[Conquête] Conquêtes de la Baltique. [Victoire]

Новгород Республика

Lancier novgorodien.

Conformément aux critères de l'Alliance du Nord, le Prince de Novgorod, Grand-Prince de Vladimir-Souzdal et Prince de Pereïaslav-Rousski Vsevolod III Vladimirski a décidé de soutenir volontairement son allié danois dans sa conquête de l'Etat de Prusses. Alors que son allié danois a lancé son offensive sur le Nord de l'Etat des Prusses, la République de Novgorod est trop loin pour intervenir militairement et terrestrement. C'est ainsi qu'une dizaine de navires de guerre légers et cinq navires de guerre lourds, accompagnés de cinq navires de commerce légers servant également de navires de transport sont en train de faire débarquer deux milles hommes, composés de huit cents fantassins légers, sept cents fantassins moyens et cinq cents archers. Ces deux milliers d'hommes, débarqués à Zelenogradsk et menés par le Comte Vladimir Iur'evich de Mourom, sont placés sous le commandement danois dont le Duc danois Valdemar II sera libre d'en disposer lui-même, dans la limite du raisonnable et à égal de ses siens.

Parallèlement, dix-huit milles hommes sont levés également et dirigés par le Prince héritier Constantin Vladimirski lui-même ainsi que le Bourgmestre Gavriil de Rostov. Trois axes sont privilégiés où six milles hommes emprunteront le premier axe rouge alors que les douze milles derniers emprunteront les deux axes bleus, à savoir six milles hommes par axe. L'Etat de Courlande risque fortement de repérer les déplacements des troupes novgorodiennes et vladimiriennes mais la supériorité numérique et organisatrice des Rus' l'emportera sur les perfides païens courlands.

Spoiler:

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Le Prince héritier Constantin Vladimirski.

En ces derniers mois de l'année 1202, le mois d'octobre était un peu plus doux que les octobre précédant mais déjà les chaleurs d'automne commençaient à s'estomper. En vertu donc de différents accords et traités liant la République de Novgorod et d'autres Etats, cette dernière se lance à l'assaut de l'Etat de Courlande. Cet Etat païen est l'un des rares à être organisé, ne vivant pas sous forme de tribus comme le font la plupart des païens. Avec dix-huit milles hommes levés, finalement il fut décidé que le plan d'invasion serait d'envahir l'Etat de Courlande par le Nord et le Sud de l'Etat. Les deux armées sont dirigées par le Prince héritier Constantin Vladimirski et le Bourgmestre Gavriil de Rostov. Le premier prend le commandement de la première armée novgorodienne qui attaque par le Nord alors que le Bourgmestre prend le commandement de la deuxième armée novgorodienne qui attaque par le Sud. Néanmoins, alors que les troupes novgorodiennes s'approchaient de plus en plus des territoires courlandes, ces dernières traversaient des villages de tribus livoniennes complètement vides. Comme si les habitants, ces païens, étaient partis quelques jours avant l'arrivée des troupes rus'. Mais malgré ces traversées de villages vides qui inquiétait grandement les hommes et les officiers novgorodiens, le plan initial fut maintenu.

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Bataille de la Daugava:

Après avoir traversé le fleuve Daugava, les neufs milles Novgorodiens et Vladimiriens, composés de deux milles six cents fantassins légers, mille fantassins moyens, cinq cents fantassins lourds, sept cents cinquante lanciers, deux cents cinquante piquiers, mille cinq cents archers, cinq cents arbalétriers, mille cavaliers légers, cinq cents cavaliers moyens, deux cents cavaliers lourds, deux cents boyards et une catapulte, et le Prince héritier Constantin Vladimirski se lancèrent à l'assaut de l'armée païenne de deux milles cinq cents hommes retranchée qui lui faisait face. Tous les Novgorodiens et les Vladimiriens furent surpris par le fait de trouver dans le même camps et attendant de pied ferme ensemble Courlands et Livoniens.

Bataille de Lyva:

Attaquant par Sud, le Bourgmestre Gavriil de Rostov et ses neuf milles hommes, de la même répartition que la première armée novgorodienne mais en y rajoutant un trébuchet, celui-ci arriva près du village courland de Lyva. Cet important village est le plus important de la région et fut fortifiée à la va-vite par les forces courlandes et livoniennes en présence. Par ailleurs, en plus de deux milles cinq cents hommes, mille hommes du village participent à la bataille. Après avoir bombardé durant plusieurs dizaines de minutes le village et ses fortifications de bois avec la catapulte et le trébuchet, l'assaut mené par le Bourgmestre Gavriil de Rostov fut lancé contre le village courland.

Assaut novgorodien contre les positions courlandes et livoniennes près de la Daugava.

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Le Prince héritier Constantin Vladimirski.

Bataille de la Daugava:

Alors que les troupes novgorodiennes et vladimiriennes prenaient d'assaut les positions courlandes et livoniennes, le courageux et futur Prince Constantin Vladimirski, fils héritier de Vsevolod III Vladimirski, prit le commandement de la cavalerie et mena ses deux cents boyards dans une charge spectaculaire sur le flanc droit des Courlands tel que les plus grands combattants rus' le firent. Avec sa garde rapprochée que compose les boyards, sa lance se brisa sur les premiers fantassins légers courlands dont il réussit à en empaler au moins deux. Lâchant sa lance, le Brave jeune Prince sortit l'épée familiale et commença à tailler en pièce les fantassins légers qu'il rencontrait pendant que la charge de cavalerie s'enfonçait dans les lignes courlandes. Malheureusement, une bonne minute plus tard, deux flèches atteignirent son cheval et ce dernier s'effondra au sol avec son cavalier. La chute du cheval fit tomber sur le côté Constantin Vladimirski, dont son épée et son bouclier de chêne ferré volèrent loin de lui pendant sa chute, et le cadavre de son proche cheval tomba sur le Prince lui-même alors qu'il venait tout juste de toucher le sol. Les os du dos et la colonne vertébrale brisée par les centaines de kilogrammes du cheval, Constantin Vladimirski agonisait sur le sol alors que ses cavaliers continuaient leur percée dans les lignes courlandes. Suite à cette accident, deux boyards intervinrent directement sur le lieu mais malheureusement ils ne purent rien faire puisque le fils héritier mourut deux minutes plus tard de ses blessures mortelles. Néanmoins la charge de cavalerie effectuée par l'élite novgorodienne permit à la République de Novgorod de remporter cette sublime victoire sur les païens. Mais suite au décès du jeune Prince, la Première armée bat en retraite de quelques petits kilomètres pour établir son campement fortifié de l'autre côté de la Daugava pendant que le corps de l'héritier est transporté jusqu'à Novgorod. L'offensive de la Première armée est donc arrêtée temporairement.

Le corps de Constantin Vladimirski inerte.

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Le Prince de Novgorod Vsevolod III Vladimirski lui-même sur le champs de bataille.

Alors que les batailles de la Daugava et de Lyva furent de superbes victoires novgorodiennes, les dernières forces courlandaises et livoniennes ont battu en retraite dans leurs derniers territoires. L'Etat de Courlande étant déjà petit Etat, les dernières forces courlandaises et livoniennes sont estimées deux milles cent hommes maximum. Après les jours de deuil par rapport à la mort du Prince héritier Constantin Vladimirski lors de la bataille de la Daugava, la Première et la Seconde armée novgorodienne ont repris l'assaut envers les derniers fiefs courlandais. Par ailleurs, afin d'immortaliser la bataille, le Prince de Novgorod lui-même, Vsevolod III Vladimirski, accompagné par son jeune fils Iouri Vladimirski, a pris la tête de la Première armée novgorodienne. Ainsi il veut personnellement s'occuper d'achever les Courlandais suite à la mort de son premier fils et veut apprendre à son nouveau fils héritier l'art de la guerre et l'art de combattre.

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Bataille de Durbe:

Situé à côté du lac de Durbe, le village de Durbe est le plus grand village courlandais local où les derniers deux milles cent hommes courlandais, soutenus par mille cinq cents hommes du village, ont barricadé le village et se préparent à soutenir l'assaut novgorodien en espérant le briser. Arrivée à quelques centaines de mètres du village, la Première armée novgorodienne voyait les derniers habitants locaux courir se réfugier dans le grand village. Courant pour leurs vies se réfugier, c'est comme si les habitants savaient déjà ce qu'il allait leur arriver si leur village tombe: pillages, viols et meurtres. Et puis ce n'est pas comme si le Prince Vsevolod III Vladimirski avait une raison de se venger des Courlandais. Ce dernier en vu du village sourit et ordonna de lancer tout d'abord les cadavres des anciens prisonniers de la bataille de Daugava par dessus les fortifications du village afin de montrer le funeste sort qui attendait les païens, puis la catapulte tira durant une bonne heure des rochers contre les fortifications. A terme de cette heure, l'assaut général fut ordonné et les huit milles sept cents soixante-dix Novgorodiens, composés de deux milles cinq cents cinquante fantassins légers, neuf cents fantassins moyens, cinq cents fantassins lourds, sept cents cinquante lanciers, deux cents cinquante piquiers, mille cinq cents archers, quatre cents quatre-vingt dix arbalétriers, neufs cents cinquante cavaliers légers, cinq cents cavaliers moyens, deux cents cavaliers lourds et cent quatre-vingt boyards, se ruèrent en bon ordre sur le village.

Bataille de la colline:

Suite à la bataille du village courlandais de Lyva, les trois milles cinq cents Courlandais et Livoniens furent défaits et près de cents furent capturés et fait prisonniers durant cette grande victoire militaire. Le Bourgmestre Gavriil de Rostov a été grandement salué pour cette importante victoire et les cents prisonniers restent incarcérés à Lyva où mille hommes restent pour y maintenir l'ordre et l'autorité novgorodienne. Néanmoins, suite à la défaite des trois milles cents Courlandais et Livoniens, toutes les forces valides du Sud de l'Etat de Courlande ont été défaites. Néanmoins alors que la conquête de la dernière région courlandaise continuait, sur une colline, une petite troupe estimée à cinq cents hommes barra le chemin des sept milles huit cents cinquante Novgorodiens. Les servants du trébuchet et de la catapulte se firent un malin plaisir à bombarder les troupes sur la colline.

Le Bourgmestre Gavriil de Rostov à l'assaut des païens.

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Suite aux deux batailles de Durba et de la Colline, les forces coumanes sont réduites à néan et les derniers fiefs coumans sont tombés sous le giron novgorodien. L'Etat de Courlande est rattaché à la République de Novgorod. Néanmoins, les chefs locaux doivent uniquement prêter allégeance au Prince Vsevolod III Vladimirski et le bain de sang s'arrêtera. Aucun conversion forcée au Christianisme orthodoxe et aucune mission évangélisatrice n'auront lieu également en échange.