielle de la ville fut parfois éviter, elle pourrait servir à la fin de la guerre. L’Infanterie allemande se lança à l’assaut de la ville à 7h30, les soldats professionnels et mobilisés polonais résistèrent maison par maison (comme cela sera le cas à Lomza) et causèrent un nombre important de victimes au sein du camp allemand, la supériorité aérienne allemande fit toute fois la différence et réussirent à faire battre en retraite les troupes polonaise dans le centre-ville. Croyant que les troupes polonaise avais le moral « à zéro », les allemands lancèrent rapidement après l’offensive mais qui fut un échec cuisant, obligeant celle-ci à relancer une contre-offensive à 17h15. Toutes les batteries d’artillerie ainsi que les avions disponible on était envoyé dans la bataille, le Führer n’accepterais jamais la défaite du Reich dans cette bataille d’une importance stratégique. Ainsi à 22h43, après avoir reçu de très lourdes pertes (au même titre que les allemands) les polonais remirent leur capitulation aux troupes de la Heer. Les deux camps avaient un bilan de victime lourd.



Spoiler:

Pertes allemandes : 25 999 morts, 4868 blessés, 17 disparus .
Pertes polonaises : 25 872 morts, 5720 blessés et 6645 prisonniers.

Les nouvelles militaire son excellentes. Le commandement polonais a était pris « en grande parti » par surprise. Qui voyait certainement le début des hostilités d’après le précédent de 1914 : Quinze jours pour la concentration des troupes, sans autres opérations que des escarmouches à la frontière. Cette guerre qui démarre en quatrième vitesse les prend au dépourvu. Les soldats polonais se battent courageusement et bien mais les blindés allemands percent les minces positions de résistance et foncent droit devant eux, désorganisant ainsi les arrières, détruisant les liaisons, paralysant l’exercice du commandement. La Luftwaffe écrase ai sol 90% ou ne serais-ce plus de l’aviation adverse, neutralise les quartiers généraux, bombarde en piqué les noyaux de résistance, provoque l’embouteillage des arrières ennemis en jetant sur les routes une cohue de civils éperdus…
Au nord du dispositif les troupes allemandes débouchent de la Prusse-Orientale et abordent la position de Mlawa qui couvre Varsovie. Dans le Corridor, la IIIe et la IVe Armée s’apprêtent à faire leurs jonction. Au centre, la Xe Armée, fer de lance du groupe Rundstedt, atteint déjà la Warta, ayant progressé de 80km en 36 heures. Dans l’extrême sud, les troupes de List ont forcé le col de Jablunka, théâtre de luttes interminables durant la précédente guerre (WW1) , et vont bientôt atteindre Cracovie. Il était impossible d’espérer un début d’offensive plus vif et plus brillant qui se déroule actuellement, pour le Führer.
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Message par ZcommeZorro Dim 4 Nov 2012 - 23:46

:globe: Royaume-Uni :globe:

Le Royaume-Uni déplore les nombreux morts causés par l'attaque de l'Allemagne mais ne fera aucunes déclarations supplémentaires concernant cette attaque.
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Message par ShinyMetalAss Lun 5 Nov 2012 - 0:07

:globe: Aotearoa :globe:

Nous condamnons cette attaque.
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Message par Twinkless Lun 5 Nov 2012 - 22:04

OFFENSIVE ALLIE

:globe: République de Pologne :globe:

Jeszcze Polska nie pokonany

:mac: Effectifs militaire
Brigades d'infanteries (unités d'actives). État : 96/96 prêtes
Brigade d'infanterie tchécoslovaque (professionnelle). État : 1/1 prête (100)
Brigade de chars légers (composée de FT-17, 7TP et Vickers). État : 1/1 prête
Brigades de chars légers 7TP. État : 26/33 prêtes (3.900)
Brigades de chars légers H-35. État : 9/15 prêtes (1.350)
Brigades de chasseurs de chars TKD. État : 6/15 prête (1.800)
Brigade d'automitrailleuses (composée de Wz). État : 3/3 prêtes (180)
Brigades d'artillerie sol-sol 75mm. État : 10/10 prêtes
Brigades d'infanteries (unités de réserves). État : 500/500 prêtes, mobilisation terminée. (50.000)
Brigades d'infanterie motorisée. État : 2/2 prêtes (200)

Escadrons de chasseurs MS.406. État : 3/23 prêts (900)
Escadrons de bombardiers tactiques PZL P.23. État : 1/1 prêt
Escadrons de bombardiers tactiques PZL P.37. État : 2/2 prêts
Escadrons de chasseurs PZL P.7. État : 2/2 prêts (300)
Escadrons de chasseurs PZL P.11. État : 3/3 prêts (600)

A l'annonce de l'attaque allemande, le gouvernement et l'état-major n'étaient pas surpris. Ils savaient, avec la situation de Dantzig et les dernières tensions, que la volonté d'Hitler de reconquérir le Corridor allait amener à un conflit. Les ordres suivirent directement. Une fois que les positions approximatives des unités allemandes étaient connues des états-majors, les brigades blindés, conservés en réserve, recevaient leurs ordres.


Armée Dantzig :
26 brigades d'infanterie professionnel
50 brigades d'infanterie de réserve
1 brigade d'infanterie professionnel tchèque
2 brigades d'artillerie sol sol 75mm
2 brigades d'infanterie motorisée
2 brigades de chars 7TP
Fortifications de Gdynia
Fortifications de Dantzig

Armée Poznan :
20 brigades d'infanterie professionnel
100 brigades d'infanterie de réserves
1 brigade de chars légers 7TP, FT-17 et Vickers
10 brigades de chars 7TP

Armée Lodz :
20 brigades d'infanterie professionnel
150 brigades d'infanterie de réserves
5 brigades de chars 7TP
3 brigades de chars H-35
6 brigades d'artillerie sol sol 75mm

Armée Krakow :
20 brigades d'infanterie professionnel
100 brigades d'infanterie de réserves
3 brigades d'automitrailleuses Wz
2 brigades d'artillerie sol sol 75mm

Armée Suwalki :
10 brigades d'infanterie professionnel
100 brigades d'infanterie de réserves
9 brigades de chars 7TP
6 brigades de chars H-35








Armée Lodz
Contre offensive de la Warta, 2 septembre 1939, 05h20

Spoiler:

L'avance fulgurante des Panzer de la Xème Armée allemande avait surpris les défenses et les unités d'infanterie. L'état-major, stationné à Lodz, donna l'ordre de lancer une contre-attaque de flanc sur les éléments de la Xème Armée. Les effectifs de réserve de l'Armée Lodz, à savoir 5 brigades de 7TP et 3 de H-35, épaulés par 10 brigades d'infanterie de réserve, reçurent l'ordre d'attaquer. L'infanterie devait se mettre en défense fixe face à l'avance allemande. Une fois le contact établi entre forces polonaises et troupes d'invasion, les blindés avaient pour ordre de longer la Warta et de contre-attaquer les colonnes de Panzers allemand. Lorsque les chars allemands et les groupes de reconnaissance rencontrèrent l'infanterie polonaise, les combats furent violent. Les unités polonaises, sachant qu'elles se battaient pour la survie de leur pays, refusaient de reculer. Les pertes polonaises furent importante dans l'infanterie, mais les blindés arrivèrent à temps pour casser l'offensive allemande, et l'artillerie polonaise pilonna les colonnes blindés. Les chars français H-35 surprirent les équipages polonais par leur résistance aux tirs allemands. Les combats entre chars furent impressionnant, mais la Luftwaffe fit rapidement son apparition. La DCA polonaise tenta de repousser les avions allemands, et réussi à détruire de nombreux appareils allemands, mais les pertes en blindés furent importante, avant que l'aviation allemande ne se retira. L'infanterie polonaise passa alors à l'assaut, quittant ses retranchements, pour rejoindre les blindés polonais. Malgré d'importantes pertes polonaises, la Xème Armée dût stopper son avance.

Pertes polonaises : 6.540 morts, 1.432 blessés
Pertes allemandes : 5.216 morts, 1.752 blessés


Armée Poznan

Afin de pouvoir tenir efficacement, l'Armée Poznan se retire et recule sur Inowroclaw. Elle va établir une ligne de défense entre cette ville et la Warta. Toutes les usines qui ne peuvent être évacués sont détruites, et les magasins sont soit vidés, soit brûlés, afin de ne rien laisser à l'ennemi.

Armée Dantzig

Les unités du Corridor maintiennent leurs positions dans les fortifications, et reçoivent l'aide des canons de 105mm des destroyers, le long de la côte.

Attaque de Marienburg, 2 septembre, 06h12
Les blindés et motorisés de l'Armée Dantzig, soutenu par l'artillerie de 75mm et les batteries de 105mm de la marine, ainsi que par l'infanterie tchèque, lancent une offensive en Prusse Orientale, sur les arrières des éléments mécanisés de la IIIème Armée allemande. Les chars polonais mènent l'offensive, suivis par l'infanterie motorisée. Étant donné que les Allemands mènent une stratégie d'offensive, la ville est peu défendu, mais la garnison allemande oppose une farouche résistance. Les combats de rues sont intenses, mais les éléments motorisés, l'artillerie et l'infanterie tchèque, ont raison des défenses allemandes. Malgré des pertes importantes, le drapeau polonais flotte sur la ville.

Pertes polonaises : 2.741 morts, 984 blessés
Pertes allemandes : 1.345 morts, 201 blessés, 122 prisonniers


Armée Krakow

Les unités de l'Armée Krakow se retire pour se positionner le long de la Vistule, afin de défendre la route du sud menant à Varsovie. Dans leur retraite, les unités de l'Armée Krakow noient les mines de charbon, détruisent les usines, et vident les magasins. Rien n'est laissé à l'ennemi.

Spoiler:

Armée Suwalki

Contre-attaque de Lomza, 2 septembre, 06h14
Les unités autour de Lomza se ressaisirent rapidement. En effet, elles avaient reçu le renfort de 25 brigades d'infanterie de réserve afin de repousser les Allemands de l'autre côté de la frontière. L'infanterie polonaise, soutenue par les derniers avions d'attaques au sol P.37 et P.23, lança l'assaut tôt dans la matinée, et les soldats polonais s'élancèrent aux cris de "Défendons Varsovie !". Avec leurs canons de 47mm AC, les fantassins polonais avançaient de bosquet en bosquet, et menèrent une vraie guérilla contre les Panzers allemands, à coup de cocktail Molotov et de grenades frag jetés dans les chenilles et dans les orifices des chars (canons, pots d'échappements). Grâce à l'héroïsme des soldats polonais, les Allemands reculaient, acculés par une écrasante infériorité numérique. Malgré cette supériorité polonaise, les pertes sont importantes.

Pertes polonaises : 14.548 morts, 6.215 blessés
Pertes allemandes : 11.249 morts, 7.274 blessés, 394 prisonniers (tous exécutés)

Percée de Lyck, 2 septembre, 08h41
Les nouvelles sur les fronts sont assez mauvaises, même si les soldats polonais mènent une résistance héroïque. C'est pourquoi l'État-Major a décidé de lancer une offensive combinée en Prusse Orientale. La première poussée se fait vers Lyck, petite ville du sud est de la Prusse Orientale. Les effectifs polonais sont composés de 18 brigades d'infanterie de réserve et de 6 brigades de chars H-35. L'attaque est lancée dans la matinée. Elle s'effectue contre les effectifs mécanisés de la IIIème Armée, soutenus par l'artillerie. Les unités polonaises ont pour ordre de lancer un assaut massif et continu. Toutes les unités ne sont pas jetés dans la bataille. Seules 8 brigades d'infanterie et 4 brigades de chars attaquent. Elles ont pour mission de percer le plus loin possible. La résistance allemande est acharnée, et les pertes sont importantes des deux côtés. Une fois qu'une brigade a subi trop de pertes, elle est remplacé par l'une des unités maintenue en réserve. Ainsi, l'assaut est continu, et les troupes allemandes sont acculés. Arrivées dans la ville de Lyck, l'armée polonaise mène un véritable combat à mort contre les unités de la Wermacht. Les Allemands font payer cher chaque pouce de terrain, chaque rue, chaque maison. Néanmoins, c'est encore la supériorité numérique polonaise qui permet aux forces polonaises de vaincre. Le soir, l'officier d'une des brigades d'infanterie lève le drapeau polonais sur le clocher de l'église.

Pertes polonaises : 16.542 morts, 3.425 blessés
Pertes allemandes : 17.101 morts, 2.014 blessés, 742 prisonniers (tous exécutés)


Jonction des armées Dantzig-Suwalki, 2 septembre, 08h15
Puisque l'Allemagne veut récupérer le Corridor, et ainsi bloquer la ville de Dantzig, nous relierons Dantzig à la Pologne par la Prusse Orientale. L'Armée Suwalki a reçu l'ordre de rejoindre l'Armée Dantzig par la Prusse Orientale, et ainsi créer un 2ème axe de pression sur la région allemande. Les Polonais jettent dans la bataille 7 brigades de chars 7TP et 10 brigades d'infanterie de réserve de l'Armée Suwalki, tandis que les unités de l'Armée Dantzig qui ont pris Marienburg doivent continuer leur percée autour de la ville. Encore une fois, les unités mécanisés allemandes sont en infériorité numérique, mais cette fois ci elles sont aussi prises en étau. Lorsque les combats commencent, les Allemands commencent déjà à se retirer, pour ne pas être encerclés. Peu de pertes allemandes donc, mais tout de même pas mal de pertes côté polonais.

Pertes polonaises : 8.215 morts, 456 blessés
Pertes allemandes : 4.189 morts, 324 blessés, 201 prisonniers (tous exécutés)


Levée en masse de miliciens partisans dans le sud du pays : Suite à l'attaque allemande, de nombreux partisans ont pris les armes dans le sud du pays, surtout dans la région de Przemysl. Ces derniers ont été informé par radio, tract et dépêches officielles qu'ils doivent tous se rendre le plus vite possible sur le San, afin d'établir une ligne de défense. Des officiers ont été envoyés pour prendre la tête des opérations. D'après le premier recensement, il y aurait 21 brigades de miliciens.

Carte :
Spoiler:

Spoiler:

:globe: Royaume-Uni De Grande Bretagne et d'Irlande :globe:



Winston Churchill, notre glorieux Premier Ministre: son discours devant plus de 2.000 soldats, les plus grands officiers de l'Armée Royale, et la famille royale elle même, discours retransmit à la radio et écouté par le Royaume entier:
« Il ne s'agit pas de se battre pour Dantzig ou de combattre pour la Pologne. Nous nous battons pour préserver le monde entier de cette peste infâme qu'est la tyrannie nazie et pour défendre ce que l'homme a de plus sacré. Il ne s'agit pas d'une guerre pour la domination, pour l'agrandissement de l'empire ou pour un profit matériel ; il ne s'agit pas d'une guerre qui priverait une nation de sa lumière ou l'écarterai du progrès. Il s'agit essentiellement, d'une guerre destinée à établir et restaurer la dignité de l'homme. »

Le Premier Ministre conclut par la déclaration officielle de guerre à l'Allemagne, l'entrée en guerre de l'Empire Britannique est selon lui inévitable et promet la libération de la Pologne aux côtés de ses alliés français.
Son glorieux discours est applaudit par toute la foule et du Roi Georges VI lui-même.
L'armée de terre sera dirigée par le Général Bernard Montgomery, la Royal Navy par l'Amiral Sir Bertram Home Ramsay et la Royal Air Force par le Commandant Arthur William Tedder.

Opération Gomorrhe

Le nom de cette opération vient du célèbre épisode biblique:

Alors l'Éternel fit pleuvoir du ciel sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, de par l'Éternel. Il détruisit ces villes, toute la plaine et tous les habitants des villes, et les plantes de la terre. 26 La femme de Lot regarda en arrière, et elle devint une statue de sel. Abraham se leva de bon matin, pour aller au lieu où il s'était tenu en présence de l'Éternel. Il porta ses regards du côté de Sodome et de Gomorrhe, et sur tout le territoire de la plaine ; et voici, il vit s'élever de la terre une fumée, comme la fumée d'une fournaise.

2 Septembre 1939 2h30 AM

Après les ordres du Commandant britannique de la Royal Air Force, le bombardement massif du Nord de l'Allemagne fût décidé et précisément à Hambourg grand complexe industrialo-militaire, c'est à Hambourg et dans le nord de l'Allemagne que sont construits les navires de guerre allemands et le port d'Hambourg est considéré comme l'un des plus importants port du pays.
En coordination avec la Royal Navy, après le bombardement, une importante flotte britannique viendra couler l'insignifiante flotte Allemande dont la majeure partie est située dans la Mer du Nord, car la flotte Allemande ne semble pas avoir participé à l'attaque de la Pologne.
Voici les effectifs militaires qui participeront à cette bataille:

1 Porte-Avions
110 Bombardiers Stirling
200 Chasseurs Hurricane
30 Sous-Marins S-Boat
30 Destroyers F
2 Cuirassés Prince of Wales et King George V

En premier lieu, c'est 50 Bombardiers escortés par 80 chasseurs Hurricane répartis en 5 groupes qui commencent le bombardement de Hambourg avec des bombes incendières et des bombes à fragmentation, alors que les 5 groupes bombardent le Port et les chantiers navals, les premiers tirs de DCA retentissent, quelques avions sont touchés, des chasseurs allemands prennent en chasse les Bombardiers. 80 autres chasseurs Hurricane Hawker viennent en renfort accompagnés de 60 Bombardiers, la défense allemande est désemparée, et est incapable d'anéantir tous les avions britanniques. Les derniers renforts qui viennent d'arriver commencent le bombardement intensifs de la ville qui tombe sous les flammes des bombes incendières. Le spectacle est horrible, des avions de chaque côtés tombent tels des oiseaux assassinés, toute la ville est en feu. Alors que les combats aériens continuent, les navires de guerre ,à part le Porte-Avions resté plus en retrait, viennent pour anéantir la totalité de la flotte allemande.
Les destroyers, les cuirassiers ainsi que les sous-marins interviennent, la riposte des navires allemands est etonnéments agressive et est bien plus importante que ce qu'avait prévu les britanniques. Les sous-marins allemands sont très vites anéantis, la flotte britannique étant beaucoup plus importante, sa domination est incontestable. Et après 3 heures de combats, les derniers navires allemands sombrent dans la Mer du Nord. La côte allemande est ravagée par les terribles bombardements britanniques malgrès de grosses pertes aériennes pour la Couronne. Après la bombardement et la destruction la flotte et les avions retournent au pays.

Pertes Allemandes: de nombreuses usines militaires, le port de Hambourg et ses chantiers navals, 30 avions de chasse, 50% de la ville ravagée, 17 522 civils morts, l'intégralité de la flotte allemande positionnée en Mer du Nord,18 000 civils disparus.
Pertes Britanniques: 50 bombardiers, 75 Chasseurs, 3 sous-marins, 5 destroyers.

Débarquement dans le Nord de L'Allemagne à 5h04

Après les nombreux dégats causés par les bombardements massifs de la RAF, le Nord de l'Allemagne est encore sous le choc de cette attaque agressive. Un débarquement est prévu dans le Nord de l'Allemagne. Les navires de débarquements sont prêts est escortés par un Porte-Avions avec des chasseurs Hurricane Hawker prêtés par l'Australie qui participe activement à cette guerre pour la liberté, 10 destroyers et sous-marins qui resteront dans la Mer du Nord à moins de 10km des côtes allemandes. 20 brigades d'australiens ainsi que 20 brigades de soldats britanniques soit 120.000 soldats doivent débarqués avec plus de 500 blindés.
Le débarquement se fait après quelques combats entre les avions, 20 bombardiers s'élancent pour bombarder la ville de Brême. Les allemands ne sont pas du tout préparés à subir une attaque et encore moins un débarquement par le Nord. Sans trop de difficulté, les soldats ainsi que les blindés débarquent. Les 120 000 soldats sont divisés en 20 groupes de 6000 soldats avec chacuns 25 blindés. 8 Groupes ont pour mission de prendre et de sécuriser Hambourg. 5 autres groupes de prendre Brême, le reste doit sécuriser la côte et le nord Ouest du pays.
Brême fut conquise sans grande résistance.

Prise de Hambourg

Les 48.000 soldats ne trouve que quelques troupes de garnisons allemandes, les combats sont rapides, et les Australiens et les Britanniques avancent vites. Le matériel militaires allemands que les soldats trouvent son confisqués, devant la supériorité numérique britannique, les allemands ne peuvent pas réellement montrer ne resistance et les prisonniers se multiplient. Seuls quelques partisans et quelques groupes de jeunesses hitlériennes se battent contre les soldats de l'Empire britanniques, le spectacle est terribles se sont des jeunes garçons qui parfois ont moins de 16 ans qui se battent, les soldats n'ont pas d'autre choix que de les abattre. La ville de Hambourg tombe après une bonne journée de combat entre les mains des britanniques qui occupe le territoire.

Libération de Neuengamme

Les groupes de soldats qui ont pour objectif de sécurisé la côte tombe sur d'étranges prisons. Andrew Howard un soldat raconte: ". Nous étions sur un tank. Je me souviens que nous avons traversé de charmantes vallées, avec des arbres sur un côté. Je me souviens que le tank a violemment tourné à gauche, tellement violemment que nous avons du nous agripper pour ne pas tomber. A peine avions nous retrouvé notre équilibre que nous étions arrivés. Il y avait une haute enceinte de fils barbelés. Un sentier longeait l'enceinte et le long de ce sentier, tout les 6 ou 7 mètres, il y avait des miradors. Au delà de l'enceinte, à environ 7 ou 8 mètres, il y avait encore d'autres barrières de fil barbelé, moins hautes toutefois. Les fils barbelés étaient extrêmement serrés, tellement serrés que personne n'aurait jamais pu les traverser. Nos tanks ralentirent mais ne s'arrêtèrent pas et passèrent lentement à travers l'enceinte. Ceux d'entre nous qui étaient sur les tanks se protégèrent en se mettant derrière la tourelle, tandis que les véhicules blindés chargeaient. C'est en passant la première enceinte que nous nous fîmes une première idée de ce que nous allions affronter dans les heures et les jours qui allaient suivre.

Nous avions enfoncé les enceintes barbelées en roulant assez rapidement, et de ce fait je ne me souviens pas si c'était la première, la deuxième ou la troisième enceinte qui était électrifiée. Quoi qu'il en soit, au moins une de ces enceinte l'était. Nous avons passé les enceintes et avons roulé sur un sol humide et boueux. Un peu plus loin, nous avons légèrement tourné vers la gauche et on a grimpé une petite colline entourée de bâtiments. Les bâtiments étaient situés à environ 100 ou 200 mètre de nous mais il ne fallu pas beaucoup de temps à nos tanks pour parcourir la distance qui nous en séparait. Je me souviens que j'étais sur mes gardes. Le tankiste qui avait la charge de la mitrailleuse était à son poste, prêt à tirer, et nous qui étions sur le tank, nous étions prêts à sauter à terre et à faire ce que les circonstances nous dicteraient de faire. J'étais serveur de bazooka et je portais un sac sur mon épaule contenant les munitions. J'avais aussi un fusil M1, des bandes de munitions, quelques grenades et j'étais prêt à tirer au moindre signe de problème. Je devais suivre le tireur de bazooka. Où il allait, je devais aller. Mais nous nous sommes bientôt rendu compte que nous n'aurions pas besoin de nos armes.

Je me souviens avoir rapidement exploré l'endroit situé juste en face de nous. Il n'y avait pas grand chose à voir mais plus loin, sur la gauche, derrière une autre enceinte, il y avait de gros bâtiments et à côté de l'un d'entre eux, il y avait une monstrueuse cheminée, monstrueuses tant en hauteur qu'en diamètre. Une épaisse fumée noire en sortait. Le vent l'éloignait de nous mais malgré cela, nous sentions son odeur. Une odeur horrible.

Le tank sur lequel nous étions, ainsi que deux autres tanks de la colonne, a tourné vers la gauche de façon à former un front uni. Deux autres colonnes contenant les reste de la compagnie exécutèrent la même manoeuvre. Notre commandant de compagnie ainsi que le commandant de la compagnie anti-tank ont roulé en jeep jusqu'au milieu de nous. Une fois que tous les tanks furent alignés, ceux d'entre nous qui étaient sur les tanks sautèrent à terre et avancèrent. Je m'étais préparé à devoir me coucher à terre en cas de tir mais cela ne fut pas nécessaire et aucun d'entre nous ne le fit. Je restais tout près de Stover, mon tireur de bazooka, prêt à le suivre quoi qu'il fasse. Personne d'entre nous ne savait où nous étions et en quoi consistait ces installations mais nous nous attendions à tout moment à un échange de coups de feu avec les Allemands. Nous avions pris le camp et nous étions certains qu'ils tenteraient quelque chose pour le reprendre. En fait, il apparu rapidement qu'il n'y avait plus aucune troupe présente ici.

Alors que nous nous reformions, un groupe de gens commença à sortir des baraques situées en face de nous. Tandis qu'ils se rapprochaient de nous, le nombre et les différents types de bâtiments qui nous entouraient attira mon attention. Il en sortait des êtres qui, timidement, lentement, levaient les mains et nous faisaient des signes. Ils portaient toutes sortes de tenues bizarres, des morceaux d'uniformes faits d'un tissu rayé incroyablement rude. Les rayures étaient alternativement grises et bleu sombre. Certains d'entre eux portaient des pantalons fait à partir de toute sorte de tissus, d'autres avaient des vestes ou même des bérets. Il y en avait qui ne possédaient qu'une partie de l'uniforme, d'autres deux éléments mais beaucoup d'entre eux portaient l'uniforme rayé complet. Ils sortaient des baraques et restaient là, face à nous, me rendant nerveux vu la puissance de feu que nous possédions. A aucun prix je n'aurais voulu l'utiliser contre ces gens.

Les jeeps, avec celle de notre commandant de compagnie et quelques autres, roulèrent très lentement en direction de ces gens puis, alors qu'ils s'écartaient, se dirigèrent vers le bâtiment de brique situé à côté de la cheminée. Nos officiers en descendirent et disparurent à l'intérieur. Notre sergent nous mis au repos puis fit signe aux prisonniers qui s'approchaient de reculer. Tout était incroyablement calme. J'entendais les moteurs des tanks qui tournaient au ralenti.

Petit à petit, et avec beaucoup d'hésitation nous nous sommes approché de cet étrange groupe de gens. Quelques uns d'entre eux parlaient l'anglais et nous demandèrent "êtes vous américain?" Nous avons répondis que nous l'étions et la réaction du groupe fut immédiate: tous les visages se détendirent, ils laissèrent éclater leur joie et commencèrent à nous parler en une multitude de langues auxquelles nous ne comprenions rien. Nous avons déposé nos armes, en prenant soins de montrer aux prisonniers qu'elles n'étaient pas prêtes à être utilisées.

C'est à ce moment que l'odeur environnante commença à pénétrer en moi. Nos nez, soumis à un constant environnement de combat, ne fonctionnaient pas toujours normalement. Mais à présent, il y avait une nouvelle odeur, une odeur grasse et épaisse, insistante, qui assaillait constamment nos sens.

Il y avait encore une petite distance entre le groupe et nous. Ces gens étaient à présent rassurés, bien sûr certains étaient plus nerveux et joyeux que d'autres, mais toute tension avait disparue. Nous nous avancions vers eux lorsque notre sergent fut appelé vers un tank et prit la radio. Il ne resta là que quelques minutes, revint vers nous, reforma notre unité et nous reconduisit à l'extérieur de l'enceinte barbelée. Arrivé là, il plaça deux hommes de chaque côté de la brèche créée par nos tanks. Puis il plaça Bill et moi au milieu de la brèche. Nous n'avions pas la moindre idée de ce sur quoi nous étions tombés. Du moins pas encore...

Veiller à ce que les prisonniers restent à l'intérieur du camp ne risquait pas de poser de gros problèmes parce que ceux-ci en comprenaient la raison. Bientôt, ils furent ravitaillé avec tout ce dont nous disposions. Un hôpital de campagne venait d'arriver, des chargement de rations de survie étaient en route. Le sergent Blowers nous dit que certains prisonniers parlaient anglais. Puis il devint soudain très calme, regarda le sol un moment puis leva les yeux et, regardant dans le vide au dessus de nos têtes, il commença à parler, très doucement, tellement doucement que nous avions de la peine à le comprendre. Il nous expliqua que nous étions dans ce qu'on appelle un "camp de concentration" et que nous allions voir des choses auxquelles nous n'étions pas préparé. Il nous dit de regarder, de regarder encore et encore, jusqu'à en vomir. Puis il nous quitta et marcha dans la forêt. Je n'avais jamais vu le sergent Blowers comme cela. Cet homme avait vu tout ce qui était imaginable de voir, et pourtant cet endroit l'affectait à ce point. Je ne comprenais pas. Je ne savais pas ce qu'était un camp de concentration. Mais j'allais bientôt l'apprendre.

Bill, Tim et moi nous traversâmes les bois, descendirent la petite colline et nous dirigèrent vers le porche d'entrée qui était situé à quelques centaines de mètres. Le porche était rectangulaire et formait une entrée juste au milieu d'un bâtiment en dur. De chaque côté, il y avait des bureaux et des couloirs. Au dessus du porche, on voyait un panneau de bois avec une inscription en allemand, "Arbeit MAcht Frei". J'ai essayé de traduire l'inscription à Bill et Tim: "Le travail rend libre". Nous avons traversé le porche et nous avons avancé d'environ 40 mètres. Nous avions comme une appréhension de ce que nous pourrions voir. Nos sens étaient en alerte. On nous avait donné quelques bribes d'information et nous voulions en savoir plus. La rue dans laquelle nous marchions tournait vers la droite. Nous avons dépassé un bâtiment. Nous avons tourné et nous avons vu. C'était là, en face de nous.

Ils étaient entassés comme des bûches. Tous étaient morts. Tous étaient en costume rayé. Je n'ai pas examiné le tas de cadavre avec beaucoup de soins mais je crois que c'était tous des hommes. La couche du bas était orientée nord-sud, la couche suivante est-ouest, et ainsi de suite. La pile faisait au moins 1 mètre de haut, peut-être plus, mais je pouvais voir par dessus. Elle s'allongeait le long de la colline, sur une longueur de près de 20 ou 30 mètres. Des cadavres disposés avec soins, nus, près à être traités. Les bras étaient soigneusement allongés le long du corps. Tous les cadavres étaient face vers le ciel. Il avait un passage puis un autre tas de cadavres, un passage encore, des cadavres alignés, un passage, des cadavres alignés, etc... Dieu seul sait combien il y en avait.

Il suffisait de regarder l'état des corps pour savoir que tout ces gens étaient morts de faim. Il semblait qu'ils n'avaient littéralement que de la peau sur les os, vraiment rien de plus. Les yeux étaient ouverts ou fermés. Bill, Tim et moi nous restions silencieux. Je crois que mon seul commentaire fut "Jésus Christ"

Après la libération de ce camp de Neuengamme, nous pouvons voir l'inhumanité qu'ont les nazi et qu'ils sont le pire fléau de l'histoire. tout les soldats de ce camps ont été éxécutés.




:globe: République Française :globe:



Contexte

Spoiler:


Ordre de Bataille :

3 brigades de soldats professionnels de Tchécoslovaquie
94 brigades de soldats professionnels
60 brigades de mobilisés
25 brigades de Chars légers ( H-35 )
20 brigades de Chars moyen ( D2 )
10 brigades de automitrailleuses ( Panhard )
3 flottilles de transporteur de troupes
6 escadrons d'avions d'attaques au sol ( Br.693 )
7 escadrons de chasseurs ( MS 406 )
10 escadrons de bombardiers ( AMIOT 143 )





3 Septembre 1939 à 5h34, Bombardement de la Rhénanie

Afin d'affaiblir l'industrie de guerre allemande, qui sert à l'attaque criminelle contre la Pologne, l'aviation française lance le bombardement de la région industrielle de la Rhénanie.
Pour l'état Major Français la Rhénanie doit être rasé pour ralentir l'effort de guerre Allemand.
Cette stratégie a était adopté et acclamé suite à un sommet d'urgence effectué à Paris en secret quelques heures après l'attaque Allemande.
L'aviation Britannique elle revenait d'un très lourd bombardement sur le Port de Hambourg et sur la flotte Allemande qui normalement,devrait être détruite dans sa totalité.
Les appareils aériens Français eux seront les premiers à détruire les usines de la néfaste Germanie.
Les escadrons Français ont commencé le bombardement de la Rhénanie à 5h52 bien que les divisions anti-aérienne celle-ci nous pas vraiment fait mouche avec 2 Chasseurs détruits et 1 bombardier légèrement touché à l'aile droite.
Les 10 escadrons de Bombardiers commençaient à bombarder la région industrielle de la Rhénanie aux côtés des 7 escadrons avions d'attaques au sol qui étaient en train de pilonner une à une les usines Allemandes.
Mais les radars et les moyens de communications Allemands ont pu prevenir une force hongroise qui semblait être stationné non loin de la frontière française.
Cette force forte de 2 escadrons d'avions de chasse BF-109 Hongrois était accompagné de 4 escadrons de BF-109 Allemands.
A leurs arrivée les chasseurs Français entraient en lisse et un terrible combat aérien s'annonçait,les chasseurs allemands avaient une très expérience sur ces appareils c'étaient donc eux qui avaient pour ordre de tenir tête aux MS 406 Français tandis que les appareils Hongrois eux avaient pour but de détruire les bombardiers Français.
La situation était assez compliqué et tendu pour les Français,les Allemands étaient en infériorité numérique mais il était très dur pour les MS 406 Français de gérer la sécurité des bombardiers et tenir à l'écart les chasseurs allemands.
La situation semblait désespéré pour les Français quand une voix dans les radios se fit entendre «  Hello, Paris It's London. Can we Join the Party »
Les Britanniques venaient de arriver à un moment crucial de la bataille. Avec plus de 9 escadrons de chasseurs et 12 escadrons de bombardiers les britanniques venaient infliger le coup de grâce aux forces de l'Axe.
Le bilan est assez lourd pour l'axe les bombardiers Anglais et Français ont rempli leurs mission à bien en détruisant la totalité de la Rhénanie du à une puissance de feu monstrueuses.

Pertes Allemandes : La totalité des industries de la Rhénanie , 29 chasseurs BF-109, 932 ouvriers

Pertes Hongroises : 39 Chasseurs BF-109

Pertes Françaises : 16 chasseurs MS-406, 14 bombardiers Amiot

Pertes Britanniques : 2 Chasseurs, 6 bombardiers

Conséquences et Issue :

Victoire Alliés stratégique
La Rhénanie étant détruite l'industrie de guerre Allemande a perdu gros.


3 Septembre 1939 à 5h52 , Offensive de la Sarre

Spoiler:

Les troupes Allemandes étant mobilisés en Pologne les chefs d'état major Français ont décidés de donner le commandement à Louis Faury et à Maurice Gamelin pour une Offensive sur la Sarre, région réputé pour être une véritable mine de charbon.
34 brigades de soldats professionnels, 32 brigades de mobilisé, 10 brigades de auto-mitrailleuse, 20 brigades de chars légers H-35 , 20 brigades de chars moyen D2.
L'offensive de la Sarre doit être une offensive rapide et efficace dont le but est de contrôler les différentes usines et mine de charbon allemande.
L'occupation de la Sarre à aussi pour but de ouvrir la porte sur le Rhin coté bassin de la Ruhr.
Il était 6h31 le bombardement de la Rhénanie n'était pas encore achevé mais les forces armées Françaises elles s'enfonçaient de plus en plus dans la Sarre et aucun signe de résistance étaient visible les soldats allemands se rendait sans montrer un quelconque signe de agressivité.
Mais cette béatitude prit fin après que un violent choc eut lieu contre un corps expéditionnaire Hongrois et les forces françaises.
Les Hongrois n'avaient aucun véhicule blindé et ni même d'artillerie dans la ville de
Püttlingen, juste 500 hommes qui tenaient cette ville avec une mitrailleuse en haut du clocher de la ville.
Bien que armée jusqu'au dent la résistance fut assez médiocre mais les Hongrois refusaient de laisser les Français pénétrer petit à petit dans la Sarre.
Après un long quart d'heure de fusillade et de cri les Hongrois abandonnèrent le combat et se rendirent aux Français.

Pertes Françaises : 13 soldats professionnels, 4 mobilisés, 22 blessés

Pertes Hongroises : 72 soldats professionnels , 92 blessées , 330 prisonniers

Louis Faury ne voulait pas s'arrêter à la bataille de Püttlingen, ayant appris que le bombardement de la Rhénanie venait de toucher à sa fin, celui-ci appela les chasseurs et bombardier Alliés dans le but que de ratisser la Sarre.
Les divers bombardement ne devrait durer pas plus de 20 minutes pour les chasseurs anglais et 15 minutes pour les chasseurs Français du à un manque de kérosène.
Une pause était accordé aux soldats Français le temps que la Sarre soit bombardé de fond en comble .
Le manque de kérosène sur ces appareils risquent d'être fatal étant donné qu'une base aérienne a été repéré et seulement quelques radios, antennes, piste de décollage, réserves de carburant et hangars ont été bombardés.
Pertes Allemandes : 5 chasseurs,perte de 8 jours de carburant,de nombreux moyens de communications neutralisés, bases aériennes inutilisables pour 3 jours

: 812 civils, 489 militaires, 37 pièces d'artillerie

Pertes Hongroises : 8 bombardiers

: 920 militaires, 5 M/31, 16 auto blindés AB40/41

Pertes Françaises : 6 chasseurs, 7 bombardiers

Pertes Britannique : 4 bombardiers, 3 chasseurs

Conséquences et Issue : Victoire stratégique de la France

Louis Faury est heureux d'apprendre que ces bombardements n'étaient pas inutile et que les pilotes ne sont pas mort pour rien.
La base aérienne étant inutilisables pour quelques jours la France va gagner du temps pour refaire une nouvelle offensive.

3 Septembre 1939 à 5H39 , Prise de Narvik....

A la veille de l'assaut Allemand c'est à dire le 1er Septembre 1939 une importante flottille de transporteur de troupes s'est réuni dans la manche.
Forte de 7 flottilles de transporteur de troupes celle-ci faisait marche vers la Norvège mais plus précisément Narvik.

Avec un total de 21 000 hommes en son bord et 5 brigades des chars légers H-35 celle-ci avait pour objectif de neutraliser la route du fer et ainsi de neutraliser la totalité de l'industrie du diable Allemand.
La flotte Allemande anéanti il ne restait plus rien pouvant arrêter les flottilles Françaises.
Le débarquement se fit en plusieurs vagues :

Les deux premières vagues avaient pour objectif de débarquer sur le port et de le sécuriser pour le reste des vagues Françaises
La troisième vagues avait pour objectif de sécuriser le reste de Narvik et de rassurer les populations
Les dernières vagues avaient pour objectif de libérer assez de place pour les blindés

Présenter comme ça il était difficile de croire que se plan marcherait sans aucune résistance mais le plan mis en exécution a était le contraire de ce que pensait les généraux.
Aucune résistance fut observée et les minerais de fer ont pu être récupérée pour les alliées.

3 Septembre 1939 à 6h52, Débarquement en Prusse Orientale....

Spoiler:

L’Allemagne a été secoué de beau matin par les forces alliées notamment par les forces britanniques qui ont fait fort en débarquant en Allemagne et en détruisant la quasi totalité de Hambourg et ses chantiers navals.
Pour soutenir son allié Polonais un important débarquement allié va avoir lieu en Prusse Orientale, pour soutenir le débarquement un important bombardement fait par la Royal Navy va avoir lieu.

3 destroyers ainsi que 4 croiseurs ouvriront le feu sur Königsberg pour couvrir les navires de débarquement jusqu'au port de la ville Allemande.
Comme pour Narvik le plan fit le même bien que l'intégralité des soldats ayant mis le pied sur terre était essentiellement des soldats Britannique mais les Français eut les rejoindrait dans quelques jours.
15 000 hommes venait de poser le pied sur la Prusse Orientale,15 000 sur 100 000 hommes venait de débarquer à Königsberg.
Arrivé dans la ville seulement quelques brigades de soldat levés à la va vite tenait à la ville sans aucune unité blindé et d'artillerie.
Les combats n'étaient pas aussi dur et violent comme l'imaginait les généraux alliés,mais les soldats allemands se battaient avec une grande volonté et toujours la même rage qui les animait après des années de querelle.
Les mobilisés manquant d’expérience se rendirent après plus de 2 heures de combat urbain dans la capitale de la Prusse Orientale.

Pertes Allemandes : 691 mobilisés, 210 blessés, 910 prisonniers,1 300 mobilisés ayant fuit la ville.

Pertes Britanniques : 1 023 soldats professionnels,792 blessées

Conséquences et Issue : Victoire britannique

Considéré comme la capitale de la Prusse Orientale la prise de Königsberg est considéré comme une débâcle stratégique pour l'armée allemande.
Celle-ci va devoir combattre contre le front polonais au sud et le front allié au nord.

Ce sont plus de 40 minutes qui se sont déroulés après la prise de Köningsberg les navires de transporteur de troupes ont déposé les premiers blindés, notamment les Cruiser Mk 1 dans le but de partir en reconnaissance.
Un total de 20 chars légers Cruiser Mk 1 partirent pour une mission de reconnaissance en dehors de la ville et dans ses environs.
Le groupe de blindé c'étaient séparé en deux groupes dans l'espoir d'obtenir un meilleur champ de vision sur la Prusse Orientale.
La patrouille semblait être calme jusqu'au moment ou l'un des groupes de patrouille furent surpris dans des canons-antichars.
Le blindage ridicule de ces chars étaient fatals, les canons anti-chars n'en faisait qu'une bouchée mais heureusement la vitesse du Mk 1 parvient à contrer la puissance de feu des canons anti chars et ceux-ci furent aussi victime de la très vitesse du MK 1.
Malgré les nombreux dégâts infligé aux Allemand les quelques char restant devaient quitter cette zone du au pilonnage des canons-antichars.
Pertes Allemandes : 9 canons-antichars

Pertes Britanniques : 6 chars MK 1



Le second groupe de reconnaissance britannique lui était tombé sur un petit groupe de 7 chenillette qui fut aussi vite neutralisé par les chars légers britanniques.

Après avoir fait leurs rapport il a été décidé par les généraux britanniques de lancer un assaut sur le groupe de canon anti-char.
La force qui va s'en occuper sera forte de 40 000 hommes et de 30 chars légers Mk 1 mais aussi d'1 escadron de avions d'attaque au sol Fairey Battle .
L'escadron lui avait décidé de partir en premier depuis un porte-avion laissé dans la mer Baltique.
Après de longue minute de vol celui-ci croisa une armée allemande en pleine réorganisation à seulement quelques kilomètre de Königsberg, cette armée était composé des canons-antichar que parlait les patrouilleurs britanniques.
L'assaut fut donné aussi vite que possible, les cibles en priorité étaient les canon-antichars allemand
Les appareils britanniques firent plusieurs aller-retour dans le but de neutraliser un maximum de canon-antichar.
Cette stratégie marchait à merveille étant donné que les bombardements avaient fait mouche et que la plupart des canons venaient d'être détruit.
Après avoir largué toutes leurs bombes les Fairey rentraient à la base en croisant plus bas les chars légers britanniques qui fonçaient droit sur l'ost allemand.
La bataille au sol fut d'une violence terrible,les batteries antichars restantes avaient perdu en revanche leurs utilisateurs dans les bombardements.
La bataille dura un certain temps avant que les allemands essayaient de se replier mais la vitesse des chars contournait les positions Allemandes qui n'avaient d'autre choix que de se rendre.

Pertes Allemandes : 2 829 morts, 2 210 blessées, 3 000 prisonniers, 92 batteries antichars détruites
( le reste étant capturé ou bien détruit à la grenade )

Pertes Britanniques : 2 340 morts, 2 350 blessées, 6 chars MK 1 détruit


Conséquence et Issue : Victoire Britannique


:mac: Confidentiel :mac:

La royal Navy et la totalité de la marine Française mobilise dans la mer Méditéranée dans les environs de Gibraltar et des côtes algériennes.
De plus une importante ligne de défense de plus de 240 000 mobilisés est en formation près des frontières Italiennes.

:mac: Confidentiel :mac:


Cartes des offensives Françaises :

Spoiler:

Spoiler:


élément barré = partie annulé du poste


Dernière édition par Twinkless le Mar 6 Nov 2012 - 18:19, édité 10 fois
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Message par Caoki Mar 6 Nov 2012 - 2:29

:globe: Союз Советских Социалистических Республик :globe:





Ordre de bataille:

Spoiler:


5 septembre 1939, 5h34, frontière soviéto-polonaise:

Le 5 septembre 1939, à 5 heures et 34 minutes du matin, à la grande surprise de l'ensemble de tous les belligérants - :mac: à l'exception de l'Empire Allemand :mac: -, cinq groupes armées soviétiques commencent à traverser à divers endroits la frontière soviéto-polonaise. Ce sont plus d'un million deux cents milles militaires soviétiques, plusieurs milliers de chars, plus de mille cinq cents véhicules blindés, plusieurs milliers de canons en tout genre ainsi que plus d'un millier deux cents avions en tout genre traversent la frontière soviéto-polonaise. Mais alors qui l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques, qui pénètre massivement sur le territoire républicain de la Pologne sans déclaration de guerre au préalable, va-t'elle soutenir ? Va-t'elle porter secours à la République de Pologne ? Ou va-t'elle s'engager elle aussi contre les polonais afin de récupérer sa part du gâteau ?

Ière Armée:

:mac: L'objectif de guerre de la Ière Armée soviétique est la prise de la grande ville de Wilno ou Vilnius. :mac:

5 septembre 1939, 5h34:
Les premières unités de la Ière Armée soviétique ont commencé à traverser la frontière soviéto-polonaise au Nord à 5h49 du matin. Voyant d'immenses unités militaires soviétiques au loin, les gardes-frontières polonais furent tous surpris et commencèrent à applaudir les militaires ainsi que les blindés soviétiques qui traversaient la frontière. Malgré les tensions entre les deux nations, les gardes frontières polonais pensaient que l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques allaient aider la République de Pologne dû fait d'un ennemi commun, le fascisme. Les gardes-frontières polonais avaient raison et continuèrent d'applaudir les militaires soviétiques. Malheureusement leurs joies furent de courte durée car en à peine quelques secondes, les six gardes-frontières polonais furent promptement abattus. Les fusils Mosin–Nagant Model 1938 venaient de faire leur baptême du feu sur des citoyens étrangers. En effet, les différentes Armées soviétiques ont reçu l'ordre d'abattre tous les gardes-frontières polonais aux passages où les Armées soviétiques traversent la frontière soviéto-polonaise afin qu'aucune alerte ou appel de détresse ne soit donné.
Les premiers villages que la Ière Armée soviétique traversait eurent les mêmes impressions que les gardes-frontières, d'abord une forte joie s'empare des villageois et des villageoises, puis lorsque les militaires soviétiques traversent les villages polonais sans dire un mot, un sentiment de malaise et de questionnement s'emparent des villages polonais. Bien que les généraux soviétiques aient formellement interdit le pillage des magasins polonais, plusieurs d'entre eux l'ont été par des militaires soviétiques.
Spoiler:
Après plusieurs heures, la Ière Armée soviétique arriva devant la ville polonaise de Wilejka. Repérée au loin, des miliciens ainsi que des militaires polonais s'étaient avancés pour rejoindre toute en joie les militaires soviétiques. A peine devant les premiers militaires soviétiques, les miliciens et les militaires polonais furent immédiatement faits prisonniers. La Ière Armée soviétique entra quelques dizaines de minutes plus tard dans la ville et là, voyant aucun militaire ou milicien polonais avec eux, les premiers actes de résistance débutèrent.
Malgré le fait que les policiers polonais aient eu le temps de se barricader sommairement dans leur poste de police, ce dernier fut pris en à peine une heure par les militaires soviétiques. Après quelques petites escarmouches avec des civils polonais, la ville de Wilejka fut rapidement sous contrôle soviétique.
La Ière Armée continue sa route vers la grande ville polonaise de Wilno mais va prendre au passage d'assaut la ville d'Oszmiana.
Spoiler:
Pertes polonaises: 9 militaires morts, 12 miliciens morts et 29 civils morts. 16 militaires prisonniers et 22 miliciens prisonniers.
Pertes soviétiques: 11 militaires morts et 8 militaires blessés.

IIe Armée:

:mac: L'objectif de guerre de la IIe Armée soviétique est la prise des villes de Wolkowysk et de Mosty. :mac:

5 septembre 1939, 5h42:
Les constats des gardes-frontières et des villages polonais traversés par la IIe Armée soviétique furent les même que pour la Ière Armée soviétique. Les gardes-frontières polonais ont tous reçu le même sort funeste.
Après plusieurs heures, la ville de Baranowcze fut rapidement prise d'assaut par les troupes soviétiques. Les très petites garnisons militaires mais surtout la milice et les policiers locaux furent très surpris de voir les soviétiques les attaquer. Mais grâce à un sergent polonais très suspicieux d'une "subite aide soviétique", la ville eut le temps de se barricader à la va-vite. Le colonel-général soviétique Mikhail Kovalyov donna un ultimatum de deux heures aux civils polonais d'évacuer et aux forces d'opposition polonaises de se rendre à la IIe Armée soviétique. Aucune réponse ne parvint au bout de deux heures, et une vingtaine de bombardiers Petlyakov Pe-8 et Pe-2 survolèrent et bombardèrent la ville avec une vingtaine d'avions de chasse Polikarpov I-16 Type 24 et une quinzaine d'avions d'attaque au sol Ilyushin Il-2. Les usines ainsi que d'autres lieux stratégiques de la ville, comme le poste de police ou la petite caserne locale furent bombardés, mais aucune reddition ne fut apportée de la part des forces d'opposition polonaises. Les chars lourds T-35A, KV-1 et KV-2, soutenu par l'aviation soviétique, écrasèrent les barricades polonaises érigées à l'entrée de la ville et découvrirent avec grand étonnement que les polonais, hormis quelques civils, avaient fuit en hâte la ville.
Avec le contrôle de la ville de Baranowcze, un assaut sera prochainement donné sur la ville de Nowogrôdek.
Spoiler:
Pertes polonaises: 91 civils morts.
Pertes soviétiques: 0 mort.

Ve Armée:

:mac: L'objectif de guerre de la Ve Armée soviétique est la prise de la ville de Brześć. :mac:

5 septembre 1939, 6h17:
La ville polonaise de Mikaszewicze étant pratiquement à la frontière soviéto-polonaise, une sentiment de soulagement et de joie traversa d'abord les habitants de la ville ainsi que de la très petite garnison militaire et police locale. Malheureusement, une échauffourée d'origine inconnue entre quelques civils polonais et quelques militaires soviétiques a rapidement tourné en des échanges de tirs et la première bataille entre des blindés polonais et des blindés soviétiques eu lieu près de la Mairie sur la place centrale de la ville. Deux chars légers 7TP polonais firent irruptions sur la place centrale de la ville et réussirent à détruire un char léger BT-7 et deux automitrailleuses BA-20M soviétiques. Après quelques petites minutes d'une légère supériorité des deux chars légers polonais, ils furent totalement réduits en pièces détachées simultanément par des chars moyens T-28 Model 1938, des chars lourds KV-1 et un canon antichar 45 mm anti-tank gun model 1937 soviétiques. Malheureusement, le contrôle total de la ville de Mikaszewicze dura plus d'heures que l'Etat-Major soviétique ne l'avait prévu dû à la farouche et à la stupide résistance de la petite garnison militaire et surtout des civils polonais. Alors que le Soleil commence à se coucher, la ville vient à peine d'être pacifié.
La ville de Samy fut prise sans qu'aucun coup de feu n'ai été tiré. La garnison militaire ainsi que la police locale ont préféré se rendre pacifiquement à la Ve Armée soviétique, ayant jugé toute résistance inutile.
Spoiler:
Pertes polonaises: 34 militaires morts et 67 civils morts. 2 chars légers 7TP détruits. 116 militaires prisonniers et 12 civils prisonniers.
Pertes soviétiques: 54 militaires morts et 23 militaires blessés. 1 char léger BT-7 et 2 automitrailleuses BA-20M détruits.

VIIe Armée:

:mac: L'objectif de guerre de la VIIe Armée soviétique est la prise des villes de Wlodzimierz et de Kowel. :mac:

5 septembre 1939, 5h56:
Les constats des gardes-frontières et des villages polonais traversés par la VIIe Armée soviétique furent les même que pour la Ière et la IIe Armée soviétique. Les gardes-frontières polonais ont également tous reçu le même sort funeste.
La VIIe Armée soviétique s'est principalement concentrée sur la prise de la ville de Równe ainsi que de sa région périphérique. Arrivée dans la région vers les alentours de 13 heures suite à de gros problèmes techniques qui paralysèrent de grandes unités militaires durant de longues heures, la VIIe Armée soviétique dut faire face à divers groupes de miliciens ainsi que de quelques militaires polonais qui avaient bloqué l'accès à divers ponts afin de traverser quelques cours d'eau. Ils avaient en leur possession une vieille pièce d'artillerie sol-sol qui datait sûrement de la Grande Guerre de 1914-1917. Ce fut un réel plaisir pour les avions d'attaque au sol de tirer sur tout ce beau petit monde au sol qui n'avait strictement aucun matériel antiaérien afin de contrer l'attaque aérien des Ilyushin Il-2. Face à la claire supériorité aérienne de la VIIe Armée soviétique, les quelques miliciens survivants battirent en retraite en toute hâte vers la ville de Równe. Les barricades polonaises furent écrasées par les blindés soviétiques et vers 20 heures, les dernières poches de résistance de la ville se rendirent. Néanmoins, durant l'assaut des troupes soviétiques contre la ville, les miliciens polonais parvinrent à détruire, à l'aide de grenades vraiment bien placées, trois automitrailleuses BA-20M et BA-10 et un char léger T-26 Model 1939 soviétiques.
Spoiler:
Pertes polonaises: 10 militaires morts, 81 miliciens morts et 31 civils morts. 13 militaires prisonniers et 39 miliciens prisonniers.
Pertes soviétiques: 37 militaires morts et 61 militaires blessés. 1 automitrailleuse BA-20M, 2 automitrailleuses BA-10 et 1 char léger T-26 Model 1939 détruits.

Xe Armée:

:mac: L'objectif de guerre de la Xe Armée soviétique est la prise de la ville de Lwów ou Lviv. :mac:

5 septembre 1939, 5h35:
Les constats des gardes-frontières et des villages polonais traversés par la Xe Armée soviétique furent les même que pour la Ière, la IIe et la VIIe Armée soviétique. Les gardes-frontières polonais ont aussi tous reçu le même sort funeste.
La Xe Armée soviétique s'est principalement concentrée sur la prise de la ville de Tarnopol ainsi que de sa région périphérique.
Alors que celle-ci n'était plus qu'à quelques kilomètres de la ville de Tarnopol, l'équipage d'un char lourd T-35A soviétique décida de soulager leurs vessies près d'une ferme agricole polonaise. Alors que les militaires soviétiques étaient en train d'uriner, un petit groupe de paysans polonais réussit à subtiliser le T-35A et à le faire fonctionner. Malheureusement pour les paysans, pendant qu'ils cherchaient comment tirer avec le char, ils s'écrasèrent leur propre ferme et tuèrent leurs familles. Fou de rage, ils semèrent la zizanie à travers toute la Xe Armée soviétique. Par malchance, plusieurs tentatives afin d'arrêter le T-35A, lancé à pleine vitesse, soit à 30km/h, échouèrent. En effet, les autres chars soviétiques tentèrent à plusieurs reprises de tirer sur le T-35A afin de le détruire mais le loupèrent à chaque fois. Quelques obus touchèrent accidentellement d'autres matériels militaires soviétiques comme une pièce d'artillerie sol-sol 280 mm mortar M1939 (Br-5). La pièce fut détruite et les artilleurs tués. Mais au milieu de ce grand bazar, la chance revint parmi les soviétiques car le T-35A fou des paysans polonais atterrit dans un fossé assez profond. Le T-35A fut immédiatement détruit.
La ville de Tarnopol fut entièrement prise juste avant que la nuit ne tombe en cette journée du 5 septembre 1939 après quelques escarmouches avec les policiers et les miliciens locaux.
Spoiler:
Pertes polonaises: 44 miliciens morts et 21 civils morts. 19 miliciens prisonniers.
Pertes soviétiques: 18 militaires morts. 1 pièce d'artillerie sol-sol 280 mm mortar M1939 (Br-5) et 1 char lourd T-35.
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Message par Gungauss Mar 6 Nov 2012 - 22:34

:globe: République de Pologne :globe:

:mac: Suite à l'avance soviétique en Pologne, l'État-Major attend. Les Armées Poznan et Lods restent en place et renforcent leurs positions. L'Armée Krakow recule vers Kielce. L'Armée Krakow, dans sa retraite, détruit les ponts, les routes et les voies ferrés. Cela devrait donner un délai de quelques jours aux unités polonaises pour établir une ligne de défense plus au nord.
Afin de combler les pertes, la mobilisation des hommes de 19 à 45 ans est décrétés. Les femmes et les enfants de plus de 13 ans remplaceront les hommes dans les usines et les champs. Cette levée en masse permet non seulement de combler les pertes, mais de lever une nouvelle Armée autour de Varsovie : l'Armée Modlin, composée de 25 brigades d'infanterie mobilisée et de 15 brigades de miliciens, auxquels sont ajoutés les 6 brigades de chasseurs de chars TKD restés en réserve à Varsovie. Cette Armée s'organise et recevra ses ordres d'ici quelques jours.
Ces mouvements ont pour but de limiter les pertes, afin de prévoir le retournement de l'armée contre l'Union Soviétique.

Carte :
Spoiler:
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Message par Gosseau Jeu 8 Nov 2012 - 1:38

:globe: GroßdeutschesReich :globe:





[center]Carte

Spoiler:

3 Septembre 1939, 16h55, Bataille de Cracovie

Les polonais commençaient petit à petit à se « réveiller » et surtout à remporter des victoires majeurs contre les troupes allemandes, afin de reprendre le dessus et définitivement sur la Pologne, il fallait frapper une ville importante et cette ville c’était Cracovie. En plus, les troupes polonaises semblait battre en retraite un peu partout afin de se préparer à contrer l’envahisseur soviétique à moins que l’armée polonaise préfère défendre des villes plus stratégiques, ce qui serait tout aussi logique… Afin de mettre toute ces chances du côté de la XIVe Armée, les récentes troupes hongroises mise à disposition du Reich ont eu pour ordres de les assister. Malgré tout la tâche risque de ne pas être facile puisque il ne faut pas oublier que Cracovie est la 2ème ville du pays ! La Heer s’attend normalement à une forte présence de miliciens et/ou de soldats mobilisés. Le chemin pour arriver à Cracovie fut relativement rude à cause notamment de nombreuse attaque embusqué par les soldats polonais, la plupart notamment avec des canons antichar ou des mitrailleuses lourdes…ect. A l’arrivé dans la ville, « l’accueil » était sans surprise pas chaleureux et les polonais n’hésitèrent pas à envoyer le peu d’escadron de bombardier, bombarder les troupes allemandes. Dès l’arrivée des Bf-109, les bombardiers polonais se sont replié intelligemment, ainsi les Stuka eurent le champ libre pour bombarder la ville jusqu’à un tir important de DCA polonaise qui obligèrent cette fois-ci le repli de l’aviation allemande. Des frappent d’artillerie on était effectué sur les lieux supposés avoir des DCA, sans grand succès mais l’impact moral était au « rendez-vous » et quelques escouades de soldats polonais se sont rendus. Ils seront exécutés quelques heures plus tard dans la soirée. Ce qui posa réellement problème toute fois aux troupes allemandes, c’était les chars polonais de fabrication française, plus précisément les H35 & Co’. Leurs blindage relativement épais fait rebondir les obus des Pz I et II sans aucune difficulté et possède eux même un équipement relativement lourd pour un char de cette taille, deux seule brigade de ce genre de char à réussie à détruire près de 4 brigades de chars léger allemand ! Les chars polonais finirent détruit plusieurs heures plus tard par les canons antichar allemand, avec toujours une certaine difficulté. Les troupes allemandes finirent par réussirent à arriver aux portes du centre-ville en fin de soirée. Toute la nuit c’est résumer à des bombardements, des frappes d’artillerie, des coups de feu, c’est certainement là où il y avait eu le plus grand nombre de pertes. Au matin venu, les combats se stoppèrent pendant quelques heures, mais reprirent dès 9h15 avec un net avantage pour les troupes allemandes qui réussirent à passer sans aucun problème cette fois ci, les défenses polonaises. Les polonais abandonnèrent la ville à 16h30 pile, fuyant afin de défendre certainement la Pologne, de l’allié soviétique.

Pertes allemandes : 18 559 soldats professionnel et 18 043 soldats mobilisés morts, 4412 blessés et 84 disparus. (+ 1 brigade d’avions d’attaque au sol, 4 brigades de chars légers)
Pertes polonaises : 12 750 soldats professionnel et 18 444 soldats mobilisés morts, 3480 blessés et 3382 prisonniers. (+ 2 brigade de chars légers, 1 brigade de canon antichar, 1 brigade d’antiaérien)

Spoiler:

4 Septembre 1939, 15h28, « Tenaille de Dantzig »

Afin de reprendre le dessus dans cette région, il fut décidé de prendre en tenaille les forces polonaises par la IIIe Armée et également la Ive Armée. La stratégie était simple, un assaut simultanée (ou presque) sur les forces polonaises de tous les côtés possible, afin de soit la détruire totalement ou alors la détruire partiellement avec des poches de résistance à divers endroits. Et ce fut ce dernier cas qui c’est produis, les polonais ont beau avoir résisté du mieux qu’il le pouvait, les troupes d’allemandes sont sorti victorieux mais avec tout de même de lourde pertes à cause encore comme d’habitude aux embuscades sournoise polonaise. Mais au moins, la quasi-totalité de l'armée de Dantzig est anéanti.

Spoiler:

Pertes allemandes : 15 745 soldats professionnel et 25 001 soldats mobilisés morts, 1223 blessés, 18 disparus. (+ 2 brigades de chars moyens)
Pertes polonaises: 18 437 soldats professionnel et 18 000 soldats mobilisés morts, 1178 blessés et 3333 prisonniers. (+ 1 brigade antichar)



Contre-offensive en Sarre

Ordre de bataille


Spoiler:

6 Septembre 1939, 4h55 ,

Afin de contrer l’assaut français en Sarre, le Führer ordonna la création d’une nouvelle armée à la hâte afin de repousser celle-ci jusqu’en France. Cette armée porta le nom de XVIIe Armée et était composé en majorités par des soldats mobilisés par le Reich (Voir les chiffres au-dessus). Le corps français c’était étrangement pas aventuré profondément en Sarre, et l’état-major allemand compte bien en profiter notamment grâce à la supériorité numérique qu’elle possède. Ainsi une attaque frontale sera organisée par les troupes mobilisées ainsi qu’avec quelques chars et surtout des canons antichars, le tout avec bien sur un soutien aérien toutefois limité à cause de la destruction des pistes aérienne par l’aviation française. Pendant ce temps-là, une panzer-division composé du reste des blindés non-utilisé se lancera sur le flanc droit français. Les opérations commencèrent dès l’aube et les allemands bénéficièrent dès le début d’un net avantage grâce à sa supériorité numérique, au prix toute fois à des pertes bien plus élevés que celle des français, les combats durèrent jusqu’en début de soirée, ou les 2 camps firent chacun un retrait stratégique. Mais le soir même, les combats reprirent, et cette fois-ci la panzer-division allemande rentrer en action sur le flanc français, pendant ce temps, 1 escadron de chasseur, 1 d’attaque au sol et 1 de bombardiers lancèrent des frappes aérienne sur les troupes française, toute fois celle-ci finirent détruite à cause de l’arrivé de l’aviation française, qui les abattirent et se mirent elle aussi au final à effectuer des frappes sur les troupes allemandes, les ralentissant ainsi fortement. Au final les troupes allemandes on réussit à stoppé l’offensive française mais la bataille est loin d’être encore gagné... Les allemands comptent aussi surtout sur l’aide des troupes hongroises présent sur place.

Spoiler:

Pertes allemandes : 18 499 soldats professionnel et 24 048 soldats mobilisés morts, 2468 blessés, 0 disparus. (+1 brigade de char léger, 2 brigades de chars moyens, 1 brigade de canons antichar, 1 escadron de chasseurs, 1 escadron d’attaque au sol et 1 escadron de bombardier)
Pertes françaises : 22 872 soldats professionnel et 12 147 soldats mobilisés morts, 3110 blessés et 0 prisonniers.(+ 3 brigade de chars légers, 3 brigade de chars moyens, 2 brigades d’automitrailleuses)
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Message par Twinkless Jeu 8 Nov 2012 - 14:34

:globe: République Française :globe:

17 Janvier 1940 à 16h30, L'Occupation de Narvik....

La France est mal,dans la nuit elle a été secoué par un terrible fléau nommé l'Axe.
Mais pour l'état Major Français il sera inadmissible de faire un pacte de paix tant que l'industrie de guerre Allemande ne soit pas mise hors de nuire.
Tel est la raison de l'Occupation de Narvik,la route du fer étant bloqué l'industrie de l'infâme Germanie est paralysé.
Pour que la faible garnison Française présente dans la ville Norvégienne c'est un renforcement de plus de 70 000 soldats professionnels et de 30 000 mobilisés ainsi que de 10 brigades de H-39 et de 5 brigades de Chars Lourds B1 Bis.
Escorté et aide par la Navy Britannique la flotte arrivera à Narvik en début de matinée du 18 Janvier.

18 Janvier 1940 à 6h32, Nouveau Bombardement sur la Rhénanie....


Dans le but de ralentir l'industrie du diable un nouveau bombardement sur la Rhénanie va avoir lieu.
Comptant désormais moins d'effectifs et la surveillance des chasseurs allemands et Hongrois sur la région.
Ce bombardement sera cette fois-ci éclair pour ne pas attirer l'attention.
Le plan était le même qu'en Septembre, les chasseurs et les bombardiers Français avaient emprunté le même chemin.
Pour tout les pilotes Français ils y avaient une impression de déjà vu , la seule différence étant la présence de chasseurs Allemands en patrouille.
Les combats furent le même tout comme le bombardement rien n'avaient changé mis à part le fait que les différentes usines et les différentes villes au sol présentaient encore des cicatrices concernant l'ancien bombardement Français.
Après de longues minutes de combat et de bombardement les appareils Français rentraient chacun à leurs tour sous le feu allemand et hongrois.

Pertes Allemandes : 14 chasseurs, 760 civils, de gros dégâts sur les grandes villes industriels

Pertes Hongroises : 12 chasseurs

Pertes Française : 20 chasseurs, 22 bombardiers
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Message par Gungauss Jeu 8 Nov 2012 - 21:47

:globe: République de Pologne :globe:

La République de Pologne capitule. L'armée dépose les armes, et le gouvernement ordonne à toutes les unités de partisans, miliciens et civils armés de cesser le combat. Dans un appel à la radio diffusé dans tout le pays, le Président Mosciki a déclaré :
"[...]Notre armée s'est vaillamment battue. Elle mérite tous nos honneur. Malgré sa résistance héroïque, il est temps de déposer les armes afin de faire cesser le bain de sang et les destructions qui touchent notre pays. Cette capitulation est la conséquence directe de la capitulation française, et nous appelons le peuple polonais à se souvenir de cela. Nous n'oublierons pas.[...]"
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Message par Caoki Jeu 8 Nov 2012 - 23:22

:globe: Union des Républiques Socialistes Soviétiques :globe:

Moscou salue la sage décision de Varsovie qui va grandement contribuer à sauver des vies polonaises.
Les régions de l'Est de la République de Pologne sont directement annexées par l'Union Soviétique comme la carte suivante le délimite. La moitié du matériel militaire polonais ainsi que la moitié des usines polonaises sont désormais propriétés soviétiques.
Spoiler:

Bilan des pertes soviétiques: 120 militaires morts et 92 militaires blessés. 1 char léger BT-7, 3 automitrailleuses BA-20M, 2 automitrailleuses BA-10, 1 char léger T-26 Model 1939, 1 pièce d'artillerie sol-sol 280 mm mortar M1939 (Br-5) et 1 char lourd T-35A.

:mac: top secret :mac:

Les forces armées soviétiques ne sont pas démobilisées et se déplacent vers différentes positions en vu d'attaquer. La guerre s'étant achevée en Pologne et en France, aucun pays ne se doute de rien.
Spoiler:
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Message par Caoki Ven 9 Nov 2012 - 19:26

Bilan des pertes à rédiger.
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Message par Gungauss Dim 11 Nov 2012 - 18:28

:globe: République de Pologne :globe:

Bilan des pertes polonaises :
130.832 morts (25 brigades mobilisés, 18 brigades professionnels)
17.075 prisonniers faits par les Allemands
2 brigades de chars 7TP
800 canons antichars
Toute l'aviation polonaise


Tout émissaire ou dignitaire soviétique qui sera envoyé sur le front ouest polonais pour saisir du matériel militaire ou industriel sera emprisonné et exécuté. Si l'Union Soviétique souhaite voler le matériel du peuple polonais, elle devra le lui prendre sur son cadavre encore chaud.
Malgré la capitulation, les unités polonaises du front ouest sont petits à petits redéployés à l'est, le long de la Ligne Curzon.




Concernant les pertes subis à l'est, elles sont invalides : je n'ai AUCUN chars à l'est, et aucune unité militaire (comparer pour cela mes effectifs totaux et le déploiement à l'ouest ...), donc impossible que les soviétiques aient détruits ou capturés du matériel, ou que des militaires aient été tués ou faits prisonniers. Il ne peut y avoir que des miliciens et des partisans à l'est, et encore ... Parce que j'ai pas appelé la pop à prendre les armes à l'est.

J'attends le statut de la Pologne à l'ouest, puisque l'est est annexé.

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Message par Gosseau Mar 13 Nov 2012 - 19:50

:globe: GroßdeutschesReich :globe:

Bilan des pertes allemandes :

- 120 873 soldats professionnels morts
- 97 092 soldats mobilisés morts
- 1 escadron de chasseur
- 2 escadrons d'avions d'attaque au sol
- 1 escadron de bombardier
- 1 brigade d'artillerie (sol-sol)
- 5 brigades de chars légers
- 4 brigades de chars moyens
- 1 brigade de canon antichar

l'Ouest de la Pologne est annexé par le IIIe Reich.
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