[Sommet de l'OTT] Pretoria, 2017.

En ce second semestre de l'année 2017, l'Afrique du Sud a eu l'immense honneur et l'immense privilège d'accueillir cet important sommet. C'est au coeur de Pretoria, capitale de l'Afrique du Sud et ville âgée de 177 ans, que les huit nations membres de l'Organisation du Traité de Tokyo se sont réunies. Le Président de la République Marthinus van Schalkwyk a accueilli un par un avec plaisir les sept autres Chefs d'Etat invités, à savoir: le Premier Ministre éthiopien Haile Mariam Dessalegn, le Président de la Confédération finno-ougrien Sauli Niinistö, l'Empereur nigérien Thessallonicsus Ier, le Premier Ministre coréen Lee Myung-bak, le Premier Ministre indien Manmohan Singh, le Premier Ministre fédéral océanien Tony Abbott et le Premier Ministre japonais Shinzō Abe.
Les principaux thèmes de ce sommet sont:
- l'économie.
- le domaine militaire.
- le contexte internationale.
- la mise en place d'une politique commune sur les situations internationales actuelles.

D'autres thèmes peuvent également être débattu.

Republiek van Suid-Afrika

Le Président de la République Marthinus van Schalkwyk en plein discours.

En ce qui concerne les interventions dans le monde des membres de l'organisation, nous pensons que c'est indispensable au vu de la position de notre organisation à travers le monde et dans le monde actuel. Mais il est indéniable qu'une intervention, militaire ou non, doit avoir un réel intérêt pour l'organisation, comme l'a stipulé le Premier Ministre océanien. Concernant la formation de forces armées communes, la République d'Afrique du Sud se dit formellement contre mais soutient plutôt la création d'une ou deux brigades, c'est-à-dire de 8 000 ou 16 000 militaires, à raison de 1 000 ou 2 000 militaires par pays membres. Ainsi cette (ces) brigade(s) pourra(ont) intervenir concrètement là les intérêts de l'organisation sont. Par ailleurs, toujours en ce qui concerne le domaine militaire, nous proposons également la mise en place d'exercices militaires de diverses natures, à la fois terrestres, maritimes ou/et aériennes, communs avec toutes nos forces armées; afin d'accentuer les coordinations et l'organisation de nos forces armées en cas de conflit armé important, ainsi nos forces armées auront déjà l'habitude de coopérer et de se coordonner ensemble.

Dans le domaine économique, nous soutenons vivement la proposition océanienne par rapport à la création d'un marché intérieur au sein de l'alliance par l'accentuation de nos échanges commerciaux en priorité.

Nous sommes en tous points d'accord avec l'Afrique du Sud et la Fédération Océanienne. 
Dans le domaine économique, sur les 5 dernières années nos échanges avec la Chine et l'URNA ont énormément diminués, et nous avons augmenté de façon drastique nos échanges avec l'OTT. 

Nous pensons également qu'il faudrait se mettre d'accord sur des points diplomatiques importants, tel que les accidents à Chypre, ou encore en Ukraine. Un pays seul n'aura que peu d'importance aux yeux du monde, mais nos 8 pays ensemble permettront de peser lourd sur la balance diplomatique.

Militairement parlant, bien que les projets soient uniques pour chaque pays, nous devrions quand même réfléchir à un développement de matériel commun dans les prochaines années. 

Republiek van Suid-Afrika

Concernant la situation sur l'île de Chypre, nous ne pensons pas que l'organisation devrait intervenir puisque l'île de Chypre, ou même la République de Turquie, ne représente aucun intérêt, à notre avis, pour l'organisation.
Par contre, en ce qui concerne la situation périlleuse en Ukraine, nous pensons au contraire que l'organisation se doit d'intervenir, puisque la Fédération de Russie bloque toute résolution onusienne, afin de contrer la possible mise complète sous sphère russe de l'Ukraine, si Moscou répond favorablement à l'appel à l'aide de Kiev. Nous pensons que nous nous devons d'aider l'opposition politique qui lutte actuellement contre la Présidence autoritaire actuelle et pour retrouver les libertés essentielles.

Nous sommes d'accord pour intervenir en Ukraine. Les Russes tentent de marcher sur les pas des soviétiques, et cela nous donne des doutes sur eux.