Empire du Japon [En attente]
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Empire du Japon [En attente]
Dai Nippon Teikoku - Empire du Japon
- Carte de l'Empire du Japon :
Informations générales
Informations principales
Capitale : Tokyo
Régime politique : Monarchie absolue de droit divin
Langue officielle : Japonais
Population : 39,473,000
Superficie : 377 915 km2
Religion d’Etat : Shintoïsme
Empereur : Meiji Tennō
Contexte historique
La victoire de l’Empereur Meiji lors de la guerre de Boshin entraîne la chute du Shogunat Tokugawa et la restauration de l’effectivité du pouvoir impérial sur le Japon féodal. La fin de la guerre civile, et du conflit clanique qui lui était sous-jacent, ouvre définitivement les portes du pays à la modernisation occidentale tandis que s’éteint l’époque Edo et que se dessillent les balbutiements de l’ère Meiji. Le Japon connaît dès lors une nette évolution sociale et industrielle, avec la modernisation de l’agriculture et de l’armée, la naissance d’importantes entreprises artisanales dans les villes grandissantes, l’apport massif de technologies étrangères et le développement d’un commerce d’importation de produits manufacturés et d’exportation de produits de base. L’éducation devient obligatoire, conduisant sur le long terme à l'apparition d'une population éduquée, et à l’émergence d’une élite bureaucratique avec les réformes successives du pouvoir central.
La culture traditionnelle nippone, bien que fortement ancrée dans les mentalités, souffre de l’intégration d’aspects culturels occidentaux, sans pour autant entraîner totalement sa disparition. Les exemples de cette survie culturelle demeurent nombreux : malgré l’abolition de la féodalité et l’affaiblissement corrélatif de la noblesse, l’aristocratie subsiste et conserve sa place privilégiée dans la société ; dans le domaine des armes, également, on trouve au côté des doctrines militaires modernes les principes moraux du bushido. Sur le plan religieux, l'ère Meiji a consacré le shintoïsme comme religion d'Etat ; les chrétiens, bien que désormais tolérés dans l'Empire, représentent une part marginale de la population et continuent encore à faire l'objet de persécutions.
En pleine restructuration politique et sociétale, sujet à l’influence croissante du capitalisme et à l’occidentalisation, le Japon entend très prochainement se doter d’un régime politique empreint d’un formalisme juridique similaire aux Etats occidentaux et désire de manière affirmée entrer dans le XXème siècle en tant qu'une puissance asiatique moderne et industrialisée. Pour assurer et optimiser son développement intérieur, le Japon s’est ouvert aux puissances étrangères occidentales - d'abord le Portugal, puis la Hollande et désormais les Etats-Unis d'Amérique, le Royaume-Uni et la France -, s'inspirant et sollicitant largement ces dernières, avec lesquelles sa Majesté l’Empereur s’efforce de maintenir d’excellentes relations, veillant à fréquemment recruter des intellectuels et militaires étrangers et à promouvoir l'envoi de ressortissants japonais dans d'autres pays. Les relations diplomatiques avec les autres Etats européennes demeurent limitées, cordiales dirait-on, et sont bien plus tendues avec les puissances asiatiques que sont la Corée et, surtout, la Chine.
Politiquement, l’Empereur, bien décidé à faire entrer son pays dans la modernité et à annihiler le système qui avait permis au Shogunat Tokugawa de s'emparer indûment des pouvoirs impériaux, s’attèle à réformer la société féodale japonaise. Après avoir saisi les terres des daimyos et les droits qu’ils portaient dessus dès sa victoire militaire contre le Shogunat, il transforme, le 14 juillet 1871, les domaines féodaux en circonscriptions administratives territoriales, dites préfectures, destinées à renforcer le pouvoir central. Par la suite, il refond la noblesse en créant une nouvelle hiérarchie et de nouveaux titres. Entendant également moderniser le système politique japonais, encore partiellement figé dans un modèle ancestral arriéré inadapté à l’évolution contemporaine de la société nippone, il confit en 1881 à son Premier ministre de l’époque, Itō Hirobumi, l’office de s’atteler à l’élaboration d’une constitution politique. En 1888, un projet, tenu secret du grand public, inspiré des modèles européens prussien et britannique, ainsi que de la constitution américaine, est finalement présenté à l’Empereur et approuvé par celui-ci. La promulgation de la nouvelle constitution, baptisée Dai-Nippon Teikoku Kenpō, ou Constitution de l’empire du Japon, est fixée pour le début de l’année 1889.
La culture traditionnelle nippone, bien que fortement ancrée dans les mentalités, souffre de l’intégration d’aspects culturels occidentaux, sans pour autant entraîner totalement sa disparition. Les exemples de cette survie culturelle demeurent nombreux : malgré l’abolition de la féodalité et l’affaiblissement corrélatif de la noblesse, l’aristocratie subsiste et conserve sa place privilégiée dans la société ; dans le domaine des armes, également, on trouve au côté des doctrines militaires modernes les principes moraux du bushido. Sur le plan religieux, l'ère Meiji a consacré le shintoïsme comme religion d'Etat ; les chrétiens, bien que désormais tolérés dans l'Empire, représentent une part marginale de la population et continuent encore à faire l'objet de persécutions.
En pleine restructuration politique et sociétale, sujet à l’influence croissante du capitalisme et à l’occidentalisation, le Japon entend très prochainement se doter d’un régime politique empreint d’un formalisme juridique similaire aux Etats occidentaux et désire de manière affirmée entrer dans le XXème siècle en tant qu'une puissance asiatique moderne et industrialisée. Pour assurer et optimiser son développement intérieur, le Japon s’est ouvert aux puissances étrangères occidentales - d'abord le Portugal, puis la Hollande et désormais les Etats-Unis d'Amérique, le Royaume-Uni et la France -, s'inspirant et sollicitant largement ces dernières, avec lesquelles sa Majesté l’Empereur s’efforce de maintenir d’excellentes relations, veillant à fréquemment recruter des intellectuels et militaires étrangers et à promouvoir l'envoi de ressortissants japonais dans d'autres pays. Les relations diplomatiques avec les autres Etats européennes demeurent limitées, cordiales dirait-on, et sont bien plus tendues avec les puissances asiatiques que sont la Corée et, surtout, la Chine.
Politiquement, l’Empereur, bien décidé à faire entrer son pays dans la modernité et à annihiler le système qui avait permis au Shogunat Tokugawa de s'emparer indûment des pouvoirs impériaux, s’attèle à réformer la société féodale japonaise. Après avoir saisi les terres des daimyos et les droits qu’ils portaient dessus dès sa victoire militaire contre le Shogunat, il transforme, le 14 juillet 1871, les domaines féodaux en circonscriptions administratives territoriales, dites préfectures, destinées à renforcer le pouvoir central. Par la suite, il refond la noblesse en créant une nouvelle hiérarchie et de nouveaux titres. Entendant également moderniser le système politique japonais, encore partiellement figé dans un modèle ancestral arriéré inadapté à l’évolution contemporaine de la société nippone, il confit en 1881 à son Premier ministre de l’époque, Itō Hirobumi, l’office de s’atteler à l’élaboration d’une constitution politique. En 1888, un projet, tenu secret du grand public, inspiré des modèles européens prussien et britannique, ainsi que de la constitution américaine, est finalement présenté à l’Empereur et approuvé par celui-ci. La promulgation de la nouvelle constitution, baptisée Dai-Nippon Teikoku Kenpō, ou Constitution de l’empire du Japon, est fixée pour le début de l’année 1889.
Organisation politique
Description : achevée depuis moins d’une année, la constitution portée par l’administration Itō sera promulguée, comme prévu au cours de l’année 1888, le 11 février 1889, date anniversaire traditionnelle de la fondation du Japon par le premier empereur Jimmu, fils de la déesse du Soleil, pour une entrée en vigueur prévue au 29 novembre 1890.
Jusqu’à cette date, l’Empire demeure soumis à son système organisationnel antérieur, toutefois déjà fortement inspiré par les modèles européens. La Charte du serment, Gokajō no Goseimon, qui définit les nouvelles orientations qui devront guider la politique du pays, occupe une place largement symbolique et, en 1869, les sept départements et la « séparation des pouvoirs » posés par le code Seitaisho sont repensés au profit d’un gouvernement central remodelé, parfois appelé cabinet. L’organisation politique du pays se décline désormais autour de la personne impériale, toujours centrale, d’une assemblée nationale, d‘une chambre des conseillers et de huit ministères (Affaires Civiles, Affaires étrangères, Trésor, Armée, Marine, Justice, Travaux publics, Education, Agence impériale) sous la direction d’un premier ministre. A noter également, la place importante reconnu au Conseil suprême de guerre, faisant figure d’état-major, et l’existence d’assemblées consultatives à l’échelle locale.
Jusqu’à cette date, l’Empire demeure soumis à son système organisationnel antérieur, toutefois déjà fortement inspiré par les modèles européens. La Charte du serment, Gokajō no Goseimon, qui définit les nouvelles orientations qui devront guider la politique du pays, occupe une place largement symbolique et, en 1869, les sept départements et la « séparation des pouvoirs » posés par le code Seitaisho sont repensés au profit d’un gouvernement central remodelé, parfois appelé cabinet. L’organisation politique du pays se décline désormais autour de la personne impériale, toujours centrale, d’une assemblée nationale, d‘une chambre des conseillers et de huit ministères (Affaires Civiles, Affaires étrangères, Trésor, Armée, Marine, Justice, Travaux publics, Education, Agence impériale) sous la direction d’un premier ministre. A noter également, la place importante reconnu au Conseil suprême de guerre, faisant figure d’état-major, et l’existence d’assemblées consultatives à l’échelle locale.
En réalité, l’assemblée nationale, normalement dépositaire d'une partie du pouvoir législatif, n’a jusqu’alors était réunie qu’une seule fois, de sorte que son autorité est parfaitement résiduelle. De manière plus générale, une véritable oligarchie, dite Oligarchie Meiji, constituée par une vingtaine d’individus hauts-placés dirigeant les ministères, concentre avec l’Empereur l’intégralité des pouvoirs.
Chef de l’Etat : Empereur Meiji Tennō
Premier ministre : Itō Hirobumi
Organisation territoriale : 72 préfectures et 3 municipalités.
Economie
Description : l’économie japonaise reste encore principalement agraire, bien que ce secteur, pourtant en net modernisation et expansion, est caractérisé par la diminution de la part qu'il occupe dans la richesse de l’Empire. L’intégration de technologies occidentales a permis d’amorcer l’industrialisation du pays, de sorte que le Japon dispose désormais de puissantes entreprises artisanales en matière de textiles et qu’apparaissent dans les villes en expansion des usines pour permettre la création de produits manufacturés, encore largement importés.
Certes, pour l’instant, l’industrie japonaise reste relativement jeune et les outils industriels demeurent encore primaires par rapport à la machinerie moderne des Etats occidentaux ; toutefois, la politique du gouvernement central, généreusement financée par la souscription d'emprunts auprès de banques privés ou d'Etats européens, qui passe par un apprentissage approfondi et particulièrement pro-actif des technologies étrangères, promet une évolution rapide de l’industrie nippone. Les investissements nombreux et les soutiens financiers accordés par l’Etat aux entrepreneurs locaux ont permis la naissance de conglomérats industriels riches et puissants, les zaibatsu, tandis que la distribution des terres aux paysans assurent l’enrichissement progressif des classes les plus modestes tout en permettant l’accroissement de la richesse agricole.
L’ouverture au commerce international a fragilisé pendant un temps l’économie japonaise, facteur primordial de la chute du Shogunat Tokugawa. Pour éviter que le pays ne sombre dans l’inflation et assurer la stabilité de la société japonaise qui risquait de pâtir du déficit, le gouvernement ouvre la voie de l’exportation de produits de base, qui rencontre notamment un franc succès en Asie.
Aujourd’hui, les objectifs sont clairement identifiables : sans que ne soit négligé le secteur agricole, vital pour l’exportation et pour prévenir la croissance de la population, l’économie japonaise doit continuer à se moderniser en s’inspirant des puissances étrangères et l’industrie doit s’étendre pour permettre la création de davantage de produits manufacturés.
Certes, pour l’instant, l’industrie japonaise reste relativement jeune et les outils industriels demeurent encore primaires par rapport à la machinerie moderne des Etats occidentaux ; toutefois, la politique du gouvernement central, généreusement financée par la souscription d'emprunts auprès de banques privés ou d'Etats européens, qui passe par un apprentissage approfondi et particulièrement pro-actif des technologies étrangères, promet une évolution rapide de l’industrie nippone. Les investissements nombreux et les soutiens financiers accordés par l’Etat aux entrepreneurs locaux ont permis la naissance de conglomérats industriels riches et puissants, les zaibatsu, tandis que la distribution des terres aux paysans assurent l’enrichissement progressif des classes les plus modestes tout en permettant l’accroissement de la richesse agricole.
L’ouverture au commerce international a fragilisé pendant un temps l’économie japonaise, facteur primordial de la chute du Shogunat Tokugawa. Pour éviter que le pays ne sombre dans l’inflation et assurer la stabilité de la société japonaise qui risquait de pâtir du déficit, le gouvernement ouvre la voie de l’exportation de produits de base, qui rencontre notamment un franc succès en Asie.
Aujourd’hui, les objectifs sont clairement identifiables : sans que ne soit négligé le secteur agricole, vital pour l’exportation et pour prévenir la croissance de la population, l’économie japonaise doit continuer à se moderniser en s’inspirant des puissances étrangères et l’industrie doit s’étendre pour permettre la création de davantage de produits manufacturés.
Monnaie : yen
Produit Intérieur Brut : 78 millions de yens (195 millions de francs)
Armée impériale japonaise
Description
L’armée nippone connaît une évolution technique, stratégique et organisationnelle tout bonnement fulgurante, continuité prévisible de l’initiation aux arts militaires occidentaux amorcée depuis plusieurs décennies. Sous la direction d’officiers étrangers, les forces armées nippones connaissent dès le début de la seconde partie du XIXème siècle les premiers traits de l’organisation militaire nouvelle.
Formée par les troupes françaises, la garde impériale, créée en 1867, est la première composante militaire « moderne » et est désormais reconnue comme une unité militaire performante à la pointe des entraînements et des tactiques européennes. Marquant les premiers pas de la nouvelle armée japonaise, elle est rapidement suivie par la création de nouvelles divisions entraînées qui parviennent à écraser les rébellions samuraïs qui enflamment l’Empire.
Soucieux d’inscrire son armée dans les temps nouveaux, le Japon forme aujourd’hui encore ses officiers auprès des grandes puissances occidentales, élabore son organisation militaire sur les conseils de dignitaires prussiens, veille à inscrire ses nouvelles forces dans le cadre de la guerre moderne et a d’ores-et-déjà fait le choix d’équiper ses soldats de l’arme la plus moderne de l’époque, le fusil à verrou, tout en développant ouvertement de nouveaux arsenaux.
La marine de guerre, d’abord lente à se moderniser faute de moyens intellectuels et matériels, croit à partir des années 1880, années auxquelles elle commence d’ailleurs à se doter de navires construits, ou tout du moins assemblés au Japon.
Formée par les troupes françaises, la garde impériale, créée en 1867, est la première composante militaire « moderne » et est désormais reconnue comme une unité militaire performante à la pointe des entraînements et des tactiques européennes. Marquant les premiers pas de la nouvelle armée japonaise, elle est rapidement suivie par la création de nouvelles divisions entraînées qui parviennent à écraser les rébellions samuraïs qui enflamment l’Empire.
Soucieux d’inscrire son armée dans les temps nouveaux, le Japon forme aujourd’hui encore ses officiers auprès des grandes puissances occidentales, élabore son organisation militaire sur les conseils de dignitaires prussiens, veille à inscrire ses nouvelles forces dans le cadre de la guerre moderne et a d’ores-et-déjà fait le choix d’équiper ses soldats de l’arme la plus moderne de l’époque, le fusil à verrou, tout en développant ouvertement de nouveaux arsenaux.
La marine de guerre, d’abord lente à se moderniser faute de moyens intellectuels et matériels, croit à partir des années 1880, années auxquelles elle commence d’ailleurs à se doter de navires construits, ou tout du moins assemblés au Japon.
Dai-Nippon Teikoku Rikugun- Forces terrestres de l’armée impériale japonaise
Effectif de l’armée régulière : 70,000
- Garde impériale, ou division de garde de Konoe, basée à Tokyo : 12, 000
- 1ère division, dite « division de Jade », basée à Tokyo : 9,000
- 2ème division, dite « division Tapfere-Soldaten », basée à Sendai : 9,000
- 3ème division, dite « division Glücks, basée à Nagoya : 9,000
- 4ème division, dite « division Yodo », basée à Ōsaka : 9,000
- 5ème division, dite « division Karpfen, basée à Hiroshima » : 9,000
- 6ème division, dite « division Licht », basée à Hiroshima : 9,000
- Corps colonial, basé à Hokkaido et sur les îles Ryukyu : 4, 000
Effectif de la police militaire, dite « Kenpentai » : 7,000
Potentiel de mobilisation par l’intégration de la première réserve, yōbi, de la deuxième réserve, kōbi, et de la troisième réserve, hōju, destinées à former la milice territoriale et la garde nationale, kokumin : 220,000
- Matériel de l'armée impériale japonaise:
Dai-Nippon Teikoku Kaigun - Marine impériale japonaise
- Liste des navires de la marine impériale japonaise:
Navires de guerre à vapeur : 5
- Ryūjō
- Unyo
- Nisshin
- Takao
- Moshun
Corvettes et canonnières : 17
- Kongō class Kongō
- Kongō class Hiei
- Amagi
- Tsukushi
- Kaimon
- Tenryū
- Katsuragi class Katsuragi
- Katsuragi class Yamato
- Katsuragi class Musashi
- Heien
- Maya class Maya
- Maya class Akagi
- Maya class Atago
- Maya class Chōkai
- Ōshima
- Banjo
Cuirassés : 2
- Kōtetsu
- Fusō
Croiseurs protégés : 4
- Izumi
- Naniwa class Naniwa
- Naniwa class Takachiho
- Unebi
- Yaeyama (prévu pour 1890)
- Chiyoda (prévu pour 1891)
- Chishima (prévu pour 1892)
Principaux accords diplomatiques en vigueur
Avec la Corée
- Traité nippo-coréen, 1876: ouverture des ports coréens au Japon. - Convention de Tianjin, 1885 : fait de la Corée un co-protectorat de la Chine et du Japon.
Avec la Chine
- Traité sino-japonais d'amitié et de commerce, 1871 : garantit les droits judiciaires des consuls et détermine les droits de douane entre les deux pays.
Askeladd- Gratte-papier
- Messages : 27
Date d'inscription : 17/07/2019
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