[Terminé]Expédition militaire au Mexique. (Empire Britannique + Royaume d'Espagne + Second Empire français)[Changement de pays d'Aetius]

Expédition britannique au Mexique.

Casus belli : Non-remboursement des dettes faramineuses du Mexique envers l’Empire Britannique et le Royaume d’Espagne. (HS : Je prends le contrôle des Forces Espagnoles qui sont intervenues IRL, l’Espagne n’étant pas jouée).


Forces en présence pour les Légions britannique et espagnole : 3000 Britanniques et 4000 soldats espagnols.


A l’aube d’un doux matin de Juin, une escadre britannique provenant des Antilles ainsi qu’une escadre espagnole provenant de Cuba approcha des côtes caribéennes, fondant sur Vera Cruz. Aucun bâtiment de guerre mexicain n’est là pour les arrêter. Dans les vaisseaux de transport, les hommes arment leurs fusils pendant que les officiers affutaient les sabres. Deux heures plus tard, environ, la Royal Navy et l’Armada Espagnole ouvrirent le feu d’enfer sur la ville, bombardant pendant plus de 5 minutes les mexicains qui croulaient sous les boulets des artilleries européennes. Le temps n’avait que trop duré pour l’Empire Britannique et le Royaume d’Espagne. Le Mexique se fichait éperdument des dettes faramineuses qu’il avait contractées envers nous, préférant connaître cinq gouvernements successifs sur 40 ans, toujours dans un bain de sang. Désormais, le Mexique doit payer. Ainsi, quelques heures après le bombardement, les 7000 hommes prennent pied dans la ville, sans n’y trouver aucune résistance. Désormais, la ville est sous étendard hispano-britannique et le restera jusqu’à ce que le Mexique rembourse les dettes. Dans l’immédiat, Londres réclame 70 000 livres et Madrid 20 000, ainsi que la promesse de rembourser le reste sous 5 ans. Si les troupes européennes sont attaquées par les mexicains, ce qui est fort peu probable, les deux Royaumes prendront une quelconque offensive comme une déclaration de guerre totale et marcheront sur Mexico jusqu’à l’exécution de Bénito Juarez. Le Mexique n’a que peu de temps pour négocier, qu’il le fasse vite. Le Corps expéditionnaire britannique est composé de 2000 fantassins et d’un bataillon de 1000 gardes tandis que les espagnols possèdent 3000 fantassins et 1000 gardes. L’Armée britannique va également déployer 20 pièces d’artillerie dans la semaine qui suit.

Intervention Française au Mexique

Casus-belli : non-remboursement de la dette, au profit d‘un recrutement massif de soldats.



Forces françaises en présence :


Armée Impériale :


Commandant : Sa Grandeur le Comte Général Charles de Lorencez

Spoiler:

Marine Impériale :


Commandant : Edmond Jurien de La Gravière

Spoiler:

Alors que Vera Cruz est attaquée par une force anglo-espagnole, une flottille de combat française part elle des Antilles, emportant un contingent, pour la même raison que l’allié Britannique et le voisin espagnol : le remboursement de la dette mexicaine. L’État-major français a lui-même planifié son offensive : l’assaut sera donné depuis la ville portuaire de Tampico, cité portuaire de taille moyenne mais qui servira de tête de pont pour lancer une offensive générale sur les États-Unis du Mexique, si nécessaire. Mais Paris ne veut pas s’enliser dans un conflit, uniquement faire pression sur le gouvernement mexicain afin d’obtenir un premier remboursement de la colossale dette qu’à le Mexique depuis des années déjà, et qui vient de stopper le remboursement au profit d’un massif recrutement.

La flotte de guerre s’approche à l’aube du port, qui est pris pour cible par les batteries des premiers et deuxième pont du Napoléon et du Bretagne. Le Mexique n’ayant aucun navire de combat, il est impossible pour lui de couler le moindre navire français. Après plus d’une demi-heure d’un intensif pilonnage, et la destruction d’une bonne partie du port et des navires à l’intérieur, les steamers débarquent 800 fusiliers-marins et le régiment de marche, soutenus par les canons des bateaux, alors que l’artillerie française ne tardera pas à descendre elle aussi pour prendre place. Les Mexicains ne s’attendaient certainement pas à être attaqué ici, et d’aussitôt, alors que Paris n’a donné aucun signe d’une éventuelle intervention. Mais, en tout cas, les 9’800 expédiés français ont pris possession de la ville, sans tellement de résistance, et attendent patiemment les nouveaux ordres : si Mexico ne verse pas immédiatement 50’000 £ à la France, l’intervention continuera. Si c’est le cas les troupes se replieront. Quoi qu’il en soit, on s’attend à une potentielle contre-offensive, et les troupes se mettent en position de défense, tout en gardant un œil sur la population de la ville, évaluée à une trentaine de milliers d’âmes.