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L'économie !

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Message par galx Dim 8 Jan 2017 - 21:29

L'économie !

L’objectif de ce nouveau topic est simple : essayer de transmettre les bases de l’économie. Cela me semble en effet très important de posséder une certaine culture économique dans le monde d’aujourd’hui. En effet la plus part des politiques sous entendent des enjeux économiques majeures. De plus cela pourra donner à certains joueurs des éléments de gameplay pour les prochaines versions. Je tiens aussi à préciser que ses mini-chapitres sont basés sur les cours que je reçois à la prépa. Je me contente de les synthétiser au mieux.  Pour faire un bref sommaire les premiers chapitres seront sur la consommation, l’investissement et la création monétaire. Si j’ai le temps je ferais aussi un résumé sur les marchés financiers et le marché du travail.

Chapitre 1: Consommation et Epargne

La consommation est un concept très large qui englobe plusieurs sous-catégorie (consommation intermédiaire, de capitale fixe, dépenses de consommation finale des ménages,…). Dans le chapitre qui suit nous ne prendrons en compte que les dépenses finales qui regroupe donc toutes les dépenses que supportent directement les ménages. Comme nous le savons la plus part des ménages ne consomme pas 100% de son revenus mais en épargne une partie. Nous dirons donc que l’épargne est une allocation alternative à la consommation.
Pour donner quelques chiffres rapidement, la consommation des ménages français est d’environ 1000 milliard d’euros. Leur taux d’épargne moyen est de 15%.

I. La fonction de consommation keynésienne:

Dans la théorie keynésienne, l’activité économique dépend de la demande effective. L’accent est donc mis sur les débouchés puisque ce sont eux qui vont déterminer l’activité de production des entreprises. Il est donc important de bien comprendre la notion de demande.

Selon Keynes la demande est une fonction croissante du revenus (plus le revenus est grand plus on consomme) qui ne dépend pas des prix. En effet à court terme les prix sont considérés comme fixe. Le montant consommer par les ménages et déterminer par leur propension marginale à consommer qui est comprise en 0 et 1. Dans ce cas lorsque le revenu d’un ménage augmente sa consommation va augmenter moins vite que ses revenus. Pour Keynes l’épargne n’est qu’un résidu, c’est la part du revenu non consommé. Cela implique que la décision d’épargner ou non ne dépendra pas du taux d’intérêt.

Dans le modèle keynésien les agents font face à deux choix d’épargne différent. Soit ils choisissent de détenir de la monnaie (épargne thésaurisé), soit ils préfèrent les titres (épargnes placée). Ce choix s’effectue selon deux critères : le degré de liquidité (la monnaie est directement échangeable contrairement aux titres) et le rendement (la monnaie ne rapporte rien tandis que les titres dégagent un revenu). Pour les néo-classiques les individus ne choisissent pas de thésaurisé puisque le rendement est nul. Cependant Keynes énonce le principe selon lequel il existerait une préférence pour la liquidité fondé sur le motif de transaction (pouvoir échanger), le motif de précaution (faire face à des dépenses futures ou à des baisses de revenus) et le motif de spéculation.

La demande de monnaie pour spéculation joue sur les anticipations de la valeur des actifs. Il faut aussi savoir que les obligations et le taux d’intérêt sont inversement corrélés. Par exemple si le taux d’intérêts est très élevé, les agents vont anticiper sa baisse et donc une hausse du cours des actifs. Ils vont alors demander plus d’actif et moins de monnaie. Ainsi plus le taux d’intérêt est grand, plus le cours des obligations est faible.

Plusieurs théories sont ensuite venu enrichir le travail de Keynes notamment les notions de revenus relatif ou d’effet de cliquet. La théorie du revenu relatif repose sur le principe qu’un individu fixera son niveau de dépense en fonction des dépenses moyennes observé au sein de son groupe social. L’effet cliquet revient à dire qu’il existe une sorte d’inertie dans les comportements de consommation. Ainsi une baisse du revenu courant n’entrainera pas forcément une chute brutale de la consommation. Les agents vont prendre pour référence leur consommation passée la plus élevé et essayé de la maintenir.


Voilà pour cette première partie consacrée à la consommation keynésienne. Le prochain post sera sur le choix inter temporel et l’arbitrage consommation/épargne pour les auteurs plus classiques. Si vous avez des questions ou des retours n’hésitez pas :hap: .

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Message par Skorm123 Lun 9 Jan 2017 - 16:35

C'est des théories. Par exemple prendre comme exemple l'économie keynésienne n'est plus adapté dans l'économie globalisé telle que la notre (l'économie keynésienne ayant cette réputation d'avoir été conceptualisé dans une économie fermée) ... je sais pas, faire du keynésien aujourd'hui c'est faire de la relance de la demande alors qu'on a vu que cela fonctionnait pas IRL. Alors je sais pas si c'est une bonne idée que d'expliquer ces théories keynésiennes ici.

Mais bonne idée pour le topic toutefois.


Dernière édition par Skorm123 le Lun 9 Jan 2017 - 16:57, édité 2 fois
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Message par Veers Lun 9 Jan 2017 - 16:57

Alors je sais pas si c'est une bonne idée que d'expliquer ces théories ici.

Mais bonne idée toutefois.

:sarkozy:
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Message par Vautour Lun 9 Jan 2017 - 17:17

La démarche de galx est pédagogique et descriptive et non partisane (la distance prise avec l'auteur de ces théories se traduit par la troisième personne, les "selon Keynes" et "pour Keynes"); une démarche en effet bienvenue. Si un débat doit avoir lieu sur ces théories ce n'est donc pas ici mais sur un autre topic puisque mieux comprendre une matière c'est comprendre les éléments multiples (même ceux jugés dépassés) qui l'ont nourrie, et non poser de suite un regard critique dessus :)
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Message par galx Lun 9 Jan 2017 - 17:24

Skorm123 a écrit:C'est des théories. Par exemple prendre comme exemple l'économie keynésienne n'est plus adapté dans l'économie globalisé telle que la notre (l'économie keynésienne ayant cette réputation d'avoir été conceptualisé dans une économie fermée) ... je sais pas, faire du keynésien aujourd'hui c'est faire de la relance de la demande alors qu'on a vu que cela fonctionnait pas IRL. Alors je sais pas si c'est une bonne idée que d'expliquer ces théories keynésiennes ici.

Mais bonne idée pour le topic toutefois.

Minute papillon, chaque chose en son temps ! :hap: Ici je n'ai parlé que de la vision keynésienne de la consommation. Cependant il en existe d'autre que je vais détailler au plus vite dans une seconde partie. De plus même si il s'agit de "théorie" elles sont quand même bien pratique pour expliquer le monde d'aujourd'hui (ou du moins tenter de le faire). Sinon pour ce qui est de la relance keynésienne il y aura un chapitre dessus aussi. Tout ce que je peux dire pour l'instant c'est que ce n'est pas si inefficace qu'on nous le laisse entendre. Aujourd'hui la majeure partie des économistes s'accordent à dire qu'a court terme le Keynes il a pas complètement tort. A long terme il s'agit d'une autre histoire.
Enfin je dirais que les théories keynésiennes ou plutôt post-keynésiennes ne sont pas non plus un remède miracle. La relance de la demande n'est efficace que lorsque l'on observe une insuffisance de celle-ci. Il reste maintenant à savoir si la crise de 2008 est une crise lié à une baisse de la demande ou un problème d'offre. C'est toute la question pour trouver "le remède" adapté.

Vautour a écrit:La démarche de galx est pédagogique et descriptive et non partisane (la distance prise avec l'auteur de ces théories se traduit par la troisième personne, les "selon Keynes" et "pour Keynes"); une démarche en effet bienvenue. Si un débat doit avoir lieu sur ces théories ce n'est donc pas ici mais sur un autre topic puisque mieux comprendre une matière c'est comprendre les éléments multiples (même ceux jugés dépassés) qui l'ont nourrie, et non poser de suite un regard critique dessus

Je ne ne serais pas totalement objectif car cela est pour moi impossible. Cependant je vais m'efforcer de d'exposer toute les théories et les visions les plus connues de manière équitable. Après je vous invite à vous renseignez ailleurs pour découvrir d'autre point du vue que le miens ou d'autre information afin de vous forger votre propre avis.
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Message par galx Lun 9 Jan 2017 - 21:22

Chapitre 1: Consommation et Epargne

II. Choix intertemporels et arbitrage consommation épargne

Comme on l’a vu précédemment les théories d’inspiration keynésiennes reposent sur le socle théorique suivant : une approche de court terme et une consommation qui dépend du revenu courant. Cependant certains auteurs dits néoclassiques proposent une conception différente de la fonction de consommation en y incorporant des éléments micro-économiques (pour faire simple il s’agit d’éléments mathématiques). Dans leurs théories ces auteurs mettent l’accent sur le choix intertemporel (sur deux périodes), le revenu permanent et le cycle de vie. Il s’agit normalement de démonstration très formalisé que je ne vais pas reproduire ici pour des raisons évidentes de clarté.

Un des principaux auteurs qui a développé la vision intertemporel de l’épargne c’est Fisher. Dans son modèle les agents traversent deux périodes notées 1 et 2. Pour lui l’agent va chercher à fixer un niveau de consommation qui va maximiser son utilité en fonction des deux périodes. Ainsi les consommations aux deux périodes dépendront pour Fisher du taux d’intérêt (qui mesure le coût d’opportunité à consommer son revenu à la période 1), du taux d’escompte psychologique (une mesure du degré de patience d’un individu)  et bien sûr de sa richesse. En effet l’existence d’un marché des fonds prêtables lui permet de transférer son revenu dans le temps soit en consommant plus en période 1 ou en épargnant pour la période 2. Globalement le marché des fonds prêtables va permettre aux agents de lisser leur consommation. Sachez qu’il existe de nombreux raffinements à cette théorie notamment en distinguant les différentes contraintes qui peuvent peser sur le marché des fonds.

En 1957 Friedman va développer une nouvelle vision basée sur la notion de revenus permanent. Dans son modèle il considère que les agents connaissent tout leur flux de revenus (même ceux futures). A partir de cette hypothèse il en déduit que les agents vont baser leur consommation sur la somme de leur flux de revenus et non pas sur leur revenus courants. Donc une variation temporaire du revenu courant (politique de relance par exemple) n’aura que peu d’impact sur la consommation puisque cela ne représentera qu’une faible part des flux totaux de revenus de l’agent. Il s’agit d’une remise en cause importante du modèle keynésien. Pour tester sa théorie Friedman a eu recours à des modèles formalisés d’anticipation.

Enfin la théorie du cycle de vie suppose que les agents ont une durée de vie finis mais qu’ils connaissent la date de leur mort et le profil de leurs revenus. De plus ils sont parfaitement égoïstes et n’épargne que pour leur propre consommation. Dans ce modèle l’épargne est aussi un moyen de transférer le revenu des ménages dans le temps. En effet lors du début de sa vie l’agent reçoit un revenu qu’il épargne en prévision de sa retraite. Arrivé à l’âge fatidique il utilisera son épargne pour consommer (on suppose ici qu’il n’existe pas de système de retraite publique) jusqu’à sa mort. Cette théorie permet de dégager trois propriétés de l’épargne : elle suit une évolution en cloche, son principal motif est l’épargne pour les vieux jours et enfin sur un cycle de vie entier l’épargne d’un agent est nulle. Là aussi il existe de nombreuses extensions prenant en compte le legs par exemple.  

III. Comment transformer cela en élément de gameplay

Dans la plus part des pays industrialisés la consommation est une part importante du PIB. Même si en temps normal la demande des ménages est peu volatile il peut quand même être intéressant de tenter de la stimuler. De même posséder un stock d’épargne conséquent permet de nombreux avantages en matière d’investissement.
Pour la consommation il semble qu’augmenter le revenu courant des agents fonctionnent à court terme. Cependant il ne s’agira que d’un choc provisoire et son effet disparaitra bien vite. Si on veut influencer le long terme il faudra donc redonner confiance au ménage pour qu’il consomme plus. En effet si on en croit Friedman et Fisher il base leur consommation sur leur anticipation de revenu. Il s’agira donc de mettre en place des politiques structurelles qui permettront d’augmenter leur revenu permanent.

En ce qui concerne l’épargne la situation est un peu plus simple. En ces périodes de crises les ménages épargnent déjà beaucoup donc il n’est peut-être pas nécessaire d’augmenter celle-ci. Cependant si pour X raisons vous souhaitez accumuler plus d’épargne un augmentation des taux d’intérêt sera la bienvenue (attention au conséquences pour le reste de l’économie). Pour les pays en développement penser à favoriser le développement d’un secteur bancaire solide plutôt qu’élevé vos taux. L’important est que votre population est confiance dans le système financier. D’ailleurs une dérégulation des marchés permettra aussi d’accroitre l’épargne disponible mais gare aux bulles dévastatrices. Sinon il est aussi possible de jouer sur les legs pour augmenter les montants placés (en diminuant l’imposition par exemple).
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Message par galx Ven 13 Jan 2017 - 15:49

Chapitre 2: De l’Investissement

Au sens large l’investissement consiste à acheter un actif en vue d’en percevoir un revenu futur. Cependant lorsqu’on évoque l’investissement en économie on ne fait référence qu’aux dépenses ayant pour but d’augmenter le potentiel de production d’une entreprise. Il existe plusieurs typologies de l’investissement :
. Investissement de capacité (augmenter les capacités productives), de modernisation ou de renouvellement
. Investissement matériel ou immatériel
. Investissement local ou à l’étranger
Il est à noter que la part de l’investissement dans le PIB est plus faible que celle de la consommation (20% contre pas loin de 60%). En revanche l’investissement est beaucoup plus volatile et cette volatilité est transmise au PIB par de nombreux mécanismes. Il est donc très intéressant d’étudier l’investissement puisqu’il s’agit du principal moyen d’action pour augmenter la richesse d’un pays.

I. L’Investissement dans une perspective inter-temporelle

A l’aide d’un modèle mathématique, Fisher démontre qu’en l’absence de marché des fonds prêtables il y a pour chaque agent une stricte égalité entre l’épargne et l’investissement. Cependant dans la vie courante le marché des fonds prêtables est bel et bien présent.  Ainsi les agents peuvent s’adresser à lui soit pour placer leur épargne soit pour emprunter. Le prix d’équilibre du marché étant représenté par le taux d’intérêt. A partir de son modèle il va mettre en évidence ce que l’on appelle le « Théorème de séparation de Fisher » à savoir qu’à l’échelle agrégé il existe une parfaite égalité entre les montants épargnés et ceux investit.

Ce résultat s’explique en analysant la décision d’investissement des agents. Ceux-ci vont investir jusqu’à ce que le rendement marginal du dernier euro investi soit égal au taux d’intérêt. En effet si on se trouve dans la situation inverse alors l’épargne est plus intéressante. On dit donc qu’à l’équilibre il n’existe plus d’opportunité d’arbitrage entre l’épargne et l’investissement. Autrement formulé, le montant investi est décroissant du taux d’intérêt. En effet le taux d’intérêt représente à la foi le coût du crédit mais aussi le coût d’opportunité d’un investissement (épargner nous aurait rapporté le taux d’intérêt).  

Dans le modèle néo-classique le capital est caractérisé par un coût d’usage. Ce coût d’usage peut se décomposer de la manière suivante : le coût d’opportunité (voir juste au-dessus) – le prix de revente du capital + la dépréciation du capital (la perte de valeur engendré par son utilisation). Là aussi les agents investiront tant que la dernière unité investit rapporte exactement ce qu’elle coûte.


II. De la volatilité de l’investissement

Dans le modèle keynésien l’investissement résulte de la comparaison entre son coût et l’ensemble des flux de recette à venir. Cependant l’estimation des flux de recette à venir dépend des anticipations des entrepreneurs. Autrement dit le montant investi dépendra de la confiance des investisseur dans la situation économique à venir. Cette confiance peut être influencée par ce qu’il appelle « les esprit animaux » (des paramètres totalement subjectif). Ainsi contrairement au modèle classique une simple baisse du taux d’intérêt peut ne pas être suffisante pour relancer l’investissement. En effet si les anticipations sont pessimistes alors le coût ne parvient pas à compenser la défiance des investisseurs.

En matière d’investissement Keynes est surtout connu pour le multiplicateur du revenu. En effet une hausse de l’investissement entraine une augmentation de la demande. Etant donné que les entreprises sont contraintes sur leur débouché, elles vont répondre à cette demande en produisant plus. A court terme le stock de capital est constant et les entreprises vont donc demander plus de travail. Ainsi les revenus redistribués vont augmenter. Comme on l’a vu dans le premier chapitre une partie de ces revenus sera épargné et l’autre consommé ce qui contribuera à augmenter encore la demande adressé aux entreprises (dans une propension moindre à chaque foi). Mathématiquement parlant il est fondamentalement supérieur à 1 et dépend de la propension marginale à consommer des ménages. Ainsi ce multiplicateur mesure la hausse de revenu engendré par l’augmentation de l’investissement d’une unité.

Cependant il faut bien avoir conscience des limites aux modèles exposé depuis le début de ce chapitre. En effet aucun ne permet d’expliquer vraiment la discontinuité des décisions d’investissement. Pour cela Arrow et Caballero vont prendre en compte l’indivisibilité du capital (l’investissement serait une variable discrète et non continu) et l’irréversibilité du capital (c’est-à-dire les coûts irrécupérables liés à un investissement). Ces deux concepts expliquent très bien pourquoi on n’observe pas de tendance lisse dans les décisions d’investissement.

N'hésitez pas si vous avez des questions ou des incompréhensions. La prochaine partie sera sur "Les marchés financiers comme estimation de la valeur de l'investissement".
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Message par Veers Ven 13 Jan 2017 - 20:43

Je comprends rien. :fou:
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Message par galx Ven 13 Jan 2017 - 21:15

Vraiment ? :-(
J'essaye d'être clair mais je sais pas du tout si ça fonctionne :rire:
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Message par Veers Ven 13 Jan 2017 - 21:25

Je plaisante, j'ai pas lu encore. Je ferais ça ce soir ou ce lendemain. :rire:
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Message par Ane Solo Mar 28 Fév 2017 - 15:24

Si l'économie vous intéresse et que vous n'y connaissais pas grand chose je vous recommande Economix il est très intéressant je l'ai eu à Noël et je l'ai lu rapidement.

Bonne lecture!!!!!
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Message par Ane Solo Mar 28 Fév 2017 - 15:26

Et galx n'oublie pas de parler de David Ricardo
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Message par galx Mar 28 Fév 2017 - 17:47

Dans quel contexte ? Pour les échanges, l'effet d'éviction ou l'équivalence ricardienne ? Sinon hormis ces théories basiques je ne connais pas grand chose de Ricardo, enfin je l'ai jamais lu quoi :hap:
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