[Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
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[Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής ◈
- Carte du pays :
◈ Informations générales ◈
• Devise nationale : Tout pour l’État, rien contre l’État - Τα πάντα για το κράτος, τίποτα εναντίον του κράτους
• Capitale : Athènes
• Régime politique : République
• Population : 6 820 000 habitants
• Description du pays : État d’Europe du Sud, situé dans l'extrême Sud des Balkans, comprenant l'ensemble du grand-sud de la Grèce originelle. Formé à l'issue de la scission due à la guerre civile de 2020.
◈ Santé économique ◈
• Taux de chômage : 27%
• Devise monétaire : Drachme (HDX)
• Taux de conversion : 1 EUR = 13 HDX
• Produit Intérieur Brut : 194 milliards d'Euros
• Croissance du PIB : -6,1%
• Inflation : 1%
• Population sous le seuil de pauvreté : 12%
• Exportations : 18 milliards d'Euros
• Importations : 66 milliards d'Euros
• Balance commerciale : -48 milliards d'Euros
• Recettes publiques : 56 milliards d'Euros
• Dépenses publiques : 87 milliards d'Euros
• Balance publique : -31 milliards d'Euros
◈ Forces armées d'Attique ◈
• Militaires actifs : 158 000
• Militaires réservistes : 60 000
• Aptes au service militaire : 1 780 000 hommes et 1 802 000 femmes
• Budget : 4,8 milliards d'Euros, 2,4% du PIB
Armée de Terre
- Chars d'assaut (1246) :
• 170 Léopard 2A6 HEL
• Léopard 2A4 : 183
• Leopard 1A5/GR : 501
• M48A5 MOLF : 390
- Véhicules de combat d'infanterie (551) :
• BMP-1 : 551
- Blindés de transport (1812) :
• Leonidas : 181
• M 113A2 : 1631
- Véhicules de reconnaissance (175) :
• M-8 : 130
• VBL : 37
• HMMWV : 8
- Artillerie automotrice (410) :
• M-109A1/A2/A3 (155 mm) : 195
• Zuzana (155 mm) : 12
• PzH 2000 : 10
• M-107 (175 mm) : 12
• M110 (203 mm) : 181
- Artillerie tractée (729) :
• M114 (155 mm) : 266
• Obusier M101 (105 mm) : 445
• Oto Melara M-56 (105 mm) : 18
- Lance-roquettes multiples (151) :
• RM-701 (122 mm) : 115
• M-270 MLRS : 36
- Artillerie antiaérienne (1591) :
• ZSU 23-2 (23 mm) : 506
• I-Hawk : 42
• SA-10 Grumble : 2 batteries
• SA-15 Gauntlet : 21
• SA-8 Gecko : 20
• FIM-92 Stinger : 1 000
- Artillerie antichars (4012) :
• 107 mm : 620
• 81 mm : 2 800
• Lanceurs de missile MILAN : 290
• Lanceurs de missiles TOW :336
• Lanceurs AT-4 Spigot : 262
Marine Nationale
- Frégates (14) :
• HS Hydra (classe Hydra)
• HS Spetsai (classe Hydra)
• HS Psara (classe Hydra)
• HS Salamis (classe Hydra)
• HS Elli (classe Elli)
• HS Limnos (classe Elli)
• HS Adrias (classe Elli)
• HS Aigaion (classe Elli)
• HS Navarinon (classe Elli)
• HS Kountouriotis (classe Elli)
• HS Bouboulina (classe Elli)
• HS Kanaris (classe Elli)
• HS Themistoklis (classe Elli)
• HS Nikiforos Fokas (classe Elli)
- Canonnières (10) :
• HS Tolmi (classe HSY-55)
• HS Hormi (classe HSY-55)
• HS Machitis (classe HSY-55)
• HS Nikiphoros (classe HSY-55)
• HS Aittitos (classe HSY-55)
• HS Krataios (classe HSY-55)
• HS Kasos (classe HSY-55)
• HS Polemistis (classe HSY-55)
• HS Armatolos (classe HSY-55)
• HS Navmachos (classe HSY-55)
- Navires d'attaque rapide (18) :
• HS Roussen (classe Roussen)
• HS Daniolos (classe Roussen)
• HS Krystallidis (classe Roussen)
• HS Grigoropoulos (classe Roussen)
• HS Ritsos (classe Roussen)
• HS Karathanasis (classe Roussen)
• HS Vlahakos (classe Roussen)
• HS Laskos (classe La Combattante III)
• HS Blessas (classe La Combattante III)
• HS Troupakis (classe La Combattante III)
• HS Kavaloudis (classe La Combattante IIIb)
• HS Degiannis (classe La Combattante IIIb)
• HS Xenos (classe La Combattante IIIb)
• HS Simitzopoulos (classe La Combattante IIIb)
• HS Starakis (classe La Combattante IIIb)
• HS Votsis (classe La Combattante IIa)
• HS Pezopoulos (classe La Combattante IIa)
• HS Maridakis (classe La Combattante IIa)
- Sous marins (13) :
• HS Nireus (classe Glafkos - type 209 1100)
• HS Triton (classe Glafkos - type 209 1100)
• HS Proteus (classe Glafkos - type 209 1100)
• HS Poseidon (classe Poseidon - type 209 1200)
• HS Amphitriti (classe Poseidon - type 209 1200)
• HS Okeanos (classe Poseidon - type 209 1200)
• HS Pontos (classe Poseidon - type 209 1200)
• HS Papanikolis (classe Papanikolis - type 2014)
• HS Pipinos (classe Papanikolis - type 2014)
• HS Matrozos (classe Papanikolis - type 2014)
• HS Katsonis (classe Papanikolis - type 2014)
• HS 214 A (classe Papanikolis - type 2014)
• HS 214 B (classe Papanikolis - type 2014)
- Chasseurs de mines (4) :
• HS Evropi (classe Hunt)
• HS Kallisto (classe Hunt)
• HS Evniki (classe Osprey)
• HS Kalypso (classe Osprey)
- Navires de débarquement (14) :
• HS Chios (classe Jason LST)
• HS Samos (classe Jason LST)
• HS Ikaria (classe Jason LST)
• HS Lesvos (classe Jason LST)
• HS Rodos (classe Jason LST)
• HS Ios (classe LCU)
• HS Paros (classe LCU)
• HS Sikinos (classe LCU)
• HS Irakleia (classe LCU)
• HS Pholegandros (classe LCU)
• HS Cephalonia (classe Zubr)
• HS Ithaca (classe Zubr)
• HS Corfu (classe Zubr)
• HS Zakynthos (classe Zubr)
- Navires de transport (4) :
• HS Pandora
• HS Pandrosos
• HS Naxos
• HS Serifos
- Patrouilleurs (6) :
• HS Andromeda
• HS Kyknos
• HS Pegasus
• HS Toxotis
• HS Diopos Antoniou
• HS Kelevstis Stamou
- Tankers pétroliers (4) :
• HS Zeus
• HS Ouranos
• HS Hyperion
• HS Orion
- Tankers d'eau (6) :
• HS Kalliroe
• HS Trichonis
• HS Doirani
• HS Kerkini
• HS Prespa
• HS Stymphalia
- Navires d'océanographie (4) :
• HS Naftilos
• HS Pytheas
• HS Strabon
• HS Akatos 14
- Hélicoptères (28) :
• S-70 H-60 : 11
• AB212 : 13
• Alouette III : 4
Armée de l'Air
- Avions de chasse (288) :
• F-16C/D Block 52+ : 30
• F-16 C/D Block 50D : 40
• F-16 C/D Block 30 : 32
• Mirage 2000-5 : 25
• Mirage 2000CG/BG : 25
• F-4E Peace Icarus : 25
• F-4E Phantom II : 25
• A-7E/TA-7 C Corsair II : 41
• A-7H/TA-7H Corsair II : 45
- Avions de détection avancée (4) :
• Embraer EMB-145 AEW : 4
- Avions de reconnaissance (23) :
• RF-4 E Phantom II : 23
- Avions de transport (28) :
• C-130B/H Hercules : 13
• C-27J Spartan : 12
• ERJ-135 : 2
• Gulfstream V : 1
- Avions d'entraînement (104) :
• T-6 Texan II : 45
• T-2 Buckeye : 40
• T-41D Mascalero : 19
- Hélicoptères (25) :
• A-109 : 3
• AB-205A : 14
• AS-332 Super Puma : 4
• AS-532SC Cougar : 4
- Défense antiaérienne (445) :
• Patriot PAC III : 36
• S-300 PMU1 : 12
• SKYGUARD/VELOS : 20
• Crotale NG/GR : 9
• TOR M1 : 4
• Rheinmetall 202 Mk20 : 326
• Artemis 30 : 38
◈ Diplomatie ◈
• Liens importants : Organisation Européenne Armée
• Relations positives : République sociale d'Italie, République islamique d'Iran
• Indifférence : Autres
• Relations tumultueuses : Union Européenne, République de Turquie
• En conflit : Front de Vienne, République de Grèce, République populaire d’Épire, États-Unis d'Amérique
• Alliances et Organisations membre : Organisation Mondiale du Commerce, Organisation des Nations Unies
Dernière édition par Giovale le Ven 2 Mai 2014 - 18:51, édité 4 fois
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République de Grèce - Ελληνική Δημοκρατία ◈
URGENT : Violentes émeutes en Grèce, près de 70 morts
Plusieurs formations politiques de droite (Nouvelle Démocratie, Grecs Indépendants) et d'extrême-droite (Aube Dorée et Alerte Populaire Orthodoxe) avaient appelé aujourd'hui l'ensemble du peuple grec à manifester contre l'ingérence totale du gouvernement de gauche, mais aussi contre la montée très inquiétante du communisme dans le monde entier et surtout en Grèce. L'ANTARSYA, parti de gauche anticapitaliste et antilibérale, fait effectivement une percée certaine dans le milieu de la politique. Il avait ainsi obtenu 22% des sièges lors des dernières élections législatives, se plaçant ainsi en seconde position derrière le Mouvement Socialiste Panhellénique. Or, la montée des conflits liés justement au communisme dans plusieurs endroits du globe inquiète énormément une partie des Grecs, qui redoutent que l'instabilité du gouvernement socialiste actuel conduise à un coup d’État communiste. Quant au gouvernement, il est jugé tout simplement incapable de relever la situation sociale et économique du pays qui, même s'il ne régresse plus depuis 2016, notamment du fait de la sortie de l'Union Européenne, ne rattrape pas son retard sur la majorité des nations européennes développées, affichant ainsi une puissance financière similaire à celles de petits pays comme la Géorgie ou l'Arménie.
Les manifestations en question ont été une véritable démonstration de ce rejet des Grecs de la politique actuelle et de la perspective de voir émerger un gouvernement communiste, puisqu'elles ont réuni près de 1 200 000 personnes dans les rues d'Athènes, 250 000 à Thessalonique, 125 000 à Kalamata, 110 000 à Héraklion ou encore 70 000 à Veroia et 60 000 à Kyparissia. Ces dernières ont rapidement tourné à d'effroyables scènes d'émeutes, conduisant la police urbaine à intervenir. Celle-ci a rapidement été dépassée par ces évènements d'une rare violence, qui ne sont pas sans rappeler ceux survenus à l'aube de la révolution ukrainienne, il y a près de sept ans de ça. A Athènes, les policiers ont dû battre en retraite face à plusieurs milliers d'émeutiers, emmenés par les emblématiques leaders de l'extrême-droite radicale du pays, l'Aube Dorée. Beaucoup de suiveurs se sont laissés entraîner par la tentation de s'en prendre aux représentants des forces de l'ordre, représentation-même de l'autorité d'un gouvernement qui n'a eu de cesse de les décevoir. Les émeutiers ont attaqué les policiers à coups de pierres, cocktails Molotov, lance-flammes artisanaux, fusils de petit calibre, ou encore mobilier urbain et autres battes de base-ball. Les scènes ont duré jusqu'à la tombée de la nuit à Thessalonique, et perdurent actuellement à Athènes et Héraklion. Au premier bilan, on dénombre près de 20 policiers tués, pour une cinquantaine de manifestants abattus et plusieurs centaines de blessés. Les secours sont complètement débordés à Athènes, où des blessés gisent au sol sans que personne ne puisse les secourir.
Par ailleurs, certains groupuscules armés de semi-automatiques ont, selon des témoins, été aperçus à Athènes et Thessalonique. Ils n'auraient pas fait usage de leurs armes mais auraient menacé avec les passants, les forçant à quitter certains lieux où même parfois à participer aux émeutes. Si l'on ne sait pour l'instant pas la provenance de ces armes, les spécialistes suspectent grandement l'existence d'une organisation internationale ou européenne secrète rassemblant certaines forces d'extrême-droite, qui aurait pu se procurer des armes sur le marché noir et donc en pourvoir les groupuscules grecs d'extrême-droite.
Conséquences : perte du contrôle du gouvernement de certains quartiers d'Athènes, des centres-villes de Thessalonique et Héraklion.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République de Grèce - Ελληνική Δημοκρατία ◈
Cinquième jour de combats urbains en Grèce
La situation est de plus en plus chaotique en Grèce, où les émeutes continuent de plus belle, et ne s'arrêtent qu'à la tombée de la nuit pour reprendre dès l'aube. A Athènes, ce sont plus de 20 000 individus qui ont fait face à la Police, conduisant à l'arrestation de 50 d'entre eux, et à la mort de 2 policiers ainsi que 16 manifestants. La violence de ces affrontements est graduelle, puisque certains émeutiers sont armés de grenades lacrymogènes, de bombes artisanales, de cocktails Molotov, de barres de fer ou encore de grillages, et n'hésitent pas à se servir de ces armes contre les policiers qui sont complètement dépassés. A Plaka, quartier très passant et vaste du centre de la capitale grecque, quelques milliers de militants antifascistes ont fait face à des émeutiers d'extrême-droite, conduisant notamment à la mort d'un leader communiste. Le gouvernement a mobilisé dans l'urgence 10 000 policiers en renfort, portant le total d'hommes mobilisés à près de 22 000 rien qu'à Athènes. Les alentours du Vouli, le parlement grec, sont barricadés par les forces de l'ordre qui ont pour mission d'empêcher les manifestants de pénétrer dans le bâtiment et de saccager les lieux. Mais les émeutes progressent et la tête du cortège n'est plus qu'à 100 mètres de ce dernier.
A Héraklion, en Crète, deux personnes auraient été tuées suite à un mouvement de foule. Elles ne faisaient, a priori, même pas partie des manifestants. Par ailleurs, le hall d'accueil de la Mairie a été le théâtre d'affrontements entre néo-nazis et antifascistes. Les lieux sont complètement saccagés et une cinquantaine d'employés de la mairie ont été blessés. A Thessalonique, les affrontements entre forces de l'ordre et militants d'extrême-droite se poursuivent, mais une partie du centre-ville semble cependant être repassée sous contrôle de la Police.
Le président va s'exprimer ce soir sur la principale chaîne télévisée nationale au sujet de ces évènements, et devrait annoncer la mise en place de mesures drastiques.
L'Est d'Athènes sous contrôle total de l'Aube Dorée
Profitant que les forces de l'ordre athéniennes soient quasiment toutes mobilisées en centre-ville sur les lieux des affrontements, une centaine de militants de l'Aube Dorée ainsi que plusieurs autres groupuscules apparentés ont pris possession des quartiers de Zografou, Vironas, Dafni et Ilioupoli. Des barrages filtrants ont été mis en place, et l'accès à certaines rues du quartier n'est possible qu'au bon vouloir de ces hommes cagoulés et armés de battes de base-ball, de fusils ou armes de petits calibres. Des groupuscules se relaient pour surveiller les rues du quartier, sous les yeux médusés et terrorisés des riverains, avec pour consigne de passer à tabac toute personne d'une autre race. Ces quartiers sont connus pour abriter des minorités ethniques, en majorité des Albanais, mais aussi des Maghrébins.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
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Le Parlement grec pris d'assaut et mis en feu
Le Vouli a été pris d'assaut ce matin à l'aube, alors que nous entrons dans le huitième jour d'affrontements urbains. En effet, une partie des policiers présents pour défendre le bâtiment ont décidé de rendre les armes, et certains se sont joints aux manifestants. Vers 6H30, des individus ont réussi à briser la protection policière restante et ont pénétré dans le Parlement en éclatant les vitres avec des barrières de chantier. Immédiatement, ces derniers ont mis le feu aux locaux d'administration, et ont pénétré dans l'hémicycle pour saccager les installations. Heureusement, aucun employé n'était présent, ces derniers ayant été évacués à titre préventif en amont. Le Parlement est actuellement toujours en flammes, et ces dernières progressent désormais vers l'aile Est. Les Pompiers ont dû rebrousser chemin, après que des cocktails Molotov et autres pierres leur aient été envoyés.
De son côté, l'Aube Dorée a maintenant pris le contrôle de l'ensemble de la partie Est de la ville, ainsi que de la moitié des quartiers périurbains du Sud. Tous les magasins ont fermé boutique, et certains n'ont pu éviter des scènes de pillage. Les militants d'extrême-droite se seraient servis dans les magasins alimentaires pour distribuer des rations aux résidents 100% grecs. A côté de ça, des rixes ont éclaté localement entre ces groupuscules et des groupes de populations albanaises. Aucune information officielle n'est disponible, puisque les autorités n'ont plus accès aux quartiers, mais il semblerait qu'il y ait plusieurs morts et des dizaines de blessés dans chaque camp, des coups de feu ayant été entendus à plusieurs reprises. Des patrouilles sont organisées par l'Aube Dorée, et des rafles ont lieu sur des individus jugés suspects. La terreur est de mise dans ces quartiers, ce qui a poussé leurs habitants à se barricader chez eux en attendant que la situation évolue.
L'Armée désavoue le gouvernement !
Le chef de l’État-major, Alexandrou Siflakis, a déclaré dans un bref communiqué diffusé sur l'ensemble des chaînes publiques et d'informations qu'il avait d'ores et déjà ordonné la mise au pas de l'ensemble des corps de l'Armée. Cette dernière ne reprendra du service que quand le gouvernement aura présenté sa démission, et n'interviendra donc pas pour enrayer les émeutes comme cela était fortement pressenti. Une partie de l'effectif de l'Armée a d'ailleurs déjà déserté et s'est rangée du côté du mouvement contestataire. Ceci ajouté à la désertion d'un tiers des effectifs de Police plonge désormais le pays dans l'anarchie, du moins dans certaines zones enclavées où les forces de l'ordre étaient, à la base, peu présentes. A Alexandroupouli, ville du nord du pays, à une demi-heure de la frontière turque, une violence manifestation antisémite s'est déroulée, sans aucune répression ni impunité.
Insurrection antifasciste à Ioannina
La ville de Ioannina, dans le Nord-Ouest est actuellement le théâtre de violents débordements causés par plusieurs dizaines de milliers de militants se revendiquant du marxisme, et du trotskysme ou encore de l'anarchisme pour certains. Cette ville est en effet le quartier général de l'antifascisme grec, et même de toute l'Europe du Sud-Est, puisque s'y déroulent chaque année d'importants rassemblements d'antifascistes grecs et des pays voisins. Ioannina contre donc la tendance à la contestation d'extrême-droite. La Mairie est maintenant totalement occupée par ces militants, les employés ayant été contraints de quitter les lieux en urgence. Par ailleurs, des affrontements ont lieu en centre-ville contre la Police d'une part, et contre une centaine de militants d'extrême-droite d'autre part.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République de Grèce - Ελληνική Δημοκρατία ◈
Réponse au Front de Vienne
Nous acceptons votre proposition de soutien militaire. Notre propre armée ayant trahi son propre drapeau, il faut absolument que l'ordre soit partiellement rétabli, notamment dans notre capitale, afin de garantir la sécurité de nos citoyens.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République de Grèce - Ελληνική Δημοκρατία ◈
Télex secret de l'Aube Dorée à l'Italie ainsi qu'à l'Organisation Armée Européenne
Comme vous le savez, notre pays traverse une grande crise anti système, c'est donc le moment rêvé pour prendre les devants et instaurer un régime anticommuniste et pratiquant l'exclusivité nationale. Nous demandons donc votre collaboration dans notre révolution et aimerions que vous nous fournissiez en armes de tous types le plus rapidement possible, afin que nous puissions prendre le contrôle du pays. Notre stock de munitions précédemment acquises est par ailleurs épuisé aux deux tiers. La situation presse, il nous faut des armes. Nous accepterons également tout renfort humain. De potentiels volontaires et camarades de combat seront les bienvenus.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République de Grèce - Ελληνική Δημοκρατία ◈
Message secret des Révolutionnaires épiriens à l'ensemble des régimes communistes de ce monde
Chers camarades, nous sommes l'organisation marxiste qui a pris le contrôle d'une partie de la région grecque d’Épire et des trois quarts de sa capitale, Ioannina. Comme vous le savez, notre pays vit aujourd'hui une crise sans précédent, organisée de toute pièce par les néo-nazis. Nous nous devons de contrôler totalement notre région qui reste le dernier bastion communiste du pays. La division du pays est aujourd'hui inévitable. La République de Grèce n'est plus que le passé. Tandis que les forces coalisées du Front de Vienne devraient intervenir à Athènes et dans certaines autres villes pour repousser les nazis des rues, nous nous devons d'assurer la sécurité de la région d’Épire et d'y instaurer les grands principes qui font la force de notre idéologie populaire. Nous en appelons donc à tous les volontaires, et à tous les pays pouvant nous fournir des armes de s'engager à nos côtés. Aidez-nous chers camarades.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής ◈
Politique intérieure
Après la proclamation officielle de la République sociale d'Attique par le leader de l'Aube Dorée, Nikólaos Michaloliákos, la région tout entière a retrouvé un peu de répit. Les combats urbains à Athènes se sont achevés et les habitants constatent maintenant l'ampleur des dégâts causés par ce mois entier de guerre civile. A travers les décombres en centre-ville d'Athènes, gisent des milliers de corps sans vie. Les dégâts matériels sont, eux aussi, extrêmement importants. Le Parlement est détruit à 40%, et la Mairie à 70%. Heureusement, aucun monument historique n'a été touché par les affrontements, et tous sont donc intacts. Le bilan de la guerre civile, pour l'Attique seulement, est très lourd : 28 000 morts, plus de 80 000 blessés et 15 000 personnes toujours portées disparues. Les Athéniens sont complètement désemparés et bien que la perspective d'une indépendance totale de l'Attique les effraie, ils demeurent soulagés que les violences se soient enfin arrêtées. Certains se demandent comment ils feront pour garder des relations avec les membres de leur famille résidant en République de Grèce ou en République populaire d’Épire. Aucun n'a pu obtenir de nouvelles de l'extérieur de l'Attique. En effet, les systèmes de communication sont totalement rompus. L'Aube Doré a ordonné que tout moyen de communication avec les autres régions de Grèce soient momentanément coupées, jusqu'à ce qu'un système de contrôle des communications et de contre-espionnage valide soit mis en place.
Nikólaos Michaloliákos s'est autoproclamé président par intérim de la République sociale d'Attique, en attendant l'organisation d'élections législatives anticipées qui se dérouleront dans environ un an. Il a appelé, dans une allocution télévisée sur la première chaîne nationale, seule à pouvoir encore diffuser, à la reconstruction totale du pays et à la mobilisation générale du peuple derrière l’État fort. Il a déclaré son intention de réunifier, à terme, la Grèce en rappelant les principes de la Grande Idée, incluant le rattachement de l’Épire et de la République de Grèce d'une part, et également celui de territoires revendiqués mais actuellement en possession de la Turquie d'autre part. Au sujet de la Crète, le président a été très clair. Les États-Unis doivent quitter l'île et laisser ce territoire en possession légitime de la République d'Attique. Enfin, Michaloliákos a présenté l'existence et la prospérité de la République sociale d'Attique comme seule garantie des libertés individuelles des nationaux, du pouvoir d'achat, du plein emploi et de l'identité. Il a tenu à prévenir que la remise en cause de l’État donnera lieu à de nouvelles violences, ce que ne souhaite absolument pas le peuple d'Attique. Par ailleurs, la composition du gouvernement devrait être annoncée d'ici une semaine au plus tard.
Économie
Le président de la République a annoncé la remise en vigueur de la Drachme, et ce dès le 1er Janvier 2021. Le pays n'a en effet aucune raison de conserver la monnaie unique de l'Union Européenne, alors que la Grèce avait quitté cette dernière il y a plus de six ans. Cependant, une adaptation de la monnaie est prévue et cette dernière pourrait devenir dans quelques temps la Drachme d'Attique, avec l'émission de nouvelles pièces et billets. Pour l'heure, ce sont les anciennes pièces de Drachme, qui furent utilisées jusqu'en 2001 avant l'instauration de l'Euro, qui seront émises par la Banque Nationale d'Attique. Les citoyens pourront, dès Lundi prochain, se rendre dans l'ensemble des agences bancaires qui sont d'ores et déjà nationalisées et mises sous l'égide de la Bande Nationale d'Attique, afin d'échanger leurs Euros contre des Drachmes au taux de conversion 1 Euro = 12 Drachmes. L'ensemble des sommes présentes sur les comptes courants et d'épargne seront, elles, converties en scripturale dès le 15 Décembre. Il faut donc s'attendre à une grande baisse du pouvoir d'achat, mais le président a déclaré que le coût de la vie serait, lui aussi, diminué de moitié.
La République sociale d'Attique n'a pas l'intention de se fermer complètement du monde à l'instar de la Corée du Nord par exemple, et a bien l'intention de développer encore davantage son secteur touristique, afin de le stimuler. Ce dernier, en crise depuis la sortie de la Grèce de l'Union Européenne en 2014, a toujours été l'un des principaux vecteurs de l'économie grecque, et ce sera de même pour l'économie d'Attique. Le pays va donc tenter de lisser ses relations avec les nations d'Europe de l'Ouest, malgré son basculement dans l'autoritarisme. Les Français et Britanniques comptent, en effet, parmi la part la plus importante des touristes étrangers en Grèce. En ce sens, une facilité d'accès au pays pour certaines nations stratégiquement intéressantes pour le tourisme sera instaurée, même si les frontières demeureront contrôlées en permanence et pénétrables seulement sous autorisation. Néanmoins, le tourisme intérieur ne sera pas négligé et, sur le moyen terme, après reconstruction, le pays aimerait développer le tourisme dans la région du Péloponnèse, quasiment encore vierge de complexes touristiques mais très intéressante en ce qui concerne à la fois son cadre et son patrimoine historique.
Militaire
L'Armée et l'ensemble de ses corps sont désormais à nouveau totalement opérationnels. La quasi-totalité des militaires ayant fait défection pendant l'insurrection ont souhaité se réengager dans la nouvelle armée d'Attique. Ceux qui se trouvaient encore en République de Grèce ont réussi à revenir en Attique et ont déclaré leur motivation de défendre cette nouvelle entité qui les représente pleinement. La quasi-totalité de l'armement de la défunte Armée Hellénique est également à nouveau en possession de l'Armée d'Attique. Cette dernière aura une vocation pleinement défensive, son rôle sera de protéger l'intégrité de l’État et de garantir la sécurité des Attiquiens, s'en prenant seulement aux envahisseurs et entités hostiles. La nouvelle police dépendra maintenant totalement de l'armée. Le découpage de l'Armée est fait ainsi :
- Armée de Terre : environ 110 000 soldats pour 45 000 réservistes ;
- Marine d’État : environ 30 000 marins pour 25 000 réservistes ;
- Force Aérienne : environ 15 000 soldats pour 15 000 réservistes ;
- Police d’État : environ 100 000 policiers, quasiment tous issus de la défection de la Police grecque ;
- Brigades d'Intervention Rapide : 20 000 agents qui seront recrutés dès à présent et constitueront une force d'élite policière ;
- Agence de Sûreté de l’État : organisation composée d'agents secrets dont le but sera de prévenir le terrorisme, les menaces extérieures mais aussi intérieures. Le nombre d'agents ne sera pas communiqué.
Au niveau du développement de l'Armée, il est certain que l'Attique va devoir se doter d'un arsenal encore davantage important, face de probables tentatives d'interventions armées, notamment des États-Unis et du Front de Vienne. Si la Grèce possédait déjà certaines licences d'armes, l'Attique devra faire face à un probable embargo mondial en matière d'armes en se fournissant auprès de ses alliés (pour le moment, seulement l'Italie), de l'Organisation Armée Européenne ou sur le marché noir.
Diplomatie
AUX NATIONS DU MONDE ENTIERAu nom du peuple d'Attique, nous déclarons officiellement l'indépendance de la République sociale d'Attique. Cette dernière intervient pleinement à la suite d'une initiative populaire. Le peuple d'Attique a choisi la désolidarisation totale de la République de Grèce et de la République sociale d’Épire, et l'ensemble des nations de ce monde doit respecter leur choix. Une guerre civile avait lieu depuis un mois, mettant fin à la vie d'une trentaine de milliers de civils. L'instauration de notre régime signifie l'arrêt total des violences et l'instauration de la paix sociale. L'existence de la République sociale d'Attique est la seule solution à la paix dans la région. Votre devoir est donc de soutenir notre nouvel État et de dénoncer tout interventionnisme extérieur qui ne ferait que remettre le feu aux poudres. Nous ouvrirons une ambassade à chaque pays qui le désirera et qui aura officiellement reconnu notre existence. De plus, ous sommes ouverts à tout échange commercial ou militaire.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής ◈
Politique intérieure
Le président de la République, Nikólaos Michaloliákos, a annoncé la tenue d'élections législatives anticipées plus rapidement que prévu, puisque ces dernières devraient finalement se dérouler le mois prochain. Ainsi, le Parlement sera élu alors que l'hémicycle n'est absolument pas utilisable, étant détruit à moitié. Il conviendra donc de trouver une salle pouvant accueillir temporairement les séances du Parlement jusqu'à ce que l'hémicycle soit complètement reconstruit. Cependant, les partis qui voudront se présenter aux élections législatives à venir devront répondre à plusieurs critères : 1- Ne pas avoir participé au gouvernement destitué par la voie populaire par le biais de la révolte ; 2- Ne pas se revendiquer, appartenir ou être soupçonné d'appartenir à une organisation se revendiquant d'une idéologie marxiste ; 3- Partager et revendiquer les valeurs nationales qui font la force de la République sociale d'Attique. En outre, les partis qui souhaiteront se créer ou faire perdurer leur existence vont devoir déposer un dossier auprès du cabinet présidentiel. L'ensemble des partis ou organisations politiques qui n'auront pas obtenu l'autorisation présidentielle seront automatiquement et systématiquement censurés et démantelés. Pour l'heure, seulement deux partis politiques ont le droit d'exister : l'Aube Dorée évidemment, ainsi qu'Alerte Populaire Orthodoxe, un parti nationaliste, pro-orthodoxe et revendiquant ses idées de la période des Colonels. Le président a tenu à prévenir que toute tentative de création d'organisation contraire aux valeurs de la République sociale d'Attique sera totalement réprimée et ses instigateurs lourdement sanctionnés. Le même principe d'autorisation présidentielle préalable sera appliqué à tous les médias, ainsi qu'aux associations et clubs de sport. Aucune organisation ne peut donc être créée sans l'aval du président de la République. De ce fait, l'ensemble des organisations existant avant la proclamation de la République sociale d'Attique sont mises en sommeil, jusqu'à que l'autorisation présidentielle leur soit accordée.
Le pays est complètement paralysé, au lendemain d'une guerre civile qui a fait d'énormes dégâts. S'il convient évidemment de reconstruire l'ensemble des bâtiments importants détruits dans la capitale, l'heure est aussi à la reprise des institutions et du service public. Ce dernier conservera sa structure d'avant révolution, mais sera réformé et adapté aux besoins du nouveau pays dans un court délai. Jusqu'à la formation d'un nouveau gouvernement transitoire, la totalité des domaines relevant du service public reprendra sa façon de fonctionner habituelle. A l'exception, évidemment, de la Police qui dépend désormais de l'Armée, et dont la structure interne ainsi que l'organisation des missions de maintien de l'ordre dépendent maintenant exclusivement de l’État-major et du prochain Ministre des Armées. De vastes réformes sociales et structurelles sont à attendre une fois que le Parlement sera élu, ce dernier sera d'ailleurs, sauf grosse surprise, à grande majorité Aube Dorée et groupes affiliés. Un regroupement d'une centaine de personnes a eu lieu, d'ailleurs, ce matin en centre-ville d'Athènes, pour dénoncer la désormais totale mainmise de l'Aube Dorée sur le pays. Ce dernier a été empêché par l'intervention de 250 policiers qui ont fortement passé à tabac les manifestants et en ont capturé 80 d'entre eux.
Militaire
Un nouveau corps, qui agira sous l'égide de l'Armée de Terre, vient d'être créé. Il s'agit des Forces Douanières, dont la mission principale sera de contrôler les flux humains, matériels et financiers entrant et sortant du pays, et d'appliquer la politique de protection nationale plébiscitée par le président de la République. Celles-ci seront composées de 20 000 militaires, qui seront équipés de la même façon que l'ensemble des soldats de l'Armée de Terre. Au niveau de la Marine Nationale, l'ensemble des navires a repris du service, avec pour mission prioritaire de former une protection totale de l'espace marin d'Attique, et d'intercepter automatiquement tout navire civil, industriel ou militaire étranger souhaitant pénétrer dans les eaux du pays. Effectivement, aucun navire étranger n'est autorisé, jusqu'à nouvel ordre, à pénétrer dans l'espace marin national, sauf dérogation exceptionnelle. Pour ne pas s'enclaver, le pays devra continuer ses importations et exportations, ainsi les cargos de transport grecs et quelques étrangers également pourront circuler comme avant. Un strict et systématique contrôle des navires étrangers entrants sera effectué dès leur amarrage sur les docks par les Forces Douanières, afin d'enrayer totalement le trafic d'armes, de drogue et de produits de contrefaçon. L'Armée de l'Air fonctionnera, de même, au niveau d'alerte total, et quadrillera en permanence l'espace aérien d'Attique, avec pour ordre d'intercepter tout aéronef étranger. Le trafic aérien est, de fait, totalement rompu, et reprendra normalement dans quelques jours, après restructuration du fonctionnement de l'aéroport international d'Athènes. En attendant, l'Armée en général doit augmenter son équipement militaire en vue d'une meilleure défense. Il est peu probable que la plupart des fournisseurs d'armement jusqu'alors acceptent de le poursuivre depuis la création de l'Attique. Le pays envisage donc de se fournir sur le marché noir. Mais, en attendant, il possède quelques licences et le savoir suffisant pour construire quelques modèles de blindés et chars secondaires, notamment le BMP-1 dont il possède un modèle spécifique, fourni par l'Union Soviétique en 1983. Évidemment, le pays devra pour le moment se contenter de sa réserve en matériaux, ce qui va forcément augmenter le prix unitaire de chaque véhicule produit. Sont donc lancés à la production dès aujourd'hui :
- 50 blindés BMP-1, pour un coût total de 1 200 000 000 Drachmes, soit environ 100 000 000 d'Euros ;
- 50 blindés de transport Léonidas, pour un coût total de 1 800 000 000 Drachmes, soit environ 150 000 000 d'Euros.
Diplomatie
[/quote]Réponse à la République islamique d'IranNous vous remercions sincèrement d'être la toute première nation à reconnaître officiellement l'existence de la République sociale d'Attique. Nos deux pays partagent certaines valeurs communes qui, à coup sûr, vont nous permettre d'établir de bonnes relations diplomatiques durables. Nous vous proposons de rouvrir votre ambassade à Athènes et aimerions également disposer d'une ambassade à Téhéran. Nous aimerions également engager divers échanges dans les domaines du tourisme, des matières premières, des hydrocarbures et de l'armement. Plus généralement, nous aimerions un partenariat économique avec vous. A ce titre, nous aimerions vous rencontrer prochainement.Message à la République sociale d'ItalieNous vous proposons d'établir officiellement des relations diplomatiques entre nos deux pays partageant une idéologie et une conception de l’État fortement semblables. Nous vous proposons de rouvrir votre ambassade à Athènes, et aimerions en ouvrir une à Rome. Nos pays ont plus que jamais besoin de se soutenir mutuellement face à la montée du communisme partout dans le monde, ainsi que de l'interventionnisme américain.Message aux États-Unis d'AmériqueNous vous sommons de quitter sous 72 heures le territoire de Crète, dont le peuple a confirmé son souhait de rattachement à la République sociale d'Attique. En ce sens, votre présence sur l'île n'a plus lieu d'être et ne fait qu'envenimer les tensions et provoquer la violence. Si vous n'exécutez pas ce que nous vous demandons, nous considérerons votre action comme une violation de notre territoire et prendrons les mesures adéquates pour la faire cesser.
Invité- Invité
Re: [Accepté] République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής
◈ République sociale d'Attique - Κοινωνική Δημοκρατία της Αττικής ◈
Militaire
Alors que la Crète vient tout juste de se libérer de l'occupation américaine illégitime, l'heure est désormais à l'évaluation financière des dégâts causés par l'armée américaine, notamment l'aéroport de Héraklion endommagé, la végétation du parc naturel de Crète, dont l'extrémité Est se situe à 3 kilomètres à peine de l'aéroport international, complètement saccagée par le passage des chars de l'US Army et par leurs manœuvres, mais aussi le pillage de certaines boutiques et autres supermarchés du centre-ville par les soldats américains. Maintenant que l'Attique vient de reprendre le contrôle total sur l'île qui lui appartient légitimement, le pays n'a absolument pas l'intention de payer de sa propre poche l'ensemble des dommages causés par les Américains. Athènes a fait savoir qu'elle allait transmettre la facture des dégâts à Washington le plus rapidement possible. Le pays est déjà dans une situation financière assez délicate depuis la guerre civile, et ne peut pas se permettre de payer à la place des nations qui viennent délibérément violer son territoire en outrageant complètement ses équipements et son patrimoine naturel. Environ 45 000 soldats de la Terre sont dès maintenant dépêchés en Crète et vont investir l'ensemble de l'île avec pour mission de contrôler particulièrement et en permanence les transits internes de marchandises. C'est aussi une flotte de près de 120 avions qui vont réinvestir dès à présent les trois bases aériennes de l'île de Crète, à Héraklion, La Canée et Agios Nikolaos. A l'instar du ciel de l'Attique continental, celui de la Crète sera particulièrement surveillé, et chaque aéronef qui y pénétrera sans autorisation préalable sera abattu par les quelque 500 pièces d'artillerie antiaérienne qui sont dès à présent redéployées sur l'ensemble de l'île. Par ailleurs, la Marine va mobiliser 5 de ses frégates, ainsi que 8 canonnières et 10 bateaux d'attaque rapide pour effectuer une veille totale dans les eaux côtières de la Crète. Ordre leur sera également donné de détruire tout bâtiment non autorisé à pénétrer dans les eaux d'Attique. Le message est donc très clair et sans ambiguïté : tout pays qui ordonnera à l'une de ses flottes de rentrer dans l'espace aérien et les eaux territoriales de l'Attique verra cette dernière se faire immédiatement anéantir.
Diplomatie
Réponse à la République de TurquieNous soulignons votre volonté d'apaiser les tensions entre nos deux nations voisines, qui se querellent toujours autant au fur et à mesure que les siècles passent. Nous acceptions votre aide d'urgence de 5 milliards d'Euros et vous remercions de reconnaître officiellement notre nation. C'est avec plaisir que nous vous recevrons à Athènes, ce qui sera également l'occasion de régler les différends territoriaux qui nous opposent une bonne fois pour toutes. Nous serons également ravis de rouvrir votre ambassade dans notre capitale, si bien-sûr vous l'acceptez.Réponse à la République islamique d'IranMerci de votre réponse. Nous viendrons dès que possible à Téhéran pour parler d'affaires avec vous et officialiser l'ouverture de notre ambassade dans votre capitale.Message aux États-Unis d'AmériqueMerci d'avoir quitté notre territoire dans les délais que nous vous avons imposés. Si nous vous remercions de votre réactivité, nous devons cependant vous annoncer que les dégâts causés sur l'île de Crète par votre Armée sont considérables et que nous ne pourrons pas les assumer nous-même. Nous vous demandons donc de régler la facture suivante, qui correspond à l'ensemble du vandalisme perpétré par votre armée sur l'île :[justify]- Réparation du tarmac de l'aéroport de Héraklion : 1 500 000 USD ;
- Réhabilitation du terminal n°4 : 2 000 000 USD ;
- Replantation de la végétation saccagée par les chars américains dans le parc naturel de Crète : 4 000 000 USD ;
- Indemnisation des commerçants pillés en centre-ville : 1 000 000 USD ;
- Nettoyage complet du centre-ville et des alentours de l'aéroport : 500 000 USD ;
- Indemnisation à titre de préjudice moral envers les habitants de l'île : 5 000 000 USD.
TOTAL = 14 000 000 USDLa République sociale d'Attique se satisfait que plusieurs pays aient déjà reconnu son existence (Iran, Turquie et Royaume-Uni) mais espère que beaucoup d'autres le feront dans ces prochains jours. Le pays se doit d'exister sur la scène internationale coûte que coûte. Au niveau de l'actualité internationale, le président a tenu à réagir à certains niveaux. Tout d'abord, il a tenu à faire savoir que la République sociale d'Attique reconnait officiellement l'existence de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques, voyant même d'un bon œil le retour au communisme de la désormais défunte Russie, malgré la différence idéologique évidente qui oppose les deux pays. En effet, l'Attique pense, au contraire de la plupart des pays d'Europe de l'Est, que le retour de l'URSS ne signifie pas que cette dernière cherchera à reconquérir ses anciens territoires. Ensuite, Athènes condamne fermement les actions impérialistes et destructrices de l'Australie et des États-Unis en Papouasie indonésienne. Nous estimons que l'Indonésie n'a jamais été aussi instable que depuis que les alliés de l'ogre impérialiste américain sont intervenus dans le pays. Athènes tient à rappeler que la guerre causée par ces derniers a déjà provoqué des centaines de milliers de morts, dont la majorité furent des civils. Nous dénonçons l'ingérence totale de la coalition pro-Américains dans ce conflit, l'intervention étant motivée selon nous par des motifs tels que la soif de dominer un maximum de territoires possibles à travers le monde, et non pas de régler de pseudos problèmes de démocratie. Nous apportons donc notre soutien de principe à l'Indonésie et appelons Australie et États-Unis à ne pas s'enfoncer dans le ridicule et à cesser leurs actions assassines sur les terres indonésiennes. La guerre en Indonésie n'a plus aucun fondement, le régime ayant par le passé envahi la Papouasie Nouvelle-Guinée s'étant tout simplement retiré. Que Washington écoute, comme elle l'a fait pour la violation de territoire commise en Crète, le peuple américain qui est exaspéré par sa politique interventionniste, agressive et opportuniste. Par ailleurs, nous verrions d'un bon œil le rattachement de la République d'Irak à la République islamique d'Iran. Nous considérons ce dernier comme tout à fait responsable et à même d'offrir au peuple irakien la progression sociale qu'il mérite. Enfin, Athènes s'offusque que l'on ait laissé le Brésil agir en toute impunité en Bolivie. L'intervention de ce dernier relevait d'un total impérialisme visant à étendre sa sphère d'influence en Amérique du Sud, et non pas à agir pour le peuple bolivien. Encore une fois, les grandes nations de ce monde ont brillé par leur absence là où elles auraient dû être pour condamner des violations de territoire manifestes, et par leur présence là où elles n'avaient pas leur place.
Invité- Invité
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