[Accepté] République Nordique des Brumes

Spoiler:

Grande avancée dans la colonisation

Les premiers navires partant pour les comptoirs dont le développement vient d'être annoncé sont partis aujourd'hui. Un comptoir sera établi dans les terres grâce à l'utilisation de la Rosta, fleuve qui se jette dans le lac Zeewier. Un autre sera construit au large de Handelkanaal et enfin les Brumes annoncent être officiellement la première nation à s'établir à Narrow.


Ière brigade d'épéistes escortant les colons

Les navires de transport feront plusieurs voyages sur plusieurs semaines afin de transporter les soldats et colons. Une brigade d'épéistes sera envoyée à Narrow et l'autre dans le comptoir de la Rosta. Ce dernier sera desservi par des péniches de marchands à qui l'on a donné des réductions d'impôts en échange.

La Classe Cachalot, navire de trasport qui fait la fierté de la Marine bruméenne:

Carte du pays avec futurs comptoirs:

Nous reconnaissons également de nouvelles nations, la liste des nations reconnues par notre pays est désormais :

-La Padovie
-L'Empire Spartanian
-L'Empire de Sigmar
-Les Cités Libres
-La Panhéllénie
-La Ciliarménie
-La République d'Etain
-La République d'Alghel
-Le Royaume de Delmak
-La République d'Autremonde
-Le Royaume du Farrajoz
-La Fédération du Vaanverk
-La République Libre du Détroit
-Les Etats Confédérés d'Ikoac
-Le Khédivat des Haradrim
-Le Manheim
-Le Chimanheim
-Le Delum
-La Syldavie
-Le Jötunheim
-Le Danaheim
-Chelov
-Le Windhelm

Budget :

222 000 – 90 000 = 132 000 spars

Sommet du Conseil de l'Aradie

Sur décision de la Ligue Impériale, Adolf van Bergen, membre de la Ligue, représentera les Brumes au conseil de l'Aradie qui se tiendra cette année à Port-Détroit. Il embarquera dans un navire de commerce à Haaistop en fin de matinée, afin de ne pas troubler le sommeil des citoyens. Ce grand homme fera le voyage escorté d'une escadre de 5 torpilleurs.
Article de quatrième page du Dagelijks, journal bruméen

Manque de bois aux Brumes

Château Van Mecklenburg

-Monsieur Bos, adressa le conseiller au membre de la Ligue, nous manquons de bois. La plupart des constructions nécessitent du bois, et nous manquons de celui-ci.
-Nous ne pouvons pas tout simplement créer une scierie dans notre Latijnvoet ?
-Mais vous avez besoin de l'accord de la Ligue pour passer un décret national afin d'entamer la construction.
-Je le contournerai en utilisant un décret régional grâce à mon poste de gouverneur, répliqua Bos
-Il vous faudra aussi du fer, répondit le conseiller
-Je m'en occuperai, termina le membre de la ligue.

Future scierie Bellérophon:

Plus tard, bureau du gouverneur du Latijnvoet

-Je me suis débrouillé avec nos alliés, assura Huygen Bos au contremaître, la Panhéllénie nous offre gracieusement le fer manquant pour la construction. Nous les aiderons de la même façon s'ils venaient à nous faire une requête similaire. Afin de remercier la Panhéllénie, la scierie sera nommée du nom du Grand Archiduc panhéllène Bellérophon.

Alors que résonnaient les cris des marins dans les docks de la puissance commerciale, pourtant dénuée de complexe industrialo-portuaire, ce qui provoque de nombreux problèmes logistiques jour après jour, des choses importantes et discrètes à la fois prenaient place dans le centre-ville, autour du château Van Mecklemburg. Trois musiciens et 2 chanteurs se tenaient debout dans une rue. Alors qu'ils se mirent à jouer un hymne révolutionnaire, des hommes armés de couteaux déboulèrent dans la rue et avançaient en direction du château gouvernemental, tandis que le petit orchestre continuait à jouer ses partitions sur lesquelles figuraient en gros "La bruméenne"

Spoiler:

La Bruméenne, chant des révolutionnaires

Un groupe de marchands étrangers fera d'ailleurs les frais de la Révolution. Ceux-ci passaient devant l'entrée du château Van Mecklemburg quand le meneur des rebelles cria "CHARGEZ !!" envoyant ainsi ses compagnons de combat au corps à corps. Rapidement submergés par le nombre des assaillants, les étrangers périrent un à un sans avoir tué plus de deux révolutionnaires. L'Histoire se souviendra de leur mort mais pas de leur nationalité. La route du château était désormais libre.

Spoiler:

L'attaque des marchands

La Révolution faisait marche sans s'arrêter au milieu de l'allée centrale qui menait à l'entrée du siège de la Ligue, ignorant les jardins plantés de pommiers. Seul le meneur s'accroupit un instant afin de ramasser un fruit vert qu'il garda à la main. Ceux-ci entrèrent par la grande porte après avoir massacré les deux gardes qui tenaient l'entrée, gravirent les grands escaliers du hall et fouillèrent le bâtiment à la recherche des appartements des membres de la Ligue. Ces derniers, à l'exception d'Adolf van Bergen parti pour le sommet du Conseil de l'Aradie, furent bientôt attachés dans la salle centrale du bâtiment : la Révolution était victorieuse et son chef proclama un discours dans le port qui sera retransmis sous forme papier dans tous les lieux de réunion du pays :

Spoiler:

Portrait officiel de Karel Ameshoff. En arrière-plan le drapeau rouge de la révolution et celui des Partisans de la Modernité, soutien d'Ameshoff

"Moi, Karel Ameshoff, je vous ai compris. J'ai aujourd'hui pris le pouvoir afin de terminer l'exploitation du peuple par les hautes classes. Les paysans, artisans, fonctionnaires et ouvriers doivent pouvoir vivre de façon décente sans se reposer sur les vaines promesses électorales. Que les propriétaires et personnes aisées se rassurent, je n'ai aucunement le souhait de vous dépouiller. Mon but n'est pas de couler la richesse, mais de relever le peuple. Les riches qui traitent convenablement le peuple seront les bienvenus.
Les membres de la Ligue, à l'exception de Bos et Van Bergen seront emprisonnés à vie au bagne de Tussenwater. Les deux restants retourneront à leurs fonctions d'avant leur accession au pouvoir. Ceux-ci étaient pour une avancée du pays, alors que les autres se reposaient sur leurs acquis et les empêchaient de faire passer leurs décisions.
Bruméens, j'assumerai à partir de maintenant la lourde charge de diriger la nouvelle République Nordique des Brumes. Je fais aux Brumes le don de ma personne pour atténuer son malheur.C'est le coeur serré que je vous dis aujourd'hui que la Ligue est tombée. Que tous les Bruméens se groupent autour du gouvernement que je préside pendant ces dures épreuves et fassent taire leur angoisse pour n'écouter que leur foi dans le destin de la patrie.
Je vous assure que quoi qu'il arrive, la flamme de notre peuple ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas."

De retour au château van Mecklemburg, Ameshoff rédigea de sa propre main des lettres à la Triple-Entente et au Vaanverk :

"Chers amis et alliés,
la République Nordique des Brumes respectera ses engagements avec la Triple-Entente et espère conserver ses liens d'amitié avec ses membres. Par cette même lettre nous annonçons au représentant panhéllène qui lira cette missive que nous reconnaissons la nouvelle république de Panhéllénie."

"Cher président,
si le VDF Noordsteer a besoin de se ravitailler avant son expédition, celui-ci pourra accomplir sa besogne dans notre comptoir du Latijnvoet."

Mise à jour des ressources

Budget : 132 000 + 222 000 = 354 000 spars
Bois : 0 + 7 - 6 = 1 cargaisons
Pétrole = 13 + 13 = 26 cargaisons

Alors que le soleil se levait sur la steppe du sud de la métropole, zone agricole fournissant de nombreuses ressources alimentaires au pays, un attelage traversait la plaine. On pouvait entendre de loin les roues en bois frottant sur le chemin cahoteux. La caravane aux couleurs blanche et bleu foncé du pays, avec du jaune par-ci par-là, avait pour destination la petite ville de 5 000 habitants d'Agrastad, la plus productive du pays en termes de production de céréales. Ameshoff avait rendez-vous devant le peuple paysan, délaissé par l'ancien gouvernement :

Steppe bruméenne:

Ameshoff : C'est une immense émotion qui remplit mon coeur en voyant devant moi la ville paysanne d'Agrastad. Au nom du vieux pays, au nom des Brumes, je vous salue de tout mon coeur.
Je vais vous confier un secret que vous ne répéterez pas. Ce soir ici, et tout le long de ma route,
je me trouvais dans une atmosphère du même genre que celle de la Révolution. Outre cela, j'ai constaté quel immense effort de travail, d'efficacité, et par conséquent de productivité vous accomplissez ici et c'est à Agrastad qu'il faut que je le dise, parce que, s'il y a au monde une ville exemplaire par ses réussites, c'est la vôtre. Je dis c'est la vôtre et je me permets d'ajouter c'est la nôtre.
Si vous saviez quelle confiance les Brumes, réveillées après d'immenses épreuves, portent vers vous, si vous saviez quelle affection elles recommencent à ressentir pour les paysans du pays et si vous saviez à quel point elles se sentent obligées à concourir à votre marche en avant, à votre progrès ! C'est pourquoi nous avons décidé d'aider les paysans ayant perdu leurs terres en leur redistribuant 10% des terres des propriétaires possédant plus de 2 500 hectares. Ces derniers auront cependant 10% de réduction de taxes à vie en échange.
Voilà ce que je suis venu vous dire ce soir en ajoutant que j'emporte de cette réunion inouïe d'Agrastad un souvenir inoubliable. Les Brumes entières savent, voient, entendent, ce qui se passe ici et je puis vous dire qu'elle en vaudra mieux.
Vive Agrastad ! Vive la paysannerie ! Vive la paysannerie libre ! Vive la paysannerie bruméenne, et vive les Brumes !

En blanc les zones de culture (de nombreux champs sont présents dans les zones pétrolifères):

La scène se passe dans une pièce du château Van Meclemburg. Les personnages présents sont le professeur Hermsen, chef du laboratoire de recherche du pays, Jordens, chef des constructions civiles du royaume et un messager chargé de leur expliquer ce qu'ils doivent faire :

Lieu de la rencontre:

Messager : Professeur, le Président a demandé à ce que vous fassiez des expériences sur le pérole afin de trouver un moyen de l'exploiter. Il pense que nous n'avons pas besoin de privilégier le militaire pour l'instant.
Hermsen : Bien
Messager : Quant à vous, monsieur Jordens, vous aurez à mener la construction de routes en terre reliant les villes de la métropole entre elles pendant 2 ans et demie. Le président souhaiterait également la construction d'un complexe industrialo-portuaire à Haaistop et de laboratoires de recherche à Winaartoren et Keizerschild.
Jordens : Nous n'avons que le bois pour le complexe industrialo-portuaire. Je lancerai officiellement un appel pour 6 cargaisons de pierre, 12 de fer et 2 de cuivre d'abord à la Triple-Entente puis aux membres du conseil de l'Aradie. Si nos amis répondent favorablement à notre appel, toutes ces constructions seront finies pour l'an prochain.

Spoiler:

La scène se passe sur une place d'Haaistop, près du port. Le sol de gravier est entouré de maisons en bois dans le style Ijsbreken. La seule entrée est un portique qui passe au centre de la construction d'une habitation. Le lieu est occupé par quelques marchands ambulants mais contre un mur a été construite à la hâte une estrade en bois avec un pupitre. Karel Ameshoff s'y tient, attendant que le flot d'habitants qui commence à investir le lieu se soit installé. En effet, après un défilé dans une rue proche des épéistes embarquant pour la Syldavie, ceux-ci viennent écouter le Président.

Ameshoff : Bruméens, Bruméennes, je sais que vous vous inquiétez pour la démocratie... *Il est interrompu par des insultes d'un homme au premier rang* Mais après tout le système n'est pas bien pire que ce que l'on avait avant : Au lieu de 5 personnes qui se bloquaient mutuellement par leur désaccord et toutes élues à vie, vous n'avez dorénavant qu'une personne qui peut gérer sans contrainte l'exercice de ses fonctions.
Un habitant : Vous allez massacrer les opposants ?
Ameshoff : Non, mais ils attendront les prochaines élections pour tenter de prendre le pouvoir. D'ailleurs, si par opposants vous entendez contre-révolutionnaires, un ami m'a donné un de leurs tracts, qui a apparemment été distribué dans toute la ville. Je lis : Compagnon, toi qui est pour la liberté et la démocratie, rejoins les contre-révolutionnaires : le tyran Ameshoff retirera vos terres, vous dépossèdera de vos richesses et vous réduira ni plus ni moins à l'esclavage. Rebellez-vous avant que le filet ne vous coince. Signé Fidel. Je ne sais absolument pas qui est ce Fidel qui se cache derrière un surnom de résistance, mais je vous assure que jamais je ne me permettrai d'exploiter le peuple. Jamais je ne priverai les Riches de leurs biens. À ceux qui ont perdu leurs terres, je m'engage à rembourser leurs pertes pendant 10 ans. À ceux qui ont peur d'un manque de démocratie, je m'engage à quitter le pouvoir pour une nouvelle Ligue Impériale si d'ici 1885 aucune avancée démocratique n'aura été effectuée. À ceux qui décident toutefois de prendre le dur chemin de l'exil, je les redirige vers la Panhéllénie où ils seront traités de façon tout à fait correcte. Enfin, à ceux qui décident toutefois de prendre les armes contre la République, je me vois dans la nécessité de m'engager à lutter contre eux de tout mon corps et mon esprit afin de préserver le bien et la faible stabilité du pays et de son peuple. Laissez-moi quatre ans, et je vous promets qu'un gouvernement plus démocratique sera créé.
L'habitant qui avait proféré des insultes : C'est bien beau, mais les nobles et les membres de l'ex-Ligue ? Et les États hostiles à la Révolution ?
Ameshoff : Toute personne, pour ou contre le nouveau gouvernement et quelle qu'elle soit, sera passée par la justice si elle venait à assassiner un noble, comme si elle tuait un paysan ou un ouvrier. Quant aux membres de l'ancienne ligue, ils viennent d'être rejugés et sont libres, ils ont cependant interdiction de se mêler de la vie politique du pays. Enfin, je propose aux pays hostiles à la révolution d'envoyer des observateurs dans ces lettres *Il montre une lettre pour chaque pays qui s'est déclaré contre la Révolution ou douteux de sa viabilité, plus une*. Aussi une de ces lettres est adressée à la république d'Autremonde, je lui demande de tenir un sommet à Haaistop afin de régler des différends coloniaux. Sur ce, je vous dis au revoir, et vive les Brumes et les Bruméens !

La scène se passe à Tussenwater, alors que deux navires de commerce, dont un déjà démonté, sont en train d'être désassemblés pour être remontés dans le lac Zeewier afin de pouvoir commercer avec l'Empire Spartanian. Deux contremaîtres discutent.

Spoiler:

Contremaître 1 : À ce rythme là nous aurons fini d'ici trois semaines et les constructions seront finies d'ici l'an prochain. Le Président a eu une bonne idée d'enrôler temporairement des chômeurs comme ouvriers fonctionnaires.
Contremaître 2 : Oui, en tout ce seront 35 000 spars qui auront été dépensés pour 5 cargaisons de pierres syldaves et 70 000 spars pour 1 cargaison de pierre, 12 de fer et 2 de cuivre, toutes spartaniennes, qui seront acheminées par ces deux navires.
Contremaître 1 : En plus la grandeur des Brumes sera renforcée suite au nouveau plan de colonisation...

Nouveau plan colonial:

Mise à jour des ressources

Budget : 354 000 - 105 000 = 249 000 spars
Bois : 1 cargaison
Pétrole : 26 cargaisons

Le Président Ameshoff est dans son bureau, une pièce aménagée plutôt luxueusement depuis l'ère de la Ligue, et qui n'a pas été changée. Son conseiller aux affaires étrangères, Arjen Van Persie, vient le voir.



Van Persie : Monsieur, nous n'avons pas de charbon, notre marine ne peut plus être opérationnelle. Je crains que la sécurité du pays n'en soit lourdement affectée. Vous devriez trouver quelque chose au plus vite. Ah, et l'Empire Spartanian cherche à renforcer ses liens commerciaux avec d'autres pays comme la République d'Etain, selon des marchands revenant de leur pays. En effet, les marchands spartanians ne parlent plus que de ça.
Ameshoff : Vous avez bien dit l'Empire Spartanian ? Je viens d'avoir une idée. Donnez moi cet encrier et ce papier s'il vous plaît. *Van Persie lui donne* Merci, alors, "Cher empereur spartanian, nous sommes au courant que vous avez besoin de navires pour assouvir vitre désir de commercer avec de nombreuses nations. C'est pourquoi nous nous proposons afin de nous charger du transport de vos marchandises, pour la somme de 6 cargaisons de charbon et 5 000 Lacédémions. Nous pensons qu'il s'agit d'une piètre dépense pour vous comparé à ce que cela vous apporterait. Salutations. Président Ameshoff." Voilà, techniquement 3 cargaisons suffiraient, mais on ne sait jamais. Maintenant je vous prie de me laisser, je planche sur la réforme démocratique qui sera mise en place l'an prochain.
Van Persie : Bien, Président. *Il se retire*

Alors que le marché bat son plein, une diligence s'arrête en plein coeur de la place, entre des stands. Le conseiller à la démocratie Stevaal en sortit afin de se tenir debout à la place du cocher.



Stevaal : Bruméens, Bruméennes, je m'adresse à vous aujourd'hui, remplaçant le Président Ameshoff parti pour le sommet du Conseil de l'Aradie. J'ai à vous présenter le nouveau plan militaire et industriel. En effet, nous avons décidé du recrutement de 2 unités d'infanterie de ligne et d'une d'épéistes. Nous avons également en projet de construire un commissariat à Haaistop et une usine de lampes à pétrole ainsi qu'une usine de pièces mécaniques à Geheugenbloed. Le total des ressources nécessaires s'élève à 4 cargaisons de bois, 4 de pierre, 7 de fer, 6 de cuivre, 5 de charbon et 4 de pétrole. Mis à part le pétrole et le bois, nous devrons tout importer. Le commissariat servira à lutter contre le réseau de l'ombre qui sévit dans le pays et les usines fourniront des emplois. De plus, la démocratie arrivera au cours de l'année et la colonisation continue.

Spoiler:

Mise à jour des ressources

Budget : 249 000 spars + 222 000 spars - 21 500 spars - 60 000 spars = 389 500 spars
Bois : 1 + 9 - 4 = 6 cargaisons
Pétrole : 26 + 13 - 4 = 35 cargaisons

Dans le port militaire d'Oorlogpad, le vice-Président Stevaar donne des ordres. Il parle le chef de la construction de navires, l'Amiral Robek

La classe de torpilleurs Fjord:

Stevaar : Monsieur, je viens vous passer commande de 30 torpilleurs de classe Fjord.
Robek : 30 ?!
Stevaar : Oui, les temps sont difficiles et les tensions croissantes, nous nous devons de rajouter ces navires à notre flotte.
Robek : Et les ressources ? Vous avez aussi pensé aux ressources ?
Stevaar : Ne vous inquiétez pas. La Panhéllénie nous offre 4 cargaisons de pierre, 2 de fer et 12 de bois et nous demanderons à nos amis de l'Empire Spartanian 140 000 lacédémions et 11 cargaisons de fer. Ces aides précieuses de nos amis, en plus de permettre la construction de ces navires, nous permettront de terminer nos constructions si on y ajoute les 6 cargaisons de cuivre achetées aux Cités d'Atlantas pour 45 000 spars et les 5 cargaisons de charbon achetées à la Syldavie pour 25 000 spars.
Robek : Dernière question, si je manque de main d'oeuvre, je fais comment ?
Stevaar : Vous mobiliserez des jeunes qui supportent la Révolution, ils seront ravis de servir leur pays. Nous donnons 1 an et 6 mois aux chantiers navals pour construire les 30 torpilleurs. Alors dépêchez-vous.
Robek : Oui, je cours donner les ordres.
Stevaar : Vous enverrez cette lettre pour moi, il s'agit de la demande d'aide à l'Empire Spartanian.

Mise à jour des ressources

Budget : 389 500 - 20 000 + 140 000 - 280 000 = 229 500 spars
Bois : 6 + 12 - 18 = 0 cargaisons
Pétrole : 35 cargaisons

Alors que le marché bat son plein, Ameshoff apparaît seul au milieu de la foule. Il demande à la population de se rassembler pour l'écouter.

Place du marché en temps normal:

Ameshoff : Bruméens, Bruméennes, si je vous parle aujourd'hui, c'est pour vous annoncer le renouveau du pays. La démocratie arrive, compagnons. D'autres personnes sont en train d'annoncer le même discours dans les autres communes de l'État. Le nouveau système démocratique des Brumes sera simple : VOUS élirez vos maires, et vos maires éliront le Sénat. Le Sénat devra, lui, valider les projets du Président, moi en l'occurrence, pour qu'ils soient acceptés. le Président pourra toutefois dissoudre le Sénat, les maires devant alors réélire de nouveaux sénateurs.
Bien, passons au déroulement des premières élections. On vous donnera deux jours pour vous présenter en tant que maire, et 4 pour vous présenter en tant que sénateur. Après ces deux premiers jours, vous en aurez deux autres pour élire votre maire, et celui-ci aura deux jours pour prendre ses fonctions et s'intéresser aux candidats au poste de sénateur. Le dernier jour de la semaine sera l'élection des sénateurs.
Cette vitesse d'exécution est exceptionnelle pour les premières élections. De nouvelles auront lieu tous les sept ans et vous aurez plus de temps pour vous y préparer. Sur ce, je m'en vais. VIVE LES BRUMES ET VIVE LA DÉMOCRATIE !!

Avec les réformes démocratiques, 10 des meilleurs soldats pro-Ameshoff sont temporairement relevés dans un corps à part afin de s'infiltrer en civil dans le réseau antirévolutionnaire qui continue de distribuer des tracts. Le Président a en effet prévu que l'instauration de la démocratie fasse vaciller le "réseau de l'ombre" comme les plus pessimistes l'appellent

Imaginez une grande plaine en hiver. La neige tombe, vous ne voyez que le manteau blanc du général Hiver à perte de vue. Vous regardez vos mains, vos gants sont recouverts de neige. Vous vous retournez pour estimer la distance que vous avez parcourue mais vous ne voyez que la neige qui tombe. Le vent et la poudreuse ont effacé vos traces et la nuit tombe. Vous vous écroulez, transi de froid. Vous voyez une grotte au loin. Vous courez pour la rejoindre mais vous tombez à plusieurs reprises. Finalement vous arrivez en rampant, fatigué et gelé. Vous vous placez en position foetale pour gagner un ou deux degrés et vous ne voyez plus rien. Quand vous entendez des cloches de traîneau carillonner et s'arrêter, vous ouvrez les yeux. La lumière matinale éclaire la plaine et un homme barbu est penché sur vous. Alors qu'il vous place dans son traîneau, vous voulez vous plaindre, mais vous n'en trouvez pas la force. Il vous emmène dans une grande maison où il vous place dans des couvertures pour vous réchauffer. Quand vous vous réveillez, vous allez le saluer et vous vous apercevez qu'il est avec toute une communauté.

Habits typiques des habitants de la toundra:

?? : Merci monsieur, vous m'avez sauvé.
Habitant : De rien, mais appelez moi Joorge. Dites-moi, qu'est-ce que vous faisiez dans la toundra, tout seul. Ce n'est pas très prudent.
?? : Eh bien je suis fonctionnaire et je venais ici, pour vous soumettre une offre pour l'achat de vos bêtes. Nous savons que vous êtes très fiers de vos presque 8 000 rennes, ce qui fait de vous les plus gros éleveurs du pays, et de loin.
Un autre, plus âgé : Nous ne vendons pas de bêtes vivantes !!
Joorge : Veuillez pardonner mon frère Erik, il se laisse emporter. Dites-moi, vous avez bien du courage d'avoir tenté de venir ici à pied. Nous sommes prêts à considérer votre offre, toutefois nous espérons qu'elle ne sera pas trop ridicule. N'est-ce pas ?
Erik, râlant : Nan !
Les autres, après concertation : C'est d'accord.
Le fonctionnaire : 1 000 bêtes pour 5 spars la tête.
Erik : C'est pas énorme.
Joorge : D'un autre côté, cette vente nous économiserait beaucoup de temps et nous permettrait d'améliorer les infrastructures de la ferme. En tant que chef de la ferme, j'accepte votre offre. Mais qu'allez-vous faire de tous ces rennes ?
Le fonctionnaire : Nous voulons donner 20 bêtes à 50 paysans afin de développer l'élevage et la toundra. Ceux-ci, quittant la steppe agricole du Sud, permettraient à d'autres d'augmenter leurs revenus avec un partage équitable de leurs terres entre les voisins, tout en ayant une source de revenus stable grâce à la renniculture.
Joorge : Ce n'est pas une mauvaise idée, mais ce ne sont pas nos oignons. Je vous emmène jusqu'au village le plus proche, vous reviendrez avec l'argent et vous aurez vos bêtes.

Budget : 229 500 - 5 000 = 224 500 spars

Élevage de rennes:

De plus, les laboratoires de recherche du pays ont inventé des canons en bronze de 100 mm pour nos armées et ont commencé à essayer d'inventer une classe de pré-dreadnoughts afin de posséder de plus gros navires pour notre flotte et défendre efficacement nos côtes et nos ports.

Développement du pré-Dreadnought classe Republiek : 1,5/6 points de recherche

Le canon RA-1:

Nouvel hymne bruméen. L'allusion a la religion a été faite sur demande insistante de la majorité paladarienne mais permet à tout croyant de s'y identifier:

Alors que le marché bat son plein à Haaistop, Ameshoff en profite, comme à son habitude, pour prononcer un discours au peuple.

Ameshoff : Bruméens, Bruméennes, je viens à vous aujourd'hui afin de vous présenter les résultats mis à jour des élections dernièrement mises en place. Le peuple bruméen est en majorité avec moi, la plupart des élus me soutenant ainsi que ma politique de colonisation. Afin de fêter l'arrivée de l'opposition dans la politique, avec 3 sénateurs pour le rétablissement de la Ligue, je m'engage à respecter toute opinion politique si elle n'est pas exprimée avec violence ou mépris. Ainsi je demande expressément au "Réseau de l'Ombre" de déposer les armes et de rentrer dans la légalité. Si ses membres le font maintenant, ils ne seront pas passés par la justice.
Un officier menant deux groupes de 5 soldats : Une deux, une deux...
Ameshoff : Citoyens, je vous présente le nouvel uniforme des troupes coloniales et le nouvel uniforme de la Marine des Brumes. Ce sont également sous ces uniformes que partiront nos marins dans l'expédition menée par le Vaanverk, que j'ai décidé de rejoindre pour la gloire et le prestige de la Nation.
*Applaudissements*

De haut en bas : Uniforme colonial puis uniforme de Marine:

Ameshoff : Passons maintenant aux constructions. Nous avons acheté un stock de 10 cargaisons de pierre à la Panhéllénie pour 60 000 spars, pierres dont une partie sera utilisée cette année pour la construction de fortifications lourdes côtières à Handelkanaal. Depuis le début de l'année les ouvriers travaillent d'arrache-pied sur ces défenses qui protégeront nos ports. de plus je dois vous annoncer que 3 batteries de canons RA-1 ont été commandées pour cette année, alors que 20 de nos 30 nouveaux torpilleurs sont déjà sortis des chantiers navals. Je continue en ajoutant que 20 000 spars seront envoyés à chacun des membres de la Triple-Entente et que 40 000 autres spars seront dépensés dans la création de réseaux de routes de terre partout dans le pays pendant deux ans. Nous embaucherons des chômeurs afin d'atteindre cet objectif. Aussi pour votre confort de vie je vous conseille d'acheter des lampes à pétrole pour éclairer vos soirées. Enfin, je sais que le sport que vous appelez volleyball devient depuis peu populaire dans la capitale. *Il sort une balle et la donne à un enfant* Tiens je te l'offre. *Il se retire*

Mise à jour des ressources

Budget : 224 500 + 223 000 - 200 000 = 247 500 spars
Bois : 0 + 9 - 9 = 0 cargaisons
Pétrole : 35 + 15 = 50 cargaisons
Pierre : 10 - 3 = 7 cargaisons
Développement du pré-dreadnought classe Republiek : 3,25/6 points de recherche

Le Président Ameshoff, occupé à régler les affaires coloniales, adresse un discours à son peuple dans l'habituelle place du marché d'Haaistop

Ameshoff : Peuple bruméen, je n'ai pas encore pu vous parler depuis le début de cette année 1884. J'espère que vous continuez à me soutenir. Je peux d'ores et déjà vous annoncer que la métropole est protégée par les fortifications côtières d'Handelkanaal. La colonisation continue, et la dette coloniale, impayée l'année dernière, sera payée avec 5 000 spars d'intérêts en plus des dépenses de cette année, portant à 115 000 spars la dépense coloniale cette année (70 000 + 5 000 + 40 000). Un port de pêche est en cours de construction à Adelaartoren et couvrira le bassin du Welvarend, tandis qu'un complexe industrialo-portuaire est quasi fini à Tussenwater et permettra le commerce fluvial avec l'Empire Spartan et la Triple-Entente, à qui nous donnerons à nouveau 40 000 spars, 20 000 pour chaque membre.
Un citoyen : Mais à ce qu'il paraît des certains Maghars se sont installés sur le fleuve et refuseraient de laisser passer les navires de commerce.
Ameshoff : Oui, et c'est pourquoi je demande un conseil d'urgence de la Triple-Entente à Panathéna dans les plus brefs délais. Quant à la piraterie, 35 de nos 45 torpilleurs escorteront les navires marchands de nos colonies et ceux qui partent à l'étranger afin de les protéger. D'ailleurs, en parlant de commerce, nous avons acheté 12 cargaisons de fer à la Panhéllénie pour 60 000 spars, ce qui a assuré les ressources nécessaires à nos constructions.
Un autre citoyen : L'industrie fonctionne ?
Ameshoff : Oui, très bien même, nos pièces mécaniques se vendent aux artisans du pays et beaucoup de Bruméens achètent des lampes à pétrole. J'oubliais de l'annoncer : pendant toute l'année 1885, une exposition coloniale sera présentée à Haaistop et j'y invite les chefs d'États qui le voudront à venir me rencontrer dans le cadre de cette exposition, qui coûtera 50 000 spars.

Mise à jour des ressources :

Budget : 247 500 + 223 000 - 20 000 - 50 000 - 60 000 - 115 000 = 225 500 spars
Bois : 0 + 9 - 9 = 0 cargaisons
Pétrole : 50 + 19 = 69 cargaisons
Pierre : 7 cargaisons
Fer : 0 + 12 - 12 = 0 cargaisons
Développement du pré-dreadnought classe Republiek : 5/6 points de recherche

Le Président Ameshoff s'est rendu à Handelkanaal afin de prendre connaissance des dégâts causés par les pirates. Après avoir constaté les dégâts, il s'adresse à la population du comptoir.

Ameshoff : Bruméens, d'odieux pirates vous ont attaqué. Ils n'attaquent pas que les Brumes, ils attaquent son peuple. Son peuple valeureux qui a su les repousser. Mon aide n'aura été qu'un oputil pour vous rendre la tâche plus facile. Je vous remercie, habitants d'Handelkanaal, pour votre courage et votre loyauté à la nation. Les morts seront enterrés avec les honneurs et tous ceux qui auront défendus la ville se verront décorés d'une nouvelle décoration militaire, la Médaille de Défense du Canal. Soyez-en sûrs, l'État paiera les réparations de notre glorieux canal (10 000 spars).

Médaille de Défense du Canal:

J'annonce également que les dix derniers torpilleurs à avoir été construits dans notre nation, qui mouillent actuellement dans le bassin du Welvarend, ont des problèmes de fabrication au niveau du moteur, ils resteront donc 6 mois en réparation. Les 7 autres escadres (35 bâtiments), qui avaient jusqu'à présent la charge d'escorter les navires marchands, seront réorganisées : 2 protégeront Handelkanaal, 2 autres protégeront Latijnvoet et les 3 autres continueront d'escorter les convois.

Mise à jour des ressources

Budget : 225 500 + 223 000 - 10 000 - 40 000 (aides à la Triple-Entente) - 2100 (pillages pirates) = 396 400 spars
Bois : 0 + 11 = 11 cargaisons
Pétrole : 69 + 21 = 90 cargaisons
Pierre : 7 cargaisons
Développement du pré-dreadnought classe Republiek : 6/6 points de recherche
Canöe de débarquement : 0,75/10

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Pavillon des Coribes:

À Haaistop, l'exposition coloniale bat son plein depuis le début de l'année. Les gens se bousculent pour voir l'art colonial, l'art "sauvage" comme certains l'appellent. Ameshoff étant absolument contre le racisme envers les indigènes, il a interdit d'utiliser le mot sauvage pour désigner les indigènes venus présenter leur culture. La plus grande prouesse de l'exposition se trouve devant le pavillon des Coribes (îles à l'ouest de Narrow). Sur demande présidentielle, un bassin a été aménagé afin d'accueillir un groupe de 5 phoques coribéens, nouvelle espèce découverte par les colons et qui semble avoir une place importante dans la culture indigène. Ameshoff a fait lancer des études afin de savoir combien d'animaux les colons pouvaient tuer afin d'assurer la survie de l'espèce. Le Président est en effet tombé amoureux de ces animaux.

Phoque coribéen:

Ameshoff a d'ailleurs invité l'Imperator du Danaheim à venir le rencontrer à Haaistop pendant l'Exposition Coloniale. Il a avancé qu'il devenait urgent pour les Brumes d'ouvrir le dialogue avec un membre du Pacte de Fer

Vision d'artiste de la construction du canal:

Tussenwater est depuis le début de l'année marquée par de nombreux travaux, ce qui provoque de nombreuses interrogations au sein des habitants de la ville. Des rumeurs ont même annoncé qu'Ameshoff construisait un monument à sa gloire. Ce dernier a décidé d'aller rassurer la population.

Ameshoff : Habitants de Tussenwater, l'ouvrage qui se construit près de vos maisons n'est nullement un édifice militaire, et encore moins un monument à ma gloire, comme ont pu le dire quelques plaisantins. Visiblement le directeur des travaux, le sénateur Lothwall, ne vous a pas prévenu. Je vous annonce donc que j'inaugure le canal de Tussenwater ! *l'eau arrive* Le lac Zeewier est dorénavant relié au canal du Welvarend par ce canal. L'année prochaine finiront les constructions d'une caserne et d'une écurie à Keizerschild alors qu'une usine d'engrais à Geheugenbloed sera finie à la fin de l'année. L'incident des soldes impayées pour les marins des torpilleurs en réparation n'est plus d'actualité puisque les navires sont réparés, mais il a été décidé que si pareille situation venait à se reproduire, les soldats concernés seraient envoyés en formation. À ce sujet, deux régiments ont été recrutés en début d'année et envoyés en république d'Etain afin d'être formés à l'art de la cavalerie, pour un coût de 5 000 spars.

Futurs uniformes de cavalerie:

Le Président Ameshoff a également confirmé sa présence au mariage de l'Imperator Eola Ière du Danaheim et à l'Exposition Universelle panhéllène où la République Nordique des Brumes aimerait obtenir un stand dédiée aux présentations de ses ressortissants.

Nouveau plan colonial:

Mise à jour des ressources

Budget : 302 400 + 223 000 - 5 000 - 6 000 - 60 000 - 40 000 = 514 400 spars
Bois : 20 cargaisons
Pétrole : 111 cargaisons
Pierre : 2 cargaisons
Canöe de débarquement : 2,5/10 points de recherche

Mise à jour des ressources (avant le post) :

Budget : 364 000 spars
Bois : 0 cargaisons
Pétrole : 111 cargaisons
Canöe de débarquement : 2,5/10 points de recherche

Drapeau de la marine bruméenne

Le Président Ameshoff étant au Danaheim et la Vice-Présidente au Sommet du Conseil de l'Aradie, c'est le Grand Amiral de la Flotte Francis Harfag qui annonça au peuple ce qui s'est passé durant cette année :

Harfag : Citoyens, citoyennes, cette année fut une année où l'État n'a pas fait construire grand chose. Nous avons cependant eu les résultats de l'expédition vaanverker à laquelle nous avons participé est un succès. Notamment au niveau scientifique, puisque de nombreuses espèces ont été découverte, mais une seule rejoint notre zoo : l'oiseau-espion, appelé ainsi puisque pendant le voyage retour les marins se sont aperçus qu'il passe d'une couleur blanche en hiver à une couleur brune en été, lui permettant de se camoufler. Ainsi nous envoyons une nouvelle expédition scientifique dans la base du Vaanverk, avec leur accord, afin d'étudier la faune locale pendant l'année 1888. Nous offrons 5 000 spars au Vaanverk pour les remercier de nous offrir l'autorisation d'utiliser les infrastructures construites lors de la première expédition.


Oiseau-espion

Ensuite, la République Nordique des Brumes a dépensé 50 000 spars dans la rénovation de Geheugenbloed, notre ville industrielle. La digue a été rénovée, de nouveaux terrains ont été reliés par des routes de terre et un complexe industrialo-portuaire finira sa construction l'année prochaine (si nous trouvons quelqu'un pour nous vendre 8 cargaisons de fer) pour faciliter l'exportation depuis la ville en elle-même, tout comme la caserne et l'écurie de Keizerschild, dont la construction a commencé l'année dernière. Nous espérons que les travaux d'aménagement de Geheugenbloed permettront d'attirer les capitalistes (évent de l'administration demandé si c'est le cas).


Usine bruméenne

Mise à jour des ressources

Budget : 364 000 + 223 000 - 50 000 - 90 000 = 447 000 spars
Bois : 13 - 6 = 7 cargaisons
Pétrole : 132 cargaisons
Canöe de débarquement : 4,25/10 points de recherche

Narrow, le soir s'installe progressivement alors que chez les colons une seule lampe à pétrole brille encore à travers la fenêtre. Un homme penché sur son bureau écrit à sa soeur :

Ma chère Katrin, cela fait déjà plusieurs mois que je suis à Narrow, et je ne trouve que maintenant le temps de t'écrire. Les indigènes des lieux se sont montrés dangereux : en effet ils se sont approchés très près des enfants, voire même des adultes pour les observer. Heureusement qu'ils n'ont pas l'air de savoir se servir d'un fusil. Depuis peu le gouvernement nous a entendu et c'est un régiment d'épéistes et un régiment d'infanterie qui se relaient à tour de rôle : un protège les colons via des tranchées creusées par eux dès leur arrivée et l'autre régiment s'entraîne dans la forêt. D'ici six mois il semblerait que les deux régiments soient entraînés et protègent ensemble la zone.

Maison de colon, le style de la métropole semble bien s'adapter à la colonisation

Le meneur de la colonisation, Adolphe Insydi, a fait envoyer des émissaires tenter de dialoguer en Commun avec les indigènes, qui semblent bien organisés pour les tribus décrites dans les manuels de géographie des enfants. Nous redoutons que la seule chose qui reviennent de ces émissaires soit une tête empalée sur un pic devant le village. La dernière chose que je te demanderai c'est d'user de tes connaissances dans les fermes pour nous faire arriver des graines de blé, les plantes ici sont bizarres et nous ne savons pas si elles sont comestibles. Elles se présente en de multiples grains accrochés à un épi et semble se cultiver plus ou moins comme le blé*.

Passe le bonjour à mes neveux de ma part, tu seras gentille.
*Du maïs pour ceux qui n'ont pas reconnu

Plan colonial:

 Les entreprises citées dans ce post sont privées et donc ne rapportent rien à l'Etat, il s'agit d'un post purement RP

Les Brumes ont un vaste passé commercial derrière eux, ce qui leur a permis de se renseigner et à ses marchands de voyager partout dans le monde, et donc de commercer avec les indigènes. La Guilde Marchande du Welvarend, organisme privé, s'est spécialisée dans ce type de commerce qui est en déclin depuis que de nombreux marchands usent de navires pour commercer dans les colonies et à l'étranger. C'est donc contre toute attente que le nouveau livre du meneur de cette guilde, le sieur Gyarados, originaire des Cités Libres, a fait un carton. Peuples et cultures du Welvarend et de Basse-Rosta est un réel succès. On envisagerait même de le traduire en syldave et en panhéllène pour le vendre dans ces pays.

Cartes des cultures de la région du Welvarend

Basse-Rosta

Bercrombys (culture écossaise/rose foncé) : Les Bercrombys sont un peuple paladarien pour une écrasante majorité. Ils accordent une grosse importance à leur clan et vivent pour la plupart de l'élevage, notamment des moutons. Hormis les marchands, ils ne voient pas d'un bon oeil les personnes d'une autre culture. Les clans Bercrombiens sont en lutte permanente, ce qui empêche pour le moment les unionistes de mettre en place leurs idées comme quoi la Bercrombie doit être unie et ne former qu'un seul état.

Welvarend

Vlaroots (culture néerlandaise/violet) : La culture Vlaroot n'est pas très différente de la culture bruméenne. À noter que les Vlaroots de l'ouest sont plus hostiles aux Brumes que ceux de l'est qui les voient comme des frères (ceux de l'ouest se rapprochent de la culture flamande).

Valaskis (culture polonaise/bleu-vert) : Les Valaskis sont des bénédictains parmi les plus religieux. Ils vivent refermés du monde extérieur, n'acceptant de l'étranger que des marchands apportant des ressources nécessaires à leur pérennité.

Voïrves (rouge), Kosjevs (vert) et Soïovs (rose clair) (tous de culture slave) : Ces trois peuples sont solidaires et ouverts à l'extérieur, leur seule différence réside dans les différents religieux : À l'origine tous les Selaves étaient soudés, mais la Soïovie s'est séparée des autres quand elle a décidée de rester bénédictine. La rupture eut lieu plus tard, quand les Kosjevs se sont convertis à l'Islam et que les Voïrves ont conservé le paladarianisme. Les Selaves sont donc divisés en trois grandes régions : la Voïrvie, le Kosjevo et la Soïovie.

Kisprosiens (noir/culture bulgare) : La Kisprosie est une région frontalière des Brumes qui abrite un peuple paladarien habitué à vivre dans les contrées nordiques. Après les Votarlandais, ce sont sans doute eux qui se rapprochent le plus des barbares qui ont envahi la zone il y a de nombreuses années.

Votarlandais (bleu/culture mongole) : Le Votarland, à l'instar de la Soïovie, est une grande région toutefois peu peuplée, étant en grande majorité recouverte par la toundra. Ses habitants sont en majorité polythéistes (culte païen).

Marchand de la GMW

La République nordique des Brumes à dressé la liste des accomplissements de cette année :

-Construction de deux complexes de recherche à Haaistop et Geheugenbloed, d'une aciérie et d'une usine d'armement léger à Geheugenbloed ainsi que d'un port militaire à Haaistop
-Fin de la construction du complexe industrialo-portuaire de Geheugenbloed
-Fin de la mise en place du projet Malta
-Réception d'un don de 25 cargaisons de fer, 16 de pierre et 3 de charbon de la part de l'Empire Spartanian (les navires de commerce mobilisés pour l'acheminement ont été escortés par 3 torpilleurs pour traverser la partie du fleuve appartenant aux Maghars en sécurité)
-Réception d'une commande de 17 cargaisons de cuivre et 15 de métaux précieux passée à Ecnef pour 80 000 spars
-Continuation du plan colonial
- En prévision d'une possible guerre contre les Maghars, construction de tranchées sur les frontières sud et ouest du pays et mobilisation de toute l'armée de terre dans la zone, sauf les deux régiments de Narrow. Recrutement de 3 unités de lanciers pour lutter efficacement contre la cavalerie ennemie. Des affiches de propagandes anti-maghars sont placardées dans tout le pays

Mise à jour des ressources

Budget : 244 000 spars
Bois : 16 cargaisons
Pétrole : 153 cargaisons
Cuivre : 8 cargaisons
Métaux rares : 15 cargaisons
Canöe de débarquement : 5/10 points de recherche
Points de recherche : 1 point

Lettre aux Voïrdes

Chers frères paladariens, nos plans de colonisation englobent un territoire que vous peuplez : je vous demande de nous laisser prendre cette contrée et je vais même plus loin en vous demandant si les Voïrdes des trois autres contrées frontalières à Handelkanaal voulaient rejoindre les Brumes en échange de la prospérité et d'une protection contre les Kosjevs voisins.

Lettre aux Maghars

Comme vous avez pu le constater, nos navires ont traversé la partie du fleuve sous votre contrôle. Nous sommes prêts à la guerre si vous interprétez cela comme sa déclaration.