Manigances du Reich allemand III

La situation en Pologne est critique, avec une répression féroce des germanophone et surtout la disparition progressive des contacts que l’Allemagne entretient avec les Volkdeuscher . Les notables sont en effet emprisonnés voir torturés et exécutés sommairement par le régime polonais, certes aveuglément, mais en tapant de le tas on finit par toucher. L'Allemagne s’étant réarmée et ayant du surplus d'armes, elle se sent confiante pour arrêter de temporiser et réellement agir. Bien sur, Goebbels continue de chialer ouvertement sur le sort des germanophones de Pologne.
En utiliser des derniers contacts que l'Allemagne a, en particulier en dans l'ouest de la Haute Silésie, presque totalement germanophone, Berlin fait savoir que les terroristes ayant posé des bombes ou tiré sur les représentant de l’état polonais ont un chèque en blanc -comme l’Autriche en 14- et que l’État allemand est prêt à violer le traiter de Versailles pour les soutenir: en armes, en explosifs, en "volontaires", en leur fournissant une base arrière, voir même une intervention militaire directe si besoin est (cette dernière option n’étant pas souhaité par le Reich qui préféré une escalade de la violence plus ou moins graduelle). Il faut cependant qu’ils s’organisent (les décombres de réseaux allemands noués clandestinement pouvant servir de base) et qu'ils prévient le Reich de leur demandes, ce pays s'assurera alors de répondre dans les meilleurs délais.

L'Allemagne offre quelque chose que les germanophones ne peuvent refuser. Oui ils s’organiseront, oui ils préviendront le Reich de leurs actions pour pouvoir bénéficier d'un soutient efficace du Reich en materiel, en fonds, en peux-importe.