[√] Confédération Suisse

Capitale : Variable
Régime politique : République Confédérale
Population : 745.000 habitants
Courte description du pays : Le pays est une confédération de cantons urbains de jure vassale du SERG, connus pour ses mercenaires et sa capacité a défendre son indépendance.

Catégorie : 5
Revenus : 68.000 (en entretien compris)
Trésor : 250.000
Bâtiments : /

-1.000 Hallebardiers (5%)
-4.000 Piquiers/lanciers (20%)
-50 Pièces d’artilleries (1.000 artilleurs) (5%)
-3.000 Arquebusiers  (15%)
-1.000 Arbalétriers (5%)
-2.000 Fantassins (10%)
-8.000 Milice Paysanne (40%)
Entretien: 12.000

Suisse

Population : ~ 745'000
Catégorie : 5
Armée de terre : 20'000
Marine : 0 navire

A Zurich, un prêtre du nom de Zwingli a été élu dans cette ville, grâce à sa proximité avec les idées d’Érasme ayant fuit en Suisse en 1517.
Il prêche une religion reformée plus radicale que celui de Luther, et y associe en plus patriotisme et liberté. Quoi qu'il en soit, ses idée sembles intéresser les habitant de la ville, surtout chez les guildes, les artisans et les commerçants. Bien que l'imprimante existe, la propagation rapide de ses idées engendre des divergence au sein de son mouvement: dans les campagnes, ses paroles sont interprétés d'une manière proche de celles des Taborites d'il y a cent ans, tandis qu'en ville elles ont une touche d’humanisme et une volonté d'aller plus loin en direction de la sécularisation, la souveraineté, la liberté et la république.
La légende dit qu'il voudrait manger des saucisses un jour de carême chez son imprimeur.
Quoi qu'il en soit, ce fait divers est annonciateur de changements brusques a venir.

Les idées de Zwingli se propagent en dehors du canton de Zurich, principalement dans les autres villes de la confédération. Les campagnes restent relativement  épargnées mais avec les villes dont ils dépendent présentant les idées du protestantisme, la propagation est désormais palpable. La rapidité du mouvement fait que dans toute la confédération , les croyances sont homogène dans hétérogénéité, c'est a dire que la proportion de protestants est globalement un minorité conséquente dans toute la confédération, au niveau cantonal. De plus le schisme Taborite-Humaniste est de plus en plus ressenti, les deux voulant l'indépendance des états papaux, mais l'un pour remplacé par des communes paysannes régies par la religion, l'autre par une souveraineté républicaine et urbaine. D'autres différences théologies existent mais elles sont non importante en géopolitique. La réaction des élites, propriétaire terrien comme le clergé a été prise de court, mais des mesure de répression de cette nouvelle foi sont envisagés

La réformation s'est bien propagée dans la confédération: on estime maintenant que la moité de la population soutient plus ou moins celle ci, et la totalité de la population est au moins au courant de ce qui se passe. On voit cependant une certaine stabilisation: le taux de convertis augmentera peux être mais a une croissance ralentie, et atteindra au maximum 75/25% .
Les autorités préparent un plan éradication de cette menace, mais un échec serait fatal car donnerais lieu a une guerre civile, non seulement entre protestants et catholiques mais entre les différents mouvements des réformateur.

Alors que la proportion de confession atteint 60/40%, la tentative d’étouffer dans l’œuf la réformation est un échec total: le plan , simple , était de prendre les leaders du mouvement et de les balancer dans les divers lacs et rivières en décembre. Le plan ayant malheureusement fuité, un conter coup eu lieu et la suisse fut plongé dans une semaine de violence dans un guerre a trois parties Catholique-Humanistes-Taborites.
A l'issue de cet affrontement  les protestants des villes ont su vaincre, mais la République Suisse nouvellement crée a partir de ce coup d’état est très instables, apte a des dérives radicales mais surtout entouré d'ennemis. 

Une des première mesure de la République est une centralisation plus forte. Uni par une religion prônant un proto souverainisme, cela semble logique. L'organisation cantonale est toujours gardé, avec une un echelon inferieur ajouté: la commune.
En effet, pour calmer les paysans convaincus au neo-Taborisme, une liberté a été donné au villages, cœur du nouvel échelon qu'est la commune, formant l’écrasante majorité de la forme de peuplement du pays.
Contrairement a ce que l'on pourrait penser, les voisins compris dans le SERG ne réagissent pas au changement de régime: peut être sont i eux aussi embourbés dans la guerre de religion.
Le travail étant , en dépits de la volonté de cette nouvelle religion, toujours méprisé, l'autre chose que cherche le pays est, les moyens d’augmenter la productivité économique tout en fournissant moins de travail- plus de rentabilité donc, et ainsi chercher à libérer le pays du travail.