Rencontre germano-indonésienne

Janas Guyhono, ministre de l'économie et des affaires étrangères

Jakarta, capitale de l'Indonésie. Alors que les habitants de la ville participent à l'effervescence de celle-ci, Janas Guyhono attend à l'aéroport international de la ville, inquiet. Il doit en effet rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel, et il sait que cette rencontre est extrêmement importante pour l'Indonésie, qui se doit de renouer des liens avec l'Europe. Après l'arrivée de la chancelière, les deux politiciens se rendirent en voiture au siège du gouvernement de la RPDI.


Arrivée d'Angela Merkel

Arrivés à destinations, le ministre et la chancelière s'assirent avec leur suite dans une salle. Janas guyhono, toujours une tasse de café à la main, entama la discussion. Il expliqua à Mme Merkel que l'Indonésie avait été lâchée par l'Occident suite à la création de la RPDI, ce qui selon lui n'avait pas lieu d'être puisque l'Indonésie est loin d'être une dictature.
Il proposa à la chancelière de renouer des liens étroits entre la RFA et la RPDI, aussi bien diplomatiques qu'économiques. Les exportations indonésiennes, si la RFA accepte de renouer des liens, selon redirigées en priorité vers l'Allemagne pour ensuite être dirigées dans toute l'UE. Priorité que partageront l'Allemagne et l'Argentine.
La RPDI attend l'avis allemand concernant les propositions faites par l'Indonésie, pour rappel la recréation de liens germano-indonésiens étroits.

Janas Guyhono : Et pourquoi donc ? Si vous nous prenez pour une dictature, vous allez être surprise, puisque c'est aujourd'hui, jour d'amitié germano-allemande, que nous avons fait faire un référendum historique. *Il allume une télévision placée dans la pièce* Ils vont annoncer les résultats.
TV : Voici les résultats du référendum historique dit d'acceptation : les Indonésiens ont accepté que les opposants politiques soient relâchés et non plus surveillés...
J.G. : Sans surprise.
TV : ... de justesse à seulement 50,8 % des voix...
J.G. : C'est passé serré
TV : ...Cependant ceux qui auront fait usage de la violence seront surveillés par un bracelet électronique.
J.G. : Encore heureux ! *il se tourne vers la chancelière* Vous voyez ! La RPDI arrive à entretenir un communisme modéré et vraiment démocratique sans pour autant user de répression meurtrière telle qu'elle a été utilisée par des camarades comme Staline ou Mao. Nous aimerions vraiment que vous réfléchissiez aussi sérieusement que possible à la recréation de liens diplomatiques.