Commonwealth of Nations
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Commonwealth of Nations
Type : Organisation intergouvernementale
Siège : Marlborough House, Londres
Langue : Anglais
Chef du Commonwealth : Élisabeth II
Secrétaire générale : Poste inexistant
Président en exercice : Poste inexistant
Participants
Politique
La réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth a lieu tous les deux ans ; à cette occasion, les participants discutent des grandes questions politiques, économiques et sociales, de leur incidence sur leurs pays respectifs et des mesures à adopter, au sein du Commonwealth ou conjointement dans d'autres organes internationaux. Avant 1971, toutes les réunions se tenaient à Londres.
Objectifs
Le Commonwealth fait la promotion d'une série de valeurs communes à ses membres telles que l'égalité, la non-discrimination, la démocratie et la primauté du droit. La Commonwealth Human Rights Initiative est chargée d'en promouvoir les objectifs. Au cours du temps, il s'est spécialisé dans certains domaines, ce qui lui a permis d'aider directement ses membres à faire face à des problèmes communs ou particuliers. En effet, ceux-ci bénéficient de l'appui d'un vaste réseau d'organismes privés, bénévoles et professionnels, comprenant entre autres des associations juridiques, médicales, d'universités et de parlementaires, des professionnels et des organisations médiatiques et sportives. Partageant une langue de travail commune et des systèmes juridiques, d’administration publiques et d’éducation semblables, le Commonwealth s’est érigé sur un passé commun pour devenir une association dynamique d’États en harmonie avec le monde moderne.
Siège : Marlborough House, Londres
Langue : Anglais
Chef du Commonwealth : Élisabeth II
Secrétaire générale : Poste inexistant
Président en exercice : Poste inexistant
Participants
Politique
La réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth a lieu tous les deux ans ; à cette occasion, les participants discutent des grandes questions politiques, économiques et sociales, de leur incidence sur leurs pays respectifs et des mesures à adopter, au sein du Commonwealth ou conjointement dans d'autres organes internationaux. Avant 1971, toutes les réunions se tenaient à Londres.
Objectifs
Le Commonwealth fait la promotion d'une série de valeurs communes à ses membres telles que l'égalité, la non-discrimination, la démocratie et la primauté du droit. La Commonwealth Human Rights Initiative est chargée d'en promouvoir les objectifs. Au cours du temps, il s'est spécialisé dans certains domaines, ce qui lui a permis d'aider directement ses membres à faire face à des problèmes communs ou particuliers. En effet, ceux-ci bénéficient de l'appui d'un vaste réseau d'organismes privés, bénévoles et professionnels, comprenant entre autres des associations juridiques, médicales, d'universités et de parlementaires, des professionnels et des organisations médiatiques et sportives. Partageant une langue de travail commune et des systèmes juridiques, d’administration publiques et d’éducation semblables, le Commonwealth s’est érigé sur un passé commun pour devenir une association dynamique d’États en harmonie avec le monde moderne.
GeorgeV- Grand Consul
- Messages : 2658
Date d'inscription : 30/09/2011
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Re: Commonwealth of Nations
1961 Commonwealth Prime Ministers' Conference
A la demande du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, la conférence du Commonwealth de 1961 s’ouvre en début d’année à Londres. Le Commonwealth est une grande organisation internationale qui évolue à chaque année alors que l’indépendance des nations coloniales devient désormais légion. Le monde est plutôt différent de ce qu'il était il y a 20 ans seulement, et c'est pourquoi nous devons rappeler le besoin d'unité et de collaboration.
Il existe un énorme potentiel commercial au sein de l'association en raison de la langue commune, des systèmes juridiques et des institutions. Le Royaume-Uni souhaite proposé aux pays membres un développement de l’organisation afin d’y inclure la mise en place d’un marché libre. Il s’agirait d’une fondation en plusieurs phase, la première incluant le Royaume-Uni et les premiers Dominion – c’est-à-dire le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud. Le Commonwealth Common Market permettrait un développement harmonieux des activités économiques, une expansion continue et équilibrée, un accroissement de la stabilité, une élévation accélérée du niveau de vie et des relations plus étroites entre les États qui en font partie. Afin de régler de possibles litiges au sein d’un Commonwealth qui change peu à peu d’orientation, le Royaume-Uni recommande la création d’une nouvelle entité, le Commonwealth Secretariat Board of Governors. Chaque gouvernement des Dominions faisant partie du marché commun y nommerait un haut-fonctionnaire – gouverneur - qui aurait tous le même pouvoir consultatif auprès du secrétaire général du Commonwealth. Le secrétaire général du Commonwealth serait un poste rotatif avec un mandat de 2 ans, nommé par le gouvernement du pays auquel le secrétariat général incombe et accepter par le suite par le conseil des gouverneurs. Nous proposons que nous (le Royaume-Uni) obtenons le premier le poste de secrétaire général et que la rotation s’effectue selon la date d’entrée dans le Commonwealth. Ainsi ,le Canada serait le prochain pays a assumé le secrétariat général, ensuite l’Australie et ainsi de suite.
Le Royaume-Uni propose aussi la création d’un fond d’aide au développement commun, le Commonwealth Fund for Technical Co-operation, duquel participerait les pays les plus développés de l’organisation afin de donner une aide économique et technique aux pays du Commonwealth plus démunies. Gérer par le Commonwealth, cette aide serait importante pour les nouvelles nations décoloniser du Commonwealth et permettrait de soutenir les gouvernements de ces nations et bien entendu la démocratie. Londres s’engage à remettre l’entièreté de son aide étrangère à ce nouveau fond commun. Le Commonwealth est affecté par les défis externes et a également la possibilité d'influencer le monde entier. Ses valeurs de démocratie, de développement et la diversité unissent ses membres et fournissent un terrain d'entente pour aider l'un l'autre. Nous continuerons à utiliser notre soft power pour influencer l'extérieur et émerger comme une force mondiale pour le bien commun. Ainsi le Commonwealth aurait les moyens nécessaire de soutenir les efforts des pays membres en développement afin d'accélérer le rythme de leur croissance économique. Il fournirait, à court terme, les compétences techniques manquantes ou insuffisantes afin de permettre aux gouvernements concernés dans des domaines aussi divers que les exportations et la promotion industrielle, les services juridiques et économiques de haut niveau, et, à plus long terme, il assure tout un éventail de programmes de formation dans les secteurs considérés comme les piliers du développement économique.
A la demande du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, la conférence du Commonwealth de 1961 s’ouvre en début d’année à Londres. Le Commonwealth est une grande organisation internationale qui évolue à chaque année alors que l’indépendance des nations coloniales devient désormais légion. Le monde est plutôt différent de ce qu'il était il y a 20 ans seulement, et c'est pourquoi nous devons rappeler le besoin d'unité et de collaboration.
Il existe un énorme potentiel commercial au sein de l'association en raison de la langue commune, des systèmes juridiques et des institutions. Le Royaume-Uni souhaite proposé aux pays membres un développement de l’organisation afin d’y inclure la mise en place d’un marché libre. Il s’agirait d’une fondation en plusieurs phase, la première incluant le Royaume-Uni et les premiers Dominion – c’est-à-dire le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud. Le Commonwealth Common Market permettrait un développement harmonieux des activités économiques, une expansion continue et équilibrée, un accroissement de la stabilité, une élévation accélérée du niveau de vie et des relations plus étroites entre les États qui en font partie. Afin de régler de possibles litiges au sein d’un Commonwealth qui change peu à peu d’orientation, le Royaume-Uni recommande la création d’une nouvelle entité, le Commonwealth Secretariat Board of Governors. Chaque gouvernement des Dominions faisant partie du marché commun y nommerait un haut-fonctionnaire – gouverneur - qui aurait tous le même pouvoir consultatif auprès du secrétaire général du Commonwealth. Le secrétaire général du Commonwealth serait un poste rotatif avec un mandat de 2 ans, nommé par le gouvernement du pays auquel le secrétariat général incombe et accepter par le suite par le conseil des gouverneurs. Nous proposons que nous (le Royaume-Uni) obtenons le premier le poste de secrétaire général et que la rotation s’effectue selon la date d’entrée dans le Commonwealth. Ainsi ,le Canada serait le prochain pays a assumé le secrétariat général, ensuite l’Australie et ainsi de suite.
Le Royaume-Uni propose aussi la création d’un fond d’aide au développement commun, le Commonwealth Fund for Technical Co-operation, duquel participerait les pays les plus développés de l’organisation afin de donner une aide économique et technique aux pays du Commonwealth plus démunies. Gérer par le Commonwealth, cette aide serait importante pour les nouvelles nations décoloniser du Commonwealth et permettrait de soutenir les gouvernements de ces nations et bien entendu la démocratie. Londres s’engage à remettre l’entièreté de son aide étrangère à ce nouveau fond commun. Le Commonwealth est affecté par les défis externes et a également la possibilité d'influencer le monde entier. Ses valeurs de démocratie, de développement et la diversité unissent ses membres et fournissent un terrain d'entente pour aider l'un l'autre. Nous continuerons à utiliser notre soft power pour influencer l'extérieur et émerger comme une force mondiale pour le bien commun. Ainsi le Commonwealth aurait les moyens nécessaire de soutenir les efforts des pays membres en développement afin d'accélérer le rythme de leur croissance économique. Il fournirait, à court terme, les compétences techniques manquantes ou insuffisantes afin de permettre aux gouvernements concernés dans des domaines aussi divers que les exportations et la promotion industrielle, les services juridiques et économiques de haut niveau, et, à plus long terme, il assure tout un éventail de programmes de formation dans les secteurs considérés comme les piliers du développement économique.
GeorgeV- Grand Consul
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Re: Commonwealth of Nations
1961 Commonwealth Prime Ministers' Conference
Alors que les propositions britannique ont longuement été débattu par les chefs d’États du Commonwealth, l’adhésion de la République de Chypre ainsi que du Dominion du Sierra Leone ont été accepté et ont donc pu rejoindre les discutions.
Premièrement, la proposition du Commonwealth Common Market (CCM) tombe à point pour plusieurs États membres qui s’inquiétait que le Royaume-Uni rejoigne la communauté économique européenne. Cette situation aurait été fâcheuse pour les Dominions qui commerce encore beaucoup avec le Royaume-Uni et ses colonies. Le gouvernement britannique, par cette proposition, renouvelle son engagement envers le Commonwealth et donne un réel sens à l’organisation qui deviendra le deuxième espace de libre-échange du monde, après l’Europe bien entendu. Toutefois, il était clair pour les délégations des anciens Dominion, particulièrement canadienne, que l’inclusion de l’Afrique du Sud dans ce marché commun était totalement inacceptable. La quasi-totalité des délégations présente, a l’exception de celle de la fédération de Rhodésie et du Nyassaland, se sont rejoint dans une déclaration commune proposé par le premier ministre canadien John Diefenbaker condamnant fermement l’apartheid en Afrique du Sud. La délégation sud-africaine décida de quitter la conférence par la suite et ainsi l’Afrique du Sud est suspendu du Commonwealth of Nations jusqu’à ce que le Dominion rejoigne la déclaration conjointe. Le CCM est donc crée avec comme participant le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Les colonies et protectorats du Royaume-Uni demandant leur indépendance devront demander de rejoindre le CCM dans le futur et leur adhésion n'est pas garantie. Un processus d’application pour le CCM est aussi créé, permettant aux autres nations membre de demander leur adhésion dans le CCM.
La création du Commonwealth Secretariat Board of Governors (CSBG) avec le Royaume-Uni, Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande pouvant nommé un gouverneur au conseil. Toutes les nations membre du CCM par la suite pourront nommé un gouverneur au bord. Le gouvernement britannique nomme Sir Harold Caccia, ambassadeur de Sa Majesté aux États-Unis, comme Secrétaire général du Commonwealth créant ainsi la fonction. Un homme respectable et ce dernier aura pour mission principal de travailler avec nos partenaires afin de réguler et de mettre en place un cadre juridique au Commonwealth Common Market et les conditions pour les États membre de le rejoindre.
Le Commonwealth Fund for Technical Co-operation (CFTC) a reçu aussi l’aval des États membres avec un engagement clair du Royaume-Uni et de ses premiers Dominions de mettre à la disposition du fond une bonne partie de leur aide étrangère à court terme. Il s’agit d’un levier économique important que dispose désormais le Commonwealth afin de garder les nations membres décolonisé et aussi les futurs états plus défavorisé de rejoindre le camp de l’Est. Le but étant à moyen et long terme que les États membre reste des amis et alliés du Royaume-Uni qui grâce au CFTC peut continuer d’utiliser son soft power pour influencer l'extérieur et émerger comme une force mondiale pour le bien commun.
Alors que les propositions britannique ont longuement été débattu par les chefs d’États du Commonwealth, l’adhésion de la République de Chypre ainsi que du Dominion du Sierra Leone ont été accepté et ont donc pu rejoindre les discutions.
Premièrement, la proposition du Commonwealth Common Market (CCM) tombe à point pour plusieurs États membres qui s’inquiétait que le Royaume-Uni rejoigne la communauté économique européenne. Cette situation aurait été fâcheuse pour les Dominions qui commerce encore beaucoup avec le Royaume-Uni et ses colonies. Le gouvernement britannique, par cette proposition, renouvelle son engagement envers le Commonwealth et donne un réel sens à l’organisation qui deviendra le deuxième espace de libre-échange du monde, après l’Europe bien entendu. Toutefois, il était clair pour les délégations des anciens Dominion, particulièrement canadienne, que l’inclusion de l’Afrique du Sud dans ce marché commun était totalement inacceptable. La quasi-totalité des délégations présente, a l’exception de celle de la fédération de Rhodésie et du Nyassaland, se sont rejoint dans une déclaration commune proposé par le premier ministre canadien John Diefenbaker condamnant fermement l’apartheid en Afrique du Sud. La délégation sud-africaine décida de quitter la conférence par la suite et ainsi l’Afrique du Sud est suspendu du Commonwealth of Nations jusqu’à ce que le Dominion rejoigne la déclaration conjointe. Le CCM est donc crée avec comme participant le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Les colonies et protectorats du Royaume-Uni demandant leur indépendance devront demander de rejoindre le CCM dans le futur et leur adhésion n'est pas garantie. Un processus d’application pour le CCM est aussi créé, permettant aux autres nations membre de demander leur adhésion dans le CCM.
La création du Commonwealth Secretariat Board of Governors (CSBG) avec le Royaume-Uni, Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande pouvant nommé un gouverneur au conseil. Toutes les nations membre du CCM par la suite pourront nommé un gouverneur au bord. Le gouvernement britannique nomme Sir Harold Caccia, ambassadeur de Sa Majesté aux États-Unis, comme Secrétaire général du Commonwealth créant ainsi la fonction. Un homme respectable et ce dernier aura pour mission principal de travailler avec nos partenaires afin de réguler et de mettre en place un cadre juridique au Commonwealth Common Market et les conditions pour les États membre de le rejoindre.
Le Commonwealth Fund for Technical Co-operation (CFTC) a reçu aussi l’aval des États membres avec un engagement clair du Royaume-Uni et de ses premiers Dominions de mettre à la disposition du fond une bonne partie de leur aide étrangère à court terme. Il s’agit d’un levier économique important que dispose désormais le Commonwealth afin de garder les nations membres décolonisé et aussi les futurs états plus défavorisé de rejoindre le camp de l’Est. Le but étant à moyen et long terme que les États membre reste des amis et alliés du Royaume-Uni qui grâce au CFTC peut continuer d’utiliser son soft power pour influencer l'extérieur et émerger comme une force mondiale pour le bien commun.
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