[Guerre] Opération Antilope à l'action - Wildsbokke aksie [Reussie]
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[Guerre] Opération Antilope à l'action - Wildsbokke aksie [Reussie]
Republiek van Suid-Afrika
Contexte:
- Spoiler:
- Entre 1966 et 1988: Guerre sud-africaine de la frontière contre l'Angola.
- Depuis le 10 septembre 1979: José Eduardo dos Santos est Président de la République populaire d'Angola, puis de la République d'Angola à partir de septembre 1992.
- 26 août 1992: Fin de la République populaire d'Angola et proclamation de la République d'Angola.
- Septembre 1992: Lors de la première élection présidentielle libre et multipartite, le Président José Eduardo dos Santos se maintient au pouvoir, malgré les résultats de l'élection, et continue à exercer les fonctions présidentielles sans avoir été élu démocratiquement.
- Octobre 1992: La guerre civile angolaise reprend suite à la première "élection libre présidentielle" dont la population dénonce le maintien au pouvoir de José Eduardo dos Santos.
- Entre 2001 et 2008: Les élections présidentielles et législatives sont repoussées sur sept années avec au final une "victoire" du parti politique de José Eduardo dos Santos, le Mouvement populaire de libération de l'Angola, avec 82% des sièges.
- 22 février 2002: Fin de la guerre civile angolaise suite à la mort du leader de l'opposition Jonas Savimbi.
- Janvier 2010: Adoption d'une nouvelle constitution qui, d'une façon directe ou indirecte, concentre tous les pouvoirs entre les mains du président. Elle abolit aussi les élections présidentielles; dorénavant c'est le candidat nº1 du parti ayant reçu le plus de voix aux élections législatives qui devient chef d'État.
- Février 2010: Le pouvoir du Premier Ministre angolais est fortement limité et le Président de la République obtient désormais également le poste de Vice-Président de la République.
- Depuis février 2011: Violentes protestations politiques de la part de jeunes Angolais par des chansons ou encore internet comme les réseaux sociaux.
- Septembre 2011: Manifestation importante contre le pouvoir.
- 31 août 2012: José Eduardo dos Santos est "réélu" au poste de Président de la République avec 71% des votes. Toutefois, afin de protester contre le pouvoir en place, 37.2% des Angolais se sont abstenus de voter. Des estimations tendent à dire que José Eduardo dos Santos n'a en réalité obtenu que 25% des votes.
- Septembre 2012: Le poste de Premier Ministre est aboli.
En outre, au fait des faits précédents et de la situation en Angola, le Président José Eduardo dos Santos est un dictateur autoritaire, comme le montre son régime, et l'un des Chefs d'Etat les plus corrompu du monde, étant fréquemment associé à la grande corruption et au détournement des fonds du pétrole provenant en grande partie de l'enclave angolaise du Cabinda.
Forças Armadas Angolanas:
- 87 000 militaires.
Exército angolanoMarinha de Guerra
- Spoiler:
- 50 T-55.
- 66 T-54.
- 18 T-62.
- 12 PT-76.
- 50 T-72.
- 120 BRDM-1.
- 195 BRDM-2.
- 150 BMP-1.
- 62 BMP-2.
- 50 BM-21.
- 40 BM-24.
- 4 2S3 152 mm.
- 500 D-30 122 mm.
- 48 M-46 130 mm.
- 4 D20 152 mm.
- 40 ZSU-57-2.
- 20 ZSU-23-4.Força Aérea Nacional Angolana
- Spoiler:
- 6 Osa-class missile boat.
- 5 Shershen-class torpedo boat.
- 2 Yevgenya-class minesweeper.
- Spoiler:
- 25 MiG-21.
- 26 MiG-23.
- 6 Sukhoi Su-27.
- 8 Sukhoi Su-17.
- 8 Sukhoi Su-25.
- 6 Embraer EMB 314 Super Tucano.
- 12 Pilatus PC-7.
- 11 Yakovlev Yak-11.
- 5 Embraer EMB 312 Tucano.
- 15 Mil Mi-24.
South African National Defence Force:
- 405 200 militaires.
https://chacunsonpays.forumgratuit.org/t2615-accepte-republiek-van-suid-afrika#60177
Opération Antilope à l'action - Wildsbokke aksie:
5 janvier 2015Depuis 2014, l'Etat-Major sud-africain en parfaite concertation avec le gouvernement sud-africain et le Président de la République d'Afrique du Sud Marthinus van Schalkwyk envisage une intervention militaire en République d'Angola. En effet, la communauté internationale semble être inintéressée par la situation politique et sociale qui ne cesse de se dégrader depuis plusieurs décennies à cause de l'autoritarisme et la corruption du Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos qui est au pouvoir depuis 1979. La population angolaise proteste de plus en plus et appelle à l'aide mais l'Etat angolais est un Etat contrôlant parfaitement les Forças Armadas Angolanas et les forces de l'ordre - ou de répression parfois - angolaises. Face à celà, le peuple angolais ne peut se lancer à nouveau dans une terrible et sanglante guerre civile comme elle l'a vécu de 1975 à 2002, et préfère une intervention militaire étrangère afin d'enfin mettre un terme à leur souffrance quotidienne. La République d'Afrique du Sud a donc décidé d'intervenir militairement, face au déni international, afin de libérer le peuple angolais du joug dictatorial. En outre, l'Afrique du Sud ne peut laisser prospérer une nation despotique à ses frontières où les rancœurs des militaires angolais de la Guerre sud-africaine de la frontière ne cessent d'être amplifiées à la frontière Nord-Ouest de l'Afrique du Sud. La South African National Defence Force passe désormais à l'action en ce début d'année 2015. Mobilisée en VOVER 2 depuis plusieurs petites semaines, celle-ci passe désormais en VOVER 1, c'est-à-dire l'état de guerre général et les conséquences qui vont avec.Une réunion inter-armées secrète et gouvernementale sans précédente eut lieu peu avant le début de l'opération établissant ainsi donc le plan d'attaque et de libération de l'Angola. Durant cette réunion, le Chef d'Etat-Major sud-africain, le Général Solly Shoke, eut l'ingénieuse idée de faire appel à des vétérans de la Guerre sud-africaine de la frontière afin d'obtenir une parfaite connaissance du territoire et du relief angolais. L'opération est nommée ainsi puisqu'une fois le dictateur angolais sera jugé, la paix et la démocratie seront à nouveau quotidien pour nos frères angolais. L'opération doit donc être rapide et fatale.
- Spoiler:
Militaires sud-africains:
- Spoiler:
Briefing des officiers sud-africains avant l'opération:Neutralisation:
Quelques jours après l'importe réunion [a]secrète[/a], l'opération débuta le 5 janvier 2015 dans les environs de 6 heures du matin. L'Etat-Major sud-africain est familiarisé avec les missiles balistiques depuis les années 80 avec le programme balistique clandestin effectué durant cette période, aujourd'hui démantelé, et depuis 2014 avec l'acquisition des licences de production des missiles balistiques indiens Agni. Le choix donc de l'utilisation de missiles balistiques fut donc approuvé afin à la fois de détruire par surprise une partie du matériel angolais mais également, et plus dans l'objectif d'intimider les militaires angolais par la supériorité technologique et militaire sud-africaine. De plus, aucune nation du monde, hormis l'Inde, n'est au courant de la capacité balistique de l'Afrique du Sud, la surprise n'en sera que plus totale.
Le 5 janvier 2015, alors que les premières lueurs allaient tout juste commencer à apparaître, l'opération Antilope à l'approche - Wildsbokke aksie débuta. Les principales bases militaires des Forças Armadas Angolanas se situent à Luanda, Belas, Luena, Kuito, Lubango et Mocamedes, et furent les cibles principales des tirs balistiques. En effet, une soixantaine d'Agni I furent envoyées depuis le Sud-Est du pays, afin d'avoir suffisamment de portée balistique, et touchèrent au bout de quelques petites minutes les bases militaires ci-dessus, à raison de dix missiles balistiques par base. La surprise au sein de ces bases militaires furent complètes puisqu'une grande majorité des militaires angolais étaient en train de se réveiller ou de s'habiller au moment des impacts balistiques. Très peu de temps après ces derniers, de l'ordre de quelques petites minutes, une importante force aérienne sud-africaine de la South African Air Force franchit la frontière angolo-sud-africaine afin de frapper une nouvelle fois les principales bases militaires angolaises. Soixante-quatorze appareils, soit vingt JAS 39C/D, huit Hongdu JL-8W, six Chengdu J-7PG et quarante F-35A Lightning II arrivèrent rapidement au dessus des bases militaires qui étaient complètement désorganisées avec des militaires courant un peu partout au sol et cette complète désorganisation profita donc grandement à la force aérienne sud-africaine qui les bombarda méthodiquement. De nombreux appareils aériens angolais furent également détruits au sol par les tirs balistiques ainsi que les bombardements aériens et mitraillages au sol subis.Mais la neutralisation des forces armées angolaises ne s'arrêta pas là puisqu'une branche de l'armée angolaise n'avait pas été sévèrement touchée: la Marinha de Guerra. En effet, quelques heures avant le déclenchement de l'opération Antilope à l'action, une importante flotte de la South African Navy avec comme fleuron de celle-ci le porte-avions sud-africain Enterprise était dans les eaux internationales au large des eaux territoriales angolaises en train de simuler un exercice militaire. Cette importante flotte, l'une des plus grandes flottes jamais rassemblées dans l'histoire de toute l'Afrique du Sud, était composée d'un porte-avions, de deux destroyers, de neuf frégates, de quatre dragueurs de mines et de cinq sous-marins:
- Spoiler:
Missile balistique Agni I:
F-35A Lightning II juste avant le décollage:Une dizaine de minutes après les bombardements balistiques et aériens des principales bases militaires terrestres et aériennes angolaises, la flotte de la South African Navy pénétra dans les eaux territoriales angolaises et en une vingtaine de minutes après, se positionna au large du port militaire de Luanda. En effet, les navires de la Marinha de Guerra sont tous situés dans le port militaire de Luanda, capitale de la République d'Angola et Quartier-Général des Forças Armadas Angolanas. Bien que celà ne faisait qu'une demie-heure que l'opération avait été commencé, le Vice-Amiral sud-africain Refiloe Mudimu fut très surpris par la réactivité de certains membres d'équipages angolais puisque trois torpilleurs de classe Shershen avaient déjà leurs équipages pratiquement prêts au combat et tentèrent de retenir courageusement la flotte sud-africaine. Cette action donc courageuse, également saluée par le Vice-Amiral Refiloe Mudimu, fut tout de même une action suicidaire puisque les torpilleurs furent rapidement neutralisés, dont un coulé net, ainsi que le reste de la flotte angolaise encore à quai qui subit d'importants dommages et dont certains furent coulés tellement l'assaut sud-africain fut rapide et fatal. Suite à la entière neutralisation de la Marinha de Guerra, la South African Navy bombarda encore une nouvelle fois les bases terrestres et aériennes de Luanda et de Belas, situées à portée des armes navales et des F/A-18 Advanced Super Hornet. Par ailleurs, le Quartier-Général des Forças Armadas Angolanas reçut également un bombardement naval et aérien de la part des F/A-18 Advanced Super Hornet, présents sur le porte-avions Enterprise.
- Spoiler:
- 1 USS Enterprise.
- 2 Tachikaze-class destroyer.
- 8 Valour class frigates.
- 1 Yubari-class destroyer escort.
- 3 River class.
- 1 Katanpää-class.
- 3 Heroine class submarines.
- 2 Daphné-class submarine.
- Spoiler:
USS Enterprise avec un Atlas Oryx:
Bilan des pertes angolaises: 5 000 militaires tués, un nombre très conséquent de matériel terrestre détruit, 95% des appareils aériens neutralisés et 100% de la flotte neutralisée.
Bilan des pertes sud-africaines: 4 Hongdu JL-8W perdus ou fortement endommagés et 2 JAS 39C/D perdus ou fortement endommagés.Engagement:
Une bonne heure après les différents bombardements balistiques, aériens et navals sur les bases militaires angolaises, les Forças Armadas Angolanas et les autorités angolaises étaient complètement désorganisées et ne savaient plus où donner de la tête au vu des terribles pertes, aussi bien au niveau matériel que humaines, subies par les bombardements et la surprise générale. C'est dans cette atmosphère de désorganisation et de limite panique générale au sein des Forças Armadas Angolanas que la South African Army passa à l'action, appuyée par la South African Air Force. Plus de 250 000 militaires, soutenus par 1 500 chars, des milliers de transports blindés, 850 pièces d'artillerie en tout genre et 80 hélicoptères de combat qui pénètrent sur le territoire angolais, sans compter l'aviation de la South African Air Force qui soutient activement les troupes au sol et possède nettement la supériorité aérienne. Le Chef de la South African Army est le Lieutenant-Général Vusumuzi Masondo et le plan d'invasion a été décidé selon trois axes principaux:
- Namibe-Benguela-Luanda.
- Lubango-Huambo-Luanda.
- Ondjiva-Menongue-Lumbala-Luena-Saurimo.
Les moyens de communication étant assez rustiques en Angola, les premiers kilomètres parcourus par la South African Army furent une surprise générale pour le peuple angolais où en progressant les militaires sud-africains étaient accueillis comme des libérateurs mais malheureusement et également, rapidement plusieurs escarmouches armées eurent lieu avec quelques civils angolais qui virent très vite que l'Afrique du Sud envahissait leur pays. Ces quelques civils angolais étaient généralement des vétérans de la Guerre sud-africaine de la frontière qui possédaient donc naturellement une grande rancœur contre les Sud-Africains. Quoiqu'il en soit, l'avancée sud-africaine fut très rapide au vu de la faible résistance des Forças Armadas Angolanas.La ville d'Ondjiva, pratiquement frontalière avec la frontière sud-africaine, fut promptement conquise mais les premières difficultés commencèrent, sans pour autant qu'elles soient énormes, dans les banlieues des villes de Namibe et de Lubango puisqu'une des bases principales de l'armée angolaise se trouvait dans la ville de Namibe et elle eut le temps de s'organiser, bien que les communications étaient coupées avec la capitale angolaise, durant ces quelques heures où l'armée sud-africaine avançait dans la campagne angolaise. Les premiers tirs commencèrent au début des banlieues des deux villes précédentes puisque quelques petites barricades sommaires furent mises en place mais celle-ci ne tinrent que quelques petites minutes au vu de la grande puissance de feu sud-africaine. Les chars Olifant Mk2 détruisaient rapidement les quelques T-55 ou T-54 angolais survivants qui tentaient de retenir les forces africaines. Les quelques batteries d'artillerie sol-sol ou sol-air sont rapidement neutralisées par l'artillerie sud-africaine, dont les excellents GV6-52 Extended Range.
- Spoiler:
Avancée de Ratel IFV:Parallèlement, un bref combat aérien éclata au dessus de la ville de Lubango où deux appareils angolais, survivants des bombardements, tentèrent avec courage, mais surtout avec suicide, d'intercepter les appareils sud-africains. Déjà que le quelque MIG-21 et MIG-23 angolais étaient en nette infériorité numérique, l'infériorité technologique était également de leur côté puisque les JAS 39C/D et les F-35A Lightning II eurent très rapidement raison des avions angolais. Bien que la Força Aérea Nacional Angolana possède encore sûrement des avions, la supériorité aérienne sud-africaine ne fait aucun doute dans le ciel angolais, ces quelques rares appareils survivants ont sûrement dû être rapidement cachés, ou bien même plus aucun appareil angolais ne peut voler désormais. Après une bonne petite journée de combat urbain, les dernières forces angolaises déposèrent les armes dans les environs de 19 heures et les villes de Namibe et de Lugango sont désormais entièrement sécurisées et sous contrôle sud-africain. Le soir-même, des camions remplis de vivres et de matériels médicaux furent acheminés afin d'aider la population locale angolaise mais également de soigner les éventuels blessés civils et les blessés militaires angolais.
- Spoiler:
Deux Rooivalk Mk 1 en support d'un Rooikat 105:
Dès le lendemain, les forces sud-africaines recommencèrent à reprendre leurs différentes routes vers leurs divers objectifs.
- Spoiler:
JAS 36C/D au dessus de Luanda:
Bilan des pertes angolaises: 900 militaires et civils tués, 14 chars détruits, 27 pièces d'artillerie détruites et 2 avions perdus.
Bilan des pertes sud-africaines: 135 militaires tués, 2 chars détruits, 6 pièces d'artillerie détruites et 1 avion perdu.
- Spoiler:
Avancée sud-africaine avec les différents objectifs:Communiqué au Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos:
Monsieur le Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos, nous vous demandons au nom du peuple angolais, de la communauté internationale, de la démocratie et de la liberté de quitter immédiatement le pouvoir et de vous rendre aux forces sud-africaines où vous serez jugés à Pretoria. Les forces armées sud-africaines ont déjà infligé de lourdes pertes à vos forces armées, qui sont presque totalement détruites, et elles ne cessent de progresser inexorablement à travers votre territoire. Nous vous demandons, pour votre peuple, de vous rendre et d'éviter ainsi donc la perte de vies innocentes. Une partie de votre peuple s'est soulevé contre votre démocratie populaire. Cette reddition de votre part sera votre dernière action en tant que Chef d'Etat et vous terminerez donc votre pouvoir avec une bonne action pour votre peuple.
Accord reçu par Nuteylla.
Caoki- Chef de Département des Nations Unies
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Re: [Guerre] Opération Antilope à l'action - Wildsbokke aksie [Reussie]
Angola
Le Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos accepte de se rendre aux autorités sud-africaines.
Le Président de la République d'Angola José Eduardo dos Santos accepte de se rendre aux autorités sud-africaines.
Gosseau- Secrétaire général des Nations Unies
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Date d'inscription : 22/08/2011
Re: [Guerre] Opération Antilope à l'action - Wildsbokke aksie [Reussie]
Republiek van Suid-Afrika
La République d'Angola est rattachée suite à la reddition du Président angolais José Eduardo dos Santos, jugée "bonne comme dernière action" de la part de ce tyran. L'ex-Président angolais est en route pour Pretoria où il sera jugé, jugement qui sera retransmis dans tout le pays, ainsi que dans les chaînes du monde qui le souhaiteront; le résultat du jugement sera communiqué dès que l'information tombera. Par ailleurs, la promesse d'élection libre et démocratique est tenue par les Sud-Africains puisque les élections libres et démocratiques ont eu lieu en province d'Angola où chaque Angolaise et Angolais ont pu voter pour leur Premier Ministre. Le parti de l'UNITA est largement arrivé en tête à plus de 65% des votants et le Président du parti Isaías Samakuva devient donc Premier Ministre provincial, plus haute fonction politique et surtout très importante au niveau provincial.
Top Secret
La République d'Afrique du Sud et la South African National Defence passe de VOVER 1 en VOVER 4.
Caoki- Chef de Département des Nations Unies
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