Réseau européen des universités Baltiques.

RÉPUBLIQUE D'ESTONIE

L'Estonie souhaite lancer un projet de réseau des universités situées sur ou près de la mer Baltique.

Cela aurait pour but de :
1 Faciliter les échanges, et faire une sorte de "Micro Erasmus" moins coûteux, et moins polluant en transport.
2 Permettre à différentes cultures de se lier, alors que l'histoire les a séparées.
3 Faire de la mer Baltique une puissante région maritime.
4 Former une élite politique en faveur de l'Europe, et des peuples qui l'a composent.
5 Permettre aux habitants de la mer Baltique, de pouvoir bénéficier des savoirs importants dans le monde moderne (technologie, langues, gestion, solidarités).
6 Rattraper le retard occidental, sur le monde asiatique.

Pour se faire :
1 Un budget de 100 millions d'euros par an (450 pour Erasmus).
2 Un passeport étudiant permettant de se déplacer partout, sur le territoire de la mer Baltique (Allemagne, Danemark, Suède, Finlande, Estonie, Lituanie, Lettonie, Pologne).
3 La création d'un grand pôle Maritime, situé à Goteborg (seule ville ouverte sur l'Océan Atlantique).
4 Création d'un parlement, composé des recteurs d'universités.
5 Développement de réseaux de transports rapides et écologiques entre les villes concernées par ce projet (20 milliards d'euros (2,5 milliards d'euros par pays).

Les principales villes concernées par ce projet sont :

Pour l'Allemagne

1 Lübeck
2 Rostock
3 Kiel


Pour le Danemark

1 Copenhague
2 Aarhus
3 Odense


Pour la Pologne

1 Gdansk
2 Gdynia
3 Szczecin


Pour la Suède

1 Malmo
2 Goteborg
3 Stockholm


Pour la Finlande

1 Helsinki
2 Turku
3 Oulu


Pour L'Estonie

1 Parnu
2 Tallinn
3 Tartu


Pour la Lettonie

1 Riga
2 Liepaja
3 Dauvgapils


Pour la Lituanie

1 Klaipeda
2 Vilnius
3 Kaunas

Les 8 pays concernés par ce réseau peuvent choisir de voter oui ou non, si le oui l'emporte le réseau se mettra en place, si non le réseau restera dans les cartons.

L'Estonie remercie chaleureusement ses partenaires pour la création de ce réseau.
La phase A de ce plan, consiste à créer des lignes de transport entre chaque pays, et plusieurs grands travaux sont à mettre en place.

Premièrement, le ralliement entre Tallinn et Helsinki (un tunnel ferroviaire de 80 kilomètres, sous la mer Baltique, doit être réalisé à une profondeur d'environ 60 mètres), doit être réalisé. Le coût est estimé à 9 milliards d'euros.

La rénovation, et la création d'un réseau à grande vitesse entre chaque ville, ce qui implique une uniformisation. L'Estonie propose que YIT soit en charge de la construction et de la rénovation des gares, Siemens des trains (ICE), Ericsson de la technologie, Danske Bank des finances, et PKP de l'infrastructure et du réseau ferroviaire. Pour ce qui est des pays Baltes, Apranga
(Lituanie) aura pour charge de confectionner les tenues du personnel, TKM (Estonie) les services commerciaux (épicerie, presse, snack, restauration, service à bord), et Nordeka (Lettonie) les navettes, et services routiers. Nous pensons qu'investir chaque nation dans le projet est une bonne chose.
Coût estimé de la création du réseau 5 milliards d'euros.
L'Estonie ajoute que les 8 états participants au projet devront travailler et investir ensemble, afin de développer les systèmes de transport à hydrogène. L'Estonie pense que son état et ses entreprises nationales, peuvent débourser entre 10 et 15 milliards d'euros (5 à 700 millions d'euros/an) sur 20 ans dans ce projet.

*profondeur d'environ 80 mètres.

Le restant du budget construction, servira à créer 3 ponts pour rallier Aarhus à Odense, Odense à Copenhague, et Copenhague à Malmö.

Les lignes ferroviaires

Ligne 1 (Sud)

Copenhague
Odense
Kiel
Lubeck
Rostock
Szczecin
Gdynia
Kaunas
Klaipeda
Liepaja
Riga
Parnu
Tallinn

Ligne 1a
Aarhus
Kiel

Ligne 1b
Aarhus
Odense


Ligne 2 (est)

Gdansk
Vilnius
Daugavpils
Tartu
Tallinn


Ligne 3 (Nord

Tallinn
Helsinki/Espoo
Turku
Oulu
Stockholm
Göteborg
Malmö  

Ligne 3a
Malmö
Copenhague

Le projet concerne uniquement l'Union Européenne.
Mais une proposition de zone économique spéciale est en train d'être réfléchie, ce projet concerne la Région de Narva et celle de Ivangorod (la Russie sera prévenue officiellement du projet dans les jours qui viennent).
En plus des possibilités économiques et logistiques, un objectif géostratégique, et même intellectuel peut se mettre en place. Cela sera différent du "ENBU", mais pas moins important...

En plus, il ne nous a pas vraiment échappé que la situation entre la Russie et la Pologne n'était pas idéale.
Ah oui ! Il faudra discuter (avec le voisin et ami finlandais) quant à l'organisation des travaux entre Tallinn et Helsinki. Entre le Nord-Stream 2, et le tunnel ferroviaire, il va falloir faire preuve de coordination, s'il on veut éviter les accidents, et autres conflits inutiles et évitables.