Opération гегемония

Confédération des Républiques Russes

Effectifs russes

300.000 hommes déployés

100 Su-27
100 MiG-29K
30 MiG-35
80 Su-34

100 T-90A
250 T-80U
600 T-72B
1.000 BMP-2
600 BTR-70/80
150 2S19
75 BM-27 Uragan

Effectifs adverses

100.000 soldats kazakh
15.500 soldats kirghizes
6.000 soldats tadjikes

~300 blindés tout modèles et pays confondus

~100 chasseurs déclassés tout modèles et pays confondus

Situation:

Officiel

Afin de mettre fin aux massacres des populations en Asie Centrale, la Russie déclare la guerre au Kazakhstan, au Kirghiztan et au Tadjikistan. En effet, de nombreux massacres de populations et des épurations ethniques dans ces états ont lieu depuis trop longtemps, et couplé avec les troubles terroristes, la situation a montré que les gouvernements étatiques de cette région n'étaient pas apte à garantir la sécurité et la stabilité à leurs peuples.

Kazakhstan

Alors que la déclaration de guerre n'était pas encore annoncée, les appareils de la base aérienne de Kostanaï reçurent l'ordre de frapper les bases militaires kazakhs présentent autour de Astana. La totalité des radars présents en Asie Centrale étant sous contrôle de l'armée russe, aucune information ne fut délivré concernant ces mouvements.

Les premières cibles de l'aviation russe furent les bases aériennes et les hangars de blindés. L'aviation kazakh étant très réduite, la mission fut remplie très rapidement, et les frappes détruisirent tout le potentiel aérien kazakh avant qu'il est pu être mis en alerte.

Alors que l'armée kazakh était totalement désorganisée, les troupes russes franchirent la frontière en de nombreux points. Le dispositif déployé est très important, et l'avance est extrêmement rapide.

Kirghiztan

Même scénario qu'au Kazakhstan. Simultanément à l'opération de la base de Kostanaï, la base de Kant a reçu l'ordre de lancer des frappes sur les bases militaires kirghizes. L'armée kirghize ne possédant que peu de matériel, les frappes aériennes vont donc détruire la totalité du potentiel militaire kirghize en l'espace de quelques heures.

Alors que le potentiel militaire kirghize, désorganisé par l'opération surprise, est nul, la garnison russe, composée de 700 soldats, se déployèrent sur Birchkek, capitale du pays. En effet, la base aérienne russe est voisine de la capitale. Ainsi, avant que toute résistance ait pu s'organiser, les troupes russes entrèrent dans le pays, se dirigèrent vers le palais présidentiel, ainsi que les chambres parlementaires. Le Président du Kirghiztan fut mis aux arrêts, ainsi que tous les représentants de l'État kirghize : ministres, députés, etc. Le Kirghiztan n'a donc plus aucun commandement militaire, plus aucune force militaire.

Tadjikistan

La base aérienne reçut les mêmes types d'ordres que les bases de Kant et de Kostanaï. Les avions russes détruisirent donc rapidement le potentiel militaire du Tadjikistan, dotés de moins d'une cinquantaine de véhicules militaires et de 4 hélicoptères de combat.

La base militaire russe de Douchanbé, au coeur de la capitale du pays, fut mis en alerte. Les unités russes se déployèrent partout dans la capitale, neutralisant les forces de police, par la force si nécessaire. Également surpris, le Président du Tadjikistan fut assigné à résidence par la garnison russe, et fut mis sous surveillance importante, ainsi que les membres de son gouvernement.

Les bases de Qurghonteppa et Koulab déployèrent leurs hommes dans les quelques villes importantes du pays, afin de verrouiller les axes de communication.

Confédération des Républiques Russes

Pertes ouzbèkes
Plusieurs milliers de soldats tués, armée désorganisée, pertes civiles mineures dans la capitale